Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'paris'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Le Musée de cire Grévin de Paris (genre Mme Tussaud de Londres et NY) va ouvrir une "succursale" à Montréal, en haut du Centre Eaton. Je viens d'entendre ceci aux nouvelles régionales sur Radio-Can. Je ne trouve aucune référence sur le net (yet), mais aussitôt que je l'ai je l'ajouterai (à moins que l'un d'entre vous soit plus rapide!) Un projet de 13 millions dit-on, entièrement financé par des intérêts privés. On ajoute que le musée a demandé à des Québécois de revamper la formule avec une technologie de pointe multimédia. À suivre.....
  2. Le 10 décembre 1964, le maire Jean Drapeau dévoile un projet de tour pour Expo 67. Érigée à l'extrémité est de l'île Sainte-Hélène et d'une hauteur de 325 m (1 066 pi), cette tour, réalisée conjointement par les villes de Montréal et de Paris, doit commémorer le 325e anniversaire de la fondation de Montréal. Faute de ressources financières, le projet est abandonné l'année suivante. Le stade olympique dans lequel jouent les Expos aujourd'hui, ressemble étrangement à cette tour...
  3. The Global Financial Center Index published by the China Development Institude and Z/Yen partners in London ranks financials centers worlwide based on criterias such as business stability and environnement, technology and assessment by the financial community. Montreal ranks 14th up 1 spot since the last ranking 6 months ago, ahead of cities such as Geneva, Frankfurt or Paris. Highest ranked city in Canada is Toronto in 10th place, London tops chart ahead of New York and Singapore to round top 3. http://www.longfinance.net/images/gfci/gfci_21.pdf
  4. IluvMTL

    Infoman

    «10 cm de neige, ce qui n'arrive qu'une fois aux 25 ans à Paris se produit à peu près aux 2 jours à Montréal.» Un autre épisode savoureux d'Infoman à voir! ? Emission du 15 decembre 2016 | Infoman | ICI Radio-Canada - Tele
  5. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  6. Le nouveau palais de justice de Paris. http://www.lepoint.fr/immobilier/le-nouveau-palais-de-justice-de-paris-24-02-2012-1434798_31.php
  7. Est-ce du flafla ou du concret? L’avenir le dira! http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/13/montreal-et-paris-signent-un-accord-de-cooperation_n_5319680.html Le maire de Montréal Denis Coderre est en France, où il a rencontré mardi la nouvelle mairesse de Paris, Anne Hidalgo. Les deux Villes ont signé une entente pour favoriser l'accès des entreprises aux deux marchés. Ils comptent y arriver notamment en favorisant la « bilocalisation » des entreprises. Montréal et Paris promettent aussi des rapprochements dans le domaine du numérique, des transports en commun ou de l'aménagement urbain. La mairesse Hidalgo, qui recevait un maire étranger pour la première fois depuis son élection en avril, a parlé d'une longue amitié entre les deux villes. Après seulement 30 minutes de discussions, les deux maires se tutoyaient, ce qui n'est pas dans les moeurs françaises. « Moi, je suis intéressée par le modèle de Montréal sur les questions du traitement de la grande pauvreté dans nos rues, a déclaré Mme Hidalgo. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons, à Paris, des défis à relever. Je souhaite aussi voir comment une ville comme Montréal avance sur ces sujets. » L'administration montréalaise aidera notamment Paris à recenser le nombre de sans-abri sur son territoire, a indiqué Denis Coderre. « On a conscience tous les deux, et on en a parlé, que l'avenir passe par les grandes métropoles. C'est un espace d'activités et de résolution de la plupart des défis de la planète », a estimé Mme Hidalgo. « Il faut que cet ordre de gouvernement ait les coudées franches, et il faut apprendre à travailler ensemble, a renchéri le maire de Montréal. Tout de go, c'est le but de ma mission en Europe. C'est de travailler notamment avec Anne, et ça va bien! » Après avoir visité ses homologues de Lyon et Paris, Denis Coderre terminera sa tournée européenne jeudi à Bruxelles. Avec des informations d'Anyck Béraud et Alexandra Szacka
  8. Envie de voyage en amoureux, de dépaysement à deux, de balades main dans la main dans une ville exotique? Oui, mais où ? Le site de rencontre et de voyage MissTravel.com vient de publier son classement des villes les plus romantiques au monde. Pour y parvenir, des données rassemblant 7340 réservations de vols à travers la planète ont été rassemblées. Et les résultats sont surprenants. Vous pensiez que Venise et Paris étaient encore les destinations rêvées pour une semaine en amoureux ? http://www.huffingtonpost.fr/2014/01/26/les-20-villes-les-plus-romantiques_n_4668375.html
  9. Un autre exemple des créations de Montréal qui s'exporte L'exposition du MBAM sur Jean Paul Gaultier sera à Paris en 2015 22 janvier 2014 11h53 | La Presse canadienne | Actualités culturelles Photo : Pedro Ruiz - Archives Le Devoir La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée «historique». L'exposition La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles, initiée, produite et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal avec la collaboration de la Maison Jean Paul Gaultier, sera présentée à Paris du 1er avril au 3 août 2015. Il s'agira d'une dixième étape pour l'exposition, après Montréal, Dallas, San Francisco, Madrid, Rotterdam, Stockholm, Brooklyn, Londres et l'Australie. La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée « historique » et a indiqué, par communiqué, vivre « une joie sans précédent de partager le message profondément humaniste et tolérant de ce fils prodigue de retour dans sa Ville lumière ». L'exposition propose des pièces inédites de haute couture et de prêt-à-porter créées entre 1970 et 2013. La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles a par ailleurs accueilli son millionième visiteur lors de son passage au Brooklyn Museum, à New York. En 2014, elle voyagera au Barbican Art Centre de Londres du 9 avril au 25 août et poursuivra sa route vers d'autres destinations qui seront annoncées prochainement.
  10. Voici déjà 6 mois que je suis revenu de mon court périple à Paris. C'était pour moi un première incursion en territoire européen et j'en suis revenu complètement enchanté et impatient à l'idée d'y retourner. J'ai pris plus de 1200 photos lors de mon séjour de 10 jours. J'ai retenue des clichés qui mettent en valeur des détails architecturaux, des textures ou encore des formes qui mon interpellés et qui je l'espère vous plaira aussi! *** Toutes les photos on été prisent avec un appareil compact de Nikon avec un somme toute impressionant zoom optique qui m'a permis de prendre des photos rapprochées. Toutes les photos sont retouchés dans Photoshop*** <a href=" " title="Dome doré de KONIK Studio, sur Flickr"><img src="http://farm6.staticflickr.com/5534/11215666964_e002ff7047_b.jpg" width="768" height="1024" alt="Dome doré"></a> <a href=" " title="Mur-rideau vitré de KONIK Studio, sur Flickr"><img src="http://farm6.staticflickr.com/5474/11215630754_fa58317c76_b.jpg" width="768" height="1024" alt="Mur-rideau vitré"></a> <a href=" " title="Second Arc de KONIK Studio, sur Flickr"><img src="http://farm3.staticflickr.com/2842/11215641674_18c0390917_b.jpg" width="768" height="1024" alt="Second Arc"></a> Les autres photos sont disponibles sur mon nouveau compte Flickr :
  11. Excellent texte de François Cardinal (de La Presse) sur pourquoi Montréal devrait avoir un statut spécial : Manifesto for a city-state Montreal has paid the price for being treated like just another region. Quebec’s economic hub deserves better. François Cardinal Policy Options, November 2013 Far from being a land of forests, plains and prairies, Canada is an urban country. Nearly 70 percent of the population lives in urban centres and more than 90 percent of demographic growth is concentrated in those metropolitan areas. These proportions put Canada at the top of the world’s most urbanized nations. And yet all of Canada’s cities, from Montreal to Toronto, Calgary and even Ottawa, are neglected by federal and provincial political parties. They are short-changed by electoral maps. All are forced by the provinces to labour under a tax system that dates from the horse-and-buggy age. All are relegated to the status of lowly “creatures” subject to the whims and dictates of higher levels of government. It’s as if the country has not yet come to terms with the changes it has undergone since its founding. “Cities do not exist under the Constitution, since it was drawn up in 1867 when we were a rural, agricultural country,” Calgary Mayor Naheed Nenshi pointed out when I interviewed him at City Hall. “But today the country is highly urbanized, a fact that, unfortunately, is not reflected in the relations higher levels of government maintain with the cities.” The 2011 federal election offered a good example of this oversight. Every party targeted the “regions,” those wide-open spaces of rural and small-town Canada. The Conservatives’ slogan in French was “Notre région au pouvoir” [Our region in power]. The Liberals cited “rural Canada” as a priority but barely mentioned urban Canada. The Bloc used the slogan “Parlons régions” [Let’s talk about regions] but had no urban equivalent for the metropolis. More critically, the parties felt compelled to appeal to voters in the regions by positioning themselves in opposition to the cities. The most glaring instance came during the French leaders’ debate, when Prime Minister Stephen Harper castigated Liberal Leader Michael Ignatieff over his promise to build a new Champlain Bridge. “I would not take Mr. Ignatieff’s approach and divert money from the regions to finance infrastructure for Montreal,” Harper said. The Liberals were not much better. They pledged to develop a plan for public transportation but never specified what it would look like. They promised support for social housing but said they would take the money out of funds for urban infrastructure. The reason for this is not rocket science. With the big-city vote so thoroughly predictable, the parties focus on rural areas or the suburbs where they believe their policies might swing votes. They rarely target the city centres. At the provincial level, the situation is pretty much the same. In fact, the Quebec government was able to relieve Montreal of its “metropolis” title and its dedicated ministry nearly 10 years ago without raising eyebrows. Thus Montreal became just one “region” among all the rest: Administrative Region 06. In the 2012 election in Quebec, Montreal did move up a notch. There was more discussion about the city. But since then, unfortunately, good intentions have been replaced by a charter of Quebec values, which has been broadly criticized in Montreal. Imposing it confirms the implicit trusteeship under which the government rules the metropolis. But even more than urban centres elsewhere in the country, Quebec’s parties have limited reason to take an interest in the city. Montreal is either politically safe (for the provincial Liberals) or a lost cause (for the Parti Québécois). In short, Quebec is no different from other Canadian provinces in treating its major city like a big village that must be attended to, certainly, but not more than any other municipality. The cost of showing the city favour is to risk losing precious votes in rural areas. But major cities are no longer the same municipalities they were in the past. Today, Montreal and Toronto are expected to compete with Paris and New York. They are expected to attract and hold onto businesses, court foreign creative talent, draw more private investment and deliver more and more services to residents, from social housing to public transportation. Providing support services for recent immigrants, developing the knowledge-based economy, building social housing, dealing with antigovernment demonstrations and adapting to climate change are all responsibilities that now fall to cities. They are nothing like the urban “creatures” of the 19th century. Lucien Bouchard could not have been more clear when he said in his 1996 inauguration speech after being elected premier: “There can be no economic recovery in Quebec without a recovery in Quebec’s metropolis.” For once, it appeared the government of Quebec was going to recognize Montreal’s special character and grant it preferential treatment. “The complexity of the city’s problems calls for special treatment and even, I would say, for the creation of a specific metropolitan authority,” Bouchard continued. It seemed as if he was about to usher in an exciting new era. There was now a minister responsible for “the metropolis.” A development commission was set up for the Montreal metropolitan area and it was to be invested with significant powers. A true decentralization of power was in the offing. An economic development agency, Montréal International, was created at this time, as was the Agence métropolitaine de transport (AMT). But just when it appeared Montreal was going to receive special attention and treatment, the government’s old habits returned with a vengeance. Like a parent who has given too much to one child, the Quebec government decided to restore the balance by giving to the regions with its left hand what it had given Montreal with its right. A local and regional development support policy was introduced in 1997. Then the Ministry of Regions was created and local development centres set up. A few months later, they added government measures for the province’s three metropolitan areas and then, finally, measures for all urban areas. “The reforms demonstrate, once again, the government’s efforts to address Montreal’s specificity without neglecting the needs of the rest of Quebec,” political scientist Mariona Tomàs explained in her fine book Penser métropolitain? But the result was a government policy similar to the previous ones, an across-the-board approach based on a view of Quebec as a collection of communities, rather than a province organized around its main economic hub. “The government’s desire to maintain a territorial balance can be seen in the powers of metropolitan structures,” Tomàs observed. “The law provided the same types of powers for all the urban communities created in 1969, and then for all the metropolitan communities in 2000.” Giving the rural Outaouais region the same powers as Greater Montreal reduces the latter to just one region among many. To this way of political thinking, the metropolis must not be allowed to overshadow any other town, must not be given too much. It cannot receive more attention than others, and cannot be elevated above any other. Canada’s “hub cities,” those few major urban centres like Montreal, are the drivers of economic activity in the country. That was the conclusion of a recent Conference Board study, which pointed to the collateral benefits of a thriving metropolis. It found that strong growth in metropolitan areas spurs growth in neighbouring communities and then in the whole province. But how can Montreal play its role as an economic driver if it is not treated as such? We need only look outside the country to be convinced that we need to roll out the red carpet for the metropolis: to the United States, where big cities have the attention of the country’s leaders; to Asia, where the treatment of major centres sometimes borders on obsessiveness; or even to France, a country that, like Quebec, is marked by a deep divide between “the metropolis” and “the provinces.” France provided a telling illustration of this awareness in early 2013, a few months after François Hollande’s Socialist government took office. Although France was in dire straits, burdened by crushing public debt and being forced to reconsider the fate of its precious social programs, Hollande did not think twice about launching a project of heroic proportions to relieve congestion in Paris. The price tag: the equivalent of $35 billion for a brand new “super metro,” plus $10 billion to extend and upgrade the existing system. Was this completely crazy? On the contrary. Hollande was being logical and visionary. France understands the importance of investing in its metropolis. This is a country that is ready to look after its towns and villages, while not being afraid to give Paris preferential treatment. “A strong Paris is in the interest of the provinces,” commented L’Express magazine in March 2013. Quite so. The article notes, for example, that much of the income generated in Paris is actually spent in the rest of the country. All financial roads — tourism, commuting for work, national redistribution, whatever — all lead to Paris, with benefits to the provinces. L’Express cites the case of Eurodisney to illustrate. Disney had hesitated before settling on building its amusement park in Paris — not between contending French cities, but between Paris and Barcelona. Herein lie the value and importance for the entire country of having a strong metropolis. “Weakening Paris would slow France’s locomotive,” argued L’Express. “And in a train, the cars seldom move faster than the locomotive.” Clearly, what Montreal needs is special treatment, more autonomy and more diverse sources of revenue. In short, it needs a premier who will stand on the balcony of City Hall and proclaim: “Vive Montréal! Vive Montréal libre!” Worryingly, the current state of affairs in Montreal — the revelations and insinuations of political corruption and collusion — is prompting many observers to call for the Quebec government to take the opposite tack and tighten the city’s reins. According to this view, more provincial government involvement is needed to check the city’s propensity for vice. But in fact the only way to make the city more responsible and more accountable is to give it greater power, wider latitude and more money. Montreal’s problem is that it has all the attributes of a metropolis but is treated as an ordinary municipality, subservient to the big boss, the provincial government. Its masters are the minister of municipal affairs, the minister’s colleagues at other departments involved in the city’s affairs and, of course, the premier. Montreal is under implicit trusteeship. This encourages, even promotes a lack of accountability on the part of the municipal administration, which is only half in charge. “It’s not complicated: Montreal is currently a no man’s land of accountability,” says Denis Saint-Martin, political science professor at the Université de Montréal. “There is a political and organizational immaturity problem, which explains the political irresponsibility we have seen in recent years. Montreal needs more power, not less. Montreal needs to be more accountable, more answerable.” Essentially, the metropolis needs to be treated like one, with the powers and revenues that go along with city status. Montreal is a beggar riding in a limousine. Invariably, after a municipal election, the incoming mayor announces a wish list and then gets the chauffeur to drive him up provincial Highway 20 to Quebec City to knock on the provincial government’s door with outstretched hands, hoping for a little largesse. Montreal’s mayor has to beg because the past offloading of responsibilities for delivering services to citizens onto the municipality has not been accompanied by new money. “In Quebec, the province is responsible for much of the regulatory apparatus under which cities operate, which the cities feel restricts their autonomy,” said political scientist Laurence Bherer in 2004, speaking at the 50th anniversary of the Université Laval political science department. “And far from decreasing in recent years, provincial intervention has spread to a variety of areas such as the environment and public security, further relegating the cities to the role of operative rather than architect.” It is unacceptable for the provincial government to be the “operator” of a metropolis. That is why municipalities are rightfully seeking greater autonomy and greater freedom of action from their provincial masters. This is what is starting to happen in other provinces: in Alberta, with its Municipal Government Act, with British Columbia’s Community Charter and especially in Ontario, with the City of Toronto Act, which reads in part: “The [Ontario Legislative] Assembly recognizes that the City of Toronto, as Ontario’s capital city, is an economic engine of Ontario and of Canada.” The Ontario government appears to understand the special role Toronto plays in the wider economy. The City of Toronto Act goes on to say, “The Assembly recognizes that the City plays an important role in creating and supporting economic prosperity and a high quality of life for the people of Ontario [and] that the City is a government that is capable of exercising its powers in a responsible and accountable fashion.” Quebec’s largest city deserves similar treatment: strict accountability in exchange for recognition of its status as an autonomous government and the ability to tap more diverse sources of revenue. Indeed the main reason Montreal is regularly forced to pass the hat in Quebec City is its heavy dependence on property taxes for its income. As a creature of the province, it still operates under the good-old British tax model that sees it derive the bulk of its revenues — 67 percent — from property taxes. This was not a problem a hundred years ago, when Montreal provided only property services to its residents. But its responsibilities have expanded. The standards imposed by Quebec City have proliferated, and the portion of the budget allocated for services to individuals has grown considerably. Yet its tax base remains just as dependent on a single sector: real estate. This situation has a huge drawback. The City does not share the economic benefits that it generates. It might well pour money into the Formula One Grand Prix and summer festivals, invest in attracting conventions and tourists, renovate public spaces to make the urban environment more attractive and friendly. But it will get not a penny back. On the contrary: these investments only increase the city’s expenses in maintenance, security and infrastructure, while the federal and provincial governments reap the sales taxes. Take the city’s jazz festival. Montreal has to pay for security, site maintenance, public transportation to bring visitors to the site, and must deal with the event’s impact on traffic. In return, it gets happy festival-goers and tourists who spend money, stay at hotels, eat at restaurants — and fill provincial and federal coffers with sales tax revenues. They enrich the governments in Quebec City and in Ottawa, but not Montreal, which picks up the tab for the costs. The result is that the hole into which large cities are quietly sinking gets deeper. Big-city economies are dematerializing. The knowledge-based economy, in which Montreal shines, is based on innovation, research and brains, not factories. But for now, grey matter is not subject to property tax. Add to the mix an aging population with more modest housing needs, the increase in teleworking, self-employment and e-commerce, and you have a Montreal that is not only under implicit administrative trusteeship but also in an increasingly precarious financial position. And then people wonder why our metropolis is not playing the role it should be playing. another region. Quebec’s economic hub deserves better.
  12. paris .. http://www.fun54.com/wp-content/uploads/2012/02/Awesome-most-beautiful-Paris-city-sunrise-picture-golden-sun-shining-in-the-sky-nature-view-background-hd-wallpaper-1920-x-1200.jpg lol
  13. Montreal's metro featured for it's architecture amongst stations from the networks of Washington, Paris, Frankfurt, and Stockholm to name a few: Unreal Underground: the World’s 10 Coolest Subway Systems In urban life, the subway is synonymous with the spirit of the city. It frees the city dweller from the automobile, it moves from point to point with speed while capturing the curiosity of its passenger. From Moscow to Montreal, Paris to Pyongyang, these 10 transit systems house truly stunning subway stations across all aspects of design. So grab your transit card and head underground– get ready to explore the 10 coolest subway systems in the modern world. ... Montreal Metropolitain Another great French-speaking city is home to another great subway, the Montreal Metropolitan subway system. The Montreal Metro was born in 1966, in time for the world expo held the following year in this city. This was a vibrant time in Montreal, and the subway stations that dot this system reflect that vibrancy. Like the stations of the Moscow Metro and the Taipei Metro, this subway system is host to a collection of art galleries throughout its network. Public art ranging from fine to performance is welcomed here, far below the city it services. And with 1,100,000 riders a day, that makes it one of the most popular art galleries in the world. From the design of its subway stations to the culture it embraces, the Montreal Metro is high on our list for the world’s most beautiful subway systems. ... http://www.thecoolist.com/the-worlds-10-coolest-subway-stations/
  14. http://www.lovelettertomontreal.com/ Read more by clicking on the link, it is several pages long.
  15. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2011/08/02/montreal-remix-ou-la-ville-selon-les-montrealophiles/
  16. Bonjour! Ça fait quelques temps que je ne suis pas venue par ici... Fin de bacc oblige! Je suis donc partie en voyage au mois de février en France où j'ai visité Paris, Lyon, Grenoble, Annecy, Marseille, Carcassonne et Toulouse. Voici donc quelques photos pêle-mêle. Désolée pour le gris des photos à Paris, c'était l'hiver là-bas aussi! (Oui, bon, il faisait quand même entre 5 et 10 environ, c'est pas très froid). La Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre : Le Palais-Royal / Musée du Louvre : L'arc de triomphe du Carrousel, avec le Palais-Royal en arrière-plan : La mairie du 1er arrondissement la nuit : Les Jardins et le Palais du Luxembourg (la France m'impressionne... Aucune feuille dans les arbres, mais des pelouses toujours vertes) : La tour Eiffel : Le Château de Versailles sous la pluie (il y a un avantage au ciel gris, ça fait ressortir le doré!) : Parterre d'eau au Château de Versailles :
  17. Euro Disney cherche des partenaires au Québec Christophe Giral croit dur comme fer que les... Agrandir Christophe Giral croit dur comme fer que les entreprises québécoises ont leur place dans l'univers d'Euro Disney - dont le chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard $ - et qu'elles pourraient profiter d'une «vitrine incroyable» pour développer de nouveaux marchés en sol européen. Gilbert Leduc Le Soleil (Québec) Venu directement de Disneyland Paris, Mickey Mouse cherche des entreprises québécoises spécialisées dans le bâtiment vert et intelligent et dans les arts numériques afin d'établir de nouveaux partenariats d'affaires. De l'avis de Christophe Giral, le Québec... (Le Soleil, Patrice Laroche) - image 1.0 Agrandir De l'avis de Christophe Giral, le Québec s'est bâti «un savoir-faire reconnu internationalement» dans les domaines du bâtiment vert intelligent et de l'image appliquée sous toutes ses formes. Le Soleil, Patrice Laroche Trêve de plaisanterie. Mickey Mouse n'était pas à Québec mercredi. Il avait plutôt délégué Christophe Giral, le directeur immobilier d'Euro Disney. Celui-ci était l'invité de la section Québec de la Chambre de commerce française au Canada, qui tient, ces jours-ci, sa semaine d'excellence en affaires Québec-France. En matinée, mercredi, M. Giral et la délégation du Val d'Europe - une ville située à une trentaine de kilomètres à l'est de Paris et qui est le royaume des deux parcs thématiques de Disneyland Paris, Disneyland et Walt Disney Studios - ont discuté avec des représentants économiques régionaux pour exprimer leurs besoins. En après-midi, ils ont rencontré huit entreprises québécoises pour explorer les possibilités d'établir des collaborations d'affaires. Parmi ces entreprises, il y avait des firmes d'architectes (Hudon et Julien Associés, Tergos), le fabricant de maisons préfabriquées Modulex et des sociétés évoluant dans les nouvelles technologies, comme Exact Modus, Frima Studio et Saga Film. Savoir-faire De l'avis de Christophe Giral, le Québec s'est bâti «un savoir-faire reconnu internationalement» dans les domaines du bâtiment vert intelligent et de l'image appliquée sous toutes ses formes. Il croit dur comme fer que les entreprises québécoises ont leur place dans l'univers d'Euro Disney - dont le chiffre d'affaires s'élève à 1,7 milliard $ - et qu'elles pourraient profiter d'une «vitrine incroyable» pour développer de nouveaux marchés en sol européen. Au cours d'une allocution, le dirigeant d'Euro Disney s'est attardé à expliquer que Disneyland Paris est bien plus que deux parcs thématiques qui attirent 15 millions de visiteurs par année, «soit plus que le musée du Louvre et la tour Eiffel réunis». Dans les faits, Euro Disney est au coeur d'un partenariat public-privé inusité. Avec le gouvernement fran*çais et les collectivités territoriales régionales, Euro Disney fait du développement urbain sur tout le territoire du Val d'Europe. Ce «triangle de décision» a littéralement transformé cette communauté. De 5000 habitants et quel*ques dizaines d'emplois agrico*les en 1989, la «nouvelle ville» qui carbure à partir des principes du développement durable et de la saine qualité de vie de ses citoyens compte aujourd'hui 28 000 habitants et plus de 20 000 emplois. D'ici 2030, Val d'Europe comptera 60 000 habitants. Pour chaque euro investi par les pouvoirs publics, le secteur privé a mis 10 euros sur la table. En tout et partout, pas moins de 9 milliards $ ont été investis jusqu'à ce jour. Partenariat Récemment, les pouvoirs publics français et Euro Disney ont con*venu de prolonger jusqu'en 2030 leur entente de partenariat. L'espace à développer passe de 1934 à 2230 hectares. Pas moins de 11 milliards $ pourraient y être investis au cours des 20 prochaines années. Depuis déjà quelque temps, Euro Disney songe à créer un troisième parc thématique qui mettrait en valeur le plein air, la santé et le bien-être. «Les Villages Nature de Val d'Europe vont devenir le plus grand champ d'interprétation du développement durable au monde», a indiqué M. Giral, qui compte sur l'expertise développée en ces matières au Québec pour collaborer à ce projet de 2,5 milliards $. ************** Un bon exemple qu'il y a espoir de percer le marché europpéen, un premier pas dans la direction du libre-échange Canada-Europe
  18. I have wondered about this for quite sometime. A recent trip to europe only made me more aware of it. Why do we, in Montreal, have such large suburban trains? This in comparison to paris for example. here the new bimodal locomotives for the AMT as oposed to this: Pictured above is a Parisian RER train. They run on their own tracks as well as SNCF tracks. They appear to be between a conventional metro and a regular train in size. Meanwhile our AMT trains seem to be regional trains. I wondered why are OUR suburban trains so large and cumbersome, requiring locomotives and what not, while elsewhere they are light and quick. It certainly is not a distance issue, as the parisian RERs run MUCH farther distances than our AMT trains. It does not seem to be a cost issue either. And while i am aware that not all AMT lines are electrified, they very well should be. the whole point of public transport (as i see it) is to move people in a way that reduces congestion and pollution. I use the paris example, but other cities as copenhaggen or london have similar suburban trains to those in paris.
  19. (Courtesy of KDVR Fox 31) The previous topic was written by a woman from here but was published from the Globe and Mail. I found that out when I did some research on the writer.
  20. la thread de paris m'as fait penser a ca que j'avais vu il ya quelques mois. je ne frequentais pas ce forum dans le temps alors je me demande si vous l'aviez deja vu: http://pixelcase.com.au/vr/2009/newyork/ c'est assez bien, meme si leur definition de 'downtown' est din patates !
  21. À voir: http://www.paris-26-gigapixels.com/index-en.html Leur "centre ville" commence à être pas mal imposant.
  22. Communiqué d'Air France Air France a le regret d’annoncer la disparition du vol AF 447 effectuant la liaison Rio de Janeiro – Paris-Charles de Gaulle, arrivée prévue ce matin à 11h10 locales, comme vient de l’annoncer à la presse le Directeur général d’Air France, Pierre-Henri Gourgeon. L’appareil de type Airbus A330-200, immatriculé F-GZCP, a quitté Rio le 31 mai à 19h03 heure locale (00h03 heure de Paris). L’appareil a traversé une zone orageuse avec fortes turbulences à 2 heures du matin (heure universelle), soit 4h00 heure de Paris. Un message automatique a été reçu à 2h14 (4h14 heure de Paris) indiquant une panne de circuit électrique dans une zone éloignée de la côte. L’ensemble des contrôles aériens civils brésilien, africain, espagnol et français ont tenté en vain d’établir le contact avec le vol AF447. Le contrôle aérien militaire français a essayé de détecter l’avion, sans succès. 216 passagers sont à bord : 126 hommes, 82 femmes, 7 enfants et un bébé. L’équipage est composé de 12 navigants : 3 navigants techniques et 9 navigants commerciaux. Le commandant de bord a 11 000 heures de vol et déjà effectué 1 700 heures sur Airbus A330/A340. Les deux copilotes ont 3 000 heures de vol pour l’un (dont 800 sur Airbus A330/A340) et 6 600 pour l’autre (dont 2 600 sur Airbus A330/A340). L’appareil est équipé de moteurs General Electric CF6-80E. L’avion totalise 18 870 heures de vol et a été mis en service le 18 avril 2005. Sa dernière visite d’entretien en hangar date du 16 avril 2009. Air France partage l’émotion et l’inquiétude des familles concernées. Les proches sont reçus dans un endroit spécialement réservé à l’aérogare de Paris-Charles de Gaulle 2.
  23. Atze

    Air France 447

    Un avion disparaît Radio-Canada Mise à jour le lundi 1 juin 2009 à 9 h 33 Photo: AFP/Jack Guez - Un Airbus A330 appartenant à Air France, à l'aéroport de Roissy, près de Paris, le 20 juillet 2006. Un Airbus transportant 228 personnes, assurant la liaison entre Rio de Janeiro et Paris, a disparu des écrans radars au large des côtes brésiliennes trois heures et demie après son décollage, vers 22 h 30, heure locale. « Air France a le regret d'annoncer être sans nouvelles du vol AF 447 effectuant la liaison Rio-Paris avec 216 passagers à bord et partage l'émotion et l'inquiétude des familles concernées », a déclaré une porte-parole de la compagnie aérienne française. Foudroyé L'appareil a traversé une zone orageuse avec fortes turbulences à 2 h GMT. Un message automatique signalant une panne de circuit électrique a ensuite été reçu à 2 h 14 GMT, a indiqué Air France. « Le plus vraisemblable est que l'avion a été foudroyé », a déclaré à la presse François Brousse, directeur de la communication d'Air France. « L'avion est entré dans un zone orageuse avec de fortes perturbations qui a provoqué des dysfonctionnements. » Une mission de recherche est en cours aux abords de l'archipel brésilien de Fernando de Noronha, a indiqué l'armée de l'Air brésilienne. Cette dernière précise que l'Airbus a disparu à environ 300 km au nord-est de la ville de Natal. L'hypothèse la plus tragique « sérieusement envisagée » « L'avion n'est certainement plus en vol à l'heure actuelle », a déclaré Pierre-Henri Gourgeon, directeur général d'Air France, lors d'une conférence de presse au siège de la compagnie, à Roissy. « À l'heure où je parle, il n'a plus de réserve de pétrole », a-t-il ajouté. Un peu plus tôt, le ministre Borloo avait déclaré au réseau France Info que « malheureusement, c'est affreux, mais l'hypothèse la plus tragique doit être sérieusement envisagée ». http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2009/06/01/001-AVION-ALERTE.shtml (1/6/2009 9H47) French plane lost over Atlantic BBC Page last updated at 13:35 GMT, Monday, 1 June 2009 14:35 UK An Air France plane carrying 228 people from Brazil to France has vanished over the Atlantic after a possible lightning strike, airline officials say. The Airbus sent an automatic message at 0214 GMT, four hours after leaving Rio de Janeiro, reporting a short circuit as it flew through strong turbulence. It was well over the ocean when it was lost, making Brazilian and French search planes' task more difficult. Charles de Gaulle airport in Paris has set up a crisis centre. "The plane might have been struck by lightning - it's a possibility," Francois Brousse, head of communications at Air France, told reporters in Paris. France's minister responsible for transportation, Jean-Louis Borloo, ruled out hijacking as a cause of the plane's loss. Flight AF 447 left Rio at 1900 local time (2200 GMT) on Sunday. It had 216 passengers and 12 crew on board, including three pilots. The passengers included one infant, seven children, 82 women and 126 men. Details of the passengers' nationalities were not being released immediately but it is believed that a number of Italians and Britons are among the French people and Brazilians aboard. Long search The Airbus 330-200 had been expected to arrive in Paris at 1110 local time (0910 GMT). It is reported to have disappeared 300km (186 miles) north-east of the Brazilian city of Natal. Brazilian air force spokesman Col Henry Munhoz told Brazilian TV it had not been picked up by radar on the Cape Verde Islands on its way across the Atlantic, and confirmed that Brazilian air force planes had left Fernando de Noronha to search for the missing airliner. A French military plane also flew out of Senegal to take part in the search. Mr Borloo said the airliner would already have run out of fuel. "Nothing on Spanish radar, nothing on Moroccan radar, nothing on French radar - we seriously have to fear the worst," he added. Douglas Ferreira Machado, head of investigation and accident prevention for Brazil's Civil Aeronautics Agency, said the search would take "a long time". "It could be a long, sad story," he told Brazil's Globo news. "The black box will be at the bottom of the sea." An Air France spokeswoman said there had been no radio contact with the plane "for a while". TIMELINE Air France Airbus A330-200 believed to be the missing plane - archive image from AirTeam Images Flight AF 447 left Rio at 1900 local time (2200 GMT) on Sunday Airbus A330-200 carrying 216 passengers and at least 12 crew Contact lost 0130 GMT Missed scheduled landing at 1110 local time (0910 GMT) in Paris Crisis centre An Air France official told AFP that people awaiting the flight would be received in a special area at Charles de Gaulle airport's second terminal. Relatives and friends of the passengers have been ushered away from the main arrivals hall, the BBC's Alistair Sandford reports from Paris. "I want to say that everyone at Air France is deeply moved and shares the grief of the relatives of the passengers, and we will do everything possible to help them," said the chief executive of Air France, Pierre-Henri Gourgeon. French President Nicolas Sarkozy expressed deep concern and called on the relevant authorities to do everything they could to find the plane, his office said. Air France has opened a telephone hotline for friends and relatives of people on the plane - 00 33 157021055 for callers outside France and 0800 800812 for inside France. This is the first major incident in Brazilian air space since a Tam flight crashed in Sao Paulo in July 2007 killing 199 people. http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/8076848.stm (1/6/2009 9H54)
  24. Sarkozy dessine le Paris du XXIe siècle Mots clés : Nicolas Sarkozy, Métro, Paris, Investissement, Transport, France (pays) Avec un nouveau métro futuriste, un investissement de 56 milliards de dollars dans les transports et un plan de développement d'une ampleur sans pareil, Paris tente de se positionner comme l'une des principales mégapoles de demain. Paris -- Paris avait déjà l'un des meilleurs métros du monde, un gigantesque réseau de bus en voies réservées, un réseau de trains de banlieue rapides et de tramways modernes et des vélos en accès libre dans 30 communes; elle aura désormais un nouveau métro futuriste qui reliera tous les grands pôles d'activités de sa grande région. Dans un discours inspiré prononcé hier à la nouvelle Cité de l'architecture, au Palais de Chaillot, le président Nicolas Sarkozy a annoncé que Paris se doterait à l'horizon de 2020 de ce qu'on surnomme déjà ici le «grand huit». Le projet de 33 milliards de dollars (21 milliards d'euros) reliera par un métro de 130 km entièrement automatisé et fonctionnant 24h par jour les principaux pôles économiques de la grande région parisienne. C'est un peu comme si Montréal décidait de relier par un métro rapide souterrain et aérien les villes de Mirabel, Châteauguay, Saint-Hubert, Boucherville et Blainville. Ce métro d'un type nouveau roulera à 80 km/h et permettra d'atteindre en 30 minutes environ les 10 pôles économiques qui entourent la capitale, comme l'aéroport international de Roissy, le grand marché de Rungis, le quartier des affaires de La Défense, le futur pôle pharmaceutique d'Évry et celui du Bourget, où devrait se concentrer l'industrie aérospatiale. Une mégapole du XXIe siècle Ce gigantesque chantier se veut le fer de lance d'un vaste plan de développement de la région parisienne qui vise à positionner la capitale française et son bassin de 12 millions d'habitants parmi les principales mégapoles du XXIe siècle. «On sait voyager vite et loin, mais on a toutes les difficultés du monde à se rendre chaque jour à son travail», a déclaré Nicolas Sarkozy, qui veut «rompre avec tout ce qui a déshonoré nos villes depuis des années». «Désenclavons!» a lancé le président, qui envisage aussi la construction de 70 000 nouveaux logements par an et une vaste déréglementation en matière de zonage. Nicolas Sarkozy a aussi évoqué la plantation d'une nouvelle forêt d'un million d'arbres près de Roissy qui ferait baisser la température de quelques degrés dans la capitale l'été et qui contribuerait à combattre le réchauffement climatique. Au menu, aussi, l'aménagement des rives de la Seine jusqu'au Havre et la construction d'un train à grande vitesse qui mettra le seul port à proximité de Paris à moins d'une heure de la capitale. Ce vaste plan, que l'on compare à la construction des Grands Boulevards par le baron Haussmann (au milieu du XIXe siècle) et à la mise en chantier du RER par le général de Gaulle (en 1965), engloutira 35 milliards d'euros (56 milliards de dollars) pour le transport seulement. Il vise avant tout à désenclaver les banlieues parisiennes. Les trois semaines d'émeutes qu'ont connues les banlieues françaises en 2005 auront contribué à précipiter ce chantier, que Nicolas Sarkozy qualifie de «plus grand défi de la politique du XXIe siècle». Le plan comprend aussi de nombreux projets destinés à améliorer les transports existants. Il s'agit notamment de la prolongation de plusieurs lignes de métro, de tramway et de RER (trains de banlieue). La ligne de métro la plus achalandée de la capitale, qui traverse toute la ville de Montrouge (au sud) à Saint-Denis (au nord), devrait notamment être doublée grâce au prolongement de la plus récente des lignes parisiennes, qui relie déjà les grandes gares. Une réflexion futuriste Les mesures annoncées hier vont de pair avec le lancement d'une grande réflexion sur l'avenir de la région où habite un Français sur cinq. Dix architectes de renommée internationale ont été conviés à soumettre leurs idées. À la Cité de l'architecture, Nicolas Sarkozy inaugurait en même temps hier une exposition illustrant les propositions futuristes faites par ces vedettes de l'urbanisme comme Frank Gehry, Jean Nouvel, Richard Rogers et Christian de Portzamparc. Il ne s'agit pas de choisir l'une ou l'autre vision, mais d'y puiser un certain nombre d'idées, précise-t-on. Or, les idées originales ne manquent pas. Frank Gehry, auteur du musée Guggenheim de Bilbao, veut coiffer la tour Montparnasse, seul édifice en hauteur de Paris, d'une chiffonnade dorée et lui adjoindre trois soeurs plus petites. Jean Nouvel propose la construction d'«éco-cités» où l'on oserait construire en hauteur, un tabou qui a rarement été brisé à Paris, mais qui ne semble pas faire peur au président. «Pourquoi s'interdire des tours si elles sont belles et s'inscrivent dans le paysage urbain», a-t-il déclaré hier. L'écologie tient une large place dans cette réflexion. Le Britannique Richard Rogers imagine ainsi des centrales souterraines pour le traitement des déchets et la production d'énergie. Roland Castro a proposé de créer un immense Central Park dans la banlieue défavorisée de La Courneuve. Christian de Portzamparc souhaite la construction d'une grande gare européenne dans la banlieue d'Aubervilliers reliant Londres, Bruxelles et Francfort par TGV. Ces architectes seront d'ailleurs invités à suivre de près l'évolution des travaux du grand Paris, qui s'étaleront sur dix ans. Un enjeu politique L'intervention du président de la République sur ce sujet sensible faisait craindre le pire à de nombreux élus de gauche, qui sont majoritaires dans la capitale. Hier, Nicolas Sarkozy a plutôt prêché l'apaisement en choisissant de «laisser de côté» pour l'instant la création de toute nouvelle structure politique afin de gérer ce nouvel ensemble. Le président a même laissé entendre que cette question ne concernera que ses successeurs. Le président a longuement insisté sur l'importance d'humaniser la ville et sur la beauté qu'on «a trop oubliée». Pour accompagner les travaux qui s'étaleront sur dix ans, il propose la création à Paris d'un atelier international d'architecture du grand Paris et la tenue -- dès 2010 et à tous les quatre ans -- d'un grand forum des villes du monde. *** Correspondant du Devoir à Paris
  25. Sarkozy dessine le Paris du XXIe siècle Christian Rioux Le Devoir: édition du jeudi 30 avril 2009 Avec un nouveau métro futuriste, un investissement de 56 milliards de dollars dans les transports et un plan de développement d'une ampleur sans pareil, Paris tente de se positionner comme l'une des principales mégapoles de demain. Paris -- Paris avait déjà l'un des meilleurs métros du monde, un gigantesque réseau de bus en voies réservées, un réseau de trains de banlieue rapides et de tramways modernes et des vélos en accès libre dans 30 communes; elle aura désormais un nouveau métro futuriste qui reliera tous les grands pôles d'activités de sa grande région. Dans un discours inspiré prononcé hier à la nouvelle Cité de l'architecture, au Palais de Chaillot, le président Nicolas Sarkozy a annoncé que Paris se doterait à l'horizon de 2020 de ce qu'on surnomme déjà ici le «grand huit». Le projet de 33 milliards de dollars (21 milliards d'euros) reliera par un métro de 130 km entièrement automatisé et fonctionnant 24h par jour les principaux pôles économiques de la grande région parisienne. C'est un peu comme si Montréal décidait de relier par un métro rapide souterrain et aérien les villes de Mirabel, Châteauguay, Saint-Hubert, Boucherville et Blainville. Ce métro d'un type nouveau roulera à 80 km/h et permettra d'atteindre en 30 minutes environ les 10 pôles économiques qui entourent la capitale, comme l'aéroport international de Roissy, le grand marché de Rungis, le quartier des affaires de La Défense, le futur pôle pharmaceutique d'Évry et celui du Bourget, où devrait se concentrer l'industrie aérospatiale. Une mégapole du XXIe siècle Ce gigantesque chantier se veut le fer de lance d'un vaste plan de développement de la région parisienne qui vise à positionner la capitale française et son bassin de 12 millions d'habitants parmi les principales mégapoles du XXIe siècle. «On sait voyager vite et loin, mais on a toutes les difficultés du monde à se rendre chaque jour à son travail», a déclaré Nicolas Sarkozy, qui veut «rompre avec tout ce qui a déshonoré nos villes depuis des années». «Désenclavons!» a lancé le président, qui envisage aussi la construction de 70 000 nouveaux logements par an et une vaste déréglementation en matière de zonage. Nicolas Sarkozy a aussi évoqué la plantation d'une nouvelle forêt d'un million d'arbres près de Roissy qui ferait baisser la température de quelques degrés dans la capitale l'été et qui contribuerait à combattre le réchauffement climatique. Au menu, aussi, l'aménagement des rives de la Seine jusqu'au Havre et la construction d'un train à grande vitesse qui mettra le seul port à proximité de Paris à moins d'une heure de la capitale. Ce vaste plan, que l'on compare à la construction des Grands Boulevards par le baron Haussmann (au milieu du XIXe siècle) et à la mise en chantier du RER par le général de Gaulle (en 1965), engloutira 35 milliards d'euros (56 milliards de dollars) pour le transport seulement. Il vise avant tout à désenclaver les banlieues parisiennes. Les trois semaines d'émeutes qu'ont connues les banlieues françaises en 2005 auront contribué à précipiter ce chantier, que Nicolas Sarkozy qualifie de «plus grand défi de la politique du XXIe siècle». Le plan comprend aussi de nombreux projets destinés à améliorer les transports existants. Il s'agit notamment de la prolongation de plusieurs lignes de métro, de tramway et de RER (trains de banlieue). La ligne de métro la plus achalandée de la capitale, qui traverse toute la ville de Montrouge (au sud) à Saint-Denis (au nord), devrait notamment être doublée grâce au prolongement de la plus récente des lignes parisiennes, qui relie déjà les grandes gares. Une réflexion futuriste Les mesures annoncées hier vont de pair avec le lancement d'une grande réflexion sur l'avenir de la région où habite un Français sur cinq. Dix architectes de renommée internationale ont été conviés à soumettre leurs idées. À la Cité de l'architecture, Nicolas Sarkozy inaugurait en même temps hier une exposition illustrant les propositions futuristes faites par ces vedettes de l'urbanisme comme Frank Gehry, Jean Nouvel, Richard Rogers et Christian de Portzamparc. Il ne s'agit pas de choisir l'une ou l'autre vision, mais d'y puiser un certain nombre d'idées, précise-t-on. Or, les idées originales ne manquent pas. Frank Gehry, auteur du musée Guggenheim de Bilbao, veut coiffer la tour Montparnasse, seul édifice en hauteur de Paris, d'une chiffonnade dorée et lui adjoindre trois soeurs plus petites. Jean Nouvel propose la construction d'«éco-cités» où l'on oserait construire en hauteur, un tabou qui a rarement été brisé à Paris, mais qui ne semble pas faire peur au président. «Pourquoi s'interdire des tours si elles sont belles et s'inscrivent dans le paysage urbain», a-t-il déclaré hier. L'écologie tient une large place dans cette réflexion. Le Britannique Richard Rogers imagine ainsi des centrales souterraines pour le traitement des déchets et la production d'énergie. Roland Castro a proposé de créer un immense Central Park dans la banlieue défavorisée de La Courneuve. Christian de Portzamparc souhaite la construction d'une grande gare européenne dans la banlieue d'Aubervilliers reliant Londres, Bruxelles et Francfort par TGV. Ces architectes seront d'ailleurs invités à suivre de près l'évolution des travaux du grand Paris, qui s'étaleront sur dix ans. Un enjeu politique L'intervention du président de la République sur ce sujet sensible faisait craindre le pire à de nombreux élus de gauche, qui sont majoritaires dans la capitale. Hier, Nicolas Sarkozy a plutôt prêché l'apaisement en choisissant de «laisser de côté» pour l'instant la création de toute nouvelle structure politique afin de gérer ce nouvel ensemble. Le président a même laissé entendre que cette question ne concernera que ses successeurs. Le président a longuement insisté sur l'importance d'humaniser la ville et sur la beauté qu'on «a trop oubliée». Pour accompagner les travaux qui s'étaleront sur dix ans, il propose la création à Paris d'un atelier international d'architecture du grand Paris et la tenue -- dès 2010 et à tous les quatre ans -- d'un grand forum des villes du monde. *** Correspondant du Devoir à Paris lien
×
×
  • Créer...