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  1. La récession terminée en septembre, selon des analystes Publié le 09 avril 2009 à 15h47 | Mis à jour le 09 avril 2009 à 15h49 Agence France-Presse Washington La récession aux États-Unis prendra fin en septembre, selon le pronostic qui se dégage de l'enquête de conjoncture mensuelle réalisée par le Wall Street Journal auprès de 54 économistes et publiée jeudi sur son site internet. Selon le journal des milieux d'affaires, une majorité relative de 43% des économistes interrogés estime que la récession commencée en décembre 2007 s'achèvera au troisième trimestre. Les économistes «prévoient que la récession finira en septembre, bien que la plupart d'entre eux disent que l'économie ne se reprendra pas suffisamment pour faire baisser le chômage avant la moitié de l'année 2010», écrit le WSJ. Selon le consensus qui se dégage de l'enquête, le PIB américain devrait avoir reculé de 5,0% en rythme annuel au premier trimestre et reculera encore de 1,8% au deuxième, avant de progresser à partir du troisième trimestre (+0,4%), et de continuer sur sa lancée au quatrième (+1,6%). Le journal note que c'est la première fois depuis le début de la récession que les économistes n'ont pas abaissé leurs prévisions concernant le PIB par rapport au mois précédent. Selon les derniers chiffres officiels disponibles, le PIB américain a reculé de 6,3% au quatrième trimestre 2008, après un recul de 0,5% au cours des trois mois d'été. Néanmoins, seuls 12% des économistes estiment que l'économie retrouvera une croissance suffisamment rapide d'ici à la fin de l'année pour faire baisser le taux de chômage, actuellement à 8,5%, son plus haut niveau depuis fin 1983. La majorité d'entre eux (35%) estime que la croissance ne sera assez forte pour faire baisser le chômage qu'à partir du troisième trimestre 2010 (contre 24% à partir du deuxième trimestre, et 14% à partir du premier). Mercredi, un des dirigeants de la Réserve fédérale (Fed), Richard Fisher, a estimé que le taux de chômage pourrait atteindre 10% d'ici à la fin de l'année. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal tablent eux sur un chômage de 9,5% en décembre. Ils voient le PIB se contracter de 1,4% sur l'ensemble de 2009, après avoir cru de 1,1% en 2008. Selon les dernières prévisions des dirigeants de la Réserve fédérale (Fed) publiées mercredi dans les minutes de sa réunion de politique monétaire de mars, le PIB américain devrait ralentir sa chute «progressivement jusqu'à se stabiliser au second semestre de cette année et [progresser] lentement» en 2010.
  2. Les difficultés financières de la papetière rendront difficiles les négociations pour le renouvellement des conventions collectives qui arrivent à échéance le 30 avril prochain. Pour en lire plus...
  3. Les prix du pétrole continuaient de se replier rapidement vendredi à New York, au plus bas depuis avril 2004. Pour en lire plus...
  4. Une juge ordonne à la Chambre des notaires de revoir les résultats de l'élection contestée de Denis Marsolais à la présidence de l'ordre professionnel, le 10 avril dernier. Pour en lire plus...
  5. La Presse Canadienne - Cyberpresse Paris 07 octobre 2008 | 08 h 45 Le Grand Prix du Canada ne figure pas dans le calendrier des courses de Formule 1 de 2009, qui a été publié mardi par la Fédération internationale de l'automobile. Les dirigeants du Grand Prix du Canada disent avoir appris par les médias d'information, mardi, le retrait de l'épreuve de Montréal du calendrier 2009 du championnat de Formule 1. Ces dirigeants annoncent qu'ils n'émettront aucun commentaire avant d'avoir parlé aux principaux intéressés, soit la Formula One Management (FOM) et la Fédération Internationale de l'Automobile (FIA). Le calendrier 2009 publié plus tôt en journée par la FIA montre que le Grand Prix du Canada n'y figure pas. Ce calendrier prévoyant 18 courses a été adopté à l'issue d'une réunion extraordinaire du Conseil mondial du sport automobile tenue à Paris. On a prévu la tenue d'une épreuve pour la première fois à Abu Dhabi, aux Emirats arabes unis. En 2008, l'épreuve de Montréal a eu lieu le 8 juin. L'an prochain, un Grand Prix est prévu en Turquie le 7 juin. Aucune ville d'Amérique du Nord ne figure donc au calendrier 2009, le Grand Prix des Etats-Unis ayant été rayé du programme la saison dernière. Le Grand Prix du Canada était inscrit au calendrier sans discontinuer depuis 1987. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, en évalue les retombées économiques annuelles à environ 75 millions $. Le calendrier 2009: 29 mars: Australie 5 avril: Malaisie 19 avril: Bahreïn 10 mai: Espagne 24 mai: Monaco 7 juin: Turquie 21 juin: Grande-Bretagne 28 juin: France 12 juillet: Allemagne 26 juillet: Hongrie 23 août: Europe (Valence/ESP) 30 août: Belgique 13 septembre: Italie 27 septembre: Singapour 11 octobre: Japon 18 octobre: Chine 1 novembre: Brésil 15 novembre: Abou Dhabi
  6. L'économie de la province la plus peuplée du Canada enregistre une faible croissance de 0,3 % entre avril et juin. Pour en lire plus...
  7. La Chambre des notaires du Québec est divisée par une bataille juridique. Au coeur du litige: les élections qui ont porté Denis Marsolais à la présidence le 10 avril dernier. Pour en lire plus...
  8. Le surplus engrangé en juin est venu compenser pour les déficits rapportés en avril et en mai, ce qui permet de terminer le premier trimestre de l'exercice dans le noir. Pour en lire plus...
  9. Hovnanian Enterprises Inc., plus important constructeur d'habitations du New Jersey, a réduit le nombre de ses maisons invendues de plus de 50% au cours des deux dernières années après avoir sabré ses prix; et pourtant, il lui en restait encore 1500 à vendre en avril dernier. Pour en lire plus...
  10. Les années se suivent et se ressemblent pour les clients d'Hydro-Québec. La société d'État souhaite augmenter ses tarifs de 2,2% en avril prochain. Pour en lire plus...
  11. Harper dépense à tour de bras Presse Canadienne, 25 juillet 2008 Le Fédéral a enregistré un déficit budgétaire accumulé de 517 millions de dollars au cours des mois d'avril et mai, soit les deux premiers mois de son exercice 2008-2009 La raison ? Notamment des récentes politiques fiscales adoptées par le gouvernement. Pour les deux mêmes mois de l'an dernier, le fédéral affichait un surplus budgétaire de 2,78 milliards $. Les revenus budgétaires pour avril et mai 2008 ont totalisé 37,35 milliards $, contre 38,93 milliards $ un an plus tôt. La baisse globale est de 4,1 pour cent, principalement sous l'effet d'une baisse des rentrées de l'impôt sur le revenu des sociétés et de la TPS (taxe sur les produits et services) découlant des baisses d'impôt accordées aux particuliers et aux entreprises ainsi que la diminution du taux de la TPS décrétée par Ottawa. Les revenus tirés des impôts des sociétés ont diminué de 1,1 milliard $, ou 16,6 pour cent, alors que ceux tirés de la TPS ont reculé de 1,0 milliard $, ou 20,9 pour cent. De leur côté, les charges, pour avril et mai derniers, ont totalisé 37,87 milliards $, contre 36,14 milliards $ un an auparavant. En publiant ces chiffres vendredi, le ministère des Finances a précisé que les résultats des deux premiers mois de l'exercice ne sont pas représentatifs de ceux qui seront enregistrés pour l'ensemble de l'exercice. Les résultats financiers peuvent fluctuer d'un mois à l'autre en raison du calendrier des paiements ou des rentrées d'importance. Le ministère publiera une mise à jour du premier trimestre de 2008-2009 dans "La revue financière" à la fin du mois d'août prochain.
  12. L'économie du Québec prend du mieux 25 juillet 2008 - 06h31 La Presse Rudy Le Cours Après être tombée en dormance durant deux mois l’hiver dernier, l’économie du Québec a vécu une étonnante montée de sève, en avril. Cela lui a permis de grandir de 0,9% en avril, effaçant du coup les rétrécissements surprenants de 0,2% et 0,4%, en février et mars. Il s’agit de la plus forte croissance réelle mensuelle depuis octobre 2006, selon l’Institut de la statistique du Québec (ISQ). À titre de comparaison, la solide expansion pancanadienne a été limitée à 0,4% au cours du mois. «Le produit intérieur brut d’avril (PIB) est plus élevé que celui de janvier, fait remarquer Yves Saint-Maurice, directeur et économiste en chef adjoint chez Desjardins. On peut oublier la récession pour l’instant. C’est une très bonne nouvelle.» La côte n’était pas facile à remonter. Au premier trimestre, l’économie du Québec s’était contractée de 0,8%, sur une base annuelle, soit bien plus que le repli de 0,3% de l’économie canadienne. Certes, une hirondelle ne fait pas le printemps. N’empêche qu’il paraît très bien commencé. Outre les très bons chiffres du PIB, l’Indice précurseur Desjardins, qui sert de présage au comportement de l’économie sur un horizon de trois à six mois, était à la hausse pour le troisième mois d’affilée, en mai. Il avait bien anticipé le ralentissement de l’automne et de l’hiver en ayant reculé au cours des cinq mois précédant sa remontée. La croissance en avril a été assurée tant par la production des biens que celle des services. Dans le premier cas, il s’agit d’une première augmentation en six mois. «Au premier trimestre, la baisse des stocks avait surpris, rappelle M. Saint-Maurice, Peut-être que les entreprises ont reconstruit leurs stocks en partie. On s’attend à un relèvement de la croissance à mesure que l’année avance. Ce sera sans éclat, mais on s’en va vers le meilleur.» En fait, une bonne partie de l’expansion a été assurée par le rendement des usines qui a avancé de 3,3% en un mois. «La production des fabricants au cours des quatre premiers mois de 2008 est inférieure de 3,7% à celle de la même période de 2007», nuancent toutefois Réjean Aubé et Bertrand Gagnon, économistes à l’ISQ, dans la présentation de leurs compilations. Ce début d’année décevant demeure moins grave que celui de l’ensemble du secteur de la fabrication canadienne qui a fait marche arrière de 5,2% après quatre mois cette année, à cause surtout des déboires de l’industrie automobile ontarienne. En avril, 15 des 21 groupes de la production manufacturière québécoise ont progressé. En tête du palmarès: le bond de 16,2% de la production de machines. Ce sous-ensemble un peu fourre-tout regroupe de l’équipement agricole, des machines-outils pour la métallurgie, des pompes, des compresseurs, des convoyeurs, du matériel de buanderie ou de bureau et j’en passe. Depuis le début de l’année, ce type de production est néanmoins encore à la baisse, face à l’an dernier. Curiosité mensuelle, le repli le plus important du secteur manufacturier est venu du matériel de transport, et plus précisément de son sous-secteur aéronautique. Depuis 2004, notent MM. Aubé et Gagnon cependant, ce secteur progresse et la tendance demeure à la hausse après quatre mois. La construction résidentielle continue de tiédir après la surchauffe des deux dernières années. L’activité commerciale est restée robuste, tant dans le gros, le détail que dans le transport et l’entreposage. Les services d’enseignement, d’industries environnementales et de santé se sont repliés, mais ils demeurent en expansion cette année. Il y a enfin de nouveau progrès dans les services financiers, un secteur dont la taille de 43,2 milliards sur une base annuelle talonne de plus en plus celle de la fabrication, encore bonne première à hauteur de 45,7 milliards. Exprimé en dollars de 2002, le PIB de l’économie québécoise s’élevait à 251,23 milliards en avril, ce qui correspond à 20,4% de l’économie canadienne. Les Québécois représentent 23,3% de la population canadienne.
  13. Après être tombée en dormance durant deux mois l’hiver dernier, l’économie du Québec a vécu une étonnante montée de sève, en avril. Pour en lire plus...
  14. La fabrication pousse le PIB à la hausse Olivier Bourque LaPresseAffaires.com Belle surprise dans le dernier rapport de l’Institut de la statistique du Québec: la vitalité du secteur de la fabrication donne du tonus à la croissance économique de la province. Ce secteur a bondi de 3,3% en avril dernier. Il s’agit d’une troisième hausse dans les 12 derniers mois. Cette augmentation a donc permis au Québec de voir son produit intérieur brut (PIB) grimper de 0,9% en avril, ce qui fait plus qu’effacer les reculs de 0,2% et de 0,4% enregistrés en février et mars. La performance du Québec est d’autant plus impressionnante qu’elle dépasse de beaucoup la hausse canadienne de 0,4% en avril. D’autres industries comme le commerce de gros et de détail ainsi que le secteur des mines ont aussi eu un impact sur la hausse du PIB au Québec. Pour ce qui est de la fabrication, la hausse fait suite à deux importants reculs de 1,5% en mars et de 2,2% en février. Toutefois, la tendance récente du secteur «demeure négative» alors que cette industrie fait face à plusieurs contraintes dont «le ralentissement de l’économie états-unienne et la vigueur du dollar canadien», avertit le rapport de l’Institut de la statistique du Québec. La forte croissance des coûts de l’énergie fait également mal à la fabrication. Selon l’Institut, l’industrie principalement responsable de la croissance du secteur manufacturier est celle de la fabrication des machines. Le secteur des textiles n’est pas en reste alors qu’il a connu un gain de 10,4% en avril. Encore là, cette hausse ne doit pas cacher le fait que cette industrie est mal en point, constate l’Institut. La fabrication de produits textiles depuis le début de l’année 2008 est 24% inférieure à celle en 2007. Du côté de l’industrie du commerce de détail, la production a augmenté de 3,5 % en avril. Ce n’est pas le cas de l’industrie de la construction qui a connu en avril une huitième baisse en 10 mois. Cette fois-ci, le recul a été de 1,2% en raison de la faiblesse de la construction de maisons individuelles. http://www.cyberpresse.ca/article/20080724/LAINFORMER/80724142/5891/LAINFORMER01
  15. Le produit intérieur brut réel du Canada a crû de 0,4% sur une base mensuelle en avril, après avoir enregistré des baisses en février et en mars. Pour en lire plus...
  16. Le ralentissement américain est moindre que prévu 20 juin 2008 - 11h41 Agence France-Presse Le FMI ne parle plus de récession et a relevé légèrement ses prévisions de croissance pour 2008 et 2009. «Le ralentissement de l'activité aux États-Unis a été moins fort qu'on ne l'avait craint et la reprise devrait commencer l'année prochaine car d'importants vents contraires ont été surmontés», a résumé le FMI, dans son étude annuelle sur la première économie mondiale. Le Fonds a revu en légère hausse ses projections de croissance établies sur la base du quatrième trimestre rapporté au quatrième trimestre de l'année précédente. Click here to find out more! Il table désormais sur une croissance «globalement» nulle en 2008, contre -0,7% estimé en avril, et en hausse de «environ» +2% en 2009, contre +1,6% prévu jusqu'alors. Le Fonds, qui n'emploie plus le mot récession alors qu'il jugeait en avril que les États-Unis en connaîtraient une «légère» cette année, recommande à la Reserve fédérale de maintenir le statu quo en matière de politique des taux. «Les réglages de la politique monétaire soutiennent désormais globalement la reprise et une approche basée sur la gestion du risque voudrait que celle-ci soit maintenue en l'état», a estimé le Fonds. Cette recommandation s'appuie notamment sur l'analyse que, malgré la flambée des matières premières, et en particulier du pétrole, l'inflation restera «contenue» aux États-Unis. En terme de politique économique, le FMI dissuade l'administration américaine d'envisager un deuxième plan de relance budgétaire pour soutenir la croissance, faute des «marges de manoeuvres» nécessaires. Enfin, pour éviter que le marché immobilier ne chute «en-deçà de son point d'équilibre,» le FMI a recommandé au gouvernement de prendre de nouvelles mesures pour limiter le nombre de saisies de logements. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080620/LAINFORMER/80620107/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  17. Les consommateurs canadiens ont acheté 143 300 véhicules neufs au mois d'avril, avec un recul constaté dans les provinces de l'Ouest. Pour en lire plus...
  18. Le recours déposé par le cabinet d'avocats Siskinds est exercé par deux investisseurs découle de prévisions financières faites le 2 août 2007 et corrigées le 29 avril dernier. Pour en lire plus...
  19. Les prix à la consommation ont accéléré et dépassé les attentes en mai aux États-Unis, progressant de 0,6% par rapport à avril. Pour en lire plus...
  20. Le marché des maisons neuves tombe dans le négatif 12 juin 2008 - 06h50 La Presse Laurier Cloutier Malgré un marché encore en ébullition, dans l'Ouest canadien et les Maritimes, le prix des maisons neuves a commencé à plafonner ou même à baisser au Canada, dès avril dernier. Selon l'étude d'hier de Statistique Canada, le prix moyen des propriétés neuves a stagné (0%) au pays, de mars à avril 2008, et a même baissé de 0,1% si l'on exclut la valeur du terrain. On note des baisses dans plusieurs villes, de mars à avril dernier, dont 0,1% à Montréal, 0,3% à Victoria, 0,6% à Edmonton et 0,8% à Calgary. Comparativement à avril 2007, par contre, le prix des logements neufs a encore monté de 5,2% au Canada, grâce à Saskatoon (+43,7%), Regina (+34%), Winnipeg (+14,8%), St. John's (+16,3%) et Halifax (+11,3%). Par contre, le prix moyen à Montréal (+4,3%) se retrouve en bas de la moyenne canadienne, tout comme celui de Québec (+5%) et de Gatineau (+3,2%). «Le marché redescend du sommet. C'est assez significatif, déclare Neil Killips, économiste de StatCan. Le sommet a été atteint en 2006, avec une hausse de prix de 12,1%. Après tous les bonds de prix des dernières années, la tendance négative se poursuit, sans surprise.» Selon Statistique Canada et le Groupe Investors, le prix des maisons a bondi de 49,3% au pays entre 2001 et 2006. L'économiste Neil Killips ne fait pas de prévisions. Depuis avril dernier toutefois, les pressions sur les prix se sont sans doute accentuées «à cause de facteurs comme le prix de l'essence». En outre, après avoir attiré de nombreux travailleurs du pays, «l'Ouest canadien voit sa demande d'habitations comblée, ajoute Neil Killips. Après Calgary, plusieurs Terre-Neuviens retournent chez eux pour travailler». Revente en baisse Sur le marché de la revente, le nombre de transactions a baissé de 9% en mai dernier à la Chambre immobilière du Grand Montréal et même de 15% dans le cas des maisons unifamiliales, par rapport à l'an dernier. Seuls les condos ont tiré leur épingle du jeu, avec une hausse de 5% des transactions, puisque celles des plex ont baissé de 10%. La couronne Nord y goûte, avec une baisse de 16% des transactions. Par contre, le prix des maisons est encore en hausse de 5%. «Il y a moins d'acheteurs, mais les vendeurs ne veulent pas sacrifier leur prix», explique Michel Beauséjour, chef de la direction de la chambre. La création d'emplois va bien, mais la Banque du Canada n'a pas abaissé son taux d'intérêt directeur, hier, et la confiance des consommateurs a chuté dramatiquement depuis mars dernier, de 50% à 38%, ajoute M. Beauséjour. «C'est une année d'incertitude. Le coût de l'énergie gruge le budget des ménages.» Le chef de la direction prévoit «une année en dents de scie, au fil des mois, selon les prix à la pompe». «Si les prix de revente chutaient, là ce serait inquiétant." Michel Beauséjour prévoit plutôt "une hausse de 4% des prix». Dans le cas de l'habitation neuve, «le marché est en train de changer. Le neuf est toujours touché avant la revente. Les constructeurs n'ont pas encore subi l'impact principal des bonds du coût de l'énergie, dit-il. À cause de l'essence, des familles vont peut-être tenter de se rapprocher de leur travail». Le nombre d'agents immobiliers atteint près de 10 000, «c'est toujours en croissance, mais au ralenti, reconnaît Michel Beauséjour. Si la stabilité se confirme en 2008, des agents laisseront tomber leur permis que dans un an et demi ou deux ans». «Il n'y a toujours rien d'alarmant du côté des saisies de maisons, contrairement aux États-Unis où c'est épouvantable, dit-il. L'économie du Québec va bien, mais les gens dépensent moins, parce qu'ils sont incertains de l'avenir.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080612/LAINFORMER/806121100/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  21. Il s'agit du rythme le plus lent enregistré depuis plus de deux ans et demi - qui était alors de 4,9% -, indique Statistique Canada. Pour en lire plus...
  22. En avril, au pays, les prix des logements neufs ont augmenté au rythme le plus lent depuis plus de 30 mois. Les prix de vente des entrepreneurs ont augmenté de 5,2% entre avril 2007 et avril 2008. Pour en lire plus...
  23. La valeur des permis de bâtir au Canada s'est appréciée de 14,5% en avril, alors que les analystes ne prévoyaient qu'un gain de 0,7%. La tendance annuelle demeure toutefois à la baisse depuis l'été dernier. Pour en lire plus...
  24. La valeur des permis de bâtir au Canada s'est fortement accrue en avril, atteignant 6,40 G$, en hausse de 14,5% comparativement à mars. Pour en lire plus...
  25. Faillites au Canada: un sommet en quatre ans 4 juin 2008 - 15h23 Presse Canadienne Le total des faillites lors des 12 derniers mois est de 87 929. Le Bureau du surintendant des faillites Canada a fait état mercredi de 8035 faillites personnelles et 592 faillites d'entreprises au mois d'avril, ce qui porte le total des 12 derniers mois à 87 929 faillites. A pareille date l'an dernier, 85 277 faillites personnelles et d'entreprises avaient été déclarées. Il s'agit d'un sommet en plus de quatre années au pays. Le nombre de faillites personnelles recensées en avril est 19,3 pour cent supérieur à celui de mars et 18,3 pour cent plus important qu'en avril 2007. Le nombre de faillites d'entreprises a pour sa part grimpé de 4,8 pour cent par rapport à mars et 9,2 pour cent par rapport au même mois l'an dernier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080604/LAINFORMER/80604217/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
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