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  1. Fin de la dégringolade économique? - Les Américains se mettent à rêver Éric Desrosiers Édition du jeudi 26 mars 2009 De nouvelles statistiques meilleures que prévu font imaginer aux Américains que la dégringolade de leur économie pourrait bientôt toucher à sa fin. Les analystes avaient prédit une poursuite du déclin des ventes de maisons neuves et des commandes de biens durables par les entreprises aux États-Unis. Les statistiques officielles dévoilées hier les ont fait mentir. Au lieu de baisser de 2,9 % comme on s'y attendait, les ventes de logements neufs ont augmenté au mois de février de 4,7 % par rapport au mois précédent. L'inventaire de maisons invendues est maintenant à son plus bas niveau depuis juin 2002. Les commandes de biens durables des entreprises n'ont pas reculé de 2,5 % non plus, du mois de janvier au mois de février. Elles ont, au contraire, augmenté de 3,4 %. L'état du secteur immobilier revêt une importance particulière aux yeux des spécialistes à cause de son rôle central dans le déclenchement de la crise actuelle, et parce que l'on ne pense pas qu'une reprise économique durable soit possible aux États-Unis sans que ce secteur se stabilise. Les commandes de biens durables sont, quant à elles, considérées comme une mesure du niveau d'investissements des entreprises. On y retrouve, notamment, les achats de métaux, de machinerie, d'équipements de transport, ou encore de matériel informatique. Avant leur remontée du mois de février, ces commandes avaient subi six baisses mensuelles consécutives. Le département américain du Commerce a aussi révélé hier que les inventaires des entreprises avaient diminué de 0,9 % en février. Si on additionne cette baisse à celle de 1,1 % observée en janvier, on obtient le plus important recul en deux mois depuis 2003. Ces données sont, elles aussi, porteuses d'espoir parce qu'on se dit qu'il faudra bien qu'il y ait une certaine reprise de la production une fois que les entrepôts seront vides. Surprise! On a aussi été surpris, lundi, d'apprendre une remontée de 5,1 % en février de la revente de maisons existantes. Le gouvernement a révélé le lendemain que le prix des maisons avait augmenté en janvier pour la première fois en dix mois. On avait rapporté, peu de temps avant, une stabilisation des prix à la consommation, une légère remontée de la confiance, une amélioration des résultats financiers des banques, ainsi que le début d'un certain réveil de la Bourse. Cette dernière a accueilli hier avec bonheur les nouvelles statistiques sur les ventes de maisons neuves et les commandes des entreprises. En forte hausse à la mi-séance, les indices de Wall Street ont toutefois brusquement piqué du nez à l'annonce d'une émission de bons du Trésor à long terme à un taux plus élevé que prévu rappelant la menace que fait peser l'explosion de la dette publique. L'ambiance est malgré tout revenue à l'optimisme en toute fin de journée, l'indice Dow Jones gagnant 89,94 points (1,17 %), à 7749,81 points, et le S&P 500 se hissant de 7,63 points (0,95 %), à 813,88 points. Plus influencé par cette histoire d'obligations gouvernementales ayant du mal à trouver preneur et par une baisse des cours du pétrole (à 52,77 $US le baril), le coeur de la Bourse de Toronto a, quant à lui, tout juste basculé du côté négatif, son indice S&P/TSX retraitant de 51,95 points (- 0,59 %), à 8797,44 points. Nuances Les analystes ont été rapides à apporter des bémols aux nouvelles statistiques dévoilées hier. Après tout, il était assez facile, en février, de connaître de meilleures ventes de maisons neuves que le mois précédent, janvier ayant été marqué par les pires chiffres depuis la première publication de ces données en 1963. Et que dire des prix de vente qui sont retombés à leur niveau de 2003 et continuent de reculer? La même chose pourrait être dite sur la hausse des commandes des entreprises en février, les chiffres de janvier ayant été atroces (-7,3 %) et la tendance lourde restant fortement baissière (-28,4 % depuis un an). Il n'est pas impossible que la chute de l'économie américaine commence à ralentir et qu'elle finisse par s'arrêter quelque part durant l'année, ont répété hier plusieurs analystes. Mais «le niveau d'activité économique demeure très faible, et le PIB réel devrait afficher d'autres décroissances», a estimé hier Francis Généreux, économiste principal au Mouvement Desjardins. Le produit intérieur brut (PIB) américain a reculé d'un impressionnant 6,2 % en rythme annualisé au dernier trimestre de 2009. Le premier trimestre de 2009 s'annonce presque aussi «lugubre» avec un taux de décroissance avoisinant les 5 %, a estimé Stéfane Marion, économiste en chef au Groupe financier Banque Nationale. Mais «le deuxième trimestre de l'année semble vouloir être moins mauvais».
  2. L’immobilier va mieux. Vraiment? Richard Dufour, LaPresseAffaires Le printemps s’annonce chaud pour les agents immobiliers en Amérique du Nord. Du moins, les nouvelles pointent en ce sens. Aujourd’hui, on apprend que le prix des maisons a augmenté en janvier par rapport à décembre. C’est la première fois depuis un an qu’une hausse mensuelle est enregistrée aux États-Unis. Lundi, on apprenait que les ventes de logements existants aux États-Unis avaient rebondi en février. Ajoutons à cela la décision de la Fed mercredi dernier de débloquer jusqu’à 300 milliards pour acheter des obligations à long terme, ce qui entraîne une baisse des taux d’intérêt à long terme, et tous les éléments sont présents pour un printemps prometteur. Le bas prix des maisons dans plusieurs marchés favorise certainement une chasse aux aubaines. La prudence est toutefois de mise en raison, entre autres, des pertes d’emplois aux États-Unis. Mais aussi parce que de nouveaux nuages se pointent pour les trois prochaines années. Le reportage ci-dessus présenté par l’émission 60 Minutes une semaine avant Noël nous rappelle qu’il faut demeurer sur nos gardes. Dans ce reportage, on nous dit qu’une deuxième vague de propriétaires en détresse risque de faire surface. Des hypothèques avec un taux initial très bas ont été accordées dans les dernières années. Après quelques années, le taux de ces hypothèques augmente, ce qui hausse les mensualités. Il semble que beaucoup d’hypothèques de ce type vont changer de taux en 2009, 2010 et 2011. Cette situation pourrait provoquer une autre secousse dans le marché, selon le reportage de CBS.
  3. Des centaines de maisons vendues 1000$ aux enchères Le 9 mars 2009 Associated Press New York Des centaines de maisons, certaines partant d'un prix de 1000$, ont été vendues dimanche aux enchérisseurs les plus offrants dans l'agglomération de New York, leurs propriétaires ne parvenant plus à faire face aux remboursements de leurs emprunts, d'après la société qui a organisé la vente. «Il n'est pas courant de voir autant de maisons saisies ou vendues à New York comme dans le reste du pays qui a été beaucoup plus durement touché» a commenté Robert Friedman, dirigeant d'Irvine, la société californienne de vente immobilière à l'origine de cette opération. «Il semble qu'ailleurs on a construit excessivement, plus qu'ici». La société organise ce mois-ci des ventes immobilières sur saisies en Georgie, dans le Colorado, à Puerto Rico, dans le Minnesota et le Michigan. Plus de 1000 personnes ont participé à ces enchères, avec des offres faites sur Internet pour les 350 appartements, duplex et maisons familiales à saisir à New York et en Pennsylvanie. Certains logements avaient été vandalisés, inondés ou détériorés par l'humidité, mais la perspective de bonnes affaires a attiré des acheteurs. Des manifestants étaient aussi venus dénoncer la vente, au cri de «Les expulsions sont criminelles. La prochaine fois ce sera votre maison». «Ces gens profitent de la misère des autres» a commenté une manifestante, Sharon Black, qui espérait sauver son domicile de Baltimore malgré une faillite personnelle.
  4. Immobilier: «la traversée du désert achève» Le Devoir Éric Desrosiers Édition du mardi 17 février 2009 Mots clés : marché, crise financière, Immobilier, Économie, États-Unis (pays) Selon la Banque Nationale, le marché américain est sur le point de rebondir Une parcelle de la ville de Homestead, en Floride, vue des airs en janvier. La dégringolade du marché immobilier dure depuis 30 mois déjà et le recul moyen du prix des maisons totalise maintenant 25 %. Historiquement, la reprise dans le secteur immobilier précède de trois à six mois la remontée du marché du travail et la reprise de l'économie tout entière. Cause première de la crise financière et économique en cours, le marché immobilier américain est sur le point de rebondir, prédit la Banque Nationale, laissant entrevoir un retour de la croissance économique avant la fin de l'année. «La traversée du désert achève», assure Yanick Desnoyers, économiste en chef adjoint à la Banque Nationale Groupe financier, dans une analyse du marché immobilier aux États-Unis dévoilée hier. «On assiste actuellement à un réel retour du balancier. Les incitations économiques actuelles sont telles qu'elles devraient avoir raison de la morosité des ménages.» Il faut dire que la dégringolade du marché immobilier dure tout de même depuis 30 mois déjà et que le recul moyen du prix des maisons totalise maintenant 25 %. Il finit toujours par y avoir une limite jusqu'où peut tomber n'importe quel secteur économique, rappelle l'analyse de six pages. Cette limite semble avoir été atteinte dans le secteur immobilier aux États-Unis. Une offre que l'on ne peut refuser L'analyse de la Banque Nationale observe, notamment, qu'après s'être envolé vers la stratosphère au tournant du millénaire, le prix médian des maisons existantes s'est considérablement dégonflé au cours des deux dernières années et demie au point d'être redescendu à son niveau d'équilibre à long terme établi à 2,9 fois le revenu médian des ménages. Réduits à répétition pour faire face à la crise, les taux d'intérêt sont aussi à leur plus bas niveau. L'addition de ces deux facteurs a pour effet de propulser l'indice d'accessibilité de la propriété à un niveau inégalé, poursuit le document d'analyse. «Avec un versement initial de 20 %, il n'existe plus aucune différence entre louer ou acheter un logement au prix médian.» Cela signifie qu'au moins 10 millions de ménages locataires sont aujourd'hui susceptibles d'accéder à la propriété. Il est vrai qu'au même moment les entreprises mettent à pied des employés à pleine porte, admet la Banque nationale. Mais même la mise au chômage de 2 %, voire 4 % des travailleurs en laisserait un bon nombre avec un emploi et un revenu. De plus, la croissance démographique continue d'amener la formation aux États-Unis d'une moyenne de 1,2 million de nouveaux ménages chaque année. Or, le niveau de mises en chantier s'est effondré de 75 % durant la crise et n'est plus aujourd'hui que de 500 000 unités par année. Il n'est donc pas étonnant qu'après avoir culminé à 11 mois, le délai moyen avant qu'une maison unifamiliale à vendre trouve un acheteur soit rapidement redescendu dernièrement à 8,7 mois. «Cet indice du stock de maisons disponible pourrait continuer de descendre très très vite dans les prochains mois, ce qui amènera une relance de la construction», a expliqué hier en entretien au Devoir Yanick Desnoyers. L'ensemble de ces facteurs pourrait amener une stabilisation du prix des maisons et la relance de la construction résidentielle dès cet été, estime l'auteur de l'analyse. «Tous les secteurs économiques connaissent des cycles, a-t-il ajouté. Au-delà de tous les plans d'aide et de relance des pouvoirs publics, il n'est que normal qu'après presque trois ans de récession, le secteur immobilier finisse par toucher le fond et commence à rebondir.» Quand la construction va... Une reprise dans le secteur immobilier serait de très bon augure pour l'économie américaine, note la Banque nationale. Après tout, c'est l'éclatement de la bulle immobilière qui a provoqué la chute des hypothèques à risque (subprimes), qui a elle-même contaminé les fameux papiers commerciaux adossés à des actifs (PCAA) avec les autres conséquences que l'on sait. «Si l'adage dit: "quand la construction va, tout va", c'est parce que c'est le secteur aux plus grands effets de débordement sur le reste de l'économie», a rappelé Yanick Desnoyers. Historiquement, la reprise dans le secteur immobilier précède de trois à six mois la remontée de marché du travail et la reprise de l'économie tout entière. Cela signifie que l'économie américaine devrait commencer à reprendre de l'altitude avant la fin de 2009, estime l'économiste, bouclant l'ensemble de l'année par un recul du produit intérieur brut (PIB) de 1,5 % et se dirigeant vers une croissance de 2,4 % en 2010. À ceux qui trouveraient que ce retour de la croissance aux États-Unis n'est pas aussi élevé qu'on pourrait l'espérer, Yanick Desnoyers dit qu'il n'y a pas que les banques ou les entreprises qui devront se remettre de leur fort niveau d'endettement, il y aura aussi les consommateurs. Aux autres qui penseraient, au contraire, qu'il pèche par excès d'optimiste. Il rappelle qu'il n'y a pas que la gravité de la crise qui est exceptionnelle. «L'ampleur de la réponse des pouvoirs publics a aussi été sans précédent. On n'avait jamais vu les banques centrales réagir avec une telle vigueur et avec un pareil synchronisme. L'importance des plans d'aide au secteur financier et du plan de relance économique du président Obama est aussi très impressionnante. Tout cela aura un effet. Qui sait, peut-être que dans 12 mois nous ne parlerons plus de la crise, mais de tout à fait autre chose, comme de la menace d'inflation.» http://www.ledevoir.com/2009/02/17/234260.html (17/2/2009 5H20)
  5. Un nouveau salon de l'habitation à Montréal Publié le 13 février 2009 à 11:53:49 | Mis à jour à 11:58:30 Marie-France Léger La Presse Alors que la morosité économique s’est installée, voici qu’un nouveau salon de l’habitation voit le jour, réunissant 50 constructeurs immobiliers sur un total de quelque 200 exposants. Au Stade olympique, le salon Habitat Ville et Banlieue, du 12 au 15 mars, présentera au public, sous un même toit, une centaine de nouveaux projets immobiliers de ville, aussi bien à Montréal, sur la couronne nord et la Rive-Sud. «Je suis très optimiste, affirme le vice-président de l’événement, Robert Yelle. À Montréal, il n’y avait pas de plateforme pour les acheteurs de maisons neuves.» Les projets présentés seront de type condos – surtout à Montréal – et des maisons unifamiliales et en rangée, pour la banlieue. Selon M. Yelle, les visiteurs n’auront pas moins de 15 000 nouvelles unités d’habitation à se mettre sous la dent. Il s’agit d’un salon extrêmement ciblé réunissant seulement des promoteurs et des entrepreneurs spécialisés. Un speed dating nouveau genre Quelque 50 000 visiteurs sont attendus pour discuter avec des constructeurs d’habitations et experts du milieu. Le salon opte pour une formule tout à fait nouvelle où les promoteurs eux-mêmes rencontreront les visiteurs à l’occasion de rencontres rapides, telles les speed dating, de l’habitation, qui auront lieu le samedi et dimanche. «J’ai une dizaine de promoteurs pour le moment. Ils vont rencontrer les acheteurs potentiels pendant une dizaine de minutes et, à la cloche, on change !» souligne Robert Yelle. Au salon Habitat Ville et Banlieue, en une seule visite, les acheteurs potentiels en sauront davantage sur le marché immobilier et sur les nouveaux produits et matériaux directement reliés à la construction ou à la rénovation. Des maisons vedettes seront montées pour l’occasion dont la maison ADCOM, une maison éco-énergétique, un concept d’habitation abordable à haut rendement énergétique, avec fabrication en atelier des panneaux mariant composantes écologiques et conventionnelles. Dans un tout autre style, on pourra également visiter une maison préfabriquée en béton de type manoir européen de la compagnie Géo-Metrix Precast Canada, d’une étanchéité à toute épreuve. Des constructeurs très importants participent à ce premier rendez-vous dont Groupe Cholette, Voyer et Tremblay, ADCOM Construction inc., Corporation Proment, Construction Rheault, Samcon, Développements immobiliers F. Catania & associés inc. et Géo-Metrix. _______________________ Le salon Habitat Ville et Banlieue ouvre ses portes jusqu’à 21 h du jeudi au samedi les 12, 13 et 14 mars, mais ferme à 17 h le dimanche 15 mars. Coût d’admission des visiteurs : 14 $ (adultes). Il est possible de payer un forfait de 20 $ pour ce salon et le salon Chalets et maisons de campagne, qui se déroule du 19 au 22 février au Stade olympique.
  6. Le prix des maisons risque de baisser * Hugo Joncas, Les affaires * 10:10 Banque Laurentienne prévoit une baisse de 5 % du prix des habitations sur une période de deux ans. Ça y est : les économistes n'écartent plus une baisse du prix des maisons au Québec. L'automne dernier, ils avaient prévu une stagnation des prix, mais la récession américaine est plus grave que prévu, la situation pourrait donc se corser. "Si les pertes d'emplois se poursuivent, que la confiance des ménages reste faible et que la morosité économique continue d'inciter à la prudence, ça pourrait baisser", dit Hélène Bégin, économiste au Mouvement Desjardins. Mme Bégin, qui vient de publier une mise à jour sur le marché immobilier, pense que le prix des maisons au Québec pourrait baisser d'au plus 5 % si la situation économique ne s'améliore pas en cours d'année. Le scénario principal de Mme Bégin mise cependant sur une stabilisation des prix, sans baisse. Valeurs mobilières Banque Laurentienne est plus pessimiste. Dans une note publiée le 16 janvier, Sébastien Lavoie prévoit une baisse de 5 % du prix des habitations sur une période de deux ans. "Quand il y a une récession au Québec, il y a une baisse du prix des maisons", écrit l'économiste. Consolez-vous, il y a pire ailleurs dans le monde. En Irlande, Morgan Kelly, un économiste du University College Dublin, craint que la chute des prix de l'immobilier dans l'île atteigne 80 %
  7. Les prix des maisons ont dégringolé au Canada 26 janvier 2009 - 13h17 La Presse Canadienne La morosité économique et la perte de confiance des consommateurs ont fait dégringoler le prix des maisons au quatrième trimestre au Canada, selon les dernières statistiques de la firme Royal Lepage. Selon la firme immobilière, les ventes ont également chuté au Canada au cours du quatrième trimestre. Royal Lepage a indiqué que le prix moyen des maisons uni-familiales a chuté de 4,8 % au pays à 319 640 $. Le prix moyen d'un condominium a dévissé de 5,2 % à 233 230 $ et le prix d'un duplex de 6,3 % à 376 140 $. Certains villes, comme Regina et Saint-Jean de Terre-Neuve, ont vu le prix des maisons se majorer d'au moins 10 % mais dans les villes plus importantes comme Edmonton, Toronto, Calgary et Vancouver, les prix ont baissé. A Montréal, le prix des maisons uni-familiales a gagné 1,2 % à 261 372 $, celui des duplex a baissé de 2,2 % à 334 850 $ et celui des condos a cédé 1,3 % à 200 284 $. A Ottawa, la tendance est à la hausse pour toutes les catégories de résidences. Le prix des maisons uni-famiales s'est majoré de 4,1 % à 321 333 $, les condos de 5,2 % à 207 167 $ et les duplex de 3,5 % à 317 083 $. Royal Lepage soutient que la situation devrait s'améliorer pour les vendeurs en 2009 en raison des faibles taux d'hypothèque et des efforts des divers ordres de gouvernement pour relancer l'économie vacillante.
  8. Quelque 3,1 millions de procédures de saisies immobilières ont été engagées ou ont abouti en 2008 aux États-Unis, ce qui a concerné un ménage américain sur 54. Pour en lire plus...
  9. Le secteur immobilier canadien devrait résister à un effondrement similaire à celui que connaissent les États-Unis, selon Royal LePage qui ne prévoit qu'une baisse moyenne de 3% des prix des maisons. Pour en lire plus...
  10. Le gérant de fonds, accusé d'une fraude de 50 milliards de dollars, est assigné à résidence et doit porter un bracelet électronique. Il doit aussi mettre ses maisons en garantie. Pour en lire plus...
  11. Le prix des maisons a chuté de 10 % au Canada Devoir Le Édition du mardi 16 décembre 2008 Les ventes ont diminué de 42 % en novembre par rapport à l'année dernière Vancouver -- Le prix des maisons a chuté de près de 10 % à travers le Canada et les ventes ont diminué de 42 % en novembre, comparativement à la même période l'an dernier. Selon l'Association canadienne de l'immeuble (ACI), 27 743 maisons ont été vendues en novembre dans tout le pays. Cela représente une chute de 12,3 % par rapport à octobre et «le plus bas niveau atteint depuis janvier 2001 pour les activités mensuelles». En octobre, les ventes avaient chuté de 14 % par rapport au mois précédent. De telles baisses d'un mois à l'autre n'ont pas été observées depuis 1989, «alors que l'on entrait dans la dernière récession immobilière», a affirmé l'économiste en chef de l'ACI, Gregory Klump. Ce dernier croit que le climat de récession et le resserrement des marchés du crédit sont en cause. La plus importante baisse des ventes annuelles a été observée en Colombie-Britannique, où elles ont chuté de 62 %. L'économiste estime que ce plongeon des ventes de maisons se traduit par au moins 2,8 milliards $ en moins dans les dépenses liées à l'achat d'une nouvelle maison. Les ventes de maisons ont totalisé 7,9 milliards au Canada en novembre, une chute de 11,7 % par rapport au mois précédent et le plus bas niveau depuis le mois de janvier 2004, selon l'ACI. Prêts hypothécaires Une partie du problème lié à la baisse des ventes de maison s'explique par la difficulté à obtenir des prêts hypothécaires, selon M. Klump. La semaine dernière, la Banque du Canada a émis un avertissement selon lequel les prêts hypothécaires et les défauts de paiements des consommateurs pourraient «augmenter significativement» si la crise financière mondiale se détériorait davantage. «Les bilans des ménages se ressentant de la faiblesse des marchés boursiers, du recul des prix des maisons, du tassement de la progression des revenus et du niveau record où se situe le ratio de la dette au revenu, il est possible qu'un ralentissement très prononcé de l'activité économique entraîne une hausse importante du taux de défaillance sur les prêts aux ménages», a écrit la Banque du Canada. Selon l'institution, le nombre de «ménages vulnérables» -- les 3 % de Canadiens dont le ratio du service de la dette dépasse 40 % -- pourrait doubler d'ici la fin de l'an prochain, en considérant le scénario le plus pessimiste. La Banque explore dans son document cinq grandes sources de risque qui pèsent sur le système financier canadien, dont celui découlant de l'endettement des ménages. Selon les économistes de la banque centrale, cet endettement des ménages constitue un canal par lequel un choc extérieur pourrait se propager à l'ensemble du système financier au pays. La Banque du Canada a toutefois pris la peine de mentionner que même si l'endettement accru des ménages constituait pour le système financier canadien une source de vulnérabilité qui devait faire l'objet d'une surveillance étroite, il ne fallait pas exagérer l'importance de ce risque.
  12. Le marché canadien de la revente résidentielle a fini par subir de plein fouet les contrecoups de la tempête économique et financière. Pour en lire plus...
  13. Ventes de maisons: plus bas niveau depuis 2001 15 décembre 2008 - 11h57 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Pendant plusieurs mois, le marché immobilier canadien a tenu bon alors que partout aux États-Unis et en Europe les voyants étaient tous au rouge. Mais la panne immobilière semble bel et bien avoir atteint le marché canadien alors que les ventes de maisons existantes ont atteint 27 743 logements en novembre dernier en baisse de 12,3% face au mois d’octobre de cette année. Selon l’Association canadienne de l’immeuble qui a dévoilé ces chiffres, il s’agit du niveau de ventes le plus bas depuis janvier 2001. Partout, les résultats se présentent à la baisse. Par rapport aux ventes enregistrées en octobre, l’activité désaisonnalisée a notamment baissé dans 85% des marchés résidentiels canadiens. Du côté des prix, le contexte est moins clair. Moins de la moitié de tous les marchés ont rapporté une baisse annuelle du prix moyen résidentiel. Le prix moyen national des maisons vendues en novembre a chuté de 9,8% par rapport à l’année dernière. La baisse nationale fait surtout mal aux marchés de la Colombie-Britannique, de l’Alberta et de l’Ontario. «Le marché de l’habitation reflète la réalité économique que vit le Canada », a affirmé le président de l’ACI, Calvin Lindberg. Le marché canadien est donc plus de fragile que par les mois précédents. L’Association souligne notamment que l’activité résidentielle à la baisse depuis le début de l’année se traduit par une réduction de 2,8 G$ en retombées entraînées par la diminution des dépenses de consommation. «Par contre, rappelons que le Forum économique mondial a reconnu les banques canadiennes comme étant les banques les plus solides au monde et que le Canada est le seul pays du G8 à ne pas accuser un déficit », poursuit l’ACI.
  14. La panne immobilière semble bel et bien avoir atteint le marché canadien alors que les ventes de maisons existantes en novembre ont été en baisse de 12,3% face au mois d’octobre. Pour en lire plus...
  15. Aux portes du Québec, la tempête économique a fini par provoquer une chute en vrille de 31% des ventes de maisons existantes dans la région de Montréal, en novembre. Pour en lire plus...
  16. Chute des ventes résidentielles à Montréal 9 décembre 2008 - 10h06 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Montréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée. C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin. Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide. «Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour. Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisée contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face». Toutefois, comme elle le souligne, Montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens. Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la Métropole québécoise. Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier.
  17. La récession mondiale n'aidera pas le marché de la revente résidentielle au Canada, dont le nombre de transactions chutera de 15% en 2008 et stagnera en 2009. Pour en lire plus...
  18. Les reventes de logements anciens aux États-Unis ont été en nette baisse en octobre, chutant de 3,1% par rapport à septembre, pour s'établir à 4,98 millions à un rythme annuel. Pour en lire plus...
  19. Il s'agit du niveau le plus bas depuis juillet 2002. C'est ce qu'a annoncé vendredi l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  20. Jusqu'à 75 milliards de dollars. L'équivalent de la valeur de toutes les maisons vendues dans le Grand Montréal depuis 2000, et même plus. Pour en lire plus...
  21. Le prix des maisons augmente de 5% en 2008, une situation qui contraste avec les autres villes canadiennes. Pour en lire plus...
  22. Les ventes des maisons existantes en hausse 15 octobre 2008 - 11h38 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Les ventes des maisons existantes a été hausse en septembre, le prix en baisse. Les ventes des maisons existantes ont augmenté en septembre alors que les acheteurs se sont empressés d’acheter de l’immobilier avant que les conditions de crédit se resserrent. Selon l’Association canadienne de l’immeuble, les ventes ont été en hausse de 25 680 unités ou 3% par rapport au mois précédent. Cette hausse est explicable selon l’Association par un flux d’acheteurs importants qui souhaite accéder à la propriété avant les nouvelles mesures gouvernementales. En juillet dernier, les conditions des prêts hypothécaires ont été resserrées. Ainsi, pour avoir accès à l’assurance hypothécaire, les nouveaux acheteurs doivent signer une hypothèque étalée sur 35 ans ou moins avec une mise de fonds de départ d’au moins 5% de la valeur de la propriété. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Une chute des prix moyens est donc à prévoir selon l’association. «Dans certains marchés résidentiels cossus du Canada, la chute des prix sera plus importante que les autres hausses de prix que subiront les autres marchés, et elle continuera à faire baisser le prix moyen national d’ici la fin de l’année et jusqu’en 2009», indique l’économiste en chef de l’ACI, Gregory Klump. Encore et toujours les principaux coupables, les turbulences qui secouent les marchés financiers mondiaux et le recul de la croissance économique, ont un impact sur le secteur.
  23. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Le prix moyen devrait continuer à descendre, selon l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  24. La bulle immobilière est-elle sur le point d'éclater? 30 septembre 2008 - 17h24 Collaboration spéciale Maurice Marchon De janvier 2002 à août 2008, le prix moyen des maisons existantes s’est accru de 71 % au Canada, de 106 % à Calgary, de 102 % à Montréal, de 100 % à Vancouver et de 36 % à Toronto. Après six ans d’augmentation du prix des maisons, les gens continuent d’acheter en croyant à tort que la tendance à la hausse se poursuivra ou du moins se stabilisera. Une façon de déterminer s’il y a une surévaluation ou encore une sous-évaluation du prix des maisons existantes consiste à vérifier la relation à long terme entre le prix moyen de revente des maisons existantes et le revenu personnel disponible par habitant. À très long terme, l’augmentation du prix des maisons ne peut pas s’éloigner systématiquement de celui du revenu personnel disponible par habitant. Cette relation est de même nature que la relation entre les dépenses de consommation et le revenu personnel disponible. Toute déviation exagérée des dépenses de consommation financées par l’emprunt devra tôt ou tard s’ajuster à cette contrainte de long terme. On ne peut pas dépenser systématiquement plus que l’on gagne! C’est pourtant exactement ce qui s’est passé au Canada au cours des dernières années: le prix moyen des maisons existantes s’est accru beaucoup plus rapidement que le revenu personnel disponible par habitant. De plus le gouvernement, via la SCHL, a mis de l’huile sur le feu en accordant des programmes sans mise de fonds et en permettant aux consommateurs d’amortir leurs prêts hypothécaires sur 40 ans. Ces nouveaux programmes ont stimulé le marché immobilier permettant à des gens qui n’avaient pas nécessairement les moyens de devenir propriétaire. Du premier trimestre de 2002 au deuxième trimestre de 2008, le revenu personnel disponible par habitant s’est accru de 29,5 % comparativement à 73,3 % pour le prix moyen des maisons existantes (graphique 1). On notera également, que cette déviation a été moins marquée aux États-Unis puisque au cours des six ans qui ont précédé le sommet du prix des maisons de juin 2000 à juin 2006, le revenu personnel disponible a bondi de 26,5 % comparativement à 49,3 % pour le prix moyen des maisons existantes. Cela veut dire que les ménages canadiens ont emprunté encore plus massivement pour investir dans l’immobilier. En effet, au deuxième trimestre de 2008, l’endettement (passif) des ménages canadiens en pourcentage du revenu personnel disponible a atteint un sommet de 137,6 % et dépasse maintenant celui des ménages américains qui est tombé à 133,9 % après avoir atteint un record de 139,1 % au 4e trimestre de 2007. Certains propriétaires pourraient avoir une surprise lorsque viendra le temps d’effectuer un refinancement pour consolider leurs dettes alors que le prix des résidences serait à la baisse. On se retrouvera dans la même situation que les américains avec un prêt garanti par une hypothèque immobilière supérieure à la valeur de cette résidence fournie en garantie. Tout semble correct aussi longtemps que les prix des maisons montent, tout comme ce fut le cas aux États-Unis, en Espagne, en Irlande et en Grande-Bretagne. Cependant, lorsque les prix baissent, ceux qui ont acheté au sommet du marché et ceux qui ont refinancé leur hypothèque pour accroître leurs dépenses de consommation se trouveront en difficultés financières. Par ailleurs, le nombre de maisons offertes sur le marché augmente au moment même ou le comportement pro-cyclique des banques les incite à resserrer leurs critères de financement. C’est ce qui s’est passé aux États-Unis comme le montre l’évolution du prix moyen de revente des maisons existantes aux États-Unis comparativement au Canada. Le graphique 2 présente l’évolution des indices de prix moyen des maisons existantes normalisé à 1,0 en janvier 1980. Cette normalisation à 1,0 n’entraîne pas de distorsion puisqu’en janvier 1980 le prix moyen des maisons était très semblable dans les deux pays (62 200 $CAN au Canada comparativement à 68 200 $US aux États-Unis). Le prix des maisons existantes (graphique 3) a commencé à diminuer dans la région métropolitaine de Calgary (-8,2 % en août 2008 par rapport à l’année précédente), à Vancouver (-5,2 %) et dans l’ensemble du Canada (-4,1 %), alors que les prix continuent d’augmenter dans la région métropolitaine de Montréal (+6,8 %) Lorsque les prix baissent, le potentiel de déclin est aussi accentué par le fait qu’au cours des dernières années les promoteurs immobiliers ont augmenté l’offre de maisons neuves à des niveaux supérieurs aux besoins à long terme. Les graphiques 4 et 5 présentent l’évolution des mises en chantier au Canada et aux États-Unis par rapport à leur tendance à long terme. On voit très bien qu’au cours des dernières années les nouvelles constructions ont été bien supérieures aux besoins à long terme. Lorsque les prix baissent, les mises en chantier et la construction résidentielle s’effondrent contribuant ainsi au ralentissement de l’activité économique et aux pertes d’emplois. Le processus est déjà bien avancé aux États-Unis alors qu’il est à peine commencé au Canada. Avec le temps, la situation se rétablit puisque chaque trimestre de mises en chantier en-dessous de la demande à long terme contribuent à éponger l’excédent de maisons neuves et existantes sur le marché. Cela prépare aussi la voie à une reprise éventuelle de la construction résidentielle et du prix des maisons. C’est un processus douloureux pour ceux qui n’ont pas été assez prudents, mais il n’est jamais trop tard pour prendre les mesures nécessaires pour assainir sa situation financière. On peut éviter le pire en réduisant ses dépenses de consommation et en remboursant plus rapidement ses dettes, notamment sa marge de crédit personnel et ses cartes de crédit. Graphique http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/bulle_speculative_oct_2008.pdf
  25. La question touche beaucoup de propriétaires de maisons: est-ce que la bulle spéculative de l'immobilier résidentiel au Canada va éclater sous peu ? Pour en lire plus...
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