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  1. IluvMTL

    Top Cities Index

    Sindage IPSOS Vancouver est là, et Toronto, mais pas Montréal. Voir le lien pour lire le texte au complet. Je reproduis la carte qui démontre les choix par génération. Vancouver est plus populaire dans la catégorie des baby boomers. Toronto aussi. https://www.ipsos.com/ipsos-mori/en-uk/ipsos-top-cities-2017?language_content_entity=en-uk Ipsos Top Cities 2017 The 2017 edition of the Ipsos Top Cities Index finds that New York is the most popular city worldwide, retaining the title it claimed when the survey was first run in 2013. Ipsos Top Cities 2017: New York remains the best city for work, rest and play EU publics see London as the top city in Europe The 2017 edition of the Ipsos Top Cities Index finds that New York is the most popular city worldwide, retaining the title it claimed when the survey was first run in 2013. This year sees Abu Dhabi leapfrogging London and Paris into second position, with Tokyo, Sydney and Zurich on the same score in equal fifth. People in 26 countries worldwide were asked which, from a list of 60 global cities, they felt were best to live in, do business in, and visit. The scores from the three questions were then added together to create the Ipsos Cities Index. The cities in the global top five have unique strengths; New York and Abu Dhabi are unparalleled as centres for business but they score less strongly as a place to live or visit, whilst Paris tops the global list of tourism destinations but rates comparatively poorly as a business hub, failing to reach the top 10 on this measure. London and Tokyo have rounded profiles, scoring more evenly across the three dimensions, while Zurich and Sydney’s strength is derived from their high scores as top cities to live in. The remaining top ten positions this year are occupied by Rome, Los Angeles and Amsterdam. The cities at the bottom of this year’s ranking are Nairobi and Tehran.
  2. Flo j'ai pris la liberté de créer un lien dans la section technologie urbaine avec ce fil, car je crois que c'est une trouvaille extraordinaire qui ne doit pas passer inaperçue. http://mtlurb.com/forums/showthread.php/23547-Quand-la-route-devient-centrale-photovolta%C3%AFque-une-premi%C3%A8re-mondiale-fran%C3%A7aise?p=236164#post236164 et un autre lien qui vient de la même source avec une petite vidéo http://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/021398624191-colas-lance-la-route-photovoltaique-une-premiere-mondiale-1165007.php#
  3. (Montréal) La réputation de Montréal gagne des points parmi les principales villes financières du monde, selon un palmarès international établi par des firmes d'analyse établies à Londres et que La Presse Affaires a obtenu. Montréal se situe maintenant au 18e rang des principaux «centres financiers du monde», deux rangs de plus que sa 20e position de l'an dernier dans ce palmarès qui comprend 77 villes. Dans les Amériques, Montréal se maintient au huitième rang parmi les 13 principaux centres financiers, derrière ses plus proches voisines Toronto (3e continentale et 10e mondiale) et Boston (4e continentale et 11e mondiale). Montréal devance encore dans ce palmarès les métropoles latino-américaines São Paulo, Mexico et Rio de Janiero. Au niveau canadien, Montréal conserve aussi son troisième rang parmi quatre centres financiers; derrière Toronto et Vancouver (17e mondial), mais devant Calgary (28e mondial). Ce palmarès est compilé par deux firmes londoniennes d'analyse du secteur financier, Long Finance et Z/Yen Group. Il est établi avec le soutien financier du Qatar Financial Center, un organisme de promotion économique qui relève du gouvernement du Qatar. Selon ce palmarès, Londres peut encore prétendre au premier rang mondial des centres financiers, devant New York, Hong Kong et Singapour. Mais à l'avantage du Canada, la présence de trois villes dont Montréal parmi le top-20 mondial représente une bonne note qui excède le poids relatif de l'économie canadienne sur l'échiquier mondial. Cette prestance du Canada parmi les centres financiers du monde a d'ailleurs valu à Gordon Campbell, haut-commissaire (ambassadeur) du Canada à Londres, de rédiger le préambule de l'édition 2012 du palmarès. Après avoir vanté la tenue avantageuse du Canada lors des années de crise financière et de récession, M. Campbell souligne à propos de Montréal sa «forte expertise» en gestion de caisses de retraite, ainsi que sa primauté dans le développement de logiciels pour le secteur des services financiers. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201203/21/01-4507746-palmares-des-villes-financieres-montreal-gagne-en-reputation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS10
  4. La crise a redessiné la carte de l'économie mondiale Publié le 04 octobre 2009 à 14h54 | Mis à jour à 14h56 Agence France-Presse Istanbul La crise a redessiné la carte de l'économie du monde au profit des pays émergents, comme la Chine, mais les experts doutent de la capacité de ce pays à tirer à lui seul la croissance mondiale. «La crise a acceléré le mouvement de l'Ouest vers l'Est» de l'économie mondiale, a résumé Niall Ferguson, professeur à la Harvard Business School, lors d'un débat organisé par la BBC à Istanbul, en marge des assemblées générales du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale. «Les prévisions récentes montrent que la Chine et l'Inde ont aidé à sortir l'économie mondiale de la récession», a remarqué de son côté le président de la Banque mondiale Robert Zoellick, soulignant qu'un tel monde plus équilibré, c'est-à-dire moins dépendant du consommateur américain, serait aussi plus «stable». La consommation aux États-Unis représente les deux tiers de l'activité de ce pays, qui reste, et de loin, la première économie de la planète. En 2008, les États-Unis ont représenté 13,2% des importations mondiales, d'après l'Organisation mondiale du commerce. Selon le FMI, les économies en développement vont connaître en 2010 une croissance beaucoup plus forte (5,1%) que les pays développés (1,3%). Celle de l'Asie en développement (7,3%) contrasterait avec celle des États-Unis (1,5%), du Japon (1,7%) et surtout de la zone euro (0,3%). Parmi les grandes économies, la Chine (9,0%) restera championne du monde de la croissance, devant l'Inde (6,4%). En queue de peloton, on retrouverait uniquement des pays de la zone euro, dont l'Espagne, l'Italie ou l'Allemagne. Dans ce contexte, il est clair que «le moteur américain n'est plus aussi puissant qu'auparavant», a remarqué le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn. «Les économies émergentes sont en train de devenir de plus en plus les vrais partenaires», a-t-il ajouté. Ce rééquilibrage de l'économie mondiale, que le FMI appelle de ses voeux, ne va pas sans interrogations. Le consommateur chinois peut-il remplacer son homologue américain et tirer par exemple la croissance européenne? Rien n'est moins sûr, selon les experts du FMI. En Europe, «la reprise reste sur les épaules des consommateurs européens», a assuré le directeur du département Europe du FMI, Marek Belka. Or, les pays riches restent plombés par le poids de leur dette publique qui pourrait atteindre à l'horizon 2014 quelque 110% de leur produit intérieur brut (PIB), a averti l'économiste en chef du FMI, Olivier Blanchard. Et pour en finir avec ces déficits publics, il est impératif que les consommateurs prennent le relais de l'État pour conforter la reprise. Mais, avec une population âgée et des coûts croissants dans les dépenses de santé, les pays riches sont face à de véritables défis, a averti M. Blanchard. Le rééquilibrage de l'économie mondiale est déjà réalité, a souligné M. Strauss-Kahn. En Amérique latine, les économistes du FMI remarquent que la crise a surtout frappé les pays plus dépendants de l'économie américaine, à l'instar du Mexique, et moins ceux ayant des liens étroits avec la Chine comme le Brésil. «S'il n'y avait pas eu la Chine, nous n'aurions pas vu de croissance positive au deuxième trimestre au Brésil», a remarqué Ilan Goldfajn, économiste en chef de la banque brésilienne Itau Unibanco. Ce rééquilibrage est aussi devenu réalité dans l'arène politique mondiale au profit par exemple du G20, qui regroupe pays riches et émergents, dont la Chine, l'Inde ou le Brésil, intronisé principale enceinte de la coopération économique internationale.
  5. Publié le 05 septembre 2009 à 08h05 | Mis à jour le 05 septembre 2009 à 08h13 Poutine: reconnaissance mondiale pour La Banquise Stéphanie Bérubé La Presse Le magazine spécialisé en voyage Travel&Leisure consacre son plus récent numéro au tourisme gourmand. Bien manger, partout sur la planète et à tous les prix. Et pour se régaler à moins de 5$, les rédacteurs ont dressé la liste des cinq meilleurs plats du monde et des endroits où se les procurer. Cinq délices à tout petit prix. Pas un de plus. La courte liste comporte des frites cuites dans le gras de canard à Chicago; une soupe de nouilles aux pelures de tangerines à Hong- Kong; les fameux dumplings à la soupe d'un boui-boui de Shanghai; les fameuses tartelettes à la crème d'une pâtisserie de Lisbonne et, on vous le donne en mille, la poutine du restaurant La Banquise de la rue Rachel à Montréal! La reconnaissance tombe pile: le Festival de la poutine se termine aujourd'hui, à Drummondville.
  6. Bonne nouvelle pour Montréal. La nouvelle complète se trouve ici: http://www.journalmetro.com/linfo/article/287169--les-montrealais-ont-le-12e-pouvoir-d-achat-au-monde-devant-toronto
  7. Analyse : la fin de l'Empire… canadien François Normand, Les affaires 13:10 Le Canada ne fait même plus partie des huit plus importantes économies de la planète. Les articles, reportages, analyses sont légion pour nous prédire la fin de « l’empire américain ». En fait, s’il y a un pays qui perdra de l’influence dans les prochaines années dans le monde, ce n’est pas les États-Unis, mais plutôt le Canada. Le sommet annuel du G8 (Canada, États-Unis, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Japon, Russie), qui traite des grands enjeux de la planète, en est un bon exemple. Crée en 1975, le G7 (devenu plus tard le G8, avec la Russie) tire à sa fin dans sa forme actuelle. Les prochains sommets – à l’exception de celui qui se tiendra au Canada, en 2010 – comprendront sans doute de nouveaux membres comme la Chine, l’Inde et le Brésil. Ces pays étaient tous présents à L’Aquila, en Italie, la semaine dernière, mais sur une base informelle. Du moins, pour l’instant. Car avec la montée en puissance de ces pays émergents, le G8 (essentiellement un club occidental) ne sera plus représentatif de la diversité de politique et de l’économie mondiales. Dans un entretien au quotidien français Le Monde, le 8 juillet, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a sans doute dit tout haut ce que plusieurs chefs d’État et de gouvernement pensent tout bas en déclarant que «le G8 n’a plus sa raison d’être». Et pour le Canada, c’est une bien mauvaise nouvelle puisqu’il perdra de l’influence dans un forum comptant des géants démographiques comme la Chine (1,3 milliard d’habitant), l’Inde (1,1, milliard) et le Brésil (191 millions). Et même au chapitre de l’économie, nous faisons de moins en moins le poids. À vrai dire, le Canada ne fait même plus partie des huit plus importantes économies de la planète, même s’il est officiellement membre du G8. En 2008, trois institutions – le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et la CIA, l’agence américaine de renseignement – classaient l’économie canadienne au 11e rang… De plus, nous sommes déjà déclassés par la Chine (3e rang) et le Brésil (10e rang selon le FMI et la CIA, mais déjà au 8e selon la Banque mondiale). Et l’Inde s’approche à grands pas au douzième rang, sans parler du Mexique . Cela dit, le Canada aura toujours sa place dans les grands forums économiques internationaux. Mais sa voix sera de moins en moins audible à côté de celle des États-Unis, des Européens (à travers l’Union européenne) et des Asiatiques – avec les Chinois, les Indiens, les Japonais en tête. Même la France (5e puissance économique mondiale, qui compte près de 65 millions d’habitants si l’on tient compte de ses territoires outre-mer) peine à faire entendre seule sa voix. Imaginez le Canada!
  8. La Chine sera le prochain moteur de l'économie mondiale Publié le 11 mai 2009 à 11h51 | Mis à jour à 11h56 André Simard lapresseaffaires.com George Soros croit que la Chine va supplanter les États-Unis comme moteur de la croissance économique mondiale, selon ce que rapporte lundi le Frankfurter Allgemeine Zeitung. Dans l'entrevue publiée par le quotidien allemand, l'investisseur milliardaire affirme également que la crise économique perdrait de son élan, alors que les plans d'aide nationaux commencent à fonctionner. «La reprise devrait permettre de regagner la moitié du terrain perdu, avant d'entrer dans une période de stagnation», a-t-il souligné. Selon M. Soros, l'Asie sera la première région du monde à se sortir de la crise. Il prévoit aussi que la Chine deviendra le premier moteur de l'économie mondiale. M. Soros ne dresse pas pour autant un portrait sombre de la situation aux États-Unis, précisant que le pays est actuellement en train de s'extirper de la crise. Quand au billet vert, l'investisseur précise: «Je ne m'attend pas à ce que le dollar américain perde de la valeur face à l'euro, au contraire.» Selon lui, la crise aura aussi démontré que le fait de faire partie de la zone euro a été un gros avantage pour les «pays faibles».
  9. L'économie mondiale se trouve à un tournant Publié le 11 mai 2009 à 09h29 | Mis à jour à 09h32 Jean-Claude Trichet Agence France-Presse, Bale L'économie mondiale se trouve à un tournant et la croissance dans certains pays est déjà marquée par une reprise, a affirmé lundi le porte-parole des dix grandes banques centrales mondiales (G-10) Jean-Claude Trichet. «Nous nous approchons, en ce qui concerne la croissance, d'un point d'inflexion», a précisé M. Trichet, à l'issue de la réunion bimestrielle du G-10 au siège de la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, la «banque centrale des banques centrales». «Nous observons un ralentissement de la baisse du PIB (produit intérieur brut)», a-t-il souligné, ajoutant que «dans certains cas, nous voyons déjà une reprise (et) dans d'autres cas nous voyons que (la chute) se poursuit, mais à un rythme plus lent». M. Trichet, qui est également le président de la Banque centrale européenne (BCE), a cependant averti qu'il fallait demeurer «vigilant». Les banques centrales et les gouvernements doivent maintenant porter leur attention sur les «stratégies de sortie» de crise qui permettront de retrouver une situation «saine et viable», notamment par le biais de politiques fiscales, a indiqué M. Trichet. Alors que les marchés financiers semblent se remettre peu à peu de leur dégringolade amorcée depuis l'été 2007, M. Trichet a observé un retour sur certains marchés à une situation «pré-Lehman», du nom de la banque américaine Lehman Brothers qui avait fait faillite en septembre et avait entraîné les marchés dans une descente abyssale. «La situation sur les marchés s'est considérablement améliorée (...) depuis septembre 2008», a-t-il estimé, ajoutant cependant que les marchés financiers assistaient toujours à une «correction d'un certain nombre de déséquilibres». Les économies émergentes ont démontré «une résistance remarquable» et certains se trouvent déjà au-delà du «point d'inflexion», selon le Français. M. Trichet avait estimé jeudi que le reste de l'année devrait être «bien moins mauvais» que le premier trimestre pour l'économie, confirmant qu'il prévoyait une reprise «dans le courant de l'année 2010». Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit cette année un recul du PIB mondial de 1,3%, le premier depuis la Seconde guerre mondiale, suivi d'une légère reprise en 2010 de +1,9%. Plusieurs éléments semblent par ailleurs indiquer une amélioration de la situation économique. En Allemagne, première économie de la zone euro, le rythme de baisse annuelle des exportations a ainsi ralenti en mars par rapport à février, à -15,8% sur un an, selon des chiffres provisoires de l'Office fédéral des statistiques (Destatis) publiés vendredi. La chute des exportations en raison de la récession mondiale avait atteint un pic en février à -23,5% sur un an.
  10. Publié le 07 avril 2009 à 10h01 | Mis à jour à 10h03 Tomorrow's Tourist: Où irons-nous dans 20 ans? Le Burj Al Arab hôtel, à Dubaï. Isabelle Audet La Presse Ian Yeoman a lancé Tomorrow's Tourist, un livre dans lequel il se risque à prévoir où en sera le voyage en 2030. Le futurologue et professeur à l'Université Victoria, à Wellington, y présente une vision plutôt optimiste du tourisme de demain. «Toutes proportions gardées, de plus en plus de personnes vont voyager dans 20 ans, explique-t-il. La crise économique ou les changements climatiques ne devraient pas y changer grand-chose. Historiquement, l'homme s'est toujours adapté. Il va voyager, mais différemment.»Pendant plusieurs années, le professeur s'est penché sur les données touristiques passées et présentes de dizaines de destinations touristiques. Il les a recoupées avec d'autres statistiques comme l'évolution du revenu des ménages et les changements dans la structure des familles. À la lumière de ces chiffres, il croit notamment que la Chine deviendra la première destination touristique mondiale avant 2030 et que le tourisme en Europe se déplacera vers l'est, concentré autour de la mer Adriatique. Il dégage aussi des tendances qui s'accentueront au cours des prochaines décennies: le grantravelling - les grands-parents voyageant avec leurs petits-enfants, les voyages en profondeur sur plusieurs mois, et, à l'opposé, la disneylandification du tourisme. Les adultes auront, prévoit-il, un besoin croissant d'escapades pour s'éclater, magasiner, et se laisser aller à des frivolités. Dubaï, Las Vegas et Macao répondront encore plus à cette demande. L'auteur croit qu'un même touriste pourrait avoir envie de s'amuser une semaine dans les casinos de Macao, et ensuite de planifier un voyage humanitaire au Gabon. «La clé, c'est la diversification du tourisme, explique-t-il. Les Américains changent leur coupe de cheveux en moyenne à tous les 18 mois: ils aiment le changement, tout comme la plupart des Occidentaux.» Ces prévisions sont-elles réalistes? Tout à fait, croit Michèle Laliberté, analyste au Réseau de veille de la Chaire de tourisme Transat de l'ESG UQAM. «Nous ne nous sommes jamais hasardés sur cette avenue-là, mais il y a quand même beaucoup de phénomènes qui sous-tendent les affirmations du livre de M. Yeoman.» L'analyste confirme aussi qu'en période d'incertitude économique, l'industrie touristique se montre friande de telles prédictions. «Toute l'industrie touristique du Québec voudrait avoir une boule de cristal, constate-t-elle. On se rend compte que les Américains nous boudent de plus en plus et on cherche à les attirer. Avec les vols directs de plus en plus longs, le Canada devient un choix parmi une liste mondiale. La question, c'est de savoir comment se démarquer.»
  11. Le président de la Banque mondiale dit craindre que l'ampleur de la crise économique mondiale ne précipite le monde dans une spirale protectionniste comparable à celle des années 1930. Pour en lire plus...
  12. Pour le Fonds monétaire international, il ne fait pas de doute que le Canada a su, jusqu'ici, tirer son épingle du jeu en évitant que l'économie canadienne ne soit heurtée de front par la crise économique mondiale. Pour en lire plus...
  13. Les exportations chinoises, victimes de la baisse de la demande mondiale, ont chuté de 25% en février, mettant en péril des dizaines de millions d'emplois dans une économie grandement dépendante du commerce international. Pour en lire plus...
  14. Le Fonds monétaire international craint que l'Afrique, relativement épargnée jusqu'ici par la récession mondiale, ne soit touchée de plein fouet en 2009. Pour en lire plus...
  15. La «troisième vague» de la crise économique mondiale devrait atteindre plus d'une vingtaine de pays pauvres, où le Fonds monétaire international craint l'émergence d'une crise humanitaire. Pour en lire plus...
  16. Les résultats trimestriels que viennent de publier trois grandes banques du pays démontrent que le secteur bancaire canadien résiste encore à la crise économique mondiale, malgré des profits en baisse. Pour en lire plus...
  17. Consommation et exportations en chute libre, flambée du yen, suppression d'emplois, la crise frappe durement la deuxième économie mondiale. Et d'après les estimations de la Banque du Japon, il faudra attendre 2010-2011 pour espérer une éclaircie. Pour en lire plus...
  18. Akio Toyoda arrive plus tôt que prévu à la barre de l'entreprise ébranlée par la crise économique mondiale. Pour en lire plus...
  19. Stephen Harper a estimé lundi que Barack Obama devrait donner la priorité à la stabilisation des marchés financiers aux États-Unis, pour le bien de l'économie mondiale. Pour en lire plus...
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  21. À la suite de l'OPEP, l'Agence internationale de l'énergie prédit une baisse de la demande mondiale de 0,2% en 2009 en raison «d'une économie mondiale déprimée». Pour en lire plus...
  22. Le gouvernement Charest annonce une série de mesures immédiates pour stimuler l'économie québécoise et atténuer les effets de la crise économique mondiale au Québec. Pour en lire plus...
  23. Beijing annonce mercredi que la croissance chinoise de 2007 avait été plus forte que prévu, ce qui la catapulte mécaniquement devant l'Allemagne. Pour en lire plus...
  24. Le ministre du Commerce international, Stockwell Day, a un remède en tête pour atténuer les effets de la crise économique mondiale: le libre-échange. Pour en lire plus...
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