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  1. mtlurb

    Centropolis Laval

    La TD s'établit au centre-ville de Laval Et y concentre une partie de sa force de frappe québécoise 25 septembre 2007 Par Jean-François Barbe (25/09/2007 - 07:21) Le Groupe Financier Banque TD a inauguré hier un centre d'affaires au Centropolis, au centre-ville de Laval. La deuxième plus grande ville du Québec concentre une part de plus en plus importante des activités québécoises de la banque torontoise. Le centre d'affaires comptera un planificateur financier, un conseiller en placement et deux directeurs de comptes pour les PME. On y trouvera également une succursale de services bancaires commerciaux de 14 employés dédiés à la clientèle de Laval et de la Rive-Nord, ainsi qu'un bureau de courtage à escompte de TD Waterhouse. En outre, dès la fin d'octobre, la Banque ouvrira au Centropolis un centre d'appels TD Assurance Habitation et Auto qui comptera 150 employés. Depuis les trois dernières années, la TD a ouvert sept nouvelles succursales à Laval et sur la Rive-Nord. TD Canada Trust dit que deux autres succursales seront bientôt ouvertes dans la région, soit à Boisbriand et à Ste-Rose.
  2. Contrat de 316M$US pour Bombardier Transport 24 septembre 2007 | Denis Lalonde, LesAffaires.com La société belge Angel Trains Cargo a passé une commande de 225 millions d’euros (316M$US) à Bombardier Transport. La commande vise 60 locomotives électriques Bombardier Traxx destinées aux marchés au trafic transfrontalier sur différents corridors européens, notamment entre l'Autriche et la Hongrie, et entre la Suède et la Norvège. Le contrat prévoit également des options sur un nombre indéterminé de locomotives supplémentaires. La présente commande porte à 160 le nombre de locomotives Traxx commandées par Angel Trains Cargo. Bombardier dit s'attendre à ce que "l'exercice des options soient imminent à la suite des discussions concluantes de contrats de location qui sont en cours présentement". L'usine de Bombardier à Kassel, en Allemagne, prendra en charge la production finale des locomotives multisystèmes et à courant alternatif, tandis que celle à Vado Ligure, en Italie, a été choisie pour l'assemblage des locomotives à courant continu. Les caisses seront fabriquées à l'usine de Bombardier à Wroclaw, en Pologne, les bogies à l'usine de Siegen, en Allemagne, et les systèmes de propulsion et contrôle seront fabriqués à Mannheim, en Allemagne également. A la Bourse de Toronto, lundi, le titre de Bombardier a gagné 9 cents, soit 1,5 pour cent, terminant à 5,89 $. (Avec la PC)
  3. Pont de la 25 Grogne et joie à la fois Jean-Maurice Duddin Journal de Montréal 25/09/2007 07h11 Honni et décrié par les environnementalistes mais souhaité et attendu par les résidents et industriels de l'est de Montréal et de Laval, le pont de la 25 a suscité hier la grogne et la joie qu'il suscite depuis que Québec veut le réaliser. André Porlier, du Conseil régional de l'environnement de Montréal, qui a intenté une procédure judiciaire pour forcer Québec à reprendre les audiences du Bureau des audiences publiques en environnement (BAPE), s'insurgeait hier contre le fait que le gouvernement ne respecte pas le processus judiciaire. Mais au-delà de ce reproche, le groupe environnementaliste en a aussi contre le projet de pont en soi. «L'autoroute 13 a été construite en 1976 pour décongestionner l'autoroute 15. Dix ans plus tard, les deux autoroutes étaient congestionnées. Ce sera la même chose avec le pont de la 25. Et loin de réduire les gaz à effet de serre (GES), un nouveau pont va les augmenter.» La ministre des Transports, Julie Boulet, réplique que tout le processus a été rigoureusement suivi et que le volume de véhicules a augmenté de 250% depuis les années 1970. Le président-directeur général de l'Association du camionnage du Québec, Marc Cadieux, qui regroupe 80% de l'industrie de 150 000 véhicules, est heureux de la perspective que ça va augmenter la fluidité,mais déplore le péage. Guerre politique Si le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, s'est réjoui de l'annonce de ce pont qu'il réclame depuis des élections, il y va autrement du maire de Montréal, Gérald Tremblay. Son administration est contre sa réalisation. Elle préconise plus les solutions de transport collectif et la modernisation de la rue Notre-Dame. Selon des sondages, 80% des résidants de l'est de Montréal et de Laval sont favorables au pont, même en sachant qu'il sera à péage.
  4. Tremblay est un gros loser, il est fini... un autre exemple, son absence remarquée à l'annonce de l'autoroute 25.
  5. Contrat de 450 M$ US pour Bombardier 25 septembre 2007 - 09h18 LaPresseAffaires.com Agrandir Le biréacteur d'affaires Challenger 300 de Bombardier.. Grossir caractèreImprimerEnvoyer Bombardier (BBD.B) a obtenu une commande ferme de 20 biréacteurs Challenger 300 par le transporteur aérien californien Xojet pour un montant de 450 M$ US. Xojet a également pris des options pour 60 autres appareils, pour une valeur de 1,35 G$ US. Il s'agit de la plus grande commande unique de biréacteurs Challenger 300 de toute l'histoire de Bombardier, précise le constructeur aéronautique québécois. Bombardier prévoit livrer les biréacteurs au quatrième trimestre de l'exercice financier 2008. [/url] Xojet vend des avions d'affaires privés, en crédit-bail ou à la demande à une clientèle de grans voyageurs d'affaires. «C'est un grand jour pour Bombardier», a commenté le v-p principal Ventes de Bombardier Avions d'affaires, Jahid Fazal-Karim. «Après évaluation approfondie des avions de la même catégorie, Xojet a choisi l'appareil Challenger 300 pour sa supériorité en matière de confort en cabine, de fiabilité et de performances.» «Bombardier a mis en oeuvre une méthodologie sans précédent pour la conception du biréacteur Challenger 300. Le résultat est l'un des biréacteurs d'affaires les plus populaires jamais lancé», a indiqué le PDG de Xojet, Paul Touw.
  6. Lancement de la deuxième phase du Campus Bell 25 septembre 2007 - 06h20 La Presse Les sociétés immobilières Canderel et Proment lancent aujourd'hui (mardi) la construction de la deuxième phase du Campus Bell Canada, à L'Île-des-Soeurs. On y trouvera ainsi la plus grande concentration de grues de la région de Montréal. La porte-parole du Campus Bell Canada, Megan Johnson, confirme en effet que les promoteurs vont annoncer ce matin la mise en chantier de la deuxième phase, en plus de faire le point sur la première. En fait, l'excavation du terrain pour ce deuxième chantier de Bell est commencée, comme peuvent le constater les automobilistes qui circulent à proximité de la pointe nord de l'île, entre le pont Champlain et l'autoroute Bonaventure. Des travailleurs ont par ailleurs amorcé en fin de semaine dernière le montage de la cinquième grue stationnaire du chantier. La partie verticale de la grue est déjà montée et on achèvera la partie horizontale au cours des prochaines heures. Au total, jusqu'à huit grues devraient bientôt participer à cette phase, selon des sources. La deuxième phase de construction Bell ne comprendra qu'un seul immeuble mais ses grands locaux pourront tout de même accueillir 1200 employés, à partir du printemps 2009. Les trois premiers immeubles de six à huit étages de la première phase, d'un total de 550 000 pieds carrés, permettront de leur côté à Bell de regrouper 3000 de ses employés à son nouveau campus de L'Île-des-Soeurs, à partir de l'automne 2008. Après 100 ans, Bell quittera ainsi le centre-ville de Montréal et laissera vacants quatre immeubles de plus de 500 000 pieds carrés. Une troisième phase du campus Bell demeure possible, pour 1200 autres employés, mais elle demeure conditionnelle à plusieurs éléments et rien n'a encore été décidé, déclarent des sources. Travaux de la Ville Bell a exigé que les promoteurs Proment et Canderel, respectivement propriétaire des terrains et responsable des travaux, s'assurent d'obtenir des améliorations considérables au réseau routier avant de lancer leur projet. La Ville de Montréal s'est engagée à réaliser les travaux. Le comité exécutif de la ville a d'ailleurs accordé, le 15 août dernier, des contrats de plus de 27 millions pour aménager de nouveaux accès à la partie nord de l'île, directement au campus Bell. Ainsi, la circulation sur la principale partie de l'île ne devrait pas être perturbée. Grand intérêt de Proment La société Proment est d'ailleurs elle-même intéressée à ces aménagements puisqu'elle vient de mettre en vente les unités de sa nouvelle tour résidentielle Vistal II, dont la construction commencera dès la semaine prochaine, confirme le vice-président au développement et à la construction, Louis-Joseph Papineau. Les deux tours du Vistal nécessitent des investissements de 160 millions, pour 320 condos. Surtout, Proment travaille au lancement l'an prochain du Quartier sur le fleuve, un projet de 1800 logements (condos, maisons de ville, lofts, logements locatifs, magasins), d'une valeur de 600 millions, à réaliser à proximité du campus Bell. Tant le campus Bell que Le Vistal et le Quartier sur le fleuve doivent respectés les critères des immeubles verts et être certifiés LEED (Leadership in Energy & Environmental Design). Jonathan Wener et Samuel Gewurz, respectivement président de Canderel et de Proment, doivent participer à la conférence de presse de ce matin, ainsi que Michael Fortier, ministre fédéral des Travaux publics, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et le président de Bell, Michael Sabia. Les actionnaires de Bell ont approuvé vendredi dernier la vente de l'entreprise centenaire à Teachers (la caisse de retraite des enseignants de l'Ontario), au prix de 51,7 milliards.
  7. Plus ça continue, plus je crois fermement que ce projet ne se réalisera pas avec Tremblay à la barre de Montréal. Lui il ne veut pas d'autoroute, Québec en veux un... et qui pait la facture? Vous avez votre réponse. Je crois que Québec attends le remplacent de Tremblay pour aller de l'avant avec l'autoroute.
  8. Super bien dit WestAus. Je veux rajouter que les gens pour le développement du système routier ne demandent pas des autoroutes complètement neuve comme je sais pas la... 17 ou la 11 (j'invente), mais plutôt de complèter ce qu'on a commencé il y a belle lurette. Toutes nos autoroutes ont étés construits dans les années 60-70, il y avait 2.5 fois moins d'autos, c'est sur qu'elles sont maintenant super congestionnés et ce sans compter qu'elles sont mal conçus et incomplètes. La 440, 720 et 640 sont des voies de contournement qui ne le sont pas. La 13, 19 et 25 ne vont nul part! La 15 et 30 sont interrompus... ce qui fait que la seule autoroute de la région de montréal qui est réellement complète (la 40) est toujours surchargée à toute heure de la journée!
  9. c'est une bonne idée ça! Très originale.
  10. Bravo, bon j'ai ben hâte de voir la construction commencer!! Espérant que ce soit le premier pont de plusieurs à venir.
  11. et il y a aussi un beau pont ferroviaire, qui ressmble à Victoria.
  12. Un beau pont c'est celui de Lachapelle, un mini jacques cartier.
  13. Siemens Canada unveils Combino Plus® light rail vehicle model to Montreal Region World class enviro-friendly light rail vehicle boasts comfort-of-use design and accessibility MONTREAL, Sept. 24 /CNW/ - Siemens Canada Limited - Transportation Systems - a world leader in light rail transit technology - is proud to announce the introduction of the new Combino Plus model. On display at Olympic Stadium today, the world class, environmentally friendly light rail vehicle (LRV) offers a wealth of features designed to provide passengers with a safe and comfortable ride and a cost and energy-efficient operation, making it the ideal LRV of choice for Canadian cities. Cutting edge design for ultimate passenger comfort Through Siemens' global leadership and commitment to continual research and development, the new, double articulated Combino Plus, sets a new standard for LRVs and has already surpassed expectations in cities around the world including Lisbon, Portugal, Budapest, Hungary and soon Tel Aviv, Israel. The model boasts numerous passenger-friendly features including an optimized seating layout allowing greater passenger capacity and space than existing LRVs, resulting in improved rider comfort. Design specifications including vehicle length, width, different line voltages and configuration with multiple vehicles, assure optimum efficiency with demand-oriented design. Improved safety features include 100 per cent low floor with no steps, two wide double doors per compartment, impact buffers and hand rails, grab bars and stanchions for standing passengers - all ensuring safe, easy and quick access. Also, the enclosed cab provides a safe work environment for operators. Meeting the vehicle of tomorrow Recently as part of the "TTC Streetcars of Tomorrow" exhibit at the CNE in Toronto, visitors were able to tour the Combino Plus and experience the vehicle's many benefits first-hand. Today, officials from the Montreal region will have an opportunity to experience the key features of the Combino Plus, - environmentally friendly, safe and comfortable - and the vehicle's clear superiority within the LRT category. "We want the leaders of this region to experience the uniqueness of the Combino Plus for themselves," says Mario Péloquin, director, business development, Siemens Canada Limited - Transportation Systems. "With its internationally proven record of success, combined with its consumer-friendly design and most advanced features of its kind, we believe it is a natural choice for the future projects in Montreal and region." Protecting the environment for future generations In addition, the Combino Plus offers environmentally friendly features including its advanced regenerative braking technology. This enables the streetcar to return power to the overhead line as it brakes, lowering energy consumption as compared with other vehicles with conventional braking systems, thereby protecting the environment for the future. The added plus: Siemens' tradition and experience Siemens has been designing and building Light Rail Vehicles for more than 125 years. With its wealth of knowledge and experience, Siemens has considerably advanced and refined the technology throughout the years - from the standard-setting launch of the first Combino in 1996, to the current, trend-setting Combino Plus being introduced now in Canada. Today, the Combino Plus combines all of the benefits in an optimized design principle based on welded steel body construction, tested and certified for quality and performance. "The result is the Combino Plus - safe, reliable and attractive, and truly our next generation's mass transit vehicle," concludes Péloquin. About Siemens in Canada ----------------------- Siemens is one of the largest and most diversified companies in the world, providing innovations in areas such as automation and control, power, transportation, medical, information and communications, and lighting. Sales for fiscal 2006 were Euros 2.3 billion. In Canada, Siemens is headquartered in Mississauga, Ontario, with more than 7,500 employees located in 76 offices and seven major manufacturing facilities. Combino Plus is an internationally registered trademark of Siemens AG. Media: NB: The Combino Plus can be previewed at 3:00pm Monday, September 24th at Olympic Stadium, Parking level B1. To RSVP for preview or for additional information, visuals or an interview, please contact DL Leslie, Siemens Canada Tel.: (905) 819-5926, E-mail: dl.leslie@siemens.com. This press release may contain forward-looking statements based on the beliefs of the management of Siemens Canada Limited and its affiliates. The words "anticipate," "believe," "estimate," "forecast," "expect," "intend," "plan," "should," and "project," are used to identify forward-looking statements. Such statements reflect the management's current views with respect to future events and are subject to risks and uncertainties. Many factors could cause the actual results to be materially different, among others, changes in general economic and business conditions, changes in currency exchange rate and interest rates, introduction of competing products, lack of acceptance of new products or services and changes in business strategy. Actual results many vary materially from those projected here. Siemens Canada Limited and its affiliates do not intend or assume any obligation to update these forward-looking statements. For further information: To RSVP for preview or for additional information, visuals or an interview, please contact DL Leslie, Siemens Canada, Tel.: (905) 819-5926, E-mail: dl.leslie@siemens.com
  14. Le Québec, terre de travail accueillante Travail. Un programme incite les PME à embaucher et à former des immigrés qualifiés. Par Emmanuelle LANGLOIS QUOTIDIEN : lundi 24 septembre 2007 Québec (Canada) de notre correspondante loadNbReaction('NbReactions',curDocId); Terre d’immigration, le Québec accueille chaque année près de 45 000 immigrants dont la venue est censée mettre un frein au vieillissement de la population, à la pénurie de main d’œuvre et à la dénatalité. Plus de la moitié d’entre eux sont sélectionnés en raison de leur niveau d’études, de leur expérience professionnelle et de leur connaissance des langues officielles : le français et l’anglais. Dès leur arrivé sur le sol québécois, ces nouveaux arrivants doivent partir à la recherche d’un emploi. Un processus qui se révèle souvent long et délicat : le taux de non-emploi des immigrants atteint 12,7 %, contre 7,4 % pour les personnes nées au Canada. Pour contrecarrer cette réalité, le ministère de l’Immigration et des communautés culturelles et celui de l’Emploi et de la solidarité sociale développent des programmes destinés à faciliter l’intégration : cours de langue, programmes d’accueil et d’insertion professionnelle… Adaptation. L’arme la plus efficace est le Programme d’intégration professionnelle des personnes immigrantes, baptisé Priime. «Les immigrants sont confrontés à la non-reconnaissance de leurs acquis et de leurs compétences, confie Serge Durand, d’Emploi-Québec. Ce qui mène à une déqualification de cette population. Avec le Priime nous favorisons l’obtention d’une première expérience professionnelle au Québec, clé de voûte d’un début de carrière.» Lancé en 2005, le Priime s’adresse aux PME. En prenant en charge 50 % du salaire d’un immigrant pendant six mois, il favorise le recrutement de personnes qui vivent leur première expérience de travail dans leur domaine de compétences. Le Priime paye également pendant trois mois le salaire d’un employé «accompagnateur», chargé d’aider à l’intégration, et subventionne les formations destinées à faciliter l’adaptation du nouvel engagé au contexte de travail nord-américain. Financé grâce aux intérêts générés par le Programme des immigrants investisseurs - lors de leur arrivée sur le sol québécois, ils effectuent un dépôt de garantie d’au moins 250 000 dollars canadiens (177 000 euros) destiné à prouver leur capacité à créer des emplois -, le Priime a reçu une subvention de 5 millions de dollars (3,5 millions d’euros) entre 2006 et 2007, laquelle a permis l’embauche de 900 immigrants. «Il ne faut pas se leurrer, sans cette politique incitative, ces PME n’auraient pas opté pour l’embauche d’immigrés», soutient Babakar-Pierre Touré, directeur général du Service d’orientation et d’intégration des immigrants au travail (Soiit). Reste que près de 100 % des participants obtiennent un emploi fixe une fois le temps du Priime écoulé. Michel Ganache, directeur général de Momentum Technologies, firme de consultants en informatique de la région de Québec, en sait quelque chose. Depuis sa création en 2003, son entreprise a embauché 21 immigrants. «Nous avons tenté l’expérience du Priime en 2005 avec deux Mexicains et elle s’est révélée très concluante, tant auprès de notre clientèle qu’au sein de l’entreprise», explique-t-il. Les 7 000 dollars (4 900 euros) qu’il reçoit lorsqu’il offre un poste de six mois à un nouvel arrivant sont à ses yeux l’équivalent d’une prime de risque. «Je prends le risque d’accueillir une personne dont il est difficile de valider la réalité du curriculum vitæ alors le gouvernement me donne un coup de pouce, analyse-t-il. Et, au final, je suis gagnant puisque ce sont des personnes qui ont plusieurs années d’expérience dans leur pays et qui ne nécessitent qu’une mise à niveau et une familiarisation avec le marché québécois.» «Diversité.» Désormais, 11 communautés - Brésiliens, Péruviens, Béninois, Ghanéens, Algériens, etc. - se côtoient dans les locaux de Momentum à la grande satisfaction du directeur. «Il y a aussi des investissements et une adaptation de notre part puisqu’il faut réussir la cohabitation. Il faut tenir compte de cette diversité lorsque nous organisons des activités sociales ou des sorties familiales et cela amène un défi supplémentaire positif.» Directeurs des ventes, comptables, ingénieurs, analystes et programmeurs informatiques, personnel administratif sont autant de postes qui ont été pourvus au cours de la dernière année. Il n’existe a priori pas de limite au Priime : tous les immigrants sont éligibles. «Le marché du travail fluctue et il est certain que les postes dans les secteurs en pénurie sont plus faciles à trouver, précise toutefois Babakar-Pierre Touré. Actuellement, plus que d’ingénieurs, le Québec est à la recherche de techniciens, de plombiers et de bouchers.»
  15. Merci cataclaw!! Pour ce rendu et le rendu fais avec google earth!! En passant tu peux pas nous faire un angle vu du fleuve pour voir l'impact sur le skyline??? merci!
  16. Oui je l'ai vu samedi soir, c'est une mini grue, elle à l'air mobile.
  17. mtlurb

    Le Montmarte - 8 étages

    Le Montmartre - Airs de bohème au coeur de Montréal Implantation de 82 condominiums au sommet de la «butte Sherbrooke» Pendant que les grues et les marteaux s'acharnent à donner naissance à un colossal squelette de béton, la maison historique et les arbres centenaires du 170, Sherbrooke Est, prédisent déjà un projet de résidence des plus inédits. Surplombant le centre-ville, dans la rue qu'on appelait autrefois la Côte-à-Baron, les intéressés devront faire vite s'ils souhaitent s'emparer des derniers appartements du remarquable Montmartre. showBigBox();On error resume nextuseFlash = NOT IsNull(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))isIe = true Dans son nouveau décor, Montmartre n'est pas triste, et les lilas sont... vivants! Il faut le dire, depuis un an, c'est au rythme même du Quartier latin et de sa riche histoire que carbure le vaste projet immobilier. De ses 82 condominiums juchés au sommet de la «butte Sherbrooke» -- en référence au célèbre quartier parisien -- il n'en reste de disponibles que le quart. À quoi rime donc ce récent regain de popularité, si ce n'est de la véritable cure de jouvence qu'on lui a fait subir ? Ce haut lieu de prestige, imaginé à l'origine par les groupes Tidan et Maya, n'avait apparemment pas attiré les foules. On a ainsi décidé en septembre 2006 de lui insuffler une seconde vie afin de satisfaire davantage la clientèle convoitée. La nouvelle équipe de vente et de design pilotée par le groupe Dufresne, Chmielecka & associés n'a rien mis de côté dans cette profonde refonte. Avouons qu'ils n'en sont pas à leurs premières armes en la matière. Ils sont derrière le succès du 1 McGill, des lofts St. James, du N.O.V.O. et du SOMO. Le groupe a d'ailleurs raflé plusieurs fois le prix Domus ainsi que des mentions émérites de l'Association des constructeurs du Québec et de Gaz métropolitain. Voici donc Le Montmartre sous un jour simplifié, actualisé et surtout moins dispendieux. Sur un terrain sans égal où trône une résidence bourgeoise de 1837, entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent, le bâtiment se déploiera sur cinq étages et comptera plus de 80 unités. Les prix oscillent entre 177 500 $ et 650 000 $, pour des appartements allant de 635 à 1840 pieds carrés. Une place de stationnement intérieur est également prévue pour chaque copropriétaire, et ce, à partir de 35 000 $. Il reste actuellement environ 20 condominiums disponibles, dont les prix se situent en majorité autour de 200 000 $. La livraison est prévue en mai 2008. Entre classicisme et avant-garde «Qu'est-ce qui a fait vendre notre projet? Le site exceptionnel, évidemment», assure Jacques Dufresne, directeur des ventes et du design au Montmartre. Dans une rue qui abrite déjà moult projets de condominiums luxueux, tels l'ancien séminaire Mont-Saint-Louis et le 333 Sherbrooke, le Montmartre détient la singularité de sa structure en «L» qui l'éloigne de la rue bruyante et permet la présence d'un parc. Ni plus ni moins, les habitants pourront se réjouir de ce rare îlot de feuillus, lequel sera agrémenté de bancs, de sculptures, de fontaines et même d'escaliers... Un clin d'oeil audacieux aux ruelles en colimaçon du quartier où a vécu le peintre Toulouse-Lautrec. On mise donc sur un développement immobilier en accord avec la nature, mais qui tient également compte du patrimoine architectural. En ayant comme voisins immédiats la Chapelle historique du Bon Pasteur, la Maison historique Buchanan et le séminaire Mont-Saint-Louis, l'architecte Jean-Pierre Bart a dû réviser les plans. Désormais, le revêtement de l'édifice sera d'inspiration classique, effectué en grande partie à l'aide de véritables pierres. Or, entre quatre murs, c'est plutôt une atmosphère d'avant-garde qui se dégage. «Les gens aiment tout de suite le design intérieur, ils ont confiance et ne veulent rien y changer», avoue M. Dufresne. C'est chic, lumineux, vaste et fonctionnel. On a sobrement marié les textures de bois et de marbre, tout comme les couleurs métal et brun chocolat. De plus, les copropriétaires peuvent compter sur des fenêtres à haut rendement énergétique, un superbe hall d'entrée, trois ascenseurs pour grimper à l'étage, un toit vert, une salle de réunion ainsi qu'un gymnase. Un espace non négligeable sera également attribué à des oeuvres d'art québécoises qui serviront à orner le hall d'entrée et le parc. «Je vous parle d'un temps...» Le Montmartre s'inscrit dans une trame historique pour le moins enviable. Au XIXe siècle, le Quartier latin abritait la quasi-totalité de l'élite bourgeoise canadienne-française. Repaire de savoir où se sont d'ailleurs implantées tour à tour l'université Laval et l'Université de Montréal, ce faubourg cossu à l'architecture victorienne était investi d'artistes, de bohémiens, d'hommes de lettres et d'universitaires. Il a fallu attendre les années 60 pour que revive le quartier, passablement en déclin depuis le début du siècle et le déménagement des «flâneurs» vers Outremont. Aujourd'hui hétéroclite, il foisonne comme jamais grâce à ses 25 salles de théâtre et de concert, ses cafés, musées, galeries d'art, boutiques et restos branchés, et surtout grâce aux grandes institutions culturelles et établissements d'enseignement qui s'y trouvent. Mais, de cette gloire désormais révolue, seulement de rares vestiges architecturaux en témoignent encore. Et la Maison Buchanan en fait partie. Cette demeure centenaire de style colonial anglais sert de salle de démonstration au projet Montmartre. Construite en 1837 et habitée durant plus d'un siècle par les soeurs du Bon Pasteur, elle fut achetée en 2003 par le consortium Tidan et Maya. Avis aux intéressés! Dès l'automne, la maison est offerte à la vente pour la modique somme de... deux millions de dollars. Fiche technique - Superficie de 635 à 1840 pieds carrés - Prix à partir de 177 500 $ jusqu'à 650 000 $ - Construction de béton - Unités avec terrasse et mezzanine - Stationnement intérieur (à partir de 35 000 $) - Salle de réunion - Trois ascenseurs - Gymnase - Grand jardin extérieur - Terrasse commune sur le toit - Grande fenestration - Plafonds de 9 pieds - Air climatisé - Pour info:
  18. Oui! Montreal is an island and a fabulous city, too Lester B. Pearson International Airport in Toronto. Sue Frause photo. Yesterday I said that I was flying off to an island. So here I am, in Montreal. It's an all day affair getting here. My husband and I left Seattle at 8:15 AM and arrived in Montreal seven hours later. That included a change of planes in Toronto. The city of Montreal rests on the island of Montreal (ile de Montreal), where the Saint Lawrence and Ottawa Rivers meet. It's the largest of the 24 islands in the Hochelaga Archipelago (Montreal Islands). Not nearly as big as Whidbey, Ile de Montreal is about 50 km long and 16 km wide. The city of Montreal is all about old and new, festivals and nightlife, cuisine and culture, fashion and fun. Although it's the third largest francophone city in the world after Paris and Kinshasa in the Republic of Congo, my lack of Parlez vous Francais? has not kept me away. Most Montrealers are bilingual. I think this is my fifth visit to this Euro-feeling city -- this time I'm attending a conference with my husband. So while he's stuck inside all day, I'm off to renew my friendship with this wonderful place. Today's weather forecast is for sunshine and 75 degrees. Oui! See? My French is getting better already. Posted by Sue Frause at September 21, 2007 5:46 a.m.
  19. La Caisse et Desjardins achètent des hôtels américains 21 septembre 2007 - 11h25 LaPresseAffaires.com Un groupe dont font partie la Caisse de dépôt et placement et le Régime de rentes du Mouvement Desjardins met la main sur la chaîne hôtelière américaine Red Roof, qui compte 341 hôtels, révèle le journal Les Affaires. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');Ces établissements sont concentrés dans l'est et le Midwest des États-Unis. Ils abritent près de 37 000 chambres au total. Le consortium paie 1,35 G$ canadiens au vendeur, le géant français Accor, qui est en train de changer de stratégie d'affaires. Le groupe d'acheteurs comprend notamment Global Special Situations Group, Westbridge Hospitality Fund et la caisse de retraite Cadim, filiale de la Caisse de dépôt et du régime des rentes de Desjardins.
  20. mongol... tu plantes quelques vignes et tu laisse pousser une couple d'années, ça coute pas 800,000$ pour faire ça!
  21. Trop cher, le train léger Le Journal de Montréal 20/09/2007 Il n'y aura pas de train léger sur l'estacade du pont Champlain. Le projet est trop cher (plus d'un milliard de dollars) et se heurte à deux problèmes techniques majeurs, a appris Le Journal de Montréal. Cela même si, après 12 millions de dollars d'études, le projet est considéré comme rentable et faisable. Mais compte tenu du coût, la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain n'y est «pas particulièrement favorable». «Ce serait trop cher, car il faudrait modifier l'estacade à un tel point que ça reviendrait au même prix que de construire un nouveau pont. Or, avec l'estacade, on ne fait qu'enlever la voie réservée pour autobus aux heures de pointe sur le pont Champlain», rappelle le vice-président aux communications de la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain, André Girard. Pente et piles Au plan technique, le premier problème est le dégagement nécessaire au-dessus de la voie maritime du Saint- Laurent pour laisser passer les navires marchands. Les trains ne peuvent gravir des pentes de plus de 5%, sauf exception. Il faudrait soit accélérer le train et y ajouter un système de freinage particulier, soit allonger la descente vers la Rive-Sud bien trop loin. Le second problème concerne la consolidation de l'estacade. Les piles sont trop faibles: il faudrait les grossir et les ancrer davantage. __________________ ''Les problèmes du monde ne sont pas susceptibles d'être résolus par les sceptiques ou les cyniques dont les horizons sont limités par les réalités évidentes. Nous avons besoin d'hommes qui peuvent rêver de choses qui n'ont jamais existées.'' "Rien ne peut empêcher une rivière d'avancer vers la mer. Rien ne peut empêcher une bonne idée de se réaliser le moment venu".
  22. Fédération internationale pour la diversité culturelle Le siège social à MontréalMise à jour le jeudi 20 septembre 2007, 22 h 22 . Montréal abritera le siège de la nouvelle Fédération internationale pour la diversité culturelle. À Séville, en Espagne, les délégués de 37 pays, dont le Canada, ont décidé par un vote unanime de créer cet organisme voué à défendre le droit des pays d'appliquer des politiques culturelles. La première Coalition pour la diversité culturelle a été créée au Canada en 1999. Aujourd'hui, ce type de coalition existe dans 42 pays. Leur lutte a abouti à l'adoption de la Convention de l'UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, en 2005. À ce jour, 67 pays l'ont ratifiée.
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