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  1. L'avertissement des banques à l'Ontario Mise à jour le mercredi 17 décembre 2008, 15 h 25 . Les grandes banques canadiennes affirment que l'Ontario perdra des emplois si le gouvernement n'abaisse pas son impôt aux sociétés. Dans un document présenté dans le cadre des consultations prébudgétaires, l'Association des banquiers canadiens (ABC) réclame que le taux d'imposition passe de 14 % à 10 %. Une baisse de quatre points de pourcentage représenterait 6 milliards de dollars de moins dans les coffres de la province. La présidente de l'ABC, Nancy Hughes Anthony, évoque le manque supposé de compétitivité de la province et laisse entendre que des emplois dans le domaine des affaires pourraient être perdus si Queen's Park ne se conforme pas à sa prescription. Interrogé à ce sujet mercredi matin à Saskatoon, le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, bouillait de rage. « Je rappellerai aux grandes banques que nous éliminons la taxe sur le capital et que des gens perdent leurs emplois tous les jours. Je ne crois pas que les menaces soient la bonne façon de faire des affaires. - Dwight Duncan, ministre des Finances de l'Ontario » Le premier ministre Dalton McGuinty a réagi plus posément en suggérant aux banques de recommencer à accorder des prêts financiers aux entreprises si elles souhaitent réellement aider l'économie. M. McGuinty ajoute que si l'Ontario envoyait moins d'argent à Ottawa, sa province pourrait accélérer les diminutions d'impôts aux entreprises. À Queen's Park, seuls les conservateurs croient que le gouvernement devrait réduire son impôt aux sociétés. Mais ils ajoutent que les grandes banques pourraient contribuer à stimuler l'économie si elles refilaient en entier à leurs clients les baisses de taux décrétées par la Banque du Canada. Extrait vidéoAppel aux banques pour faciliter le passage de la crise, explique Christian Grégoire.
  2. Le ministre fédéral des Finances a critiqué les banques canadiennes en leur reprochant de ne pas prêter assez d'argent, alors que le gouvernement a multiplié les efforts pour qu'elles aient accès à «des liquidités adéquates». Pour en lire plus...
  3. Les grandes banques canadiennes provoquent la colère du ministre des Finances en affirmant que l'Ontario perdra des emplois s'il ne réduit pas l'impôt aux sociétés de 4%. Pour en lire plus...
  4. Au terme d'une rencontre avec ses homologues des provinces et territoires, le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, déclare que le Canada connaîtra un déficit en 2009. Pour en lire plus...
  5. Le ministre des Finances anticipe maintenant un recul du PIB de 0,4% alors que ses prévisions un mois plus tôt faisait état d'une augmentation de 0,5%. Pour en lire plus...
  6. Le ministre saoudien du pétrole annonce que l'OPEP réduira de 2 millions de barils sa production quotidienne de brut. Pour en lire plus...
  7. Le gouvernement canadien est prêt à aider le secteur automobile du pays, a déclaré vendredi le ministre des Finances Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  8. Le ministre des Finances a affirmé qu'il croyait être «capable» de répondre aux demandes d'aide financière des trois grands constructeurs automobiles qui totaliseraient 6,8 G$. Pour en lire plus...
  9. Le ministre fédéral d'État à l'Agriculture affirme que le gouvernement conservateur fera tout pour défendre le système de gestion de l'offre à l'OMC. Pour en lire plus...
  10. Le premier ministre Stephen Harper se trompe en ne lançant pas un programme massif d'investissements pour aider à relancer l'économie canadienne, soutient l'investisseur milliardaire Stephen Jarislowsky. Pour en lire plus...
  11. Conservateur : Énoncé économique - Un affront à l’intelligence Jean-Robert Sansfaçon Éditorial - Le Devoir vendredi 28 novembre 2008 L’énoncé économique et financier présenté par le ministre des Finances, Jim Flaherty, est une insulte aux Canadiens en ces temps qui s’annoncent difficiles. Alors que le monde entier se serre les coudes pour combattre la crise financière et relancer l’économie, le gouvernement Harper profite de la situation pour accélérer l’application de son modèle idéologique libéral à l’appareil d’État fédéral. Il n’aura fallu que quelques semaines au gouvernement Harper pour faire la preuve de son aveuglement idéologique devant la crise mondiale qui menace. À croire que ce gouvernement a embauché les conseillers de George W. Bush qui ont perdu leur job ! Malgré les données contenues dans les documents rendus publics hier, qui montrent que le pays est d’ores et déjà entré dans une phase de ralentissement, le ministre Flaherty a plutôt choisi de s’attaquer non pas à la crise, mais aux organismes fédéraux et à tous les syndiqués de la fonction publique. Sans aucune consultation, les conservateurs promettent d’abord de fixer les salaires eux-mêmes et de renvoyer l’application de l’équité salariale à la négociation des conventions collectives de travail, et pour être certains qu’il n’y aura pas de difficultés, ils suspendent le droit de grève de ces mêmes employés jusqu’en 2011 ! Du même souffle, ils annoncent qu’ils vont sabrer les programmes, les budgets des institutions fédérales et jusque les paiements de péréquation aux provinces, et comme pour se venger du résultat des dernières élections, ils annulent le financement public des partis politiques fédéraux, une formule qu’ils rendent sans doute responsable de leur échec à devenir un gouvernement majoritaire. La seule préoccupation économique de ce gouvernement Harper nouvelle mouture, ce n’est donc pas de contrer la menace qui plane sur le pays, mais de poursuivre son oeuvre de réduction de l’État en comprimant les dépenses au pire moment possible. N’y a-t-il pas assez du secteur privé pour agir de la sorte ? Pourquoi faut-il que celui dont nous étions en droit de nous attendre à une longue liste de mesures destinées à stimuler l’emploi et la consommation se lance ainsi dans une campagne de compressions budgétaires tous azimuts ? Rien dans la mise à jour économique du ministre des Finances n’encourage la relance de l’économie. Ce n’est pas nécessaire, croit-on, puisqu’il y a ces baisses d’impôt et de TPS qui ont été décrétées par le passé. Or, si ces mesures ont pu stimuler la consommation au cours des dernières années, elles ont évidemment perdu l’effet de nouveauté susceptible d’inciter les ménages à devancer une décision d’achat maintenant que la confiance a fondu. Les seuls points positifs de cette mise à jour sont si minces — on pense notamment à l’aide ponctuelle aux retraités — qu’ils n’auraient même pas mérité d’être relevés si l’exercice d’hier avait eu le moindrement de contenu. Au chapitre des revenus budgétaires, le ministre Flaherty s’attend à une chute de 3,2 milliards pour l’année en cours, en comparaison avec les prévisions faites lors du budget du printemps dernier, puis de 9 milliards l’an prochain et de 8 milliards en 2010 ! Or, au lieu d’annuler les réductions d’impôt sur les profits destinées à faire du Canada le pays où ils seront les plus bas parmi les membres du G7 en 2012, il choisit de réduire ses dépenses. Pourtant, ce n’est pas d’une baisse de l’impôt sur les profits que l’industrie a besoin dans une période comme celle-ci, mais d’une aide à l’investissement stratégique, à la recherche et à la formation ! Il y a deux semaines, à Washington, tous les pays du G20, dont le Canada, ont donné leur accord à un plan mondial de stimulation massive de l’économie. Depuis ce temps, l’Europe, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Chine ont annoncé des plans de relance spectaculaires. Il y a quelques jours, c’était au tour du Fonds monétaire international de demander aux pays industrialisés de consacrer au moins 2 % de leur produit intérieur brut à la relance, à commencer par ceux qui ont le moins de difficultés structurelles, comme le Canada. Aujourd’hui, nous connaissons la réponse du gouvernement Harper : un beau gros rien tout nu, enveloppé dans du papier émeri ! Malgré la faillite de l’industrie forestière et l’écrasement de l’industrie de l’auto, malgré la faiblesse de la demande dans le secteur des ressources naturelles et la baisse continue des exportations, l’équipe Harper est en train de faire la preuve que les Canadiens, et les Québécois, avaient entièrement raison de ne pas lui confier un mandat majoritaire.
  12. Le ministre des Finances du Nouveau-Brunswick, Victor Boudreau, prévoit un déficit de 285 millions de dollars pour l'exercice 2008-2009 en raison de la conjoncture économique mondiale. Pour en lire plus...
  13. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a maintenu samedi ses quotas de production inchangés à 27,3 millions de barils par jour, a annoncé le ministre algérien du pétrole, Chakib Khelil, à l'issue d'une réunion «consultative» du cartel au Caire. Pour en lire plus...
  14. Pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation 28 novembre 2008 - 12h44 La Presse Canadienne SEPT-ILES _ Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation versés à Québec, avec la complicité du gouvernement de Jean Charest qui savait mais n'a rien fait, selon la chef péquiste, Pauline Marois. Mme Marois s'est montrée outrée, vendredi, des pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec à la suite de la présentation, jeudi, de l'énoncé économique du gouvernement de Stephen Harper. En point de presse dans une usine de Sept-Iles, Mme Marois a tracé un lien direct entre le document fédéral et l'énoncé économique déposé par la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget, la veille du déclenchement des élections québécoises. Selon elle, Québec savait ce qui se tramait à Ottawa mais a manipulé l'opinion publique, en présentant des données erronées à des fins partisanes. La ministre Jérôme-Forget et le premier ministre Charest ne pouvaient pas ignorer l'ampleur des coupes imposées au Québec au moment de rédiger leur propre énoncé budgétaire, a insisté la chef du Parti québécois. Jean Charest aurait hâté la tenue du scrutin, a-t-elle soutenu, pour cacher des mauvaises nouvelles à la population, dont celle-là. Le chef libéral n'a plus aucun rapport de forces vis-à-vis Ottawa, conclut-elle. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/11/20081128-124423.html
  15. Des attentats secouent Bombay http://www.radio-canada.ca Au moins 78 personnes ont été tuées et 200 autres blessées, mercredi soir, dans une série de tirs et d'explosions, en différents endroits de la ville de Bombay, en Inde. Le commissaire de police pour les chemins de fer à Bombay, A.K. Sharma, affirme que plusieurs hommes armés de fusils d'assaut AK-47 ont fait irruption dans le hall de la gare centrale Chhatrapati Shivaji et ont ouvert le feu et lancé des grenades. Des attaques semblables ont été perpétrées dans un hôpital, un commissariat, les hôtels de luxe Taj-Mahal et Oberoi, dans un autre hôtel, et dans un restaurant, le Leopold's, très fréquenté par les touristes. Des assaillants seraient encore retranchés dans les deux hôtels et détiendraient des otages, affirme un haut responsable de la police. Des chaînes de télévision indiennes rapportent que des militaires, appelés en renfort, ont pénétré à l'intérieur de l'hôtel Oberoi. Selon l'agence Reuters, un parlementaire européen a raconté que plusieurs députés européens se trouvaient toujours à l'intérieur de l'hôtel Taj Mahal, qui est en flamme. Un client britannique de cet hôtel a par ailleurs déclaré à la chaîne indienne NDTV que les agresseurs cherchaient des détenteurs de passeports britanniques ou américains. D'autres chaînes de télévision ont rapporté que des Occidentaux sont retenus en otage. Des ressortissants coréens se trouvent aussi à l'intérieur de l'hôtel, ont déclaré leurs chauffeurs, qui les attendaient à l'extérieur. Le directeur du Bureau du Québec à Bombay, Benoît-Jean Bernard, a témoigné des événements à RDI, en après-midi: « Le premier ministre et le ministre de la Sécurité sont apparus dans les médias pour indiquer qu'il s'agissait d'un assaut mené contre la ville, la capitale financière, dans une nouvelle manière de terroriser. Ce ne sont plus des attentats-suicides, ce sont des groupes armés. On les estime à plusieurs dizaines, peut-être même à 200 qui se sont répandus dans la ville. Et ce n'est pas 9, c'est 12 endroits où il y a eu des tirs, des échanges de feu. Il vient d'y avoir deux morts dans un hôpital tué par des terroristes, et il y a 20 otages étrangers qui sont au 18e étage de l'hôtel Oberoi où il y a également des incendies, et un troisième hôtel a été la cible, il y a une heure, d'attentats 20 km au nord du centre-ville ». C'est le chaos actuellement dans la ville, et les pompiers, policiers et militaires sont sous un pied d'alerte. Les autorités de Mumbai affirment qu'au moins quatre assaillants ont été tués et neuf autres capturés. La capitale financière de l'Inde a été maintes fois la cible d'attaques. En juillet 2006, des attentats simultanés contre des trains de banlieue et des gares avaient fait plus de 200 morts. Le Press Trust of India affirme qu'un groupe islamiste se faisant appeler les Moudjahidines du Deccan a revendiqué les attentats. Le groupe est peu connu, et le journal rapporte qu'il avait envoyé des courriels à plusieurs médias pour revendiquer l'attentat. Ottawa condamne l'attentat À Ottawa, le ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon,a fortement condamné, lors d'une courte conférence téléphonique, ces « lâches attentats », en présentant ses condoléances aux familles et amis des victimes. « Nous collaborons avec les autorités indiennes pour porter assistance à tous les Canadiens qui auraient pu être directement touchés lors de ces événements », a-t-il ajouté. Selon les dernières informations dont disposait Ottawa en fin d'après-midi, mercredi, « aucun Canadien n'a été blessé ou tué lors de ces attaques », a précisé M. Cannon.
  16. Le ministre fédéral des Finances n'annoncera pas de plan de relance, jeudi, lors de sa mise au point économique, même s'il s'attend à ce que la situation économique du pays se détériore. Pour en lire plus...
  17. Le gouvernement fédéral examine des projets d'infrastructure qui pourraient être lancés rapidement pour minimiser l'impact de la récession qui menace l'économie canadienne, a annoncé le ministre des Finances. Pour en lire plus...
  18. 24 novembre 2008 - 14h43 Agence France-Presse Le Canada examine des projets d'infrastructure qui pourraient être lancés rapidement pour minimiser l'impact de la récession qui menace l'économie canadienne, a annoncé lundi le ministre canadien des Finances, Jim Flaherty. M. Flaherty a déclaré que le Canada «n'est pas pour l'instant en récession» mais pourrait bien s'y retrouver d'ici le printemps prochain. «Les temps sont incertains et la situation économique ne s'améliore pas», a-t-il dit. Le gouvernement canadien a reconnu pour la première fois ce week-end que le Canada pourrait connaître une récession. M. Flaherty doit faire le point jeudi sur la situation financière et économique du pays. M. Flaherty a indiqué qu'il avait discuté la semaine dernière avec le Premier ministre Stephen Harper de projets d'infrastructure qui pourraient être rapidement lancés «pour créer des emplois et stimuler l'activité économique». «Le Canada entre dans cette période de ralentissement économique dans la meilleure position de tous les pays industrialisés du monde parce que nous avons été prudents et responsables au cours des trois dernières années», a-t-il ajouté. «Nous avons remboursé 37 G$ de dettes. Le crédit du gouvernement du Canada est le meilleur au monde et nous sommes certainement en position comme gouvernement pour adopter plusieurs mesures, nous avons une bonne marge de manoeuvre et (...) nous examinons des mesures, outre des projets d'infrastructure, que nous pourrions adopter pour stimuler l'économie». Le Canada est actuellement frappé par le recul de ses exportations vers les États-Unis, son principal partenaire commercial, ainsi que par la chute du prix des matières premières, dont il est un exportateur net. M. Flaherty a par ailleurs réitéré qu'Ottawa ne viendrait en aide aux filiales canadiennes des trois grands groupes automobiles américains que si ceux-ci présentaient un plan de survie crédible. On leur envoi une liste?????
  19. Le ministre des Finances et le premier ministre reconnaissent maintenant la possibilité d'une récession au pays au printemps 2009, mais tentent de se faire rassurant sur leurs intentions économiques. Pour en lire plus...
  20. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, affirme que l'économie canadienne pourrait être sur le point de glisser dans une récession «technique». Pour en lire plus...
  21. Publié le 21 novembre 2008 à 20h09 | Mis à jour à 20h13 Les conservateurs vont réduire le budget de Radio-Canada Bruce Cheadle La Presse Canadienne Ottawa Les partis de l'opposition reprochent au gouvernement conservateur d'amadouer le public alors qu'il se prépare à faire des coupures dans le budget du réseau de Radio-Canada, sa cible idéologique préférée. Les libéraux et les néo-démocrates affirment que le gouvernement de Stephen Harper a déjà commencé à préparer le terrain, évoquant une économie en difficulté et des renseignements sur les dépenses exécutives du réseau divulguées en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. Dans un premier temps, le ministre des Finances, Jim Flaherty, a rappelé la fin de semaine dernière la subvention fédérale d'un milliard de dollars que reçoit annuellement Radio-Canada. Alors qu'il se trouvait à Winnipeg, M. Flaherty soulevait l'idée de vendre des actifs fédéraux pour équilibrer le budget du gouvernement. Une lettre sévère du ministre du Patrimoine, James Moore, a par la suite mis en garde la direction de Radio-Canada de freiner ses dépenses, après qu'un «excédent rapporté» eut été distribué dans divers succursales du média, mercredi. Une série d'histoires concernant les dépenses pour l'année 2006 du président des services français de Radio-Canada, Sylvain Lafrance, avaient également attiré d'autres critiques au radiodiffuseur public, qui est jugé par certains comme étant trop dépensier. Radio-Canada a depuis répliqué que les dépenses ne dépassaient pas les limites établies par la société. Une note à l'interne, rédigée par le président de Radio-Canada, Hubert Lacroix, et distribuée au personnel cette semaine, qualifiait certaines des histoires rapportées dans les médias de «contenu sale, hors contexte» qui mélangeait les dépenses personnelles de M. Lafrance aux dépenses qu'il a déclarée comme étant corporatives. La porte-parole du Nouveau Parti démocratique en matière de patrimoine, Libby Davies, a dénoncé que les messages successifs témoignent d'un gouvernement qui «prépare le terrain» pour frapper d'un dur coup son soufre-douleur. Le député libéral Scott Brison a quant à lui déploré qu'au moment même où les conservateurs augmentent les dépenses fédérales, ils démontrent une volonté de procéder à une diminution des dépenses basée sur des motifs idéologiques. M. Brison a par ailleurs prédit que l'approche d'une récession servirait d'excuse à d'autres coupures.
  22. Le premier ministre et son ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, comptent promouvoir le libre-échange comme antidote au marasme économique lors du sommet de l'APEC, qui s'ouvre samedi, au Pérou. Pour en lire plus...
  23. L'industrie automobile de l'Ontario va perdre de son ampleur et d'autres d'emplois vont disparaître même si les constructeurs en difficulté reçoivent de l'aide publique, a affirmé le premier ministre de la province. Pour en lire plus...
  24. Le ministre fédéral de l'Industrie rencontrera les dirigeants des constructeurs automobiles à Detroit pour discuter de mesures d'aide. Pour en lire plus...
  25. Le premier ministre Stephen Harper a pris acte hier du nouvel ordre mondial engendré par la crise financière internationale et, par le fait même, du sommet que les pays les plus industrialisés ont tenu avec les pays émergents. Pour en lire plus...
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