Aller au contenu
publicité

mtlurb

Administrateur
  • Compteur de contenus

    18 906
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Il y avait aussi un rendu dans la presse Mon toit...et c'est bien du orange... C'est pas vraiment beau, je suis un peu déçu.
  2. Montreal: Affordable Winter Base for Families The blackboard menu is in French and all around the little cafe, people are chattering in French, nibbling on croissants and sipping cafe au lait. But we're a lot closer to home than Paris. Welcome to Montreal, just a scant hour-long flight or a 370-mile drive from New York, or an hour's drive from the border of Vermont. Most everyone, it seems, speaks English, as well as French, so there's no need for my 16-year-old daughter, Melanie, to practice her French, she says happily. Another plus: Though there are no bargains here for Americans anymore now that the Canadian "loonie" is about the same value as a U.S. dollar, at least we can soak up the foreign ambiance without spending so much in Europe where the dollar is so weak against the Euro. Especially this time of year, you can find hotel rooms starting at $135 a night (http://www.findyourmontreal.com). Mel and I have come to Montreal for a mother-daughter weekend getaway and a look at McGill University, one of four in this oh-so-cosmopolitan city, which visitors can't help but love. Even our taxi drivers wax eloquent about their city - the restaurants! (There are more than 6,000 offering everything from French to Ethiopian to Montreal's famous bagels.) The museums! (There are more than 30. Visit http://www.museemontreal.org for the Montreal Museums Pass.) The theater, dance companies and festivals that go on all year! (There are more than 90, including the popular la Fete des Neiges de Montreal in January.) The shopping! (Simons, http://www.simons.ca, on Montreal's famous Ste-Catherine Street, we discover, is a good bet for young fashionistas on a budget. Such a clean city! So many parks; there are 1,009 of them and scores of green spaces. Let's not forget the 21-mile Underground Pedestrian Network that connects everything from metro stations to restaurants to skating rinks, office buildings, hospitals, libraries and nearly 1,000 retail shops. With ski areas just an hour away, I think, Montreal would prove a good, affordable winter base for families whose members aren't equally passionate about the slopes. Mel and I are ensconced in one of the city's many boutique hotels, the 59-room HotelXIX Siecle (http://www.hotelxixsiecle.com), which was built in a 19th-century bank building just a short walk from the historic cobble-stoned streets of the Old Port on the St. Lawrence River where this city began. And I love that breakfast is included. I promise Mel if she goes with me to the Pointe-a-Calliere, the Montreal museum of Archeology and History that tells the story of this city from its first Native-American settlers - our next stop will be Ste-Catherine Street where she can shop till she drops at street level and at the three interconnected malls underground. She liked the museum more than she expected - thanks to the terrific multimedia show and its excellent introduction to Montreal, from the first North Americans to the arrival of French settlers in 1642 and then later, the British. The museum is actually built atop authentic archeological remains, enabling visitors to take an underground archeological tour. Models set in the floor reveal how Place Royale evolved through the centuries and the exhibits include displays of artifacts found here, including dice, crockery, old combs and beer caps. Virtual historic figures also pop up to chat about their era. Even kids who hate museums can't help but be intrigued - and leave with a much better understanding of the cultures that have melded to make this city what it is today. Last modified: October 07. 2007 9:33AM
  3. LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 7 octobre 2007 à 5:47 Soyez le premier à commenter cet article LAB Recherche s'apprête à doubler ses installations au coeur de la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. (Photo: Martin Alarie) Fichier: LAB LAB Recherche réinvestit 40 M$ dans la Cité de la biotech Une seconde expansion en moins de deux ans Décidément, la croissance est au rendez-vous chez LAB Recherche, qui entreprend de doubler ses installations dans la Cité de la biotechnologie et de la santé humaine. Moins d'un an après l'inauguration de la nouvelle aile construite au coût de 12 M$, voilà que cette entreprise réinvestit 40 M$ dans une nouvelle phase d'expansion qui portera à 170 000 pieds carrés la superficie totale de ses locaux bordant le boulevard Armand-Frappier. Concrètement, les salles dédiées aux études de toxicologie de nouveaux médicaments sur les rongeurs et les plus grands animaux passeront de 33 à 80. Nécessaires au développement de médicaments pour le traitement de maladies humaines, ces recherches précliniques contribuent à mettre au travail 225 personnes dans les installations lavalloises. Les travaux d'agrandissement devraient être mis en chantier ce mois-ci. Tripler les revenus «Cette expansion nous permettra de tripler nos revenus en cinq ans», déclarait, mercredi, au Courrier Laval le président et chef de la direction, Luc Mainville. Au fil des 18 prochains mois, une centaine de techniciens et scientifiques joindra les rangs lavallois de LAB Recherche, dont les effectifs se chiffrent présentement à 525 employés à travers le monde. Plus de 40 % de ces employés sont basés à Laval, là où LAB International a implanté le siège social de sa division recherche, qui opère également des locaux au Danemark et en Hongrie. Spécialisé dans les services de recherches contractuelles offerts aux grandes sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques, LAB Recherche teste l'efficacité et la sécurité de nouveaux médicaments en phase préclinique. «Le marché mondial [de la sous-traitance] est estimé à 4 milliards de dollars par année avec une croissance annuelle avoisinant les 18 %», indique M. Mainville. La demande est là, justifiant pleinement ces investissements colossaux liés directement à l'augmentation de la capacité des recherches in vivo non clinique. «Nous sommes le 8e plus gros joueur dans le domaine», reprend le grand patron de LAB Recherche qui entend bien accroître ses parts de marchés. Pour l'instant, l'entreprise lavalloise détient moins de 2 % du marché mondial. Au printemps dernier, cette entreprise de services contractuels avait remporté la palme dans la catégorie <@Ri>Innovation technologique<@p> lors du gala Dunamis honorant les sociétés les plus méritantes de la région. 50 M$ en 2006 LAB Recherche a clôturé l'année 2006 avec des revenus de 49,6 M$, fruits de plus de 1200 études réalisées auprès d'une clientèle notamment formée de plus de 700 pharmaceutiques et sociétés en biotechnologie de par le monde. À la lumière des résultats publiés au terme du premier semestre de l'année en cours, il appert que les affaires marchent plutôt rondement. Les ventes ont atteint 28,3 M$, une hausse de 23 % par rapport à la même période l'an dernier. Aux dires de la vice-présidente finances, Louise Bussières, les sociétés provenant des États du nord-est américain auraient généré beaucoup d'activités en 2007, alors que l'importante clientèle basée sur la côte ouest leur est toujours aussi loyale. Bon an mal an, les études en toxicologie menées dans les laboratoires de Laval sont effectuées pour le compte d'entreprises nord-américaines dans une fourchette de 70 % à 80 %, principalement des sociétés américaines, précise Luc Mainville. Quant aux mandats que les pharmaceutiques et biotechs de l'Asie et de l'Australie confient à LAB Recherche, plusieurs sont effectués aux bureaux de Laval, pendant que les contrats émanant du continent européen sont traités depuis les installations du Danemark et de la Hongrie.Fichier: LAB
  4. 14,2M$ pour rafraîchir l'héritage olympique André Beauvais 06/10/2007 14h22 Des réparations majeures évaluées à 14,2 M$ seront réalisées dans quatre installations sportives faisant partie de l'héritage des Jeux olympiques de 1976. Il s'agit de deux immeubles et de deux sites de compétition qui ont marqué l'histoire sportive de Montréal. Le maire Gérald Tremblay et sa collègue vice-présidente du comité exécutif, Francine Senécal, ont confirmé ces projets, hier, en présence de la ministre de la Famille, Michelle Courchesne, qui assurait du même coup une contribution de 50 % du gouvernement du Québec à cette facture. Claude-Robillard Les travaux les plus importants, d'une valeur de 8,7 M$, seront exécutés au Complexe sportif Claude-Robillard. La modernisation de la piste d'athlétisme Étienne-Desmarteau coûtera 2,7 M$. Celle-ci remplacera l'ancienne piste qui était située au Parc olympique, mais qui a été démolie pour faire place au stade Saputo. Par ailleurs, des travaux de rénovation au Centre Pierre- Charbonneau coûteront 1 M$ et le réaménagement des berges du Bassin olympique, au parc Jean-Drapeau, coûtera 1,6 M$. Fierté "Ces installations, a dit le maire, ont marqué notre histoire sportive et font la fierté de la métropole. «En investissant pour maintenir la qualité de nos installations sportives, nous faisons un choix judicieux puisque le sport et l'activité physique contribuent à la qualité de vie des citoyens de Montréal», a commenté Gérald Tremblay. Les quatre installations sportives qui seront rénovées desservent, selon la Ville de Montréal, près de 25 % de la population du Québec entier. La part du lion Le Complexe sportif Claude- Robillard recevra la part du lion. Après plus de trente ans d'utilisation, plusieurs de ses équipements ont atteint la limite de leur durée de vie utile. Les travaux à cet endroit visent la restauration des bassins de plongeon et de natation, les tremplins, le système de filtration, les systèmes d'éclairage et le remplacement de certaines portes et fenêtres Aux trois autres installations, les travaux consisteront à améliorer tous les services offerts, comme les douches, les vestiaires, l'éclairage, la ventilation, etc.
  5. version plus longue du même article dans le Lower Hudson Online: Feasting on Montreal's charms By ERICA JOHNSTON THE WASHINGTON POST (Original publication: October 7, 2007) I've been captivated by Montreal since my first trip there almost 20 years ago, drawn in by two things in particular: the bowls of hot chocolate offered at the city's many cafés - hey, why settle for a measly cup? - and the people who packed the streets in July and August, soaking in the two-month party they call summer. It seemed as busy as midtown Manhattan at rush hour, but these people were smiling. So when my oldest and best friend and I realized that our 40th "anniversary" was approaching, I managed to talk her into a celebratory trip over a long weekend. To Montreal, of course. When I arrived on a summer-like fall afternoon, a day before Kathy, I hit the streets. It had been eight years since my last visit. Had I exaggerated the city's charms? From our hotel downtown, I walked a mile or so, past the edge of Chinatown and through the Latin Quarter to the Plateau, the neighborhood where my affection for the city first took root. Ahhhh, the Plateau. Pretty much in the middle of the part of the city frequented by visitors, the neighborhood is all about strolling, sipping and shopping: chic marries shabby-chic, college professor meets slacker, with an impressive assortment of retro record stores, independent bookstores, artfully graffitied walls, more than a few "tatouage" parlors, and ethnic restaurants everywhere. (Anybody up for food from Reunion, the island off Africa?) Along the leafy side streets, spiral staircases wind their way up the outsides of cozy rowhouses. Somehow, it seemed that if I knocked on a few doors, I'd find someone I knew. A few blocks away, Mount Royal, the modest mountain and majestic park on the neighborhood's western flank, rises over the city, offering a constant compass and an instant refuge to anyone who needs one. In a bakery, a boy of about 4 offered me his friendliest "Allo!" I did my best to respond in kind: "Allo." "Oh," he responded, no fool he. His smile never broke. "Hello!" And that seems to sum up the language issue - for tourists, anyway; it's far more complicated for residents - in the place generally acknowledged to be the world's second-biggest French-speaking city. French? English? Whatever. We can work with you. A half-hour in the Plateau and I felt back in the groove. I wasn't dragging my friend up here for nothing, after all. The pungent smoke wafting out the doors of Portuguese rotisseries, the burnished yellows and oranges of the maples along the sidewalks, the tangle of overheard languages: My senses felt fully open. This, all of this, in its understated splendor, was what I wanted to show her. I was ready to lead the way on the Walking and Talking (and Eating) Tour. But first, La Binerie. In travel, and OK, in the rest of life as well, there is no doubt: I lead with my stomach. The rest of me merely struggles to keep up. So the next morning - Kathy wouldn't arrive until later - I headed back to the Plateau, this time on the subway, to La Binerie (The Beanery), a nearly 70-year-old, bare-bones eatery renowned for its Quebecois specialties. I knew I must tend to this vital errand, stat, while I still could. For Kathy, as fate would have it, is a doctor. Along with the requisite eggs and home fries, my plate was promptly piled with four kinds of pork: ham, Canadian bacon, sausage and the salt pork that the beans were cooked in. As Charlotte the spider wrote in her web of her friend Wilbur, this was "some pig." La Binerie surely wasn't the reason Gourmet magazine devoted an entire issue in 2006 to Montreal's culinary prowess, but the dowdy lunch counter earned its mention. My repast, enough to make a long-haul trucker groan, was frighteningly tasty. Just in time to save my health - or to try - Kathy flew in from Boston. Immediately, we started walking. Nearly everyone who crossed our path was unrelentingly friendly. Even the illuminated "man" in the crossing signals has a spring in his step; check it out. Along Rue St. Denis, a beautifully dressed woman stepped out of an elegant bakery with an elaborately wrapped sandwich and handed it with a smile to a homeless stranger. By the time a Metro toll taker wished us a good life - and seemed to mean it - we weren't especially impressed. We walked along the lovely Rue Laurier from east to west, from a low-key weekend street market to the decidedly upmarket blocks of fancy shops west of Rue St. Laurent. That street, also called "The Main," has historically served as the unofficial line separating the city's French culture from its English-speaking stronghold. These days, it could be said that there is more to divide the city, culturally speaking, but that fewer things do. French speakers may have lost a war or two, official and otherwise. But they won the battle for their language, with more than half of the city's residents declaring French as their first language, though most speak English, as well. After thousands of English speakers left the city at the height of the Quebecois separatist movement in the 1970s and '80s, the proportion of those who speak English as a first language has been estimated at about one in five. Today's Montreal is often a wonderful jumble, with strong strands of distinct cultures living amongst one another. It's been called a salad bowl - the concept of Canadian diversity as separate components complementing each other, as compared with the American ideal of the melting pot. In few places is this more true than in Mile End, a historically Jewish enclave that was one of my favorite discoveries of the trip. Mile End, the boyhood home of the late novelist Mordechai Richler (along with his famous protagonist, Duddy Kravitz), is gentrifying rapidly. But though the challenge of change in the neighborhood just north of the swanky part of Rue Laurier riles some, others revel in it. To the outsider, the place offers a kaleidoscopic array: The Asian teenager with an Orthodox Jew's side locks ambles along Rue St. Viateur. At a street corner, black-clad Goth girls check out South American pan flutists. Butcher shops of seemingly every Eastern European persuasion line the streets. Here's where you get your Montreal bagels, smaller, denser and sweeter than their American counterparts. Their supporters insist that these rounds, boiled in honeyed water before baking, are the real deal; the recipe allegedly was brought over by Romanian Jews in the early 1900s. A couple of storefronts away, a 20-something guy at the Olympico Cafe, a hipster cafe known in a previous life as Open Da Nite, switched from a pitch-perfect "dese, dem, dose" Brooklynese to a flowing French without so much as taking a breath. From there, we continued on a mile or so north, to the Little Italy neighborhood and - more to the point - the Jean-Talon Market, a huge, year-round public market for regionally grown meats, cheeses, fruits and vegetables. Such spots often serve as my museums, telling me more about a place than most collections of art or artifacts ever could. It was a Saturday, and the joint was jammed with more than 100 stalls and thousands of Montrealers, all pondering the same age-old question: What's for dinner? Sure, the usual suspects were there: apples, potatoes, fall lettuces. But it was the shock of the new that captivated: cauliflower that looked downright hallucinogenic, with chartreuse or purple florettes and otherworldly mountain- and valley-like fissures. They looked like exotic coral. Then there were the cerises de terre, ground cherries, which came clad in their own papery jackets - only appropriate, it seemed, for the climes. But the sweet, yellow, cherry-size fruit isn't a cherry; it's a relative of the similarly dressed tomatillo. Across the way, I sampled a single strawberry, not believing that the delicate fruits could prosper in Quebec, of all places, in late September, of all times. They do. It was easily the best strawberry I've ever had. The chilly weather only makes them sweeter, the grower boasted. On Sunday night, as our time wound down, we followed our trip to its logical conclusion: dinner at Au Pied de Cochon, a boisterous bistro that offers an unabashed homage to all creatures fat and fowl, a cuisine that is profoundly, jubilantly Quebecois. Chef Martin Picard, a darling of the back-to-the-land school of cooking, looks like a lumberjack, and kind of cooks like one, too. On the menu: "The Big Happy Pig's Chop," "the Pig's Foot" and steak that tends to be venison, when it's in season. And being true to his school, he's got poutine, of course. But here's the difference: Picard's poutine - that much maligned mess of french fries, gravy and cheese curds that is Quebec's guilty pleasure - is topped with a hunk of foie gras. That's something along the lines of elevating, say, New Englanders' beloved Marshmallow Fluff. Perhaps never before has a culinary crime been committed so gleefully. As chef and writer Anthony Bourdain has written, the haute poutine "breaks every known standard of decency and common practice. And I loved it." Picard plays with his food, and if (and only if) you're a devoted carnivore, you'll appreciate his heart and humor. But if forced to choose, I'd say our favorite meal was at La Montee de Lait, a smallish refuge tucked into a quiet corner of the Plateau that offers a fixed-price parade of exquisite small plates. Of course, it's all about what you're in the mood for: Au Pied's culinary equivalent of a luxury suite at a Canadiens championship game, or La Montee de Lait's night at the symphony. And then, sadly, the time came to put down our forks and back away slowly. The air had turned seasonably chilly, and we marveled at the Montrealers sitting at sidewalk cafés. For us, it was freezing, and unthinkable. But they were enjoying it while they could, knowing that everything - even the temperature - is relative. And the bowls of hot chocolate couldn't have hurt, either.
  6. Congédiement de l'AMT: le chef de Projet Montréal débouté Martin Croteau La Presse Le chef du parti Projet Montréal, Richard Bergeron, a été débouté dans sa tentative de faire annuler son congédiement par l'Agence métropolitaine de transport (AMT). La Commission des normes du travail a jugé cette semaine qu'il s'était placé en situation de conflit d'intérêts en cumulant les charges d'élu et d'employé d'un organisme public. Dans une décision rendue lundi, la juge Arlette Berger donne raison à l'AMT. Elle soutenait que les positions politiques de M. Bergeron étaient incompatibles avec l'exercice de ses fonctions au sein de l'organisme, qui exploite les trains de banlieue, terminus et stationnements incitatifs du Grand Montréal. «La Commission est d'avis qu'il existe une situation potentielle et apparente de conflit d'intérêts entre les fonctions exercées par le plaignant à l'AMT et sa charge d'élu municipal et de chef de parti politique», peut-on lire dans le jugement. Militant de longue date pour les transports en commun, Richard Bergeron s'est fait connaître en publiant Le livre noir de l'automobile. Il a été embauché en 2000 par l'AMT comme responsable des analyses stratégiques. Frustré par la tiédeur des élus à améliorer les transports collectifs, il a fondé son propre parti lors des élections municipales de 2005. Le 1er décembre, au terme d'un dépouillement judiciaire, il a été assermenté comme conseiller dans l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Le directeur général de l'AMT, Joël Gauthier, a rencontré M. Bergeron quelques jours plus tard pour l'aviser que ses nouvelles fonctions étaient incompatibles avec ses anciennes. Il lui a proposé un congé sans solde pour la durée de son mandat, une offre qu'il a refusée. Le 20 janvier 2006, l'AMT a cessé de le rémunérer. Moins d'un mois plus tard, Bergeron s'est plaint à la Commission des normes du travail. Richard Bergeron s'est dit «très surpris» par la décision de la Commission, qu'il songe à porter en appel. Selon lui, son cas n'est pas pire que ceux d'autres élus municipaux. Il cite en exemple le maire de l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, Michael Applebaum, qui siège aussi au Conseil consultatif d'urbanisme, en plus d'exercer le métier d'agent immobilier. Ou encore Michel Labrecque, conseiller de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, qui préside Montréal en lumière, un organisme subventionné par la Ville de Montréal. L'AMT n'a pas commenté la décision.
  7. hahahaha ben non Greg, c'est pas grave, c'est un pays libre. Ils viennent, ils aiment tant mieux, bienvenue! On veut des gens comme ça! Ils aiment pas? Et bien tant pis, la vie continue, qu'ils retournent chez eux! On ne peux pas plaire à tout le monde.
  8. Man sérieux, tu veux étudier quoi plus tard?? j'espère que ça sera là dans Beau travail!! Continue!
  9. 14 millions $ pour rénover des infrastructures sportives La salle omnisports du Complexe sportif Claude-Robillard. Photo Robert Skinner, La Presse Lia Lévesque Presse Canadienne Montréal Il n'y a pas que nos infrastructures routières datant des années 1970 qui ont besoin d'être rénovées. Québec et la Ville de Montréal injecteront 14 millions $ dans des infrastructures sportives qui datent de l'époque des Jeux olympiques de 1976. Deux ministres du gouvernement du Québec, Michelle Courchesne (Éducation, Loisir et Sport) et Raymond Bachand (responsable de la région de Montréal) en ont fait l'annonce, vendredi, aux côtés du maire de Montréal, Gérald Tremblay. La somme de 14,2 millions $ sera divisée moitié moitié entre la Ville et le gouvernement du Québec. Les infrastructures sportives qui bénéficieront d'une remise à niveau sont le Complexe sportif Claude-Robillard, la piste d'athlétisme Étienne-Desmarteau, le bassin olympique et le Centre Pierre-Charbonneau.
  10. Québec ne favorise pas assez l'immigration et l'exportation d'eau, dit Brunet Il y a 1 heure MONTREAL - Le président du conseil d'administration de la Caisse de dépôt et placement du Québec et de Montréal International, Pierre Brunet, a déploré vendredi que le gouvernement n'investisse pas davantage dans l'immigration et ne mette pas l'accent sur l'exportation de l'eau. Dans un discours prononcé devant l'Association des professionnels en développement économique du Québec, M. Brunet s'est désolé que Québec verse au fonds consolidé de la province une bonne partie des transferts fédéraux destinés à l'intégration des immigrants. Or, le Québec fait face à une pénurie de travailleurs qualifiés et ce n'est qu'en augmentant le nombre d'immigrants qu'on pourra y mettre fin, a-t-il estimé. Pour cela, il faut, selon lui, assouplir les règles d'immigration, faciliter l'accueil et l'intégration des nouveaux arrivants de même qu'améliorer la reconnaissance des diplômes étrangers. Pierre Brunet s'est par ailleurs dit étonné que le gouvernement ne mise pas davantage sur l'exportation de l'eau, alors que le Québec possède environ trois pour cent des réserves d'eau douce renouvelable du monde. A ses yeux, les opposants à l'exportation d'eau n'ont aucun argument valable.
  11. Les français déchantent au Québec Magazine Challenges | 04.10.2007 | Réagir à cet article Canada : Le taux de chômage des étrangers atteint 11,5%, contre 4,9% pour les nationaux. Le Canada ne serait-il pas l'eldorado que l'on imaginait pour les immigrants ? Selon les chiffres publiés pour la première fois par Statistique Canada, l'équivalent de l'Insee, le taux de chômage des étrangers au Canada atteint en effet 11,5% après cinq ans de résidence dans le pays, alors qu'il est seulement de 4,9% chez les Canadiens de souche. Lire aussi Pour les 250000 personnes qui émigrent au Canada chaque année, les désillusions sont parfois fortes. Notamment au Québec, la province où 90% des Français émigrent. D'abord, avant d'obtenir un visa de résident permanent, il faut remplir les critères de la politique d'immigration sélective mise en place par le gouvernement d'Ottawa, composée d'objectifs économiques, démographiques et humanitaires. Sommairement, il faut entrer dans une des quatre catégories d'immigrants suivantes : travailleurs qualifiés, investisseurs, réfugiés, ou immigrants au titre du regroupement familial. Une fois arrivés sur le sol québécois, les nouveaux venus découvrent que la Belle Province est régie par une quarantaine d'ordres professionnels et que, sans un diplôme national, pas question d'exercer son métier d'origine. C'est le cas des infirmières, des médecins ou des ingénieurs français. Ils sont obligés de reprendre des études, de changer de boulot ou de travailler clandestinement. Comme ce jeune ingénieur mécanicien arrivé à Montréal il y a deux ans : «Mon diplôme n'est pas reconnu par l'ordre des ingénieurs du Québec. Tous les employés de notre cabinet sont dans ma situation, mais cela ne nous empêche pas de travailler... avec un statut de consultants.» D'autres, moins chanceux, sont obligés de repartir. 50% de retour Les difficultés des Français ne sont pas que professionnelles. Outre les couacs réguliers dans la communauté francophone où les Français sont souvent considérés comme arrogants, nos concitoyens déchantent aussi dès lors qu'il s'agit de se faire soigner, alors que le système de santé canadien est classé au trentième rang mondial par l'Organisation mondiale de la Santé. Assez discret sur le nombre exact d'immigrants français au Canada - entre 120 000 et 130 000 -, le consulat de France à Montréal estime qu'environ un Français sur deux retourne dans l'Hexagone après quelques années. Le ministère québécois de l'Immigration, lui, a toujours refusé de donner des chiffres sur le taux d'échec des Français. André Clémence, 55 ans, chef d'entreprise, tempère : «Beaucoup de Français souhaitent que la vie soit comme en France. Ils ont seulement des difficultés d'adaptation.» par Ludovic Hirtzmann
  12. Montréal lance sa Bourse climatique 5 octobre 2007 - 06h19 La Presse Denis Arcand Agrandir Le grand patron de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand. Grossir caractèreImprimerEnvoyer .a{float:left;padding:0px 15px 10px 0px;text-align:center;width:175;} La Bourse de Montréal (MXX) et son partenaire, la Bourse climatique de Chicago, ont déposé jeudi à l'Autorité des marchés financiers leur très attendu projet de Marché climatique de Montréal, a appris La Presse. C'est la principale étape concrète vers le lancement de cette Bourse des gaz polluants, qui vise à fournir des mesures d'incitation financière aux entreprises pour réduire leurs émissions de gaz nocifs pour l'environnement. Le texte du projet doit être publié ce matin dans le Bulletin de l'AMF. Le lancement du Marché climatique de Montréal MCeX est conditionnel à l'approbation de l'AMF. La loi prévoit une période de consultation de 30 jours avant sa décision. Le président de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand, n'a pas voulu confirmer que son projet sera rendu public aujourd'hui, se bornant à dire que la publication du document est «pour très bientôt». La Bourse de Montréal a un allié de taille dans l'aventure, soit la Bourse climatique de Chicago (aussi appelée CCX), une entité indépendante qui possède aussi la Bourse climatique d'Europe, et qui a une participation de 49% du futur Marché climatique de Montréal. «Cela nous permet de nous brancher sur la plus grande expertise au monde, de loin, dans le domaine», a dit M. Bertrand. Il a noté qu'en Europe, où les gouvernements ont énoncé des cadres réglementaires clairs, la filiale européenne de CCX «fait de l'argent». Là-bas, les firmes inscrites échangent de très grandes quantités de crédits de carbone (mesurés en tonnes de CO2). Les firmes ont des objectifs de réduction d'émissions de gaz à effets de serre. Si elles échouent en polluant trop, elles doivent payer des frais, mais elles peuvent aussi atteindre leurs objectifs en achetant les «crédits de carbone» à d'autres firmes qui ont un meilleur bilan environnemental. Aux États-Unis, la Bourse CCX fonctionne sur une base volontaire, mais les firmes participantes signent des contrats qui les obligent devant la loi à fonctionner dans ce système de droits d'émission. La Bourse climatique de Montréal - la seule au Canada - impliquera seulement les firmes volontaires, comme aux États-Unis, mais cela pourrait changer, si le gouvernement fédéral de Stephen Harper adopte des règlements contraignants. Le projet de politique environnementale annoncé plus tôt cette année par le gouvernement Harper a généralement déçu les environnementalistes, mais la Bourse de Montréal a quand même jugé que cet énoncé de politique est suffisant pour lancer une Bourse climatique. «La très grande majorité des émetteurs de gaz à effets de serre canadiens avec qui nous en avons discuté sont très intéressés parce que cela fixerait un prix pour les crédits», a dit M. Bertrand. Et quel serait ce prix? «En Europe (où les gouvernements ont adopté un cadre clair), la tonne de CO2 vaut 21 euros sur la European Climatic Exchange» et les volumes sont élevés. «Aux États-Unis (où c'est purement volontaire), la tonne de CO2 vaut 3$», et les volumes sont bas. «Personne ne sait quelle ampleur cela va prendre ici, ni combien de temps il faudra attendre de grands volumes. Mais c'est clair que c'est quelque chose qui s'en vient, d'une façon ou une autre.» Selon M. Bertrand, la Bourse de Montréal et son allié de Chicago ont travaillé durant quatre ans à la conception de cette Bourse et de son contrat à terme. Pour consulter le document qui doit être mis en ligne ce matin: www.lautorite.qc.ca/bulletin.fr.html
  13. its the Riu Cancun hotel, near everything, very good food, clean rooms, bad beach, excellent pools.
  14. c'est pas comme ils en avaient abusés, c'était très mineur comme ajout, ça aurait fait moins "bland". Ça reste quand même un très beau projet.
  15. Dommage qu'elle a perdu sont vert et rouge... ça aurait été le petit plus pour confirmer son excellent design... eh bien.
  16. Cyclistes recherchés aux condos Louis Bohème Situé dans le Quartier des spectacles, à deux pas du secteur des affaires de la rue McGill et à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent et du Plateau-Mont-Royal, le Louis Bohème veut attirer «des professionnels du XXIe siècle». Illustration fournie par le promoteur Marie-France Léger La Presse Le promoteur du Louis Bohème, deux nouvelles tours à condos de 28 et 14 étages dont la construction a débuté coin De Maisonneuve et De Bleury, veut marquer un grand coup. Selon Javier Planas, président de Sacresa Canada, ce nouveau projet de 282 condominiums au design très contemporain, dont la mise en marché vient de commencer, donnera naissance à rien de moins qu'un nouveau mode de vie au centre-ville. «Nous avons été des pionniers avec l'Hôtel-Boutique Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. Nous serons encore cinq ans en avance avec le Louis Bohème», a décrété M. Planas à La Presse. Situé dans le Quartier des spectacles, à deux pas du secteur des affaires de la rue McGill et à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent et du Plateau-Mont-Royal, le Louis Bohème veut attirer «des professionnels du XXIe siècle», marcheurs et cyclistes, qui laisseront sans nul doute leur voiture dormir dans le stationnement intérieur. «Les gens marcheront au centre-ville pour aller travailler, pour aller au restaurant et au spectacle.» Destiné à une clientèle urbaine, «artistique et bohème, avec une sensibilité accrue à l'environnement», le Louis Bohème, un investissement de 70 millions$, offrira la proximité de la piste cyclable prolongée du boulevard de Maisonneuve ainsi qu'un accès intégré à la station de métro Place-des-Arts. Les promoteurs prévoient également une mini-révolution dans le garage: des cases à vélo pour chaque appartement. Livrés idéalement à partir de l'automne 2009, les condos affichent des prix relativement abordables pour un emplacement aussi stratégique, affirme Javier Planas. «Ils sont faits pour la classe urbaine moyenne.» On prévoit 108 appartements d'une chambre dont le coût oscille entre 176 500$ et 279 000$ plus taxes. Le projet compte aussi 171 unités de deux chambres, pour un prix variant entre 258 000$ et 570 000$ plus taxes. S'ajouteront également trois appartements terrasses de type penthouse. Vue dégagée et architecture poussée Le complexe est composé de deux édifices: la premier, de 28 étages, donnant sur le boulevard De Maisonneuve, et le second, plus petit, de 14 étages, donnant rue De Bleury. M. Planas souligne que le dégagement est un des avantages incontestables du projet. Actuellement, le parc des Festivals, le parc Domtar et le site de l'Îlot Balmoral complètent l'intersection. Sacresa Canada, filiale de la maison mère de Barcelone, a fait appel aux architectes Menkès Shooner Dagenais LeTourneux. Ceux-ci ont concrétisé la vision du promoteur: une façade plus sérieuse et uniforme côté De Maisonneuve et une image plus ludique pour la façade rue De Bleury en jouant avec l'aspect décalé des ouvertures. Les designers MP1/Innédesign sont appelés à insuffler à l'ensemble un design très contemporain, amalgame d'une culture mixte entre l'Amérique du Nord et l'Espagne. Louis Bohème mise sur l'abondance de services: jardin paysager pour les résidants, stationnement intérieur, centre de conditionnement physique avec salle d'exercice, piscine et sauna, salon/bibliothèque et présence d'un concierge jour et nuit. Sur le plan environnemental, le promoteur a tenu à n'utiliser que des peintures et finis non toxiques dans l'aménagement des unités, à inclure des appareils ménagers Energy StarTM, des douches à bas débit ainsi que des thermostats électroniques programmables partout. On prévoit l'installation à tous les étages de chutes séparées pour déchets recyclables. Condominiums Louis Bohème 350, boul. De Maisonneuve Ouest Investissement: 70 millions Nombre d'unités: 282 Début et fin de la construction: août 2007 au printemps 2010 Architectes: Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Designers: MP1/Innédesign
  17. DHC/ART met Montréal sur la carte Phoebe Greenberg, artiste, femme d’affaires et diplômée de l’École internationale de théâtre Jacques-Lecoq, à Paris, a créé la fondation DCH/ART, qui versera notamment 1,3 million par année aux artistes contemporains. Photo André Pichette, La Presse Mario Cloutier La Presse Le nouvel espace d’exposition DHC/ART ouvre ses portes vendredi dans le Vieux-Montréal avec une quarantaine d’œuvres récentes de l’artiste britannique Marc Quinn, sa première exposition individuelle au Canada et sa plus importante organisée à ce jour en Amérique du Nord. Jusqu’au 6 janvier 2008. [/url] Ce nouveau lieu de diffusion permanent accueillera ensuite des expositions internationales, trop grandes pour la plupart des galeries et comparables à ce que font plusieurs musées. Derrière tout ça, une nouvelle fondation, qui versera notamment 1,3 million par année aux artistes contemporains. La mécène Phoebe Greenberg en a voulu ainsi. Elle nageait sous la surface depuis longtemps à Montréal. Doucement, craintivement presque, elle émerge avec un immense cadeau à sa ville d’adoption, elle qui est née à Ottawa, au sein d’une famille reconnue pour sa philanthropie, et qui a aussi vécu en Europe. «Tout a commencé avec une idée : réfléchir à la condition humaine. J’aurais pu créer une fondation dans un autre domaine, mais les arts comptent vraiment pour moi. C’est là ou je peux exceller», explique-t-elle. Artiste, femme d’affaires, Mme Greenberg nous vient du théâtre. Elle est diplômée de l’École internationale de théâtre Jacques-Lecoq à Paris. Elle a joué, elle a produit des spectacles, produit et écrit un court métrage de Denis Villeneuve l’été dernier. Mais l’œuvre de sa vie, c’est indéniablement cette galerie à couper le souffle, avec ses puits de lumière, ses murs rétractables et un ascenseur transparent. La Presse a eu la chance d’y pénétrer sur la pointe des pieds avec la maîtresse des lieux. Les employés s’affairaient à ouvrir les boîtes contenant les pièces de Marc Quinn, ou pourrait-on dire, les «cercueils» de ses troublantes sculptures. «Les artistes qui sont venus voir aiment les dimensions. L’édifice présente des défis, mais nous avons tenté de créer un espace flexible sans être une boîte blanche», dit-elle en déambulant dans ce joyeux bordel pré-exposition. L’art en avant-scène Auparavant, DHC/ART avait aidé David Altmejd pour son séjour à la Biennale de Venise cette année. Plus tôt encore cette année, le groupe avait aussi présenté en primeur à Montréal le film Zidane, un portrait du 21e siècle. DHC/ART Fondation pour l’art contemporain est une OSBL qui ne fonctionne qu’avec des dons privés. «Le secteur a une responsabilité face aux arts», croit Mme Greenberg. DHC sont les lettres de sa compagnie de production, Diving Horses Creations, un nom inspiré d’un divertissement populaire dans les années 1880 où un cheval plongeait de très haut dans une piscine. Pourtant, Phoebe Greenberg ne semble pas de celles prêtes à se lancer dans le vide. Mais elle n’aime pas parler d’elle-même. Son amour pour l’art prend toute la place. Elle en parle avec chaleur et pertinence. Au long de son parcours, de ses voyages, elle a vu que le talent existe à profusion chez nous et que celui qui triomphe à l’étranger veut venir respirer l’air créatif de Montréal. «Montréal est une ville jeune et vibrante, dit-elle. Nous avons besoin de voir des expositions internationales. Il y a énormément de talent ici. Dans mes voyages, en visitant les biennales, j’ai compris que les artistes étaient inspirés par l’idée de venir à Montréal, même s’ils ne sont jamais venus. Marc Quinn est un grand artiste et je suis honorée qu’il ait accepté notre invitation.» _________________________________________________________ Marc Quinn à la galerie DHC/ART, 451, rue Saint-Jean, à partir de vendredi. Infos : www.dhc-art.org.
  18. Québec lève le dernier obstacle au projet de port méthanier Rabaska Il y a 54 minutes QUEBEC - Le gouvernement Charest a levé jeudi le dernier obstacle qui l'empêchait encore d'annoncer qu'il autorisera les promoteurs du projet Rabaska à aller de l'avant avec la construction d'un port méthanier sur la rive-sud de Québec. Les besoins énergétiques doivent donc primer sur la protection du zonage agricole, aux yeux du gouvernement, qui a choisi d'exclure du dossier la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ), à la suite de l'avis provisoire émis par l'organisme et qui était défavorable à l'implantation du port méthanier à l'endroit prévu. En conférence de presse, le ministre des Ressources naturelles, Claude Béchard, a justifié cette décision du gouvernement en faisant valoir l'urgence de la situation. Selon lui, Québec veut ainsi s'assurer de pouvoir s'approvisionner en gaz naturel sur le marché mondial dans les années qui viennent. Il n'était donc pas question, a-t-il ajouté, de retarder encore davantage la construction du mégaprojet de 840 millions $, qui devrait faire l'objet d'une annonce officielle d'ici quelques semaines.
  19. Québec donne un coup d'accélérateur Le projet Rabaska Le ministre des Ressources naturelles et de la Faune, Claude Béchard, a annoncé jeudi que le gouvernement retire le dossier Rabaska à la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ). Le gouvernement Charest fait ainsi sauter les derniers obstacles qui empêchent la réalisation du projet de terminal méthanier à Lévis. Chargée de vérifier si des terres agricoles sont menacées par des projets industriels, la CPTAQ a récemment rejeté de façon préliminaire un changement de zonage demandé par la Ville de Lévis. La demande aurait permis de construire le port méthanier à l'extrémité est de la ville. La Ville et le promoteur attendaient maintenant un nouvel avis de la CPTAQ après avoir remis un rapport de 6 pages réitérant que le territoire choisi était le seul envisageable. Le gouvernement n'entend pas étirer les délais dans le dossier. Claude Béchard soutient qu'il y a urgence d'agir. « Un des éléments importants au Québec, quand on fait du développement économique, qu'on a de gros projets, à un moment donné, il faut envoyer des signaux aux promoteurs », dit-il. Le gouvernement se dit extrêmement rassuré par les quelque 700 mémoires déposés et entendus lors des audiences du BAPE et par l'entente conclue entre le promoteur et le syndicat local de l'UPA. Il ne reste maintenant plus que le décret ministériel pour autoriser le terminal.
  20. Burlington,VT Airport Over Philadelphia Over Philadelphia Mexican jungle Coca Cola sponsored street signs Some guy taking it really easy.
×
×
  • Créer...