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  1. Cet élargissement se concrétiserait entre le boulevard Milan à Brossard et l'autoroute 35, voire la Rivière Richelieu. Il est devenu nécéssaire, avec la surprenante augmentation du débit journalier moyen sur ce tronçon, d'aller de l'avant avec ce projet. L'important développement des municipalités de Carignan, Chambly, Saint-Jean-sur-Richelieu, Marieville, entre autres, est appelé à se poursuivre dans les prochaines années. Espérons que le nouveau gouvernement agira en ce sens, de concert avec l'élargissement de la 30, entre les autoroutes 10 et 20.
  2. Le Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal a évalué les coûts des services municipaux grâce aux rapports financiers et indicateurs de gestion des 1110 municipalités du Québec. Un score global a pu être établi pour 766 d'entre elles, les données étant insuffisantes pour les autres. Les Villes évaluées représentent tout de même 95% de la population du Québec. La Presse a projeté ces données dans une carte interactive pour vous permettre de comparer votre municipalité avec les autres. Carte Interactive http://www.lapresse.ca/multimedias/201410/20/01-4810875-palmares-des-municipalites-2014-hec-la-presse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS1
  3. B2B Montréal 2012 Ce forum d’affaires international, spécialement conçu pour les PME, est un investissement offrant un excellent rapport qualité-prix pour le développement de votre entreprise. Se déroulant sur deux jours, vous pourrez obtenir jusqu’à 14 rendez-vous de 30 minutes avec des entreprises votre choix. De plus, le Plan Nord s’invite à B2B Montréal 2012; les enterprises participantes pourront créer des partenariats avec des entreprises, municipalités et communautés œuvrant sur le territoire du Plan Nord et plus particulièrement celles de la Nation Crie. Bénéficiant de l’expertise et de l’expérience unique de Futurallia, ce forum de jumelage d’entreprises donne lieu à des échanges fructueux qui débouchent inévitablement sur des opportunités d’affaires. http://www.b2bmontreal2012.com/fr/index.php
  4. Yves Boisvert le 8 novembre 2010 La Presse En écoutant le dernier épisode d'Enquête, on pourrait être absolument découragé du délabrement de la démocratie municipale au Québec. Il y a de quoi. Mais réjouissons-nous tout de même: la pourriture municipale est exposée. On a des noms, des dates, des faits. Ce qui ressort de cette série déprimante de portraits municipaux, c'est l'insignifiance des institutions de contrôle. Le Directeur général des élections manque toujours de preuve, le ministère des Affaires municipales est mou et tout continue comme avant. «Tout le monde» sait comment ça fonctionne... rien n'arrive. Comment se fait-il qu'encore une fois, ce sont des journalistes qui font le travail? On a vu, à visage découvert, l'entrepreneur Jean-Guy Ouellet dire à la caméra de Radio-Canada que le maire de Mascouche, Richard Marcotte, lui a demandé une maison gratuitement en échange d'un droit de construire. Rien que ça! On a vu le député péquiste de Masson, Guillaume Tremblay, dire qu'il a été intimidé par l'entrepreneur Normand Trudel, proche du maire de Mascouche. On n'a pas eu la version de MM. Marcotte et Trudel, qui ont refusé de répondre aux questions. En attendant, le reportage nous apprend que le maire de Mascouche a acquis pour 100 000$ deux copropriétés dans un nouveau complexe, copropriétés qu'il a revendues assez rapidement avec des profits de 35 000$ et 45 000$. Il a du flair, le maire. Se plaçait-il en conflit d'intérêts en achetant des copropriétés autorisées par son administration municipale? Ah, ça, on le saura quand la loi 109 aura été adoptée et un Code d'éthique des municipalités mis en vigueur, n'est-ce pas... Un code, c'est bien. Un sens de l'éthique, c'est mieux. *** La femme du maire de Sainte-Julienne, Marcel Jetté, travaille pour le cabinet d'avocats Dunton Rainville. Ce même cabinet a obtenu des contrats de la Ville. Ce n'est pas un crime, mais on aurait aimé voir le maire au moins reconnaître le début d'une apparence de conflit d'intérêts. C'était trop demander. Dunton Rainville, d'ailleurs, est un joueur majeur dans le monde municipal dans la grande région de Montréal. Dans plusieurs municipalités, le cabinet a des contrats de gestion des relations de travail et des mandats en droit municipal. Bien plus troublant encore, on voit que le monde municipal a conçu des stratégies pour soustraire au regard du public un certain nombre de projets. À Laval, où le monarque Gilles Vaillancourt règne depuis 21 ans, il n'y a aucun conseiller municipal de l'opposition. Zéro. Et le conseil municipal n'aime pas trop la contestation. La Ville a confié à un organisme à but non lucratif le projet d'une «Cité de la culture et des sports», évalué à près de 100 millions. Même s'il est dirigé par des hauts fonctionnaires de la Ville, l'organisme fonctionne hors du champ d'examen public. Enquête nous dit également que son conseil est composé de fonctionnaires municipaux. Son porte-parole est un avocat de Dunton Rainville payé par la Ville. S'il est vrai que les fonds injectés dans le projet sont publics à 80%, au nom de quoi permettrait-on que cet organisme ne soit pas public? *** Il y a 1104 municipalités au Québec. La moitié des maires y sont réélus par acclamation. Ils ne doivent pas être si mauvais. Mais là où il y a des élections, moins de la moitié des électeurs inscrits vont voter. L'intérêt et la surveillance des citoyens n'y sont tout simplement pas. On ne sera donc étonné qu'à moitié de voir la mollesse du ministère des Affaires municipales et du Directeur général des élections du Québec. Le meilleur exemple étant les élections clés en main?: comment des firmes de professionnels organisent des élections dans la région de Montréal en échange de contrats. Tout le monde le sait, on connaît les noms, on a les photos... un rapport a été fait là-dessus il y a bientôt 10 ans... mais personne n'a jamais été accusé. Manque de preuve hors de tout doute. Les projets de loi présentement à l'étude à Québec vont resserrer les règles. De nouveaux vérificateurs sont déjà à l'oeuvre pour enquêter sur les contrats municipaux. Mais ce n'est pas assez. Il faut centraliser dans un seul organisme la surveillance de la démocratie municipale, manifestement malade, et envoyer un signal clair. Tout comme les informations sur les contrats et appels d'offres - en ce moment disponibles ville par ville. Pourquoi un trottoir coûterait plus cher à Montréal qu'à Brossard? Les prix, les noms, les contrats doivent être connus de tous et facilement comparables. Voyez comment les prix des travaux municipaux ont chuté à Montréal. Pourquoi? Parce que les magouilleurs se sentent surveillés. À défaut de restaurer la vie démocratique municipale, qu'au moins on restaure la concurrence honnête. Ce sera déjà ça.
  5. Moins de projets au Québec Mise à jour le lundi 2 novembre 2009 à 16 h 53 L'argent du plan de relance du gouvernement fédéral destiné au Québec tarde à arriver, alors que d'autres provinces reçoivent leur part, indique une analyse menée par la Presse canadienne. L'agence de presse s'est basée sur les informations disponibles sur la « carte des projets » du site Internet officiel du plan d'action économique du Canada en date du 25 octobre. Elle a ainsi recensé 4833 projets au pays. Deuxième province en terme de population, le Québec reçoit moins de 10 % de ces projets, soit moins de 300. L'Ontario en a plus de 2500, tandis que l'Alberta et la Colombie-Britannique en ont plus de 300 chacune. Le Bureau du Conseil privé, qui gère les données apparaissant sur le site Internet du plan de relance d'Ottawa, n'a pas été en mesure de confirmer que tous les projets fédéraux annoncés au Québec avaient été inscrits dans la carte des projets, note toutefois La Presse canadienne. Des sommes qui mettent du temps à arriver Interrogés par l'agence, tant la Fédération québécoise des municipalités (FQM) que l'Union des municipalités du Québec (UMQ) reconnaissent que l'argent tarde à arriver. Il y a eu beaucoup d'annonces, mais le travail semble de plus en plus problématique. Il a fallu tellement de temps pour conclure les ententes. — Bernard Généreux, président de la Fédération québécoise des municipalités M. Généreux estime que le gouvernement provincial ne veut pas que le gouvernement fédéral s'immisce trop dans les affaires municipales, qui sont de compétence provinciale. La plupart des fonds du plan de relance du gouvernement fédéral requièrent une entente et une participation pécuniaire égale de la part des gouvernements provincial et municipal. Un délai supplémentaire demandé Le Québec a obtenu près de 1 milliard de dollars d'Ottawa pour le Fonds de stimulation de l'infrastructure, qui s'élève à 4 milliards. Mais, à titre d'exemple, 30 % des sommes destinées au Programme de renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées (PRECO) ont été allouées à des projets spécifiques, rapporte La Presse canadienne. Le programme a été mis sur pied en mars dernier. Tant la FQM que l'UMQ veulent qu'Ottawa accorde davantage que les deux ans qu'il a fixés pour engager toutes les sommes allouées en vertu du plan de relance de l'économie. « Nous ne voulons pas être pénalisés au bout de deux ans » parce que l'argent prévu dans le programme tardait à arriver sur le terrain, a fait valoir Jasmin Savard, analyste à l'UMQ.
  6. Les villes ripostent Mise à jour le dimanche 7 juin 2009 à 9 h 41 Les maires des municipalités canadiennes réagissent à la montée du protectionnisme aux États-Unis. Ils ont accepté une résolution pour empêcher les entreprises américaines d'obtenir des contrats des municipalités canadiennes. La résolution a été adoptée par un peu plus de la moitié des 364 délégués présents à la rencontre de la Fédération canadienne des municipalités, à Whistler, en Colombie-Britannique. Il s'agit d'un acte de représailles à la clause « Buy American », contenue dans le programme de relance économique du président américain, Barack Obama. Les maires disent vouloir envoyer un message fort et clair à Washington. « Aujourd'hui, les villes et les collectivités du Canada se sont jointes aux gouvernements fédéral et provinciaux pour faire front commun et essayer de mettre fin au protectionnisme américain », a déclaré le président de la Fédération, le maire de Sherbrooke, Jean Perrault. La résolution ne prendra toutefois pas effet avant quatre mois, afin de donner le temps au gouvernement canadien de négocier avec les autorités américaines. « La politique protectionniste des États-Unis nuit aux entreprises canadiennes, coûtant des emplois canadiens et sapant les efforts de croissance économique du Canada au milieu d'une récession mondiale », a ajouté M. Perrault. Des compagnies canadiennes se sont déjà plaintes de souffrir du « Buy American ». La résolution des maires canadiens a d'ailleurs été présentée par la communauté ontarienne de Halton Hills, où deux compagnies locales ont perdu des contrats qu'elles avaient déjà aux États-Unis, avant l'adoption de ce nouveau protectionnisme.
  7. En réaction au protectionnisme américain, les municipalités adoptent une résolution pour empêcher les entreprises américaines d'obtenir des contrats des villes canadiennes. Pour en lire plus...
  8. Les déficits augmentent le nombre de contraventions Mathieu Perreault - La Presse 16 mai 2009 | 17 h 01 Habiter une ville qui connaît des difficultés budgétaires n'est pas de tout repos. On doit s'attendre à des hausses de taxes et à moins de services. Pour couronner le tout, le risque d'écoper d'une contravention y est plus important. «Les villes qui font face à des baisses de revenus donnent généralement davantage de contraventions», explique Gary Wagner, un économiste de l'Université de l'Arkansas, à Little Rock, qui vient de publier une étude sur ce sujet dans une publication de la Réserve fédérale américaine. «Chaque baisse de revenus de 10%, le nombre de contraventions remises à des automobilistes augmente de 6,4%. Nous n'avons pas épluché les procès-verbaux pour voir si on avait donné des consignes précises aux policiers, mais nos résultats montrent sans l'ombre d'un doute que les contraventions sont utilisées par les municipalités pour augmenter leurs revenus plutôt que dans une démarche limitée à la sécurité routière.» Les radars photo La popularité récente des radars photo et des caméras croquant les automobilistes qui brûlent des feux rouges a amplifié le phénomène. Un cas célèbre est celui du village de Schaumburg, en Illinois, où une caméra installée à l'entrée d'un centre commercial a rapporté 1 million US en trois mois, avant d'être enlevée à la suite des protestations de la population - la caméra pinçait principalement les gens qui ne faisaient pas un arrêt complet avant de tourner à droite au feu rouge. «Nous n'avons pas examiné spécifiquement les caméras, mais il est évident qu'elles sont encore plus faciles à utiliser de manière perverse, dit M. Wagner. Il est délicat de demander à un chef de police de distribuer davantage de contraventions; il faut généralement exiger plus de patrouilles de sécurité routière, ce qui ne donne pas nécessairement plus de contraventions. Mais avec une caméra, les apparences sont sauves. Et on peut les installer à des endroits pas particulièrement dangereux, mais où il y a beaucoup d'infractions, par exemple une route très large, conçue pour une vitesse assez élevée, mais où la limite est plus basse.» La Cour tranche Une anecdote illustre bien le propos de M. Wagner. En 2006, la Cour suprême de la Caroline-du-Nord a décrété que les revenus des caméras devaient être versés à l'État plutôt qu'aux municipalités. «Le nombre de caméras était en augmentation constante jusqu'alors, raconte-t-il. Après, elles sont devenues beaucoup moins populaires. Je pense que ce n'est pas à cause d'une augmentation généralisée de la sécurité routière, mais plutôt parce que les caméras ont soudainement cessé d'être rentables pour les villes.» L'étude de M. Wagner a justement été faite à partir d'une base de données recensant toutes les contraventions en Caroline-du-Nord entre 1990 et 2003. À noter, le nombre de contraventions ne baissait pas quand les revenus des municipalités augmentaient et que leur budget était excédentaire. Et au Québec... Quelles sont les recommandations de M. Wagner pour le Québec, qui commence ce printemps à utiliser les caméras? «L'important est de bien séparer les responsabilités, dit M. Wagner. L'administration qui choisit où vont les caméras ne devrait pas être celle qui bénéficie des revenus des contraventions. Et qu'on prouve clairement qu'il y a un problème de sécurité routière aux endroits où on installe les caméras et qu'elles permettent de réduire le nombre d'accidents.» Au Québec, les revenus des contraventions distribuées par les caméras aux automobilistes vont au gouvernement provincial, alors que leur emplacement a été décidé en collaboration avec les municipalités. Il s'agit d'une séparation à peu près conforme aux prescriptions de M. Wagner. Par contre, les revenus des contraventions données par les policiers municipaux vont directement aux municipalités. Sur le plan du stationnement, à Montréal, les revenus des contraventions vont à la ville centre, sauf pour ce qui est des frais, qui vont aux arrondissements. ----------------- Ça pourrait expliquer, les 133 en extra pour aller chercher des revenues en extra, la limite de vitesse bidon de 40kmh à Montréal, les parcomètres et bonhommes aubergines gourmands et j'en passe....
  9. Un milliard de dollars pour les infrastructures municipales - Québec et Ottawa promettent d'agir rapidement La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Les municipalités qui poussaient les hauts cris devant l'état de leurs conduites d'eau depuis des années verront peut-être enfin la lumière au bout du tunnel. Les gouvernements fédéral et provincial ont précisé hier les modalités du programme PRECO pour le renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées. Ce programme sera doté de 700 millions, soit 350 millions de la part de chacun des deux ordres de gouvernement. À cette somme, les municipalités ajouteront leur part, pour totaliser un milliard sur deux ans. Québec et Ottawa veulent y aller rondement, cette fois, surtout après avoir entendu les doléances des municipalités, qui ont des projets dans leurs cartons depuis des années et qui attendaient qu'Ottawa et Québec s'entendent. L'aide financière sera disponible en 2009-2010 et 2010-2011 et sera octroyée en fonction des longueurs et des diamètres des conduites d'eau existantes. Le versement de l'aide financière sera effectué après la démonstration que les conduites ont été effectivement renouvelées, indique la documentation du gouvernement du Québec. La ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau a promis que les choses iront rapidement. «Le délai de traitement sera rapide. Nous prenons l'engagement dans un délai de deux semaines de donner une réponse positive aux municipalités», a-t-elle dit. Mais les besoins sont tels, les conduites si vétustes, dans certains cas, que le programme ne permettra de combler qu'une partie des besoins. Le Québec abrite plus de 80 000 kilomètres de conduites souterraines, a noté la ministre des Affaires municipales. Relance économique Le premier ministre Jean Charest a présenté le programme PRECO dans un cadre plus large de contribution à la relance économique, puisque cela crée des emplois dans la construction et dans les secteurs connexes. «Les gouvernements, dans le contexte de ralentissement économique, cherchent à faire des programmes d'infrastructure. Et c'est souvent le premier choix pour plusieurs raisons, d'abord parce que le besoin est là, mais, en plus, c'est un investissement stratégique, qui nous permet à plus long terme de structurer notre économie, d'améliorer notre qualité de vie», a expliqué le premier ministre.
  10. Toutes les municipalités de la Minganie, sauf Havre-Saint-Pierre, affichent un indice négatif de développement économique. Pour en lire plus...
  11. La banlieue attire les immigrants Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du vendredi 20 mars 2009 Mots clés : Banlieue, Municipalité, Immigration, Canada (Pays) Les villes demandent des fonds pour mieux les intégrer Les immigrants habitent de plus en plus dans les banlieues de Montréal. La part des nouveaux arrivants installés dans la ville centre de la région métropolitaine est passée de 79 % à 67 % entre 2002 et 2006. L'«étalement démographique» s'observe aussi à Toronto et à Vancouver. Voilà une des étonnantes découvertes du récent rapport Immigration et diversité dans les villes et les collectivités canadiennes dévoilé hier à Toronto par la Fédération canadienne des municipalités (FCM). «La voix nationale des gouvernements municipaux canadiens», fondée en 1901, compte près de 1800 membres. «Les immigrants continuent de vivre pour la plupart dans les plus grands centres urbains et les plus instruits s'installent en nombre croissant dans les banlieues et les municipalités de plus petite taille, a résumé Jean Perrault, maire de Sherbrooke et président de la FCM. Ceux qui demeurent dans les grandes villes font face à des enjeux socioéconomiques beaucoup plus importants.» Bien que plus scolarisés que l'ensemble des Canadiens, les immigrants comptent davantage sur l'aide sociale et souffrent plus que les autres du chômage. Plus de quatre familles migrantes sur dix vivent avec de faibles revenus, soit trois fois plus que le reste des Canadiens. Le président Jean Perrault a donc demandé que les villes soient consultées «comme des partenaires» pour la définition des politiques et des programmes en matière d'immigration. Il a également réclamé des fonds des ordres supérieurs de gouvernement, sans toutefois chiffrer les besoins. «Les municipalités ne sont pas responsables de l'arrivée des immigrants et pourtant elles doivent en assumer une bonne partie des coûts», a-t-il dit. Il s'agit du cinquième rapport thématique sur la qualité de vie dans les villes canadiennes publié par la fédération. L'étude disponible sur le site fcm.ca porte sur les 24 plus grandes agglomérations du pays, dont celles de Montréal, de Laval, de Québec et de Gatineau au Québec. Au total, ces grandes villes reçoivent 85 % de toute l'immigration et 90 % de tous les réfugiés au Canada. La région métropolitaine de Montréal (et ses 3,5 millions d'habitants au total) a reçu près de 40 000 immigrants en 2006, ce qui la place au deuxième rang derrière Toronto. Québec intègre environ 2000 étrangers par année. En fait, les villes canadiennes atteignent des niveaux de diversité culturelle exceptionnels, même à l'échelle internationale. Toronto et Vancouver ont des populations plus diversifiées que toutes les autres grandes villes de l'Amérique ou de l'Australie. Montréal, Calgary et Edmonton font également partie des dix principaux pôles d'immigration en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2009/03/20/240661.html (20/3/2009 9H45)
  12. Pendant que les municipalités canadiennes demandent l'aide du fédéral pour lancer une série de projets d'infrastructure, une étude montre que ces travaux contribuent à la productivité. Pour en lire plus...
  13. La Fédération québécoise des municipalités demande à Québec de mettre sur pied une série de mesures afin de stimuler les économies locales en raison de la crise économique. Pour en lire plus...
  14. Les municipalités accueillent favorablement les investissements dans les infrastructures, les chambres de commerce sont inquiètes, tandis que les organisations syndicales sont déçues. Pour en lire plus...
  15. Les municipalités canadiennes ont délivré pour 6,5 G$ de permis de bâtir au mois de septembre, soit 13,4% de plus qu'en août. Pour en lire plus...
  16. Les municipalités, les universités, les conseils scolaires et les hôpitaux doivent s'attendre à recevoir moins de l'Ontario, prévient le premier ministre McGuinty. Pour en lire plus...
  17. Les municipalités demandent à Québec d'aider les petits producteurs de fromage, durement touchés par les saisies massives du MAPAQ, afin de prévenir la contamination à la Listeria. Pour en lire plus...
  18. Ultramar obtient le feu vert Mise à jour le lundi 30 juin 2008, 17 h 14 . Ultramar pourra transporter son pétrole à l'aide d'un oléoduc qui sera aménagé entre Montréal et Québec. C'est la décision que vient de rendre la Commission de protection du territoire agricole du Québec. Ce feu vert ouvre la porte à des travaux de plusieurs millions de dollars. Le pipeline de 238 kilomètres devrait traverser 32 municipalités et coûtera 275 millions de dollars. Ultramar y acheminera des produits pétroliers entre sa raffinerie de Lévis et son terminal de Montréal-Est. Pour Ultramar, il s'agit d'une façon de réduire le trafic sur la voie maritime du Saint-Laurent et sur le réseau ferroviaire. Le projet de construction de ce pipeline a soulevé la colère de nombreux citoyens et d'agriculteurs, notamment à Sainte-Eulalie, au Centre-du-Québec. La municipalité n'a finalement pas voté de résolution pour interdire le passage de l'ouvrage sur son territoire, puisqu'elle a réussi à s'entendre avec Ultramar. Le maire de Sainte-Eulalie, Jacques Tassé, craignait une potentielle contamination des puits d'eau potable. Celui-ci souligne que le tracé a été modifié pour empêcher que les pipelines passent par les points d'alimentation de la municipalité. Quatre des 32 municipalités visées par le projet n'ont toutefois pas encore accordé de droit de passage à la pétrolière. Par ailleurs, l'Union des producteurs agricoles (UPA) du Centre-du-Québec considère le projet satisfaisant, notamment parce que l'oléoduc sera enfoui plus profondément que prévu. De plus, des compensations à la pièce ont été négociées entre la pétrolière et les producteurs agricoles touchés. L'Association des propriétaires privés, agricoles, acéricoles et forestiers n'a pu commenter la décision. Ultramar, qui a maintenant cinq ans pour construire son ouvrage, devra de plus assurer un suivi strict pendant sept ans afin de s'assurer que les sols perturbés par la présence du pipeline retrouvent leur productivité. http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2008/06/30/003-pipeline-ultramar.shtml?ref=rss
  19. Québec réserve au total 500mégawatts pour les projets issus des communautés autochtones et ceux impliquant des municipalités. Pour en lire plus...
  20. Protocole de Kyoto Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest et Line Beauchamp Alors qu'Ottawa essuie les critiques des environnementalistes à la conférence de Bali sur les changements climatiques, Québec annonce de nouvelles mesures afin de s'assurer que la province atteigne les objectifs du protocole de Kyoto. La ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, a annoncé jeudi la façon dont Québec compte utiliser les 350 millions versés par Ottawa. Cette somme permet de bonifier l'argent versé au Fonds vert de 1,2 à 1,55 milliard de dollars en six ans. L'argent sera consacré à des mesures qui s'articulent autour de huit axes: efficacité énergétique, gestion des matières résiduelles, transports, développement et déploiement de nouvelles technologies, adaptation aux changements climatiques, qualité de l'air, sensibilisation et éducation publique et soutien aux municipalités. Le premier ministre Jean Charest, dont la présence pour cette annonce n'a été annoncée qu'à la dernière minute, a profité de l'occasion pour envoyer un message sans équivoque au gouvernement Harper, dont la dernière mouture du plan vert fait fi des objectifs de Kyoto. C'est quoi le prix de l'inaction? Quel prix devrons-nous payer si nous n'assumons pas notre leadership? [...] Ce sont nos enfants et nos petits-enfants qui auront la réponse. — Jean Charest Le premier ministre du Québec n'a pas nommément parlé du premier ministre canadien Stephen Harper, mais a souligné que cette question mettait à l'épreuve tous les chefs d'État et de gouvernement. M. Charest n'a pas fait de mystère quant au moment choisi par son gouvernement pour faire son annonce. « On le fait à la veille de la conférence de Bali, parce qu'on veut arriver là en présentant à nos alliés, à ceux qui s'intéressent à cette question-là, un plan qui est détaillé, qui fait la démonstration qu'il est possible de réduire nos gaz à effet de serre, que c'est possible de respecter Kyoto, à la condition d'y mettre les efforts et les moyens. » Mme Beauchamp, qui doit se rendre à Bali la semaine prochaine, soutient de son côté que Québec se présentera à la conférence avec deux importants atouts en main: une motion unanime de l'Assemblée nationale en faveur d'un respect des cibles de Kyoto et ce qu'elle a appelé le « meilleur plan de lutte aux changements climatiques en Amérique du Nord ». M. Charest et Mme Beauchamp ont tous deux soutenu que l'objectif du Québec à Bali était d'influencer les décisions, de créer des alliances avec des régions et des pays et de promouvoir le rayonnement du Québec en matière d'environnement. Série de mesures La ministre Beauchamp a expliqué que les nouvelles mesures annoncées jeudi grâce aux 350 millions de dollars provenant de l'Écofiducie fédérale sont issues du travail de plusieurs ministères. Ces derniers ont soumis des projets qui ont été évalués sur les plans environnemental et économique. Voici certains de ceux qui ont été retenus et annoncés par la ministre: Efficacité énergétique: Nouveaux programmes pour remplacer les générateurs d'air chaud et les chaudières inefficaces utilisés par les industries et les institutions de la province. Les procédés de réfrigération dans les édifices (arénas, supermarchés, entrepôts frigorifiques) seront aussi modifiés. Gestion des matières résiduelles: 38 millions seront consacrés à encourager le captage, l'élimination ou la valorisation du biogaz généré par certains dépotoirs au Québec. Ce biogaz est essentiellement composé de méthane, un gaz à effet de serre qui présente un potentiel de réchauffement 21 fois plus élevé que le dioxyde de carbone (CO2). Soutien aux municipalités: Les municipalités recevront de l'argent pour effectuer un bilan de leurs émissions de gaz à effet de serre et élaborer un plan de lutte qui leur est propre. Les municipalités qui auront un règlement pour limiter la marche des moteurs au ralenti recevront aussi de l'aide, notamment pour déployer une signalisation routière adaptée. Nouvelles technologies: 100 millions seront consacrés à la recherche et au développement, notamment dans le domaine de la séquestration du CO2. Transports: 75 millions sont ajoutés pour accroître l'efficacité du transport des marchandises. Selon la ministre Beauchamp, la moitié du 1,55 milliard du Fonds vert est consacré à la problématique du transport. Adaptation aux changements climatiques: 20 millions seront consacrés à améliorer le réseau de surveillance du climat. Québec veut aussi s'attaquer aux problèmes de la fonte du pergélisol et d'érosion des berges dans l'estuaire du Saint-Laurent.
  21. Des sous pour les sols contaminés Par ailleurs, le premier ministre Jean Charest avait une bonne nouvelle à annoncer aux municipalités coincées avec plusieurs stations-service désaffectées et autres terrains contaminés. Le nouveau programme Climatsol, successeur du défunt Revi-Sols, donnera 50 millions $ en trois ans aux villes québécoises. Une contribution équivalente est attendue des partenaires, notamment les municipalités, précise le gouvernement. Les villes pourront soumettre des projets visant à transformer les terrains contaminés en parcs, ou « surfaces de végétation », dans le jargon gouvernemental. Le programme Climatsol encouragera aussi la construction de bâtiments verts, qui utilisent les technologies environnementales pour réduire de façon mesurable la consommation d’énergie.
  22. Presse Canadienne Le dimanche 22 avril 2007 La Fédération québécoise des municipalités a amorcé sa démarche pour élaborer sa future politique sur le développement durable. L'initiative intervient dans le contexte de la Loi québécoise sur le développement durable, adoptée au printemps 2006, établissant que le gouvernement pourra déterminer le moment où les municipalités devront élaborer un plan d'action et des objectifs en matière de développement durable. Avec l'aide d'experts et de professionnels, la Fédération québécoise des municipalités veut donc établir les grandes lignes à considérer en termes de responsabilités municipales liées au développement durable. Outre les élus et les fonctionnaires municipaux, des représentants du monde des affaires et de différentes organisations des secteurs de l'environnement, de l'agriculture, des transports, de la santé et de l'éducation, seront mis à contribution. Les élus municipaux veulent mettre en place une nouvelle façon de faire, qui tienne compte à la fois fois de l'obligation de livrer des services à la population, tout en y intégrant les principes de développement durable. La Fédération dit répondre à la pression des citoyens, qui voient dans le développement durable une priorité pour les générations futures. Un colloque aura lieu en juin prochain. Des recommandations seront par la suite acheminées au congrès de la Fédération, en septembre.
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