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  1. Gare autoroute 13 (ARR. ROXBORO, SAINT-LAURENT, AHUNTSIC/CARTIERVILLE – VILLE DE MONTRÉAL) La Ville de Laval a le projet de développer le secteur comprenant le quadrant sud-est du carrefour de l’autoroute 13 avec le boulevard Samson. Dans ce contexte, il est intéressant d’étudier l’accessibilité d’une future gare sur la ligne Montréal/Deux-Montagnes, à proximité de l’autoroute 13, avec un stationnement incitatif d’environ 2 000 places. Ce projet étudiera l’accessibilité au site en fonction des normes en vigueur et analysera tous les scénarios d’accessibilité jugés intéressants, avec ou sans collectrices le long de l’autoroute 13. Les concepts développés devront tenir compte des aspects de géométrie, de circulation et de sécurité. Les impacts sur le réseau local, de même que ceux sur les réseaux artériel et supérieur, seront énoncés. L’AMT souhaite ajouter sur l’île de Montréal une gare rattachée à la ligne Montréal/Deux-Montagnes. Cette gare, avec un stationnement incitatif de 2 000 places, pourrait être localisée entre les boulevards Gouin et Henri-Bourassa. Dans la première phase de ces études, un terrain potentiel sera identifié, la capacité d’accueil du stationnement sera évaluée en respectant les normes d’aménagement usuelles pour de tels stationnements en milieu urbain, et les conditions d’accessibilité seront vérifiées. De plus, les impacts sur la circulation aux abords du stationnement seront évalués. p35: http://www.amt.qc.ca/corpo/documents/budget/budget2007/pdf/Budget_AMT_2007_PTI.pdf
  2. B.42 Gare Édouard-Montpetit − Études d’avant-projet ( ARR. VILLE-MARIE – VILLE DE MONTRÉAL) L’AMT a complété en 2006 une étude de préfaisabilité pour une gare intermodale sous la station Édouard-Montpetit de la ligne bleue du métro de Montréal. Cette nouvelle gare offrirait de nombreux avantages en permettant : • d’offrir un lien direct vers la ligne bleue du métro à partir du nord de l’île de Montréal, de Laval et de l’ensemble de la couronne nord, via les lignes de Montréal/Deux-Montagnes, Train de l’est , et éventuellement, Montréal/Blainville–Saint-Jérôme ; • d’offrir un lien direct vers le campus de l’Université de Montréal à partir de ces trois lignes de train de banlieue ; • d’offrir un lien vers la ligne bleue et l’Université de Montréal à partir de la Rive-Sud, via les lignes Montréal/Mont-Saint-Hilaire et Montréal/Deux-Montagnes avec une correspondance à la Gare Centrale ; • de rejoindre le centre-ville de Montréal en cinq minutes seulement pour les résidents des quartiers Outremont et Côte-des-Neiges. En raison du potentiel d’achalandage très intéressant de cette gare et des conclusions positives de l’étude de préfaisabilité, l’AMT procédera en 2007 aux études d’avant-projet, en collaboration avec la STM, la Ville de Montréal, les arrondissements concernés et l’Université de Montréal. Les études tiendront compte également du projet de gare et de campus à la gare de triage Outremont sur la ligne Montréal/Blainville−Saint-Jérôme. p72:http://www.amt.qc.ca/corpo/documents/budget/budget2007/pdf/Budget_AMT_2007_PTI.pdf
  3. B.40 Gare McGill − Études d’avant-projet (ARR. VILLE-MARIE – VILLE DE MONTRÉAL) La majorité des usagers de la ligne Montréal/Deux-Montagnes qui descendent à la Gare Centrale se dirigent vers le nord du boulevard René-Lévesque. Une nouvelle gare intermodale reliant cette ligne à la station McGill de la ligne verte du métro permettrait l’accès plus rapide à ce secteur d’emploi et d’études et représenterait un attrait important pour le réseau de trains de banlieue et pour le développement économique du centre-ville de Montréal. Dans un avenir très rapproché, le nouveau service du Train de l’Est empruntera le tunnel sous le Mont-Royal et, avec l’aménagement d’un nouveau lien ferroviaire, la ligne Montréal/Blainville–Saint-Jérôme pourrait également emprunter le tunnel sous le Mont-Royal et faire de la nouvelle gare McGill l’un des plus puissants générateurs de déplacements dans la région de Montréal. Suite aux résultats de l’étude qui sera complétée en 2006, l’AMT décidera de la pertinence d’aménager une nouvelle gare intermodale McGill. ----------------------------- c'est vraiment officiel p72:http://www.amt.qc.ca/corpo/documents/budget/budget2007/pdf/Budget_AMT_2007_PTI.pdf
  4. L'Ecole de technologie supérieure de Montréal inaugure une nouvelle aile Il y a 10 heures MONTREAL - L'Ecole de technologie supérieure (ETS) de Montréal a inauguré lundi la nouvelle aile de son pavillon principal, au terme de travaux de 64 millions $. Le ministère de l'Education a investi dans l'agrandissement de l'ETS une somme de 25,7 millions $, à laquelle il a ajouté 3,5 millions $ pour l'achat de mobilier, d'appareillage et d'outillage. Le ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation a quant à lui octroyé une subvention de 28 millions $. Québec a donc allongé une somme totale de 57,2 millions $, tandis que l'ETS consacrait pour sa part 7 millions $ à l'agrandissement de son pavillon. La ministre de l'Education Michelle Courchesne et sa collègue responsable des Aînés Marguerite Blais, députée de la circonscription de Saint-Henri-Sainte-Anne - où l'ETS est située -, étaient toutes deux présentes au moment de l'inauguration officielle. Le directeur général de l'ETS, Yves Beauchamp, a indiqué que cet agrandissement permettrait d'attirer de nouveaux professeurs et davantage d'étudiants de deuxième et troisième cycles, de favoriser les collaborations interuniversitaires et internationales, et de consolider les partenariats de l'établissement avec l'industrie. Cet agrandissement de 22 000 mètres carrés porte la superficie totale de ses pavillons à 100 000 mètres carrés. Quelque 60 pour cent de l'espace supplémentaire est consacré exclusivement à des activités de recherche. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iJtXJP57xh2fSn2VlbBqsaaJWEIw
  5. New departures hall under construction at Montreal's Trudeau airport The expansion of Montreal's Pierre Elliott Troudeau airport continues, with the biggest construction site under way being a new $250-million transborder departures hall scheduled for completion later this year. Also under construction is a new Marriott hotel. By December concrete work for the building had reached the fourth level. The latest phase is part of a $700 million expansion, which was launched in 2000 by Aeroports de Montreal. The expansion has already doubled the terminal's capacity, added two new passenger jetties for international flights, and a new arrivals complex. The new transborder area will give easier access to the 21 U.S. boarding gates and will increase the number of check in counters to 124 from 77, including 44 self-serve booths. The transborder departures section comprises a baggage sorting room on the main level and a registration and customs clearance hall on the first floor. The new hall also has 1,500 square metres of retail space and 500 new underground parking spaces. The shell of a rapid link train station to downtown Montreal is also incorporated within the new complex. Engineering companies working on the new transborder hall and hotel include SNC-L/NC as structural engineer, Dessau and BPR as mechanical-electrical engineers, and Dessau as civil engineers. The project manager is ADM. The architects are Provencher Roy, Cardinal-Hardy and Jodoin Lamarre Pratt.
  6. Des contrats de 660 M$ au Québec L'industrie aéronautique québécoise bénéficiera de retombées d'au moins 660 millions de dollars dans la foulée de contrats accordés par Ottawa aux firmes américaines Boeing et Lockheed Martin. C'est ce qu'ont annoncé ce matin les ministres fédéraux de l'Industrie, Jim Prentice, et des Travaux publics, Michael Fortier, lors d'une conférence de presse organisée à Laval. Les ministres conservateurs ont annoncé que Boeing investira 420 millions de dollars au Québec pour respecter les termes du contrat d'achat et d'entretien des quatre avions de transport stratégique C-17 de Boeing. L'autre tranche de 240 millions de dollars concerne des contrats alloués par Lockheed Martin, qui doit lui aussi réinvestir au Canada en raison de l'obtention du contrat fédéral pour 17 avions de transport tactique C-130J. Il s'agit dans ce cas d'un premier contrat et d'autres pourraient venir s'ajouter. Chez RTI Claro, à Laval. En ce qui concerne Boeing, 346 millions seront investis chez RTI Claro, à Laval. L'entreprise fabriquera des rails en titane pour équiper les Boeing 787 Dreamliner de la firme américaine. Une certaine confusion règne toutefois quant à l'aspect nouveauté de ce contrat. En conférence de presse, le ministre Fortier a admis que le contrat avait été signé il y a un an, mais qu'il avait été récemment renégocié. Boeing affirme en outre avoir signé des contrats avec Bombardier, Eedo, des fournisseurs québécois de Goodrich, l'Université McGill, Minicut, Howmet Castings et Aeromecachrome. Au total, l'entreprise dit avoir accordé des contrats comptant pour 66 % de la somme qu'ils doivent réinvestir au pays en vertu de la Politique des retombées industrielles au Canada. Cette somme équivaut à 869 millions, soit le prix d'achat des quatre appareils C-17 (dont a été soustrait le coût de certaines pièces). Le contrat total de Boeing est évalué à 1,8 milliard de dollars. Les 420 millions investis au Québec signifient que la province reçoit près de 50 % des retombées du contrat. Cette proportion des retombées est importante aux yeux des politiciens québécois, qui insistent pour que la province reçoive une part équivalente au poids de son industrie aéronautique au pays, soit entre 55 % et 60 %. Lockheed Martin, qui a décroché un contrat de 1,4 milliard pour les C-130J, s'est pour sa part engagé à investir 842 millions de dollars au Canada, en plus d'autres engagements pour de l'entretien qui font toujours l'objet de négociations, selon le gouvernement. La conférence de presse du gouvernement pour annoncer ces contrats n'était pas dénuée d'intérêt électoraliste. Le ministre Fortier a profité de l'occasion pour présenter à la presse les candidats conservateurs pour la région de Laval. Trois autres annonces concernant les retombées au Canada des contrats accordés à Boeing et Lockheed Martin doivent avoir lieu cette semaine. Elles concernant l'Atlantique, l'Ontario et l'Ouest du pays.
  7. Jean Charest s'inquiète de l'avenir d'Alcan 21 janvier 2008 - 06h29 La Presse Tommy Chouinard LONDRES Agrandir Jean Charest poursuit sa tournée en Europe. Vendredi, il a rencontré le premier ministre francais, Francois Fillon. Le premier ministre Jean Charest est préoccupé par l'achat possible du groupe minier britannique et nouveau propriétaire d'Alcan, Rio Tinto, qui fait l'objet de convoitises de la part de sa rivale BHP. Il veut éviter qu'une éventuelle transaction remette en question la présence à Montréal du siège social d'Alcan ou mène à des suppressions d'emplois au Québec. Jean Charest rencontrera cette semaine le président du conseil d'administration de Rio Tinto, Paul Skinner, afin de s'assurer que les engagements que la compagnie a pris envers le Québec en achetant Alcan soient respectés, peu importe ce qu'il adviendra. «Je vais lui rappeler les obligations qui sont contenues dans la convention de continuité. Il faut que tout le monde sache que ces obligations doivent être respectées», a affirmé M. Charest au cours d'un entretien accordé à La Presse, dimanche. Selon la convention de continuité conclue entre Alcan et le gouvernement, le siège social de la compagnie doit demeurer à Montréal et un plancher d'emplois doit être respecté. Si ces promesses ne sont pas tenues, Québec pourrait priver Alcan d'électricité à tarif préférentiel. Le producteur d'aluminium pourrait également faire une croix sur des blocs d'énergie supplémentaires. Mais cette convention pourrait ne pas survivre à une autre transaction, estiment des analystes. L'australo-britannique BHP cherche présentement à s'emparer de Rio Tinto, le nouveau propriétaire d'Alcan. Rencontres Jean Charest a décidé de planifier une rencontre avec Paul Skinner cette semaine lors de son passage à Londres, deuxième escale de la mission européenne du premier ministre. Aujourd'hui (lundi) et demain (mardi), M. Charest aura des entretiens privés avec plusieurs gens d'affaires. Il doit également prononcer une allocation devant la Chambre de commerce canado-britannique. Il fera la promotion d'un traité de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne, comme il l'avait fait à Paris la semaine dernière. Mercredi, Jean Charest se rendra au Forum économique mondial de Davos, en Suisse. Cet événement réunit des chefs d'État et des dirigeants des plus importantes compagnies de la planète. Jean Charest participera à deux ateliers, dont l'un ayant pour thème «Mondialisation = homogénéisation culturelle?» et qui réunira notamment le PDG de Burger King, John W. Chidsey, le chanteur Peter Gabriel et le maire de Londres, Ken Livingston. Forum de Davos Le Forum de Davos est également l'occasion pour le premier ministre de rencontrer quelques représentants politiques. Il aura des entretiens avec le gouverneur de l'État de Mexico, Enrique Pena Nieto, celui du Nuevo Leon, José Natividad Gonzales Paras, le ministre-président de la Flandre, Kris Peeters, et le gouverneur de l'État du New Jersey, Jon Corzine. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080121/LAINFORMER/801210656/5891/LAINFORMER01
  8. Boeing déboursera 400 M$ au Québec 21 janvier 2008 - 06h10 La Presse Sophie Cousineau Un avion C-17 de Boeing. Boeing ne boudera pas le Québec. Le constructeur d'avions américain accordera pour près de 400 M$ de contrats à des entreprises d'ici qui profiteront ainsi des retombées industrielles associées à l'achat d'avions de transport C-17 par le gouvernement fédéral. C'est un premier gain appréciable pour l'industrie aérospatiale du Québec qui craignait que sa récolte de contrats ne soit largement inférieure à son importance. Rappelons que dans une décision critiquée au Québec, le gouvernement fédéral a laissé à Boeing toute latitude sur l'emplacement de ses retombées industrielles au Canada. Boeing annoncera les contrats ce matin (lundi) à l'usine flambant neuve de la société RTI Claro dans le parc industriel de l'autoroute 25 à Laval, en compagnie des ministres conservateurs Jim Prentice (Industrie) et Michael Fortier (Travaux publics). L'emplacement n'a pas été choisi au hasard. De la dizaine d'entreprises qui ont décroché un contrat avec Boeing au terme d'un lobbying intensif de l'industrie québécoise, c'est RTI Claro qui obtient la part du lion. La valeur de son contrat frise les 300 M$, d'après les informations obtenues par La Presse. RTI Claro est une filiale de RTI International Metals, entreprise de l'Ohio dont le titre se transige à la Bourse de New York. Cette spécialiste du titane vient d'investir 43 millions pour déménager sa division montréalaise de Saint-Léonard à Laval. Elle compte plus de 250 salariés qui usinent des pièces d'aéronefs en alliage de titane, en aluminium et en acier inoxydable. Boeing figure déjà parmi les clients importants de RTI Claro, aux côtés de Bombardier et de Bell Helicopter. Le nouveau contrat à long terme d'une durée de 10 ans porte sur la fourniture de composants en titane pour les rails des sièges du nouveau Boeing 787 Dreamliner. En octroyant ces contrats de près de 400 M$, Boeing remplit une bonne partie des engagements associés à la vente des quatre avions de transport C-17. Ottawa déboursera 1,8 milliard de dollars pour les avions, leurs moteurs et les infrastructures associées à ces appareils. En vertu de l'entente convenue avec le gouvernement fédéral, le constructeur américain est tenu d'investir au Canada un dollar pour chaque dollar reçu. Cela équivaut à un investissement de 869 millions de dollars, soit le prix des appareils sans leurs moteurs. Boeing a huit ans pour s'acquitter de cette obligation. Avec des contrats de 400 millions de dollars, le Québec est assuré de recevoir au moins 45% des retombées industrielles du contrat de fourniture des C-17. Ce ne sont pas encore les 50% à 60% réclamés par l'industrie québécoise. Avec 40 400 emplois et des ventes de 11,4 milliards en 2006, le Québec représentait 60% de toute l'activité en aérospatiale au pays, calcule le ministère québécois du Développement économique. Mais ce 45% est mieux que ce que le Québec appréhendait. L'industrie québécoise redoutait que Boeing ne concentre le gros de ses retombées industrielles à sa propre usine de Winnipeg. Elle craignait aussi que Boeing refuse d'encourager des entreprises québécoises qui travaillent avec Bombardier, un rival qui veut jouer dans sa cour avec son projet d'avion commercial CSeries. Reste à voir si le Québec fera mieux - ou pire - dans les autres contrats. L'achat des quatre C-17 est en effet assorti d'un autre contrat de 1,6 milliard pour le soutien en service pendant 20 ans de ces gros appareils qui servent à déplacer du personnel et du matériel en cas de catastrophe nationale ou de crise internationale. Et ce n'est qu'une partie des achats d'équipements militaires qui se trouvent sur la liste d'épicerie du gouvernement Harper. Il y en a pour plus de 17 milliards de dollars. Or, exception faite des navires de soutien et des camions logistiques, les trois quarts de ces achats tiennent du secteur aérospatial. À preuve, le contrat de 1,4 milliard de dollars octroyé il y a une semaine au constructeur américain Lockheed Martin pour l'achat de 17 avions de transport Hercules. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080121/LAINFORMER/801210755/5891/LAINFORMER01
  9. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    Tanguay a déjà été plus heureux... Marc de Foy Le Journal de Montréal 21/01/2008 06h10 Alex Tanguay n'est pas parti de Calgary, mais il n'y file pas le parfait bonheur non plus. Si les Flames désirent l'échanger, ils devront d'abord lui demander de renoncer à la clause de non-échange comprise dans son contrat, qui est encore valide pour un an à un salaire de 5,375 millions. Contrairement à une information rapportée par le réseau TSN vendredi, Tanguay n'a donné aucune autorisation en ce sens. «C'est faux», a déclaré au Calgary Herald le directeur général des Flames, Darryl Sutter, qui assistait au match entre le Canadien et les Penguins samedi soir. «Si on procédait à une transaction, il faudrait qu'elle soit significative pour nous parce qu'Alex est un des meilleurs ailiers gauches de la ligue.» Ça prendra plus que Ryder En termes clairs, ça prendrait plus que Michael Ryder. Sutter, qui est passé aussi par Toronto et le New Jersey avant de s'arrêter à Montréal, n'a pas dû être impressionné, d'ailleurs, par ce qu'il a vu de Ryder l'autre soir. Le trio que ce dernier formait avec Bryan Smolinski et Guillaume Latendresse a moins joué en troisième période, Ryder n'ayant été utilisé que pour un total de neuf minutes 25 secondes dans la rencontre. Maintenant qu'on sait que Sutter voudrait plus que Ryder, seriez-vous prêt à céder Alex Kovalev ou Chris Higgins, ou encore un jeune joueur en progression comme Andrei Kostitsyn, pour Tanguay? Pour sa part, l'attaquant originaire de Sainte-Justine a corroboré les propos de Sutter après avoir participé avec ses coéquipiers des Flames à des concours d'habileté tenus devant public au Saddledome de Calgary, hier. «Il n'y a eu aucune discussion entre moi et la direction», a-t-il déclaré au confrère Jean Lefebvre, journaliste natif du Québec qui suit les activités des Flames pour le Herald. «Personne ne m'a parlé de rien.» Insatisfait de son utilisation On dit toutefois que Tanguay n'est pas content de la façon dont il est utilisé. Relégué au deuxième trio, il joue aux côtés du vétéran Craig Conroy, duo auquel s'ajoutait Owen Nolan avant qu'il ne subisse une blessure récemment. Tanguay a aussi perdu sa place au sein de la première vague de l'attaque massive. Cette situation pourrait-elle l'inciter à laisser tomber sa clause de non-échange? «On verra», a-t-il répondu à cette question. Comme quoi ce ne serait pas impossible. Mais encore faudrait-il qu'il accepte de venir jouer à Montréal, car s'il faut se fier à une entrevue qu'il avait accordée aux médias de Calgary avant une visite des Flames au Centre Bell la saison dernière, une telle perspective pourrait lui faire peur. «Les médias sont tellement durs à l'endroit des joueurs francophones», avait-il dit. «Si vous croyez qu'il est difficile de jouer à Toronto ou à Calgary, je ne pense pas qu'il y ait pire que Montréal pour un joueur francophone.» Doit-on établir un lien avec le fait qu'il a côtoyé José Théodore à sa dernière saison au Colorado? http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/01/20080121-061001.html
  10. Le TGV pourrait s'exporter en Floride, au Texas ou au Québec lundi 21 janvier 2008, 11h08 | AFP Dominique Bussereau a estimé lundi que la vente du TGV en Argentine ouvrait la porte à de nouveaux contrats sur la continent américain, notamment en Californie, en Floride et au Texas (Etats-Unis), ainsi qu'au Québec (Canada). Le contrat signé avec l'Argentine représente une «pénétration sur le marché américain et c'est très important parce que ça peut donner des idées à d'autres», a affirmé le secrétaire d'Etat aux Transports. «La Californie est intéressée», a rappelé M. Bussereau, soulignant: «On va y aller bientôt et les contacts se poursuivent». Lors d'une visite à Paris, le gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger «est allé à la gare de l'Est» et «a pris un billet, est allé à Reims, est revenu» et aurait demandé à visiter la cabine de conduite. Mais au-delà, «les possibilités sont très nombreuses» sur le continent: «il y a quelque chose qui pourrait se faire au Texas du côté de Houston et Dallas, en Floride également, le corridor québécois Montréal-Québec-Windsor peut être intéressant». Le contrat argentin «montrera, pas très loin, que le continent américain peut accueillir un TGV français», selon lui. Le groupe français Alstom a été officiellement désigné par l'Argentine mercredi dernier pour réaliser le premier train à grande vitesse d'Amérique Latine entre Buenos-Aires et Cordoba, située à 700 km plus au nord-ouest. http://www.leparisien.fr/home/info/economie/articles.htm?articleid=295993295
  11. c'est pas important ça habsfan le centre ville n'empêchera pas ce centre de livrer une chaude lutte au carrefour laval.
  12. Merci à tout le monde! C'était une tournée spéciale, parce que toutes les photos ont été prises avec mon grand angle, sauf pour le crystal (vu de sherbrooke) et le westin. C'est pas pire quand même!
  13. Désolé, mais entre ce nouveau design et le ton «mal de coeur» de l'ancien : Je prends le nouveau.
  14. Je crois que c'est les salles de conférences qui sont là, donc pas besoin de fenêtres. Moins, c'est mieux, même.
  15. oui l'ajout est une horreur, je comprends pas non plus... où sont les fenêtres?
  16. c'est 1500 personnes de moins qui se cherchent de l'emploi, ce qui pousse tous les salaires vers le haut vu la pénurie qui existe préstenement. et ça sera 8.50$ / h
  17. Oubliez ce vieux design qui semblait malade, voici le tout nouveau design!!! http://www.westinmontreal.com/
  18. En passant en autobus l'autre jour, j'ai remarqué que les pancartes avec rendus sur le site affichaient un autre modèle de tour que celui que nous connaissons sur le forum. Quelqu'un pourrait vérifier? J'irais, au pire. Ça ressemblait plus à ça:
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