Aller au contenu
publicité

WestAust

Membre
  • Compteur de contenus

    4 517
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    6

Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. La gauche déconnectée La présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, veut partir l’année du bon pied. En s’attaquant à « la droite », qu’elle juge « de plus en plus provocante ». Cette droite, incarnée par le Réseau Liberté Québec (RLQ), veut, entre autres, moins de fonctionnaires, plus d’argent dans nos poches de contribuables, et désengorger les urgences avec l’aide d’entrepreneurs québécois – le « privé ». Beaucoup de Québécois appuient ces idées. Et ça fait paniquer les syndicats de la fonction publique. On les comprend. Leur employeur, c’est l’État. Si celui-ci décide de se serrer la ceinture, ça veut dire moins d’emplois et moins de privilèges pour les syndiqués. Quelle privatisation? Le discours des centrales syndicales est toujours le même : nous vivons dans un monde « néolibéral » de droite, où l’État coupe et privatise sans cesse les programmes sociaux. Mais quel monde néolibéral? Quelle privatisation? C’est l’inverse. Au Québec on étatise et syndique les programmes sociaux sitôt qu’on a la chance. Dernier exemple : les garderies. La CSN et la CSQ ont récemment syndiqué 15 000 gardiennes en milieu familial (des grèves ont suivi aussitôt). Contrairement à ce que claironne la propagande syndicale, l’État ne rapetisse pas. Il grossit. Le nombre de fonctionnaires aussi. On comptait 94 employés du secteur public pour 1000 habitants au Québec en 2000, selon Statistique Canada. Aujourd’hui : 112. Le poids du gouvernement dans l’économie était de 27 % à l’arrivée de Jean Charest comme premier ministre en 2003. Aujourd’hui : 31 %. Si vous payez 1 % plus de TVQ à partir d’aujourd’hui, ce n’est pas un hasard. La supposée « privatisation des services publics » est un mensonge. Un épouvantail ridicule qui n’effraie aucunement quiconque se donne la peine de vérifier les chiffres. Programmes sociaux en danger C’est vrai, nos programmes sociaux sont en danger. Mais pas à cause de la droite. Ironie ultime, ce sont les syndicats eux-mêmes, par leur gourmandise et leur intransigeance, qui menacent la survie des programmes sociaux au Québec. Revenons aux garderies à 7 $. Le coût de ce programme est passé de 290 millions en 1997, à plus de deux milliards aujourd’hui. Sept fois plus. Pourtant, le nombre de places pour les enfants a à peine plus que doublé. Le programme est dans le rouge – le gouvernement a emprunté plus de 200 millions l’an dernier pour se le payer. Et pour satisfaire les exigences salariales des 15 000 nouveaux syndiqués, il faudra ajouter un autre 300 ou 400 millions à la facture. Bientôt, la survie du programme sera menacée. Pas à cause de « la droite ». En grande partie à cause des syndicats et de la bureaucratie, qui font exploser les coûts. On pourrait aussi parler des hôpitaux, où les syndicats et corporations agissent comme obstacles à une livraison plus efficace des services. De nos écoles, où les syndicats et génies du ministère de l’Éducation nivèlent par le bas autant la qualité des professeurs que des élèves. Illusions solidaires Les citoyens qui souhaitent garder des programmes sociaux de qualité au Québec doivent réaliser une chose : ceux qui se déguisent en défenseurs de vos intérêts – les centrales syndicales, comme celle de Mme Carbonneau – sont les mêmes qui vont dépouiller ces programmes pour leur profit, jusqu’à ce qu’on n’ait plus le choix de les privatiser… parce qu’on n’aura plus un sou. Selon Mme Carbonneau, « les libertés dont le RLQ se réclame sont des “illusions tranquilles” pour l’immense majorité de la population, qui n’aura jamais les moyens de s’en prévaloir ». Erreur. Ce que les Québécois ne sont plus capables de s’offrir, ce sont les « illusions solidaires » de la CSN, FTQ et autres syndicats. Et les fantasmes ruineux d’une gauche déconnectée de leur réalité. http://descoteaux.argent.canoe.ca/general/la-gauche-deconnectee/
  2. Instead of having the 24heures people outside handing out their paper, it will be the Metro people doing it. And it will still be available in some other places like centre eaton or mcdonalds for instance
  3. Le PQ voulait installer le CHUM au 6000 St-Denis (coin rosemont)
  4. Dans la même veine, Un reportage video de TF1 sur l'enlevement de la neige à Montréal. Alors qu’avec 11 cm de neige, Paris a été plongée dans le chaos la semaine dernière, TF1 est allée voir comment Montréal, où il fait en ce moment -15°C et qui se trouve sous la neige 150 jours par an, s’y prend. http://videos.tf1.fr/jt-we/les-canadiens-champions-de-la-gestion-de-la-neige-6184118.html
  5. Ce n'est que le coté qui est propriété du gouvernement provincial qui est impacté. Le coté qui appartient au fédéral a vu ses glissières remplacées il y a 10 ans, alors que celles provinciales date d'avant cela (si ce ne sont pas celles d'origine)
  6. Venant de nos amis du Journal de Québec Quand j’ai vu Michelle Courchesne à la télé, je suis parti à rire. Pas parce que la présidente du Conseil du trésor est particulièrement rigolote, ce serait plutôt le contraire. Je n’ai seulement pas pu résister à la joie quand elle a lancé aux journalistes dubitatifs : « On n’est pas dans le champ gauche! » Ça non, madame, vous n’êtes n’est pas dans le champ gauche. Ni d’ailleurs dans le champ droit. Vous êtes comme les autres avant vous, juste dans le champ. Avec le CHUM, s’entend. Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal, une farce vieille de 15 ans qui nous fait collectivement honte. Pendant que nos voisins anglos bâtissent le leur, qu’ils magasinent les meilleurs équipements, qu’ils planifient le transfert des patients, nous, pauvres de nous, les coincés de la souveraineté, on continue d’additionner les milliards avec les gros bonnets d’« Honoraires sans frontières ». Que ce soit pour une route, un métro, un stade ou un hôpital, toujours le même bogue, ça coûte plus cher que prévu. On ne saura d’ailleurs pas avant la fin de janvier le coût du projet revu et corrigé en 2010. Nous sommes bien meilleurs dans le domaine social. Donnez-nous un problème, montrez-nous des victimes qui s’ignorent, on vous fera un programme. Offrez-nous un programme, on vous trouvera des fonctionnaires. Embauchez-les tous, nous inventerons un impôt; nous taxerons vos sphincters s’il le faut. On dégotera ensuite un crédit d’impôt pour les démunis et, à la fin, promis, vous aurez l’impression d’assister à une éclipse budgétaire. C’est comme si on ne savait plus compter. Au début, on arrive à 500 millions. Puis, on refait l’addition, juste pour voir si on n’a pas oublié un étage, et on postillonne un milliard tout rond. Si on refait le compte à nouveau, pour être tout à fait sûrs de notre coup (ou de notre coût), les totaux enflent à deux milliards. Les totos, les vrais, sont surpris, à chaque fois. Aujourd’hui, c’est Michelle Courchesne qui nous fait rire. Jean Charest, lui, n’ose plus.
  7. Il suffit que le board des propriétaires décide de voter un règlement afin de faire approuver par un comité les sous-locations et même à la limite les nouveaux acheteurs pour que cela arrive. Ca existe ici également dans certains immeubles plus haut de gamme, ou le board des propriétaires doit approuver les locataires.
  8. La bâtisse actuelle ne sera pas une perte du tout Pour ce qui est des commerces, ce n'est pas pire que si le propriétaire de l'immeuble leur disait qu'il ne renouvellait pas leur bails afin de faire place a n'importe quel autre commerce plus rentable pour lui. En plus, c'est de la densification à proximité d'un métro. Just like Jean Coutu did many years ago when he introduced the concept of a shop and pharmacy bundled together, it "killed" the independent pharmacies that existed back then (and probably some other form of small one purpose stores as well)
  9. C'est plutôt un Avril qui a ouvert au Quartier Dix30, près du centre d'entrainement du Canadien Sans compter la section "halte gourmande" avec poissonnerie, boucherie, SAQ, boulangerie et autres qui est à distance de marche de la cité Dix30
  10. Selon une note dans la presse de ce matin, le Penthouse aurait été vendu pour plus de 14 millions, et non 13 comme le mentionnait la Gazette, le prix demandé était de 15m et le prix de vente serait très proche du 15m, l'acheteur serait qqn de montréal qui passe beaucoup de temps à l'étranger. Sinon, ils mentionnent que 50% des condos sont vendus dans le projet.
  11. J'aurais bien aimé être présent également, mais malheureusement ce sera mon souper de noel du bureau ce soir là! En espérant avoir d'autres opportunités du genre.
  12. Oubliez les montants qui proviennent de la ville, ils semblent tous sous-estimés. Dans le thread sur le Unity3, ils parlent d'un investissement de 9m pour 14 étages, dont 77 condos et des commerces, c'est beaucoup trop bas également. Même chose dans le thread du medley, 17m pour 15 étages, 191 condos et 2 commerces, ca semble encore trop bas (même pas 100k par condo) Ce montant semble plus près de la partie de investissement par le promotteur, sans inclure le financement qu'il va aller chercher après pour la construction.
  13. How The Gas Tax Is Under Threat From Green Vehicles Live in the right part of California and work for the right company and you might be able to buy the new Nissan Leaf for as little as $12,500, as Autoblog has reported, due to the raft of incentives that are available for buyers of the little battery car and other high-mileage, low-emission products. In recent years, lawmakers have been racing to come up with incentives designed to encourage motorists to migrate to clean, efficient vehicles. It's a clearly noble effort, but one that deserves a closer look in an era of fiscal restraint. Several states are looking at a more direct form of taxation: a per-mile usage fee on battery-based vehicles. The feds, and most states offering such incentives, have put caps on their zero-emission incentive programs, and most will vanish by mid-decade. But, ironically, if these programs do what they're intended to, the fiscal impact could be felt for years to come. It turns out that going green could plunge state and federal balance sheets into the red. The short-term costs are already potentially significant. At the federal level, a $7,500 tax credit could drain billions of dollars a year out of the Treasury if major automakers come even close to their battery car sales targets by mid-decade. Such cash incentives – along with other perks, such as access to California's HOV lanes – are designed to motivate the move to vehicles like the Leaf and the new Chevrolet Volt. Once momentum starts building, these givebacks can be phased out, proponents contend. But they're missing a big part of the picture. Fuel taxes are a major source of government revenues. The feds take 18.4 cents for every gallon of gasoline or diesel you pump. Wisconsin adds another 32.1 cents on gasoline – the highest figure in the country, while the diesel tax peaks in Pennsylvania at 35.1 cents. A little math suggests that the nation's fleet of cars, crossover light and heavy trucks pump more than $100 billion in excise taxes back into local, state and federal budgets each year. Put just a million battery cars on the road and you're slicing perhaps as much as $500 million out of that revenue stream. In states like California that routinely struggle to balance their budgets, the impact could be substantial. And even if the switch to battery power doesn't go quite as well as proponents plan, the push for higher Corporate Average Fuel Economy, or CAFE, standards will only complicate matters. The old 27.5-mpg mandate will hit 35 by 2016 and, if the White House has its way, that will surge, yet again, to perhaps 62 mpg by 2025. On a per mile basis, that would translate into a 60 percent reduction in the fuel tax the average motorist pays. In Europe, where they're talking about new standards equivalent to 109 mpg, the impact would be even more massive. As much as two-thirds of what Europeans pay at the pump already goes to the government; with an increase taking effect in January, Britain's combined fuel taxes will add up to about $3.51 a gallon. The move to greater fuel efficiency and lower emissions is a critical national goal, insisted Mary D. Nichols, Chairman, California Air Resources Board. During a preview of the Nissan Leaf, the agency boss was reluctant to let the conversation shift to the flip side, but when asked about the steady diminution of fuel tax revenues, she acknowledged, "It is an issue we will have to deal with." How? Some have proposed the idea of raising, rather than incentivizing, registration fees and other charges for vehicles with advanced powertrain technologies. For now, at least, the momentum seems to be pushing against that. But several states are looking at a more direct form of taxation: a per-mile usage fee on battery-based vehicles. The Oregon Department of Transportation has a task force studying just that possibility, though spokesman David House cautions that, for now, "it is nothing but a proposal, an idea." How would such a fee be implemented? A motorist driving a battery car might have to show how many miles the vehicle was driven over the previous 12 months when renewing its registration. Technically, it would be possible to have the vehicle report in wirelessly at regular intervals, though that would certainly smack of Big Brother. That approach could get complicated with plug-in hybrids like the Volt. You might put on 15,000 miles a year, but how would you know how much of that was powered by battery and how much on gasoline, where you're already paying an excise tax? An alternative would be to levy additional charges per kilowatt hour, something easy to track on a dedicated charging system, like the Aerovironment Level 2 – or 220-volt – charger that Nissan's customers can opt for. But that might encourage owners to simply plug into a standard household outlet, instead, even if it did take longer to charge back up. Electric vehicles are expected to get four to five miles per kilowatt-hour. For someone clocking 15,000 miles a year, that would work out to 3,000 to 3,750 KWh. To fully recover lost fuel excise taxes might mean tacking on another 8 to 15 cents a kilowatt-hour, roughly doubling the national average cost for electricity. Suddenly, the financial advantage often touted for using battery versus gasoline power wouldn't look nearly so sweet. Incidentally, the taxman isn't the only one who likes the idea of a per-mile usage charge. If the subject starts gaining traction, you can anticipate insurance companies lending the concept their support. http://www.autoblog.com/2010/12/06/how-the-gas-tax-is-under-threat-from-green-vehicles/
  14. Un nouvel exploitant pour le restaurant Hélène-de-Champlain dès 2011 MONTRÉAL, le 25 nov. /CNW Telbec/ - Le restaurant Hélène-de-Champlain, situé au parc Jean-Drapeau, rouvrira ses portes dès 2011 et sera exploité par un groupe d'investisseurs reconnus à l'échelle internationale en matière de gastronomie. Le nouveau locataire donnera une nouvelle vie au bâtiment patrimonial datant de 1930 en ouvrant notamment un restaurant de fine cuisine, un bistro-terrasse en rez-de-jardin, une grande salle de réception, des salons locatifs et une école de cuisine. L'entente de 35 ans conclue entre la Société du parc Jean-Drapeau (SPJD) et le groupe d'investisseurs a été entérinée hier par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Ce groupe est composé de monsieur Robert Gagnon, fondateur et propriétaire pendant 25 ans de l'Auberge Hatley, établissement Grands Chefs et hôtel Relais & Châteaux, et actuel président du conseil d'administration de l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec, de monsieur William Bennett, propriétaire du Langdon Hall, Country House & Spa, établissement Grands Chefs et hôtel Relais & Châteaux et classé cinq diamants selon le C.A.A., et de madame Michèle Serre, éditrice officielle des contenus gastronomiques du site Internet Grands Chefs Relais & Châteaux ainsi que des magazines virtuels Saveurs du Monde et The Worldwide Gourmet. « Cette entente s'inscrit dans le projet de développement de la SPJD en vue de 2017, lequel vise, entre autres, à doter Montréal de nouvelles infrastructures permanentes de calibre international. Il s'agit donc d'une excellente nouvelle pour le parc Jean-Drapeau et pour Montréal tant au plan économique que récréotouristique, étant donné la vitrine exceptionnelle que donnera cet établissement à la métropole », a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. En s'associant à ces nouveaux partenaires, la SPJD bénéficiera, pour la durée totale de l'entente, de revenus estimés à plus de 15 M$ alors que la Ville de Montréal percevra différentes taxes estimées à près de 8 M$. De plus, le projet aura d'importantes retombées économiques et stimulera la création d'emplois dans le cadre de la réalisation des travaux et de l'exploitation du restaurant. Rappelons que le bâtiment est inoccupé depuis janvier 2010. Par ailleurs, des travaux de rénovation et de mise aux normes évalués à plus de 6 M$ sont en cours, le pavillon ayant subi peu de travaux de rénovation depuis sa construction. Or, l'enveloppe extérieure du bâtiment ainsi que les équipements mécaniques comprenant l'électricité, le chauffage et la climatisation font l'objet de travaux majeurs. « L'Hélène-de-Champlain est non seulement un bâtiment patrimonial prestigieux, mais sa revitalisation permettra également d'en faire une carte de visite supplémentaire et un attrait majeur de Montréal de par sa localisation dans un site unique. L'entente avec la SDPJ permettra de donner une nouvelle vie à ce bâtiment au bénéfice des Montréalais et des nombreux touristes de passage chez nous », a conclu le vice-président du comité exécutif et responsable du parc Jean-Drapeau, M. Alan DeSousa.
  15. c'est 5 etages au séville, une tour complete comme le mackay, sans compter les 2 étages ici et là qui sont tombé bien souvent sans raison valable. 5 étages sur la tour principale du séville + 2 pour chaque autre tour, ca représente pas loin de 70 unités, qui oui peuvent faire un effet, c'est 70 ménages qui aurait définitivement pris pied au centre ville.
  16. Cell phone signal in the metro won't mean much more noise than it is actually the case, often you have 2 persons sitting inches one from the other and yet the wagon can hear what they are saying because they talk so loudly
  17. Les 3 SDC du Plateau Mont-Royal demandent à M. Richard Bergeron, chef de Projet Montréal de désapprouver publiquement l'intimidation et la violence MONTRÉAL, le 23 nov. /CNW Telbec/ - Lundi soir, lors d'une séance du conseil municipal suivant la manifestation pacifique des commerçants du Plateau Mont-Royal devant la mairie, contre la politique de stationnement de M. Luc Ferrandez, M. Gordon Bernstein, président de la Société de développement commercial du boulevard St-Laurent a été agressé verbalement et physiquement par une militante de Projet Montréal. La violente altercation dans le hall de l'hôtel de ville, s'est poursuivie lorsque M. Luc Ferrandez a hurlé après M. Bernstein, le traitant aussi de menteur. De plus, les commerçants du Plateau Mont-Royal opposés à la politique de M. Ferrandez ont subi pendant tout le weekend dernier de l'intimidation de la part de certains militants de Projet Montréal qui sont allés jusqu'à arracher des affiches de la Pétition contre la politique de stationnement, déjà signée par 8 000 citoyens. Les 3 SDC du Plateau Mont-Royal demandent à M. Richard Bergeron de Projet Montréal de désavouer publiquement les gestes de violence et d'intimidation de certains de ses militants, et au maire Tremblay de ramener à l'ordre M. Ferrandez qui n'a pas agi de façon respectueuse dans l'enceinte même de l'hôtel de ville de Montréal en harassant et en hurlant après un citoyen. M. Michel Depatie, directeur de la Société de développement de l'avenue du Mont-Royal et l'un des porte-parole de la coalition des commerçants espère que ce débat houleux qui se déroule sur le Plateau Mont-Royal se fera dorénavant dans le respect de la démocratie et de la liberté d'expression.
  18. La Société de transport de Montréal (STM) est en train de finaliser une entente qui permettra aux usagers d’utiliser leur téléphone cellulaire dans l’ensemble du réseau de métro, stations et tunnels compris, d’ici trois ans. Photo: Agence QMI Les négociations avec la firme Extenet, spécialisée dans l’installation de matériel de réception sans fil, devraient être terminées dans les prochaines semaines, ont indiqué mardi les responsables de la STM. « La lettre d’intention est faite. Mais la négociation n’est pas tout à fait terminée », a expliqué Michel Lafrance, directeur général de Transgesco, la société en commandite qui gère les ententes commerciales de la STM. Le déploiement sera réalisé en plusieurs phases d’une douzaine de stations chacune, jusqu'à la fin 2013. Il sera même possible de parler au téléphone dans le tunnel pendant que le métro est en marche, a souligné Michel Lafrance. Il faudra installer pour environ 50 millions $ de matériel dans les 68 stations de métro et dans les tunnels qui les relient. Cette somme sera entièrement payée par Extenet. La firme de télécommunications obtiendra un contrat de 20 ans pour la gestion des équipements. Ce dénouement marque la fin d’un feuilleton qui dure depuis trois ans et pendant lequel la STM, déjà en retard par rapport à beaucoup d’autres grandes villes dans ce domaine, a dû revoir sa stratégie afin de permettre l’utilisation du cellulaire dans son réseau souterrain. Depuis 2009, deux appels d’offres ciblant directement les fournisseurs de service, comme Bell, Telus, Rogers et Vidéotron, ont été lancés. Aucun d’entre eux n’avait recueilli de soumission, parce que l’infrastructure à installer coûtait trop cher, selon ces fournisseurs. Extenet, qui installe les infrastructures, mais n’offre pas de service, permettra à ces différentes compagnies d’utiliser ses installations moyennant une redevance. Une partie des profits sera reversée à la STM. Au cours des cinq prochaines années, la STM compte doubler la part de ses revenus provenant d’ententes commerciales.
  19. RIP Pat Burns! Dommage qu'il ne l'aie pas intronisé au temple de la renommée de son vivant
  20. CONSULTATION PUBLIQUE SUR UN PROJET DE RECONVERSION DE L'ANCIEN INSTITUT DES SOURDS-MUETS BOULEVARD SAINT-LAURENT MONTRÉAL, le 17 nov. /CNW Telbec/ - Près de 200 citoyens ont participé lundi soir à la soirée d'information tenue par l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) sur le projet de reconversion de l'ancien Institut des sourds-muets situé sur le boulevard Saint-Laurent dans l'arrondissement Villeray - Saint-Michel - Parc-Extension Le complexe visé se situe à l'intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue de Castelnau. Il est projeté d'y aménager 302 logements qui seront vendus en co-propriété. Pour ce faire, le bâtiment principal sera protégé mais les annexes seront détruites pour permettre de bâtir des unités. Il est prévu que le quart des unités comprendront trois ou quatre chambres à coucher et que 40% des logements se vendront moins de 250,000$. Le projet inclut aussi la construction d'un stationnement souterrain de 300 places. Des modifications au plan d'urbanisme et au règlement d'urbanisme de l'arrondissement sont nécessaires pour rendre possible ce projet. La soirée d'information a permis à plus de 30 personnes de poser des questions au promoteur et à la Ville de Montréal sur différents aspects du projet et de la réglementation nécessaire pour le rendre possible. Plusieurs angles ont été couverts par les interventions des citoyens. On a évoqué les questions patrimoniales, le type de logements construits, les logements abordables disponibles dans le projet, la question de la politique d'inclusion de la ville, la circulation et de très nombreux autres sujets. Dans un deuxième temps, les citoyens seront invités à présenter leur opinion sur le projet par écrit ou verbalement. Cette deuxième rencontre se tiendra, le mercredi 8 décembre à 19h. à l'Église Saint-Nicholas située au 80 rue de Castelnau Est ( métro du même nom) On doit s'inscrire auprès de l'OCPM au plus tard le 3 décembre pour présenter une opinion à cette séance. Toute l'information disponible sur ce projet peut se trouver aux bureaux de l'Office au 1550 rue Metcalfe bureau 1414 et à la Direction du greffe à l'Hôtel de Ville au 275 rue Notre-Dame Est . Cette documentation est aussi disponible sur le site internet de l'Office au http://www.ocpm.qc.ca . Pour toute information contacter le 514 872-8510.
  21. the 4 phases are what the main salesman over there told me, 1st the west tower and the units facing the canal, phase 2 is the middle tower with again the units along the canal, 3rd phase simply the units along the canal and phase 4 the east tower
  22. Je suis allé au bureau des ventes aujourd'hui, pas si mal comme projet. Il va être réalisé en 4 phases, la première étant la tour étant celle près du projet des bassins (coin olier/du séminaire), début de la construction prévue pour mars 2011 Au r-d-c face au canal ce sont des ateliers/lofts qui s'addressent à des artistes principalement, le reste de la tour ce sont des condos. Pour ce qui est du design intérieur, salles de bains classique, lignes épurées et moderne. La cuisine définitivement moins moderne, qui autre que la couleur choisie dans le bureau des ventes (armoires vertes) sont pas si mal, ca ressemble un peu à cela
×
×
  • Créer...