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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Un passionné de 147 ans Photo: Musée des beaux-arts de Montréal Couverture d'Un musée dans la ville (détail) Au moment où le musée met en oeuvre un important projet d'agrandissement est lancé le premier ouvrage qui retrace son histoire, de 1860 à nos jours. Oeuvre de Georges-Hébert Germain, Un musée dans la ville. Une histoire du Musée des beaux-arts de Montréal est un ouvrage imposant. Riche de 600 photos d'époque, reproductions et illustrations, l'ouvrage de 270 pages en papier glacé se veut autant un récit historique détaillé qu'un livre d'art. Il présente notamment de nombreuses oeuvres extraites des collections du musée. Le premier directeur francophone du MBAM, Jean Trudel, est nommé en 1977 et la première femme directrice, Nathalie Bondil, en 2007. D'association de passionnés... L'histoire du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), révèle le livre, est à l'image de l'évolution, culturelle, linguistique, économique, de sa ville même. La future institution naît en 1860 sous la forme de l'Art Association of Montreal, un regroupement d'amateurs d'art issu de la plus pure tradition bourgeoise anglo-protestante. Grâce à un legs d'un donateur, une première Art Gallery est érigée square Philipps, au centre-ville, en 1879, écrit Georges-Hébert Germain. C'est en 1912 que l'Art Gallery s'installe sur son site actuel, rue Sherbrooke Ouest, qu'occupe toujours le MBAM. Photo: Robert Etcheverry L'auteur et journaliste George-Hébert Germain ... à institution muséale renommée En 1947, le musée montréalais adopte son non nom actuel, lit-on dans Un musée dans la ville. Les années 60 voient la présentation des grandes rétrospectives consacrées à des artistes québécois, tels Pellan, Borduas et Riopelle. Signe des temps, les dons de mécènes francophones commencent à affluer. En 1972, le MBAM devient un établissement de type mixte, c'est-à-dire qu'il recevra désormais une partie de son financement de Québec, souligne l'auteur. Une annexe bétonnée est inaugurée en 1976. L'année suivante, un premier directeur francophone, Jean Trudel, arrive à la tête du musée. L'ouvrage souligne aussi les années du directeur Pierre Théberge. De 1986 à 1998, le MBAM accueille de grandes expositions (Picasso, Vinci, les années 20, etc.), destinées à élargir le public, et compte un nouveau pavillon. En janvier 2000, la Montréalaise Liliane M. Stewart lègue sa collection de 5000 objets décoratifs, estimée à 15 millions de dollars, au MBAM. C'est un des dons les plus importants consentis à un musée au pays. En 2010, année de son 150e anniversaire, le MBAM comptera un nouveau pavillon consacré à l'art canadien et annexera une ancienne église voisine, reconvertie en salle de concert. les travaux de cet important projet, évalué à 40 millions de dollars, seront amorcés en 2008.
  2. Dell veut conquérir le Québec 16 novembre 2007 - 13h54 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Agrandir Paul Bell, à gauche, officialise un partenariat avec Bassam Sabbagh de Bombardier. Foi de Paul Bell, président des Amériques de Dell (DELL) , le marché québécois est essentiel pour le fabricant d’ordinateurs. On ne pourrait le contredire, lui qui se pointe à l’entrevue avec à la main... un chandail du Canadien de Montréal qu’on vient de lui donner. Est-il un partisan des Glorieux ? La réponse vient, pas tellement diplomate dans le pays de Bob Gainey. «En fait, j’ai habité pendant quelques années à Philadelphie, donc je suis un partisan des Flyers», dit-il. Sourire crispé du côté du vice-président, Lawrence Pentland. «Nous allons lui faire connaître votre équipe», assure M. Pentland. On lui pardonnera volontiers cette petite hérésie lorsqu’on constate le français impeccable de Monsieur le président. Pas mal pour un homme habitant la très sudiste Austin au Texas. «Je suis né en Tunisie et j’ai habité pendant ma jeunesse à Marseille», précise-t-il. Facile alors de comprendre pourquoi Michael Dell, président de l’entreprise l’a choisi pour diriger la section des Amériques. Et par le fait même, augmenter leur part de marché au Québec. Car ils le savent, en affaires, la langue demeure une donnée essentielle. Reculons de cinq ans. Le numéro deux mondial du marché des ordinateurs PC n’a pas beaucoup d’entrées au Québec. Les ventes ne sont pas à la hauteur, à la traîne de celles dans le Canada anglais. Des efforts ont été investis depuis, selon Paul Bell. «Il y a 6 ou 7 ans, le marché québécois n’était pas assez développé. Il n’y avait pas beaucoup de personnes qui y travaillaient», dit-il. Aujourd’hui, il y a 60 employés au service de Dell dans la province. Un chiffre bien mince toutefois quand on les compare aux 1300 employés à Edmonton, 1300 à Ottawa ou les 900 à Toronto. Tout de même, le président est positif. «Notre présence s’est accentuée au Québec. Maintenant, nos parts de marché sont équivalentes à celles au Canada», assure-t-il. Pour preuve, les annonces de partenariats s’accumulent avec des géants québécois. Hydro-Québec, Université de Sherbrooke et Bombardier… D’ailleurs, la venue de Paul Bell au Québec n’est pas un hasard. Le géant des ordinateurs vient signer dans la capitale de l’aéronautique un contrat avec Bombardier. Un partenariat qui permettra à chacun des avions Challenger 605 de l’avionneur montréalais d’être équipée d’un ordinateur bloc-notes Dell Latitude. «Nous avons développé ce produit pour leurs besoins internes et de maintenance», souligne M. Bell. Autre preuve de l’engouement du fabricant d’ordinateurs pour notre marché : le président Michael Dell sera à Montréal en février prochain pour une conférence de La Boule de cristal du CRIM avec notamment l’écologiste David Suzuki. Selon l’entreprise, Dell se retrouve au deuxième rang pour la vente des PC de bureau et de bloc-notes au Canada avec tout près de 20% du marché. En premier, le commercial Pour Dell, ce n’est pas un secret, c’est le secteur commercial qui prime. C’est là qu’ils font des affaires d’or. Le marché des ordinateurs personnels ne représente que 10 à 15% de leurs ventes. D’ailleurs, Dell est premier dans ce secteur au Canada et aux États-Unis. Et les PME demeurent une grande priorité pour l’entreprise. «Pour ces petites et moyennes entreprises, il est facile pour eux de contacter Dell, c’est rapide et par téléphone», assure M. Bell. L’entreprise mise sur la proximité et sur la simplicité. «Chez nous, c’est plus simple, moins coûteux, plus rapide», assure-t-il. Ce qui ne veut pas dire pour autant que le marché des ordinateurs personnels ait été largué par Dell. «Les gens aiment faire leur achat en ligne, mais ils veulent avoir l’occasion de voir nos produits dans les étalages, ce que nous faisons de plus en plus», dit le président. «Aussi, nous voulons mettre le paquet sur le design de nos PC», continue-t-il. C’est d’ailleurs sur sa vedette, le XPS, que Dell met plusieurs de ses billes. Selon l’entreprise, le XPS est le portable est le plus mince du marché. Le consommateur peut l’obtenir avec la couleur qu’il désire, à son goût. Véritablement, la valeur sûre de Dell pour jouer dans les plates-bandes des autres joueurs majeurs dont Hewlett-Packard. À la bourse, l’action de Dell, inscrite au Nasdaq, est en hausse continuelle depuis mars dernier, une augmentation de 18%. Ce qui réjouit Paul Bell. «Les investisseurs doivent savoir que Dell existe depuis maintenant 23 ans. On a fait des acquisitions, des changements dans la structure, et ils peuvent voir que ça paye», soutient M. Bell. Toutefois, depuis novembre, l’action a perdu 14% de sa valeur. Vendredi, en milieu de journée, l’action était en baisse de 44 cents à 26,39$.
  3. Nouvelle alliance économique Plus d'info Sept provinces canadiennes - le Québec et six autres provinces du Manitoba à l'Atlantique - ont décidé de former une alliance formelle avec six États du Sud-Est américain. Il s'agit de l'Alliance des États du Sud-Est des États-Unis et des provinces du Centre et de l'Est du Canada, un forum économique voué à la promotion du commerce, des exportations et del'investissement entre les partenaires. L'Alliance a été scellée au cours d'une conférence à Montréal, coprésidée par le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le gouverneur de la Georgie, Sonny Purdie. Des dirigeants d'entreprises ont aussi participé aux échanges, puisque ce nouveau forum a pour but de développer le commerce et les investissements entre les deux régions. Selon M. Charest, il était temps de renforcer les liens économiques entre ces deux blocs régionaux au moment où le Canada perd des parts de marché au profit de la Chine. Surtout que le Québec a un excédent commercial de 4,4 milliards de dollars avec ces États, et que 13,5 % des exportations du Québec se font dans cette région des États-Unis. Jean Charest et Raymond Bachand « Comme tous les autres pays, on est très préoccupé par l'émergence de la Chine et de l'Inde. [...] L'expérience nous apprend qu'on a tendance à négliger ce qu'on a dans notre propre cour. Et que nous avons encore beaucoup d'opportunités, beaucoup de travail à faire pour relever encore davantage d'occasions d'affaires entre le Canada et les États-Unis », a déclaré M. Charest. Les secteurs économiques du Québec qui devraient profiter le plus de cette nouvelle alliance sont les secteurs forestiers, de l'aérospatial, de la biotechnologie et des énergies alternatives. En Ontario, on mise beaucoup sur l'industrie automobile. La question du passeport était également à l'ordre du jour, et tous ont convenu que les mesures de sécurité ne devaient pas nuire au commerce transfrontalier. La nouvelle alliance devrait être « dirigée » par l'entreprise privée, et les gens d'affaires se réuniront en juin prochain, à Savannah, en Georgie. L'Alliance L'Alliance réunit six États du Sud-Est des États-Unis - Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, Tennessee, Mississippi et Alabama - et sept provinces canadiennes - Québec, Ontario, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Manitoba,Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador.
  4. J'ai vraiment hâte de voir les changements, la PDA est très "béton-massif" et c'est pas intéressant surtout côté st-cath, et la rue ou il y a le QG de la police (le nom me reviens pas).
  5. right above your nick name in the post there's a date and time.
  6. hmm i don't understand what you mean, every post is stamped with a date!!
  7. Montréal, Hollywood en moins vulgaire Lorsque Next, le magazine du quotidien Libération, se penche sur "ceux qui aujourd'hui dessinent notre futur", il s'arrête à Montréal, où fleurit l'industrie du jeu vidéo, nourrie aux programmes d'aide gouvernementale et aux bonnes tables de la ville. "Depuis une dizaine d'années, Montréal est devenue l'une des places fortes du multimédia et notamment du jeu vidéo. Les plus grands éditeurs y possèdent leurs studios, des cursus universitaires forment les professionnels de demain et il ne se passe pas une semaine sans qu'un Français, un Anglais ou un Américain ne pose ses valises à Montréal pour y travailler. Montréal, c'est la nouvelle Hollywood avec quelques dizaines de degrés de moins en hiver et sans les limousines vulgaires de la côte ouest. Et, le soir, tout ce bon monde se croise dans les bars à néons de la rue Sainte-Catherine, dans les concerts d'Arcad Fire et de Malajube ou dans les lounges hypes du boulevard Saint-Laurent. Sans oublier le Pied de cochon [rue Duluth], mais pas tous les soirs", s’extasie Next dans un reportage dans cet Éden ludique, de la bringue et des univers virtuels. "Et pourtant, ce n'était pas gagné d'avance", poursuit Next. "En 1998, le premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, lance la Cité du multimédia, un programme visant avant tout à redynamiser le Faubourg des Récollets, quartier d'usines et d'entrepôts tout près du centre-ville qui, depuis les années 1960, avait salement souffert des délocalisations et de l'extinction de certaines branches industrielles. Les immeubles sont réhabilités, rendus aptes à l'activité tertiaire et, surtout, le gouvernement offre un joli cadeau aux investisseurs étrangers sous forme d'un crédit d'impôts. Concrètement, il s'engage à rembourser à hauteur de 40 % des salaires à concurrence de 15 000 dollars canadiens par salarié. Cela prend la forme d'un crédit d'impôts remboursable égal à 40 % de chaque personne travaillant dans le secteur du multimédia. Et pour faire bonne mesure, le gouvernement s'engage à ce que cette incitation soit renouvelée jusqu'en décembre 2010. Pas besoin d'en rajouter, toute l'industrie a pigé l'aubaine. D'autant que c'est exactement le moment où le jeu vidéo cesse d'être une affaire de bricoleurs dans des garages et commence à se structurer en grands éditeurs capables de mettre plusieurs centaines de milliers de dollars sur la table pour créer un jeu. En quelques mois, les demandes affluent et les structures gouvernementales de Montréal n'hésitent pas à lancer des invitations aux studios américains, français ou anglais. Les fonderies du début du XXe siècle au nom pittoresque, Darling Brothers ou Ives & Allen, sont désormais les locaux des Microïd, TeamSoft, DotCom ou Cryo." Pour Next, c'est comme si le clinquant du jeu vidéo avait dépoussiéré la ville. "Du coup, en l'espace de dix ans, Montréal a changé de visage. Ville jeune, moderne et plutôt branchée. Sans toutefois effacer totalement les réminiscences un peu provinciales de certains quartiers. Le long du boulevard Saint-Laurent, à deux pas des studios Ubisoft, les grandes bâtisses de brique, vestiges de l'industrie textile démantelée dans les années 1970, les boutiques qui n'ont pas bougé d'un pouce depuis les années 1950, ont encore un charme vieillot qui s'acclimate bien de la floraison des bars à DJ où de jolies filles servent des cocktails cubains ou brésiliens." 21:39 Publié dans Amériques | Lien permanent | Commentaires (1) | Envoyer cette note | Tags : Québec, Montréal, multimédias Commentaires La cité des médias est superbe et il y a tant de choses à voir... Il y a aussi la CAE pour le training par vol simulé. Montréal est une ville très dynamique. Elle me fait penser en plus tranquille à New-York pour son cosmopolitisme et sa vie nocturne ou diurne intense. Le milieu de la mode est très dynamique, les restos, les concerts, et les belles longues ballades à vélo. Hummmmm, miam miam!!! Montréal est la ville où il fait bon vivre. Le bilinguisme sinon le tri, le 4, le 5 linguisme et plus, c'est passionnant. À chaque coin de rue et chez les montréalais, la joie de vivre et de s'éclater dominent. Son aspect francophone devra être préservé coûte que coûte car c'est ce qui fait son absolu charme. Montréal est la ville où il fait bon y être pour toujours. Merci de rappeler que Montréal est en pleine vibration/connection avec le monde entier. Ecrit par : Bibi | 15.11.2007
  8. mtlurb

    NASCAR Montréal

    Et si la coupe Sprint s'approchait de Montréal ? Dominic Fugère Le Journal de Montréal 02/11/2007 11h41 Le New Hampshire International Speedway, l'ovale de NASCAR le plus près de chez nous, a été vendu à Bruton Smith, déjà propriétaire de six circuits visités par la coupe Nextel. Si la piste prisée des Québécois risque fort de perdre l'une de ses courses de la coupe Sprint, le rachat pourrait faciliter la venue de la série majeure de NASCAR au circuit Gilles-Villeneuve. Selon plusieurs sources consultées hier, Smith aurait déboursé au-delà de 340 M$ pour acheter l'ovale du New Hampshire bâti en 1990 par Bob Bahre et exploité par la famille Bahre depuis. Chaque course de la division d'élite de NASCAR disputée ici depuis 1993 l'a été à guichets fermés. Ça n'empêcherait pas Smith de déménager une ou même les deux dates de la piste de la Nouvelle-Angleterre vers l'une de ses autres pistes. Le magnat des circuits possède les ovales du Texas, d'Atlanta, de Bristol, de Charlotte et de Las Vegas en plus du circuit routier de Sonoma, en Californie. L'objectif avoué de Smith est de fournir une deuxième épreuve de coupe Sprint à Las Vegas. Ça n'arrivera cependant pas avant 2009. «Le calendrier de 2008 a déjà été rendu public, a expliqué Steve O'Donnell, viceprésident de NASCA, au quotidien Charlotte Observer. Nous examinerons des possibilités de changement au calendrier pour 2009 et, plus tard, en autant qu'elles rencontrent nos objectifs à long terme.» Ces possibilités de changement au calendrier pourraient permettre à Montréal de se trouver une date de la coupe Sprint à l'avenir. International Speeday Corporation (ISC), le copromoteur de la course NASCAR de Montréal avec Normand Legault, est contrôlé par la famille France qui possède aussi NASCAR. Une date pour Montréal? La possibilité qu'ISC se joigne à Speedway Motorsport Inc. (SMI, l'entreprise de Bruton Smith) pour acheter la piste du New Hampshire aurait été étudiée. Avec un achat conjoint, SMI et ISC se seraient partagé les dates et l'une d'entre elles aurait pu être attribuée à Montréal. La possibilité que NASCAR et/ou ISC ne profitent pas du remue-ménage dans le calendrier en 2009 pour ajouter le circuit Gilles-Villeneuve au calendrier de la coupe Sprint est toujours possible. Joint hier, Normand Legault n'a pas voulu commenter cette possibilité ni dire si son groupe avait fait une demande pour obtenir une date de coupe Sprint. Il a toutefois expliqué que son groupe serait intéressé à accueillir la grosse série si ses partenaires ISC et NASCAR lui en fournissaient l'occasion. «La dernière fois que Brian France et Mike Helton (président du conseil et PDG de NASCAR) ont parlé publiquement de l'expansion de la coupe Sprint, ils ont expliqué que sa venue au Canada n'était pas dans leurs priorités, a dit Legault. Cependant, on ne s'est jamais cachés pour dire que si l'occasion se présentait, nous serions intéressés par la coupe Sprint.» Servir le même marché et faire plus d'argent Une course à Montréal, qui n'est qu'à 400 km de la piste du New Hampshire, permettrait de desservir le même public qui a empli le New Hampshire International Speedway pendant 14 ans. De plus, la situation du NASCAR au Québec et au Canada a changé énormément depuis que France et Helton ont expliqué que le Canada n'était pas dans les priorités d'expansion de la coupe Sprint. Patrick Carpentier et Jacques Villeneuve s'y sont trouvé des volants à temps plein tandis qu'Andrew Ranger développe son plan de carrière pour tenter d'y aboutir. Ajoutez tout ça, et il y a fort à parier qu'il y aurait autant de monde à l'île Notre-Dame que pour la F-1. Ce serait aussi plus de monde que ne contient le New Hampshire International Speedway. Avec le huard qui vaut plus que le dollar américain, la piste qui appartient à la ville et le juteux prix des billets exigé pour le NASCAR au circuit Gilles- Villeneuve, ça donne d'excellentes façons à ISC d'améliorer le retour à ses actionnaires!
  9. C'est le péage qui permet des économies au gouvernement dans les PPP Il y a 9 heures QUEBEC - Si les routes construites en partenariat public-privé (PPP) permettent des économies au gouvernement, c'est parce qu'on y instaure du péage pour les automobilistes, estime l'Association des ingénieurs du gouvernement. Témoignant jeudi devant la commission parlementaire des Finances publiques, le président de l'Association, Michel Gagnon, a cité l'exemple de l'autoroute 25, un lien de 7 km qui reliera Montréal à Laval. Le parachèvement de cette autoroute en mode PPP permettrait des économies de 226 millions $ pour le gouvernement, mais les usagers auront à payer des frais d'utilisation qui atteindraient 2,40 $ à l'heure de pointe en 2011, a-t-il fait valoir. M. Gagnon a soutenu que lors d'une construction de route, les coûts de construction et d'entretien sont les mêmes, qu'on le fasse en mode PPP ou selon la voie habituelle. Comme le gouvernement doit, dans un PPP, verser en plus une prime de risque et un profit au partenaire, les économies ne peuvent se réaliser que par l'instauration de frais de péage. "Le recours aux PPP semble être pour le gouvernement Charest la figure de proue de la gouvernance. Pourtant, il y a dans le secteur public autant de talent et de capacité pour réaliser les travaux avec rigueur, discipline et transparence", a dit M. Gagnon, qui représente les 1100 ingénieurs qui oeuvrent au sein de l'Etat québécois. Par ailleurs, plusieurs groupes ont critiqué le projet de loi de la présidente du Conseil du trésor, la ministre Monique Jérôme-Forget, qui prétend vouloir instaurer une gestion plus rigoureuse des infrastructures publiques. Selon la Conférence des recteurs des universités, le projet de loi, s'il est adopté, exigera que tous les projets publics de plus de 40 millions $ soient examinés sous l'angle du partenariat public-privé avant leur réalisation. Cela impliquera que ces projets seront soumis à au moins six approbations, et parfois dix, soutient le mémoire des recteurs universitaires. Par exemple, un projet universitaire majeur devra être soumis au ministre de l'Education, à l'Agence de partenariat public-privé, au Conseil du trésor, puis recevoir une seconde approbation du ministère de l'Education et du Conseil du trésor, avant d'être finalement soumis au Conseil des ministres. Ce long processus d'approbation prévu dans le projet de loi "suffira à mettre en péril bien des projets structurants", croient les recteurs. Les projets coûteront plus chers et feront l'objet de délais inutiles. La ministre Jérôme-Forget a contredit ces allégations selon lesquelles le processus qu'elle propose sera plus lourd. Elle prétend que seulement trois étapes d'approbation des projets seront nécessaires et qu'il y aura des avantages en économie de temps. Mais la ministre a pris conscience que son projet de loi ne soulève pas l'enthousiasme des deux partis politiques de l'opposition, l'Action démocratique et le Parti québécois. Comme le gouvernement Charest est minoritaire, le projet de loi risque d'être battu lorsqu'il sera soumis à l'approbation de l'Assemblée nationale. Stoïque et résignée, la ministre Jérôme-Forget a ajouté: "j'apprécie néanmoins un gouvernement minoritaire. Cela nous force à faire des accommodements", a-t-elle dit.
  10. Bon les gens chialent que tout prends trop de temps à Montréal... eh bien, voilà qu'on apprends que ça a pris 12 ans avant qu'ottawa aie son nouveau centre des congrès! http://www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2007/11/15/005-centre-congres-ottawa_n.shtml
  11. Montréal se prépare à accueillir le Congrès mondial de l'énergie en 2010 ROME, Italie, le 15 nov. /CNW Telbec/ - Lors de la cérémonie de clôture du Congrès mondial de l'énergie à Rome, le flambeau a été remis au pays hôte du 21e Congrès. C'est le Canada qui aura le privilège de tenir cette manifestation d'envergure à Montréal, du 12 au 16 septembre 2010. C'est la deuxième fois que Montréal accueille cet événement, le 14e Congrès mondial de l'énergie s'y étant déroulé en 1989. Le Conseil mondial de l'énergie organise un Congrès mondial de l'énergie tous les trois ans. C'est le principal forum international sur les questions énergétiques avec exposition, et il vise à mieux faire comprendre les enjeux et les solutions énergétiques à l'échelle planétaire. Il s'intéresse à la production et à l'utilisation de l'énergie sous toutes ses formes : pétrole, charbon, gaz naturel, énergie nucléaire, hydroélectricité et énergies renouvelables. Il rassemble des leaders mondiaux du domaine de l'énergie représentant autant des entreprises, des gouvernements et des organismes internationaux que des milieux universitaires et des associations. "Le Canada est un acteur de premier plan sur la scène énergétique mondiale. Le comité organisateur du 21e Congrès mondial de l'énergie est déjà à l'oeuvre et il mobilise tous ses partenaires pour assurer la réussite de l'événement", a déclaré Richard Drouin, président du comité organisateur de MONTREAL 2010. Au-delà de 3500 délégués des quatre coins du monde devraient être au rendez-vous. C'est à Kiev, en 2003, dans le cadre de l'assemblée annuelle du Conseil mondial de l'énergie, que le Canada été désigné pays hôte du 21e Congrès. Les efforts soutenus du Conseil de l'énergie du Canada et d'Hydro-Québec ont certes largement influencé la décision du CME d'attribuer au Canada et plus précisément à Montréal, l'organisation de ce forum triennal pour 2010. "Dans un contexte où l'environnement, le développement durable et les questions stratégiques liées à l'énergie occupent une place prépondérante dans l'ensemble des pays, les organisateurs du 21e Congrès mondial de l'énergie - MONTREAL 2010 ont un défi important à relever. Ils doivent réunir les leaders et les experts du secteur énergétique du monde entier pour qu'ils puissent poursuivre dans les meilleures conditions possibles un dialogue ouvert sur les questions énergétiques. Le compte à rebours est commencé", a indiqué Stéphane Bertrand, directeur exécutif du 21e Congrès mondial de l'énergie - Montréal 2010. Stéphane Bertrand souligne également l'apport important du commanditaire hôte, Hydro-Québec, et des autres commanditaires principaux, dont Petro-Canada, Hatch, Gaz Métro et KPMG pour leur précieux appui. Fondé en 1923, le Conseil mondial de l'énergie est un organisme non gouvernemental agréé par l'Organisation des Nations Unies (ONU). Il est constitué de comités membres représentant près de cent pays, dont la plupart des grands pays producteurs et consommateurs d'énergie. Sa mission consiste à rendre accessible au plus grand nombre de personnes l'énergie sous toutes ses formes dans le cadre d'un développement économique pacifique et durable. Au Congrès de Rome, monsieur Pierre Gadonneix, président-directeur général d'Electricité de France (EDF), a été nommé président du Conseil mondial de l'énergie; il succède à monsieur André Caillé. Renseignements: Stéphane Bertrand, directeur exécutif, Congrès mondial de l'énergie - MONTREAL 2010, (514) 237-4319
  12. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    I think latendresse is hurting from his hip, but Lapierre!!! where the hell is this guy? had completley forgot about him since he barely does anything good. bring the fresh blood from hamilton!
  13. Ça dit pas si on va la faire passer a 2 voies! je me rapelle très bien de ce pont là, je l'utilisais beaucoup quand je me promenais en bicyclette!!
  14. Programme des centres financiers internationaux La facture des contribuables: 211 millions Le programme des centres financiers internationaux a coûté 211 M$ aux contribuables québécois depuis 5 ans, selon le rapport sur les dépenses fiscales du gouvernement du Québec de 2006. De ces 211 M$, 137 M$ concernent les avantages fiscaux octroyés aux entreprises, comme des exemptions fiscales au chapitre de l’impôt sur les profits des sociétés ou encore de la taxe sur le capital. Le reste, 74 M$, représente les avantages fiscaux accordés aux employés qui travaillent dans les centres financiers internationaux. Les chiffres montrent que les mesures Séguin de 2003 et 2004 ont nettement réduit les avantages accordés. Par exemple, en 2002 seulement, les employés avaient bénéficié de remboursements d’impôts totalisant 22 M$. En 2005, ces remboursements sont tombés à 8 M$, tout comme l’an dernier. Pour mettre en perspective ces chiffres, soulignons, par exemple, que les dépenses fiscales reliées aux études comme les crédits d’impôt relatifs aux frais de scolarité étaient chiffrés à 152 M$ l’an dernier.
  15. 7600 naissances en août au Québec Marie-Joëlle Fillion et son fils Mathis. Photo David Boily, archives La Presse Charles Côté La Presse Il y a eu 7600 naissances en août cette année au Québec, selon les plus récents chiffres de l'Institut de la statistique du Québec, dévoilés mardi. C'est le plus grand nombre de naissances en un seul mois depuis 1996. Cela tend à confirmer que la croissance annuelle des naissances observée depuis 2002 va se poursuivre cette année. «On estime qu'on devrait atteindre les 84 000 en 2007, ce qui ne s'était pas vu depuis 1996, dit Chantal Girard, démographe à l'Institut de la statistique du Québec. Le nombre des naissances a été particulièrement faible au début des années 2000, alors on remonte au niveau d'il y a 10 ans.» Les naissances ont frappé un creux en 2002, avec 72 478.
  16. Un ami d'un ami déménagerait en une seconde à Montréal (d'ou il vient) si les salaires ici étaient plus intéressants! Les compagnies de FX sont assez cheap merci de ce côté. Il travaille pour Sony studios en californie.
  17. Ils parlent pas vraiment de place géographique, mais plutôt d'avoir plus de visibilité et faire une grappe industrielle comme l'aéronautique!
  18. L'air était beaucoup plus pollué au début et jusqu'au milieu du siècle passé! On chauffait au bois, les usines brûlaient du charbon et l'essence contenait du plomb et d'autres matières qui noircissaient les immeubles (et nos poumons). Les médias me font rire quand ils disent que l'air de Montréal n'as jamais été aussi pollué.
  19. Montréal veut son quartier de la finance Mise en ligne 15/11/2007 04h00 Photo © Corbis Géraldine Martin Le Journal de Montréal Après le «quartier des spectacles», pourquoi pas le «quartier de la finance»? C’est l’idée de Jacques Girard, président-directeur général par intérim de CFI Montréal, qui songe à créer une grappe dans le secteur financier à Montréal tout comme il en existe déjà dans le secteur de l’aérospatiale, par exemple. M. Girard a déjà eu deux rencontres à ce sujet avec les entreprises du secteur financier et la Ville de Montréal. Une rencontre avec la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, est également dans les plans. Selon M. Girard, Montréal dispose de tous les ingrédients pour développer une grappe dans le secteur de la finance. «Ayant notamment constaté que le monde financier se développe là où il y a une réalité universitaire intéressante, pourquoi ne pas tenter de faire croître la place financière de Montréal en se donnant des mécanismes de coordination?», nous a-t-il confié. Montréal possède quatre grandes écoles de gestion et universités qui accueillent chaque année près de 20 000 étudiants. «Il y a une force réelle à Montréal», assure M. Girard. Toujours pertinent Dans son projet, pas question toutefois de supprimer les centres financiers internationaux, ce programme qui offre des avantages fiscaux aux entreprises et aux personnes qui viennent faire de la finance internationale à Montréal. Idéalement, le programme s’inscrirait dans le cadre de la grappe. «Il faut bonifier le programme, sinon il risque d’être marginalisé», soutient Frank Zampino, président du Comité exécutif de la Ville de Montréal, qui siège au conseil de CFI Montréal, l’organisme qui fait la promotion du programme fiscal. Les deux hommes assurent que le programme a encore toute sa raison d’être. «C’est un programme qui a donné des résultats et qui continue de donner des résultats», affirme M. Girard. En plus de retenir à Montréal des spécialistes qui seraient peut-être allés à Toronto, le programme, soutient-il, est allé chercher chaque année, depuis 2005, de six à huit nouveaux CFI. Et si, dans les chiffres, ça ne se voit pas forcément, c’est qu’il y a eu des fusions et des acquisitions, dit-il. √ Une grappe regroupe des entreprises d’un même secteur d’activité. L’idée est de partager certaines ressources pour être plus compétitif. √ Le projet des grappes est une initiative de la Communauté métropolitaine de Montréal. Il en existe quatre actuellement, dont trois qui sont hébergées chez Montréal International. √ Jacques Girard était président de Montréal International entre 1996 et 2003.
  20. mtlurb

    Rendus de l'A-720 recouverte

    Oui ça déjà été mentionné. Le Palais va vers l'est.
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