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  1. Quartier Viger??? wtf c'est quoi ça? c'est pas la brasserie Molson? Qu'est ce qu'il y a d'autres dans ce coin là?
  2. Gaz naturel: la frénésie gagne le Québec 3 avril 2008 - 06h14 La Presse Philippe Mercure Agrandir Avec le gaz naturel qui se vend actuellement autour de 10 $ pour 1000 pieds cubes, les réserves de Forest Oil pourraient valoir plus de 40 milliards US. Photo Bloomberg Des résultats préliminaires annoncés comme des découvertes « significatives » dans la plaine du Saint-Laurent ont provoqué hier un feu d’artifice en Bourse qui s’est fait sentir jusqu’à Oslo. Les actions de deux petites juniors québécoises, Gastem et Junex, sont parties en flèche à la Bourse de Toronto. La première a bondi de 123 % pour se hisser à 2,50 $, tandis que Junex gagnait 58 % pour clôturer à 1,36 $, un gain qui s’ajoute au 32 % gagné la veille. La folie a été un peu plus contenue à New York, où l’américaine Forest Oil Corporation, active au Québec, a gagné 2,08 $ US, ou 3,96 %. L’albertaine Questerre Energy a aussi annoncé ses intérêts dans l’exploration de gaz au Québec et a été portée par la vague. Son titre a gagné 37,8 % à Toronto pour atteindre 1,13 $, et a bondi de 96 % à Oslo où il s’échange aussi. L’étincelle est venue de Denver, au Colorado, siège social de Forest Oil Corporation. L’entreprise croit être assise sur des réserves potentielles de 4,1 trillions de pieds cubes de gaz naturel près de Bécancour et dans les régions de Yamaska et Contrecoeur. Des chiffres qui en ont incité plusieurs à sortir leur calculatrice. Avec le gaz naturel qui se vend actuellement autour de 10 $ pour 1000 pieds cubes, ces réserves pourraient valoir plus de 40 milliards US. Les résultats dévoilés hier demeurent toutefois préliminaires. Il faudra plusieurs forages additionnels et une étude de faisabilité pour voir si du gaz naturel sera un jour exploité dans les plaines du Saint-Laurent. « On est encore au stade d’exploration », avertit d’ailleurs Vincent Paquet, analyste chez ING Investment Management, qui croit toutefois que c’est du sérieux. « La façon dont c’est parti, il va y avoir de l’exploitation. Ça peut devenir assez gros, assez longtemps », croit-il. Jean Beaulieu, professeur au département de génie géologique à l’École polytechnique de Montréal, est quant à lui formel : il y a bel et bien du gaz naturel sous le sol entre Montréal et Québec. « Juste à casser la roche avec un marteau, ça sent le pétrole. On sait que c’est riche », dit-il. Le problème est de l’extraire. La formation qui suscite l’intérêt s’appelle le « shale de l’Utica ». Un shale est un genre d’éponge gorgée de gaz, mais dont l’exploitation est complexe. La situation rappelle les sables bitumineux, dont le pétrole est plus difficile à extraire que dans les puits conventionnels. Sauf que la technologie se développe. En injectant de l’eau mêlée à du sable dans la roche, on parvient aujourd’hui à extraire le gaz naturel des shales. Celui de Barnett, au Texas, se place par exemple au deuxième rang des plus gros producteurs de gaz naturel des États-Unis. La société qui mène le bal au Québec, Forest Oil Corporation, est d’ailleurs active à Barnett. Elle a signé des ententes avec Junex et Gastem, des sociétés de prospection québécoises qui avaient acquis plusieurs centaines de milliers d’acres dans les régions intéressantes. « Ce qu’on a voulu faire, c’est d’acquérir énormément de terrain, puis s’associer avec une société majeure qui a beaucoup de capital », explique Dave Pépin, responsable des affaires corporatives. Forest Oil Corporation entend creuser trois nouveaux puits à partir du mois de juin. Dans l’éventualité de résultats positifs, l’exploitation pourrait démarrer dès l’an prochain, pour prendre toute son ampleur en 2010. D’ici là, les juniors québécoises profitent de leur soudaine popularité. « On a beaucoup d’amis aujourd’hui », admet Marc André Lavoie, de Gastem. Selon des analystes d’UBS Investment Research cités par le Daily Oil Bulletin, l’engouement pourrait aussi gagner l’albertaine Talisman Energy. L’entreprise possède 800 000 acres dans le shale de l’Utica, mais s’est toujours montrée réfractaire à exploiter du gaz naturel « non conventionnel ». Les analystes font le pari que les récents chiffres lui feront changer d’avis. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080403/LAINFORMER/80403007/5891/LAINFORMER01
  3. Bombardier embauche du personnel à Montréal 3 avril 2008 - 13h19 Presse Canadienne Agrandir Le carnet de commandes de Bombardier est bien garni. Photo Armand Trottier, La Presse La vigueur du marché des jets d'affaires et des avions régionaux fait en sorte que Bombardier (BBD.B) a épuisé toutes ses listes de rappel d'employés et se lance désormais dans l'embauche externe. Le constructeur travaille à un petit projet d'agrandissement de son usine de Dorval, où sont assemblés les avions d'affaires Challenger et Global Express. En tout, on parle de l'embauche d'environ cent nouveaux employés dans la région montréalaise. Bombardier Aéronautique a par ailleurs annoncé, jeudi, l'abandon de la production des biturbopropulseurs Q200 (37 sièges) et Q300 (50 sièges), suivant ainsi la tendance de l'industrie vers les avions de plus grande taille. Les livraisons se termineront en mai 2009. En revanche, l'avionneur a augmenté la cadence de production du Q400 de 78 places, toujours très en demande. La série Q est fabriquée à l'usine de Havilland, à Toronto. Au sujet de la CSeries, la famille d'avions de 100 à 150 places que l'avionneur devrait lancer plus tard cette année, le PDG de Bombardier Aéronautique, Pierre Beaudoin, a indiqué jeudi que les discussions quant au financement se poursuivaient avec le gouvernement fédéral. Il y a quelques semaines, le ministre de l'Industrie, Jim Prentice, avait pourtant fermé la porte à toute hausse de l'aide financière au projet. M. Beaudoin a aussi indiqué qu'il suivrait de près le développement du Mitsubishi Regional Jet, un futur concurrent à la gamme CRJ de Bombardier, afin de s'assurer que l'aide financière attendue de la part gouvernement japonais respecte les règles de l'Organisation mondiale du commerce. Le grand rival brésilien de Bombardier, Embraer, a récemment annoncé qu'il ferait preuve de la même vigilance. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080403/LAINFORMER/80403256/5891/LAINFORMER01
  4. De fortes pressions pour dézoner des terres agricoles Les Affaires, 29 mars 2008 Même si les automobilistes circuleront sur le tronçon de l'autoroute 30 reliant Châteauguay à Vaudreuil-Dorion à partir de décembre 2012, des pressions se font déjà sentir pour accentuer le dézonage agricole. La concurrence de Cornwall augmente la pression en faisant peser la menace de déménagement d'entreprises vers cette municipalité ontariennne située à 75 kilomètres de VaudreuilDorion. Pour Louis Grenier, un ancien commissaire industriel à Ville Saint-Laurent aujourd'hui responsable du développement chez le gestionnaire immobilier Monit International, cette menace est réelle. Selon lui, si les entreprises ne peuvent trouver de terrains en bordure de la future autoroute 30, elles pourraient être tentées de s'installer à Cornwall. Avec l'autoroute, les 80 kilomètres qui séparent cette ville de 45 000 habitants de Montréal seront vite franchis. Puisque le nombre de terrains industriels disponibles le long du nouveau tronçon de la 30 est restreint, la pression en faveur du dézonage des terres agricoles augmentera. "Si les terrains se raréfient, comme cela est en train de se produire, seuls les magasins, les centres commerciaux et les compagnies de transport auront les moyens de s'établir dans les environs. Les spéculateurs ne se sont pas encore mis de la partie. Mais le jour où ils s'y mettront, et cela pourrait se faire d'ici peu, les prix vont s'envoler. Est-ce là le développement que l'on désire ?" Selon lui, deux solutions sont possibles. La première consiste, pour les municipalités, à adopter des réglementations visant, par exemple, à limiter l'implantation des sociétés de transport, "comme cela s'est fait à Ville Saint-Laurent". La seconde réside dans le dézonage agricole, afin d'augmenter l'offre de terrains. Inévitable "Louis Grenier n'a pas tout à fait tort", croit le directeur général de la Ville de Candiac, Serge Drouin. "Je ne vois pas comment on peut développer l'industrie sans toucher au territoire agricole. Chez nous, il ne reste à peu près plus de terrains industriels. Nous sommes condamnés à étudier comment on peut prospérer sans toucher aux terres agricole." Yves Daoust, préfêt de la MRC de Beauharnois-Salaberry, fait la promotion d'une approche concertée. "On fait le tour des municipalités du territoire afin de synthétiser leurs prévisions en matière de terrains. On pense que la MRC peut mieux représenter les intérêts de chacun auprès de l'Union des producteurs agricoles (UPA) et de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ). D'ici deux mois, l'exercice sera terminé et il sera plus facile de présenter des demandes générales plutôt qu'à la pièce." Développer plutôt sur l'île Du côté de l'UPA, on constate que les pressions en faveur du dézonage sont intenses. "La préservation du territoire agricole est une lutte de tous les instants", dit Pierre Caza, directeur des services de l'action syndicale et du développement agricole de la Fédération de Saint-Jean-Valleyfield de l'UPA. "Utilisons plutôt les dizaines de milliers d'hectares disponibles sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. Avec la 30, on perd 615 hectares parmi les meilleures terres du Québec. On aura toujours besoin de sols pour remplir le garde-manger des Québécois. Nos gestionnaires doivent reconnaître que les terres agricoles génèrent du développement économique." J.-F.B. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-03-29/474669/de-fortes-pressions-pour-dezoner-des-terres-agricoles.fr.html
  5. Voici une séries d'articles sur les enjeux enoutrant le développement de la 30... et comme je l'ai toujours dit: Autoroutes = développement industriel = développement économique. Vaudreuil-Soulanges, le coeur de la logistique dans l'Est du Canada Les Affaires, 29 mars 2008 Habituellement, une mauvaise nouvelle comme la suppression d'une centaine de postes dans une entreprise ne passe pas inaperçu. Pourtant, c'est arrivé dans la MRC de Vaudreuil-Soulanges : il y a un mois, le fabricant de pièces d'automobiles Montupet, de Rivière-Beaudette, a supprimé 130 postes. L'entreprise a évoqué la perte d'un important contrat. L'économie de la MRC de Vaudreuil-Soulanges roule à pleine vapeur et que les projets dans le secteur de l'entreposage et de la logistique se multiplient. Ainsi, à quelques mois de l'ouverture d'un immense entrepôt de 1,5 million de pieds carrés dans lequel travailleront plus de 700 salariés, Canadian Tire songe déjà à en construire un deuxième, aussi imposant. Au même parc industriel de Côteau-du-Lac, l'impartiteur en entreposage Pival International entend construire un entrepôt de 370 000 pi2. Pour sa part, le Canadien Pacifique (CP) veut créer, aux Cèdres, un complexe intermodal sur un terrain de 300 hectares, qui se substituera à celui de Lachine et qui accueillera jusqu'à 500 000 conteneurs par année. Canadian Tire poursuit son développement Canadian Tire a finalisé la construction de son premier entrepôt de 45 pieds de hauteur et de plus de 700 mètres de longueur. Bâti au coût de 240 millions de dollars, il sera en opération d'ici janvier prochain et pourra traiter jusqu'à 25 000 conteneurs de marchandises par année. Le géant canadien installe un système intérieur de convoyeurs de 20 kilomètres. La société torontoise dispose d'une option d'achat sur un terrain supplémentaire de 1,5 million de pi2 afin de construire un second entrepôt. Toutefois, ce terrain est zoné agricole. Canadian Tire irait de l'avant en cas d'autorisation de dézonage de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ). Un investissement de 22 millions de dollars Pival International entend bâtir un entrepôt sur un terrain de 1,2 million de pi2. Près de 150 personnes y seraient embauchées. "Nous voulons bâtir un entrepôt similaire à celui que nous exploitons à Oshawa et qui peut accueillir jusqu'à 22 wagons de marchandises. C'est un investissement que nous évaluons à 22 millions de dollars", a dit Mario La Barbera, président de cette entreprise qui exploite trois entrepôts au Québec et en Ontario. Pival détient aussi une option pour 1,4 million de pi2 de terrains supplémentaires. CP veut attirer un distributeur Au CP, le complexe intermodal des Cèdres pourrait être prêt dès 2011, a indiqué Michel Spénard, directeur des affaires publiques. Il recevra des marchandises d'Asie, transportées par train à partir du port de Vancouver. Le CP veut convaincre un grand distributeur, comme Sears, de s'installer sur ses propres terrains, à côté de ses lignes de chemins de fer, à l'image de son autre centre intermodal de Calgary. "Ce modèle a l'avantage de diminuer le temps de transfert des marchandises vers le centre de distribution et de diminuer le nombre de camions sur les routes. Le centre de distribution des Cèdres pourrait intégrer des activités d'emballage et d'ajouts de livrets d'instructions à tout le matériel reçu, en vrac, des wagons du CP", explique Michel Spénard. La situation géographique constitue le principal avantage de Vaudreuil-Soulanges, dit Paul M. Normand, directeur du développement du Parc industriel Alta de Coteau-du-Lac. Les lignes ferroviaires du CN et et CP y convergent; l'autoroute 40 la traverse, la 30 sera achevée d'ici quatre ans, et les travaux de parachèvement de la 20 débuteraient en 2012. Le port de Montréal est à proximité. L'heure de pointe existe, mais elle est de moindre importance que celle de la métropole et de ses banlieues. La région souhaite desservir l'Est ontarien, le Québec, les Maritimes et le nord-est des États-Unis. "À Toronto, les terrains sont dispendieux, de 10 à 20 $ le pied carré, alors qu'il est inférieur à deux dollars dans les parcs industriels de la région. Et je ne serais pas surpris que les taxes foncières soient plus basses que chez nos voisins ontariens", dit M. Normand. D'ores et déjà, la région résiste à l'influence de Cornwall, comme l'a dit le commissaire industriel, Gérald Brassard, du Centre local de développement de Vaudreuil-Soulanges, car des entreprises ontariennes comme Canadian Tire en font de plus en plus leur centre logistique. dossiers@transcontinental.ca
  6. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    <LI class=mea>Canadiens: Price a déjà fait oublier Huet 03/04/2008-[12:45] - Sport.fr L’ombre de Cristobal Huet n’aura pas planer longtemps sur la patinoire des Montreal Canadiens. Transféré aux Washington Capitals, le gardien français a été remplacé par le jeune Casey Price, qui a été élu rookie du mois de mars en NHL. Deuxième de la Conférence Est, la franchise canadienne a enregistré une série de 7 victoires contre 3 défaites, et Price a encaissé 2,67 buts en moyenne par match, avec un pourcentage d’arrêts de 92,4 %. Il a ainsi grandement contribué au premier titre de Division Northeast des Canadiens depuis 1992.
  7. hahahaha
  8. From http://www.transitmiami.com/2008/04/urban-spotlight-montreal.html Urban Spotlight: Montreal Montreal...what a great city. I spent the last several days there on a mini-vacation doing some urban exploration and enjoying the sites and culture that make the city so pleasant. Despite temperatures that were muy frio (Highs 25-32, Lows 8-20), it still was a great experience walking around the city thanks to fine urban design, livable streets, and thriving public spaces. With that said, I'd like to walk you through (pun intended) some of my observations and experiences that both illuminate Montreal's successes and Miami's potential. Transit System Montreal's subway system was very clean, efficient, and took us most places we wanted to go. I took a couple trips on the "Green line" that runs between Angrignon and Honore-Beaugrand. Levels of service were high based on my experience, whereas I never waited more than five minutes for a train even on Saturday and Sunday. At $2.75 per one-way trip, the fares were a little steep, though I'm assuming that would be mitigated if I had bought a 3-day unlimited or monthly unlimited ride pass. Though it's not transit per se, I was thrilled to see separated bike lanes at least a few major boulevards. Not only are they protected from traffic, they're bidirectional unlike most Class II striped bike lanes and even some Class I separated lanes, like on 9th Ave in Manhattan. Parks and Public Spaces Ah, my favorite part. I'm a firm believer that it's the quality of a city's public spaces that make it a truly great place to live, which is why Montreal scores so high on my livability scale. The city is loaded with really nice parks and plazas that serve as social and civic gathering magnets. As far as plazas go, Place Jacques Cartier and Place d'Armes were my favorites, though several others could easily make the cut. However, my runaway favorite public space in Montreal is the city's namesake park, Mont Royal. When I first heard about Montreal's "mountain", I have to admit I was pretty skeptical. I figured it was a series of rolling hills at best, with just enough of an incline to force cyclists into a medium-to-low gear. Was I ever mistaken. Looking from downtown, which the park roughly abuts, it actually appears that the city abruptly stops up against a mountain on one side. To add to the effect, several bouts of snowfall from a long Canadian winter remained draped across Mont Royal's landscape not unlike that of a small snowcapped mountain in Vermont or Upstate New York. After scaling steep blocks just to reach the foot of the park, you're faced with the task of climbing an even steeper mini-mountain -- with a foot of snow on the ground. The park is beautiful. It was designed by Frederick Law Olmsted, who also designed Central Park in Manhattan and Prospect Park in Brooklyn. If you want to climb it, you can either follow winding paths at a moderate grade, or you can take the shortcut and go straight up. About halfway up the views of the downtown skyline are already spectacular, but at the top you have incredible panoramic vistas of most of the city and the St. Lawrence River. It didn't matter that it was 32 degrees out with a foot of snow on the ground the weekend before April -- the park was packed with joggers, walkers, sightseers, and even cross country skiers. Sadly, Miami doesn't really have a grand park that is centrally located and easily accessible to bicyclists and pedestrians. I consider Crandon Park to be pretty great, but it's an isolated island and not a centrally located grand urban park. The beaches of South Beach and North Beach are adjacent to high density areas and are high quality public spaces, but they are in a different category and serve different purposes than a centrally located urban park. Museum Park has the potential to be great, but it's limited size and extreme easterly location may keep it from fulfilling that role. Urban Design Montreal's urban design was of high quality. The density of most neighborhoods is relatively high thanks to rowhouses and apartment buildings that helped define street space. Downtown was full of high-rises, but most of them were designed well to fit with human scale and the pedestrian realm. The architecture of both old and modern buildings was of high quality. Moreover, most streets were well in tact and had not given way to curb cut mutilation and excessive off-street parking. Depending on where you are, certain neighborhoods have a "Brooklyn" feel to them, while others have more of a "Philly" feel. Even the newly developed neighborhoods on the fringe of the city consisted of modern-looking rowhouses and apartment buildings, which was very encouraging to see. Overall, the streets were very clean and comfortable as well. Interestingly, the streets were pretty quiet with automobile traffic, drivers drove safely and courteously, and very little congestion was present. What's the lesson for Miami? Montreal serves as just one more example of a major city full of neighborhoods with medium-to-high density that is extraordinarily livable. Because buildings are built right up to the sidewalk and are often attached, they do a great job defining street space and making the pedestrian experience a pleasant one. You can walk all day in Montreal, in inclement weather no less, and not get tired or anxious because space is well defined and you always feel like you're somewhere. Without these characteristics in most of Greater Miami, it often feels like even short walks take forever and go from nowhere to nowhere. Miami 21 will probably be our best opportunity this century to improve this condition. Stay tuned for additional lessons from Montreal. Posted by Ryan Sharp at 2:00 AM
  9. Yes bonne nouvelle pour moi qui va bientôt se chercher une maison
  10. Les profits prennent de l'altitude Bombardier, qui publie ses résultats financiers en dollars américains, enregistre un bénéfice net de 218 millions au quatrième trimestre comparativement à 112 millions l'exercice précédent. Ses profits nets ont été perçus sur des revenus de 5,2 milliards de dollars comparativement à 4,4 milliards l'exercice précédent. Photo: La Presse Canadienne /Ryan Remiorz Pour l'ensemble de l'exercice financier, les profits nets sont de 317 millions de dollars en hausse par rapport aux profits de 268 millions en 2007. Ces résultats incluent les coûts reliés aux déboires du consortium Metronet dans lequel Bombardier est partenaire. Bombardier a par ailleurs annulé 2,6 milliards de dollars de son carnet de commandes liées à ce projet de rénovation du métro de Londres. « La forte popularité de nos produits constitue le principal moteur du succès de cette année. Le carnet de commandes de chacun de nos groupes a progressé substantiellement pour atteindre des niveaux historiques », a déclaré Laurent Beaudoin, président du conseil d'administration et chef de la direction, Bombardier Inc. Le carnet de commandes du fabricant d'avions et de trains se chiffre à 53,6 milliards, un montant record, selon Bombardier. Sa division Aéronautique montre 698 commandes fermes d'avions d'affaires, d'avions régionaux et d'avions amphibies. Les avions régionaux sont de retour dans le carnet de commandes de Bombardier, passant de 87 appareils en 2007 à 238.
  11. Je comprends pas c'est quoi l'excitation des chiffres avec les minorités visibles. Sur d'autres forums, ils ne jurent que de ça. Avoir un tiers d'immigrants asiatiques et un autre tiers du sous-continent indien n'est pas plus "ethniquement diversifié" que ce qu'on à ici à Montréal ou plusieurs immigrants ne se décrivent pas comme une minorité visible (moi inclus).
  12. Faire durer le plaisir Plus d'info Audio et Vidéo Le ministre Sam Hamad Québec veut pallier la pénurie de main-d'oeuvre appréhendée d'ici quelques années en mettant en place des mesures pour inciter les travailleurs à rester plus longtemps sur le marché du travail. Le ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad, a déposé un projet de loi en ce sens, mercredi. Le projet de loi de Québec prévoit d'offrir aux travailleurs du secteur privé de 55 ans et plus l'opportunité de prendre une retraite progressive sans pénalité. Les rentiers qui occupent actuellement un emploi verront aussi leurs prestations bonifiées. Ainsi, un travailleur de 55 ans et plus pourra continuer, avec l'accord de son employeur, à travailler à temps partiel, par exemple trois jours par semaine et recevoir, en plus de son salaire, jusqu'à 60 % des prestations auxquelles il a droit dans son régime privé. En continuant d'accumuler du service, le travailleur verra aussi sa rente finale augmentée. Par exemple, un travailleur de 55 ans dont le salaire annuel est de 50 000 $ pourra bonifier son régime de retraite de 6000 $ à 65 ans s'il demeure en emploi trois jours par semaine. Selon le ministre Hamad, le Québec aura besoin de 700 000 personnes pour combler des emplois d'ici 2011, d'où l'importance de mettre en place des mesures incitatives. « Cela va être payant de travailler, ça va être attrayant de continuer de travailler », a-t-il fait valoir. Le projet de loi a été accueilli favorablement par les groupes représentant les personnes âgées de même que par la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ). « C'est bon pour l'économie, c'est bon pour l'individu, parce qu'il est réintroduit dans le circuit qui le garde plus en forme. Donc, c'est un winner-winner », dit Georges Lalande, président du Conseil des aînés du Québec. Pour l'instant, les mesures ne seront accessibles qu'au secteur privé, les travailleurs du gouvernement et du parapublic ne pourront pas s'en prévaloir tant qu'il n'y aura pas d'entente avec les syndicats. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/04/02/002-retraite-quebec.shtml
  13. Ce que moi je comprends, c'est que plus c'est cher, plus l'espace pour des bureaux se fait rare. La loi de l'offre et de la demande... je me trompe?
  14. De plus en plus difficile de vendre Montréal La forte augmentation du dollar canadien a considérablement réduit les avantages concurrentiels qui faisaient de Montréal un lieu privilégié pour implanter ou exploiter une entreprise, a confirmé la semaine dernière une étude de la firme KPMG. Mais au-delà des effets négatifs inévitables de la hausse du huard, Montréal a aussi perdu de ses attraits traditionnels. Le guide Choix concurrentiels que publie tous les deux ans la firme KPMG compare les sites d’implantation des entreprises en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, selon leurs coûts de fonctionnement. Mon collègue Michel Van de Walle a expliqué vendredi dernier les grandes lignes de la plus récente étude, et surtout la grande conclusion qui démontre que Montréal et l’ensemble des villes canadiennes ont perdu, en raison de la progression du dollar canadien, l’avantage qui leur permettait depuis 2002 de figurer en tête de liste du classement des villes où il est le plus avantageux économiquement de s’implanter et d’exploiter une entreprise. Depuis 2002, l’étude de KPMG faisait partie du « kit de base » de tous les organismes québécois de démarchage d’investissements internationaux. C’était bien sûr le document d’évangélisation par excellence de Montréal International. Or, visiblement, les responsables de MI ont trimé dur durant tout le week-end pour tenter de trouver les éléments positifs de la plus récente étude de KPMG afin de ne pas trop dégarnir la trousse de démarchage qu’ils utilisent pour convaincre des investisseurs potentiels d’opter pour Montréal plutôt qu’une autre destination dans le monde. Selon MI, l’étude de KPMG démontre que Montréal offre encore et toujours les frais d’exploitation les plus concurrentiels dans le secteur de la recherche-développement parmi les 20 plus grandes villes du Canada et des États-Unis. Montréal affiche par rapport aux autres villes d’Amérique du Nord un avantage de 15 % sur les coûts en essais cliniques ; de 8,6 % sur les tests de systèmes électroniques ; et de 5,1 % sur les tests en biotechnologie. Il en coûte aussi 5,2 % moins cher à une entreprise de R&D de concevoir un logiciel à Montréal que dans n’importe quelle autre grande ville du continent, en raison de la combinaison des crédits d’impôt en R&D d’Ottawa et de Québec. Mince consolation Si Montréal International fait bien de souligner les derniers avantages qui restent à la grande région de Montréal, une fois escomptés les dommages générés par l’ouragan huard, les ultimes mérites que cherche maintenant à mousser l’organisme ne constituent en fait qu’une bien mince consolation par rapport à ce que Montréal offrait auparavant. Il y a deux ans, Montréal arrivait en tête de liste des villes internationales pour ses avantages fiscaux en R&D. Dans la plus récente étude de KPMG, le Canada a obtenu un score de 92,6 % pour ses avantages-coûts en matière de tests cliniques, mais il a été déclassé par le Mexique (63,9 %), les Pays-Bas (86,2 %) et la France (87,2 %). Il y a deux ans, Montréal déclassait les villes françaises et hollandaises de 30 %, mais la France et la Hollande ont adopté des mesures fiscales qui surpassent maintenant les crédits en recherche-développement que proposent les gouvernements du Canada et du Québec. Selon l’étude de KPMG, il en coûterait 1 % de plus en frais d’exploitation à Bombardier pour établir sa nouvelle usine d’assemblage des CSeries dans une ville comme Kansas City plutôt que dans la région de Montréal, mais si les autorités locales offrent le double de l’aide à l’implantation que sont prêts à accorder Ottawa et Québec, on comprend bien que l’avionneur étudie les options qui s’offrent à lui. Montréal ne peut pas faire grand-chose contre les ravages du dollar canadien, mais il ne faut pas que la région perde les quelques avantages qui lui restent encore. http://argent.canoe.com/lca/chroniqueurs/jeanphilippedecarie/archives/2008/03/20080331-220924.html
  15. ArcelorMittal To Shut Down Montreal Plant On June 30 March 26, 2008 12:21 p.m. EST Montreal, Canada (AHN) - The largest steel manufacturer will shut down its wire factory in Montreal on June 30. Around 100 Canadian workers employed by ArcelorMittal at the Lachine plant are expected to lose their jobs. ArcelorMittal said it had to close the Montreal facility because of high production cost, oversupply of products and the strong Canadian currency. The plant has 153 employees, but only 53 of the workers will be transferred to ArcelorMittal's steel wire mill at Saint Patrick. Alain Robitaille, general manager of ArcelorMittal's wire division, said demand for steel wire among carmakers had declined in the U.S. over the past six years. At the same time, the Canadian dollar had appreciated vis-a-vis the greenback, making it more expensive for American buyers to purchase their steel requirements from Canada. "ArcelorMittal cannot continue operating two wire mills in a context where it is more advisable to operate only one plant," Robitaille told the Associated Press. On March 14, the company petitioned an Ontario court to require its partners in Wabush Mines to sell to the firm their majority share in an iron ore joint venture in Labrador and Quebec. Prior to ArcelorMittal's court petition, U.S. Steel Canada and Cleveland-Cliffs withdrew from negotiations with ArcelorMittal to sell their combined 71 percent share, but did not explain why. http://www.allheadlinenews.com/articles/7010446071
  16. Riverfront plans just keep rolling along Montreal's effort to revitalize once-bustling harbour front into a people place are slowly but surely taking shape HELGA LOVERSEED Special to The Globe and Mail March 25, 2008 MONTREAL -- In the 19th century, Montreal's waterfront was at the heart of Canada's Industrial Revolution. The Lachine Canal, a major component of the waterfront, was lined with factories and warehouses and the St. Lawrence River was the "highway" to the outside world. But by the 1970s, business had moved away. In the 1990s, the waterfront slowly started to reawaken. The Lachine Canal (now run by Parks Canada) was restored and reopened, prompting a flurry of new construction, while some of the 19th and early 20th century commercial and industrial buildings were converted into artists' studios, boutiques and condo lofts. In spite of these developments, there at first was no concrete plan to redevelop the rest of Montreal's waterfront, but that changed in 2002 with the launch of Société du Havre de Montreal. Helped by $1-million of funding from the thee levels of government, the group was charged with the task of coming up with recommendations for developing what is now being dubbed Montreal's New Harbourfront. "We needed an action plan to regenerate the waterfront and to give the river back to the city," recalls Isabelle Hudon, president of Société du Havre and the Montreal Chamber of Commerce. "The goal was to give easier access to the shoreline, to encourage new construction and to introduce a [recreation] element ... so that residents and tourists alike could enjoy the water." The Société du Havre conjured up a wish list of 31 recommendations to be completed by 2025. The estimated cost was daunting: $6.4-billion. The waterfront projects were to include the creation of green spaces, the redevelopment of brownfield sites and rerouting the Bonaventure Highway, which now cuts off the waterfront from the downtown. In 2006, one promising project came and went. Situated in the Peel Basin, it was backed by Loto-Québec and Cirque du Soleil and was to include a soccer stadium, a tramway and a large casino and entertainment complex. The development was cancelled because of pressure from community groups who feared that gambling would lead to further social and economic problems in the arrondissement Sud-Ouest, a working-class residential area that runs back from the waterfront. "It was disappointing when the Peel Basin project fell through," says Daniel l'Africain, a real estate lawyer and president of the 350-member strong Chambre de commerce et d'industrie du Sud-Ouest du Montréal. "Certainly, the plan wasn't perfect, but there is a crying need for new developments. We've already seen how the renovation of the Lachine Canal has boosted business in the area. If the waterfront is developed in the right manner, I'm sure many people will move back from the suburbs into the downtown area to work and live." Although the Peel Basin project has fallen by the wayside, others have popped up on the drawing board. Last November, Montreal developer Devimco, announced plans for Griffintown, which would see the construction of 3,830 residences, 80 retail outlets and a concert hall. Devimco is prepared to spend $1.3-billion over the next 10 years, which would make the Griffintown project, comprising 1.1 million square feet, one of the largest private investments yet in Montreal. Ms. Hudon is focusing on pushing forward two priorities for Montreal's New Harbourfront - upgrading and beautifying (rather than rerouting) the Bonaventure Highway with green space and new signage, and redeveloping the land and buildings owned by the various governments. They comprise the biggest chunk (70 per cent) of unused or underused space on the harbour. Years of bureaucratic wrangling between various government entities had stymied previous attempts to develop these lands and buildings, but last April, Canada Lands Co. (CLC) jumped in and announced that it would purchase and develop six major sites - a total of 4.8 million square feet of federal land - along the St. Lawrence River and the Lachine Canal. CLC will take over two lots at Cité du Havre (currently owned by Canada Mortgage and Housing Corp.), three owned by Transport Canada and a former Canada Post mail processing plant at 1500 rue Ottawa on the north side of the Lachine Canal. "We were more than happy when Canada Lands stepped in," Ms. Hudon says. "CLC's job is to create wealth and generate revenue and now we've got the mandate to pull all the pieces together. Obviously, there's still a lot to be done, but I'm very optimistic that things will finally move forward." The first building slated for a makeover is the Canada Post sorting office and CLC has been sounding out the community to determine how the site could best be redeveloped. "We spent last summer chatting to everyone we could think of, from elected officials to local developers," says Basil Cavis, the Montreal-based general manager of real estate for CLC. "The idea was to lay the groundwork for the formal public consultation process, which will start in [May]. According to Mr. Cavis, several options for the Canada Post property are on the table. A non-descript 1970s building, it was constructed on top of four filled-in loading docks and although it has 500 metres of canal frontage, there's no ready access to the water. The building occupies 40 per cent of the 9.5 hectare site, but it has no heritage value. It could well be demolished and something else built in its place. Among the ideas being bandied about are a canal interpretation centre, restaurants, a hotel, retail outlets and a co-operative for artists. Also on the drawing board are plans to convert a group of concrete silos known as Grain Elevator No. 5, which once served the old Grand Truck Railway, into to an iconic symbol for Montreal, perhaps by creating a museum or some other kind of people place. "There are still many stages to go through," Mr. Cavis says. "We have to look at servitudes, municipal zoning and so on. After that, we will we be able to arrive at some general idea of what type of development will be appropriate for the site." Time will tell which developments will win out. In the meantime, the consultation process this spring will mark the next stage in creating Montreal's New Harbourfront, heralding a turnaround for the city's once bustling waterfront. http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20080325.PRMONTWATERFRONT25/TPStory/Business
  17. C'est donc ça le rendu qu'ils montraient dans Montréal du futur! Reste à voir de quoi aura l'air le revêtement de jour, mais jusqu'à maintenant, c'est vraiment très beau!
  18. Bon! Je ne suis pas fou donc! Ce projet existe depuis cet été, je peux l'assurer. Cet été, dans un autobus (on prend ses sources où l'on peut...), je me suis assis derrière un homme d'affaire qui feuilletait un gros document. Quelque chose avait attiré mon attention et de ma nature curieuse, j'ai regardé par-dessus son épaule et j'ai pu lire le titre de son document, qui ressemblait à «Projet d'envergure - Gare Centrale». J'ai même pu voir un semblant de rendus avant qu'il n'ouvre le document et qu'il n'y ait plus que de l'écriture. Les rendus montraient plus une méga cure de beauté de la grande place de la gare (où ils y a les commerces, par exemple) qu'autre chose, donc je n'ai pas vu de tours... J'avais fait part de ma découverte sur SSP, mais personne n'y avait prêté attention. Content de voir que ce projet est réel et qu'il se travaille depuis l'été passé.
  19. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    J'ai écouté ça à la radio man, ça me fait chier de pas être à montréal fêter ça avec mes chums!! YESSSSSSSSSSSSS GO HABS GO!\!!!!!!!!!!!
  20. Le mardi 01 avril 2008 CHUM: un premier volet à l'été 2009 André Noël La Presse La construction du centre de recherche du CHUM commencera au cours de l'été 2009 le long de la rue Saint-Denis, entre l'avenue Viger et la rue Saint-Antoine, au coût approximatif de 280 millions de dollars en comptant les équipements, ont indiqué hier les responsables du projet au Centre hospitalier de l'Université de Montréal. Il s'agira de la première étape de construction du nouveau CHUM, qui sera érigé juste au nord, de l'autre côté de l'avenue Viger, et qui intégrera les bâtiments existants de l'hôpital Saint-Luc. Le projet total, qui sera réalisé en partenariat public privé, coûtera environ 1,5 milliard de dollars. Le centre de recherche aura une superficie de 46 500 m2 et réunira dans un même lieu les chercheurs actuellement dispersés dans six lieux différents: l'Hôtel-Dieu, l'hôpital Notre-Dame, l'hôpital Saint-Luc, le Technopôle Angus, un bâtiment de la rue Saint-Urbain et MDS Pharma. Il sera en bonne partie construit au-dessus de l'autoroute Ville-Marie et de la ligne de métro numéro 2, mais des experts ont déjà assuré que le problème des vibrations pouvait être surmonté, a indiqué le directeur de la construction du CHUM 2010, Marc Saint-Cyr. Une étude préliminaire, qui sera disponible bientôt, a montré qu'il était possible d'empêcher les vibrations d'affecter les appareils de laboratoire ultrasensibles, a-t-il dit. L'édifice connu sous le nom de Vidéotron, en bordure de l'avenue Viger, appartient déjà au CHUM et sera utilisé pour l'enseignement, a dit le Dr Jacques Turgeon, directeur du centre de recherche. L'édifice des Coopérants, en bordure de la rue Saint-Antoine, sera démoli pour faire place à un nouveau bâtiment. Le nombre d'étages de cet édifice n'est pas encore déterminé, mais il sera inférieur à 18 étages, afin de respecter les règles de zonage municipal. Le verre dominera sur les façades. Près de 1300 personnes travailleront au centre, soit quelque 300 chercheurs cliniciens (des médecins), une centaine de chercheurs formés dans d'autres disciplines que la médecine, des ingénieurs, une centaine de coordonnateurs de recherche, quelque 500 professionnels, techniciens de recherche et employés de bureau, ainsi qu'environ 400 étudiants des niveaux de la maîtrise, du doctorat et du post-doctorat. Le financement des activités du centre de recherche du CHUM a déjà doublé depuis les 10 dernières années. S'élevant désormais à 60 millions de dollars par année, il connaîtra une croissance exponentielle après la construction du nouveau bâtiment, ce qui en fera un des centres de recherche en santé très importants en Amérique du Nord, a dit le Dr Turgeon. Les recherches portent surtout sur six thèmes: le cancer, le syndrome cardio-métabolique; l'infection, l'immunité, l'inflammation; les neurosciences; la santé publique; les maladies musculo-squelettiques. Les contrats en partenariat public privé nécessitent des milliers de pages et des milliers d'heures de discussion. Les firmes de professionnels qui pilotent le projet sont SNC-Lavalin pour la gestion de projet; Bouthillette, Parizeau et associés/Teknika-HBÀ pour le génie mécanique et électrique; CIMA+/Tecsult pour le génie civil et de structure et d'architecture. Le président du conseil du Technopôle Ville-Marie, Me Pierre Marc Johnson, a indiqué il y a deux semaines que trois institutions pourraient s'installer dans ce nouveau Quartier de la santé, soit l'École de santé publique de l'Université de Montréal, les bureaux montréalais de l'Institut national de santé publique du Québec et la Direction de la santé publique du Montréal métropolitain. Me Johnson souhaite que des compagnies privées viennent aussi s'établir près du nouveau CHUM. Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080401/CPACTUALITES/804010638/5077/CPACTUALITES
  21. Ça mérite un fil séparé, il faudrait trouver un rendu.
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