Aller au contenu
publicité

mtlurb

Administrateur
  • Compteur de contenus

    18 909
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. YES glass walls would be the best. Each level could be split in a two or three parts upper class lofts. Most would be grabbed by CBC-SRC employees
  2. Pourquoi ne pas la soulever et la déplacer sur le parc en bias?
  3. Quota d'accouchements au CHUM Photo Martin Tremblay, La Presse Pascale Breton La Presse Confrontés à un baby-boom, les hôpitaux montréalais sont débordés, incapables d’assurer tous les suivis de grossesse. Au point où le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) songe à imposer un quota d’accouchements. Le plan budgétaire du CHUM prévoit que le centre hospitalier doit limiter à 2500 le nombre d’accouchements cette année. Or, il faudrait en autoriser 200 à 300 de plus. Dans une lettre datée du 19 novembre, dont La Presse a obtenu copie, les membres du département d’obstétrique et gynécologie s’inquiètent de la situation. En effet, comme tous les hôpitaux montréalais sont débordés, ces femmes auront de la difficulté à obtenir un suivi ailleurs. « Restreindre davantage le nombre d’accouchements au CHUM équivaudrait à restreindre l’accès à une salle des urgences, en sachant que les patients ne peuvent être dirigés vers aucun autre centre », déplore la chef du service, la Dre Marie-Josée Bédard, dans une lettre envoyée aux gestionnaires du CHUM. Au cours des dernières années, l’établissement réussissait à faire plus d’accouchements que les 2500 prévus dans son plan. Cette fois, la donne pourrait changer. « Au CHUM, la seule façon de pratiquer 200 accouchements de moins par année sera de restreindre les nouveaux cas en clinique de grossesse normale, de 15 à 10 nouveaux cas par semaine », précise la lettre de la Dre Bédard. La mesure entrera en vigueur le 1er décembre. Dans l’île de Montréal, les femmes enceintes peinent déjà à obtenir un rendez-vous pour un suivi de grossesse, peu importe l’hôpital. Normalement, elles devraient être vues une première fois par un médecin autour de la 12e semaine de grossesse. La Dre Bédard rapporte quatre cas récents de patientes qui ont finalement été vues à l’hôpital Saint-Luc du CHUM alors qu’elles avaient dépassé la 20e semaine de grossesse. Elles n’avaient réussi à avoir un rendez-vous nulle part ailleurs. Informé de la situation par La Presse hier, le cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, a aussitôt contacté la direction du CHUM. « Il n’est pas question que le CHUM ferme ses portes pour les femmes qui veulent accoucher », a indiqué Isabelle Merizzi, l’attachée de presse du ministre. «Personne ne sera refusé à la porte. Nous avons éclairci la situation.» Certaines patientes dont la grossesse se déroule normalement pourraient toutefois être dirigées vers d’autres hôpitaux. La mission première du CHUM est de s’occuper des femmes qui ont une grossesse à risque ou qui nécessitent des soins très spécialisés, rappelle la porte-parole du CHUM, Nathalie Forgue. Concernant la limite fixée à 2500 accouchements, elle ajoute « qu’il faut mettre un chiffre». «Il y a toujours un dépassement, mais il faut aussi qu’il y ait une limite », dit Mme Forgue. « Ce n’est pas tant un quota que le fait qu’on essaie de sensibiliser les médecins à cette réalité qui n’est vraiment pas facile à gérer. » La situation se dégrade Mais pour les gynécologues-obstétriciens, la problématique est réelle. La situation s’est détériorée à Montréal depuis quelques mois, d’autant plus que le Québec connaît un petit baby-boom. « C’est l’enfer. Oui, la situation s’est vraiment dégradée », affirme la présidente de l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec, la Dre Diane Francœur. « Nous avons l’impression que le Ministère s’en lave les mains. » Les femmes attendent des mois avant d’avoir un rendez-vous à l’hôpital. Au centre hospitalier Sainte-Justine, les patientes sont dirigées vers la clinique d’obstétrique et de gynécologie voisine. Mais la clinique ne prend aucune nouvelle patiente. À l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, les rendez-vous pour un suivi de grossesse vont au mois de mars. À l’hôpital du Sacré-Cœur, il n’y a pas de rendez-vous avant le mois de janvier. La situation est la même dans les hôpitaux du réseau anglophone. Résultat, les médecins voient arriver dans leur cabinet des femmes dont la grossesse est bien avancée, mais qui ignorent depuis combien de semaines exactement. D’autres accouchent sans avoir eu d’échographie, ni de prises de sang, ni même avoir vu de médecin. « En 15 ans de pratique, je n’avais jamais vu ça, des patientes qui viennent accoucher sans avoir de suivi », déplore la Dre Francœur. Elle raconte que la semaine dernière, une femme a accouché de jumeaux à l’hôpital Sainte-Justine, sans savoir qu’elle attendait deux enfants. Malheureusement, souligne la Dre Francœur, ce sont souvent les femmes les plus démunies qui se retrouvent dans cette situation. Des femmes plus jeunes, moins informées ou aux prises avec des problèmes de toxicomanie.
  4. Le Québec a mauvaise presse Les accommodements raisonnables du Québec galvanisent les médias d'un bout à l'autre du pays. Archives La Presse Émilie Côté La Presse Les Québécois moins accommodants que les Canadiens envers les communautés ethniques? Les chroniqueurs et les médias des autres provinces ne se gênent pas pour le dire. Et l'écrire. Pourtant, en consultant les statistiques et en dépêchant des journalistes à Toronto, Vancouver et Calgary, La Presse a constaté que si les autres provinces tenaient aussi des commissions sur les accommodements raisonnables, le débat ferait tout autant jaser. Cette semaine, à Toronto, on apprenait qu'une musulmane, Halima Muse, avait été suspendue par la compagnie Garda. L'agente de sécurité refusait de porter la jupe du nouvel uniforme fourni par son employeur. Elle la jugeait trop courte. Un peu plus à l'ouest, au Manitoba, un arbitre a empêché une fillette musulmane de participer à une compétition de judo avec son voile. Au Canada anglais, les frictions entre immigrants et citoyens «de souche» sont loin d'être rares. Depuis la commission Bouchard-Taylor, ce sont pourtant les accommodements raisonnables du Québec qui galvanisent les médias d'un bout à l'autre du pays. Dans un éditorial du National Post, John Moore écrivait il y a trois semaines: «Le Québec, dans ses spasmes actuels, semble incapable de comprendre que le «raisonnable» de l'«accommodement raisonnable» n'est pas si difficile à définir. Les mutilations génitales, les lapidations sommaires et la religiosité excessive dont les gens de Hérouxville ont tellement peur, c'est exactement ce que les nouveaux arrivants ont cherché à fuir en venant ici.» John Moore n'est quand même pas allé aussi loin que Jan Wong. L'an dernier, au lendemain de la tragédie de Dawson, la columnist du Globe and Mail établissait un lien entre les tueries survenues au Québec et la non-intégration des immigrants à la société québécoise «pure laine». Le Conseil de presse du Québec a blâmé Mme Wong l'an dernier. Mais au Canada anglais, plusieurs restent convaincus que les Québécois sont plus intolérants que les autres, et surtout, moins ouverts aux demandes des communautés ethniques. Davantage d'attaques racistes Neil Edwards, originaire des Caraïbes, a vécu neuf ans à Montréal avant de déménager à Toronto et de devenir directeur de la médiation à la Commission ontarienne des droits de la personne. L'homme - qui ne s'exprime pas au nom de la commission - est catégorique: «Après mes études à Concordia, j'ai réfléchi et j'ai conclu que le Québec, à cause de tout le racisme, présentait des possibilités très minces pour moi et que je devais aller voir ailleurs. Si, en tant que Noir, j'étais resté au Québec, je n'aurais pas pu progresser. Et vous savez quoi? J'ai pris la bonne décision en venant en Ontario.» Atthar Mahmood, vice-président du Conseil suprême islamique du Canada, est du même avis. «J'ai un ami marocain qui vit à Montréal. Il veut venir s'installer à Calgary car il trouve que lui et sa famille sont trop ciblés. Je connais des gens qui ont du mal à se trouver un emploi au Québec et qui préfèrent venir ici parce qu'il y a moins de discrimination.» Une étude récente de Statistique Canada révèle qu'on retrouve à Montréal l'écart le plus important entre le taux de chômage des immigrants et celui des Canadiens de naissance. Par contre, les plaintes pour discrimination fondées sur la race, la couleur, le lieu d'origine ou l'ascendance ne sont pas plus fréquentes ici. Qu'on soit au Québec, en Ontario ou au Manitoba, elles représentent environ le quart de toutes les plaintes reçues par les différentes commissions des droits de la personne en 2004-2005. «Il y a une augmentation des attaques racistes partout au Canada. De Terre-Neuve à la Colombie-Britannique en passant par l'Ontario et l'Alberta», observe pour sa part Ayman Al-Yassini, président de la Fondation canadienne des relations raciales. Les médias en parlent plus Selon Jean-François Dumas, président d'Influence Communication, il n'y a pas plus de cas de racisme ou d'intolérance au Québec. Bon an mal an, dit-il, l'organisation B'nai Brith dénombre jusqu'à trois ou quatre fois plus d'incidents antisémites en Ontario qu'au Québec, alors que la population juive y est seulement deux fois plus importante. Par contre, quand les médias québécois parlent des communautés ethniques, c'est plus souvent de façon négative. Et c'était le cas même avant la controverse de Hérouxville, révèle une analyse réalisée par Influence Communication. Fait surprenant: les médias ontariens parlent davantage des controverses ethniques qui éclatent au Québec que de celles qui surviennent en Ontario. «Les médias québécois servent d'amplificateurs démesurés aux médias des autres provinces», commente Jean-François Dumas. Au Québec, ajoute-t-il, «nous avons l'habitude de nous auto-flageller, c'est-à-dire de donner de la démesure à nos enjeux de société». Qu'on parle des fenêtres givrées du YMCA ou des jeunes musulmanes voilées expulsées d'un tournoi de judo, «c'est du bonbon pour les médias», explique-t-il. Pour les médias du Québec comme pour ceux du Rest of Canada (ROC). «Dans une bonne histoire, il faut un méchant, une victime et un enjeu.» Un impact certain Bien entendu, la commission Bouchard-Taylor est une tribune publique qui fait beaucoup jaser le ROC. «Ce n'est pas la commission qui choque, c'est le fait que les gens tiennent des propos gratuits», souligne Jack Jedwab, directeur général de l'Association d'études canadiennes. Daniel Béland est professeur de sociologie à l'Université de Calgary. Il est surpris que Québec ait nommé deux «pure laine» pour diriger la commission. «Il y a une minorité de gens ici qui approuvent cette commission. La fameuse pudeur anglaise fait qu'on n'oserait pas tenir une commission comme celle que vous avez. Mais si on le faisait, je suis sûr qu'on entendrait ici aussi des choses étonnantes et peu édifiantes sur les immigrants.» Avec la collaboration de Mario Girard et Isabelle Hachey Pourcentages par province des plaintes de discrimination fondée sur la race, la couleur, le lieu d'origine et l'ascendance Territoire du Nord-Ouest : 35% Manitoba : 25% Québec : 25% Ontario : 25% Nouvelle-Écosse : 23% Nouveau-Brunswick : 20% Alberta : 15% Colombie-Britannique : 15% Yukon : 15% Sakatchewan : 14% Terre-Neuve : 2% Île-du-Prince-Édouard : 1% Source : Commission des droits de la personne de l'Alberta et la Commission canadienne des droits de la personne 2004-20.
  5. mtlurb

    Gare Viger

    Le passé c'est le passé. Cadillac Fairview a plus de propriétés au manitoba et nouveau brunswick qu'au Québec, qui se limite à quelques centres d'achats. Brookfield à zéro propreiétés au Québec (voir leur site web). Et Oxford je ne peux trouver l'info sur le site web, par contre je sais qu'ils ont 2 tours sur René-Lévesque.
  6. mtlurb

    Le Métro | Discussion

    C'est votre forum! Je crois juste que les annonces officiels pour les différents projets de transports devraient aller ici, discussion ou autre peut aller dans vision ou discussion générale.
  7. mtlurb

    Le Métro | Discussion

    Ça vous dérangerais si je mets ce fil dans "Vision" ?
  8. Pourquoi pas ? On enléverait 2 stationnements géants de surfaces!
  9. mtlurb

    Gare Viger

    The only investors are either from this province or from elswhere in the world. The ROC investors don't want to spend a dime here.
  10. Il ya différents critères de réussite pour différents projets.
  11. ah ouais??? surement que les premiers rendus venaient d'un autre site... c'est pour ca qu'il faut mettre les images dans l'album mtlurb.com
  12. ah! ok. Donc ça change tout... edit : Wow! Il y a une alternance sur la page d'une croix et d'un Gainé souriant. C'est beau...
  13. Je traîne pas ma caméra au boulot normalement j'ai même pas le droit de la faire rentrer à mon bureau...
  14. non elle est sur l'emplacement de l'immeuble la gazette mais plus à l'est.
  15. Sur l'emplacement de la tour? Il va manquer de place si elle est aussi longue que celle sur l'édifice The Gazette, non?
  16. francely, va faire une petite marche avec ta caméra pour nous!
  17. Google renforcerait sa présence à Montréal André Dubuc, Journal LesAffaires Le géant Internet Google est sur le point de passer à la deuxième phase d'implantation de bureaux à Montréal. L'entreprise de Mountain View, en Californie, est en sérieuses discussions avec le propriétaire Polaris pour louer au moins 10 000 pieds carrés au 1253, avenue McGill College, au centre-ville de Montréal, selon les informations obtenues auprès de sources du marché immobilier. La société se montre intéressée à réserver des locaux supplémentaires, qui porteraient la superficie totale de ses bureaux à 100 000 pieds carrés. Polaris reconnaît avoir des discussions Ni Google ni Polaris n'ont confirmé l'information. " On a loué le deuxième étage à une compagnie américaine ", dit toutefois André Cassis, directeur de marketing et de location pour les Immeubles Polaris Canada, en s'excusant de ne pouvoir identifier la société en question. Le 1253, McGill College compte neuf étages de 16 500 pieds carrés chacun, pour un total de 148 500 pieds carrés. " Nos avocats canadiens sont en train de préparer le bail pour le négocier avec leurs avocats américains. J'imagine que d'ici 30 jours, le processus sera complété ", précise M. Cassis. " J'ai hâte que la nouvelle sorte et que ça devienne connu publiquement. C'est une compagnie énorme. Elle a pris une option sur au moins un autre étage. " On ne pouvait pas lui en donner plus avant de connaître la décision d'un autre locataire possible avec qui on discute pour la location de cinq étages ", explique M. Cassis. Si ce locataire potentiel se désiste, la compagnie américaine a des droits de premier refus sur ces étages, ajoute M. Cassis. Elle aura aussi la possibilité d'annuler le bail en payant une pénalité si Polaris ne peut pas satisfaire ses besoins d'expansion. Google embauche En janvier 2007, Les Affaires avait annoncé l'ouverture d'un petit bureau de Google au 1000, De la Gauchetière, à l'intérieur du centre d'affaires Regus. L'équipe comptait alors sept personnes. Sur le site Google Jobs, quatre types d'emplois sont actuellement offerts à Montréal par le géant Internet, notamment d'ingénieur en informatique. Peu de détails sont cependant fournis quant au nombre de postes à pourvoir pour chacun des types d'emplois, et la date d'entrée en fonction n'est pas précisée. En moyenne, des locaux de 10 000 pieds carrés logent une soixantaine de travailleurs. Au Canada, les seuls postes annoncés par Google sont situés à Waterloo, en Ontario, et à Montréal.
  18. J'ai maintenant une Canon 5D Une lentille 50 mm F1.8 II de Canon plus tous les accesoires plus haut.
  19. Il Est Interdit De Faire Des Profits Au Québec! :stirthepot:
  20. Il y a aussi le concept utilisateurs payeurs que les bohèmes biens pensants s'entêtent à revendiquer. Ben c'est justement ça qui va arriver.
×
×
  • Créer...