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  1. John Molson Sir George Simpson Musée des Beaux-arts de Montréal Crystal Pub pour Standard Life Tour assez spéciale sur Sherbrooke(le camion de Videotron est de trop) Roc Fleury 1200 maisonneuve Crystal (bis) ETS Lowney Viaducs McGill Ouest Québécor Place de la cité internationale Tour de la Bourse Quebecor (Bis) Westin
  2. ça veut dire qu'ultimement il n'y aurait qu'une place boursière au monde pour rendre ça le plus efficace. Mais c'est pas la meilleure chose pour les jurisdictions... d'ou l'interventionisme nécessaire du gouvernement.
  3. Merci d'avoir trouver l'article, je l'avais lue en fin de semaine et j'avais de la misère à la retrouver.
  4. Le gouvernement doit intervenir quand le marché n'est pas efficace (économie 101 ) J'insinuais qu'elle achète la bourse de montréal.
  5. Le Québec prêt à affronter une récession américaine, dit Charest « On a deux moteurs économiques importants : le programme d’infrastructures et le programme énergétique. Peu importe ce qui arrivera aux États-Unis, on va de l’avant avec nos projets », a dit le premier ministre Charest. Photo PC Malorie Beauchemin La Presse Sherbrooke Le Québec n'est pas à l'abri d'une récession, mais il serait néanmoins bien préparé à faire face à un ralentissement important de l'économie américaine. Le premier ministre Jean Charest a estimé, hier, à l'entrée du premier caucus de ses députés en 2008, que son gouvernement avait pris des précautions en cas de récession chez nos voisins du Sud. «On a voulu prévenir, se donner tous les outils pour faire croître l'économie du Québec, a dit M. Charest. On a deux moteurs économiques importants, le programme d'infrastructures et le programme énergétique. Peu importe ce qui arrivera aux États-Unis, on va de l'avant avec nos projets.» «Évidemment, on n'est jamais à l'abri (d'une récession). On a une forte concentration de nos exportations aux États-Unis. Le marché québécois est petit. On est 7,7 millions d'habitants», a toutefois tempéré le premier ministre. Ainsi, il est primordial, selon lui, d'élargir les perspectives de marché du Québec, en visant notamment l'Europe et les économies émergentes comme la Chine et l'Inde. Prudent, le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, a estimé que l'économie du Québec «devrait s'en tirer dans les prochains 12 mois». «L'opinion générale des analystes, c'est que l'économie du Québec est costaude, elle est diversifiée, elle n'est pas concentrée dans un secteur, a souligné M. Bachand, en ajoutant que les baisses d'impôts consenties par les deux ordres de gouvernement contribueront à maintenir la santé économique des Québécois. Pour le député de Laval-des-Rapides et économiste de formation, Alain Paquet, les investissements prévus de 30 milliards pour les infrastructures en cinq ans et d'environ 30 milliards sur 10 ans pour le développement hydroélectrique constituent un garde-fou qui stimulera l'économie québécoise face à une baisse des exportations aux États-Unis. «Les décisions du gouvernement ont fait en sorte qu'on réduit de façon considérable l'impact d'une récession si elle avait lieu, a souligné M. Paquet. Si on est capable de se prémunir contre des chocs qui sont internationaux, ça démontre que le gouvernement fait des bonnes choses.» L'hiver portera en priorité sur les questions économiques, a estimé pour sa part le leader du gouvernement, Jean-Marc Fournier. Qualité de vie, prospérité économique et développement occulteront, selon lui, santé, éducation, et même les questions identitaires, malgré le dépôt du rapport de la commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables, attendu pour la fin mars. «L'identité des Québécois, ce qu'elle appelle, c'est surtout une meilleure qualité de vie et une économie prospère, ce à quoi nous nous attarderons, comme priorité», a souligné M. Fournier. Langue française À Sherbrooke, où se déroule un caucus de deux jours, M. Charest a par ailleurs rejeté la proposition de Pauline Marois de resserrer la loi 101 pour s'assurer que les petites entreprises servent leurs clients en français, après qu'une enquête du Journal de Montréal eut soulevé le débat, plus tôt cette semaine. «Le problème ce n'est pas la loi, on en a une loi. Il faut s'assurer qu'elle soit respectée, a-t-il dit. C'est acquis au Québec, il n'y a pas de débat sur cette question-là. Qu'on soit anglophone allophone, francophone, peu importe, tout le monde reconnaît qu'on a le droit de se faire servir en français.» «C'est quoi, une récession?»Récession, le mot était sur toutes les lèvres à l'entrée du caucus libéral de Sherbrooke. Mais le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, s'est offusqué qu'un journaliste lui demande de définir ce concept économique, allant jusqu'à blasphémer à deux reprises en répondant. «Antoine, si on n'était pas là, tu sais ce que je te dirais, hostie c'est deux trimestres consécutifs... C'est niaiseux, c'est comme le prix des pintes de lait, crisse, c'est quoi ce genre de politique-là? Appelons un chat un chat», a décoché le ministre, visiblement froissé. Il s'est excusé, plusieurs heures après, en ajoutant: «J'ai beaucoup de respect pour La Presse, vous savez, mais je m'attends aussi au même respect.» En septembre 2001, le ministre de l'Industrie et du Commerce, Gilles Baril, avait été incapable de répondre à cette même question, plaçant le gouvernement péquiste de l'époque dans l'embarras. Hier, le premier ministre Jean Charest a lui aussi bien répondu à la question piège, en expliquant qu'on parle de récession lorsqu'il y a une croissance négative de l'économie pendant deux trimestres consécutifs. http://www.cyberpresse.ca/article/20080117/CPACTUALITES/801170823/1019/CPACTUALITES
  6. Contrat du métro de Montréal: Québec étudie trois scénarios 17 janvier 2008 - 06h36 Le Soleil Marc Larouche, collaboration spéciale Rivière-du-Loup Le ministre Claude Béchard refuse de commenter le jugement de la Cour supérieure dans l'affaire Bombardier, qui oblige la Société de transports de Montréal à procéder par appel d'offres publics pour l'octroi du contrat de 1,2 milliard $ des 336 voitures du métro de Montréal. Entre-temps, son collègue ministre du Développement économique, Raymond Bachand, affirme que trois équipes composées d'experts étudient autant de scénarios possibles. «Nous pourrons en appeler de la décision du tribunal ou décider d'aller en appel d'offres. Une entente de partenariat entre Bombardier et Alstom est aussi une possibilité. En ce qui nous concerne, c'est un souhait puisque ça permettrait d'accélérer le processus», a dit le ministre dans un entretien au Soleil. Mardi, ce dernier avait affirmé en point de presse «qu'il respecterait la décision du tribunal», ce qui pouvait laisser croire que Québec n'en appellerait pas du jugement, ce qui n'est pas le cas. «Nous n'écartons pas cette possibilité, nous avons jusqu'au 8 février pour prendre une décision, mais il y a certains points du jugement avec lesquels nous sommes en désaccord. Par exemple, le juge ne s'est pas prononcé sur le fond du litige, à savoir s'il n'y avait qu'un fournisseur ou non au Canada pour ce type de contrat. Il a dit que, dans la procédure, l'expertise n'était pas suffisamment documentée et sérieuse», confie-t-il, ajoutant tout de même pour imager que «s'il fait beau et que le ciel est bleu, je ne dépenserai pas 100 000 $ de fonds publics pour engager un expert qui me confirmera qu'il fait beau». Le ministre refuse d'affirmer que dans ce dossier, Québec a vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tué. «Non, et par respect, je ne commenterai qu'une fois l'analyse du jugement terminée, toutefois je peux dire que nous étions convaincus d'avoir raison sur le fond des choses.» Le chef de l'opposition, Mario Dumont, affirme que Claude Béchard a manqué à ses devoirs et est responsable des retards qu'entraînera la décision légale. «Le jugement est clair en ce sens que le gouvernement a agi en amateur. En mars 2006, le ministre Béchard disait: «l'argumentaire devrait être solide». Imaginez si nous octroyons ce contrat de gré à gré et que nous devions tout arrêter parce que les fils n'ont pas tous été attachés. Il est évident aujourd'hui que ce n'a pas été fait», dit-il. «Si le résultat final est un appel d'offres, il eut mieux fallu procéder de la sorte depuis le début. Claude Béchard a placé l'usine de La Pocatière dans le pire des mondes.» Geneviève Dion de Bombardier ne peut dire si une collaboration Bombardier-Alstom est possible dans ce dossier. «Nous devons attendre la décision du gouvernement. Il manque trop de données pour envisager cette possibilité pour le moment. Cela dépend des besoins spécifiques du client, que nous ne connaissons actuellement pas», dit-elle, ajoutant que les deux multinationales ont déjà collaboré par le passé, notamment pour le TGV en France «dans des contextes totalement différents». Le ministre Bachand s'envole pour l'Europe avec Jean Charest. Une décision finale sera prise d'ici le 8 février. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080117/LAINFORMER/801170586/5891/LAINFORMER01
  7. C'est un effet de perspective et de relief qui donne cette petite taille aux jardins windsor. Premièrement, ils sont plus éloignés que le Nordelec qui les rend plus petits, et deuxièmement, les gratte-ciel du centre son surélevés par rapport aux jardins.
  8. If the the CDP could put its 250B$ weight and made more moves like that...
  9. Genivar acquiert une société de conception et ingénierie, en Ontario Il y a 8 heures MONTREAL - Le société montréalaise de génie et de conseil Genivar a annoncé, mardi, qu'elle achète l'ontarienne Transenco, qui fait de la conception d'infrastructure, notamment pour les routes, les autoroutes, ponts et systèmes de transports publics. Genivar, qui est constituée en fonds de revenu, précise que Transenco a été fondée en 1994 et compte une vingtaine d'employés dans ses bureaux situés dans trois localités de l'Ontario; elle compte parmi ses clients le ministère provincial des Transports, des municipalités et des promoteurs. La direction de Genivar souligne que les besoins en infrastructures au Canada "sont très importants" car les gouvernements investissent beaucoup pour réhabiliter les routes et autres infrastructures. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hrMraUFaGxvTw8PpbiwNLcpc4Nrw
  10. Couche-Tard et Jean Coutu dans le top 5 mondial Mise en ligne 15/01/2008 04h00 Photo © Corbis Marie-Eve Fournier Le Journal de Montréal NEW YORK | Alimentation Couche-Tard et Jean Coutu font partie du top 5 des détaillants dans le monde ayant connu la plus forte croissance de leurs ventes depuis 5 ans, selon le cabinet comptable Deloitte. Les dépanneurs Couche-Tard se trouvent au quatrième rang de ce palmarès annuel dévoilé au congrès de la National Retail Federation (NRF). Deloitte y indique que la croissance des ventes de l’entreprise basée à Laval a atteint 51,2 % entre 2001 et 2006. De son côté, le Groupe Jean Coutu occupe le 5e rang grâce à l’acquisition de 1 800 pharmacies américaines Brooks et Eckerd, ce qui a gonflé les ventes. Entre 2001 et 2006, les revenus ont crû de 49,3 %. C’est un détaillant d’électronique russe qui occupe la première place. Euroset Group a augmenté ses ventes de 137 % en 5 ans. L’entreprise islandaise Baugur Group (vêtements, pharmacies, supermarchés, etc.) suit, avec un bond de 112 % de son chiffre d’affaires. La position numéro trois appartient à un détaillant chinois, GOME Electrical Appliances, qui vend de l’électronique (+65,8 %). « C’est la première fois que des détaillants russes et chinois font partie de ce palmarès », a souligné Ira Kalish, directeur de Deloitte Research. Wal-Mart domine encore Dans le palmarès global de Deloitte, qui fait état des 250 détaillants ayant réalisé les plus importantes ventes en 2006, Couche-Tard se trouve au 59e rang avec ses 12,087 G$ US. Les établissements du plus célèbre des pharmaciens québécois se situent au 76e rang, avec des ventes de 9,786 G$ US. Sans surprise, Wal-Mart continue d’occuper la première position de la compilation avec un chiffre d’affaires de 349 G$ US, de loin supérieur à celui de son plus proche rival, la française Carrefour (98 G$ US). Les rangs suivants sont occupés par The Home Depot (91 G$ US), la britannique Tesco (80 G$ US) et l’allemande Metro AG (75 G$ US). Parmi les dix détaillants les plus importants du monde, six sont américains, et sept vendent de la nourriture. Deux nouvelles entrées canadiennes Fait intéressant, Rona et la LCBO (l’équivalent de la SAQ en Ontario) ont fait leur entrée dans le prestigieux palmarès. Rona occupe le 225e rang du classement (ventes de 4 G$ US), tandis que la LCBO y est de justesse, en dernière position (ventes de 3,4 G$ US). Parmi les autres nouveaux venus, on note des détaillants chinois (4), russes (2), brésilien (1), hongrois (1), turc (1) et néerlandais (1). http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/01/20080114-221430.html
  11. my favorite from that night Rest are here: http://www.edmm.ca/index.php?option=com_gallery2&Itemid=45&g2_itemId=154863
  12. Quebec awash in 'real style' Karen Mazurkewich, Financial Post Published: Monday, January 14, 2008 Allen McInnis For National PostQUEBEC FIRMS CHIP AT EUROPEAN MARKET: Wetstyle's Helene Bourgault says Quebec's dominance in the bathroom niche market can be attributed to entrepreneurship and copy-cat reflex. MONTREAL -- Quebec has become the bathroom capital of Canada. More potties, tubs, sinks and facets are produced in La Belle Province than anywhere else in the country. Move over Philippe Starck, Duravit and Villeroy & Boch and Boffi. With its hot design and low price point, the province's bathroom manufacturers are taking a bigger bite out of the hip European marketshare. Companies such as Wetstyle, MAXX, Neptune, and BainUltra have squeezed into the marketplace. So how did Quebec become the new home spa design mecca? According to Helene Bourgault, cofounder of Montreal-based Wetstyle, the company behind the uber-hip OVE tub, the Quebec niche can be attributed to entrepreneurship as well as a healthy copycat reflex. Designers have co-opted materials originally developed by the aerospace and power sports industries. But the cluster of manufacturers in the bathroom fixture sector is also because the newest entrants are spin-offs from its pioneers. Wetstyle is case in point. In 1979, Ms. Bourgault and her husband were both in the real estate business. One day, she got a call from a mechanic who wanted to sell his small business making marble countertops. "It was literally a shed in a field," she says. Her husband, Jacques Parise, was so intrigued with the vanity moulds he bought them. During the next year, he purchased more moulds from several bankrupt firms. The renovation industry was picking up, the options were few, Ms. Bourgault says. So the duo gave up real estate and started Maronyx, developing coloured bathroom vanities to appeal to a more sophisticated buyer. Their sinks were made from a thick polymer composite that was later patented as Nacryl. In 1996, the company merged with a furniture manufacturer, Creations Decor-Bois du Quebec, so the couple could explore more options. But four years later, Ms. Bourgault and Mr. Parise broke away. "We were not looking in the same direction," she says. In 2002, they started over, this time making more modern styles of bath products using a more refined composite resin dubbed "Wet-mar." Gone was the Quebec farmhouse look. The real estate agents-turned-designers looked to the Orient for inspiration. Their stylish Cube collection, which ranges from $500 for a sink to $6,000 for a tub, was a hit and they've adapted a European style of overflow system that gives their latest line a sleek look. The prototype for their next line is a translucent tub with embedded cables that can alter the colour of the tub. "There's always something in the pot cooking," says Ms. Bourgault. Meanwhile, the original company Maronyx still churns out the traditional look. Wetstyle has evolved into a niche company for the luxury market, with more than 100 distributors in the United States and 11 in Canada, bringing in modest annual sales of $4-million. But their marketing position may have protected them from a global downturn in bathroom sales. Although more Americans were remodeling their bathrooms in 2007, the construction of new bathrooms fell 21% last year from 2006 levels. The high Canadian dollar and weak housing market in the United States has affected MAAX Holdings Inc., a pioneering firm that developed an expertise in acrylic corner baths and drop-in models. The company's net sales for its second quarter ended August, 2007, decreased 14.9% to $109.9-million from net sales of $129-million. In December, it announced that it was unable to make its interest payment on senior subordinated notes. "People are always asking why Quebec is a leader in the bathroom business," says Mr. Bourgault. "I believe that to be good you have to be surrounded by people who are also good and push you to be better." The success of the pioneers inspired others to follow suit, hence the cluster manufacturing phenomenon.Valerie Parent, director of marketing for Saint-Nicolas-based BainUltra, agrees. Thirty years ago, the company invented the air-jet bath to compete against the traditional whirlpool models. Throughout the years, the company expanded its product line and now makes dozens of models and shower stalls priced as high as $10,000. "I know at BainUltra, we have inspired others," she says. One of its ex-employees started their own air-jet bath company, which was later sold to Acryline USA, she says. There are no hard feelings. "For Quebec, it's a point of pride to develop something that changed the face of the North American industry," she adds. Even Neptune was created by a former employee of Alcove Canada Bath Tubs & Whirlpools. Whatever the reason, consumers are benefitting. Jackie Allen, who is renovating a new home in the posh Rosedale district of Toronto, is putting a Wetstyle OVE tub in the center of her new ensuite bathroom. The deep, softly rounded tub will be set against a marble wall. "My architect says it will be the centrepiece of the room," she says. Her Toronto-based architect, Stuart Watson, was first turned on to the Wetstyle line of bathrooms after seeing displays at a local design show. "It was something fresh and different," he says. In the past, Mr. Watson recommended European designers, but more recently he's been promoting Wetstyle baths because they have a transitional look. They can go into both a modern or traditional home, he says. Then there is the question of price. A Starck bathtub would cost two to three times more, he adds. "This is real style for a reasonable price." DOING UP THE WC IN STYLE: Here are some of Quebec's high-end dealers in bathroom furnishings and fixtures - Bain Ultra Specializes in air jet baths and home spa units. 956, chemin Olivier, Saint-Nicolas www.bainultra.com - Wetstyle High concept, Japanese-style baths and vanities that work in both contemporary and traditional homes. All product made by a unique polymer. 276 Saint-Jacques, Suite G-02, Montreal www.wetstyle.ca - Neptune Mid-range line of bathroom tubs, showers toilets and faucets. A popular product is its folding shower door. 6835, rue Picard, Saint-Hyacinthec - MAAX Looking for a corner tub or drop-in tub, MAAX has a huge product range. 600 Cameron Road, Ste-Marie Source: Financial Post http://www.nationalpost.com/story.html?id=237326
  13. are you guys kidding? working on the worst part of st-catherine is just amazing news!!!
  14. je ne veux pas trop m'avancer, mais je crois qu'ils sont placés à part des autres détenus, justement parce qu'ils se font battre. non?
  15. Les 100 ans d'Imperial Tobacco Canada partent en fumée Olivier Schmouker, Lesaffaires.com 11 janvier 2008 Pour en savoir plus Des manifestations sont prévues vendredi à Montréal pour dénoncer la nocivité du tabac. Source : Bloomberg. Imperial Tobacco Canada est centenaire et n’a pas le goût de célébrer. L’entreprise avait annoncé haut et fort ces derniers jours auprès des médias qu’elle organisait une grande fête pour souligner son centenaire, et à la dernière minute, elle a tout annulé. La raison? Allez savoir… La version officielle : «les conditions météorologiques» (il pleut, ce matin, à Montréal). Mais, l’événement devait-il se tenir à l’extérieur? «Une partie de l'événement, oui, affirme Sophie Alarie, responsable des affaires corporatives, d'Imperial Tobacco Canada. Cela étant, nous maintenons un petit quelque chose pour nos employés, à l'intérieur.» Du coup, on peut se demander si une raison plus vraisemblable est que plusieurs groupes anti-tabac ont prévu de manifester cet après-midi devant les locaux montréalais d’Imperial Tobacco... «Cent années de souffrances humaines inutiles et évitables ne peuvent pas être passées sous silence. Malgré leur annulation de dernière minute, nous allons dénoncer l’existence-même de ces festivités et rendront hommage à la mémoire des centaines de milliers de personnes décédées à cause des produits d’Imperial Tobacco», a lancé vendredi matin Louis Gauvin, porte-parole de la Coalition québécoise pour le contrôle du tabac. Fidèle à Saint-Henri Fondée le 11 juin 1908, Imperial Tobacco Canada demeure encore un chef de file de l'industrie canadienne du tabac. L'entreprise, dont le siège social est situé à Montréal, est détenue par la British American Tobacco depuis 2000. Elle emploie directement 793 personnes. Au cours de ses cent ans d'existence, l'entreprise est restée implantée dans son quartier d'origine, Saint-Henri. Elle y a bâti sa première usine et y a établi son nouveau siège social en 2002 à proximité de l'usine originale, qui a fermé ses portes il y a près de quatre ans. Imperial Tobacco Canada estime qu'au fil des ans, elle a joué «un rôle déterminant dans l'évolution du patrimoine artistique, culturel, sportif, de la mode et des services communautaires». Sa fondation se consacre aujourd'hui aux arts et à la culture, aux soins des aînés et à l'éducation. Avec PC http://www.lesaffaires.com/article/0/commerce-et-produits-de-consommation/2008-01-11/469866/les-100-ans-dimperial-tobacco-canada-partent-en-fumee.fr.html
  16. Les Alouettes marquent un touché Photo Bernard Brault, La Presse Sara Champagne La Presse La direction des Alouettes de Montréal vient de marquer un touché. Le gouvernement du Québec a approuvé ses plans pour agrandir le stade Percival-Molson, moyennant quelques modifications pour protéger le caractère patrimonial de la montagne. L'équipe de football, qui a déjà obtenu un engagement financier de 4,2 millions sur cinq ans de l'administration Tremblay, attend que le provincial et le fédéral débloquent chacun 10,4 millions de dollars avant d'en faire l'annonce officielle. Les discussions entre le ministère de la Culture et les Alouettes ont duré plus d'un an avant qu'une autorisation écrite soit délivrée, juste avant Noël, le 20 décembre. Au total, huit améliorations sont exigées aux plans qui avaient pourtant été approuvés, tels quels, par la Ville de Montréal. La modification la plus importance concerne le panneau indicateur géant, d'une dimension de 6,6 mètres sur 11, au-dessus de la zone des buts, du côté est. Les Alouettes se sont engagés à le déboulonner de son socle pour le déplacer d'une centaine de pieds, plus au nord, afin de le rendre moins «envahissant», tel que décrié par l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) lors des audiences sur le projet. Toujours au chapitre de l'écran, jugé trop haut par les citoyens des environs, le Ministère exige qu'il soit abaissé de 45 centimètres (un pied et demi). Le directeur du patrimoine et de la muséologie au ministère de la Culture, Jean Bissonnette, qui a révélé les détails de l'entente à La Presse, ajoute que pour minimiser «l'impact visuel» derrière le panneau indicateur, où il y a une dizaine d'espaces de stationnement, des arbres devront être plantés. Le Ministère exige aussi des mesures durant les travaux pour protéger les arbres matures et la pose de pierres naturelles à l'entrée principale, où se trouve la billetterie. «Pour chaque arbre coupé, il y aura trois arbres de plantés, assure M. Bissonnette. Au total, 50 arbres seront coupés pour 150 arbres replantés. Nous avons traité ce dossier comme les autres, mais on espère qu'il servira d'exemple aux autres promoteurs pour travailler en amont de leur projet.» À la direction des Alouettes, on se réjouit de l'autorisation, qui va entraîner des coûts supplémentaires «minimes», mais on signale qu'il ne s'agit là que d'une autre étape. Claude Rochon, vice-président au marketing et communications des Alouettes, affirme qu'il a eu une rencontre positive à Ottawa, cette semaine, avec Lawrence Cannon, ministre des Transports, en plus d'un engagement financier «non formel» du provincial. «On pense qu'avec les modifications qui seront apportées, il ne va rester qu'une poignée de citoyens mécontents, soutient M. Rochon. Notre projet va améliorer un secteur de la montagne; on va redonner de la biodiversité, en plus de freiner l'érosion du sol du côté est du site.» Calmer le jeu? En revanche, le regroupement Les Amis de la montagne, préoccupé depuis trois ans par l'impact de l'agrandissement sur le mont Royal, se demande si les modifications demandées «rencontrent les standards d'excellence» de l'arrondissement, décrété «historique et naturel» par le gouvernement. Les gradins demeurent à la même hauteur, fait-on remarquer. «Pourquoi on n'a pas fait déplacer l'écran de l'autre côté du stade, là où il y a des stationnements? s'interroge Sylvie Guilbault, directrice générale des Amis. Ce que je comprends, c'est que l'écran est essentiel au stade, oui, mais on le cache derrière des boisés, c'est donc qu'il ne l'est pas pour la montagne.» Mme Guilbault prévient qu'elle va profiter de la révision de la loi sur les biens culturels, avec la nouvelle pièce pour ajouter un statut de protection aux paysages, pour poser des questions au gouvernement. «Ça va nous prendre une explication globale, dit-elle. Le gouvernement ne nous a pas donné de justifications sur les modifications, ni les Alouettes. On se demande si elles ne servent qu'à calmer le jeu.» Même son de cloche chez les citoyens qui vivent aux abords du stade. «Quelles que soient les lois, cette autorisation démontre aux promoteurs de la montagne qu'il est possible d'y déroger, déplore Janine Kirby, de l'Association du Village Durocher. On nous promet, par exemple, qu'il n'y aura pas de concert rock au stade, mais on n'a pas obtenu de garantie écrite. Les Alouettes ont été bons joueurs dans leur projet, mais la Ville et le gouvernement n'ont pas porté leurs culottes.» http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/801120783/1019/CPACTUALITES
  17. Les plans approuvés Mise à jour le samedi 12 janvier 2008, 19 h 01 . . Stade Percival-Molson Les Alouettes de Montréal viennent d'avancer d'un autre premier jeu... Le gouvernement du Québec a approuvé les plans d'agrandissement du stade Percival-Moslon, selon ce que rapporte La Presse de samedi. En retour, le gouvernement exigera quelques modifications pour protéger le caractère patrimonial de la montagne. Les Alouettes attendent maintenant que les promesses se transforment en argent sonnant et trébuchant pour faire une annonce officielle. Les Alouettes ont déjà reçu un engagement financier de 4,2 millions sur 5 ans du maire Tremblay. Ils attendent aussi que le fédéral et le provincial débloquent chacun 10,4 millions. Parmi les compromis imposés par le gouvernement, plusieurs touchent le panneau indicateur de 6,6 m sur 11 m. Les Alouettes se sont engagés à le déplacer d'une centaine de pieds plus au nord afin de le rendre moins envahissant, et de l'abaisser de 45 cm, à la demande de citoyens. Aussi, pour minimiser l'impact visuel derrière le tableau, des arbres devront être plantés. Le Ministère exige enfin que des mesures soient prises pour protéger les arbres matures durant les travaux de rénovation. http://www.radio-canada.ca/regions/montreal/version_imprimable.asp?nv=/regions/Montreal/2008/01/12/002-stade-molson.xml
  18. Cinquante millions de travaux à Bordeaux Photo Archives La Presse Sara Champagne La Presse Malgré de multiples dérogations aux règles d'urbanisme, les élus de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville donneront leur bénédiction à l'agrandissement de la prison de Bordeaux à leur première séance du conseil de l'année, prévue lundi. Les citoyens qui s'y opposent, et qui vivent dans la zone visée, auront cette dernière journée pour signer un registre en vue d'obtenir un référendum et de renverser la décision. Les travaux de 50 millions, qui comprennent la rénovation d'une aile de détention, nécessiteront la démolition partielle d'un mur de pierre centenaire, pour faire place à un édifice en forme de «L», qui abritera d'un côté des services administratifs, et de l'autre côté une nouvelle buanderie, des ateliers et des salles de formation. Le nouveau pavillon comprendrait trois étages (14 mètres), au lieu des deux étages permis dans le secteur, ce qui aurait pour effet de masquer une partie du mur. Une nouvelle section de tunnel serait creusée. Le projet prévoit un nouveau de quai de chargement aménagé à l'avant, sur le boulevard Gouin, et une nouvelle entrée avec trois portes de garage, dont deux pour le transport des prisonniers et une pour de l'équipement. Lorsque le ministère de la Sécurité publique a annoncé son intention de faire construire un nouveau pavillon, il y a plus d'un an, il avait expliqué qu'il était nécessaire de désengorger l'entrée principale de la prison, et de sécuriser les lieux utilisés par le personnel. Depuis quelques années, la prison déborde, mais il n'est pas prévu de construire de nouvelles cellules, indique-t-on au ministère. «Il n'y a pas un manque de places en tant que tel à Bordeaux, mais c'est en quelque sorte un lieu de transfert, et il y a une forme de débordement, explique Réal Roussy, conseiller en communication au ministère. Le ministère privilégie donc l'autonomie régionale, et a déjà annoncé des sommes pour ajouter des cellules dans d'autres centres carcéraux du Québec.» Style «Pennsylvania» À la suite d'un avis du Conseil du patrimoine de Montréal qui voyait d'un mauvais oeil la démolition du mur de forme pentagonale, en maçonnerie, le ministère a demandé à des architectes d'étudier la valeur de la prison qui date du début du siècle dernier. Il appert que le centre de détention est l'un des seuls au Canada à être conçu selon le plan «Pennsylvania», où l'on favorisait l'isolement cellulaire, avec des ailes positionnées en forme d'étoile autour d'une rotonde. «La prison possède de nombreuses caractéristiques architecturales d'origine de grande qualité et de grande valeur, peut-on lire dans le projet qui sera approuvé par les élus, mais la rigidité du classicisme dans la composition constitue une contrainte de taille aux nouveaux besoins et rend l'insertion d'un nouveau bâtiment plus difficile.» En conséquence, notamment pour des raisons de sécurité et de coûts, la Société immobilière du Québec, qui est propriétaire du centre, n'a pas été en mesure de proposer un projet qui évite la démolition partielle du mur, et la diminution des hauteurs. http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/801120782/1019/CPACTUALITES
  19. Un mal nécessaire(Journal de Montréal) André Beauvais Les travaux qui seront exécutés à la conduite d'eau principale sous le boulevard Pie-IX sont incontournables. Cette conduite approvisionne un grand secteur de Rivière-des-Prairies qui a été privé d'eau potable pendant quelques semaines au mois de septembre lorsque la Ville a découvert plusieurs faiblesses dans cette conduite. Inaction coûteuse Les autorités ont donc décidé de prendre les grands moyens et de procéder aux réparations de la conduite. La Ville veut ainsi éviter une fuite aussi importante que celle survenue au même endroit il y a deux ans et demi et qui avait coûté un bras à la Ville en dommages subis par des propriétaires dont les sous-sols de logements avaient été complètement inondés. Depuis septembre 2007, un réseau temporaire a été installé par la Ville pour contourner la partie du réseau condamnée pour amener l'eau potable dans la pointe est de l'île. Boulevard Pie-IX Fermeture en direction sud, entre le boulevard Industriel et Jarry Autobus: une voie sera maintenue en direction sud pour le transport en commun et la circulation locale. Résidants et entreprises du côté est de Pie-IX: doivent faire un détour et revenir en direction nord. Employés des entreprises côté ouest: utiliser la voie réservée pour autobus et circulation locale. Livraisons aux commerces: il est suggéré de modifier les horaires ainsi: de 19h à5h. Copyright © 1995-2005 Canoë inc. Tous droits réservés http://www2.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=338394
  20. Mise à jour: 13/01/2008 08:59 MontréalÉvitez le boulevard Pie-IX(Journal de Montréal) André Beauvais Journal de Montréal Ce pourrait être infernal, demain matin, sur le réseau routier du nord-est de Montréal, en raison de la fermeture du boulevard Pie- IX, direction sud, à la circulation de transit. Le tronçon interdit est situé dans le quartier Saint-Michel, entre le boulevard Industriel et la rue Jarry. La Ville entreprendra des travaux de 11 M$ pour la réparation de la conduite d'eau principale, sous la travée sud de Pie-IX. Le chroniqueur de circulation de Corus, Pierre Lacasse, n'hésite pas à parler de «situation diabolique» pour les premiers jours. «Mais les automobilistes s'ajustent assez rapidement aux situations nouvelles, dit-il, et tout rentrera dans l'ordre en moins d'une semaine sur Pie-IX.» Il craint toutefois que le pont Papineau soit trop sollicité au cours des prochains mois. Car cette fermeture s'échelonnera sur cinq mois afin de permettre des travaux d'infrastructures souterraines. Pour sa part, le chroniqueur de circulation de la Première Chaîne, Yves Desautels, prévoit aussi une congestion majeure dans le secteur. «Les automobilistes qui entreront à Montréal par le boulevard Pie-IX seront certainement refoulés jusqu'au pont et même à Laval», affirme l'expert en circulation. Dans le but, justement, d'éviter des bouchons importants, la Ville de Montréal a installé plusieurs affiches à Laval et dans le nord de l'île de Montréal pour inviter les automobilistes à choisir entre différentes artères. Les options Les automobilistes en provenance de Montréal- Nord, de Laval et de la Rive-Nord devront se diriger vers la rue Papineau, ou les boulevards Saint- Michel, Viau ou Lacordaire. Sophie Voyer, du Service des communications de la Ville de Montréal, ne croit pas que la situation sera pénible. «Plusieurs policiers, dit-elle, seront postés aux endroits stratégiques pour diriger les automobilistes.» Un autre chroniqueur à la circulation, Daniel Evans, raconte que des gens l'ont appelé depuis quelques jours pour obtenir des conseils sur le meilleur itinéraire à choisir. "Il y a encore beaucoup de travailleurs et d'étudiants en vacances. C'est ce qui va peut-être aider. «Il va y avoir des perturbations et des retards importants sur Pie-IX et Papineau au cours de la première semaine, mais je ne crois pas que la situation sera dramatique», explique-t-il. Daniel Evans prévoit des congestions sur des artères majeures comme Saint-Michel, Papineau et Viau. Copyright © 1995-2005 Canoë inc. Tous droits réservés http://www2.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=338395
  21. Carrefour Henri-Bourassa / Pie-IX Le carrefour Henri-Bourassa–Pie-IX sera réaménagé en infrastructure de type urbain sur un seul niveau, en lieu et place d’un échangeur à deux niveaux. Le projet s’accompagne d’une série d’interventions destinées à créer un espace à échelle humaine, plus sécuritaire et plus convivial. De part et d'autre du carrefour, de vastes terrains seront libérés et accessibles au développement. La volonté de l’arrondissement est de permettre l’établissement de bâtiments résidentiels de haute densité, comportant en rez-de-chaussée des services de proximité pour répondre aux besoins du quartier. Le carrefour offre aussi un potentiel d’établissement de terrasses et de restaurants pouvant servir la communauté environnante. L’arrondissement terminera les grands travaux d’infrastructure par le réaménagement du parc Pilon et l’établissement d’un parcours piétonnier dans l’axe de la rue d’Amos. De plus, on prévoit l’installation de nouveaux équipements sportifs et récréatifs. Le projet de service rapide par bus (SRB) sera déployé peu de temps après la réalisation du carrefour. Composantes Parc Pilon Centre sportif et communautaire Oeuvre d’art public Objectifs Remplacer le caractère autoroutier du carrefour par une configuration urbaine offrant un meilleur potentiel de développement Créer un concept adapté à la réalité actuelle et future (projets SRB Pie-IX et A-25). Offrir un environnement convivial et sécuritaire à l’ensemble des usagers du carrefour (piétons, cyclistes, usagers du transport collectif, automobilistes) Protéger les rues locales de la circulation de transit Améliorer l’image de l’entrée de la ville Investissement prévu 35 M$ : Ville de Montréal (intersection) Montant à confirmer : Arrondissement de Montréal-Nord (parc et complexe sportif) Caractéristiques Une empreinte verte, fortement aménagée Des trottoirs de grandes dimensions (18 mètres) La mise en place d’une œuvre d’art public de grande taille L’établissement de bâtiments marquants de part et d'autre du carrefour Une signature architecturale préciseUne approche de développement durable Aménagement d’une piste cyclable reliée à celle du boulevard Gouin Des mesures assurant la sécurité des piétons Calendrier Début des travaux: automne 2011 Fin prévue : 2014 Promoteurs Ville de Montréal (réaménagement de l’intersection) Arrondissement de Montréal-Nord (développement d’ensemble du carrefour) Partenaires Agence métropolitaine de transport (AMT) Société de Transport de Montréal (STM) (Projection du carrefour Henri-Bourassa/Pie-IX - vue vers le sud) (Perspective d'ambiance - coin boulevard Pie-IX et rue d'Amos) (Projection de l'intersection Pie-IX et d'Amos - vue vers le nord-est) (Projection du futur complexe sportif et communautaire au nord du parc Pilon) (Coupe du boulevard Pie-IX au carrefour réaménagé) (Aménagement de l'îlot nord-est du carrefour - accueil d'une future oeuvre d'art public) (Esquisse de réaménagement du parc Pilon)
  22. Le projet de navette ferroviaire sur les rails Michel Larose Le Journal de Montréal 12/01/2008 08h32 Le projet de relier l'aéroport P.- E.-Trudeau au centre-ville de Montréal par une navette ferroviaire a franchi une nouvelle étape alors qu'un appel d'offres de préfaisabilité a été lancé cette semaine. Ce projet a été au coeur de l'actualité en mai dernier lorsque la Ville de Montréal a présenté son ambitieux plan de transports de 8 milliards de dollars. ADM, la Ville de Montréal, la communauté métropolitaine de Montréal, AMT et le ministère fédéral des Transports ont formé un bureau de projets en juin dernier. «C'est clair que nous passons à l'action. Nous voulons tous une navette qui relie l'aéroport de Dorval au centre-ville de Montréal», a dit André Lavallée, responsable de ce dossier au comité exécutif de la Ville. Selon lui, il est primordial que l'aéroport demeure attrayant au moment où la ville américaine Plattsburgh offre des vols à prix alléchants depuis juin dernier. Conclusions en septembre Aéroports de Montréal (ADM) construit actuellement au coût de 18 M$ une coquille de gare sous le nouvel hôtel de l'aéroport Pierre- Elliott -Trudeau. «Une voie ferrée sera aménagée de la gare de Dorval à celle de l'aéroport», a confirmé Christiane Beaulieu, vice-présidente, affaires publiques d'ADM. Elle ajoute que l'étude de préfaisabilité établira techniquement la meilleure manière de relier le centre-ville à l'aéroport. Les conclusions seront livrées le 30 septembre. Des questions «Pour l'instant, on ne peut dire jusqu'où ira la navette au centreville. On peut encore moins dire quel type de navette véhiculera les passagers. S'agira-t-il d'un train léger ou d'un tramway? Nous n'en avons aucune idée», a ajouté Mme Beaulieu. Toutefois, selon elle, un nouveau rail devra être construit dans le corridor qui relie actuellement Dorion et la gare Centrale. Les voies du CN et du CP sont déjà utilisées au maximun pour le transport des marchandises. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/01/20080112-083201.html
  23. 18 milliards ...il y a 13 ans. qqun peut actualiser ce montant?
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