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  1. jeudi 17 mai 2007 Un an après l'abandon du projet de déménagement du casino, le quartier Pointe-Saint-Charles de Montréal fait l'objet de nouvelles propositions de développement. Le propriétaire des anciens terrains du Canadien National (CN) veut y aménager de 800 à 1000 nouveaux logements, en plus de relancer les ateliers d'entretien de trains dans les anciens hangars ferroviaires, selon les informations obtenues par Le Devoir.
  2. Le Devoir 1 avril 2017 | Jean-François Nadeau | Montréal http://www.ledevoir.com/politique/montreal/495380/le-patrimoine-de-la-rue-saint-antoine-menace
  3. Il semble que le Devoir va quitter l'édifice Caron dans LaPresse : Publié le 10 février 2016 à 08h37 | Mis à jour à 08h37 Le Devoir prévoit déménager à l'automne Le quotidien Le Devoir envisagerait de déménager dans l'édifice Archambault, rue Sainte-Catherine, selon ce qu'a appris notre journaliste. PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE Jean Siag La Presse Le Devoir quittera ses locaux du 2050, rue De Bleury l'automne prochain, selon ce qu'a appris La Presse. Le quotidien montréalais, qui occupait le 9e étage du bâtiment depuis le mois de novembre 1992, s'installerait dans l'édifice Archambault, rue Sainte-Catherine, près du métro Berri-UQAM. Selon nos informations, les locaux actuels étaient devenus trop vastes pour les besoins du journal et le coût du loyer, trop élevé. Le déménagement s'inscrirait ainsi dans une volonté de saine gestion de l'entreprise de presse. Le nouveau directeur du Devoir, Brian Myles, officiellement en poste depuis lundi, a refusé de commenter la nouvelle, même si le projet de déménagement du quotidien a été communiqué aux employés récemment. «La possibilité d'un déménagement des locaux du Devoir est évoquée assez ouvertement par la direction depuis plus d'un an», affirme Guillaume Bourgault-Côté, président du Syndicat de la rédaction du Devoir et journaliste politique. Dans un texte publié en septembre 2014, l'ancien directeur du Devoir Bernard Descôteaux - qui a quitté son poste officiellement vendredi dernier - avait indiqué sa volonté de «réduire les dépenses d'exploitation» du quotidien dans le cadre de son plan de redressement budgétaire. M. Bourgault-Côté n'a pas voulu confirmer l'emplacement du nouveau lieu avant que la direction ne le fasse elle-même, mais a affirmé avoir reçu l'assurance que le lieu serait toujours «très central et parfaitement adapté à [leurs] besoins». C'est donc une page d'histoire que s'apprête à tourner Le Devoir, qui aura passé 24 ans dans ce qui est devenu le Quartier des spectacles. On se souvient qu'avant de s'installer rue De Bleury, le quotidien se trouvait au 211, rue Saint-Sacrement, dans le Vieux-Montréal.
  4. Dans le Devoir : Vers un Centre de design dans le Vieux-Longueuil L’Agence PID veut transformer l’ancienne maison funéraire Darche 12 août 2014 Frédérique Doyon Photo: Annik Mh De Carufel Le Devoir Une demeure victorienne située dans le Vieux-Longueuil, une ancienne maison funéraire, pourrait devenir un centre de design où se rencontreraient des gens du milieu du design et de la communication. Longueuil pourrait bientôt accueillir un nouveau Centre de design. L’Agence PID, qui pilote aussi le Salon international de design de Montréal (SIDIM), s’est portée acquéreur de l’ancienne maison funéraire Darche, édifice d’intérêt patrimonial dans l’arrondissement historique du Vieux-Longueuil, qu’elle compte transformer en lieu de formation et de lancement de produits. La transaction devrait se conclure d’ici l’automne. « Ça fait quelques années qu’on cherche un endroit où on pourrait offrir des ateliers de formation, un centre d’affaires qui permettrait aux gens de l’industrie du design et des communications, dont les nombreux travailleurs autonomes, de se rencontrer », explique au Devoir Ginette Gadoury, coprésidente de l’Agence PID, qui a fondé les magazines Décormag et Intérieurs, le SIDIM et les Grands Prix du design. Très différent du Centre de design de l’UQAM, qui tient lieu de galerie d’exposition, le projet longueuillois vise à doter la grande famille du design québécois d’un lieu de rencontre, de formation et d’exposition de produits. Les bureaux de l’Agence PID, qui comptent une dizaine d’employés, y logeront. Le rez-de-chaussée, destiné au centre d’affaires et de formation, pourra accueillir entre 30 et 50 personnes. La demeure de style victorien appartient à un holding texan qui compte des maisons funéraires dans toute l’Amérique. Elle a été mise en vente l’an dernier au prix de 1,4 million de dollars. Un prix que l’Agence PID, en négociation avec le propriétaire depuis l’été 2013, estime exagéré compte tenu de l’état du bâtiment. Feu vert Le conseil d’arrondissement du Vieux-Longueuil a déjà donné le feu vert à un changement de zonage essentiel aux réfections de la maison historique, qui n’a pas été rénovée depuis 1965. « L’offre d’achat est conditionnelle à l’obtention de changements de zonage, car la bâtisse et son terrain de stationnement sont à cheval sur un zonage commercial et résidentiel. Et on ne pouvait pas réparer l’arrière du bâtiment sans ce changement », indique Mme Gadoury. Le promoteur veut faire percer des fenêtres au mur arrière — laissé aveugle pour les besoins de l’ancien centre funéraire. Elle doit aussi réaliser des mises à niveau majeures. « Tout est à refaire, signale Mme Gadoury. La bâtisse n’est pas conforme aux normes actuelles de la construction. Nos ingénieurs et architectes travaillent là-dessus. » La Ville de Longueuil confirme au Devoir une autre étape importante, soit l’avis favorable du conseil local du patrimoine. Une liste d’exigences architecturales a toutefois été soumise au promoteur en juin dernier, la maison étant sise dans une zone patrimoniale. L’Agence PID a également obtenu des lettres d’appui de l’Association des résidants du Vieux-Longueuil et de l’Association des commerçants de la rue Saint-Charles, « ce qui est très rare », signale Mme Gadoury, qui connaît la communauté protectrice de son caractère historique, puisqu’elle y réside. « Notre projet s’inscrit bien dans celui du Vieux-Longueuil. Il y a une vingtaine de restaurants qui ont perdu beaucoup de clients avec le quartier DIX30. » Reste à achever l’évaluation des travaux à réaliser et à soumettre les plans architecturaux à la Ville de Longueuil, lors de la demande de permis de construction. Le processus devrait aboutir en septembre. Construite en 1898, la résidence fut d’abord celle de Bruno Normandin, maire de Longueuil de 1882 à 1891, puis de nouveau de 1891 à 1892 et de 1907 à 1908. La partie arrière a été ajoutée en 1956 quand l’entreprise funéraire d’Édouard Darche a racheté la demeure, dont l’extérieur est resté à peu près intact.
  5. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/410545/des-pics-anti-itinerants-a-montreal Des « pics » anti-itinérants à Montréal Bien que marginal, le phénomène inquiète les groupes communautaires 10 juin 2014 |Mélanie Loisel | Actualités en société Le magasin Archambault situé au coin des rues Sainte-Catherine et Berri a installé un dispositif de deux rangées de pics le long de la vitrine de sa librairie montréalaise. Photo : Pedro Ruiz - Le Devoir Le magasin Archambault situé au coin des rues Sainte-Catherine et Berri a installé un dispositif de deux rangées de pics le long de la vitrine de sa librairie montréalaise. Des photos de « pointes anti-itinérants » soulèvent tout un tollé depuis quelques jours à Londres, mais Montréal n’est pas en reste. Bien que le phénomène soit encore marginal, des groupes communautaires oeuvrant au centre-ville ont confirmé au Devoir qu’au moins un commerce et quelques propriétaires d’immeubles résidentiels ont installé des « pics » sur le bord de leur vitrine ou de leur terrain pour empêcher les sans-abri ou tout autre flâneur indésirable de s’y installer. Depuis quelque temps déjà, et ce, dans la plus grande discrétion, le magasin Archambault situé au coin des rues Sainte-Catherine et Berri a installé un dispositif de « pics » de deux rangéesle long de la vitrine de sa librairie. Il est impossible non seulement pour un sans-abri de s’y allonger, mais aussi pour quiconque de s’y asseoir quelques minutes. Malgré les tentatives du Devoir d’obtenir plus de renseignements, aucun représentant officiel chez Archambault n’a voulu faire de commentaires. À l’intérieur du magasin, lundi après-midi, une employée a par contre laissé tomber : « On s’en doute [du motif de ces installations]. » À quelques pas du parc Émilie-Gamelin, près du métro Berri-UQAM, de nombreux sans-abri et marginaux traînent dans les environs. Une travailleuse de rue, qui a accepté d’accompagner Le Devoir mais qui ne peut être nommée, a été outrée de voir ce dispositif. « C’est le genre de mesure qu’on prend pour éviter que les pigeons s’installent sur les édifices et, là, on fait la même chose pour éviter d’avoir des êtres humains », a-t-elle déploré. Le directeur général du groupe L’Itinéraire, Serge Lareault, est conscient que la présence de sans-abri peut être problématique dans ce coin, mais il prend bien soin de ne pas jeter trop rapidement la pierre aux commerçants. « Depuis cinq ans, on voit toutes sortes de petites mesures qui sont prises pour éviter que les sans-abri puissent dormir devant les commerces ou sur le bord des vitrines. On ne peut pas blâmer les commerçants de vouloir protéger leurs biens, mais en même temps, il faut bien que les gens de la rue puissent dormir quelque part », dit-il. Après avoir vu les photos des pointes installées devant un immeuble luxueux et sous un viaduc à Londres, M. Lareault espère que ce type de mesures, qualifiées « d’indécentes », ne prendra pas d’ampleur à Montréal. Avec la construction d’immeubles résidentiels dans le centre-ville, il craint que des mesures dissuasives soient prises pour faire fuir les sans-abri au lieu de trouver des solutions pour freiner la hausse de l’itinérance. Inadmissible, dit Projet Montréal La conseillère de l’arrondissement Ville-Marie pour Projet Montréal, Valérie Plante, affirme que des questions seront posées pour éviter que ces dispositifs ne « prennent pas d’expansion » dans la métropole. « On va en discuter parce qu’on juge que c’est inadmissible d’utiliser de telles techniques, qui sont dégradantes », indique-t-elle. Lundi à Londres, le maire de la ville, Boris Johnson, a d’ailleurs exigé que les pointes qui ont tant suscité de réactions sur les réseaux sociaux soient immédiatement retirées. Il a écrit sur Twitter qu’elles étaient « laides, contre-productives et stupides ».
  6. Le Cirque Éloize a imaginé des projets d’animation du parc Jean-Drapeau en vue du 50e de l’Exposition universelle 25 février 2014 | Frédérique Doyon | Actualités culturelles Le Devoir La Biosphère pourrait faire l’objet d’une mise en lumière permanente à l’instar de la tour Eiffel. L’idée fait partie d’un bouquet de propositions pour animer le parc Jean-Drapeau, à l’occasion du 50e anniversaire de l’Exposition universelle en 2017, a appris Le Devoir. La Société du parc Jean- Drapeau (SPJD) a mandaté le Cirque Éloize pour mettre sur pied une table de concertation afin d’imaginer des programmations spécifiques pour le site des îles Notre-Dame et Sainte-Hélène, en vue du 50e de l’Expo, mais qui se déploieront dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’exercice s’articule autour de sept grandes orientations pour dynamiser le site à long terme. Chaque orientation a donné lieu à des idées bien concrètes, inspirées de ce qui se fait ailleurs dans le monde. L’illumination du fameux dôme géodésique de l’architecte Richard Buckminster Fuller, icône de l’Expo, est l’une des idées proposées pour remettre en valeurs les icônes architecturales de l’Expo, un des axes de développement abordés dans le rapport qui n’a pas encore été rendu public, mais dont Le Devoir a eu un aperçu. Une autre proposition consiste à doter le parc de bateaux-péniches de services (hôtellerie, restauration, etc.) sur les bords du fleuve. Un concept similaire, qui existe à Amsterdam et à Paris, est l’une des idées soumises au chapitre de la réappropriation du fleuve. Il faudra attendre avant de savoir quelles recommandations seront retenues. La direction de la SPJD doit d’abord déposer le rapport à son conseil d’administration, puis à la Ville et à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Car ces propositions se joindront à l’ensemble du programme du double anniversaire — voire triple, puisqu’il coïncide aussi avec le 150e de la Confédération canadienne. Et le budget de ce programme d’animation n’est pas encore attaché. Il s’articulera à l’ambitieux programme d’aménagement du parc déjà connu, qui vise à revitaliser quatre secteurs clés au coût de 55 millions de dollars : la Place des Nations, la construction d’une promenade riveraine panoramique de trois kilomètres le long du Saint-Laurent, la création d’un espace d’accueil autour du métro et l’aménagement du Parterre de l’île Sainte-Hélène — où se déroule le festival Osheaga — pour accueillir confortablement 45 000 personnes. Le parc Jean-Drapeau est le premier grand parc public montréalais (constitué en 1874, avant le mont Royal), et jouit depuis 2007 du statut de site patrimonial. Le projet de valorisation et de développement Horizon 2017 totalise 159,7 millions de dollars étalés depuis 2012, jusqu’en 2017.
  7. On verra de superbes photos de Montréal prises par l'un des grands photographes urbains contemporain et italien au Musée McCord en octobre. Quelques-unes à voir sur le site du devoir. Dans l'article, l'article dit que Montréal l'a frappé par son mélange jamais vu (par lui) de bâtiments patrimoniaux superbes, de gratte-ciels et de petites maisons, tout ça dans un espace très réduit. http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/357342/une-ville-hors-du-temps
  8. Superbe série d'articles, voici les 3 premiers parus. Je sais que l'auteur vient de temps en temps sur mtlurb.com. Malheureusement sur le site du Devoir, il n'y a pas la 2e photo "actuelle" des lieux, qui rend les articles d'autant plus intéressants et pertinents.
  9. J'aime beaucoup ce que Garnotte fait, je vais "poster" celles qui me font sourire. Lisa Raitt, ministre des Ressources naturelles Le Devoir Michel Garneau Édition du mercredi 10 juin 2009 http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254223.html
  10. Les trois grands constructeurs automobiles américains, General Motors, Ford et Chrysler, ont le devoir de restructurer mais c'est peut-être le financement des acheteurs qui les sortira du pétrin. Pour en lire plus...
  11. La direction des mines Wabush, au Labrador, prépare le terrain au licenciement de travailleurs, car elle craint devoir réduire la production en 2009. Pour en lire plus...
  12. Le ministre du Développement économique prévient l'entreprise d'assemblage de camions qu'elle pourrait devoir rembourser l'Ontario si elle met à pied des travailleurs. Pour en lire plus...
  13. Le constructeur automobile américain a annoncé jeudi qu'il allait devoir recourir à des licenciements, sans en chiffrer l'ampleur. Pour en lire plus...
  14. Les commerces vont devoir encore rénover pour battre la concurrence, mais la vague des investissements amorcée depuis 2000 est terminée. Pour en lire plus...
  15. Québec va déplafonner les droits de scolarité pour les étudiants étrangers dans six secteurs, dont la médecine, révèle Le Devoir. Pour en lire plus...
  16. Universités: Courchesne est prête pour le coup de barre Le Devoir, Clairandrée Cauchy Édition du mercredi 10 septembre 2008 Le projet de loi sur la gouvernance sera déposé cet automne contre vents et marées, a-t-elle révélé au Devoir La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, a annoncé au Devoir sa ferme intention de présenter un projet de loi sur la gouvernance des universités. Que les recteurs d'université se le tiennent pour dit, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, est déterminée à présenter cet automne un projet de loi sur la gouvernance des universités. En dépit des résistances observées dans le milieu universitaire, la ministre entend exiger la présence de deux tiers de membres indépendants au sein des conseils d'administration des universités. «En terme de gouvernance, le conseil d'administration doit pouvoir jouer pleinement son rôle. Pour ce faire, dans les règles de bonnes pratiques de gouvernance, que ce soit dans les hôpitaux, les universités, les cégeps, les entreprises, je crois à la nécessité des deux tiers de membres externes», a soutenu Mme Courchesne lors d'une rencontre éditoriale sur ses priorités de la rentrée, soulignant que ce principe a déjà été imposé aux sociétés d'État. Au printemps, la ministre a rencontré les présidents des conseils d'administration des différentes universités ainsi que les recteurs afin de discuter des les suites à donner aux recommandations du Groupe de travail sur la gouvernance des universités, présidé par le professeur des Hautes Études commerciales Jean-Marc Toulouse. Elle entend les rencontrer de nouveau au cours des prochaines semaines, avant de faire cheminer un éventuel projet de loi dans les officines gouvernementales. Ce principe d'une forte présence de membres indépendants ne passe cependant pas comme une lettre à la poste dans le milieu universitaire. «Les universités ne veulent pas de loi. Elles pensent qu'elles peuvent modifier la situation à travers leurs chartes. Je sens une grande réticence, une résistance à ce que le gouvernement adopte une loi pour assujettir les universités aux principes de gouvernance reconnus», a constaté Mme Courchesne. Elle n'entend cependant pas s'en remettre à la bonne volonté pour parvenir à ses fins. «Il faut que les universités finissent par accepter qu'elles sont très majoritairement financées par les contribuables québécois, donc par des fonds publics. Cela veut dire qu'une gouvernance appropriée doit être mise en oeuvre, et une reddition de comptes détaillée. [...] Dans une société moderne, les universités ne peuvent échapper aux principes reconnus de gouvernance. Certaines de ces universités les enseignent d'ailleurs», a-t-elle lancé. La ministre attribue les hésitations à la crainte des membres des communautés universitaires d'être tenus à l'écart des centres décisionnels que sont les conseils d'administration. «Ce n'est pas notre objectif, tranche Mme Courchesne. Les dirigeants des universités devront développer, institutionnaliser leur capacité de rendre des comptes et de faire participer la communauté universitaire dans des forums», pour compenser la représentation moins importante des acteurs de l'université au sein des conseils d'administration. La loi sur la gouvernance des universités devrait aussi prévoir l'obligation de former un comité de vérification interne ainsi qu'un comité consacré aux ressources humaines. On y définirait aussi les rôles respectifs du président du conseil, des membres, du recteur ou encore du président du comité de vérification. Cet éventuel projet de loi fait non seulement écho au rapport Toulouse, mais aussi à celui du Vérificateur général sur la situation financière de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), déposé en juin dernier. Le Vérificateur y montrait du doigt la composition du conseil d'administration de l'UQAM, où siègent une majorité de membres qui travaillent ou étudient à l'université. «Se considèrent-ils tous comme des administrateurs chargés de défendre les grands enjeux de l'université, dont son équilibre financier, au risque de déplaire soit au recteur, soit au groupe qu'ils représentent ou se voient-ils plutôt comme des représentants des intérêts de leur groupe», s'interrogeait alors le Vérificateur général. La ministre Courchesne refuse cependant de voir dans ce dossier uniquement une réaction aux problèmes survenus à l'UQAM avec le dérapage immobilier. «Arrêtez de penser que c'est juste l'UQAM. Je ne vais pas dévoiler ce que je constate dans d'autres universités, mais je les suis toutes», a-t-elle affirmé. Outre l'enjeu de la gouvernance des universités, les correctifs à apporter aux programmes de formation au primaire et au secondaire, pour rectifier le tir de la réforme scolaire, figureront aussi en bonne place sur la table de travail de Mme Courchesne et de son ministère. D'ici à la fin du mois, le ministère devrait pouvoir fournir aux enseignants la nouvelle mouture des programmes de français du primaire, revue et corrigée pour préciser les connaissances qui doivent être acquises par les élèves chaque année. Ce que l'on appelle la «hiérarchisation des savoirs» en jargon pédagogique devrait ensuite se poursuivre pour les autres matières, au primaire comme au secondaire. La loi sur la gouvernance des commissions scolaires, déposée au printemps, devrait aussi revenir au menu législatif de l'automne.
  17. Voici ma vision pour un réseau light-rail/tramway sur la rive sud (principalement Longueuil, mais aussi Brossard, Boucherville et Saint-Lambert.) 85% of the lines will run through large boulevards that have existing space between the carriageways. (Ex: Boul Roland-Therrien, which was precisely designed with tramway-expandability in mind.) About 10% of the lines will run adjacent to major roads, along currently (as of 2008) vacant or more or less acquirable space. A final 5% will have to be dug or passed through some existing (infra)structures. Ligne 1 - 11km Roland-Therrien (et aussi boul. Cousineau) Ligne 2 - 17km Jacques-Cartier (et le bord de l'eau) Ligne 3 - 9km Taschereau (et boul. Lafayette) Note #1 - Il devrait y avoir des modifications aux infrastructures existentes a certains endroits... exemple, pour avoir suffisament d'espace pour installer un tram, Taschereau va devoir tasser ses voies sur les cotes (pas un enorme probleme, considerant qu'il y a presentement des acotements assez large de 2m+) Note #2 - Il y aurait possibilité d'expansion! Surtout sur la ligne 3 vers le sud. Note #3 - C'est une VISION seulement; pour le fun! I haven't considered all the details, i just had fun and put this map together. Please keep that in mind! Questions / commentaires / suggestions / compliments / insultes / tomates / n'hésitez pas!
  18. La Presse Canadienne MONTREAL _ La direction de l'agence de presse Reuters a fait circuler un courriel interne, mardi, dans lequel elle annonçait la fermeture immédiate de la salle de rédaction de Montréal, selon les informations obtenues par le quotidien Le Devoir. Le bureau, qui ne comptait plus qu'un seul journaliste, avait subi une première vague de licenciements au début de 2004, à l'époque où Reuters, basée à Londres, connaissait des problèmes de rentabilité. Or la dernière ronde de compressions survient au moment où la compagnie fusionne ses activités avec celles de la canadienne Thomson Corp. La plupart des journalistes canadiens de Reuters travaillent à Toronto, mais l'agence a aussi des correspondants à Vancouver, Calgary, Winnipeg et Ottawa. Cela signifie que Reuters entend couvrir l'actualité montréalaise avec des journalistes basés ailleurs, précise Le Devoir dans son édition de mercredi. Reuters est la deuxième grande organisation à quitter Montréal depuis un an, l'agence de presse Dow Jones ayant plié bagages en 2007 en laissant aller son correspondant, qui écrivait aussi pour le Wall Street Journal. Ces décisions vont dans le sens inverse de ce qu'a fait une autre agence, Bloomberg, qui a ajouté un correspondant à Montréal. L'équipe des ventes de Reuters, dont les clients sont des établissements qui consomment des données financières, demeure en place. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/05/20080528-102902.html
  19. Dans le Devoir d'aujourd'hui on parlait d'ériger une seconde salle à l'ilôt Balmoral qui servirait pour les comédies musicales. Il y aurait peut-être une maison consacrée au Jazz (Un genre de centre d'archives).
  20. Hercule

    Musée McCord

    Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 18 mai 2007 Le Devoir À l'étroit au centre-ville, le musée veut une grande annexe pour déployer sa collection d'histoire canadienne Le nouveau Musée McCord a tout juste 15 ans et se sent très à l'étroit au centre-ville de Montréal. Il souhaite donc ouvrir une grande annexe au Vieux-Port, sur un des grands quais, selon les informations obtenues par Le Devoir.
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