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  1. Les faits saillants du comité exécutif du 10 mai 2006 * Le CE a approuvé des projets d'actes d'échanges entre la Ville, la Société de transport de Montréal (STM) et l'Office municipal d'habitation de Montréal (OMHM) relatifs au site situé à l'angle des rues Berri et Jean-Talon dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, en vue de la construction d'un bâtiment d'habitation. De plus, les membres du CE ont autorisé l'OMHM à commencer les travaux pour décontaminer ces terrains. En vertu du Programme Logement Abordable Québec et du projet Solidarité 5 000 logements, l'OMHM projette de construire une résidence pour personnes âgées en légère perte d'autonomie sur le site de la station de métro Jean-Talon et désire acquérir les droits immobiliers. Pour ce faire, la Ville doit préalablement clarifier les titres de propriété sur le site et confirmer des droits de la STM par un échange de terrains. Le conseil d'agglomération aura à approuver ces projets d'acte d'échanges.
  2. Le marché de la construction de logements poursuit sa descente aux enfers aux États-Unis, où les mises en chantier ont de nouveau baissé en septembre. Pour en lire plus...
  3. Les prix des logements aux États-Unis ont enregistré une nouvelle baisse record en juillet, chutant de 16,3% sur un an. Pour en lire plus...
  4. Ces ventes ont chuté de 11,5% en août, pour atteindre un rythme annualisé corrigé des variations saisonnières de 460 000 unités, au plus bas en 17 ans. Pour en lire plus...
  5. Au total, 895 000 nouveaux logements ont été construits en août, sur une base annualisée, soit une chute de 6,2%. Pour en lire plus...
  6. Logements neufs: Montréal sur une lancée 12 septembre 2008 - 06h00 La Presse Maxime Bergeron La hausse des coûts de construction a contribué à faire bondir de 5,7% le prix des logements neufs à Montréal. La firme Développements McGill a mis en chantier non pas une, mais deux phases de son projet de condos Square Benny en avril dernier. La demande est bonne, dit le président Stéphane Côté. Mais surtout, les coûts de construction auraient été beaucoup plus élevés s'il avait attendu une autre année. «Il y aurait eu une surprime à faire les deux phases de façon décalée, tout le monde s'arrache les matériaux et la main-d'oeuvre», explique le promoteur. La hausse des coûts de construction, entre autres facteurs, a contribué à faire bondir de 5,7% le prix des logements neufs à Montréal en juillet par rapport à l'an dernier. Une augmentation corsée, qui contraste avec la décélération observée à l'échelle nationale par Statistique Canada. Selon un rapport publié hier, le prix moyen des maisons neuves a grimpé de 2,7% au pays en juillet, un recul par rapport au gain de 3,5% de juin. Ce ralentissement découle en bonne partie du "relâchement du marché de l'Ouest canadien", une région où les hausses avaient été fulgurantes ces dernières années. À Montréal, la progression des prix, bien que constante, a été beaucoup plus modérée qu'en Alberta et en Colombie-Britannique, rappelle Hélène Bégin, économiste principale chez Desjardins. «Cela fait en sorte que la demande s'apaise beaucoup plus tranquillement ici que dans l'ouest du pays.» L'avantage est encore aux vendeurs dans la métropole, ce qui explique la hausse assez soutenue des prix, ajoute Mme Bégin. «Le marché est encore en légère pénurie, on parle de cinq vendeurs par acheteur dans l'unifamiliale, alors que l'équilibre est entre huit et dix.» Les prix progressent toujours vigoureusement dans les quartiers "abordables" comme Rosemont, Saint-Michel et LaSalle, mais se stabilisent dans les secteurs cossus d'Outremont, Westmount et Mont-Royal, note en outre l'économiste de Desjardins. «Les risques d'une baisse de prix généralisée ne sont pas présents à Montréal, mais il y en a beaucoup plus dans les zones les moins abordables», a souligné Mme Bégin. Du côté des résidences existantes, les prix ont progressé de 4% dans la grande région de Montréal en août, tandis que le nombre de transactions a reculé de 6%. Le prix médian d'une maison unifamiliale atteint 225 000$ (+4%), celui des copropriétés, 192 000$ (+3%) et celui des immeubles de deux à cinq logements, 327 000$ (+5%). «Le marché de la revente est en train de faire un atterrissage en douceur depuis le début de l'année», a dit Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal. À l'échelle nationale, c'est l'Alberta qui a vu ses prix atterrir - voire reculer - le plus fortement en juillet. Le coût d'un logement neuf a glissé de 5,4% à Edmonton, et de 0,3% à Calgary, note Statistique Canada. Les prix ont par ailleurs progressé de 1,6% dans la déjà dispendieuse ville de Vancouver, de 3,7% à Toronto et de 5,4% à Québec. Le boom albertain des dernières années s'est déplacé un peu à l'est, en Saskatchewan. Le prix des maisons neuves a explosé de 29,6% en juillet à Regina. «Les constructeurs ont imputé l'augmentation des prix à la hausse du prix des combustibles et de l'acier ainsi qu'à l'accroissement des coûts de la main-d'oeuvre», souligne Statistique Canada dans son étude mensuelle. Baisse de prix généralisée? Sal Guatieri, économiste chez BMO Marché des capitaux, entrevoit une baisse des prix de l'immobilier au Canada dans l'année qui vient, à l'image du déclin observé aux États-Unis, en Angleterre, en France, en Espagne, en Irlande et en Australie. «Après six ans d'une croissance insoutenable, les prix ont foncé tout droit dans le mur de l'abordabilité, a écrit l'économiste dans un rapport diffusé hier. La demande fléchit, les inventaires atteignent des niveaux records et plusieurs premiers acheteurs choisissent de louer plutôt que d'acheter.» Le prix moyen des maisons a bondi de 78% entre 2002 et 2007, un rythme deux fois plus élevé que celui des salaires, souligne Sal Guatieri. Le marché canadien ne devrait toutefois pas connaître une débandade similaire à celle des États-Unis, poursuit l'économiste, vu la meilleure tenue de l'économie et les critères d'accès au crédit plus serrés. Le gouvernement fédéral a d'ailleurs adopté des mesures en juillet dernier dans le but de resserrer le marché des hypothèques. La durée maximale des prêts sera ramenée de 40 à 35 ans dès le mois prochain. Et une mise de fonds minimale de 5% sera exigée, alors qu'on pouvait auparavant financer son achat à 100%.
  7. La hausse des coûts de construction, entre autres facteurs, a contribué à faire bondir de 5,7% le prix des logements neufs à Montréal en juillet par rapport à l'an dernier. Pour en lire plus...
  8. Il s'agit de la sixième baisse consécutif. Statistique Canada attribue principalement la tendance à la baisse au relâchement du marché dans l'Ouest canadien. Pour en lire plus...
  9. La hausse est principalement attribuable aux permis de logements multifamiliaux dans le Centre du Canada et aux intentions de construction industrielle en Saskatchewan. Pour en lire plus...
  10. Les ventes de logements neufs sont reparties à la hausse en juillet aux États-Unis, progressant de 2,4% par rapport à juin pour s'établir à 515 000 unités. Pour en lire plus...
  11. Les prix des logements ont enregistré une baisse record en juin, accusant un recul de 15,9% sur un an, selon l'indice S&P/Case-Shiller. Pour en lire plus...
  12. La construction de logements neufs tombe au plus bas niveau enregistré depuis 1991, tandis que les prix à la production connaissent leur plus forte hausse depuis 1981. Pour en lire plus...
  13. L'immobilier européen lui aussi menacé 17 août 2008 - 09h07 Agence France-Presse Véronique Dupont,Paris «Le contexte est très nocif. La crise risque d'être aussi grave qu'aux États-Unis, l'Allemagne faisant exception», estime Véronique Riches-Flores, économiste de la banque française Société Générale. En effet, rappelle l'agence de notation financière Standard and Poor's, «dans la majorité des pays européens, les marchés du logement ont vécu un spectaculaire boom ces huit dernières années, d'ampleur comparable à celui des États-Unis». L'Espagne, la Grande-Bretagne et l'Irlande sont les plus exposés car le marché immobilier y partage beaucoup de traits communs avec celui des États-Unis: une bulle des prix (jusqu'à 146% de hausse en Espagne depuis 2000), un endettement très élevé des ménages (120% du produit intérieur brut au Royaume-Uni, 110% en Espagne) et un système de prêts à taux variable qui alourdit la charge de la dette quand les taux remontent. La consommation, qui avait été soutenue par la pratique du refinancement des emprunts immobiliers (avantageuse quand les prix montent) est maintenant fragilisée. Résultat: SP présage une «correction majeure» au Royaume-Uni, une crise «longue et douloureuse» en Espagne, et un effondrement de la construction en Irlande. «Les prix devraient perdre jusqu'à 30% par rapport à leur sommet dans les 18 prochains mois» dans ces pays, pronostique Véronique Riches-Flores. Ils ont déjà cédé 8% depuis un an outre-Manche et devraient encore lâcher 17% d'ici mai 2009, estime SP. En Espagne, les prix ont amorcé leur déclin ces derniers mois, et les ventes de logements urbains ont plongé de 34,3% par rapport à l'année dernière. Dans ce pays, l'envolée des prix s'est doublée d'un boom de la construction. L'impact du retournement immobilier sur l'économie en est d'autant plus violent. En Italie, où 82% des citoyens sont propriétaires de leur logement, le taux d'endettement reste très faible, mais la conjoncture est particulièrement mauvaise, avec une croissance nulle attendue cette année. D'après la chaîne d'agences Tecnocasa, les prix et les ventes de logements ont commencé à marquer le pas il y a un an après neuf années de hausse. La tendance devrait s'accélérer cette année: le centre d'étude Nomisma table sur une chute de 10% tant des ventes de logements que des prix. Le nord de l'Europe est très vulnérable: les taux d'endettement y sont «proches de ce qu'on a dans les pays les plus exposés et les indicateurs conjoncturels ne sont pas bons», souligne Véronique Riches-Flores. En Suède, où les prix ont pris plus de 80% depuis le début des années 2000, une baisse «de 10 à 20% est envisageable», juge Cecilia Hermansson, analyste de la banque Swedbank. En France, où les prix ont également flambé, la pratique très majoritaire des taux fixe protège les ménages face à la hausse des taux. Ils sont en outre moins endettés qu'en Grande-Bretagne ou en Espagne. Mais pour les acquéreurs, les crédits deviennent plus difficiles à obtenir (11% de crédit en moins au premier semestre par rapport à 2007). Standard and Poor's anticipe en France une «stabilisation ou un déclin modeste» des prix mais l'économiste de la Société Générale prévoit des baisses de prix allant jusqu'à 25% en province et 10% à Paris. Seule exception: l'Allemagne, qui n'a pas connu de bulle immobilière et sort même de plusieurs années de marasme, ce qui la met à l'abri d'une chute de prix.
  14. La Ville de Montréal dote ses arrondsissements de bacs roulants Montréal, le 8 août 2008 - Le responsable du développement durable, du développement économique et de Montréal 2025 au comité exécutif, M. Alan DeSousa, est fier d'annoncer que, conformément aux grandes orientations annoncées récemment dans son Projet de Plan de gestion des matières résiduelles de l'agglomération de Montréal 2008-2012 (PDGMR), le comité exécutif de la Ville de Montréal a autorisé des appels d'offres afin de doter les arrondissements de bacs roulants partout sur le territoire où le bâti urbain le permet. Environ 250 000 bacs roulants seront ainsi bientôt distribués. De plus, le citoyen aura la vie plus facile, puisque les matières recyclables seront ramassées en mode pêle-mêle, c'est-à-dire que les matières recyclables n'auront plus à être séparées selon qu'il s'agisse de verre/plastique/métal ou de papier. « Il a été clairement démontré que le volume et la facilité d'utilisation de l'outil de collecte sont deux éléments directement reliés à la participation des citoyens et à l'augmentation des quantités de matières collectées », a déclaré M. DeSousa. « La Ville de Montréal prend donc les décisions nécessaires afin d'atteindre les objectifs de récupération et de valorisation de 60 % des matières résiduelles énoncés dans la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles 1998-2008.» Dans le cadre de l'élaboration du PDGMR, de nombreuses études techniques, économiques et d'aide à la décision basée sur l'analyse de cycle de vie ont permis de définir des scénarios à privilégier pour faire augmenter la quantité de matières recyclables collectées. Le scénario privilégié préconise l'utilisation d'outils en fonction de trois catégories de bâti urbain, soit les habitations détachées de 8 logements et moins, les habitations non détachées de 8 logements et moins et les multi logements de 9 logements et plus. Pour les habitations détachées, le PDGMR préconise l'utilisation de bacs roulants d'un volume variant de 120 à 360 litres. Pour les habitations non détachées, le PDGMR préconise l'utilisation de bacs roulants d'un même volume ou du nouveau hybride bac-sac actuellement en développement par Claude Mauffette Design Industriel, firme lauréate du concours de design industriel qu'a lancé la Ville de Montréal. Enfin, pour les multi logements, le PDGMR préconise le statuquo, soit l'utilisation de bacs roulants d'un volume variant de 240 à 660 litres. La distribution de ces nouveaux outils – dont l'implantation se déroulera d'ici la fin de l'année 2009 – aura permis, en 2012, de détourner de l'enfouissement une quantité cumulative de matières recyclables estimée à au moins 180 000 tonnes. Pour M. DeSousa : « Les actions élaborées dans le PDGMR invitent à une responsabilisation collective afin d'atteindre les résultats que nous nous sommes fixés. Les citoyens sont invités à relever le défi auquel nous faisons face en participant toujours plus activement au recyclage des matières résiduelles qu'ils génèrent. Nous leurs proposons aujourd'hui de nouveaux outils de collecte qui tiennent compte des exigences environnementales et qui favorisent la participation citoyenne dans un esprit de développement durable ». Rappelons que le PDGMR permettra de mettre en œuvre les mesures établies par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans son Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles, tout en étant adapté à la réalité des différents arrondissements et des villes liées de l'agglomération. Le document de consultation fait présentement l'objet d'une analyse par la Commission du conseil d'agglomération sur l'environnement, le transport et les infrastructures. L'adoption du PDGMR est prévue pour l'automne 2008. Une fois adopté, le PDGMR constituera le cadre de référence de l'agglomération pour la gestion des matières résiduelles et guidera également son positionnement au sein de la CMM et dans ses discussions avec les gouvernements.
  15. Un nouveau quartier vert de 1600 habitations à prix «abordable», nécessitant des investissements de 800 millions de dollars, sera bientôt lancé à L'Île-des-Soeurs, près du pont Champlain. Pour en lire plus...
  16. Les prix des logements neufs traînent de la patte 11 août 2008 - 09h15 Presse Canadienne Les prix des logements neufs au Canada ont augmenté à leur rythme le plus lent depuis plus de six ans, en raison de l'assouplissement du marché de l'habitation dans les provinces de l'Ouest, suggèrent les données publiées lundi par Statistique Canada Les prix de vente des entrepreneurs ont ainsi progressé de 3,5% entre juin 2007 et juin dernier, comparativement à l'augmentation d'une année à l'autre de 4,1% enregistrée en mai. Il s'agissait du taux de croissance le plus faible enregistré depuis mars 2002, alors que les prix d'une année à l'autre avaient crû de 3,4%. Dans l'Ouest canadien, si les prix des logements neufs ont augmenté (par rapport à juin 2007) à Winnipeg, Regina et Saskatoon de 11,5%, 28,5% et 16,3%, respectivement, ils n'ont crû que légèrement à Edmonton et à Calgary, de 1,6% et de 0,1%, respectivement. En Colombie-Britannique, les prix d'une année à l'autre enregistrés à Vancouver ont augmenté de 1,8%, tandis que ceux de Victoria ont diminué de 0,4%. À Montréal, les prix des logements neufs ont augmenté de 5,6% de juin 2007 à juin dernier et, à Québec, de 5,4%. À Toronto, les constructeurs ont accru leurs prix de 3,8% par rapport à juin 2007, alors que les prix observés à Ottawa étaient en hausse de 4,4%. Au Nouveau-Brunswick, pour les agglomérations de Saint-Jean, Fredericton et Moncton, une augmentation de 2,3% a été observée d'une année à l'autre. D'un mois à l'autre, c'est-à-dire de mai à juin derniers, les prix se sont légèrement accrus de 0,1% pour l'ensemble du pays.
  17. Les prix des logements neufs au Canada ont augmenté à leur rythme le plus lent depuis plus de six ans, en raison de l'assouplissement du marché de l'habitation dans les provinces de l'Ouest. Pour en lire plus...
  18. Propriétaires cherchent locataires Photo Martin Chamberland, La Presse Philippe Orfali La Presse Le nombre d’appartements inoccupés a bondi à Montréal depuis le 1er juillet, selon les propriétaires de logements et les groupes communautaires. Une situation qui pourrait laisser présager des jours meilleurs pour les locataires et des maux de tête pour les propriétaires. L’Opération relogement de l’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM), qui vient en aide aux familles sans logis, a reçu environ 350 appels cette année. C’est trois fois moins que les 1200 appels reçus en 2007. «Ce sont maintenant les propriétaires qui nous appellent, parce qu’ils sont à la recherche de locataires», affirme le chargé de projet Frédéric Roy. L’OMHM a reçu une quarantaine d’appels du genre depuis le 1er juillet. «Notre recherche de logements a été beaucoup plus simple que l’an dernier. Les locataires avaient beaucoup plus de choix», dit-il. Même son de cloche au Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). «On a constaté une augmentation importante du taux d’inoccupation du logement locatif, indique la porte-parole, Marie-Josée Corriveau. Beaucoup moins de gens sont venus nous voir cette année.» Les propriétaires ne devraient pas s’inquiéter pour l’instant, estime toutefois le professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal Daniel Gill. « Avec un taux d’inoccupation actuel d’environ 3%, on est à un point d’équilibre, dit-il. Mais si la tendance se poursuit, le taux de logements inoccupés à Montréal pourrait facilement atteindre 5% d’ici trois ou quatre ans. » Rendus là, les propriétaires n’auront d’autre choix que de baisser leur loyer ou d’offrir des mois gratuits, croit l’expert. «Pas question», tranche Hans Brouillette, porte-parole de la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ). «Tous les coûts d’exploitation augmentent, c’est illogique que nous baissions nos loyers. Ce sont déjà les plus bas en Amérique du Nord.» De locataires à propriétaires Selon la CORPIQ, le fait que les salaires aient augmenté plus rapidement que les loyers des Québécois incite de plus en plus de locataires montréalais à s’acheter une maison en banlieue. «Cinquante pour cent des Montréalais étaient locataires en 2001. On est rendus à environ 45% en 2008, dit M. Brouillette. Ça a des répercussions sur les propriétaires de logements locatifs.» Plusieurs milliers de logements abordables ont également été bâtis au cours des dernières années par le gouvernement provincial, regrette M. Brouillette. «Que le gouvernement cesse de bâtir du logement social ! s’exclame-t-il. On en a des logements. Ce qu’il faut, c’est prendre l’argent qu’on aurait mis dans les logements neufs et aider les familles à payer le juste prix pour leur logement.» Une proposition qui fait bien rire Marie-Josée Corriveau, du FRAPRU. Selon elle, les logements qui affichent encore «À louer» sont soit hors de prix ou en mauvaise condition. «Les propriétaires doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas demander des prix exorbitants pour leur appartement. Avec une plus grande offre de logements, les locataires vont refuser de payer autant.»
  19. Les prix accusent un recul de 15,8% sur un an en mai, selon l'indice S&P/Case-Shiller. Pour en lire plus...
  20. Toutefois, le recul enregistré est moins important que prévu. La baisse a été de 0,6% alors que les ventes ont atteint 530 000 logements, dépassant légèrement les attentes. Pour en lire plus...
  21. La revente de logements a fortement baissé en juin en dépit d'une poursuite de la baisse des prix, confirmant la crise du secteur immobilier qui pèse sur l'économie. Pour en lire plus...
  22. Royal LePage prévoit que le prix moyen des maisons augmentera de 3,5% à l'échelle nationale d'ici à la fin de l'année, a-t-il indiqué jeudi. Pour en lire plus...
  23. Le prix des grands logements est très élevé à Montréal * Presse Canadienne, * 07:36 Selon le Front d'action populaire en réaménagement urbain, la taille des logements offerts est à la source du problème. Si la crise du logement semble s'être bien résorbée dans la région de Montréal, la situation est toujours loin d'être facile pour les familles à la recherche de grands logements, dont les loyers restent très élevés en raison de leur rareté. Le nombre de logements maintenant disponibles dans la métropole force les propriétaires à offrir des bonis à la location: place de stationnement, mois de loyer gratuit ou encore Internet, rapporte le Journal de Montréal. Ces "extras" semblent toutefois exclure les loyers de sept pièces et plus, qui demeurent très dispendieux. " Si un 3 et demie se loue 750 $ par mois, il est certain que des familles ont de la difficulté à trouver un logis à prix abordable", constate Alain Saint-Jean. L'homme qui vit seul déplore les prix exigés par plusieurs propriétaires. "Un couple avec des enfants ne pourrait pas habiter ici, les murs résonnent et ils se pileraient sur les pieds, dit-il, mais un appartement plus grand va les ruiner." Hicham Elmourabit, père de trois enfants, a finalement opté pour l'achat d'une petite maison, après trois mois de recherche pour un logement de trois chambres à coucher. "Nous n'étions pas prêts financièrement, mais c'était presque le prix que les propriétaires demandent par mois ", a dit le père de famille. Pour un logement de sept pièces et demie non meublé dans le quartier Saint-Henri, Richard Drouin demande 1100 $ par mois. "Le téléphone ne sonne pas fort, avoue-t-il. C'est la première année que je n'ai personne. Je ne sais pas trop quoi faire." Sophie Mérot, qui souhaite aussi louer son 7 et demie de Pointe-Saint-Charles, demande de son côté 1290 $ par mois. "Je ne crois pas qu'il sera loué pour juillet, dit-elle. Mais j'espère au moins le louer pour le premier août. Je ne peux pas baisser mon prix." L'idée d'absorber les pertes financières d'un mois de loyer inoccupé ne plaît pas à la propriétaire, qui admet toutefois que c'est un risque que doivent assumer les locateurs. Selon François Saillant, coordonnateur au Front d'action populaire en réaménagement urbain, la taille des logements offerts est à la source du problème. "Les logements libres sont de petits studios pour des personnes seules ou âgées, dit-il. Pas pour des familles." Malgré tous les avantages proposés avec la location de certains logements, François Saillant note que plusieurs d'entre eux sont encore inaccessibles. "Ils sont désuets, trop petits ou trop chers, dit-il. Pour un couple à revenus moyens, on est loin d'une surabondance de logements. Je doute que la concurrence entre les propriétaires soit vive dans ce cas." http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2008-06-23/479498/le-prix-des-grands-logements-est-tretegraves-eteacuteleveteacute-etagrave-montreteacuteal-.fr.html
  24. En l'espace d'un an, le nombre de saisies de logements aux États-Unis a augmenté de 48%, selon les données fournies par l'agence immobilière Realty Trac. Pour en lire plus...
  25. En l'espace d'un an, le nombre de saisies de logements aux États-Unis a augmenté de 48%, selon les données fournies par l'agence immobilière Realty Trac. Pour en lire plus...
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