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denpanosekai

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Tout ce qui a été posté par denpanosekai

  1. denpanosekai

    Square Viger

    Viger Square makeshift homeless camp dismantled by city crews (Click for video)
  2. Latest News from Journal de Montreal (January 5th 2015)
  3. Journal de Montreal MONTRÉAL – Ce qui se voulait au départ une blague du propriétaire du café Bobby McGee à une cliente a pris une tout autre proportion en menant à des tensions sur les réseaux sociaux, au départ de six employés et à une vitrine fracassée à l’aide de briques, deux nuits de suite. La vitrine du commerce a été brisée les nuits du 29 et du 30 décembre. La deuxième nuit, un signe mauve, évoquant un symbole féministe, a de plus été peinturé sur le grillage du café. Le propriétaire, Patrick Pilon, a depuis fait deux plaintes pour vandalisme au Service de police de la Ville de Montréal. Il y voit une action féministe et fait un lien avec une altercation survenue le 27 novembre dernier avec une cliente. Il raconte que cette journée-là, deux religieuses ont pris place dans son café. «Une cliente est venue me voir et elle a fait une blague en disant que ça leur ferait peut-être du bien d’avoir une vie sexuelle, a-t-il relaté. J’ai renchéri en disant que oui, et si ça pouvait leur rendre service je pourrais en amener une dans la cave.» Ces propos n’ont pas plu à une autre cliente, qui a interpellé le propriétaire sur place pour ensuite écrire un message devenu viral sur Facebook, et qui associe les propos à la culture du viol tout en invitant au boycottage. Mauvaise gestion de crise Patrick Pilon reconnaît avoir eu une part de tort dans l’escalade des évènements et avoir mal géré la crise. «J’ai des propos qui manquent de retenue. J’ai peu de censure de moi-même», a-t-il dit. Il a répondu à ses détracteurs en utilisant des insultes et un ton agressif, ce qui a jeté de l’huile sur le feu, selon ses dires. Des employés du café ont publié une lettre sur Facebook dans la foulée des évènements pour se dissocier des propos du propriétaire tout en dénonçant leurs conditions de travail. « Nous avons très souvent reçu nos paies en retard, et ce, jusqu’aux derniers jours encore. L’ambiance de travail autour de notre employeur est stressante et instable : propos déplacés, colère explosive, comportements inappropriés, et le tout, de façon récurrente », ont-ils écrit. Six employés sur une douzaine ont quitté le mois dernier. D’autres ont toutefois défendu leur patron dans une lettre et affirment qu’il n’est pas sexiste ni misogyne. La Presse Un petit café du quartier Hochelaga-Maisonneuve a été vandalisé deux soirs de suite cette semaine et le compte Facebook de l'établissement a été piraté. Son propriétaire, Patrick Pilon, est persuadé d'être la cible de féministes radicales. Le 29 décembre, un premier pavé a été lancé dans la vitrine du Café Bistro Bobby McGee. Le lendemain M. Pilon a relaté les événements sur Facebook en se demandant s'il n'était pas victime des «anarchistes» qui ont déjà vandalisé des restaurants pour dénoncer l'embourgeoisement du secteur. La nuit du 30 décembre, sa vitrine a de nouveau été fracassée. Et cette fois, le symbole de Vénus, souvent utilisé par les féministes, a été peint en mauve sur la grille devant la porte. Patrick Pilon a immédiatement fait le lien avec un incident survenu il y a environ un mois dans le café. «Je suis victime de dénigrement et de diffamation depuis ce temps», a-t-il expliqué à La Presse hier matin. Le propriétaire a déclaré à plusieurs reprises qu'il était «à boutte!» «Ça va être quoi, la prochaine étape, un incendie criminel?» s'est-il insurgé. « Joke de mauvais goût» Il y a un mois, une altercation avec une cliente a entraîné une crise parmi les employés. Six d'entre eux ont fini par claquer la porte. «Le 27 novembre, j'ai fait une joke de mauvais goût. J'ai dit que j'aimerais bien baiser une nonne. C'était stupide de ma part et je m'en suis excusé», a expliqué le propriétaire, qui a lancé sa phrase controversée alors qu'une religieuse venait de quitter l'établissement. Parmi les clients, une femme qui s'est décrite, au dire de M. Pilon, comme une étudiante de l'UQAM a entendu les propos et les a dénoncés dans le café puis sur les réseaux sociaux en appelant au boycottage du commerce. La Presse a tenté en vain de la joindre. C'est à partir de ce moment que les choses ont dégénéré. Patrick Pilon a répondu agressivement sur Facebook à la déferlante de commentaires de plusieurs personnes. «J'aurais dû me taire et m'en remettre aux avocats. Mais je suis en colère, et si on me traite de misogyne, je vais t'envoyer chier parce que ce n'est pas vrai», a-t-il déclaré. Certains employés se sont rencontrés pour rédiger une lettre d'appui à la militante, intitulée «Le feu aux poudres», qui dénonçait les propos tenus après le départ de la religieuse. «Ce qui s'est passé [...] est selon nous une aberration, et nous la condamnons de toutes nos forces, nous la rejetons en bloc: cela nous répugne complètement», pouvait-on lire. L'incident a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase et entraîné la vague de départs, selon deux anciennes employées à qui La Presse a parlé, mais qui ont souhaité garder l'anonymat. Elles maintiennent que M. Pilon tient souvent des propos déplacés et qu'il a tendance à piquer des crises de colère. Le principal intéressé reconnaît qu'il a un caractère bouillant et qu'il s'exprime souvent sans filtre. «Je n'ai pas d'autocensure et j'ai toujours été spontané. Je suis un livre ouvert», dit-il. Il admet aussi que la consommation d'alcool a pu parfois infléchir son comportement. Appel au calme Le propriétaire a reçu cette semaine l'appui d'un groupe de 10 employés du café qui ont décidé de le défendre en lançant un appel au calme dans une lettre. «Son comportement [de Patrick] s'est redressé, mais la campagne persiste [...] C'était déjà assez malsain comme c'est là, ça ne fait que s'exacerber et il faut que ça cesse!», peut-on lire dans la missive. Le Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM) a confirmé hier avoir ouvert une enquête sur les actes de vandalisme. «Aucune piste n'est écartée pour l'instant», a indiqué le porte-parole Simon Delorme.
  4. denpanosekai

    Gare Viger

    Yet another writeup, this time from the Globe and Mail. Don't think there's anything new.
  5. There's a quick preview of the observation deck coming up on TVA nouvelles. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/12/20141230-130919.html I'd be happy to pay 7-10$ to climb up there. Although it should be 3.75$ for Montreal citizens until end of 2017 IMHO
  6. > Est-ce que la construction est 100% finie? Ça pourrait bouger dans les projets terminés? There is a phase 2 and it looks like it's on its way. The place seems very popular with north shore people.
  7. Absolutely useless for Montrealers. The only incentive for me is that the Tommy Hilfiger store is larger there than the one downtown, but the deals are the same.
  8. Been looking for a good Blue Bird Cafe shot for a long time. Finally found it on guil3433's account 1972-2014
  9. Well good luck to them. One of the worst locations downtown at the moment. Godspeed.
  10. Thanks Neph! I'll be reposting these around.
  11. They are removing the banner on Viger street. The one on University is probably next.
  12. Thanks scarlet. I'd like to see a (small) condo building pop up there. Bring in some residents.
  13. Thanks MontrealMartin!!! Missed that one!! I've been wondering for a long time what used to be there before Hotel de La Montagne.
  14. IMTL is really good with this. Click on a building, click on the architect's name, it'll show you everything they made. For instance. Ernest Isabelle Barott. Ross & Macdonald. etc.
  15. Under construction 1961 (archives de Montreal) in 1965 (archives de montreal)
  16. Lot behind the Mount Stephen in 1965 (archives de Montreal), looks like there was a parking tower.
  17. Haven't posted here in a while. Journal de Montreal digs up some dirt. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/13/grand-luxe-a-flanc-de-montagne
  18. I like the point but damn Centre street is a no-man's land. Wellington isn't much better. I cannot believe how few shops there are.
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