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  1. http://www.groupebourgouin.com/cachemire.html Au coeur des Jardins Angora, Les Tours Cachemire est un projet de 80 unités de condominiums qui conjuguent deux vues, l’une sur la tranquillité de la magnifique forêt d’un parc de conservation naturel, l’autre sur Montréal, sa vie culturelle et ses services. --- TERREBONNE, LE JEUDI 11 JUIN 2015 – Le maire de Terrebonne, M. Jean-Marc Robitaille, accompagné des membres du conseil municipal et du président du Groupe Bourgouin, M. Robert Bourgouin, a fièrement procédé jeudi, en fin d’après-midi, à la pelletée de terre inaugurant officiellement les travaux de construction d’un projet résidentiel d’envergure développé par le Groupe Bourgouin au cœur des Jardins Angora. La première des « Tours le Cachemire », un projet de condos, comprendra 84 unités de logement sur 14 étages, dont 6 penthouses.
  2. 17,4 M$ pour rénover le centre récréatif de Montréal-Est Par Samantha Velandia TC Media Les membres du conseil municipal ont opté pour la rénovation du centre récréatif Édouard-Rivet qui devrait coûter près de 17 M$. Les élus qui avaient flirté avec la possibilité de la relocalisation et reconstruction d’une nouvelle bâtisse, ont écarté cette idée après avoir été informés que le centre récréatif actuel, était encore en bon état. «Nous sommes agréablement surpris d’apprendre que le bâtiment est structurellement sain, et que des rénovations sont non seulement envisageables, mais souhaitables puisque nombre des matériaux utilisés durant la construction sont plus durables que ceux utilisés de nos jours», dit Francine McKenna, directrice des communications à la municipalité. Elle ajoute qu’une telle solution est aussi plus favorable aux principes de développement durable. «La rénovation est moins génératrice de débris que la démolition», affirme Mme McKenna. Rappelons qu’au mois de janvier, la municipalité avait annoncé la relocalisation et reconstruction de deux bâtiments municipaux, soit le centre récréatif et le garage municipal. Le coût des travaux était alors estimé à 45,5 M$. Depuis, une étude de faisabilité relative à la rénovation du centre récréatif, confiée à la firme MACOGEP, a été divulguée. Selon les sommaires décisionnels du dernier conseil municipal, les résultats de l’étude en question ont recommandé de retenir le scénario de la rénovation car cela favoriserait la préservation d’un bâtiment significatif en plus de privilégier le développement durable. On recommande également de rénover plutôt que de reconstruire afin d’alléger la dette à long terme et de diminuer le coût global des travaux. La piscine priorisée Mme McKenna, de la municipalité, explique que des appels d’offre seront lancés au cours des mois de novembre et de décembre. Les travaux qui devraient commencer au mois d’août 2016, s’échelonneront sur une période de 12 mois. La piscine, le gymnase et l’aréna seront rénovés. Certains espaces du centre récréatif seront également «repensés afin d’en accroître leur fonctionnalité», explique Mme McKenna. La directrice avance que l’échéancier des travaux sera conçu afin de minimiser l’impact sur les citoyens et ajoute que «la piscine sera toutefois priorisée et rouvrira dès que la rénovation sera terminée.»
  3. #12 - Montreal (Courtesy of GOOD) Read more The 50 cities they selected are quite interesting; #1 Hong Kong, #2 Johannesburg and #3 Mexico City.
  4. Publié le 7 Septembre 2011 Sandrine Béjanin Rive-Sud Express.ca Le conseil municipal de Brossard a voté un règlement permettant aux commerces situés sur le boulevard Taschereau, de part et d'autre de la rue Mario, de construire des bâtiments de plus de deux étages. Des citoyens touchés par cette mesure ont cherché à s'y opposer, mais le registre de signatures était inexistant à la mairie. En votant le règlement 203, le conseil municipal a voulu modifier le règlement de zonage 1642 applicable à la zone M01C, bordée par le boulevard Taschereau à l'ouest, le côté pair de la rue Malo à l'est, le croissant Marin au nord et la Place Mercure au sud. Avec le changement de réglementation, le zonage ne serait plus un frein pour les commerces qui souhaiteraient construire en hauteur. La réglementation existante constituait un obstacle au projet d'agrandissement du garage Montmorency Ford. Le directeur général de Montmorency Ford, M. Bélanger, a déclaré que le projet n'était pas finalisé, mais que le bâtiment serait agrandi et surélevé: deux étages avec stationnement ou trois étages. Les citoyens de la rue Malo craignent pour leur qualité de vie, déjà incommodés par le bruit du garage ouvert 24h/24. Pour eux, un bâtiment plus grand et plus haut signifie une vue directe des employés de Ford sur leur jardin ainsi qu'une perte de clarté et de soleil. Julie Deveau, Jean-Marie Beauvais et Marie-Jeanne Hernandez sont venus demander au conseil, le 4 juillet dernier, quels étaient leurs recours. Ils se sont vu répondre qu'ils pourraient faire une demande d'approbation référendaire en signant un registre. Le conseiller Antoine Assaf a été le seul à voter contre le projet de règlement «par respect pour les citoyens qui sont venus ici protester», a-t-il précisé. Sauf que le 18 juillet, quand Jean-Marie Beauvais est allé signer le registre à la mairie, quelle ne fut pas sa stupéfaction d'apprendre que le registre n'existait pas, «parce que les citoyens n'ont pas l'habitude de s'opposer», a-t-il reçu comme explication. Il a donc dû recueillir une cinquantaine de signatures des résidents de Malo, Mario et Mercure opposés au règlement 203 et demandant la tenue d'un référendum.
  5. After 57 years, it's bye-bye Ben's Sandwich shop is toast. Montreal landmark closed in December and now faces the wrecker's ball MARY LAMEY, The Gazette Published: Saturday, May 12, 2007 Ben's Restaurant, a Montreal landmark closed in December after a lengthy labour dispute, has been sold and will face the wrecker's ball. SIDEV Realty Corp. has purchased the three-storey building at the corner of Metcalfe St. and de Maisonneuve Blvd., from the Kravitz family. The deal is expected to close on June 18. The purchase price has not been disclosed. SIDEV plans to demolish the building and is examining various options for redeveloping the 6,000-square-foot site. One option would be to build a 12- to-15-storey boutique hotel with retail space on the lower floors, or condominiums, said SIDEV president Sam Benatar, who began discussions with the Kravitz family several months ago. Ben's Deli in 2006: The municipal tax roll pegs its value at $2.62 million.View Larger Image View Larger Image Ben's Deli in 2006: The municipal tax roll pegs its value at $2.62 million. "It's a very small site, but what an incredible location," Benatar said. His firm is also open to working with the Hines-SITQ partnership, which is planning a 28-storey office tower on the lot immediately east of Ben's. SIDEV has been in touch with the SITQ and expects to meet with the real estate development arm of the Caisse de depot et placement du Quebec to see whether they can work together. His firm is not planning to sell the land, Benatar said firmly. "We did not buy in order to sell, but we are open to discussing all possibilities." A spokesman for the SITQ said he was unaware of the transaction and doubted the developer would alter its project to incorporate the Ben's property. "We are moving ahead with the project we presented publicly last October," said Jacques-Andre Charland, the SITQ's director of public affairs. The Texas-based Hines Group purchased the parking lot immediately east of Ben's in 2004. It partnered with the SITQ, a major landlord, to build the $150-million project that was to virtually wrap around the restaurant, one of the last three-storey structures along the canyon of office towers on De Maisonneuve Blvd. W. Hines has said publicly that it had hoped to strike a deal to acquire the neighbouring land, too. The Kravitz family has vehemently denied that it was ever approached about selling. The family could not be reached for comment yesterday. Ben Kravitz opened a deli offering smoked meat on St. Lawrence Blvd. in 1908. The Metcalfe St. eatery, with its wrap-around illuminated sign, opened in 1950. The current municipal tax roll pegs the property's value at $2.62 million, including $1.96 million for the land and $660,700 for the building. "There's no question of leaving the building in place. It isn't worth anything," Benatar said. SIDEV owns and manages large office and commercial properties around Montreal, including the Gordon Brown building at 400 de Maisonneuve Blvd. W. in the fur district, the jewellery business hub at 620 Cathcart St. and a Chabanel district property at 9250 Park Ave. It is also moving ahead with a plan to demolish the Spectrum and build a $120-million retail and office project at the southeast corner of Bleury and Ste. Catherine Sts.
  6. Read more: http://www.montrealgazette.com/technology/Municipal+noise+limits+imposed+Parc+Jean+Drapeau/4839778/story.html#ixzz1NPXKEnKy :eek:
  7. Yves Boisvert le 8 novembre 2010 La Presse En écoutant le dernier épisode d'Enquête, on pourrait être absolument découragé du délabrement de la démocratie municipale au Québec. Il y a de quoi. Mais réjouissons-nous tout de même: la pourriture municipale est exposée. On a des noms, des dates, des faits. Ce qui ressort de cette série déprimante de portraits municipaux, c'est l'insignifiance des institutions de contrôle. Le Directeur général des élections manque toujours de preuve, le ministère des Affaires municipales est mou et tout continue comme avant. «Tout le monde» sait comment ça fonctionne... rien n'arrive. Comment se fait-il qu'encore une fois, ce sont des journalistes qui font le travail? On a vu, à visage découvert, l'entrepreneur Jean-Guy Ouellet dire à la caméra de Radio-Canada que le maire de Mascouche, Richard Marcotte, lui a demandé une maison gratuitement en échange d'un droit de construire. Rien que ça! On a vu le député péquiste de Masson, Guillaume Tremblay, dire qu'il a été intimidé par l'entrepreneur Normand Trudel, proche du maire de Mascouche. On n'a pas eu la version de MM. Marcotte et Trudel, qui ont refusé de répondre aux questions. En attendant, le reportage nous apprend que le maire de Mascouche a acquis pour 100 000$ deux copropriétés dans un nouveau complexe, copropriétés qu'il a revendues assez rapidement avec des profits de 35 000$ et 45 000$. Il a du flair, le maire. Se plaçait-il en conflit d'intérêts en achetant des copropriétés autorisées par son administration municipale? Ah, ça, on le saura quand la loi 109 aura été adoptée et un Code d'éthique des municipalités mis en vigueur, n'est-ce pas... Un code, c'est bien. Un sens de l'éthique, c'est mieux. *** La femme du maire de Sainte-Julienne, Marcel Jetté, travaille pour le cabinet d'avocats Dunton Rainville. Ce même cabinet a obtenu des contrats de la Ville. Ce n'est pas un crime, mais on aurait aimé voir le maire au moins reconnaître le début d'une apparence de conflit d'intérêts. C'était trop demander. Dunton Rainville, d'ailleurs, est un joueur majeur dans le monde municipal dans la grande région de Montréal. Dans plusieurs municipalités, le cabinet a des contrats de gestion des relations de travail et des mandats en droit municipal. Bien plus troublant encore, on voit que le monde municipal a conçu des stratégies pour soustraire au regard du public un certain nombre de projets. À Laval, où le monarque Gilles Vaillancourt règne depuis 21 ans, il n'y a aucun conseiller municipal de l'opposition. Zéro. Et le conseil municipal n'aime pas trop la contestation. La Ville a confié à un organisme à but non lucratif le projet d'une «Cité de la culture et des sports», évalué à près de 100 millions. Même s'il est dirigé par des hauts fonctionnaires de la Ville, l'organisme fonctionne hors du champ d'examen public. Enquête nous dit également que son conseil est composé de fonctionnaires municipaux. Son porte-parole est un avocat de Dunton Rainville payé par la Ville. S'il est vrai que les fonds injectés dans le projet sont publics à 80%, au nom de quoi permettrait-on que cet organisme ne soit pas public? *** Il y a 1104 municipalités au Québec. La moitié des maires y sont réélus par acclamation. Ils ne doivent pas être si mauvais. Mais là où il y a des élections, moins de la moitié des électeurs inscrits vont voter. L'intérêt et la surveillance des citoyens n'y sont tout simplement pas. On ne sera donc étonné qu'à moitié de voir la mollesse du ministère des Affaires municipales et du Directeur général des élections du Québec. Le meilleur exemple étant les élections clés en main?: comment des firmes de professionnels organisent des élections dans la région de Montréal en échange de contrats. Tout le monde le sait, on connaît les noms, on a les photos... un rapport a été fait là-dessus il y a bientôt 10 ans... mais personne n'a jamais été accusé. Manque de preuve hors de tout doute. Les projets de loi présentement à l'étude à Québec vont resserrer les règles. De nouveaux vérificateurs sont déjà à l'oeuvre pour enquêter sur les contrats municipaux. Mais ce n'est pas assez. Il faut centraliser dans un seul organisme la surveillance de la démocratie municipale, manifestement malade, et envoyer un signal clair. Tout comme les informations sur les contrats et appels d'offres - en ce moment disponibles ville par ville. Pourquoi un trottoir coûterait plus cher à Montréal qu'à Brossard? Les prix, les noms, les contrats doivent être connus de tous et facilement comparables. Voyez comment les prix des travaux municipaux ont chuté à Montréal. Pourquoi? Parce que les magouilleurs se sentent surveillés. À défaut de restaurer la vie démocratique municipale, qu'au moins on restaure la concurrence honnête. Ce sera déjà ça.
  8. La Ville de Montréal agit afin d'améliorer la qualité de vie des citoyens Source: Ville de Montréal Montréal, le 25 août 2010 - Monsieur Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable de l'administration générale, des finances, du développement durable, de l'environnement et des parcs, est heureux d'annoncer la vente à l'entreprise Remorquage Météor, au montant de 1,4 M$, d'un terrain municipal vacant situé du côté est du boulevard Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension. « La transaction permettra de mettre fin à une occupation problématique de l'entreprise dans un quartier résidentiel et de solutionner les nuisances avec lesquelles les gens du voisinage doivent composer. La qualité de vie de nos citoyens est primordiale et cette vente améliorera la situation, tant pour les résidants que pour l'entreprise », a déclaré M. DeSousa. Un meilleur site pour les activités de l'entreprise Rappelons que la firme Remorquage Météor, exploite actuellement un dépôt de remorquage d'autos saisies par les corps policiers du Service de police de la Ville de Montréal et de la Sûreté du Québec, ainsi qu'un autre qui dessert le ministère de Transports. L'emplacement actuel, situé sous le boulevard Métropolitain, dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, est mal adapté à ce genre d'activités. La Ville a travaillé à identifier un site qui réponde à ses besoins ainsi qu'à ceux de l'entreprise. Après l'étude de plusieurs sites potentiels, la Ville et Remorquage Météor ont convenu que étant le plus approprié est situé du côté est du boulevard Saint-Michel, entre la rue Bressani et le boulevard Industriel. Ce terrain, propriété de la Ville, est vacant de longue date. Le présent projet inclut aussi l'aménagement d'un écran de verdure entre le secteur résidentiel de la rue Bressani et le terrain cédé à l'entreprise Météor. Les coûts de cet écran de verdure seront défrayés à même les revenus de la vente du terrain. « Je remercie les employés de la Ville et de l'arrondissement et tous les élus qui ont appuyé ce projet. C'est un bel exemple d'une administration municipale à l'écoute de ses citoyens », a déclaré M. Frantz Benjamin, conseiller municipal du district de Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. La promesse d'achat oblige l'acquéreur à y construire un bâtiment dans un délai de neuf mois suivant la signature officielle de l'acte de vente. La compagnie s'engage également, au plus tard 15 mois après la signature de l'acte de vente, à n'effectuer ses opérations de remorquage et de fourrière qu'à partir du nouveau site. Plutôt que de retrancher du prix de vente les coûts de la décontamination, la Ville s'est engagée à décontaminer, à ses frais, le terrain afin de respecter les critères environnementaux du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs pour un usage commercial ou industriel. Cette solution s'étant avérée plus économique. « Les citoyens nous ont envoyé un message clair en se mobilisant pour faire déplacer cette fourrière et grâce aux efforts de l'administration Tremblay et du conseil d'arrondissement nous pouvons aujourd'hui nous réjouir d'avoir répondu à leurs attentes », a conclu M. Frank Venneri, conseiller municipal du district de François-Perrault dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
  9. Il y a un erreur dans mon titre, elle date de 1914. En 1993-1995, à la suite de la cessation du service de la ligne Montréal-Deux-montagnes, la ville de Mont Royal hérita de la locomotive GE boxcab #6712, dans le but de la restaurer. Elle fait partie des première locomotives à avoir traverser le tunnel du Mont-Royal.Plusieurs musée obtenu des locomotives du même modèle dont ville de Deux Montagnes qui restaura la sienne en 1998 et l'installa à coté de sa nouvelle gare. Ville Mont-Royal, entreposa la sienne sur le terrain de son garage municipal. Depuis 1995 quelle est là, à attendre... Selon quelques personnes, ce sont des citoyens de VMR qui s'oppose à sa restauration et son installation à côté de la gare de VMR, soit diant que c'est laid. Cet hiver, la bâche qui la couvrait à cédé. Photos: Le PAB, http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=12471&postdays=0&postorder=asc&start=20 En avril: http://www.flickr.com/photos/kellergraham/4516805870/ La voici en 2005 sous la bâche http://www.flickr.com/photos/kellergraham/347312676 Et en 2009 Quelle honte !
  10. "Le maire de Longueuil, Claude Gladu, a annoncé hier qu’il ne sera pas candidat à la prochaine élection municipale, le 1er novembre prochain. Son collègue, le vice-président du Parti municipal de Longueuil (PML), Jacques Goyette, prendra sa relève en tant que chef du parti et il devrait faire face à l’ex-députée bloquiste Caroline St-Hilaire à l’élection. Conseiller municipal depuis 1982, M. Gladu a été maire de Longueuil de 1994 à 2001, pour ensuite occuper le poste de président de l’arrondissement du Vieux-Longueuil de 2002 à 2005. Élu maire à nouveau le 6 novembre 2005, il aura eu une vie politique active de 27 ans." http://www.journalmetro.com/linfo/article/215616--la-parole-a-claude-gladu-maire-demissionnaire-de-longueuil J'aimais bien M. Gladu. Il a 69 ans, je pense qu'il voulait prendre sa retraite. Je l'ai recontré à plusieurs reprises, il était un supporteur de mon organisme culturel, c'était un bon gars et un bon politicien. Merci Claude!
  11. $14B in projects ready to go: Municipalities BY MIKE DE SOUZA, CANWEST NEWS SERVICE JANUARY 14, 2009 12:21 PM OTTAWA - More than 1,000 municipal infrastructure projects worth nearly $14 billion are “shovel ready” for job creation from coast to coast, according to a new list unveiled Wednesday by the Federation of Canadian Municipalities. The list represents an inventory of projects that are awaiting funds to start and was compiled following weeks of extensive consultations by the federation and its members. The federation says many municipalities have put these projects on the backburner, but could launch them this year and create thousands of jobs if money was available from the different levels of government. “The municipal world is ready to co-operate with the provinces, territories and the Canadian government to (tackle) the economic problems of Canada,” said Sherbrooke, Que., Mayor Jean Perrault, the president of the federation, during a media conference call. “The construction phase of an infrastructure project creates most of the jobs and getting projects underway this spring is crucial to offsetting the economic slowdown.” The projects include new investments in roads and bridges, waste management, buildings, public housing, water and waste water treatment facilities as well as public transit for cities and communities that are home to more than 19 million people across the country. The federation has been urging the Harper government to fast-track transfer payments from a new infrastructure program so that municipalities can get started on the projects and begin putting people to work as part of a stimulus package for the economy. Municipal officials have complained that there is too much red tape and administrative delays in getting the money flowing into their communities, but federal Transport, Infrastructure and Communities Minister John Baird has pledged to speed up the process by reducing red tape. Perrault said the funding should be modelled after the federal gas tax transfer which provides federal money for cities based on the size of their population. He also argued in favour of reducing double environmental assessments of new projects by both the federal and provincial governments explaining that many of the projects on hold in their list would not put Canada’s environment in jeopardy. “The environment is important. There are mechanisms and rules that we must follow,” said Perrault, “but what we told Prime Minister (Stephen) Harper and John Baird to reduce the red tape and that if there were environmental studies that overlap, why not have just one and ensure that it’s propitious.” Conservation groups and the NDP have both criticized the federal government for musing about reducing federal environmental assessments in favour of a single review of some of the smaller infrastructure projects. Baird said on Tuesday that the gas tax transfer program worked well since it did not require federal environmental assessments to operate. © Copyright © Canwest News Service Voici la liste des projets : http://www.fcm.ca//CMFiles/FCM%20Shovel%20Ready%20report_list%20En1KDL-1142009-4963.pdf
  12. 1,000 new homes for poor in Montreal The Gazette Published: 1 hour ago Quebec announced yesterday it will build 1,000 new social housing units in Montreal, part of a $132-million investment for 2,000 units in Quebec announced in the 2008-2009 budget. "For the past five years, our government has increased its actions to improve conditions for those who are less fortunate in Quebec," said Nathalie Normandeau, minister of municipal affairs. Affordable housing is in high demand in Montreal, with only a 1.4-per-cent vacancy rate in 2007 for units with at least three bedrooms that rent for less than $700 per month.
  13. Le maire de Saguenay, Jean Tremblay, et le conseiller municipal Serge Simard s'opposent fermement à la démolition de l'usine de panneaux MDF de La Baie. Pour en lire plus...
  14. Montreal eyeing new tax on personal vehicles Under bill 22. Private swimming pools could also provide sources of revenue DAVID JOHNSTON, The Gazette Published: 7 hours ago City of Montreal residents probably will have to pay a new municipal tax on personal vehicles of about $75 annually under new tax powers the Charest government wants to give to the city. Senior government officials who spoke to journalists this week said a new "PVT" is the most likely new municipal revenue source to arise from the menu of options that Bill 22 would give Montreal. Bill 22 is the draft legislation tabled last fall to give Montreal new tax powers and make governance changes in the Montreal agglomeration. Email to a friendEmail to a friendPrinter friendlyPrinter friendly Amendments unveiled Thursday at city hall scrapped the idea of a new food and beverage tax or a return of the old Montreal amusement tax. But the amendments are now calling for open-ended, royalty-type levies in their place. Although Mayor Gérald Tremblay has refused to be specific about the new taxes he has in mind, bureaucrats did bring up the possibility of a new tax on backyard swimming pools. And Tremblay conceded that many of the new taxes he is considering are inspired by some of the new taxing powers the city of Toronto won from the Ontario government in 2006. Royalties are traditionally applied to the use of a natural resource, like oil or water, but Toronto has taken the idea one step further and is considering a new tax on billboards, for the use of public space. The Bill 22 amendments are said to have sufficient opposition-party support to be approved before the legislature recesses next Friday. If that happens, Montreal will get the power to tax movables and immovables, but sales and inheritance taxes won't be allowed. Neither will taxes on gasoline, income, payrolls or energy. The new tax powers would be given only to the city of Mont- real, not to the 15 demerged island suburbs. Any new personal vehicle tax in Montreal would apply only to residents of city of Montreal boroughs. The most notable difference between Bill 22 and the city of Toronto Act is that Bill 22 stops short of allowing Montreal to tax alcohol and tobacco. "We're going to take time to look at our options," said Renée Sauriol, an aide to Tremblay. No new taxes would be introduced before 2010, Sauriol said. djohnston@ thegazette.canwest.com - - - New municipal taxes Mayor Gérald Tremblay says the new tax powers that the provincial government is proposing to give Montreal are inspired by the new powers accorded in 2006 by the Ontario government to Toronto. Some highlights: In September, residents of the city of Toronto will begin paying a $60 annual municipal personal-vehicle tax. Only one car per household will be subject to the tax. A $75 tax for Montreal residents was mentioned this week by senior provincial and municipal bureaucrats as a possibility. Toronto hasn't yet determined what kind of new parking-lot tax it wants to introduce. The Tremblay administration is said to be leaning toward a new property surtax tied to the number of parking spots on a property. In February, Toronto approved new tax brackets for land-transfer taxes. The new regime has resulted in higher "welcome taxes" on properties worth $400,000 or more. The Quebec government has said it is prepared to let Montreal set its own new welcome-tax rates on properties worth more than $500,000. Below this value, provincially set rates would continue to apply. Toronto is still considering a new tax on billboards, justified as a royalty on the use of public space. This idea of expanding the notion of royalties to the municipal level is something that Montreal finds intriguing. Quebec is proposing to give Montreal a lot of leeway to come up with inventive new royalty schemes. In February, Toronto Mayor David Miller proposed a new toll on all provincial highways within the Greater Toronto area. The proposal hasn't been received well by suburbanites and nothing has happened yet. In Montreal, the Tremblay administration has similarly begun to regionalize its own original proposal for new island bridge tolls. Tremblay is now saying he wants to share any new toll revenues with off-island suburbs to help expand public transit. http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=508d2256-8e5d-4700-8815-fac8e5f43c1f&p=2
  15. le jeudi 8 novembre 2007 Le conseil municipal de Laval a accepté les changements au règlement municipal afin de permettre aux agriculteurs d'installer des éoliennes sur leurs terres. Soumise à deux consultations, les 28 août et 20 septembre dernier, la modification n'a suscité aucune opposition. Une autre consultation est prévue à la fin du mois de novembre. En outre, les éoliennes ne pourront être installées à moins de 1000 mètres d'une bande riveraine. Les agriculteurs pourront installer des éoliennes sur leurs terres à la condition qu'elles ne dépassent pas 12 mètres de hauteur. Ils devront également respecter plusieurs normes de distances et de densité des éoliennes. L'installation et l'aspect des éoliennes sont également réglementés. Ainsi, elles devront être blanches ou grises et elles devront également être installées sur des terres cultivées. Laval se positionne ainsi en prévision de l'appel d'offres qu'Hydro-Québec est en passe de lancer aux municipalités dans le but d'acheter 500 mégawatts. La société d'État attend le feu vert du gouvernement. Amortie sur une période de 20 ans, une éolienne peut rapporter jusqu'à 400 000 $ par année. Une étude du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, en 2005, estime le potentiel éolien de Laval à 11 mégawatts. Les zones agricoles constituent 28 % du territoire de Laval.
  16. Saint-Constant: un maire dépensier et destitué La Cour supérieure annule les résultats de l'élection municipale dans la petite ville de Saint-Constant, sur la Rive-Sud. Elle destitue le maire Gilles Pépin et ses cinq conseillers municipaux. La raison: des dépenses électorales dépassant de 42% la limite permise. Jamais un jugement n'avait été aussi sévère. Dans sa décision, rendue le 21 septembre, le juge Gilles Mercure décrit «un système mis en place au quotidien, dont la principale caractéristique était l'absence totale du contrôle des dépenses». Le 5 novembre 2005, Gilles Pépin défait par plus de 1000 votes le candidat sortant, Daniel Ashby. Il prend ainsi le contrôle de la mairie. Six de ses huit candidats aux postes de conseillers municipaux sont également élus. Mais dans son rapport de dépenses déposé peu après les élections, l'agent officiel de l'Équipe Gilles Pépin, Robert Perron, dévoile des dépenses de 53 204,38$ pendant la campagne électorale. Le maximum de dépenses autorisé était de 37 506,72$. Un dépassement de presque 16 000$. En mars 2006, six citoyens de Saint-Constant intentent une poursuite, accusant le maire de pratiques électorales frauduleuses. La Cour leur donne maintenant raison sur toute la ligne. Le juge écrit que «le défendeur Pépin ne pouvait ignorer le dépassement et que c'est donc à son su et avec son assentiment que la manoeuvre électorale frauduleuse a été pratiquée». «C'est une excellente nouvelle», s'est réjoui Normand Besner, candidat défait au poste de conseiller municipal, et l'un des citoyens qui se sont adressés au tribunal. «On se demandait pourquoi, tout au long de la campagne, on voyait que l'équipe adverse avait beaucoup plus d'enseignes et de dépliants, surtout dans la dernière semaine», a-t-il poursuivi. Tutelle Le maire et ses cinq conseillers ont 30 jours pour faire appel du jugement, mais qu'importe: la décision est effective immédiatement. La ville de 25 000 habitants sera donc mise en tutelle par le gouvernement. «La Commission municipale du Québec devra s'occuper de l'administration de la ville le temps que la situation se régularise», explique le porte-parole de la ministre des Affaires municipales, Jonathan Trudeau. Gilles Pépin se dit surpris du jugement, mais a préféré ne pas le commenter avant d'avoir consulté ses avocats. Mais les procédures judiciaires, qui durent depuis un an et demi, le laissent amer. D'autant plus que l'un des plaignants, M. Besner, était candidat pour l'ancien maire Daniel Ashby. «Cette saga judiciaire, c'est de la politique, a-t-il indiqué lors d'un entretien téléphonique. Il y a un parti politique qui était là depuis 12 ans et qui n'a pas accepté sa défaite.» André Sauvé, l'un des conseillers destitués, abonde dans son sens. «Si ça m'a coûté 1000$ de pancartes, pourquoi est-ce que ça n'a coûté que 74$ à l'autre parti pour le même nombre de pancartes?» Conseillers Les candidats de l'Équipe Pépin, pour la plupart inexpérimentés en politique, ignoraient tout des dépenses illégales. Ils ont été «victimes des agissements de l'agent officiel Perron, du maire Pépin et du directeur de campagne (Pierre) Arcouette», écrit le juge. Mais leur élection est annulée néanmoins. Camionneur de profession, André Sauvé a perdu des milliers de dollars en revenus pour occuper ses fonctions. «J'ai manqué une vingtaine de voyages de transport dans la dernière année, dit-il. Ça m'a coûté 14 000$ pour faire 12 000$ comme conseiller municipal et j'aurais fraudé pour ça? Il faudrait que je sois fou!» Jean-François Ouellet, qui a été élu sous la bannière de l'Équipe Pépin, a remarqué des irrégularités pendant la campagne. L'avocat a depuis quitté la formation politique. Il siège aujourd'hui comme conseiller indépendant. «J'ai demandé à de nombreuses reprises quelles sont les dépenses, a-t-il indiqué. On me répondait: «Fais ton porte-à-porte, ne t'occupe pas de ça.» » Jurisprudence Le Directeur général des élections (DGE) a déjà intenté des poursuites contre Robert Perron. L'affaire est toujours devant les tribunaux. «Cette affaire-là démontre que lorsqu'il y a contravention à la loi, les sanctions prévues peuvent être appliquées», a indiqué le porte-parole du DGE, Denis Dion. Avocat spécialisé en droit municipal, Louis Beauregard estime que la décision pourrait bien faire jurisprudence si elle est maintenue. «Les gens vont faire attention après, estime-t-il. Le dépassement d'une limite de dépenses prévue par la loi, ce n'est pas une mince affaire.» Municipalité de Saint-Constant Date de fondation: 1725 Superficie (km2): 56,58 Population: 24 679 Région administrative: Montérégie Avec la construction des chemins de fer du CN et du CP dans le dernier quart du XIXe siècle, Saint-Constant entre dans la modernité. Depuis les années 50, l'essor de la construction résidentielle a permis à Saint-Constant d'obtenir le statut de ville en 1973. Au cours des dernières années, la ville a accueilli plusieurs grandes surfaces du commerce de détail et de centres de magasinage ainsi que diverses usines, notamment la Cimenterie Lafarge. Le conseil municipal Maire : Gilles Pépin Conseillers > Yves-André Ferland (Regroupement des citoyens et citoyennes de Saint-Constant) > Raymond Létourneau (Regroupement des citoyens et citoyennes de Saint-Constant) > Jean-François Ouellet (indépendant) > Yvan Riendeau (Équipe Pépin) > France Hébert (Équipe Pépin) > André Sauvé (Équipe Pépin) > Christine Pelletier (Équipe Pépin) > Mario Arsenault (Équipe Pépin) (Mario Arsenault a été nommé maire suppléant pour la période du 15 novembre 2005 au 1 er août 2006.)
  17. mardi 21 aou MONTRÉAL (RC) - Le chef du parti Projet Montréal, Richard Bergeron, croit qu'on peut faire du secteur situé tout juste à l'est du pont Jacques-Cartier une entrée maritime prestigieuse pour la métropole .Le conseiller municipal a présenté mardi un projet ambitieux, qui engloberait à la fois la rive montréalaise du Saint-Laurent près du pont, la pointe est de l'île Sainte-Hélène et l'entrée de la Voie maritime à Longueuil. Citant les villes de Sydney, Barcelone et Lyon, le conseiller municipal estime qu'au lieu de transformer la rue Notre-Dame en autoroute, on pourrait en faire un boulevard qui ferait face à un projet phare qui serait développé sur la pointe est de l'île Sainte-Hélène. Actuellement, ce terrain sert de stationnement au parc d'amusement La Ronde. Pour s'y rendre, Richard Bergeron songe à un téléphérique. Afin de financer ce projet ambitieux, M. Bergeron suggère à la ville de dépenser moins pour les projets de reconstruction de l'échangeur Turcot et de rénovation de l'autoroute Bonaventure et de la rue Notre-Dame.
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