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  1. x Je remarque de plus en plus de départements universitaires laisser tomber le modèle 3+2 et suspendre les inscriptions à leur programme de premier cycle pour concentrer exclusivement la formation professionnelle propre à leur domaine à la maîtrise. C'est d'ailleurs le modèle le plus couramment observé au Canada et au États-Unis. Encore à ce jour, la maîtrise en architecture au Québec n'est ouverte exclusivement qu'au bacheliers en architecture. Trois établissements offrent le programme qui mène à l’exercice de la profession : l’Université Laval, l'Université McGill et l’Université de Montréal. Tous organisent leur formation selon le même cheminement type: un baccalauréat en architecture d’un minimum de 3 ans, suivi d’une maîtrise professionnelle en architecture d’un minimum de 2 ans. Notons qu’il est déjà essentiel de réussir la maîtrise professionnelle pour accéder à la profession. La discipline au Québec serait-elle gagnante si nos écoles offraient une passerelle à la formation au diplômés en design, en science de l'environnement, en santé publique, en géographie, en arts numériques, en psychologie, en génie, en ergothérapie, en sciences humaines appliquées ou en ***cough*** URBANISME ***cough, cough***? Pourquoi pas 2 cheminement professionnels à la maîtrise selon la formation au premier cycle, une maîtrise de 3 semestres et une maîtrise de 8 semestres? Un programme de 8 semestre pourrait peut être pris en charge conjointement par Concorida et l'UQAM, où l'environnement bâti est déjà largement étudié, mais aucune formation accréditée dans le domaine n'y est encore offerte (si on exclus le baccalauréat en urbanisme). Le contingent pourrait être moindre que le cheminement habituel (un nombre recommandé par l'OAQ) afin de ne pas sursaturer la profession. On jase là!
  2. Chronique d'un entrepreneur Nicolas Duvernois http://www.lesaffaires.com/blogues/nicolas-duvernois/pourquoi-je-suis-contre-le-salaire-minimum-a-15/590729 Depuis quelques mois, plusieurs acteurs du monde des affaires et du milieu de la politique se sont exprimés en faveur du salaire minimum à 15 dollars. Est-il vraiment réaliste de croire que cette proposition améliorera la situation de centaines de milliers de travailleurs québécois? On ne peut être contre la vertu et s’opposer à l’idée que des gens moins nantis puissent hausser leur niveau de vie. Il est inadmissible qu’une personne se retrouve sous le seuil de la pauvreté en travaillant 40 heures par semaine. Collectivement, nous ne pouvons pas accepter cette situation et devons trouver des solutions au problème. Augmenter le salaire minimum est la solution miracle qui vient spontanément à l’esprit. Je n’y crois pas. Voici pourquoi. Hausser le salaire minimum est l’équivalent de mettre un pansement sur une plaie nécessitant des points de suture. Ça soulage le mal temporairement, mais ça ne règle pas le problème. Le problème n’est pas tant le salaire minimum que le manque de formation qui permettrait a plus d’un million de travailleurs d’accéder à un salaire supérieur. Confucius avait raison. Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. Dans la majorité des cas, le salaire dépend de nos dernières études. Tant que nous accepterons que les jeunes puissent arrêter l’école au secondaire cinq (et même avant), la situation va perdurer. Pourquoi ne pas rendre obligatoire ne serait-ce qu’une formation professionnelle pour que nos jeunes qui sortent de l’école aient la garantie qu'ils pourront obtenir plus que le salaire minimum? Le calcul est simple. Une meilleure formation mène à un meilleur salaire. Plutôt qu’offrir plus d’argent, pourquoi ne pas proposer quelques avantages aux travailleurs les moins bien rémunérés? Comme des coupons repas pour le midi (comme en France), des cartes de transport en commun à prix réduit, des assurances… Des avantages financiers qui, sans augmenter le salaire minimum, permettront au travailleur d’en avoir plus en poche à la fin du mois. À mon avis, offrir un salaire minimum «confortable» comporte des risques à long terme. On ne veut pas d’une société où le travailleur est satisfait de faire le minimum, on veut une société où le travailleur veut faire mieux. Il ne faut pas faire l’autruche. Ce n’est pas le gouvernement qui paiera pour cette hausse, ses employés gagnant tous plus de 15 dollars l’heure. Et ce ne sont pas les multinationales qui verront la différence dans leurs états financiers. Ce seront les dizaines de milliers d’entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises qui paieront la note. L’immense majorité des entreprises au Québec sont de toutes petites entreprises. 99.8% des entreprises de la province sont des PME. Sur les 250 000 qu’on dénombre au Québec, plus de 72% comptent moins de 10 employés. La hausse du salaire minimum aura un effet catastrophique sur ces organisations, puis sur leurs employés eux-mêmes. On ne se cachera pas, pour respecter leur budget, les entrepreneurs auront comme premier réflexe de couper dans les heures de leur personnel. Un salaire minimum qui passe de 10,75$ à 15$ représente une augmentation de 40%. Rare sont les PME qui verront leurs revenus, même sur une période de 5 ans, augmenter autant. Il n’y a pas de solution miracle. Améliorer les conditions de travail de centaines de milliers de travailleurs ne se fera pas en criant «ciseaux». Afin de régler le problème une fois pour toutes, prenons le temps de trouver les meilleures solutions à long terme en impliquant les travailleurs et les employeurs.
  3. Dans le Devoir : Vers un Centre de design dans le Vieux-Longueuil L’Agence PID veut transformer l’ancienne maison funéraire Darche 12 août 2014 Frédérique Doyon Photo: Annik Mh De Carufel Le Devoir Une demeure victorienne située dans le Vieux-Longueuil, une ancienne maison funéraire, pourrait devenir un centre de design où se rencontreraient des gens du milieu du design et de la communication. Longueuil pourrait bientôt accueillir un nouveau Centre de design. L’Agence PID, qui pilote aussi le Salon international de design de Montréal (SIDIM), s’est portée acquéreur de l’ancienne maison funéraire Darche, édifice d’intérêt patrimonial dans l’arrondissement historique du Vieux-Longueuil, qu’elle compte transformer en lieu de formation et de lancement de produits. La transaction devrait se conclure d’ici l’automne. « Ça fait quelques années qu’on cherche un endroit où on pourrait offrir des ateliers de formation, un centre d’affaires qui permettrait aux gens de l’industrie du design et des communications, dont les nombreux travailleurs autonomes, de se rencontrer », explique au Devoir Ginette Gadoury, coprésidente de l’Agence PID, qui a fondé les magazines Décormag et Intérieurs, le SIDIM et les Grands Prix du design. Très différent du Centre de design de l’UQAM, qui tient lieu de galerie d’exposition, le projet longueuillois vise à doter la grande famille du design québécois d’un lieu de rencontre, de formation et d’exposition de produits. Les bureaux de l’Agence PID, qui comptent une dizaine d’employés, y logeront. Le rez-de-chaussée, destiné au centre d’affaires et de formation, pourra accueillir entre 30 et 50 personnes. La demeure de style victorien appartient à un holding texan qui compte des maisons funéraires dans toute l’Amérique. Elle a été mise en vente l’an dernier au prix de 1,4 million de dollars. Un prix que l’Agence PID, en négociation avec le propriétaire depuis l’été 2013, estime exagéré compte tenu de l’état du bâtiment. Feu vert Le conseil d’arrondissement du Vieux-Longueuil a déjà donné le feu vert à un changement de zonage essentiel aux réfections de la maison historique, qui n’a pas été rénovée depuis 1965. « L’offre d’achat est conditionnelle à l’obtention de changements de zonage, car la bâtisse et son terrain de stationnement sont à cheval sur un zonage commercial et résidentiel. Et on ne pouvait pas réparer l’arrière du bâtiment sans ce changement », indique Mme Gadoury. Le promoteur veut faire percer des fenêtres au mur arrière — laissé aveugle pour les besoins de l’ancien centre funéraire. Elle doit aussi réaliser des mises à niveau majeures. « Tout est à refaire, signale Mme Gadoury. La bâtisse n’est pas conforme aux normes actuelles de la construction. Nos ingénieurs et architectes travaillent là-dessus. » La Ville de Longueuil confirme au Devoir une autre étape importante, soit l’avis favorable du conseil local du patrimoine. Une liste d’exigences architecturales a toutefois été soumise au promoteur en juin dernier, la maison étant sise dans une zone patrimoniale. L’Agence PID a également obtenu des lettres d’appui de l’Association des résidants du Vieux-Longueuil et de l’Association des commerçants de la rue Saint-Charles, « ce qui est très rare », signale Mme Gadoury, qui connaît la communauté protectrice de son caractère historique, puisqu’elle y réside. « Notre projet s’inscrit bien dans celui du Vieux-Longueuil. Il y a une vingtaine de restaurants qui ont perdu beaucoup de clients avec le quartier DIX30. » Reste à achever l’évaluation des travaux à réaliser et à soumettre les plans architecturaux à la Ville de Longueuil, lors de la demande de permis de construction. Le processus devrait aboutir en septembre. Construite en 1898, la résidence fut d’abord celle de Bruno Normandin, maire de Longueuil de 1882 à 1891, puis de nouveau de 1891 à 1892 et de 1907 à 1908. La partie arrière a été ajoutée en 1956 quand l’entreprise funéraire d’Édouard Darche a racheté la demeure, dont l’extérieur est resté à peu près intact.
  4. Serment d'allégeance au syndicat obligatoire pour des étudiants embauchés à La Ronde Le Syndicat des cols bleus regroupés de Montréal vient de semer la colère parmi des parents d'étudiants qui ont obtenu des emplois à La Ronde cet été. Ils sont outrés et scandalisés parce que leurs enfants doivent notamment prêter serment d'allégeance au syndicat. C'est le chroniqueur Éric Duhaime, qui a révélé cette histoire. Des parents ont récemment communiqué avec ce dernier pour dénoncer le fait qu'on avait remis le serment d'allégeance aux jeunes travailleurs de La Ronde en formation le week-end dernier. On peut y lire : «Je promets solennellement et déclare que j'appuierai et obéirai aux statuts et règlements du syndicat et à ceux du Syndicat canadien de la fonction publique et que, tant que je le pourrai, j'aiderai mes camarades membres et leur famille quand ils (elles) seront dans la détresse, que jamais sciemment ou de propos délibéré je ne causerai de tort à un membre du syndicat ou aiderai à d'autres à lui en causer; que je ne recommanderai jamais, pour devenir membre du Syndicat, une personne que je croirais indigne de le devenir. Je reconnais comme membre du Syndicat, que si je ne me conforme pas, sciemment ou de propos délibéré à cette promesse solennelle, je suis exposé aux sanctions prévues à l'article 22 des statuts et règlements de notre section locale.» En voyant ça, des parents ont jugé anormal que des jeunes de 16 ans soit obligé de porter allégeance à un syndicat. En entrevue à l'émission de Mario Dumont, Éric Duhaime a raconté les discussions qu'il a eues avec les parents des jeunes travailleurs de La Ronde. «Après la formation, les jeunes reviennent à la maison et là, les parents constatent qu'on leur a remis le livre du syndicaliste Jean Lapierre qui a défoncé les portes de l'hôtel de ville à coup de bélier il y a quelques années, a-t-il confié. On leur a aussi remis le serment d'allégeance, une déclaration solennelle où les jeunes doivent mettre la main dans les airs et porter serment d'allégeance au syndicat.» «C'est comme si c'était une religion, on aurait vu des curés faire ça à une époque et on se serait scandalisé, a-t-il ajouté. Aujourd'hui, ce sont des leaders syndicaux qui font ça. On est tellement intoxiqué au syndicalisme qu'on trouve que c'est normal. Or, ce n'est pas normal dans une société démocratique que des jeunes soient obligés de poser un tel geste. Un syndicat, c'est supposé être au service des membres et des travailleurs. Ce n'est pas les travailleurs qui sont supposés être au service du syndicat.» Le président du syndicat des cols bleus regroupés de Montréal, Michel Parent, a été invité à réagir à l'émission de Mario Dumont. «Ce serment, ce n'est rien de nouveau, a-t-il dit. Le syndicat existe depuis 70 ans cette année. Ça fait partie des statuts et règlements. C’est pas pire que de faire un serment comme député à la Reine. À La Ronde, la formation à suivre pour les nouveaux employés est négociée dans la convention collective et l'objectif derrière cette formation, c'est d'expliquer quels sont les droits des travailleurs et travailleuses qui pour la plupart sont des jeunes qui commencent sur le marché du travail.» http://www.journaldemontreal.com/2013/06/11/serment-dallegeance-au-syndicat
  5. RBC investira 30 M$ en rénovations à la Place Ville Marie 26 août 2011 Communiqué RBC annonçait hier qu'elle investira 30 millions $ dans la rénovation de ses bureaux au 1, Place Ville Marie. Les travaux de rénovation devraient commencer en octobre 2011 et être achevés d'ici le printemps 2013. Ce projet permettra d'offrir aux employés un environnement de travail moderne et à la fine pointe de la technologie, qui favorisera la collaboration et l'innovation et améliorera l'expérience employé dans son ensemble. En plus d'ajouter à ses bureaux du 1, Place Ville Marie de nouvelles salles de conférences et de formation, RBC procédera entre autres à la rénovation des toilettes et des halls d'entrée des ascenseurs. Les espaces de travail des employés et les salles de réunion seront rénovés conformément aux normes de conception globales de RBC, qui prévoient une utilisation de matériaux, de meubles, de tapis et de technologies qui permettent à l'entreprise de réduire ses empreintes écologique et opérationnelle.
  6. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/12/001-cae-contrats-formation.shtml
  7. Quelqu'un a plus d'info sur ce projet? https://maps.google.com/maps?q=45.522022,-73.707404&ll=45.522157,-73.707168&spn=0.004262,0.010568&num=1&t=h&z=17 Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site.
  8. Rencontre internationale Les acteurs de l’aviation se réunissent à Montréal Agence QMI Charles Lecavalier 24/05/2011 21h20 MONTRÉAL – Le premier rassemblement de tous les acteurs de l’aviation civile internationale a commencé mardi à Montréal avec pour objectif de réduire le nombre d’accidents aériens qui sont liés aux enjeux de sécurité sur les pistes. Près des deux tiers des accidents d’avion ont lieu à proximité d’un aéroport et le tiers d’entre eux ont lieu sur les pistes. «Globalement, il y a très peu d’accidents d’avion, à peu près quatre par millions de départs, mais on évalue que le trafic aérien va doubler en 20 ans. Il faut donc se préparer en conséquence», a affirmé Denis Chagnon, porte-parole francophone de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). La majorité de ces accidents de pistes sont causés par l’erreur humaine : une mauvaise signalisation, une erreur de pilotage ou une mauvaise communication d’un contrôleur aérien par exemple. «Ça peut paraître simpliste, mais dans une industrie aussi complexe, ce n’est pas simple de travailler ensemble», a ajouté M. Chagnon. L’enjeu de la formation est très important. Puisque l’augmentation du trafic aérien se situera principalement en Asie et au Moyen-Orient, l’OACI devra harmoniser la formation des pilotes et des contrôleurs. «Le système fonctionne partout de la même façon, il faut donc s’assurer que tout le monde a les bonnes pratiques», a souligné ce dernier. Apprendre d’Eyjafjallajökull Alors qu’un autre volcan islandais menace l’aviation civile, l’OACI se dit prête, en 2011, à affronter une nouvelle crise. «On a beaucoup appris de 2010, notamment à propos de la communication entre les pays, qui sont les seuls à pouvoir fermer leur espace aérien», a expliqué M. Chagnon. Le plan de contingence de l’OACI serait maintenant plus précis, notamment au niveau des seuils précis de la densité de poussière volcanique dans l’air qui sont acceptables. La réaction des pays serait donc plus rapide et efficace.
  9. Source: Cyberpresse (Chicago) Gilbert Rozon va frapper un autre grand coup dans le monde du spectacle. Le Groupe Juste pour rire discute avec le géant de l'humour américain, Second City, de son installation permanente à Montréal. Déjà implanté à Los Angeles et à Toronto, en plus d'offrir de la formation dans plusieurs autres villes, le groupe de spectacles d'humour de Chicago, qui a lancé les carrières des John Belushi, Dan Aykroyd, Bill Murray, Mike Myers et Steve Carell, entre autres, trouvera sa niche montréalaise dans l'édifice du Musée Juste pour rire. «Nous représentons les deux plus grandes marques en humour dans le monde. On se connaît depuis longtemps et on discute depuis des mois. Nous en sommes présentement à monter le plan d'affaires», a confirmé le fondateur de Juste pour rire, Gilbert Rozon, en visite à Chicago pour la présentation du premier festival Just for Laughs dans la Ville des vents. 50 ans d'humour Le groupe Second City fête ses 50 ans cette année en présentant au Festival Juste pour rire, à partir du 14 juillet, une primeur mondiale intitulée Rêverie. Ce spectacle de près de 80 minutes d'humour non verbal mêle comédie, danse, acrobatie et pantomime. Le grand manitou du rire montréalais explique que son groupe continuera d'archiver et de conserver tout ce qui a trait à l'humour, mais qu'il fera la demande d'un changement de vocation pour l'édifice du Musée. «On n'est pas vraiment des muséologues, notre truc c'est le spectacle, alors cette nouvelle association nous ramène à notre vocation première», résume Gilbert Rozon. Second City vient à Montréal pour faire ce qu'il fait à Chicago depuis 1959: des spectacles, des sketchs, de l'improvisation et, éventuellement, de la formation, autant en anglais qu'en français. Il s'agit toutefois d'un plan à long terme qui ne se fera pas en criant improvisation mixte. «Nous allons prendre le temps de bien faire les choses. Ça fait longtemps que nous voulons travailler ensemble, nous avons accumulé peut-être 800 projets depuis le temps!» lance en rigolant Kelly Leonard, vice-président du groupe The Second City, qui a offert une visite de ce haut lieu de l'humour américain à <i>La Presse</i>. Le siège social de Second City à Chicago est un vaste complexe sur plusieurs étages qui comprend deux salles de spectacles de 290 et 180 places. On y trouve également un centre de formation qui reçoit 2400 étudiants par année et qui possède aussi sa propre scène. «Quand nous sommes entrés dans le Musée Juste pour rire de Montréal, nous nous sommes dit: Wow! ça pourrait être comme ici (à Chicago). À nouveau!» s'emballe Kelly Leonard, également président de Second City Theatricals. «Nous avons, dans le fond, un espace similaire à celui que possède Second City à Chicago, donc c'était un mariage naturel», ajoute Gilbert Rozon. Anglos et francos De son côté, Bruce Hills, président de Just for Laughs, précise que le festival montréalais présente depuis des années déjà beaucoup de spectacles à sketchs à forte saveur Second City. «Le potentiel est là à Montréal, dit-il. Pour Second City, c'est la plateforme parfaite. Naturellement, nous allons réunir nos artistes locaux, anglophones et francophones autour de ce partenariat.» Il souligne que la troupe de Chicago possède également un immense répertoire de comédies, courtes et longues, qui pourraient très bien être adaptées dans la langue de Molière. Gilbert Rozon indique, pour sa part, avoir vu à Édimbourg tous les ans lors du festival Fringe de l'endroit «des artistes britanniques extraordinaires qui pourraient venir en tournée à Montréal». Le théâtre The Second City a ouvert ses portes en décembre 1959 à Chicago avec d'anciens étudiants universitaires en scène. Le secteur télévision a ensuite vu le jour, en 1963. Second City offre des cours pour adultes et des camps d'étés aux enfants, tout en donnant des spectacles à Chicago, Toronto et Los Angeles, et en effectuant des tournées partout en Amérique, mais aussi sur des bateaux de croisière norvégiens!
  10. Zidane jouera à Montréal Zinédine Zidane et plusieurs vedettes du soccer européen disputeront un match hors-concours à Montréal le 28 juin. Ce match se tiendra dans le cadre d'une tournée intitulée "Zidane et ses amis" qui comprendra également des matchs à Toronto et Vancouver. Zidane sera notamment accompagné des Italiens Franco Baresi et Gennaro Gattuso ainsi que des Français Fabien Barthez et Ludovic Giuly. Ils affronteront une sélection des meilleurs joueurs canadiens. De jeunes espoirs locaux seront invités à compléter la formation. Le match sera disputé au stade Percival-Molson.
  11. CAE investira 714 millions en R&D Mise à jour le mardi 31 mars 2009, 11 h 56 . Le fabricant de simulateurs de vol CAE investira jusqu'à 714 millions de dollars dans le Projet Falcon au cours des 5 prochaines années. Le Projet Falcon est un programme de recherche et développement visant à transposer les technologies de simulation à d'autres secteurs de l'aéronautique que la formation, comme l'analyse et les opérations. « Ce nouveau Projet Falcon nous permettra de continuer à diversifier les activités de CAE en tirant parti de ses technologies principales dans les marchés adjacents [...] - Le président de CAE, Rober E. Brown » Le gouvernement canadien investira jusqu'à 250 millions de dollars dans le projet, une somme qui est remboursable par l'entreprise située dans l'arrondissement Saint-Laurent de Montréal. Le programme créera et permettra de conserver quelque 1000 emplois. « L'innovation est essentielle pour permettre à CAE de conserver sa position de chef de file dans les domaines de la modélisation, de la simulation et de la formation », a déclaré le président et chef de la direction de CAE, Robert E. Brown. « Nous continuerons donc à investir en R. D., même en ces temps difficiles. ». CAE précise qu'elle continuera à former des partenariats avec les universités et les principaux organismes de recherche au Canada de même qu'avec les fournisseurs de partout au pays. CAE est un leader dans le domaine des technologies de simulation de vol et de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense de nombreux pays. Elle génère des revenus annuels de plus de 1,4 milliard de dollars canadiens et compte environ 7000 employés répartis dans plus de 75 sites situés dans 20 pays.
  12. La NCAA au lieu de la LHJMQ à Blainville? (Corus Sports)- Le projet d'une équipe de la LHJMQ sur la couronne nord de l'île de Montréal n'est peut-être pas mort, mais le droit de veto du Junior l'a considérablement affaibli la semaine dernière. Qu'à cela ne tienne, le maire de Blainville François Cantin songe déjà à un plan B : la NCAA. Il donne toutefois encore tout son appui au projet mené par Joël Bouchard, visant à amener une 2e formation du circuit Courteau dans la région de Montréal. Le propriétaire du Junior de Montréal, Farrell Miller, a toutefois assené un solide uppercut au dossier la semaine dernière, en appliquant son droit de veto quant à l'implantation d'une seconde franchise dans un rayon de 40 kilomètres. «J'aimerais voir une équipe forte, que ce soit la LHJMQ ou la NCAA,» a reconnu le maire de Blainville. Actuellement, aucune formation de la NCAA n'a pied à terre au Canada. Plusieurs universités de l'Ouest canadien tentent toutefois depuis quelques années de joindre les rangs sportifs collégiaux américains. «Ce genre d'équipe là chez nous, avec le côté scolaire priorisé malgré que ce soit du sport d'élite, c'est certain que ça nous sourit. Mais je ne suis pas en train de vous dire que le junior majeur ne serait pas une bonne idée aussi.» En division I, la plus forte, les équipes ne disputent que 28 parties au cours de la saison comparativement à 70 dans le hockey junior majeur québécois. M. Cantin y voit une opportunité d'inciter les jeunes à poursuivre leurs études, tout en pratiquant un sport d'élite. «Si ça peut créer un espace qui accroche les jeunes à leur sport, c'est merveilleux.» Écoutez le maire de Blainville François Cantin via l'extrait audio ci-joint. Il discute également de la candidature de sa ville pour l'obtention des Jeux du Canada en 2013. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  13. CAE remporte 60 M$ de contrats 13 janvier 2009 - 08h30 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le fabricant de simulateurs CAE (CAE) annonce ce matin qu'il remporte 60 M$ de contrats auprès de clients pour livrer cinq unités et des dispositifs de formation. Ainsi, la compagnie établie à Montréal refile une série complète de produits de simulation Boeing 737NG au transporteur états-unien Continental Airlines. Cela comprend deux simulateurs CAE 7000 et un entraîneur de vol. Tout cela sera livré cette année. «Étant donné que nous ajoutons plus d'appareils Boeing 737NG à notre flotte, nous devons nous doter des simulateurs les plus fiables et de la plus haute qualité qui soit pour notre programme de formation des pilotes», dit Fred Abbott, vice-président des activités aériennes de Continental. Air China (la compagnie aérienne nationale chinoise) ainsi que Shandong Airlines se sont alliées pour commander trois simulateurs. Ces unités de série 7000 reproduisent le comportement en vol de deux Boeing 737-800 et d'un Airbus A320. Les trois appareils seront livrés en 2010. Ils seront dotés du système de mouvement électrique CAE True et de la solution visuelle CAE de nouvelle génération. «Nous sommes heureux que des compagnies aériennes du monde entier continuent de faire confiance au matériel de simulation de haute fidélité de CAE pour le soutien de leurs programmes de formation des pilotes», déclare Marc Parent, chef de l'exploitation de CAE. Le titre de CAE a clôturé à 7,62 $ à la Bourse de Toronto.
  14. 250 emplois offerts chez CAE * Presse Canadienne, * 21 novembre 2008 Le fabricant canadien de simulateurs de vols CAE veut engager 250 ingénieurs, techniciens et travailleurs qualifiés dans la région de Montréal, malgré le ralentissement économique qui trouble présentement les compagnies aériennes. Le fabricant canadien de simulateurs de vols CAE veut engager 250 ingénieurs, techniciens et travailleurs qualifiés dans la région de Montréal, malgré le ralentissement économique qui trouble présentement les compagnies aériennes. La compagnie, dont le siège social est situé à Montréal, sera l'hôte d'une journée d'orientation mercredi prochain à son centre de formation. La plupart des personnes embauchées occuperont des postes existants. CAE, qui fournit des formations devant servir à des applications civiles et de défense, emploie environ 7000 personnes dans plus de 75 sites de fabrication et de formation répartis dans 20 pays. Le siège social de Montréal compte 3300 employés et 200 autres salariés travaillent principalement à Mirabel sur son programme consacré aux appareils F-18. La compagnie recherche à la fois des nouveaux diplômés et des travailleurs plus expérimentés. Les postulants devront tous obtenir une attestation de sécurité. Le Québec compte pour près de 60 pour cent de l'activité aérospatiale au Canada et le pays se classe sixième au monde derrière les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et le Japon. L'action de CAE a perdu 48 cents ou 7,19 pour cent à la Bourse de Toronto, jeudi, et a terminé la journée à 6,20 $.
  15. Papiers White Birch et Emploi-Québec investissent dans la formation des travailleurs de l'usine F.F. Soucy afin d'améliorer la productivité de l'entreprise. Pour en lire plus...
  16. Pour améliorer la productivité de l'usine Kruger de Trois-Rivières, la papetière et le gouvernement du Québec investissent 11 millions de dollars dans la formation du personnel. Pour en lire plus...
  17. CAE récolte 128 M$ de contrats à Farnborough 15 juillet 2008 - 08h32 LaPresseAffaires.com Michel Munger Etihad Airways, British Airways, Bombardier (BBD.B) et Embraer ont quelque chose en commun. Les quatre entreprises viennent de commander des simulateurs de vol de CAE (CAE). La compagnie montréalaise indique au Salon de Farnborough mardi qu'elle a aussi signé une prolongation de contrat de 78 M$ en Australie. CAE annonce dans un premier temps que les commandes pour quatre simulateurs et dispositifs de formation ont une valeur de plus de 50 M$ aux prix catalogue. Etihad Airways, la compagnie aérienne nationale des Émirats arabes unis, arrête son choix sur un simulateur de Boeing 777-300ER et un dispositif intégré d'entraînement aux procédures CAE SimfinityMC. L'appareil sera livré en 2009. Le transporteur britannique British Airways commande pour sa part un simulateur d'Airbus A320, avec une livraison prévue au printemps 2009. C'est la première commande de British Airways auprès de CAE depuis l'an 2000. Bombardier, elle, achète un simulateur d'avion d'affaires Global Express. L'appareil qui doit être livré l'an prochain sera le premier à être doté du nouveau poste de pilotage Global Vision de Bombardier. Aussi, l'avionneur brésilien Embraer commande un simulateur d'Embraer 170/190 qui doit servir à la formation de ses exploitants d'avions d'affaires E-jets en Europe. La livraison est prévue pour le début de l'année 2009. Prolongation de contrat en Australie Deuxièmement, CAE annonce qu'elle obtient une prolongation de contrat de cinq ans pour 78 M$ des Forces de défense australiennes (MSAAS). L'entente de gestion et de soutien des simulateurs aéronautiques des Forces de défense avait au départ une durée de 10 ans, soit pour la période 2003-2013. Elle est donc prolongée jusqu'en 2018. Sa portée est aussi élargie pour inclure deux simulateurs d'entraînement au vol et aux missions MRH90. Dans le cadre de ce contrat, CAE fournit notamment des solutions de soutien à la formation aux simulateurs S-70B Seahawk et Sea King à la base HMAS Albatross, au simulateur S-70A Black Hawk au champ d'aviation de l'Armée à Oakey et aux simulateurs C-130H/J à la base de la RAAF à Richmond. CAE conçoit aussi un simulateur pour l'aéronef multirôle de ravitaillement en vol et de transport A330 de la RAAF, en plus d'être le maître d'œuvre pour deux appareils MRH90. «Il s'agit d'un important contrat pour CAE en Australie et nous sommes heureux de poursuivre notre relation de longue date avec les Forces de défense à titre de fournisseur de services de formation et de soutien pour les simulateurs d'entraînement au vol et aux missions de haute fidélité», déclare Alan Johnson, directeur général de CAE Australie. L'action de la compagnie québécoise a clôturé à10,10 $ lundi à la Bourse de Toronto.
  18. Contrat fédéral de 600 M$ à CAE Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain. Photo: Bloomberg La montréalaise CAE est sur le point de décrocher un contrat de 600 millions de dollars du gouvernement fédéral pour la formation de pilotes d'avions et d'hélicoptères de la Défense nationale. En 2006, le gouvernement s'apprêtait à confier la formation à deux entreprises américaines, Lockheed-Martin et Boeing. Cependant, tôt en 2007, Ottawa annonçait que le contrat de formation dans le cadre de l'achat pour 10 milliards $ de nouveaux appareils pour la Défense ne serait octroyé qu'à une seule entreprise, rapporte le Globe and Mail. Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain, d'écrire le journal, afin d'enseigner aux pilotes des nouveaux avions Hercules et des nouveaux hélicoptères Chinook. CAE, qui célèbre son 60e anniversaire cette année, est connue pour son travail dans le domaine des technologies de simulation et de modélisation et dans celui des solutions intégrées de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense. Environ 6000 personnes travaillent dins ses 75 installations réparties dans 20 pays. L'an dernier, une porte-parole de CAE, Nathalie Bourque, avait nié que l'entreprise avait appliqué un intense lobby afin que le contrat de formation ne soit accordé qu'à une seule entreprise plutôt qu'à deux. Toutefois, le Globe and Mail dit avoir obtenu des documents en vertu de la Loi d'accès à l'information qui démontreraient que CAE a soumis par écrit au gouvernement, en deuxième moitié d'année 2006, une propositio~ en ce sens. La multinationale montréalaise aurait promis qu'un regroupement de la formation serait plus efficace et moins dispendieux. CAE prétendait aussi que les militaires canadiens seraient ainsi formés au Canada par des Canadiens et que l'expertise de formation acquise par l'entreprise pourrait ultérieurement être exportée. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-09/475602/contrat-federal-de-600-mdollars-a-cae.fr.html
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