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  1. Les Québécois deviennent de plus en plus entrepreneurs Publié le 20 mai 2016 à 22h02 GILBERT LEDUC Et si les Québécois avaient finalement attrapé la piqûre de l'entrepreneuriat? Les premiers résultats d'une enquête du Global Entrepreneurship Monitor (GEM) - qui sera publiée en juin - portant sur l'activité entrepreneuriale dans plusieurs économies développées à travers le monde tendent à confirmer le bien-fondé de cette assertion. Cette semaine, à l'occasion du 41e congrès de l'Association des économistes québécois, le professeur Marc Duhamel, de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a levé le voile sur l'un des volets de cette enquête réalisée dans le cadre d'un projet d'envergure internationale - lancé il y a près d'une vingtaine d'années - visant à évaluer les activités entrepreneuriales dans une centaine de pays. Les experts mesurent, entre autres, le taux d'activité entrepreneuriale émergente, c'est-à-dire l'activité entrepreneuriale des personnes âgées de 15 à 64 ans qui amorcent le démarrage de leur entreprise et qui ont versé moins de 42 mois de salaires. Selon le scoop révélé par Marc Duhamel, le taux d'activité entrepreneuriale émergente au Québec est de 13,3 %, ce qui place la Belle Province au premier rang parmi une trentaine de pays et régions. Le Québec devance notamment le Canada (13,2 %), les États-Unis (11,9 %) et l'Allemagne (4,7 %). L'an dernier, le Québec (10,5 %) se classait au neuvième rang. «Il s'agit d'un portrait très encourageant de la situation entrepreneuriale au Québec», a souligné l'économiste de l'UQTR. Un résultat qui est lié aux constats émis, ces dernières années, par la Fondation de l'entrepreneurship qui publie annuellement l'Indice entrepreneurial québécois, un outil mesurant l'intérêt des Québécois à se lancer en affaires. L'an dernier, l'Indice entrepreneurial québécois notait une légère hausse des taux d'intentions d'entreprendre et de démarches par rapport à 2014, principalement en raison du dynamisme des jeunes de 18 à 34 ans. Génération différente François Gilbert est pdg d'Anges Québec, un regroupement de 180 anges investisseurs. «Je passe ma vie avec des jeunes entrepreneurs qui veulent se lancer en affaires», a-t-il précisé. Il n'a pas besoin de consulter des études et des enquêtes pour se rendre compte de l'engouement des jeunes pour l'entrepreneuriat. «La volonté d'entreprendre est perçue de plus en plus positivement par les jeunes», a-t-il mentionné. «Il y a quatre ou cinq ans, lorsque je me rendais rencontrer les finissants de l'École de technologie supérieure à Montréal pour parler d'entrepreneuriat, il y avait une vingtaine de personnes dans la salle. Cette année, elles étaient au moins 80. «J'entends encore les responsables dans les universités me supplier de les aider pour faire connaître l'entrepreneuriat aux étudiants. Aujourd'hui, ces derniers cognent à leurs portes pour soumettre des projets d'entreprise.» François Gilbert a constaté également que la jeune génération d'entrepreneurs est bien différente des précédentes. Les jeunes vont préférer se lancer en affaires en groupe plutôt qu'en solitaire parce qu'ils désirent avoir une vie plus équilibrée et ne pas se taper des semaines de travail de 80 heures. «Ils veulent faire de l'argent. Ils veulent créer des emplois. Ils veulent surtout être des entrepreneurs responsables et respectueux du milieu dans lequel ils vivent», a ajouté M. Gilbert en signalant le cas d'un jeune brasseur qui tient à donner 5 ¢ pour chaque bouteille de bière vendue à des projets communautaires. «Dépassé, le Québec inc.» Par ailleurs, il a noté que les jeunes gens d'affaires ne se reconnaissent pas dans le fameux Québec inc. «C'est un peu dépassé. Il va falloir probablement le recréer, le Québec inc.» Le pdg d'Anges Québec a également insisté sur l'apport des immigrants. «Il ne faudrait pas sous-estimer l'envahissement des entrepreneurs français présentement au Québec. Les jeunes Français trouvent la situation actuelle décourageante dans leur pays. Ils sont très nombreux à mettre le cap sur le Québec.» Pour François Gilbert, les entrepreneurs québécois, en général, ont encore des croûtes à manger pour rayonner à l'étranger. «Nos entrepreneurs sont excellents pour développer des produits. Il faut maintenant qu'ils apprennent à les vendre.» Pdg de Teralys Capital, le plus grand investisseur spécialisé en innovation au Canada, Jacques Bernier croit, pour sa part, que le Québec a tous les atouts dans son jeu pour se démarquer économiquement. «Les entrepreneurs sont beaucoup plus ouverts sur le monde que nous l'étions, il y a 20 ou 30 ans. Ils bénéficient d'avantages structurels et fiscaux très favorables et de la chaîne de financement la plus complète au Canada.» «Nous devons maintenant passer d'un environnement de start-up à celui d'un scale-up. Nos entreprises qui réalisent actuellement des ventes de 10 millions $ doivent viser les 100 millions $.» L'agence de rencontre des fortunés et des jeunes pousses Costco et Yahoo! n'ont pas toujours été des multinationales. À une époque, elles n'étaient que de minuscules entreprises en démarrage. Pour les aider à faire leurs premiers pas, elles ont pu bénéficier des billets verts d'anges investisseurs. «Au Québec, un ange investisseur doit avoir au moins 1 million $ disponible pour investir», explique François Gilbert, pdg du réseau Anges Québec qui rassemble 180 membres. «En passant, des gens riches au Québec, il y en a beaucoup plus que l'on pense. Et ce ne sont pas toujours les plus visibles.» «Les anges sont des hommes et des femmes qui ont eu une belle carrière, qui ont vendu leur entreprise, qui ne veulent plus être des entrepreneurs à temps plein, mais qui veulent demeurer actifs», poursuit François Gilbert, qui participait, cette semaine, au 41e congrès de l'Association des économistes québécois. «Ce qu'un ange fait de plus important pour un entrepreneur, ce n'est pas d'investir de l'argent dans sa compagnie, mais plutôt d'investir du temps pour lui. Pas pour le contrôler. Pour l'aider à devenir meilleur.» L'entrepreneur qui se lance en affaires fracasse d'abord son petit cochon. Il demande aussi de l'amour en espèces sonnantes et trébuchantes - du love money - à ses parents et amis. Il se tourne également vers le capital de risque. «Les anges, eux, mettent de l'argent sur la table au moment où personne ne veut le faire.» Aux États-Unis, sur une période de 10 ans, le capital de risque a investi, en moyenne, 29,4 milliards $US par année dans les entreprises en démarrage. Les anges investisseurs, pour leur part, ont déplié 22,6 milliards $US. L'apport du love money est encore plus considérable : 60 milliards $US. Quant au nombre d'investissements, le capital de risque en a réalisé 3606 en 2014. Les anges, 73 000. 110 M$ pour le démarrage Depuis 2008, les membres d'Anges Québec ont réalisé 97 investissements dans 64 entreprises. «Dans 50 % des cas, il y a eu deux ou trois investissements dans la même entreprise», fait remarquer François Gilbert. C'est le cas, notamment, du fabricant des produits de thérapie cellulaire de Québec, Feldan Therapeutics, qui a bénéficié de trois rondes de financement de la part d'Anges Québec. En tout, c'est 41 millions $ que les anges ont sortis de leurs poches. Pour lui assurer un bon rendement, un ange détient un portefeuille comptant généralement de 10 à 15 investissements. En s'avançant pour épauler une jeune pousse, Anges Québec entraîne souvent d'autres partenaires. Ceux-ci ont suivi et ont mis à leur tour 52 millions $ sur la table. Avec les 16,6 millions $ provenant du fonds d'investissement Anges Québec Capital commandité par Investissement Québec, la Caisse de dépôt et placement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ afin d'accompagner financièrement les membres du réseau d'Anges Québec, «c'est 110 millions $ qui ont été investis dans le démarrage d'entreprise chez nous», a indiqué François Gilbert. De l'argent, les anges en font tomber du ciel dans toutes les régions du Québec et dans tous les secteurs de l'économie. Le pdg déplore, par contre, l'absence de projet du côté du secteur manufacturier. «Malheureusement, le manufacturier au Québec, c'est out! Il faut se préoccuper de la situation. C'est beau de parler de relève d'entreprise et d'amélioration de la production, mais il faut que nous fassions d'autres bébés dans le manufacturier.» http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201605/20/01-4983850-les-quebecois-deviennent-de-plus-en-plus-entrepreneurs.php
  2. http://ici.radio-canada.ca/emissions/c_est_pas_trop_tot/2014-2015/chronique.asp?idchronique=358943 Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Photo : Cadillac Fairview / iStockphoto Contrairement aux prévisions, les baby-boomers ne semblent pas vouloir revenir s'installer plus près du centre-ville, observe le chroniqueur François Cardinal. Cette nouvelle donne pourrait non seulement ralentir le « boom des condos », mais aussi l'aménagement des banlieues. « On n'a peut-être pas envie à 65 ans d'une vie urbaine trépidante », soumet M. Cardinal comme hypothèse. Il faut dire que beaucoup de familles choisissent de s'établir en périphérie, notamment à cause du prix des maisons. Leurs parents, les baby-boomers, font donc peut-être le choix de rester près de leurs petits-enfants, ajoute le journaliste sent via Tapatalk
  3. L'élection ce soir d'un président socialiste qui va taxer à 75 pct les revenus au dessus de 1 million d'euros,devrait selon la presse et de nombreuses agences immobilières,déclencher un exil fiscal de nombreuses grandes fortunes qui rechercheront une solution de rechange pour leur patrimoine et leurs revenus. Les destinations les plus citées sont:Genève(mais peu d'offre),Bruxelles(prix encore raisonnables et proximité de Paris 1h20 en TGV,Luxembourg(banques) et Montréal.Ce pour des raisons linguistiques évidentes. Viennent ensuite Londres et NYC. Un marché à prospecter rapidement pour nos promoteurs avec les nombreux projets actuellement annoncés. http://www.express.be/business/fr/economy/elections-franaises-des-fortunes-franaises-envisagent-de-fuir-la-france-pour-venir-sinstaller-en-belgique/167163.htm http://www.letemps.ch/Page/Uuid/2e08b72a-923b-11e1-8d7f-564daca47ace/Le_calme_avant_lexode François Hollande en tête dans les Dom Tom et les Amériques Nous avons déjà les premiers résultats pour le second tour de la présidentielle française en provenance des départements d'Outre-mer. A Saint-Pierre et Miquelon, François Hollande devancerait Nicolas Sarkozy, avec 65% des voix, contre 35% ; en Martinique, 68,5% contre 31,5% pour Nicolas Sarkozy. En Guadeloupe, François Hollande également en tête, avec près de 72% des voix exprimées ; en Guyane, avec 62% des votes. A Saint-Martin, le candidat socialiste l'emporterait avec 51,5 %, tandis que Nicolas Sarkozy ne serait en tête que dans la petite île de Saint-Barthélémy, avec près de 83% des voix exprimées. Dans les départements d'Outre-Mer, François Hollande réalise un meilleur score que Ségolène Royal, lors du précédent scrutin présidentiel. Voici un premier apercu des résultats partiels des Amériques. La participation augmente en moyenne de 3 a 4% par rapport au 1er tour. En règle générale, François Hollande fait le plein des voix de gauche et gagne environ le tiers des voix de François Bayrou. Il gagne à Montreal (près de 57,74%), à Toronto (51% - la gauche n'y avait jamais triomphe), au Pérou (55%), en Argentine (51,7%), en Colombie (58,82%) et au Honduras (56%). Il comble l'ecart avec la droite au Mexique (47,3%), au Bresil (47% - ou il gagne à Rio, Brasilia et Recife), au Costa Rica (44,1%) et au Chili (44%). rtbf.be afp
  4. Une entrevue avec François Colbert, titulaire de cette nouvelle Chaire, ce matin à RC. Très intéressant: http://www.radio-canada.ca/emissions/medium_large/2012-2013/chronique.asp?idChronique=303681
  5. Jean Coutu déménage à Varennes Publié le 29 mai 2013 à 07h47 Le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) consolidera toutes ses activités corporatives sur un terrain de 3 millions de pieds carrés localisé en bordure de l'autoroute 30 à Varennes, en Montérégie. La construction du nouveau siège social débutera l'an prochain. L'investissement de 190 millions de dollars offrira une superficie totale de 800 000 pieds carrés. François J. Coutu, président et chef de la direction, soutient que les actuelles installations de Longueuil sont désormais trop petites. Il s'attend à ce que celles de Varennes soient à la fine pointe de la technologie et garantissent des standards élevés de productivité et une performance accrue. Le transfert des opérations est prévu pour le début de 2016 pour les plus de 1000 employés du Groupe Jean Coutu et de sa filiale Centre d'information Rx. François J. Coutu en dira davantage ce mercredi matin lors d'une conférence de presse qui aura lieu à l'hôtel de ville de Varennes. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201305/29/01-4655415-jean-coutu-demenage-a-varennes.php
  6. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2013/04/25/009-theatre-imperial-diversification.shtml Le reportage de Claude Deschênes Le Cinéma Impérial, qui a 100 ans ce jeudi, redevient un théâtre. La salle de la rue Bleury recommencera à présenter des spectacles vivants tout en conservant sa vocation de cinéma. Les propriétaires ont pris cette décision pour améliorer la rentabilité du lieu. Le théâtre sera prochainement doté de tous les outils nécessaires à la présentation de spectacles grâce à un partenariat avec la firme de location d'équipements de scène APL de Montréal. Le directeur de l'Impérial, François Beaudry-Losique, croit que la présence de cette salle intermédiaire répondra à un besoin. Il a reçu des demandes pour toutes sortes de productions, notamment des comédies musicales, des spectacles de magie et d'orchestres folkloriques. Voici quelques documents d'archives en photo:
  7. Destination Montréal : cosmopolite, gastronomique et culturelle. À l’approche de son 375e anniversaire – elle le fêtera en 2015 – , la ville de Montréal s’affiche comme toujours plus cosmopolite, gastronomique et culturelle. Une ville ouverte et accueillante pour un nombre croissant d’Européens, et surtout de Français, qui s’y plaisent et n’en repartent plus. Aujourd’hui, ils seraient environ 140 000 à apprécier son mode de vie dynamique et décontracté. En matière d’investissements, les Français auraient d’ailleurs surpassé les Américains en 2011, jusqu’alors partenaires principaux des Canadiens. Il faut dire que l’économie montréalaise, fondée sur les technologies de pointe et le savoir, est forte et stable. Ce qui rassure et séduit. Alors, sous l’impact des voyageurs d’affaires, la plus grande ville francophone après Paris développe son hôtellerie, multipliant rénovations et ouvertures. http://www.voyages-d-affaires.com/economie-tentation-montreal-8096 http://www.voyages-d-affaires.com/interview/l-aerospatiale-doit-rester-une-source-creation-richesse-suzanne-benoit-aero-montreal-8097 http://www.voyages-d-affaires.com/montreal-terre-d-accueil-douce-nouvelle-france-8098 "Les relations de travail sont beaucoup moins pesantes" François Boscher, BDG Law. François Boscher est avocat pour le cabinet BDG Law. Pourquoi avoir choisi de venir travailler à Montréal ? François Boscher — Après des études de droit à Tours, j’y ai exercé la profession d’avocat jusqu’en 1992. Puis je suis parti. J’avais le sentiment que l’évolution des mentalités et la situation économique en France laisseraient peu de place à l’initiative individuelle et rendraient l’exercice d’une profession libérale difficile. Aussi ai-je noué des relations avec un cabinet d’avocats montréalais. Quels sont les avantages d’une immigration en termes professionnels ? F. B. — La France est un pays de paradoxes qui regorge de talents entrepre- neuriaux, mais qui sont découragés par l’application de réglementations désuètes et complexes. Au Canada, les relations de travail, l’administration entre autres, sont beaucoup moins pesantes, bien que le système de protection sociale soit tout à fait décent. L’initiative privée y est respectée et encouragée. Quels conseils donneriez-vous aux Français souhaitant venir s’installer à Montréal ? F. B. — Essayer, lors de différents séjours, de nouer des contacts afin de comprendre les mentalités. Les Québécois sont d’un abord facile, mais les choses peuvent être différentes dans le cadre du travail. En outre, les Nord-Américains protègent beaucoup leur “espace familial”. Ils sont naturellement chaleureux et le premier contact est très facile ; en revanche, cela ne signifie pas qu’une relation étroite et profonde puisse s’installer. Cependant, le Québec favorise l’immigration franco- phone et propose des programmes spécifiques avec la France pour encourager les échanges, notamment dans le domaine universitaire. http://www.voyages-d-affaires.com/hotellerie-montreal-nouveau-depart-8100 Rencontre avec Olivier Chavy, groupe Hilton 4/04/2013] Olivier Chavy est le directeur international des lignes Luxury et Lifestyle du groupe Hilton pour l’Asie-Pacifique, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique Pourquoi l’arrivée d’un Waldorf Astoria à Montréal ? Olivier Chavy – Montréal est une ville culturellement riche, à la pointe du design, des arts et de la gastronomie. Comme Vancouver et Toronto, Montréal est un lieu clé dans l’expansion de Waldorf Astoria et de Conrad, les marques luxe du groupe Hilton, avec pour toile de fond notre ambition de rester la chaîne hôtelière de luxe qui se développe le plus rapi- dement au monde. En nous implantant à Montréal, nous espérons y apporter un nouveau standard de luxe et de services hôteliers. Quelles nouveautés le Waldorf Astoria apportera-t-il à la scène hôtelière montréalaise ? O. C. – Grâce à un très haut niveau de services, chacun de nos hôtels offre une expérience inégalable. Mais c’est aussi son emplacement sur la rue Sherbrooke, son architecture, ses restaurants et son atmosphère qui feront du Waldorf Astoria Montréal un lieu d’exception. L’hôtel devrait disposer de 250 chambres et résidences, ainsi que de 1 400 m2 d’espaces de réunions, d’un spa et de plusieurs restaurants. Y a-t-il de nouveaux projets de Waldorf Astoria en Amérique du Nord et ailleurs ? O. C. – Depuis 2006, nous sommes passés de cinq à 20 hôtels dans le monde, dont le Trianon Palace, à Versailles. Ces derniers mois, la marque s’est développée à un rythme sans précédent et plusieurs propriétés exceptionnelles ont ouvert, notamment à Chicago et Berlin. Cette expansion va continuer en 2013, avec des ouvertures à Ras Al Khaimah, Amsterdam, Jérusalem, Panama, Dubaï ou encore Pékin. http://www.voyages-d-affaires.com/interview/rencontre-olivier-chavy-groupe-hilton-8101 http://www.voyages-d-affaires.com/interview/l-esprit-des-lieux-montreal-nathalie-bondil-8102 http://www.voyages-d-affaires.com/montreal-guide-pratique-et-bonnes-adresses-8104
  8. Ce projet semble déjà bien entamé car on parle d'une livraison en mars 2012. De plus, il y aurait deux phases alors j'irai faire un tour bientot pour voir de quoi il en retourne. http://lefrancoisperrault.com/
  9. Ce projet semble déjà bien entamé car on parle d'une livraison en mars 2012. De plus, il y aurait deux phases alors j'irai faire un tour bientot pour voir de quoi il en retourne. http://lefrancoisperrault.com/ [ATTACH=CONFIG]2711[/ATTACH]
  10. Un congrès international à Montréal. (Montréal) Il y aura l'inénarrable Larry King et ses légendaires bretelles. Il y aura Carlos Slim, homme le plus riche de la planète. Il y aura des pavillons de différents pays comme à Expo 67. Et une «rivière numérique» coulera en plein Palais des congrès. Le Congrès mondial sur les technologies de l'information, présenté comme le plus important événement international de l'industrie, arrive à Montréal pour la première fois de son histoire en octobre prochain. Et les organisateurs promettent d'en mettre plein la vue, notamment grâce aux technologies de PME québécoises qui seront mises à l'honneur pendant l'événement. «C'est une conférence sur les technologies, alors on va utiliser les technologies québécoises pour créer des effets percutants et repousser les limites de ce qu'on voit habituellement dans les conférences. On va utiliser la réalité augmentée, la géolocalisation et les réseaux sociaux pour joindre les gens», explique François Morin, PDG de ce congrès mieux connu sous l'acronyme WCIT (pour World Conference on Information Technology). Tenue tous les deux ans depuis 1978 dans divers pays du monde, la WCIT promet cette année d'attirer 3000 délégués en provenance de 80 pays dans la métropole québécoise. Outre Carlos Slim, le magnat mexicain des télécommunications qui trône au premier rang des hommes les plus riches de la planète, l'événement accueillera des noms comme Justin Rattner, directeur de la technologie de l'information chez Intel, Robert Youngjohns, président de Microsoft pour l'Amérique du Nord, et Don Tapscott, un gourou des TI qui a publié plusieurs livres sur le sujet. L'animateur américain Larry King, qui dirigera une table ronde à Montréal en octobre, a participé par téléphone à la conférence de presse annonçant la tenue de l'événement. «Je vais essayer de rendre la table ronde amusante, informative et divertissante, a promis l'homme. Je veux que le public réalise la révolution provoquée par les technologies de l'information dans laquelle nous vivons.» Les thèmes abordés iront des villes intelligentes à la société numérique en passant par les soins de santé et la fameuse informatique en nuage. Une vitrine pour les technologies québécoises L'annonce du congrès a donné lieu à quelques surprises, notamment lorsque le PDG de l'événement a promis de faire couler une «rivière numérique» dans le Palais des congrès. «Il va même y avoir des roches pour traverser la rivière», a dit sans rire François Morin. Quelques explications plus tard, les journalistes ont pu comprendre qu'un flot de «zéros» et de «un» symbolisant l'ère numérique serait projeté sur le sol pendant l'événement. Autour seront installées des photos de paysages canadiens. Grâce à la réalité augmentée, les participants qui pointeront leur téléphone intelligent vers ces images verront défiler des noms d'entreprises canadiennes actives en technologies de l'information. Merchlar, une jeune boîte montréalaise dans tous les sens du terme - l'entreprise a été fondée en 2010 et la moyenne d'âge de ses 15 employés est de 26 ans - est derrière l'aspect technique de cette «rivière». «Nous espérons profiter de la WCIT pour tisser des liens avec d'autres compagnies d'ailleurs. Le domaine de la réalité augmentée est en pleine croissance et nous voulons acquérir une meilleure compréhension du marché mondial pour maintenir le momentum qu'on a créé dans le marché canadien», a dit à La Presse Affaires Jack Han, vice-président directeur chez Merchlar. Ingenium, une autre boîte montréalaise, s'occupera quant à elle de monter une plateforme permettant aux participants d'interagir sur les réseaux sociaux, tandis que Voti, de Pointe-Claire, démontrera sa nouvelle technologie d'inspection de bagages en 3D par rayons X. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201206/26/01-4538250-un-congres-international-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  11. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  12. Grand Prix de Montréal: le PQ et l'ADQ dénoncent l'attitude d'Amir Khadir Par Olivier Caron | MatinCanada – il y a 18 heures http://fr-ca.actualites.yahoo.com/grand-prix-montr%C3%A9al-pq-ladq-d%C3%A9noncent-lattitude-damir-202025977.html Le député du Parti québécois Pascal Bérubé a dénoncé jeudi la prise de position du député de Québec solidaire Amir Khadir dans le dossier du Grand Prix de F1 de Montréal. Le député péquiste de Matane, qui est le porte-parole en matière de tourisme, reproche en fait au député de Mercier de vouloir participer à une manifestation contre la tenue de la course montréalaise. «Amir Khadir devrait travailler pour l'économie de la ville de Montréal. Sans aucun doute, plusieurs commerçants et citoyens de sa circonscription profitent du Grand Prix de Montréal. M. Khadir devrait arrêter de leur nuire», soutient Pascal Bérubé dans un communiqué émis cet après-midi. Il rappelle que le Grand prix engendre des retombées économiques de près de 100 millions de dollars et qu'il profite aux commerçants de la métropole ainsi qu'aux milieux de l'hôtellerie et de la restauration. «En plus d'une vitrine mondiale, le Grand Prix permet à Montréal de vibrer intensément. Par ailleurs, des centaines de Québécois, de partout au Québec, se donnent rendez-vous dans la métropole. En ce sens, la participation de M. Khadir à une manifestation contre le Grand Prix révèle le vrai visage de Québec solidaire : un parti qui veut freiner l'économie et l'emploi», ajoute le député Bérubé. Par ailleurs, le député adéquiste François Bonnardel, porte-parole de l'Action démocratique du Québec en matière d'économie et de finances publiques, a lui aussi dénoncé la position d'Amir Khadir relativement au Grand Prix, tout en l'appelant à faire preuve de plus de pragmatisme dans son activisme politique. En fait, le député de Shefforts a estimé que le député de Québec solidaire «se surpasse». «Le retour de la F1 à Montréal l'an dernier est une excellente nouvelle et les organisateurs ont travaillé fort pour que cela se concrétise. Voilà maintenant qu'un élu de Montréal s'associe à un mouvement qui veut faire annuler le Grand Prix parce qu'il s'oppose à la croissance économique. M.Khadir ne semble pas conscient du message que cela envoie à l'extérieur du Québec. Québec Solidaire doit revenir les deux pieds sur terre», a ajouté François Bonnardel.
  13. Grand ménage à la Caisse de dépôt Publié le 30 avril 2009 à 11h16 | Mis à jour à 11h36 Francis Vailles La Presse (Montréal) La Caisse de dépôt et placement vient de procéder à un grand ménage. Quelque 55 personnes quittent l'organisation, dont trois premiers vice-présidents, a appris La Presse Affaires. Michel Malo (fonds de couverture), Christian Pestre (stratège en chef) et François Grenier (marchés boursiers) ont été remerciés par le nouveau PDG, Michael Sabia, nous indique-t-on de bonne source. Un communiqué de presse sera publié très prochainement et une conférence téléphonique est prévue à 13h00. Selon nos renseignements, non confirmés, c'est Jean-Luc Gravel qui remplacera François Grenier aux marchés boursiers. On nous indique également que la grande responsable des risques à la Caisse, Suzanne Kudzman, garde son poste. Il n'a été possible de savoir si elle conserve.
  14. La NCAA au lieu de la LHJMQ à Blainville? (Corus Sports)- Le projet d'une équipe de la LHJMQ sur la couronne nord de l'île de Montréal n'est peut-être pas mort, mais le droit de veto du Junior l'a considérablement affaibli la semaine dernière. Qu'à cela ne tienne, le maire de Blainville François Cantin songe déjà à un plan B : la NCAA. Il donne toutefois encore tout son appui au projet mené par Joël Bouchard, visant à amener une 2e formation du circuit Courteau dans la région de Montréal. Le propriétaire du Junior de Montréal, Farrell Miller, a toutefois assené un solide uppercut au dossier la semaine dernière, en appliquant son droit de veto quant à l'implantation d'une seconde franchise dans un rayon de 40 kilomètres. «J'aimerais voir une équipe forte, que ce soit la LHJMQ ou la NCAA,» a reconnu le maire de Blainville. Actuellement, aucune formation de la NCAA n'a pied à terre au Canada. Plusieurs universités de l'Ouest canadien tentent toutefois depuis quelques années de joindre les rangs sportifs collégiaux américains. «Ce genre d'équipe là chez nous, avec le côté scolaire priorisé malgré que ce soit du sport d'élite, c'est certain que ça nous sourit. Mais je ne suis pas en train de vous dire que le junior majeur ne serait pas une bonne idée aussi.» En division I, la plus forte, les équipes ne disputent que 28 parties au cours de la saison comparativement à 70 dans le hockey junior majeur québécois. M. Cantin y voit une opportunité d'inciter les jeunes à poursuivre leurs études, tout en pratiquant un sport d'élite. «Si ça peut créer un espace qui accroche les jeunes à leur sport, c'est merveilleux.» Écoutez le maire de Blainville François Cantin via l'extrait audio ci-joint. Il discute également de la candidature de sa ville pour l'obtention des Jeux du Canada en 2013. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  15. Contre Pierre Verreault, l'Autorité porte 164 chefs d'accusation et réclame des amendes de 1,7 M$. Contre François Ledoux, l'AMF porte 68 chefs d'accusation et réclame des amendes de 600 000 $. Pour en lire plus...
  16. Pour le bilinguisme intégral à 12 ans Antoine Robitaille Édition du samedi 02 et du dimanche 03 août 2008 Les jeunes libéraux proposent également de tripler les droits de scolarité Sherbrooke -- Hausser les droits de scolarité au niveau de la moyenne canadienne, ce qui représenterait un effort d'environ 4000 $ de plus par année par étudiant, telle est l'une des résolutions phares dont les jeunes libéraux vont discuter aujourd'hui à Sherbrooke, lors de leur 26e congrès annuel, afin de changer «des modèles québécois». Plusieurs des 11 autres résolutions rédigées par l'exécutif (les régions en ont proposé 26), après une tournée de quelque 20 villes, risquent de provoquer d'âpres débats au sein et à l'extérieur du PLQ, notamment la proposition d'instaurer un programme obligatoire d'immersion en 6e année afin que tout Québécois devienne bilingue à 12 ans, celle de privilégier une hausse des tarifs d'Hydro-Québec à toute hausse de taxes, la diminution des taux d'imposition des entreprises, la promotion de l'exportation de l'eau «afin que les Québécois puissent commencer à s'enrichir grâce à leur or bleu», ainsi que l'adoption du principe du «consentement présumé» pour les greffes d'organes. Quelque 800 à 900 jeunes âgés de 16 à 25 ans s'étaient inscrits au congrès hier. Rafraîchir le syndicalisme Leur cahier de résolutions, dont le thème est «Le Québec, un travail d'équipe», est un document empreint d'une vive inquiétude à l'égard des tendances démographiques du Québec, lesquelles le feront passer «d'une société de travailleurs à une société de retraités». Aussi, comme Le Devoir le révélait hier, les membres de la CJ proposent des façons de «rafraîchir» les institutions syndicales. Ils ont entre autres jugé bon de ramener leur proposition (déjà battue au congrès des membres en mars à Québec) d'imposer des votes secrets «par les travailleurs concernés lors des processus de grève ou d'accréditation syndicale». Selon les jeunes de la CJ, il est «primordial que l'action syndicale représente en tout temps les intérêts et les préoccupations des travailleurs syndiqués». Le président de la CJ, François Beaudry, a soutenu que le principe du vote secret est «incontournable» en démocratie et que, par conséquent, personne ne devrait s'y opposer dans le monde syndical. À la Fédération des travailleurs du Québec, on déplorait hier ce positionnement. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, a soutenu, lors d'un entretien téléphonique, que les votes secrets pour l'accréditation avaient entraîné, là où ils ont été adoptés, une baisse radicale du taux de syndicalisation (actuellement à 40 % au Québec), notamment parce qu'ils ont pour «effet pervers» de reporter souvent indéfiniment la décision de se syndiquer ou non. Au reste, M. Arsenault s'est plaint que les jeunes libéraux aient refusé de recevoir un représentant du comité jeune de la FTQ, Dominique Lemieux. Ce dernier avait proposé de venir faire une présentation devant les membres jeunes, laquelle aurait été suivie d'une période de questions. Interrogé à ce sujet, François Beaudry a confirmé avoir bien reçu une proposition de la FTQ. Mais selon lui elle est venue trop tard. De plus, la CJ, a-t-il insisté, ne reçoit habituellement aucun conférencier extérieur, qu'il soit représentant du patronat ou des syndicats. «J'ai vu une annonce contre les PPP sur l'autoroute 40; je n'ai pas été consulté non plus pour savoir si j'étais pour ou contre», a-t-il rétorqué. Il s'est toutefois dit disposé à rencontrer M. Lemieux «une prochaine fois». Impôt post-universitaire Quant à l'augmentation radicale des droits de scolarité, François Beaudry insiste sur le fait qu'elle s'accompagnerait de l'adoption d'un «impôt post-universitaire» (IPU), une formule selon laquelle on étudie maintenant et on paie plus tard, mais en proportion avec le salaire décroché. Et si un diplômé ne réussit pas à se trouver de l'emploi? «Il ne paie pas, c'est tout», a répondu M. Beaudry. L'idée d'un IPU a aussi circulé au sein du Parti québécois et avait même été évoquée l'an dernier comme solution au problème de financement des universités par le député de Gouin et ancien leader étudiant Nicolas Girard. En 2005, alors que les droits de scolarité étaient «gelés», les jeunes libéraux, réunis à Sherbrooke, avaient appuyé massivement une résolution prônant un «dégel responsable». M. Charest avait trouvé l'idée intéressante et en avait par la suite fait une proposition électorale lors du scrutin de 2007. Le dégel a été appliqué en septembre 2007. Au reste, François Beaudry a fait une sortie virulente contre le manque «d'imputabilité» qui a mené à ce qu'il est convenu d'appeler «le fiasco immobilier de l'UQAM», un «dérapage» qui s'est pourtant produit sous les libéraux. Tous bilingues à 12 ans La Commission jeunesse débattra aussi aujourd'hui de l'opportunité d'implanter un «véritable système d'apprentissage de la langue anglaise en sixième année du primaire», lequel comprendrait, pour tous les élèves «de la province», «un programme intensif en anglais d'une demi-année scolaire». Même si le français demeure la langue de «première importance», l'anglais est un atout dans la mondialisation actuelle, ont-il argué. Le jour de son arrivée à la tête de la CJ, l'an dernier, M. Beaudry avait provoqué une petite commotion lorsqu'il avait déclaré: «On est une province bilingue, qui va de plus en plus vers trilingue, quadrilingue. Donc, je pense que c'est important de parler autant en anglais qu'en français, deux langues qui sont égales, qui sont reconnues au Québec.» Il avait rectifié le tir le lendemain après avoir essuyé des critiques acerbes de la part du chef adéquiste Mario Dumont et de la chef péquiste Pauline Marois: «Le français est la langue officielle du Québec et n'est pas à égalité avec l'anglais; il n'y a aucun doute dans mon esprit.» Combien coûterait un programme d'immersion obligatoire? Pour l'instant, le responsable de cette question au congrès, Julien Gagnon, dit n'en avoir aucune idée. Il s'agit pour la CJ de proposer une «grande orientation»: «Un changement de modèle, c'est donner de nouvelles orientations, de nouveaux objectifs.» À l'entrée d'un caucus des élus libéraux qui avait lieu en marge de l'ouverture du congrès, le chef libéral Jean Charest a dit qu'il prêterait une grande attention à ce que les jeunes de son parti proposeraient. Mais il a ajouté que, lorsqu'on est jeune, «on est toujours plus pressé».
  17. Mise à jour le vendredi 27 juin 2008 à 18 h 00 Le gouvernement fédéral prévoit ouvrir dès l'automne des négociations avec l'Union européenne pour jeter les bases d'un nouvel espace économique entre le Canada et l'Europe. Bateau Les exportations québécoises à destination de l'Europe ont augmenté de 5 % en trois ans. L'économie canadienne étant très liée à ses échanges commerciaux avec les États-Unis, le Canada tente de diversifier ses relations commerciales dans un contexte de mondialisation de l'économie et des échanges. Le ralentissement économique aux États-Unis se fait par ailleurs de plus en plus sentir au Canada où les exportations aux États-Unis ont chuté de 10 % depuis trois ans. Les exportations canadiennes vers l'Europe se portent quant à elles assez bien, surtout pour le Québec. En effet, 13 % des exportations totales du Québec sont destinées à l'Europe, ce qui représente une augmentation de 5 % depuis trois ans. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles le premier ministre Jean Charest travaille depuis un an à promouvoir la création d'un espace commercial privilégié entre le Canada et l'Europe. Le premier ministre du Québec entend bien profiter des relations privilégiées du Québec avec la France pour faire avancer le dossier. Les premiers ministres Stephen Harper et Jean Charest entendent d'ailleurs profiter de la venue à Québec, la semaine prochaine, du premier ministre français François Fillon pour faire progresser le dossier. Stephen Harper entend aussi aborder la question à Ottawa avec son homologue français. Le premier ministre français François Fillon dans les studios de TF1 le 30 mars 2008 Le premier ministre français, François Fillon (archives) Autant à Québec qu'à Ottawa on croit que le Canada et l'Europe seront en mesure d'ouvrir des négociations sur un nouveau partenariat économique en octobre prochain, lors du Sommet Canada-Union européenne qui aura lieu cette année à Montréal. La France est par ailleurs un allié important pour le Canada dans ces négociations en raison de ses relations privilégiées avec le Québec, certes, mais aussi parce que la France accédera à la présidence du Conseil de l'Union européenne le 1er juillet. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/06/27/004-econo-canada-europe.shtml
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