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WestAust

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Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. Raser pour mieux reconstruire Le gouvernement du Québec a décidé de raser l'échangeur Turcot à Montréal pour le reconstruire au sol, selon le Journal de Montréal. La ministre des Transports Julie Boulet ferait l'annonce officielle de ce mégaprojet d'un milliard de dollars vendredi. Les travaux s'échelonneraient sur 10 ans. Construit aux coûts de 24 millions de dollars il y a 40 ans, l'échangeur Turcot est constitué d'un enchevêtrement de 7,7 kilomètres de bretelles autoroutières suspendues entre ciel et terre par des colonnes de béton. L'oeuvre, construite dans les années 1960, a atteint la fin de sa vie utile. Un appel d'offres sera lancé pour déterminer la firme d'ingénieurs-conseils qui supervisera les travaux. L'un des principaux défis auquel ils devront faire face sera de maintenir la circulation tout en effectuant les travaux. Perçu comme un chef-d'oeuvre d'ingénierie au moment de sa construction, l'échangeur Turcot était vu comme un aperçu des villes du futur. Situé dans le sud-ouest de Montréal, la structure relie les autoroutes 20, 15 et 720. Plan détaillé
  2. Ils disent que c'Est deja packté a l'heure de pointe et veulent le doubler pareil... ca va prendre une mechante augmentation de la capacité pour cela.
  3. Voici ce que je ferais pour que Montreal aie son times square une belle renovation de la tour ou rogers est actuellement passer de cela (ok un vague dessin) a cela, ou les sections en rouge seraient des ecrans animés.
  4. Voici selon moi un des plus beau immeuble de Times Square et un exemple d'integration a un building
  5. un ecran video, c'est pas pire que les neons "animes" des clubs de danseuses
  6. Je suis passé sur la 15 hier, et ils ont changé l'annonce pour le projet, ajouté le nom de 2 magasins qui vont s'y implanter, soit Cabela's et Les Ailes de Mode Également, on peut voir que l'overpass au dessus de la 15 qui va servir d'échangeur pour acceder au Lac Mirabel est en construction
  7. pas plus complique, juste moins visible, ils construisaient 6 etages de stationnement si je me souvient bien de ce qui a été mentionné.
  8. Stade Molson: où est M. le maire? Réjean Tremblay La Presse Les Alouettes de Montréal ont fait tout ce qu'ils devaient faire pour qu'on puisse enfin réaliser le projet d'agrandissement du stade Molson de l'Université McGill. Le fédéral et le provincial sont d'accord, les problèmes de petits lobbies du «non à tout sauf les lits d'hôpitaux» sont résolus, ne reste plus que la Ville à branler dans le manche. Ah ! La Ville ! Ah ! Le maire Gérald Tremblay ! Ça vous surprend que le maire Tremblay et ses conseillers se poussent dans les garde-robes dans ce dossier ? Vous croyez que M. Tremblay, un fort gentil monsieur par ailleurs, a le coffre voulu pour mener à bien ce projet comme l'a fait avant lui Jean Doré avec le stade Uniprix du Parc Jarry ? Le dimanche du Grand Prix, j'en ai encore appris beaucoup sur ce qui se passait à l'hôtel de ville. Et honnêtement, ce n'est pas toujours la faute du maire Tremblay si tout semble aller croche à la Ville. La Ville n'a pas d'argent, les cols bleus font ce qu'ils veulent, les autobus roulent quand ça leur tente et le maire n'arrive pas à prendre certaines décisions qui s'imposeraient. Ce dimanche de Grand Prix, j'ai appris que M. Tremblay espérait imposer une surtaxe de 2 % sur les tickets pour les spectacles et les événements sportifs. Que le Grand Prix du Canada paye déjà 700000$ en loyer n'était pas suffisant. Gérald visait une taxe supplémentaire pour être certain que le cochon de contribuable qui paye déjà la TPS et la TVQ dans son billet de Grand Prix, dans son abonnement de saison pour le Canadien ou les Alouettes ou pour un concert à la Place des Arts, que ledit cochon allait se faire égorger encore davantage. C'est fait, le gouvernement de Jean Charest vient d'autoriser Gérald Tremblay à aller de l'avant avec sa surtaxe qui va taxer la TVQ qui elle-même taxe la TPS. Ça veut donc dire que le citoyen honnête va payer trois taxes sur un ticket qu'il paye avec ce qu'il lui reste après avoir payé tous ses impôts fédéral et provincial et toutes ses taxes scolaires et municipales. Ce sont vraiment des menteurs. Ils avaient enlevé la taxe d'amusement en la remplaçant par la TPS et la TVQ. Ça serait plus juste, qu'ils nous disaient. Qu'est-ce qui fait que la surtaxe à Tremblay est maintenant juste ? Vous aurez compris que ce sont les amateurs de sport et les gens qui s'intéressent à la vie culturelle qui vont financer une partie du trou de Montréal. Vos billets pour le Canadien viennent de subir une augmentation que même George Gillett avait oubliée. Même chose pour vos billets des Alouettes. Sauf que bout de clisse, cette fois la Ville n'a plus de raison de tataouïner. Le sport et la culture vont faire tomber des millions dans les coffres de la Ville, que le maire s'arrange pour au moins améliorer les services offerts aux amateurs et aux organisations. L'amélioration du stade Molson, dont la propriété reste à l'Université McGill, c'est un investissement pour une Ville qui ressemble à un gros morceau de gruyère tellement on y trouve des trous de toutes sortes. On pourrait peut-être avoir un semblant de projet quelque part en ville, non ? Surtout que ce sont les Alouettes qui vont être maîtres d'oeuvre et que de ce simple fait, il y a de bonnes chances que ça fonctionne. Quand c'en est rendu dangereux de circuler sur les puisards de la ville parce qu'ils peuvent vous exploser en pleine face comme c'est arrivé cette semaine au coin d'Atwater et Sherbrooke, on se dit que tous les lobbies du Non ne peuvent avoir tout le temps raison. Gérald Tremblay a montré dans le passé qu'il pouvait être un leader. Le présent aurait bien besoin qu'il se bouge un peu les fesses. leur temps !
  9. Agrandissement du stade Molson: «Ça niaise et ça niaise...» Miguel Bujold La Presse Larry Smith ne sait plus quoi penser. Le président des Alouettes estime que son organisation a tout fait ce qui a été exigé d'elle pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson. Mais le dossier, bloqué dans les bureaux de la Ville de Montréal, n'avance pas d'un pouce. «On aimerait avoir une rencontre avec le maire Tremblay le plus tôt possible, mais on ne nous répond pas, a expliqué M. Smith lors d'une entrevue téléphonique. Les gouvernements provincial et fédéral ont accepté de s'impliquer et on n'attend que la Ville de Montréal pour officialiser, mais ça niaise et ça niaise et ça niaise...» Jouant à guichets fermés depuis 1997, les Alouettes veulent ajouter 5000 sièges à leur domicile, ambition qu'ils caressent depuis plusieurs années déjà. Coût de l'aventure: entre 28 et 30 millions. Selon Smith, les gouvernements provincial et fédéral auraient accepté d'investir approximativement 10 millions chacun, alors que les Alouettes s'engagent à trouver 4,6 millions du secteur privé. Ne resterait que les 4,4 millions demandés à la Ville. «Nous avons revu nos demandes à la Ville à la baisse parce que nous comprenons la situation dans laquelle elle se trouve. Nous savons qu'elle est très sollicitée et nous sommes conscients que ce n'est pas le dossier le plus important pour elle. Mais en même temps, on parle d'un projet rassembleur qui profitera à plusieurs personnes. Et ça fait plusieurs années qu'on travaille sur ce dossier. «Depuis 1998, nous avons investi 2,5 millions afin de rénover un stade qui ne nous appartient pas, a rappelé Smith. Ça ne fait aucun doute qu'il y a une demande pour un plus grand nombre de places. Nous avons 17 400 détenteurs de billets de saison à l'heure actuelle et notre liste d'attente en compte déjà 2000 autres.» À défaut d'avoir résolu toutes les questions sur le plan financier, l'organisation aurait réglé celles concernant l'environnement. «Nous avons rencontré plusieurs groupes de pression et, sans dire qu'ils sont maintenant heureux, ils sont contentés. Nous avons modifié le projet afin de les satisfaire, a indiqué le président. On devra abattre 68 arbres si le projet se réalise, mais notre organisation s'engage à planter 300 arbres et 500 arbustes.» La Ville en dit peu De son côté, la Ville de Montréal s'est montrée avare de commentaires. «Nous sommes à l'étape de prendre une décision. On analyse présentement le dossier», s'est limité à dire le relationniste Bernard Larin. Smith, lui, croit que la Ville a eu amplement de temps pour étudier la question. «Ça fait plus de deux ans qu'on attend. Et le coût du projet augmente de deux à trois pour cent à chaque année en raison du prix des matériaux et de la main-d'oeuvre», a poursuivi l'ancienne vedette des Alouettes, qui soutient que l'avenir de la concession montréalaise est directement lié aux 5000 nouveaux sièges. «Notre bail actuel se termine en 2010. Si nous annonçons que le projet va de l'avant d'ici l'automne, nous croyons qu'il pourrait être complété à temps pour la saison 2010 ou 2011. N'importe quelle entreprise est en affaires afin de faire des profits et, présentement, ce n'est pas notre cas. Nous ne voulons pas augmenter le prix des billets de façon significative, alors la survie de l'équipe passe par l'agrandissement du stade. C'est également un must afin qu'on puisse continuer à avoir une équipe compétitive sur le terrain. «C'est le temps de bouger! C'est M. Tremblay qui décidera de l'avenir du football à Montréal.» L'essor du football Il ne fait aucun doute que le football a connu un essor fulgurant au Québec depuis une dizaine d'années. Les équipes de football mineur et universitaire ont jailli de partout et les Alouettes y sont pour beaucoup. L'organisation se fait un devoir d'être impliquée dans différentes écoles à travers la province. D'ailleurs, pour une équipe professionnelle avec des moyens limités - rappelons que les joueurs font en moyenne moins de 100 000$ par année - son implication dans la communauté est à peu près irréprochable. Puis, il y a le fait que les Alouettes évoluent devant des salles combles depuis maintenant 10 ans. Vous voulez une paire de billets pour un match au mois d'août? Bonne chance. Malgré tout ça, la Ville, elle, marche sur des oeufs. Compte tenu de toutes les demandes qui lui parviennent, c'est évident qu'il s'en trouvera pour critiquer sa décision si elle devait accepter de venir en aide à une équipe de sport professionnel, même si celle-ci ne ressemble pas vraiment aux équipes professionnelles typiques... Montréal est-elle encore une ville de sport? À ce compte, la décision du maire Tremblay nous en dira plus long.
  10. je me fiais a la photo de malek qui montrait la facade de marbre vert comme étant l'édifice wilder
  11. Tant qu'a moi, la seule chose qui merite d'Etre conservée, c'est le marbre vert de la facade, ils pourraient seulement l'enlever avant de demolir, et intégrer ce materiel a la nouvelle entrée de la salle de spectacle comme un rappel de l'édifice qui était la avant.
  12. Bonne nouvelle, ca serait un tres beau projet pour revitaliser ce coin la. Je pensais justement a ca hier, comme quoi Rogers devrait venir se batir une belle grosse tour a Montreal, histoire de bien s'établir (et faire un pied de nez a bell qui s'en va en dehors du centre-ville)
  13. Morgan Stanley s'associe au projet Lac Mirabel La banque d'affaires Morgan Stanley, de New York, vient de s'associer au Gordon Group Holdings, de Boston, pour réaliser le projet Lac Mirabel, qui accuse un retard d'un an et demi. Le président du conseil du Gordon Group, Sheldon M. Gordon, l'a confirmé mardi à La Presse Affaires. «C'est réglé. Morgan Stanley et le Gordon Group s'engagent à investir 100 millions US» dans les travaux de 450 M$ de Lac Mirabel. Sheldon Gordon a loué des locaux à la conférence de l'International Council of Shopping Centers (ICSC), mardi. Morgan Stanley et le Gordon Group deviennent les principaux actionnaires de Lac Mirabel, mais M. Gordon ne précise pas la part de chacun. Le promoteur vient d'exercer son option pour acheter l'immense terrain de 14 millions de pieds carrés sur l'autoroute 15, au sud de l'usine de Bell Helicopter. Click here to find out more! Il reste des sceptiques à son sujet, mais Lac Mirabel enregistre plus de 60% de locaux en prélocation et il ouvrira en août ou septembre 2009, affirme Sheldon Gordon. «Lac Mirabel deviendra le premier centre commercial en Amérique du Nord, à ma connaissance, à obtenir la certification LEED (Leadership in Energy & Environment Design). Ça plait beaucoup aux locataires», dit le promoteur. Sheldon Gordon est en train de convaincre des détaillants américains de ne pas débarquer seulement à Toronto. «Lac Mirabel sera le premier grand centre commercial construit dans la région de Montréal en 27 ans (si on exclut les mégacentes et les centres style de vie). Les détaillants pourront y faire plus d'argent que dans plusieurs autres régions de l'Amérique du Nord», selon lui. Grâce à son aménagement d'avant-garde, le promoteur croit que Lac Mirabel va attirer des clients jusqu'à Ottawa et Québec. Un Mills à Montréal Par ailleurs, le président d'Ivanhoé Cambridge, René Tremblay, affirme encore envisager la construction d'un centre commercial Mills dans la région de Montréal. Ce Mills, évoqué pour Boisbriand il y a cinq ans, avait été bloqué par la Commission de protection du territoire agricole, a-t-on cru. Ivanhoé Cambridge est en train d'investir 400 millions dans un Mills au nord de Calgary, soit un peu plus que dans le Vaughan Mills, au nord de Toronto. René Tremblay reconnaît qu'il doit encore trouver un grand terrain. «Le Mills de Montréal est toujours vivant, mais pas nécessairement à Boisbriand.» Plusieurs se plaignent déjà du trop grand nombre de magasins. Mais René Tremblay, par ailleurs nouveau président du conseil mondial de l'ICSC, affirme que des détaillants de l'Europe et des États-Unis n'attendent que l'occasion pour entrer au Canada. Or, après des années de croissance, les centres commerciaux du pays connaîtront 18 autres mois de succès, ajoute le premier Canadien francophone à prendre la tête de l'ICSC. Il faut ouvrir des centres commerciaux pour les nouveaux détaillants et l'expansion des autres, dit-il. Presque personne n'a fait faillite depuis trois ans et le taux d'inoccupation des centres commerciaux canadiens se limite à 3,5%, dit René Tremblay. Durant son mandat d'un an à l'ICSC, René Tremblay va miser sur le développement durable, plus avancé en Europe, et le recrutement de membres en Asie. L'ICSC compte 60 000 membres dans 92 pays. Ivanhoé Cambridge est au quatrième rang en Amérique du Nord et au 12e dans le monde.
  14. Les vacances de la construction, c'est pas seulement dans la construction résidentielle? Dans ce cas ci, l'immeuble est-il considéré residentiel ou non? Ce qui pourrait vouloir dire qu'ils gagneraient un autre 2 semaine de travail si ce n'est pas du résidentiel.
  15. Here are some pics I took during the weekend. The safety and medical cars Lewis Hamilton's mclaren A walk in the Paddock Before the drivers parade Ooooh say can you see... Sorry no racing for you today Pitstop time The Podium
  16. Il existe plusieurs facon, actualisation des dividendes, actualisation des "cash flow", actualisation des bénéfices résiduels (soit les bénéfices économiques, ce qui est l'argent restant apres avoir calculé un coût en $ de l'équité)... il existe plusieurs facons de valoriser une entreprise, ce qui est sur, c'est que demain matin si on privatise (et vend hydro) en meme temps, et qu'on applique le montant à la dette, on l'élimine completement ou en tres grande partie. Avant meme de parler d'augmentation des couts pour les particuliers, il faut comprendre la structure d'Hydro-Québec qui est divisée en 3, soit HQ production, HQ Trans-Energie(transport) et HQ distribution (la vente au particulier) Deja en ce moment, seuls trans-energie et HQ distribution sont soumis aux regles de la régie de l'energie. Trans-energie est deja presente sur des marches ouverts et competitif. Vendre HQ ne serait pas la catastrophe appréhendée par certains, il suffirait de continuer a soumettre les prix aux consommateurs a la régie de l'énergie, comme il se fait aux USA, éliminer le bloc patrimonial, quitte a offrir une subvention d'énergie aux moins nantis, ce qui aurait pour effet d'augmenter les revenus de HQ, donc la valeur, et diminuer notre consommation intérieure, et pouvoir la vendre la ou elle est plus rentable (encore une fois, augmentation du bénéfice, donc augmentation de la valeur) Presque tout les états américains, ainsi que l'ontario entre autre ont adopté une privatisation sinon totale ou partielle (dans le cas de l'ontario, ils ont gardé une grande partie de la compagnie de production en tant que société d'état) et cela sans avoir des effets néfastes (oublions le cas de la californie et d'enron) et sans une augmentation outrageuse du compte d'électricité grâce a des controles de l'état.
  17. Ostie que le monde a aucun respect, on devrait pendre les graffiteur, si a defaut de les pendres, les envoyer en prison afin qu'ils fassent connaissance avec bubba
  18. I like it, funky, modern and young styling, goes well with the brand image
  19. One reason they have to finish the project is that the main revenue generator, albeit having it's revenue potential revised on the downside, is the office tower(along with parking spaces), the student residence have a marginal impact on the overal profitability of the project, same goes for the bus station.
  20. Je le remarque depuis quelques semaine, jamais il n'as été aussi facile de se stationner sur la rue que depuis que les parcometres ont vu leur tarification augmentés. C'est n'est pas un si bon signe pour les commerces du centre ville ou des quartiers centraux, qui au bout de la ligne, perdent leur clientele au profit des Carrefour Laval et Quartier Dix 30 de ce monde.
  21. We have a problem getting people to put any trash in a bin, if we manage to do that first, then we'll get them to sort their trash before putting them in the appropriate bin.
  22. WestAust

    Hydro-Québec - Rénovation

    c'est pas trop le beige qui me tanne et que je trouve affreux, mais le turquoise qu'ils changent le turquoise pour qqc de plus moderne, un glasswall a la grandeur de la facade serait p-e pas si laid
  23. On de Maisonneuve, between Stanley and Drumond, it's the entrance of the 1200 de Maisonneuve (aka Les tours Lépine)
  24. DURING the 2000 presidential campaign, the candidate from Texas fielded a question from Canada: “Prime Minister Jean Poutine said you look like the man who should lead the free world into the 21st century. What do you think about that?” When George W. Bush pledged to “work closely together” with Mr. Poutine, Montrealers fell off their chairs laughing. It wasn’t so much that the Canadian leader was, in fact, Jean Chrétien, but that the “reporter” — Rick Mercer, a television comedian — had invoked the city’s emblematic, problematic, comedic junk food dish: poutine. A gloppy, caloric layering of French fries, fresh cheese curds (a byproduct of Cheddar making) and gravy, poutine goes deep into the Quebequois psyche. Somehow, Quebec’s rural roots, its split identity (Acadian farmers or Gallic gourmets?) and its earthy sense of humor are all embodied by its unofficial dish. This may be one reason that until now poutine has not traveled well. True, it was on the menu for years at Shopsin’s, the quirky West Village restaurant that closed this year, but so was nearly every other known foodstuff. But recently, it has materialized in a handful of cities across the United States. In New York City, it is on the menu at three highly divergent establishments, and this time it shows signs of taking hold. Andy Bennett, the chef at the Inn LW12 in the meatpacking district, recalled his reaction on being told (by the Canadian faction of the inn’s owners) that poutine must be served. “I said, you’ve got to be kidding me. Then I realized I wasn’t going to be able to get away from it.” Mr. Bennett, however, was converted. “You have to embrace these things,” he said. “Now it’s our biggest selling item by a long stretch.” “I think it’s going to be across the city soon,” he said. “It’s going to stick without a doubt.” Mr. Bennett’s choice of words was apt. Poutine is an extreme stick-to-your-ribs concoction, whose name is said to derive from Quebequois slang. According to the dominant creation myth, in 1957 a restaurateur named Fernand Lachance, when asked by a customer to combine fries and cheese curds, said it would make “une maudite poutine” — an unholy mess. (And this was pre-gravy. Another restaurateur, Jean-Paul Roy of Le Roy Jucep, claims to have first served fries with gravy and curds in 1964.) Since Mr. Lachance’s death three years ago, poutine’s de facto spokesman has been Bob Rutledge, creator of the Web site MontrealPoutine.com. Mr. Rutledge, a professor of astrophysics at McGill University specializing in neutron stars, black holes and gamma ray bursts, first heard of poutine on moving to Montreal in 2004. He was instantly smitten. “When I started asking about it, I got one of two responses,” he said. “It was either: ‘Oh here’s my favorite poutine place; you must go...’, or else it was: ‘Oh my God, why do you want to eat that stuff?’ It’s a veritable food phenomenon; half the people are embarrassed it exists.” Siobhan O’Connor, a journalist who moved to New York from Montreal five years ago, has a different view. “The only people who don’t like poutine are people on a diet,” she said. “It’s the first thing you want when you go back, a real late-night post-drinking thing.” Ms. O’Connor recently sampled the new batch of New York poutines. The classic version at Sheep Station, an Australian gastropub on the western edge of Park Slope, initially struck her as too dry. But, on discovering that the Quebequois chef, Martine Lafond, had secreted further curds and gravy under crisp, hot fries, she warmed to it, declaring the gravy authentically peppery, salty and meaty, and the curds as fresh as could be expected so far from home. At Pommes Frites, an East Village storefront that traffics in Belgian fries but now has a sideline in their Canadian cousins, neither the rubbery, yellowish curds nor the lukewarm, flavorless sauce met with Ms. O’Connor’s approval. But Mr. Bennett’s four varieties at the Inn LW12 did, despite distinctly unorthodox stylings. “I’d come back here just for this,” she declared of the plate with five-spice gravy and chewy strips of pork belly, though she found the Stilton cheese in the rich, toothsome braised beef with red wine version to be overload and the herby marinara sauce on the tomato version — called Italienne back home — disappointing. Though somewhat overshadowed by its glitzy sisters, the classic, too, more than passed muster. Ms. O’Connor explained that poutine really belonged to the French speakers — her Irish-Montrealer mother, for instance, had never tried it — until “around 2000, when people started messing with it: green peppercorns, Gruyère, truffle oil...” According to Professor Rutledge, variations on the theme are fine. “They strike me as creative and interesting so I give bonus points,” he said. He is, however, from Southern California. The average Montrealer seems to be more of a purist. The chef Martin Picard, one of Montreal’s most high-profile culinary figures, embraces poutine at his restaurant Au Pied de Cochon. “That dish becomes an international passport,” he declared. “It’s not haute gastronomie, but it permits Quebec to get more interest from the rest of the world.” Mr. Picard said he occasionally offers classic poutine as a “clin d’oeil” — a wink — to Quebequois cuisine, but his version with foie gras is what everyone remembers. For this, the regular poutine sauce — a thick, highly seasoned chicken velouté, which Mr. Picard enhances with pork stock — is enriched by foie gras and egg yolks. The dish is crowned with a four-ounce slab of seared goose liver. Whether Montreal’s embarrassing but adored junk food does take root in New York, it may never attain the status it achieved earlier this year when the CBC revealed the results of a viewer poll on the greatest Canadian inventions of all time. Granted, poutine came in only at No. 10. But it beat, among other things, the electron microscope, the BlackBerry, the paint roller and the caulking gun, lacrosse, plexiglass, radio voice transmission and basketball.
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