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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Dans les années 60...on a rasé un quartier pour constuire des stationnements d'une station de télévision et de radio, on a eu comme projet de rasé tout le plateau pour faire une université, on a ..., etc. Dans les années 60...on se permettait tout... La limite de hauteur était probablement là, mais on s'en foutait royalement. Yara pourrait nous dire réellement pourquoi.
  2. Non mon ami, c'est le "wish" du groupe, je suis au courant. Il sera pas mis à terre. La ville est contre ça.
  3. CGI hausse ses profits de 66% 5 février 2008 - 08h51 LaPresseAffaires.com Michel Munger Agrandir CGI a surpassé les attentes au premier trimestre. Grossir caractèreImprimerEnvoyer La croissance des ventes et de la marge de profits ont aidé le groupe de consultants CGI (GIB.A) à faire grimper ses profits de 66% à son premier trimestre. Ainsi, la compagnie montréalaise empoche un profit de 72,6 M$ ou 22 cents par action. Elle dépasse les attentes car les analystes prévoyaient 19 cents par action. Les résultats tiennent compte de l'impact négatif des taux de change mais aussi d'un ajustement fiscal lié aux nouveaux taux d'imposition du gouvernement fédéral. Les revenus ont crû de 1,2% à 914,7 M$ lors du premier trimestre. La marge de profit a bondi à 7,9%, se situant à 4,8% un an plus tôt. Le carnet de commandes de CGI s'établissait à 12 G$ au 31 décembre. «Nous demeurons persuadés que pour atteindre nos cibles de croissance rentable et réaliser notre stratégie d'exploitation, nous devons continuer à nous concentrer sur l'excellence de l'exécution», commente Michael Roach, PDG de CGI. «À cet égard, la mise en oeuvre de notre stratégie de développement commercial, qui se poursuit, continue à mettre au jour d'importantes possibilités de croissance et de vente, comme en témoigne la croissance soutenue des nouvelles affaires signées au cours du dernier trimestre et des trimestres précédents.» L'action de CGI a clôturé à 10,30 $ lundi à la Bourse de Toronto.
  4. Ils déplaceront rien, la ville est contre.
  5. Pas vrai du tout, le gardiner ne bougera pas. Rien n'as été décidé, arrête de projeter tes fantasmes
  6. Bienvenue peluche! Merci pour l'info, mais il existe déjà un fil sur le sleb!
  7. Postdamer Platz... arrête là, pousse, mais pousse égale! Bergeron c'est du rien, de la fantaisie. Il a perdu toute crédébilité à mes yeux la journée qu'il a ouvert sa bouche sur les tribunes publiques. Moi je commente ta vision, je vois des hangars, des trains et des containeurs. Tu mets un musée en plein milieu avec aucun accès raisonnable... quel paquebot voudrait s'arrêter là pour qu'un seul musée (à moins que tu prévois avoir la Joconde à l'intérieur heheheh).
  8. la vision d'étienne est irréaliste même dans cette forme. quelle folle d'administration metterait un musée ou un quelconque point d'intérêt dans un "no-mans-land" entre quelques conteneurs et des wagons de trains? Pour y accéder on fait quoi? traverser le boulvard, prendre ces ponts piétons à la L.A. pour traverser les rails de trains pour finalement arriver au musée? Voyons donc. Ton scénario ne règle pas le problème de circulation, plus de voies seraient un début de solution... mais t'as une mauvaise fois telle, que tu nous montre qu'il est possible d'accéder à l'eau en ayant un pont piétonnier traversant un grand "rail yard", mais pas le même pont qui traverserait une future quelconque autoroute...
  9. mtlurb

    MLS Impact de Montréal

    Montréal est l'une des neuf villes candidates pour une équipe dans la MLS LA PRESSE CANADIENNE “MONTRÉAL - Le commissaire de la Major League Soccer, Don Garber, a fait connaître vendredi la liste des neuf villes qui se disent intéressées par l'obtention une équipe d'expansion. Parmi elles se retrouvent les villes canadiennes de Montréal et Vancouver.” Garber a toutefois indiqué, lors d'une allocution prononcée devant des membres du National Press Club à Washington, D.C., que les villes de Philadelphie et St. Louis étaient les favorites à court terme. Le propriétaire des Falcons d'Atlanta de la NFL, Arthur Blank, et celui des Mets de New York du baseball majeur, Fred Wilpon, ont également exprimé leur intérêt d'obtenir une équipe. Le commissaire a ajouté que les villes de Las Vegas, Miami et Portland, en Oregon, étaient aussi des candidates envisageables. Le Toronto FC, la première équipe canadienne à se joindre à la MLS, vient de compléter sa première campagne dans le circuit à titre d'équipe d'expansion. Cette concession aurait toutefois reçu l'assurance de demeurer la seule équipe canadienne dans le circuit jusqu'en 2010. L'Impact évolue présentement dans la première division de la United Soccer Leagues, qui représente le plus haut niveau de jeu en Amérique du Nord après la MLS. Plus tôt cette semaine, la MLS a annoncé qu'une équipe d'expansion avait été accordée à Seattle en vue de la saison 2009. Cette ville accueillait jusqu'ici les Sounders, équipe rivale de l'Impact dans la USL. Le propriétaire de cette formation, Adrian Hanauer, sera l'un des propriétaires de la concession de Seattle dans la MLS. Le circuit a également accordé une nouvelle concession à la ville de San Jose, qui retournera dans cette ville dès la saison prochaine. L'entraîneur des nouveaux Earthquakes sera le Canadien Frank Yallop. La MLS se retrouve donc avec un total de 15 concessions et Garber a dit vouloir en ajouter une 16e d'ici la fin de l'année. Il a précisé que la ligue espérait miser sur 18 équipes d'ici 2010 ou 2011. http://www.ckacsports.com/soccer/montreal_est_neuf_villes-20071116-547932.html
  10. Je veux juste vous rappeler que le terrain est sur ste-Catherine. La hauteur permise sur cette rue est à peine 5 étages. Ils ne peuvent pas construirent plus haut. Pourquoi on n'y a pas pensé... Personnellement, je crois que c'est peut-être juste une partie du projet qui aura 4 étage (sur ste-catherine). Rien n'empêche de faire une tour plus haute plus éloignée sur le terrain, on a déjà fait ça dans le passé. Un projet de 120 millions pour 4 étages, c'est pas possible il me semble, à moins que le hall d'entrée soit en or...
  11. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    Christine Daniels: 1976-77 Montreal Canadiens 'Les Habitants' dominated the NHL for more than a decade, winning 10 Stanley Cups in 15 years. The '76-77 team was probably their best during that run. January 29, 2008 Home is where Les Habitants struck fear into the hearts of opponents throughout the 1976-77 NHL season. dcmaxversion = 9dcminversion = 6DoOn Error Resume Nextplugin = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & dcmaxversion & "")))If plugin = true Then Exit Dodcmaxversion = dcmaxversion - 1Loop While dcmaxversion >= dcminversion En route to a league-record 60 victories and 132 points in 80 regular-season games, the Montreal Canadiens compiled a home record of 33-1-6. One loss at home all season. It happened on Oct. 30, 1976, against the Boston Bruins, by a score of 4-3. In the long term, it was the worst thing that could have happened to the Bruins that evening. The Canadiens, in the midst of their last dynastic run, promptly launched the longest home unbeaten streak in NHL history -- 34 games (28-0-6), beginning Nov. 1 and lasting until April 2, 1977. After sweeping St. Louis in the quarterfinals and eliminating the New York Islanders in six games in the semifinals, the Canadiens met up again with the Bruins in the Stanley Cup finals. Boston did not have a chance. Montreal won Game 1, 7-3, and the sweep was on. The Bruins scored only six goals and were outscored by 10 in the four games. The Canadiens have won the Stanley Cup 24 times, 10 during a 15-year romp from 1965-1979. Choosing one "greatest" team from that tradition is challenging work, and the Canadiens were so good in the 1970s that their record-setting season was taken for granted by many at the time. After all, hadn't the 1975-76 Canadiens broken NHL records with 58 victories and 127 points? So they broke those records again the following season? That's what the Canadiens do, right? But by any standard, Montreal's 1976-77 season was special. Guy Lafleur led the league in scoring with 56 goals and 80 assists and Steve Shutt was third with 60 and 45. Lafleur was most valuable player of both the regular season and playoffs, Larry Robinson won the Norris Trophy as the league's best defenseman, Scotty Bowman was coach of the year and goaltenders Ken Dryden and Michel Larocque won the Vezina Trophy with a 2.09 goals-against average. The postseason first-team NHL All-Star team featured two-thirds of the Montreal starting lineup: Lafleur and Shutt as wingers, Robinson as a defenseman, Dryden in goal. Guy LaPointe was a second-team defenseman. Of note to local hockey fans: Kings center Marcel Dionne, second in the league in scoring that season, joined Lafleur and Shutt on that first-string All-Star forward line. Dionne scored 53 goals for a Kings team that placed second in the Norris Division with 83 points -- keeping them within 50 points of the first-place Canadiens. http://www.latimes.com/sports/la-sp-daniels29jan29,1,1825756.column?ctrack=1&cset=true
  12. Monday, February 04, 2008 A young Montreal circus troupe leaps onto 42nd St. BY MICHAEL GILTZ Sunday, February 3rd 2008, 4:00 AM It's a stretch for Heloise Bourgeois during a performance of 'Traces.' The five young circus performers starring in the inventive show "Traces" at the New Victory Theater (229 W. 42nd St.) this Friday through March 2 learned to hold a crowd's attention the hard way: by working as street performers in Europe so they could afford to eat and rent a hotel room. "I remember the first show we did in London," says Francisco Cruz, 24, who, with younger brother Raphael and three of their best friends, went on an unofficial "tour" of Europe during a summer break from clown school in Montreal to work the crowds for pocket change. "We made this whole show, written all down on paper. But I don't think we picked the best spot. Our show was 25 minutes long and we made, I think, three pounds," Cruz laughs. "That's about $6! It was ridiculous." But they'd been performing and rehearsing together for years. Francisco and Raphael grew up just outside San Francisco and met their friends Brad Henderson and William Underwood while studying circus moves, like Chinese hoop-diving, hand-to-hand (which involves gymnastics-like moves with a partner) and Chinese-pole maneuvers. They all went to Montreal for circus college, and there met Héloïse Bourgeois. The five became inseparable, constantly working together on tricks and routines. So they knew how to adapt. "For the rest of our time in London, instead of doing street shows, we'd actually work a street light," explains Cruz. "We'd find a busy intersection, and when there was a red light, we'd run out, do a trick then run to each car and try to get money. And they'd be throwing money at us! In an hour, we'd make about 80 pounds. In two hours, we'd make 200 pounds." If it wasn't already clear, they were meant to work together. Luckily, as they neared graduation in 2001, a Montreal-based circus company called the 7 Fingers was looking to create a show. Veterans of the nouveau performance phenomenon Cirque du Soleil, the 7 Fingers had casually formed out of a desire to create their own show. "We really wanted to create something we called 'circus with a human scale,'" says Shana Carroll, one of the artistic directors of the company and, along with Gypsy Snider, a director of "Traces." "We'd been doing these huge productions, and our instinct was to go intimate and demystify circus." Their first production - "Lofts," in 2002 - was an immediate hit and is still performed all over the world. They wanted to build on that success without duplicating it, and here was a group of kids Carroll had known since most of them were little. (She and Snider urged them to further their learning in Montreal.) "After their three years of circus school, we thought, hey, we should hire them!" says Carroll. "If anyone is going to do a show with them, it should be us." The result is "Traces," a 90-minute burst of energy and creativity that incorporates everything from basketball and skateboarding and piano playing to classic stunts. It has played on four continents so far. In classic 7 Fingers style, the five performers reveal details about themselves so the audience becomes invested in them as personalities and really cares about the dangerous, physically demanding work they do onstage. It's the same lesson they learned in London. "It's not only about the trick," says Cruz of the show he has been working on and performing in for more than two years. "People need to see personality. They need to see we're having fun." Sometimes, almost too much fun. "They're young, and there are attention-span problems compared to other people we're used to working with," laughs Carroll, who hopes another 7 Fingers show - "La Vie," a dark cabaret act - can return to New York for an extended run after playing in the Spiegeltent at South Street Seaport last year. "Putting skateboards and basketballs in the shows, sometimes we think it wasn't such a good idea because every time there's a five-second break, they're jumping around!" http://www.nydailynews.com/entertainment/arts/2008/02/03/2008-02-03_a_young_montreal_circus_troupe_leaps_ont-1.html
  13. Cuban art makes a grand showing in Montreal By Diane E. Foulds, Globe Correspondent | February 3, 2008 MONTREAL - Canada is a great enabler. For years it has served as a virtual way station for travelers, allowing them passage to Havana without running afoul of US travel restrictions. Now it is making possible a journey through Cuban art. The prestigious Montreal Museum of Fine Arts is hosting the most comprehensive retrospective of Cuban art ever held outside Cuba's borders. More than three years in the making, the show surveys some 400 works by more than 100 Cuban artists. More than half of the works were brought from Cuba; the rest are on loan, largely from private collections in New York and Miami and museums, particularly Manhattan's Museum of Modern Art and the Arizona State University Art Museum in Tempe, whose holdings of Cuban art are the world's largest outside Cuba. Paintings and photography dominate, but sculpture, poster art, music, video, magazine covers, installations, films, even cigar wrappers make an appearance, all with the objective of capturing Cuba's elusive national identity, or "cubanida." It is an ambitious task. For historical perspective, the museum has subdivided the show into five categories: colonial art of the 19th century, interwar avant garde, the post-World War II renaissance, revolutionary art after Fidel Castro's rise in 1959, and the caustic conceptualist art that has emerged since 1980. Each section begins with photographic close-ups of the people, conditions, and mood of the era, which is an education in itself. Murder victims slumped on the street, an unsmiling Ernest Hemingway in a bar, prostitutes waiting for customers. Girded with these impressions, you then see the period through an artistic lens. There are dark-haired beauties and strong colors, which you would expect in Caribbean art. Less predictable is the originality of the work, the result, in part, of the island's geographic isolation. The big surprise is how good it is. For Nathalie Bondil, director of the Montreal museum, it was a revelation. Having accepted an invitation to visit Havana's newly renovated Museo Nacional de Bellas Artes, the French-born art historian was astounded "by the scale and quality of the art," she said. On a whim, she proposed an exhibit. In the three years that followed, Bondil traveled to Havana eight times. Bureaucracy was minimal, she said, as unlike the United States, Canada enjoys good relations with Cuba. But the magnitude of the undertaking raises questions. Why, with Castro ailing, would Cuba roll out such a candid look at domestic achievements, hopes, and disappointments? Could the regime be loosening its grip? The timing was "nothing political," Bondil said. She acknowledged Cuba's current drive to spur tourism, saying more Canadians visit its ocean-swept beaches than any other nationality. Bondil's motive was simple: to take the lid off Cuban culture. To make it happen, Montreal has picked up the tab. The museum has added several pieces to its collection and is keeping the door open for future collaboration. Meanwhile, it is turning the show into a veritable Cuban celebration. Ongoing events include lectures, tours, and a Cuban film festival, including "Strawberry and Chocolate," an Academy-Award-nominated 1995 comedy about homosexuality. A 424-page catalog is being published in English, French, and Spanish. In its five chapters, some artists are given long-deserved recognition, like Marcelo Pogolotti, who produced hauntingly colorful avant-garde work in the interwar years. Authored largely by Cuban scholars, the essays don't mince words. Discussing a contemporary artist's habit of ridiculing political propaganda, for example, Panama-based art critic Gerardo Mosquera laments that political slogans "have reached heights of absurdity comparable to North Korean standards." The subtext is hard to miss. One is the message that there's a lot more to Cuban culture than crumbling facades and 1950s-era American cars. The fact that Canada is hosting the exhibit and not the United States, even though US institutions have larger collections of Cuban art, is a subtle reminder of the price the US public is paying for the embargo. Havana boasts a world-class art academy, an esteemed photography school, and an impressive, if little known, art scene. Little known, that is, except for Wifredo Lam (1902-82), who ranks among the 20th century's leading painters. A whole gallery of the show is dedicated to Lam, a surrealist and Picasso protégé who died in Paris and whose paintings are stylistic hybrids reminiscent of Joan Miró, Fernand Léger, and Wassily Kandinsky. Born to a Chinese father and an African-Cuban mother, Lam spent most of his life deconstructing the Afro-Cuban aesthetic. He lived many years in Europe, but returned to Havana in the 1960s. In 1967 he orchestrated one of Cuba's greatest artistic moments, the collective painting of a massive pro-revolutionary mural. The canvas, a patchwork of images radiating outward in a great spiral, was the handiwork of some 100 Cuban and foreign writers, painters, and intellectuals. Each was assigned a square; number 26 was reserved for Castro, but he never showed up, so the square was left blank. This is the mural's first appearance outside Cuba. One of the show's biggest revelations is how tolerant Castro has been of provocative art. Though dependent on Soviet subsidies, the Cuban leader eschewed Socialist Realism. And though artists were censored and even jailed in the 1980s and beyond, their defiance was not quelled. "Castro was always open to abstract and Pop Art," Bondil said. "It was completely different from the situation in Russia." When the Soviet subsidies vanished, living standards dropped, and works of art became even more politically abrasive, taking aim not only at Castro, but at the United States, too. A display called "Cuba, Island of Fiesta and Siesta," parodies the Cuban stereotypes pervasive in US society. But with Florida only 90 miles away, the US presence remains a constant in Cuban thought. All the more reason to hope that a similar show opens in the States. "I must say that the lenders have been especially touched and happy to collaborate with us on this show," said Bondil in an interview published in the January issue of the museum's magazine. "The passion for Cuban art transcends all borders." Diane E. Foulds, a freelance writer in Burlington, Vt., can be reached at dianefoulds@burlingtontelecom.net. http://www.boston.com/travel/getaways/canada/articles/2008/02/03/cuban_art_makes_a_grand_showing_in_montreal?mode=PF
  14. Le Québec prend le chemin du bois Yves Chartrand 02/02/2008 07h59 QUÉBEC | Pour imposer un virage majeur dans la construction d'édifices publics et de bâtiments industriels, le gouvernement Charest annoncera dans les prochaines semaines qu'il compte se servir de son Fonds vert pour favoriser l'utilisation du bois de structure. Selon ce qu'a appris le Journal, le livre vert sur la forêt qui doit être divulgué incessamment sera beaucoup plus large que prévu à l'origine. Il dévoilera non seulement un tout nouveau régime forestier mais également une charte du bois qui imposera un contenu minimal de bois de structure dans la construction d'édifices publics et de bâtiments industriels et commerciaux. Les choses ont considérablement évolué depuis le Sommet sur la forêt en décembre, où le ministre des Ressources naturelles Claude Béchard a aligné les promesses qui ont fait saliver le monde forestier et les intervenants environnementaux. Selon plusieurs sources concordantes, le bureau du premier ministre Jean Charest a maintenant les deux mains dans ce dossier. Quelque part en février, le gouvernement libéral compte frapper un grand coup à saveur environnementale qui lui permettra, espère-t-il, de marquer de gros points politiques. Soutien financier </B> L'élément le plus musclé de la future politique sera d'utiliser l'argent du Fonds vert pour soutenir le virage architectural en faveur de l'utilisation du bois de structure fabriqué au Québec. On le sait, le gouvernement a imposé une «taxe verte» sur le carburant l'automne dernier pour soutenir son plan d'action pour lutter contre les gaz à effet de serre et atteindre les cibles fixées par les accords de Kyoto. Cette redevance rapportera 100 millions de dollars cette année et 200 millions annuellement par la suite. En juin dernier, la ministre de l'Environnement Line Beauchamp avait annoncé que la belle part de ce Fonds vert sera consacrée au développement du transport en commun. Elle veut maintenant y ajouter une politique de soutien financier au virage bois pour compenser les coûts additionnels que pourrait entraîner ce choix écologique. Selon nos sources, le gouvernement fait le pari que la population sera en accord avec lui pour faire ce virage. Il défendra notamment le fait que sa charte du bois aura comme retombée directe d'aider le secteur forestier québécois, en plein marasme économique, en plus de prioriser un matériau écologique lorsqu'il est exploité dans le périmètre du développement durable. Le gouvernement veut également soutenir un changement de culture chez les architectes et les ingénieurs-conseils qui favoriseront le bois au lieu de l'acier et du béton. Même des ponts en bois Déjà, des commandes ont été faites dans certains ministères pour démontrer le sérieux de la volonté gouvernementale. Ainsi, le ministère du Transport a récemment donné des mandats pour explorer la faisabilité de reconstruire en bois de structure des ponts municipaux qui sont à refaire et dont Québec a repris la responsabilité. Avec ce virage, le gouver nement de Jean Charest pourrait bien aller chercher des appuis dans des endroits où il lui en manque cruellement, notamment dans les régions ressources, où il a fait chou blanc aux dernières élections générales. Le virage bois a été réclamé à grands cris au Sommet de la forêt de décembre par à peu près tout ce qu'il y a de forces vives dans les régions. C'est à ce titre exemplaire que les intervenants ont souhaité que la future maison de l'Orchestre symphonique de Montréal soit édifiée en bois de structure. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/02/20080202-075900.html
  15. C'est sûrement de l'hôtelier + condos de luxe (genre locatif corpo). Les condos de luxes seraient sur la partie en hauteur et non le podium pour maximer leur valeur de vente. Très bon raisonnement Gilbert!
  16. Le site est mis à jour, mais on devrait leur dire à true north qu'un site unilingue anglais, ça pogne pas au Québec. C'est tout ce qu'on y trouve de bon.
  17. Je veux pas encore plus vous énerver, mais regardez tout ça : L'Étoile - Embassy Suites 11 étages 216 chambres moyenne de 19,6 chambres/étages Hotel Le Crystal de la Montagne 8 étages 131 chambres moyenne de 16,4 chambres/étages ...donc... Hampton Inn 160 chambres ...donc... ~ 17,5 chambres/étages ...donc... ~ 9 étages -------------------------------------- C'est pas pire 9 étages pour une partie du projet qui devrait être «une sectionn basse sur Bleury et non sur René-Lévesque.» Pour reciter Supermanmtl : «L'hotel, si jamais il y a entente, ne sera qu'un fragment du projet!»
  18. Désolé, mais je n'ai pas de nouvelles sur le projet. je sais que quand vous avex vu que quelqu'un avait écrit sur ce fil, vous vous êtes imaginé une nouvelle incroyable. Ben non...désolé. Mais j'ai tout de même quelque chose d'intéressant. Dans le fil du Hilton, on parlait des raisons pourquoi on n'a pas entendu parler du projet avant sa construction. J'ai avancé l'hypothèse plausible (selon moi) que la hauteur (contrairement à plusieurs projets) respectait probablement la hauteur permise pour le terrain, donc pas vraiment besoin de demander notre avis parce qu'il ne contrevient à aucun règlements d'urbanistes. Ben je veux pas vous faire une fausse joie, mais il est possible, en suivant cette logique, qu'on entende parler du projet que peu de temps avant sa construction puisque la hauteur permise sur ce terrain est la plus haute possible au centre-ville, soit +120 mètres. Il est vrai que si c'est une tour résidentielle, ça ne se compare pas au Hilton alors, puisqu'il y a le côté publicité. Mais en plus, la réaction de Supermanmtl (qui en sait plus que nous) m'amène à penser que c'est un très très important et gros projet... Espérons tout le monde.
  19. hmmm... mon opinion tend vers celle de monctezuma mais pas pour les mêmes raisons. Je crois pas que c'est vraiment un manque d'éducation, mais plutôt une question de priorités que chaque culture a. C'est définitivement pas une question de manque de savoir vivre. Pour les peuples de l'est les nords américains ont peu ou pas de savoir vivre, et à moindre mesure les européens. (C'est bizarre comment la table se retourne!). Dans mon pays d'origine, jeter des choses par terre c'est pas la fin du monde, l'écologisme n'est pas enseignée et ne figure pas parmi les priorités nationales. Les gens sont très polis et savent prendre soin de vous mieux que n'importe quelle mamie ratatinée d'outremont à qui a on a enseigné les bonnes manières. C'est une question de priorités, un autre exemple, dans mon pays aussi, les vieilleries, les anciennes colonnes romaines vielles de milliers d'années trainent litéralement dans les rues, pourquoi? Il y en a tellement qu'on s'en fiche totalement, personne ne prends soins des sites classés historiques... toute la ville, le pays pourrait l'être facilement selon les critères québécois par exemple. C'est peut-être pour ça que je n'accords pas autant d'importance aux vieilles maisons ici à Montréal... c'est mon background. Je préfère les choses nouvelles "shiny", le délabrement, les "hochelaga" et autres quartiers broches à foin me rapellenet trop un pays que mes parents ont délaissés et auquel je ne veux pas retourner. Un autre exemple de différences de priorités... je me suis littéralement battu avec la ville de la ville à coup de téléphone et de lettre de plainte pour que mon trotoire soit déneigé par une "chenille"... c'est ridicule, il y a presque un mètre de neige après une tempête. Finalement la ville à fini par passé! Vendredi, j'ai été surpris de voir le contracteur de déneigement de notre immeuble de condos verser de la neige sur le trottoire!!! Là j'ai compris pourquoi la ville ne passait pas avant! Trop de neige entassée c'est impraticable pour la chenillette. J'ai pris mon manteau et je suis allé voir le contracteur pour lui demander de ne plus la verser là! Il me répond qu'une des proprios de condos à demandé qu'on ne la verse pas sur la pelouse puisqu'elle "risque" d'endommager l'arbre qui s'y trouve!!!!!!!!!!! Ça l'air de rien, mais c'est comme si cette maudite voisine ignare à placée l'arbre avant nous les citoyens! C'est impossible de marcher sur le trottoire même pour un grand gars comme moi, imaginez vous les vieilles madames de l'immeuble! Les priorités sont pas à la bonne place pour beaucoup de québécois (oui je généralise), on place certaines idéaux avant les gens! L'arbre décoratif avant l'homme... c'est fou, j'étais furieux.
  20. En passant, je vois que vous parlez des 1200 mais qu'il n'y a aucune photos d'elles. En voilà donc datant du 16 janvier.
  21. Je crois simplement que si il n'y a pas eu de grands débats, c'est que la tour respectera simplement la hauteur permise sur le terrain, soit 120 mètres. Si elle convient aux lois et règlements, elle n'a pas à être sujet à débats. J'espère que je me trompe et qu'elle sera plus haute par contre...
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