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  1. La Centrale des syndicats du Québec appelle Ottawa et Québec à soutenir les citoyens les plus pauvres en cette période d'incertitude. Pour en lire plus...
  2. Le Canada va présenter samedi son plan d'aide au secteur automobile canadien en difficulté, a annoncé vendredi le bureau du premier ministre Stephen Harper. Pour en lire plus...
  3. Ottawa, le Québec et l'Ontario fourniront du financement pour la restructuration du PCAA, annonce vendredi le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  4. Publié le 18 décembre 2008 à 12h31 | Mis à jour à 13h30 Des déficits pendant au moins quatre ans La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral s'attend à enregistrer des déficits pendant au moins quatre ans et ça, c'est sans calculer l'impact d'éventuelles dépenses pour stimuler l'économie en crise. C'est ce que révèlent les documents que le ministère fédéral des Finances a distribué aux ministres provinciaux, mercredi, à Saskatoon. Ottawa prévoit maintenant des déficits d'environ 5 milliards $, 5,5 milliards $, 4 milliards $ et 1 milliard $ pour les quatre prochaines années fiscales. La cinquième année, le budget pourrait à nouveau être équilibré.Ces déficits deviendraient réalité même si le gouvernement vendait des actifs et faisait des économies dans ses dépenses, comme il comptait le faire dans son énoncé économique du 27 novembre. Les documents donnés aux ministres provinciaux prouvent donc que le ministre fédéral Jim Flaherty se basait sur des données dépassées lorsqu'il publiait son énoncé, il y a à peine trois semaines. Dans cet énoncé, rejeté par l'ensemble des partis d'opposition, le ministre assurait qu'il y aurait de modestes surplus dans les années à venir. Les nouveaux documents du ministère des Finances suggèrent qu'il se pourrait aussi qu'Ottawa tombe dans le rouge dans l'année courante. En février dernier, le budget prévoyait plutôt un surplus de 2,3 milliards $. Et encore mercredi, à Saskatoon, le ministre Flaherty a maintenu qu'il n'y aurait pas de déficit cette année.
  5. Le gouvernement fédéral vient en aide au chantier naval en accordant une somme allant jusqu'à 380 millions en garantie de prêt. Pour en lire plus...
  6. Les chantiers maritimes régionaux espèrent qu'ils seront admissibles au nouveau programme d'aide qu'Ottawa entend déposer pour soutenir le développement des chantiers au Canada. Pour en lire plus...
  7. Le gouvernement canadien est prêt à aider le secteur automobile du pays, a déclaré vendredi le ministre des Finances Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  8. Ce n'est pas un hasard si Ottawa vient de recruter Clément Gignac à titre de conseiller spécial du sous-ministre des Finances. Pour en lire plus...
  9. Pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation 28 novembre 2008 - 12h44 La Presse Canadienne SEPT-ILES _ Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation versés à Québec, avec la complicité du gouvernement de Jean Charest qui savait mais n'a rien fait, selon la chef péquiste, Pauline Marois. Mme Marois s'est montrée outrée, vendredi, des pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec à la suite de la présentation, jeudi, de l'énoncé économique du gouvernement de Stephen Harper. En point de presse dans une usine de Sept-Iles, Mme Marois a tracé un lien direct entre le document fédéral et l'énoncé économique déposé par la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget, la veille du déclenchement des élections québécoises. Selon elle, Québec savait ce qui se tramait à Ottawa mais a manipulé l'opinion publique, en présentant des données erronées à des fins partisanes. La ministre Jérôme-Forget et le premier ministre Charest ne pouvaient pas ignorer l'ampleur des coupes imposées au Québec au moment de rédiger leur propre énoncé budgétaire, a insisté la chef du Parti québécois. Jean Charest aurait hâté la tenue du scrutin, a-t-elle soutenu, pour cacher des mauvaises nouvelles à la population, dont celle-là. Le chef libéral n'a plus aucun rapport de forces vis-à-vis Ottawa, conclut-elle. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/11/20081128-124423.html
  10. Des attentats secouent Bombay http://www.radio-canada.ca Au moins 78 personnes ont été tuées et 200 autres blessées, mercredi soir, dans une série de tirs et d'explosions, en différents endroits de la ville de Bombay, en Inde. Le commissaire de police pour les chemins de fer à Bombay, A.K. Sharma, affirme que plusieurs hommes armés de fusils d'assaut AK-47 ont fait irruption dans le hall de la gare centrale Chhatrapati Shivaji et ont ouvert le feu et lancé des grenades. Des attaques semblables ont été perpétrées dans un hôpital, un commissariat, les hôtels de luxe Taj-Mahal et Oberoi, dans un autre hôtel, et dans un restaurant, le Leopold's, très fréquenté par les touristes. Des assaillants seraient encore retranchés dans les deux hôtels et détiendraient des otages, affirme un haut responsable de la police. Des chaînes de télévision indiennes rapportent que des militaires, appelés en renfort, ont pénétré à l'intérieur de l'hôtel Oberoi. Selon l'agence Reuters, un parlementaire européen a raconté que plusieurs députés européens se trouvaient toujours à l'intérieur de l'hôtel Taj Mahal, qui est en flamme. Un client britannique de cet hôtel a par ailleurs déclaré à la chaîne indienne NDTV que les agresseurs cherchaient des détenteurs de passeports britanniques ou américains. D'autres chaînes de télévision ont rapporté que des Occidentaux sont retenus en otage. Des ressortissants coréens se trouvent aussi à l'intérieur de l'hôtel, ont déclaré leurs chauffeurs, qui les attendaient à l'extérieur. Le directeur du Bureau du Québec à Bombay, Benoît-Jean Bernard, a témoigné des événements à RDI, en après-midi: « Le premier ministre et le ministre de la Sécurité sont apparus dans les médias pour indiquer qu'il s'agissait d'un assaut mené contre la ville, la capitale financière, dans une nouvelle manière de terroriser. Ce ne sont plus des attentats-suicides, ce sont des groupes armés. On les estime à plusieurs dizaines, peut-être même à 200 qui se sont répandus dans la ville. Et ce n'est pas 9, c'est 12 endroits où il y a eu des tirs, des échanges de feu. Il vient d'y avoir deux morts dans un hôpital tué par des terroristes, et il y a 20 otages étrangers qui sont au 18e étage de l'hôtel Oberoi où il y a également des incendies, et un troisième hôtel a été la cible, il y a une heure, d'attentats 20 km au nord du centre-ville ». C'est le chaos actuellement dans la ville, et les pompiers, policiers et militaires sont sous un pied d'alerte. Les autorités de Mumbai affirment qu'au moins quatre assaillants ont été tués et neuf autres capturés. La capitale financière de l'Inde a été maintes fois la cible d'attaques. En juillet 2006, des attentats simultanés contre des trains de banlieue et des gares avaient fait plus de 200 morts. Le Press Trust of India affirme qu'un groupe islamiste se faisant appeler les Moudjahidines du Deccan a revendiqué les attentats. Le groupe est peu connu, et le journal rapporte qu'il avait envoyé des courriels à plusieurs médias pour revendiquer l'attentat. Ottawa condamne l'attentat À Ottawa, le ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon,a fortement condamné, lors d'une courte conférence téléphonique, ces « lâches attentats », en présentant ses condoléances aux familles et amis des victimes. « Nous collaborons avec les autorités indiennes pour porter assistance à tous les Canadiens qui auraient pu être directement touchés lors de ces événements », a-t-il ajouté. Selon les dernières informations dont disposait Ottawa en fin d'après-midi, mercredi, « aucun Canadien n'a été blessé ou tué lors de ces attaques », a précisé M. Cannon.
  11. Le Centre canadien de politiques alternatives croit qu'une récession majeure pourrait forcer le gouvernement fédéral à déclarer un déficit de 46,8milliards de dollars en 2010-2011. Pour en lire plus...
  12. Le constructeur automobile demanderait un prêt garanti de 1 milliard de dollars à Ottawa et à Queen's Park. Pour en lire plus...
  13. Le directeur parlementaire du budget fédéral s'attend à ce que le pays enregistre des déficits pour les deux prochaines années. Pour en lire plus...
  14. C'est l'avertissement que sert le syndicat des travailleurs de l'automobile en appelant Washington et Ottawa à venir en aide au secteur. Pour en lire plus...
  15. Ottawa a finalement débloqué un projet de constellation de satellites qui aura des retombées considérables à Sainte-Anne-de-Bellevue. Pour en lire plus...
  16. Le gouvernement canadien songe à se joindre aux États-Unis afin d'adopter un plan d'aide conjoint pour aider l'industrie automobile nord-américaine. Pour en lire plus...
  17. Ottawa boosts mortgage buyout by $50B Eoin Callan, Canwest News Service Published: Wednesday, November 12 TORONTO - After a sustained lobbying campaign by Bay Street executives that culminated in a breakfast meeting with senior government officials in Toronto Wednesday, Ottawa agreed to the most pressing demands of Canadian banks squeezed by the credit crisis. "We had asked for four things and we got all four," Don Drummond, a senior vice-president at TD Bank Financial Group, said after Ottawa unveiled co-ordinated measures to buy up to $75-billion worth of mortgages, facilitate access to capital markets, provide extra liquidity and loosen reserve requirements. Jim Flaherty, the Finance Minister, said the moves meant Canada was making good on a pledge he made during talks with his international counterparts to collectively bolster the banking system ahead of a summit on the financial crisis this weekend in Washington. The actions were a sign of the "commitment" of Ottawa to ensure the country's financial system remained strong, said Gerry McCaughey, chief executive of Canadian Imperial Bank of Commerce, which, along with TD, is thought to be among the main beneficiaries of new looser rules on minimum capital requirements. But executives who participated in the process cautioned state interventions to ease the credit crisis had proven to be more art than science, as the United States Wednesday ditched an earlier plan to buy up toxic assets at the same time Ottawa was expanding its own scheme to buy mortgage-backed securities by $50 billion. Executives said it remains to be seen if the interventions finalized at Wednesday morning's meeting would succeed in lowering the premium banks pay for medium-term financing, which is about five times higher than before the credit crisis. In a bid to ease funding pressures, executives persuaded the Conservatives to reduce to 1.1 per cent from 1.6 per cent the fee to be charged if banks invoke a special new government guarantee when they borrow money in international capital markets. Banks argued the previous higher rate had actually encouraged lenders to nudge up the premium they were charging banks at a time when other countries were offering more generous terms. The Finance Minister said he would resist new global initiatives that might put Canadian institutions at a competitive disadvantage during the weekend summit in Washington. But he said Ottawa's ability to influence the outcome was being undermined by the absence of a federal securities regulator in Canada, which is alone among major industrialized nations in not having national oversight of financial markets. "It is difficult for us to go abroad and say governments should get their house in order when there is a glaring omission at home," he said. Flaherty said a key objective of the moves announced Wednesday was addressing "concerns about the availability of credit" for business borrowers, adding that "the government stands ready to take whatever further actions are necessary to keep Canada's financial system strong among external risks." The Bank of Canada also said it would boost the availability of affordable credit in the banking system by $8 billion, using new rules that mean institutions can bid for cash using almost any form of collateral. Banks also welcomed a move late Tuesday by the Office of the Superintendent of Financial Institutions to allow them to top up their capital reserves with securities that are a hybrid of debt and equity. The regulator clarified Wednesday that a related measure on treatment of money lent by banks to other financial institutions under the government guarantee of interbank lending "would have the effect" of "increasing their regulatory capital ratios, all else being equal", but would "not count as regulatory capital." Bank analysts said the interventions were positive for Canadian banks, but warned they would be squeezed further in the coming months as the global economic slowdown hit home and losses on bad loans mount. Ian de Verteuil, an analyst at BMO Capital Markets, cited as an example how falling demand for coal could by next year jeopardize more than $10 billion in bank loans made to finance the acquisition by Teck Cominco of Fording Canadian Coal Trust. Royal Bank of Canada, Bank of Montreal and CIBC each have about $1 billion in exposures, while TD and Scotiabank each have $400 million of exposures to the deal, which the companies expect will be viable. But bank executives remained bullish Wednesday, with TD chief executive Ed Clark saying he was still on the hunt for U.S. acquisitions.
  18. Jusqu'à 75 milliards de dollars. L'équivalent de la valeur de toutes les maisons vendues dans le Grand Montréal depuis 2000, et même plus. Pour en lire plus...
  19. Ottawa devrait devenir la banque de dernier recours pour les entreprises en difficultés qui ne peuvent obtenir du crédit grâce aux voies habituelles, a affirmé mercredi le Conference Board du Canada. Pour en lire plus...
  20. Le gouvernement achètera d'ici la fin de l'année financière des blocs additionnels de prêts assurés à concurrence de 50 G$ pour faciliter la circulation du crédit. Pour en lire plus...
  21. Publié le 11 novembre 2008 à 06h50 | Mis à jour à 06h55 Harper accélérera les investissements dans les infrastructures Joël-Denis Bellavance et Malorie Beauchemin La Presse (Ottawa) Le premier ministre Stephen Harper s'est engagé hier à accélérer les investissements prévus par Ottawa dans les infrastructures comme mesure pour stimuler la croissance de l'économie canadienne alors que toute la planète affronte une tempête financière. M. Harper a pris cet engagement durant sa rencontre de plus de trois heures avec ses homologues provinciaux dans la capitale fédérale pour faire le point sur l'état de santé de l'économie dans les diverses régions du pays. Une deuxième conférence des premiers ministres sur l'économie est prévue au début de janvier. «Nous avons tous convenu que nous devrions faire en sorte que les investissements dans les infrastructures soient accélérés. Cela va soutenir l'activité économique en général. J'ai confiance que cela sera possible au cours de la prochaine année», a dit M. Harper en conférence de presse après la rencontre. Les premiers ministres des provinces sont arrivés dans la capitale fédérale hier avec chacun une série de propositions visant à stimuler l'économie et à créer des emplois. Outre l'accélération des investissements dans les infrastructures, aucune décision importante n'a été prise durant cette rencontre. Stephen Harper avait trois objectifs en tête en convoquant ses homologues à Ottawa: faire le point sur la situation économique, discuter des dossiers où les deux ordres de gouvernement peuvent accroître leur collaboration, et consulter ses collègues avant de se rendre à la rencontre des leaders des pays membres du G20 samedi à Washington. Fait rarissime, cette conférence s'est déroulée dans la plus grande harmonie, ce qui tranche nettement avec les précédentes rencontres au sommet des premiers ministres. « La réunion des premiers ministres sur l'économie a été très fructueuse. En cette période d'instabilité économique mondiale, la collaboration et la stabilité au Canada sont d'une importante toute particulière. Le message que les Canadiens nous envoient en ce moment est clair. Ils veulent que tous les gouvernements travaillent ensemble dès maintenant «, a dit M. Harper. «C'est la meilleure rencontre que j'ai eue avec un premier ministre du Canada en cinq ans. Il y avait un véritable désir de travailler ensemble «, a renchéri le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, qui a souvent été à couteaux tirés avec Ottawa depuis que M. Harper est au pouvoir. Mais M. Harper a toutefois clairement fait savoir après la rencontre que la marge de manoeuvre financière d'Ottawa était limitée maintenant et qu'il serait impossible de donner suite à toutes les demandes des provinces. «J'ai indiqué que nous allons avoir un surplus cette année, mais pour les années à venir, nous avons une situation d'incertitude énorme. Je pense que la grande majorité des provinces sont dans la même situation. Même si tout le monde a des demandes et des préférences de dépense, tout le monde comprend () que nous devons gérer l'argent prudemment «, a dit M. Harper. Avant la rencontre, le premier ministre du Québec, Jean Charest, a énuméré une panoplie de mesures que pourrait prendre Ottawa en ces temps d'incertitude économique. Il a soutenu que le gouvernement Harper devrait mettre sur pied un nouveau programme d'aide à l'industrie forestière et au secteur manufacturier ; modifier la Loi sur l'assurance-emploi afin de permettre à des chômeurs de continuer à recevoir des prestations s'ils suivent des cours de formation; soutenir davantage le marché de crédit au pays pour aider les entreprises à obtenir des prêts ; conclure de nouveaux traités de libre-échange avec d'autres partenaires, notamment l'Union européenne. M. Charest a aussi plaidé pour la construction d'un train rapide dans le corridor reliant la ville de Québec à celle de Windsor. De son côté, Dalton McGuinty a plaidé que l'Ontario et le gouvernement fédéral travaillent ensemble pour concocter un urgent plan d'aide au secteur de l'automobile, un plan qui permettrait d'offrir des garanties de prêts aux grands constructeurs qui sont acculés au bord de la faillite. «Le secteur automobile est l'épine dorsale du secteur manufacturier en Ontario. On parle ici de 400 000 emplois directs ou indirects. Ce secteur est vital pour 12 villes en Ontario», a dit M. McGuinty. Pour sa part, le premier ministre du Manitoba, Gary Doer, a soutenu qu'il faut de toute urgence prendre des mesures pour protéger les fonds de pension des travailleurs. Prenant une pause dans sa campagne électorale, Jean Charest est ressorti de la rencontre des premiers ministres «encouragé», mais sans engagement de la part de son homologue fédéral. «Ce n'était pas une réunion où le gouvernement fédéral venait pour prendre des engagements, c'était très clair au point de départ. Il n'a jamais été question de signer des ententes «, a concédé M. Charest. Toutefois, il a dit que plusieurs «consensus» se sont dégagés de la rencontre, sur les moyens à prendre par les gouvernements pour réduire les impacts négatifs de la crise financière. M. Charest a ajouté que M. Harper avait été, selon lui, «attentif» aux demandes de Québec, notamment l'accélération des investissements en infrastructures et la révision des règles pour les régimes d'épargne-retraite. Les chefs des partis de l'opposition, eux, en ont profité pour reprocher au premier ministre Charest d'être revenu bredouille de la rencontre. «Il est rentré en TGV, il est sorti en trottinette», a illustré le chef de l'ADQ, Mario Dumont. De passage à Mascouche, la chef du Parti québécois, Pauline Marois, a été aussi sévère. «Jean Charest s'est écrasé encore une fois. Il avait fait une belle liste de demandes durant la campagne fédérale. Et il l'a oubliée à Québec. Il était devenu nationaliste M. Charest, mais à la sortie de sa rencontre à Ottawa, il l'était moins.»
  22. Même les mariages les plus solides ne résistent pas toujours à l'épreuve du temps. Après 20 ans à la Banque Nationale, l'économiste en chef Clément Gignac quitte l'institution financière québécoise afin de mettre le cap vers Ottawa. Pour en lire plus...
  23. Nortel sheds 1,300 jobs as losses mount Bert Hill, Canwest News Service Published: 3 hours ago OTTAWA - Nortel Networks announced 1,300 more layoffs Monday, the departure of several top executives, and pay and hiring freezes as it struggles with tough economic conditions and internal trouble. The company also announced big write-downs of assets and other costs, which drove losses to $3.41 billion in the third quarter ending in September, compared to a profit of $27 million a year earlier and almost 30 times the losses of $113 million in the June quarter. Sales fell 14 per cent to $2.32 billion and the company warned that overall sales for the full year will fall by four per cent, at the low end of a major warning announcement in September. Nortel said that chief technology officer John Roese will leave the company Jan. 1. He is the top executive responsible for the 4,600-employee Ottawa operation. Other people leaving include chief marketing officer Lauren Flaherty, global services president Dietmar Wendt, executive vice-president global sales Bill Nelson and chief legal officer David Drinkwater. In addition to more than 2,000 job cuts announced earlier this year, Nortel said another 1,300 jobs will be eliminated, with 25 per cent of the cuts this year and the balance in 2009. Nortel said that 1,200 jobs still have to go from the earlier rounds of layoffs. "In September, we signalled our view that a slowdown in the market was taking place. In the weeks since, we have seen worsening economic conditions, together with extreme volatility in the financial, foreign exchange and credit markets globally, further impacting the industry, Nortel and its customers," said chief executive officer Mike Zafirovski. "We are therefore taking further decisive actions in an environment of decreased visibility and customer spending levels."
  24. Péréquation - Ottawa versera moins au Québec l'an prochain Le Devoir Alec Castonguay Édition du mardi 04 novembre 2008 L'Ontario entre dans le club des provinces pauvres et recevra une aide de 347 millions. Confronté à des finances publiques qui se dégradent rapidement, le gouvernement Harper a annoncé hier qu'il modifiait la formule de péréquation pour ralentir la croissance des coûts de ce programme destiné aux provinces. Résultat: le Québec est légèrement désavantagé. Par contre, l'Ontario touchera pour la première fois de la péréquation, faisant ainsi son entrée dans le club des provinces pauvres au pays. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, rencontrait ses homologues provinciaux hier à Toronto pour faire le point sur la crise financière et le ralentissement économique. C'est à la toute fin d'une réunion de trois heures qu'il a prévenu les autres ministres que le gouvernement du Canada changeait sa formule de péréquation. Jim Flaherty a non seulement attendu qu'il reste cinq minutes à la réunion avant d'annoncer ses intentions, mais il n'a pas davantage expliqué en quoi consistent les nouveaux paramètres de calcul utilisés par Ottawa. Tout au plus a-t-il dit que les «principes» restent les mêmes. Cette précipitation a semblé surprendre la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget. «On ne connaît pas la nouvelle formule. On nous a seulement donné un chiffre pour l'année prochaine. Nos fonctionnaires vont travailler pour trouver la formule, question de mieux comprendre», a-t-elle dit. Le ministre ontarien des Finances, Dwight Duncan, ne semblait pas plus heureux du peu d'explications fournies par Ottawa. «Ça ne montre pas une ouverture au dialogue», a-t-il dit. Le programme fédéral de péréquation permet, grâce à une formule complexe, de calculer la richesse de chaque province canadienne (sa capacité fiscale) et de venir en aide à celles qui sont plus pauvres que la moyenne, et ce, afin de réduire les disparités régionales dans les services offerts. Le hic, c'est que la valeur des ressources naturelles est désormais incluse en partie dans le calcul. Avec la flambée des prix du pétrole et du gaz, les écarts entre les provinces riches (Alberta, Saskatchewan) et les moins nanties (Québec et Ontario) se sont creusés, avec pour résultat qu'Ottawa a dû verser des sommes plus importantes pour les combler. Or, Ottawa ne veut plus que la facture de ce programme bondisse de 10 à 15 % par année. Jim Flaherty souhaite que la hausse des paiements aux provinces reflète davantage la croissance réelle de l'économie canadienne. «Les Canadiens vont être d'accord que c'est la chose responsable à faire», a dit Jim Flaherty hier. Surtout, ajoute-t-il, que 70 % de la population canadienne vit maintenant dans une province qui reçoit de la péréquation, étant donné que l'Ontario recevra une part de la cagnotte. «La réalité, c'est que c'est impossible de soutenir une croissance de 15 % par année.» Inévitablement, ce changement fait des gagnants et des perdants. «Je pense que mes collègues ont compris, a dit Jim Flaherty. Mais c'est sûr que les gens en veulent toujours plus, et il faut s'y attendre.» Le Québec perdant Au chapitre des perdants figure le Québec, dont la péréquation représente près de 12 % des revenus annuels. Le changement d'Ottawa privera la province d'environ 50 millions de dollars en 2009-10. Il s'agit d'une baisse par rapport aux projections, mais pas d'une réduction nette, puisque le programme continue à croître. Ainsi, le Québec touchera 8,355 milliards de dollars grâce à la péréquation en 2009-10, comparativement à 8,028 milliards cette année. Une hausse de 327 millions de dollars. La perte de 50 millions n'a d'ailleurs pas semblé offusquer la ministre Monique Jérôme-Forget. «On a toujours fait des évaluations conservatrices sur ce qu'on pensait recevoir», a-t-elle dit. Selon la ministre, qui fera le point sur l'état des finances du Québec aujourd'hui, la modification d'Ottawa est «une approche raisonnable» dans le contexte actuel. «Un gouvernement ne peut pas faire face à des coûts exorbitants en hausse.» Elle dit néanmoins rester vigilante pour les années à venir. Bien conscient que la péréquation a été utilisée pour régler en grande partie le déséquilibre fiscal, Jim Flaherty a promis hier que ce programme continuerait de croître dans les prochaines années, même si le rythme est plus lent. L'Ontario gagnant Le programme de péréquation coûtera 14,2 milliards de dollars au gouvernement fédéral en 2009-10. C'est 600 millions de plus que cette année. Et une bonne partie de cette somme prendra le chemin de l'Ontario, qui touchera des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire. La province recevra 347 millions en 2009-10. Ce changement témoigne avec éloquence du déplacement de la richesse au pays. L'Ontario, responsable de 40 % du PIB canadien, est maintenant une province qui a besoin de l'argent du fédéral pour assurer des services équivalents à sa population, alors que les provinces riches en ressources naturelles, comme l'Alberta, la Saskatchewan, la Colombie-Britannique et Terre-Neuve, ne toucheront pas de péréquation en 2009-10. Le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, semblait presque gêné de cette situation hier. «Je ne pense pas que ça va durer longtemps», a-t-il dit. Depuis la mise en place de ce programme, il y a 51 ans, l'Ontario s'est qualifiée techniquement à cinq reprises pour recevoir de la péréquation, mais n'a jamais touché d'argent. L'Ontario, qui a longtemps été le moteur économique du Canada, est en pleine tourmente, avec un secteur manufacturier en difficulté et un secteur de l'automobile en décroissance. Jim Flaherty, qui a été ministre des Finances de l'Ontario sous le gouvernement de Mike Harris, a dit être «inquiet» pour sa province. «Oui, ça m'inquiète, a-t-il dit. Mais la réalité est que l'Ontario y a droit et que, malheureusement, la province pourrait y avoir droit pour encore un moment. [...] En tant qu'ancien ministre provincial, ça me fait quelque chose de voir ça.» L'Ontario prévoit faire un déficit de 500 millions de dollars pour l'année en cours, qui prendra fin le 31 mars prochain. Le premier ministre de Terre-Neuve, Danny Williams, a dit que c'était un jour heureux pour sa province, qui ne touchera pas de péréquation pour la première fois de son histoire, notamment grâce aux revenus du pétrole et du gaz. Il a dit comprendre le sentiment des Ontariens. «On sympathise. On comprend c'est quoi faire face à une économie en difficulté», a-t-il dit. M. Williams estime que les Terre-Neuviens ont réussi à relancer leur économie et que cela mérite le respect de tous. «Je pense que les blagues de "Newfie", c'est terminé», a-t-il lancé. Excellent commentaire de Jaques Noël sur le site du Devoir : Comment l'Ontario, qui envoie plus de 20 milliards à Ottawa qu'elle n'en reçoit en retour, peut maintenant recevoir de la péréquation, le BS du Canada? C'est que le vrai BS est à Ottawa... Depuis des années, les Feds ont réussi habilement à nous faire accroire qu'on était tellement, mais tellement pauvres au Québec, que les riches Albertains et Ontariens, par pure solidarité canadienne (ils nous aiment tant) nous envoyaient un beau tchèque annuel de 8 milliards pour payer l'épicerie à Monique. Cest l'une des plus grandes légendes urbaines du fédéralisme canadien. D'abord le fric ne vient pas de l'Ontario et de l'Alberta mais bien d'Ottawa. Le 8 milliards fait partie d'une enveloppe de 14 milliards distribuées en péréquation à 6 provinces. Per capita les Québécois sont ceux qui reçoivent le moins(présentement) Ottawa lève 240 milliards en taxes et impots, coast to coast. Mais Ottawa ne redistribue pas tout le magot, loin de là. Ottawa fait disparaitre 50 milliards de dollars. Et c'est là l'attrape, trop longtemps caché. En gros 35 milliards va au paiment de la dette, 10 vont aux surplus (du temps des surplus s'entend) et 5 à l'aide internationale. Il redistribue ensuite les 190 milliards et nous fait accroire que l'on vit le fédéralisme rentable. Le problème évidemment est du coté des souverainistes qui ont été, jusqu'ici, incapables d'expliquer tout ça en langage simple.
  25. L'Ontario touchera des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire l'an prochain, une situation que l'on jugeait impensable tant à Ottawa qu'à Toronto il y a à peine trois ans. Pour en lire plus...
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