Aller au contenu
publicité

mtlurb

Administrateur
  • Compteur de contenus

    18 765
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Allez donner votre opinion, surtout pour ce qui est de "la protection des vues sur la montagne" et de l'interdication complète de l'automobile sur la montagne... ridicule comme proposition. http://www2.ville.montreal.qc.ca/ldvdm/jsp/ocpm/ocpm.jsp?laPage=formppmvmr.jsp
  2. Le futur centre-ville dans la mire des experts Des universitaires se prononcent par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 16 mars 2008 à 5:34 Soyez le premier à commenter cet article La station de métro Montmorency, la tête de pont de transport autour duquel s'articule le développement du futur centre-ville. (Photo: Martin Alarie) Fichier: Station Montmorency Le futur centre-ville dans la mire des experts Des universitaires se prononcent Les universitaires Jacques St-Pierre, Paul Lewis et Gérard Beaudet posent tous un regard critique à l’égard du pôle Montmorency autour duquel s’articule le centre-ville qui a toujours fait cruellement défaut à Laval. Sollicités par le Courrier Laval, tous s’entendent pour dire qu’il importe de densifier l’habitat urbain au pourtour d’une station de métro afin de rentabiliser ces infrastructures de transport en commun implantées au coût de centaines de millions de dollars. En pareil cas, la règle d’or en matière d’urbanisme tient en trois lettres: TOD. Il s'agit d'un acronyme de l’expression anglaise Transit Oriented Development désignant une mixité d’usages à la fois résidentiel, institutionnel et commercial à haute densité et dont l’accès et les déplacements favorisent les modes alternatifs à l’automobile autour d'un pôle de transports collectifs (voir autre texte à la page A4). Un concept qui guide d’ailleurs les actions de l’administration municipale dans la foulée de la revitalisation des vieux quartiers avoisinant les stations de métro de la Concorde et Cartier. Gaspillage Pourtant, à un jet de pierre à l’ouest de la station terminale Montmorency, un développement commercial s’étend sur un seul niveau en plus de prévoir plus de 800 cases de stationnement au niveau de la rue. «Je pense qu’on n’a pas compris le message, puisqu’on favorise toujours un modèle traditionnel d’espace commercial avec l’auto comme pivot», lance Jacques St-Pierre, titulaire de la chaire SITQ immobilier et professeur à l'école des sciences de la gestion de l'Université du Québec à Montréal (UQÀM). «Dans le monde entier, les stations [de métro] polarisent une densité d’occupation. Le secteur résidentiel a compris ça en construisant en hauteur, mais il faut que le commercial et l’institutionnel fassent de même. Ils n’ont pas le choix, autrement c’est du gaspillage d’espace, d’investissement et d’énergie urbaine. Faut que ce raisonnement-là s’installe!» poursuit M. St-Pierre. Directeur de l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, Gérard Beaudet abonde dans le même sens, à savoir la nécessité de développer un nœud très dense directement sur la tête de pont. «Aussitôt qu’on sort du méga îlot, on est dans du très standard avec des bâtiments commerciaux d’un seul étage et beaucoup de stationnements.» M. Beaudet déplore que l’effet de nœud de transport s’estompe aussi rapidement: «Le principe vise à créer un marché pour le transport en commun et l'intermodalité à mobilité douce, de préférence en mode piétonnier dans un périmètre de 400 mètres». Pas d’intérêt pour y vivre Même son de cloche du côté de Paul Lewis, urbaniste commercial de l’Université de Montréal, spécialisé en revitalisation des artères commerciales et des centres-villes: «C’est un peu paradoxal de prétendre faire un TOD et en même temps faire autant de stationnements.» Ce dernier rappelle qu’une meilleure utilisation de l’espace commandait un stationnement étagé aérien ou souterrain. «Si la seule chose qu’on peut faire c’est du stationnement, ça prouve simplement qu’il n’y a pas d’intérêt pour les Lavallois de vivre à côté d’une station de métro», en déduit M. Lewis. Il en donne pour preuve le projet en copropriété d’Urbania dont la mise en chantier remonte à 2003 et qui voisine directement avec la station Montmorency. «Ça ne lève pas!» dit-il, ajoutant que ceux qui choisissent de s’établir à Laval le font pour l’espace et le terrain que procure la banlieue. «Quant à vivre tassé [près d’une station], aussi bien d’aller vivre sur le Plateau, dans la Petite-Italie, près du marché Jean-Talon ou dans le Mile End», enchaîne l’enseignant universitaire, faisant valoir que ces quartier montréalais offrent un voisinage, une qualité de vie et un environnement nettement plus stimulant que du stationnement à perte de vue et toute la circulation que cela implique. Toujours selon Paul Lewis, «le marché pour la forte densité, ce n'est pas en banlieue qu'on le trouve, mais dans les quartiers centraux». http://www.courrierlaval.com/article-193423-Le-futur-centreville-dans-la-mire-des-experts.html
  3. Autour de la métropolitaine aussi ça s'est développé en masse, c'est loin d'être élégant comme autoroute, mais ça fait pas fuir les tours à bureaux et les résidences.
  4. 4000 depuis janvier?? c'est rien ça. Tu fais n'importe quel pétition et tu peux ramasser plus de signatures. En passant Étienne, personne est obligé de vivre près de la Décarie, c'est pas un pays communiste ici, preuve tu n'y habites plus, et tu y a sûrement habité parceque ça te convenait à l'époque pour quelconque raison (prix, proximité, ...).
  5. Merci à Christopher Wolf pour la photo... une autre photo de la densité.
  6. Voici le "désastre" Décarie... une vieille photo quand même mais qui montre comment la densité s'est construite de chaque côté de l'autoroute. T'est tu au moins sorti une fois de ton HOMA?
  7. Merci pour l'avertissement. Duely noted. On peut passer à autres choses?
  8. Un nouveau casino, comme celui qui à été annulé... dommage. Mais il va y avoir une annonce à un moment donné pour le nouveau casino, le projet est pas annulé just déplacé un peu.
  9. C'est une confirmation que Montréal avec le casino actuel n'est plus vraiment une attraction pour touristes...
  10. Come on francely, ma photo c'est au moins 2-3 fois la densité Mais sérieusement, 300 personnes (estimation généreuse) s'est pointé pour le tintamarre... ça va changer quoi
  11. Désolé mon cher rocco, mais le produit fini respecte parfaitement le rendu que les gens vénéraient. Produit fini, d'ailleurs, qui ne sucite aucune mauvaises critiques de l'extérieur, sauf peut-être à propos de son nom. Pour finir, mon cher rocco, je n'ai jamais dit qu'on ne pouvait pas changer d'idée.
  12. Si je comprends bien, le projet est au sud du canal, sur les terrains de l'ateliers du CN, donc ce n'est pas le Village Griffintown OU lui, mais il y a la possibilité de voir les deux? En passant, 40% de HLM!!! heu... je sais pas là... Et ils ont consulté un seul architecte... j'ai hâte de voir le résultat. Village griffintown en a 25 venant de Londres, Montréal et toronto. J'attend plus de détails.
  13. Un fil existe déjà pour ce projet. http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=1479&highlight=de+la+savane
  14. Oui... Mais je me suis dis que les appartements devaient appartenir à l'hôtel et que si ça semblait vide, c'est parce qu'on n'était pas dans la saison touristique. En fait, j'en ai aucune idée, mais je justifiais le fait que tout semblait mort dans la tour (tous les rideaux des chambres de l'hôtel sont fermés, et tout est ouvert en haut, dans les appartements).
  15. mtlurb

    Montréal vs. Toronto

    C'est impossible, il y a pas de gens intelligents chez les souverainistes!! de la foutaise.
  16. il y a une redevance qui va au gouvernement un certain pourcentage de la valeur de ce qui est extrait... en plus il y a un impot sur les profits. Mais les redevances c'est un petit pourcentage, je vais dire n'importe quoi, peut etre 5 a 15%.
  17. MONTREAL (AFP) - Canada: une manne gazière dans la vallée du fleuve Saint-Laurent D'importantes réserves de gaz naturel viennent d'être découvertes dans la vallée du Saint-Laurent, au coeur de la zone la plus densément peuplée du Québec, représentant une manne potentielle de plusieurs dizaines de milliards de dollars. La société américaine Forest Oil, basée à Denver, dans l'Etat du Colorado, a annoncé cette semaine les résultats de tests préliminaires sur un territoire de 1.100 kilomètres carrés entre Montréal et Québec, où elle détient des droits de prospection. Le groupe évalue à 116 milliards de mètres cubes le potentiel de ce gisement, un pactole potentiel de 40 milliards de dollars au cours actuel du gaz naturel et qui pourrait n'être que la partie visible de l'iceberg. Après cette annonce, la capitalisation des groupes gaziers québécois Gastem et Junex, qui détiennent des droits dans la vallée du Saint-Laurent et sont associés à Forest Oil, a doublé en moins d'une semaine. "Nous détenons plus de 900.000 acres (3.600 kilomètres carrés) dans la vallée du St-Laurent... Si tout se confirme, comme Forest Oil l'anticipe, c'est certain que nos terres vont prendre de la valeur", jubile Dave Pépin, membre de la direction de Junex. Les tests de Forest Oil ont été réalisés dans un bassin géologique formé de schistes argileux. "On connaît depuis de nombreuses années ces schistes gazeux. La nouveauté tient au fait que Forest Oil et ses partenaires ont documenté qu'il restait encore des quantités significatives de gaz naturel dans cette roche", explique André Lavoie, chercheur à la Commission géologique du Canada. Dans un schiste argileux, le gaz n'est pas concentré dans une poche, comme dans les réserves conventionnelles, mais est présent de manière diffuse dans la roche, ce qui complique son extraction. Aux Etats-Unis, notamment au Texas, des compagnies exploitent le gaz naturel de schistes argileux, grâce au développement de techniques leur permettant de fracturer la roche pour en libérer le gaz avant de l'agglomérer et de le pomper. "Les annonces et la frénésie actuelles sont basées sur une nouvelle approche d'exploration pour les hydrocarbures au Canada. Ce nouveau type de réserves est exploité aux Etats-Unis depuis de nombreuses années", dit M. Lavoie, à la tête d'un vaste projet de recherche visant à évaluer "d'ici un an" l'ensemble des ressources en hydrocarbures de l'Est du Canada. "La production de gaz des sols argileux est minime au Canada, tandis qu'aux Etats-Unis elle est mature. Aujourd'hui, les entreprises appliquent au Canada, là où elles le peuvent, les techniques développées aux Etats-Unis", explique Chris Theal, analyste chez Tristone Capital. Le Canada est le troisième producteur mondial de gaz naturel, mais l'exploitation des ressources conventionnelles commence à décliner, d'où l'intérêt croissant pour ce nouveau filon. "Forest Oil a mis en lumière le potentiel de cette ressource. Mais il y a encore du travail afin de comprendre les caractéristiques du réservoir, la façon de fracturer la roche... Ces éléments seront clefs pour assurer le développement économique de la ressource", estime M. Theal. Celle-ci intéresse déjà le grand groupe pétrolier albertain Talisman, qui détient 3.200 kilomètres carrés dans la vallée du Saint-Laurent et qui, selon une porte-parole, prévoit de réaliser des forages cette année dans la région pour en évaluer le potentiel. Forest Oil souhaite quant à lui commencer la production dès 2009. http://www.la-croix.com/afp.static/pages/080407095923.h5yi7e71.htm
  18. Casino à Tremblant Les jeux sont faits Une mort embarrassanteNotre article du jeudi 3 avril 2008 C'est en présence du ministre Raymond Bachand, entre autres, que Loto-Québec a confirmé dimanche l'implantation d'un casino à Mont-Tremblant. En plus du ministre du Développement économique, le président de Loto-Québec, Alain Cousineau, était présent à la conférence de presse. Le maire Pierre Pilon et des représentants du milieu économique local étaient aussi conviés par Loto-Québec. L'annonce avait d'abord été prévue pour le 4 avril dernier. Elle avait été annulée à la suite du suicide d'un client du Casino de Montréal, à proximité de la maison de jeu, deux jours plus tôt. De nombreux citoyens de Mont-Tremblant ne veulent pas de casino dans leur communauté. Les retombées économiques et touristiques d'une maison de jeux de hasard peuvent néanmoins être considérables. Les trois casinos du Québec ont généré un bénéfice net de 275 millions de dollars en 2006-2007. Chaque année, les trois casinos du Québec accueillent en moyenne 10,5 millions de visiteurs et font vivre 5500 employés. Le nouveau casino à Mont-Tremblant devrait générer la création de 175 emplois additionnels.
  19. Comment les gens devraient voyager selon étienne: http://www.chilloutzone.de/files/08040701.html
  20. Nah.... ça change pas le fait qu'il faut des gens pour acheter les 2000 unités dont tu parles. Ça prends 2 pour danser. Si les gens n'en voulait pas vraiment en banlieu, la demande se serait essoufflée depuis très longtemps.
×
×
  • Créer...