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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Forum économique: Henry Kissinger à Montréal en juin L'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger. Photo: Bloomberg L'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger sera l'un des principaux conférenciers du 14e Forum économique international des Amériques qui aura lieu à Montréal du 9 au 12 juin prochains. Sa présence a été confirmée mercredi main par l'ex-ministre québécois Gil Rémillard, qui est président-fondateur du Forum économique international des Amériques/Conférence de Montréal. M. Rémillard affirme que cet événement est le plus important forum économique annuel et privé à se tenir dans les Amériques. Cette année, le Forum réunira plus de 3000 participants de tous les domaines d'activités tant du secteur privé que public, ainsi que plusieurs délégations internationales qui viendront entendre quelque 160 conférenciers. Ensemble, ils se pencheront sur l'état d'un monde dont les différents pays font de plus en plus face aux mêmes problématiques. L'économie internationale en transition, les perspectives économiques, la crise financière et ses impacts, le développement durable et l'innovation, de même que le financement et le développement des infrastructures feront partie des thèmes abordés. Henry Kissinger, lauréat du Prix Nobel de la paix en 1973, a été secrétaire d'Etat sous les présidents américains Richard Nixon et Gerald Ford. Il aura 85 ans en mai prochain. http://www.lesaffaires.com/article/0/economie/2008-04-09/475598/forum-economique-henry-kissinger-a-montreal-en-juin-.fr.html
  2. Moi j'aime beaucoup le Palais des congrès, les gens sont choqués par le nouveau et pleurnichent pour rien. Pourtant, le palais est un cliché qu'ont voit de plus en plus sur le matériel pour touriste (calendriers, cartes postales, vidéos, etc).
  3. D'un côté on voit que l'île à l'extrème est est développée, et de l'autre côté c'est encore vide... pourtant les deux sont à la même distance du centre ville. Pourquoi on doit renoncer à ces terrains à cause d'une barrière naturelle qu'est la rivière et le manque d'infrastructure... c'est pas correct. Et comme Francely, le dit, pont ou pas, le développement est 3-4 fois plus important dans ces zones là que Montréal... C'est facile pour Montréal de pleurnicher que les gens quittent sans qu'elle ne règle ses problèmes à elle en premier. Vouloir empêcher un pont est juste un exemple pathétique de plus de la manière dont la ville croit qu'elle va gagner la bataille contre la banlieue.
  4. C'est pas illégale à ce que je saches.
  5. En regardant une carte routière je me rends compte que la 25 va devenir l'alternative à Décarie dans l'axe Nord-Sud. La nouvelle 720 Est va aller chercher la 25 et avec le nouveau pont de la 25, plus de niasage de conduire en ville et faire chier les citoyens. Une autre boucle de bouclée.
  6. Je préfère pas mettre des détails ici, disons que quand le CV est en français, et les communications pré-entrevue sont en français... et que le jour de l'entrevue, y a deux clowns unilingue anglophone et l'examen technique en anglais (moins un problème), et que finalement une professionnel en RH me fait comprendre clairement que tout se passe en anglais, ... ça déstabilise pas mal.
  7. Ah ouais! Ça serait bien, mais je doute que ce soit pour le Louis Boheme. Ils n'ont pas fini de creuser...
  8. C'est sûr qu'ils vont payer les travaux, là est pas la question... c'est le patchage qui va suivre, c'est ça qui rend des beaux trotoires, en des trotoires tout croches... c'est ça qui abime le béton en dessous de l'asphalte et qui finit par faire fissuer l'asphalte (nids de poules) après une couple d'hiver. C'est incroyablement stupide.
  9. Je crois qu'il y a une grue sur le chantier... j'ai vu ça du palais, et je ne connais aucune autre grue qui devrait être dans le coin.
  10. 40 milliards c'est pas la mer à boire, enlève couts d'exploitations et profits et il reste que quelques milliards en redevances étalés sur quelques années...
  11. Hé! Le revêtement est donc pour bientôt! Merci pour les photos francely et sjmtl.
  12. La tour présentement respecte en tout point les rendus. La seule différence que l'on peut remarquer, c'est que le revêtement est moins gris qu'il en avait l'air sur les rendus. Si la face sur bleury n'a pas de fenêtres, c'est simplement pour éviter que si il y a un développement futur au coin de sherbrooke et bleury, les habitants n'aient qu'une vue que sur la facade du développement. De plus, l'absence de fenêtres permettait d'utiliser le terrain au maximum et de se coller sur les immeubles voisins.
  13. Montreal trip My brothers have been bugging me for awhile, saying that I needed to go see what Montreal had to offer. So now that my brother, Ryan, is getting married, we decided to take a quick weekend jaunt up there. They weren’t lying, Montreal is a very nice city. The traffic was almost non-existent, the people were cool (for the most part), and the food was delicious. The city seemed very safe. Girls were walking around by themselves early in the morning, and I didn’t feel the least bit worried for them. The food was perhaps one of the best things in the city. I had to try poutine, since Mike Stickel raved about it. I thought it looked extremely gross in pictures and did not seem at all appetizing. We asked the hotel man where the best poutine was in the city and he directed us to a little place, so we took our empty stomachs not knowing to expect. I was weary of the “curd” because I had no clue as to what it would taste like, but all worries were relieved after the first bite. The gravy was absurdly tasty and the curd didn’t have a strong taste. It had a great texture, though, which was pretty close to mozzarella cheese. Why can’t this be part of the menu of American culture? Man, it’s good, really really good. Also, the crepes we had on Sunday morning were choice. They were massive, filled with Nutella and topped with fresh strawberries and bananas. They were excellent and filling. Did I mention filling? We also did a hike up Mount Royal, which was extremely slushy, but, in the end, worth it. The view of the city was excellent, especially since the sun came out and the visibility increased. The slide back down the hill was quite a bit faster. Overall, it was an excellent trip, and I would love to go again when it was a little warmer. It wasn’t too cold (near the mid-50’s for the day on Saturday), but I’m sure it would be an even lovelier city with some things in bloom. You can check out the photo set of the trip here. http://chrisfehnel.com/2008/04/07/montreal-trip/
  14. Taken For A Ride In Montreal Warning: Loyal reader ripped off by taxi driver at Montreal Airport. by Wendy Perrin Frequent globehopper Joe_Kayaker reports that he was "taken for a ride" when he landed at Montreal International recently: "It was late in the evening, the shuttle bus to the Airport Novotel had stopped running at 10:00 p.m., and none of the taxis would take me on such a short trip. Grrr. I finally found a taxi driver who would take me. As we were driving to the hotel, he said he didn't understand why the Novotel was called an "airport hotel," since it's not really that close to the airport. We drove for quite a while, and the ride cost $30. When checking into the hotel, I asked how much a cab ride from the airport is supposed to cost and was told, 'No more than $15.' I overpaid by only 15 bucks (well, Loonies), but how does one avoid being taken in by unscrupulous taxi drivers? Thanks, Joe" Joe, you paid $15 in what I call "tourist tax." I've been taken on circuitous routes and overcharged by cab drivers in many a city -- Cairo, Beijing, Moscow, New York -- but I have to say I'm surprised to hear of this occurring in orderly and lawful Montreal. Here's my test-driven advice for avoiding unscrupulous airport cabbies: 1) Ask the hotel in advance how long a taxi ride it is from the airport and what the cost should be. The Hotel Novotel Montreal Aeroport's web site says it's "just 10 minutes" from the airport and provides a map of the route (see left). 2) Before getting into a cab, ask the driver how much the ride will cost. If he quotes a price higher than what the hotel told you, offer your price. Negotiate and reach an agreement before stepping into the cab. 3) When you arrive at your destination, if the driver demands a higher price than was agreed to, ask for a receipt with the driver's name on it, write down his ID number (make known to him that you're recording it), and take out your camera to snap a picture of him and the car. Often, as soon as you pull out the camera, the driver will drop the price. One more thought: If the hotel has a doorman or bellman, see if he can hold the cab while you notify the front desk that you're in the process of being ripped off. I've never done this myself, but I bring it up because a few weeks ago a hotel in Madrid happened to suggest just this. When I called the Tryp Atocha a few days before my arrival in Spain to confirm my online reservation and find out what the length and cost of a cab ride from the airport should be, the front-desk clerk volunteered that if the driver tried to overcharge I should tell the front desk and they would deal with him for me. I got the impression that they had done so for other guests in the past. Hope this helps, Joe. Always good to hear from you. http://www.concierge.com/cntraveler/blogs/perrinpost/2008/04/taken-for-a-rid.html?mbid=rss_cntperrin
  15. Le président de Rio Tinto fait part de ses projets au Québec 8 avril 2008 - 06h34 La Presse Hélène Baril et Philippe Mercure Agrandir Tom Albanese Le chef de la direction de Rio Tinto, l'Américain Tom Albanese, multiplie les visites au Québec depuis quelques semaines. En rencontre avec des journalistes dans les locaux de La Presse, M. Albanese a précisé les projets du géant britannique envers la province: plus d'aluminium, mais toujours pas de transformation. Le ralentissement américain n'effraie pas Rio Tinto, dit-il, pas plus que les appétits de sa concurrente, BHP Billiton. Forcée de reporter un projet d'aluminerie en Afrique du Sud, Rio Tinto Alcan veut maintenant devancer l'agrandissement de son usine d'Alma pour profiter de la forte demande mondiale pour l'aluminium. «Nous avons l'intention de devancer et d'accélérer l'étude de faisabilité d'Alma 2», a fait savoir lundi le grand patron de Rio Tinto, Tom Albanese, lors d'une entrevue avec La Presse Affaires. L'agrandissement de l'usine d'Alma permettrait de faire passer la production annuelle de 400 000 tonnes à 570 000 tonnes. Il s'agit d'un investissement de plus d'un milliard de dollars qui fait partie des investissements de 2 milliards que l'entreprise a promis de réaliser au Québec d'ici 2016 en échange de la reconduction de ses droits hydrauliques au Saguenay. C'est le report probable du projet de construction d'une méga-aluminerie d'une capacité de 720 000 tonnes par année en Afrique du Sud qui pourrait favoriser la construction de la deuxième phase de l'usine d'Alma. Tom Albanese a expliqué que Rio Tinto Alcan ne peut plus compter sur un approvisionnement en énergie fiable pour son projet d'aluminerie Coega. «L'Afrique du Sud avait des surplus d'énergie qui se sont transformés en pénurie à cause d'une demande très forte.» Cette crise énergétique a poussé la direction de l'entreprise à examiner des solutions de rechange, parmi lesquelles l'aluminerie d'Alma a été retenue, a-t-il précisé. Rio Tinto entreprendra donc les études de préfaisabilité du projet et a l'intention de mener cette étape rondement. «Alma est une des alumineries les plus modernes d'Alcan et se prête bien à une expansion», a précisé M. Albanese. Selon lui, il s'agit maintenant de mettre à jour les coûts de construction de cette expansion, compte tenu de la hausse du prix de l'acier depuis deux ans, et de s'assurer que l'usine a un approvisionnement suffisant en énergie. Selon des informations qui ont circulé, l'usine agrandie pourrait être prête en 2010, mais M. Albanese a refusé hier de donner plus de détails à ce sujet. Inaugurée en 2002, l'usine d'Alma est la plus récente des alumineries du Québec. Pour l'alimenter en énergie, Alcan peut compter sur l'énergie qui sera libérée par la fermeture de deux de ses plus vieilles usines, à Beauharnois et à Shawinigan et sur un bloc supplémentaire d'électricité d'Hydro-Québec octroyé par le gouvernement. L'agrandissement de l'usine d'Alma est la pièce maîtresse de l'entente conclue entre la direction d'Alcan et le gouvernement du Québec en décembre 2006. En vertu de cette entente, Alcan s'est aussi engagée à construire une usine pilote pour mettre à l'essai sa technologie AP 50, qui devrait permettre de réduire encore les coûts de production de l'aluminium. Devenue propriétaire d'Alcan depuis, Rio Tinto assure que tous ces engagements seront respectés. «Le Saguenay est un centre global d'excellence dans la production d'aluminium et nous allons le conserver ainsi.» Pas de transformation En plus de renouveler les droits hydrauliques qu'Alcan possède au Saguenay, le gouvernement du Québec a accepté d'aider l'entreprise financièrement et fiscalement et surtout, il a renoncé à obliger Alcan à investir dans la transformation de l'aluminium. Lundi, le chef de la direction de Rio Tinto Alcan a répété que malgré les efforts faits par Alcan, notamment dans une usine de pare-chocs qui a fermé ses portes, la réalité est que le Québec est situé trop loin des marchés pour ces produits à valeur ajoutée. La disponibilité de l'énergie électrique au Saguenay reste selon lui, le principal avantage comparatif du Québec. «Nous allons bâtir à long terme sur cet avantage, a-t-il dit. C'est bon pour Rio Tinto, c'est bon pour le Québec et c'est bon pour la région.» Rio Tinto Alcan a l'intention de pousser plus loin ses efforts de recherche-développement en matière énergétique, afin de produire plus d'aluminium avec la même quantité d'énergie. Selon Tom Albanese, l'hydroélectricité du Québec - et celle d'Alcan, prendra encore plus de valeur quand le marché accordera un prix au carbone. Avant Alcan, Tom Albanese connaissait le Québec à cause de QIT-Fer et titane, une filiale de Rio Tinto. Située à Sorel, QIT transforme le minerai d'ilménite en pigments de titane utilisés dans toutes sortes d'industries, dont celle de la peinture. Moins connues, ces activités sont néanmoins très importantes pour Rio Tinto, a assuré Tom Albanese, qui en été le responsable entre 2000 et 2004. Quelque 250 millions viennent d'être investis à l'usine de Sorel pour lui permettre de traiter le minerai de la nouvelle mine d'ilménite de Rio Tinto située à Madagascar. C'est aussi à Sorel que Rio Tinto a concentré toutes ses activités de recherche-développement en matière de titane. Quel ralentissement mondial? À l'heure où l'économie américaine s'embourbe et les experts évoquent la possibilité d'une récession mondiale, le grand patron de Rio Tinto dit dormir sur ses deux oreilles. C'est qu'il prévoit qu'à l'autre bout de la planète, l'appétit des Chinois pour ses métaux continuera d'être fort. «Nous ne planifions pas ralentir le rythme de nos activités au cours de l'année. Nous voyons une forte demande internationale pour nos produits, et cela inclut l'aluminium» a lancé lundi Tom Albanese en entrevue à La Presse Affaires. Le chef de la direction de Rio Tinto a même évoqué la fameuse théorie du «découplage» des économies, selon laquelle les Chinois n'attrapent plus nécessairement la grippe chaque fois que les États-Unis toussent. «Nous serions d'accord avec la théorie du découplage, a dit Tom Albanese. Je ne dirais pas que cela veuille dire que la Chine est complètement isolée des États-Unis, mais je dirais qu'il y a un tampon entre les deux.» En allocution devant le Cercle canadien de Montréal, M. Albanese a ajouté lundi que l'essor de l'économie chinoise ne dépend plus des exportations vers les États-Unis. «Il est maintenant dicté par la demande interne résultant de l'industrialisation et de l'urbanisation», a-t-il dit. «Aussi importants que soient les États-Unis dans l'économie mondiale, leur influence sur la demande internationale de métaux et de minéraux n'est plus ce qu'elle était», constate le dirigeant. Dans sa boule de cristal, M. Albanese voit le PIB chinois grimper encore de 10% cette année. «Oui, cela représente une baisse de la croissance si on considère le chiffre très fort de 11,5% en 2007. Mais c'est quand même 10% suffisamment fort pour poursuivre la croissance de la demande globale pour tout ce que nous produisons.» Question de bien faire comprendre son message, M. Albanese a rappelé qu'en 2006, les Chinois avaient consommé environ le quart de l'aluminium mondial. Un an plus tard, cette proportion est passée au tiers. En cette période de volatilité des marchés, le chef de la direction de Rio Tinto a invité à «prendre du recul, inspirer profondément et évaluer la situation d'ensemble». Il admet que bon nombre d'investisseurs inquiets ont laissé tomber leurs actions de produits de base au cours des dernières semaines pour se tourner vers les obligations et le marché monétaire, ce qui a créé des «pressions considérables». «Néanmoins, le prix de la plupart des marchandises que produit Rio Tinto demeure à un niveau que n'aurions même pas espéré il n'y pas si longtemps», a-t-il dit. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080408/LAINFORMER/804080675/5891/LAINFORMER01
  16. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    Regular season is history, so is losing streak to Montreal Bob DiCesare BostonNOW Correspondent There's an old saying in sports that if you want to be the best, you've got to beat the best. That theory applies to the Bruins, who face their long-time nemesis, the Montreal Canadiens, in the first round of a best-of-seven playoff series starting Thursday. If statistics mean anything, there's definitely a David-vs.-Goliath mentality to this matchup. First-place Montreal has had the Bruins' number this season. The B's were handily outscored by the Habs, 39-16, lost all eight regular-season games against them, and have lost 11 straight dating back to last season. Boston has also lost 23 of 30 playoff series to Montreal in their history. "We have to slay the dragon, so to speak," said Bruins general manager Peter Chiarelli. "We have to play a methodical, opportunistic game, and in the playoffs anything can happen. It is a seven-game series. "I don't mind being the underdog," added Chiarelli. "We've been the underdog all year, when people picked us to finish last. We're in that role again." Veteran defenseman Aaron Ward described personal experiences in putting a spin on the Bruins' current plight. "When I was with (Stanley Cup winner) Carolina two years ago, Edmonton eked into the playoffs and made it to the finals," said Ward, who also won two Cups with Detroit. "I have seen teams who've had somebody's number in the regular season, but it's character and fortitude that shows through in the post-season. "It's Game 1 of a new season. The fact that (Montreal) has had our number all year makes for a great series. It's a divisional matchup, it's going to be a physical series. Things will change because it is the playoff season." Goaltender Tim Thomas was a key reason why the Bruins reached the post-season, but he feels as if the B's had already arrived there. "We've been fighting for our playoff lives for a while now," said Thomas. "Going down the stretch, we won a lot of games to get us into the playoffs. We should be proud of ourselves. Do we want to do more damage? Yes. It's great to be taking that next step. Eighty-two games of work got us to this point. I think that will help us to be battle-tested." Coach Claude Julien has taken a more philosophical approach to the Bruins' playoff matchup against Montreal. "I think everybody wants to have a global outlook of the fact that 11 in a row we haven't beaten them," he said. "The numbers that come up to me is the last two games that we played them. "The 4-2 game (March 20 at home), I thought we played them head-to-head and they got a couple of lucky breaks that was the deciding factor. The last game in Montreal (March 22) was decided in a shootout (3-2 loss). There are no more shootouts (in the playoffs). It's going to be overtime, five-on-five, so I think we played better against them most recently. That's what I'm going to look at more." "It's another challenge presented to this team," added Ward. "We haven't achieved success against them in the regular season. It's time to turn over a new leaf and find some success. Time to look deep within yourself, find those intangibles, and bring them out now." http://www.bostonnow.com/sports/bruins/2008/04/08/regular-season-is-history-so-is-losing-streak-to-montreal
  17. Ils étaient ici depuis 2003, ils font juste ajouter du monde. En passant, c'est incroyable qu'ils ne respectent pas la loi 101 dans leur processus d'embauche, qui soit dit en passant est une vraie farce (je parle d'expérience).
  18. C'est vrai mais c'est pas mieux non plus si y'a des fuites sous le boulevard...
  19. criss, c'est ca qui creusait l'autre jour... et moi qui pensait que c'était fini. Sérieusement, ça va tout abimer!!! 40 TROUS!!!!!!!! 40 Patchs!
  20. SAP Labs est à Montréal grâce à Québec Même si la Grande-Bretagne accuse le Canada de pratiques commerciales déloyales avec tous les crédits d'impôts que les provinces accordent à l'industrie du jeu, le premier ministre du Québec, Jean Charest n'y voit rien de mal. "Si on regarde ce qui se fait, on se rend rend compte que tous les pays le font, a-t-il déclaré en marge d'une conférence de presse pour souligner l'agrandissement des installations de SAP Labs à Montréal. Et nous le faisons en respectant les règles établies." Le dernier budget de la ministre Forget prévoit des crédits d'impôts de l'ordre de 30% sur les salaires des entreprises des technologies de l'information. "Avec le ralentissement économique, le gouvernement du Québec a instauré des crédits d'impôts pour que les compagnies investissent dans les TI", a rappelé le premier ministre. Québec a investi des sommes d'argent considérables dans l'expansion des locaux de SAP Labs, situés dans la Cité du Multimédia à Montréal, qu'on pense seulement aux crédits d'impôts qui ont été octroyés. Même chose pour la Ville de Montréal, dont le maire Gérard Tremblay y voit le résultat des grappes industrielles, concept cher à cet ancien ministre de l'industrie, du commerce et de la technologie, sous le gouvernement Bourassa au début des années 1990. "SAP contribue à la prospérité de la ville de Montréal" a souligné le maire Tremblay. Qu'une compagnie de renommée internationale soit implantée à Montréal, c'est à cause de la main d"œuvre hautement qualifiée, mais aussi "des frais d'exploitation qui y sont moindres que dans d'autres pays", a rappelé le maire. Bien entendu, des sociétés comme SAP Labs recherchent les meilleures conditions financières. Et c'est ce qui s'est produit à Montréal, où la création de centaines d'emplois n'aurait pas été possible, sans les partenariats entre les deux palliers gouvernementaux, a précisé le pdg de SAP Canada, Robert Courteau. Le développeur de solutions logicielles pour entreprises comptait 85 employés en 2003 à Montréal. Aujourd'hui, le laboratoire de recherche et de développement de SAP emploie plus de 400 personnes. Alors, que la Grande-Bretagne s'en plaigne ou non, les crédits d'impôts et autres mesures favorables à l'implantation de sociétés étrangères au Québec sont là pour rester. http://benefice-net.branchez-vous.com/actubn/2008/04/post_1.html
  21. Bon on a manque les deux premiers phases sur la rue Cote-Vertu... voici la phase 3. http://www.jardins-montpellier.com/ La grue de loin: Les voisins avec un potentiel sur le terrain adjacent: On voit la grue du projet sur Deguire de loin: Ce qu'il y a autour:
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