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  1. Ceci peut paraitre anodin pour certain, mais j'ai travaillé en gestion de portefeuille pour l'industrielle alliance en tant qu'étudiant (stage d'été) en 2002. À ce moment la compagnie avait +/- $8 milliards en actif sous gestion. Avec cette transaction, elle passe maintenant à $75 milliard, donc presque 10 fois plus en 14 ans. Excellente croissance. L'Industrielle Alliance rachete HollisWealth a la Banque Scotia | Services financiers Publié le 05 décembre 2016 à 17h59 | Mis à jour le 05 décembre 2016 à 17h59 L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia. Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $. HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada. La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia. Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain. L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $. Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre. L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $.
  2. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  3. La Bourse de Montréal, spécialisée dans les échanges de produits dérivés, a battu son propre record d'activités en 2012 alors que ses concurrents nord-américains étaient en baisse. Un peu plus de 64 millions de contrats à terme et options ont été échangés à la Bourse de Montréal l'an dernier, 3,8% de plus qu'en 2011. De plus, cette hausse en apparence faible s'est avérée à contre-courant du marché nord-américain des produits dérivés, dont le volume était en recul de 13%. Cette performance avantageuse de la Bourse de Montréal dans un marché très concurrentiel lui a d'ailleurs valu des éloges de la part des dirigeants du groupe TMX (T.X), qui diffusait ses résultats de fin d'exercice hier à Toronto. «Nous sommes extrêmement satisfaits d'avoir maintenu la croissance du volume, ce qui semble anormal en comparaison de ce qui s'est passé dans le marché mondial des contrats à terme et des options», a indiqué Thomas Kloet, président et chef de la direction de TMX, au cours de la téléconférence d'analystes. Selon M. Kloet, deux facteurs principaux expliquent cette bonne tenue de la Bourse de Montréal. D'une part, le marché boursier canadien a encore attiré beaucoup d'investisseurs étrangers l'an dernier, ce qui a accru leur recours à des produits dérivés d'origine canadienne comme outils de gestion de risque de leurs placements. D'autre part, a souligné le président de TMX, la Bourse de Montréal et son marché des produits dérivés se démarquent de plus en plus au niveau international. Et même à Londres, la métropole financière mondiale où TMX a un bureau de commercialisation depuis deux ans. «Après Londres, nous serons en Asie au cours des prochains mois pour promouvoir nos produits et services. Le plus intéressant pour nous, c'est que MX (surnom de la Bourse de Montréal) est devenu un produit d'attrait international, et non plus seulement au Canada», a indiqué M. Kloet. Cette importante croissance de la Bourse de Montréal au sein du groupe TMX se manifeste aussi dans ses résultats financiers. Pour le deuxième exercice consécutif, TMX a encaissé en 2012 plus de revenus provenant des frais transactionnels des produits dérivés que ceux provenant des transactions d'actions à Toronto. Ces revenus à la Bourse de Montréal et sa filiale BOX à Boston ont atteint 115,5 millions de dollars en 2012, en hausse de 2% en un an. En comparaison, les revenus transactionnels aux Bourses d'actions de Toronto et TSX-Croissance ont reculé de 12%, à 92,9 millions. Ce recul s'explique surtout par la baisse prononcée des volumes d'actions en 2012 (-20% à Toronto et -37% à TSX-Croissance) alors que le volume de produits dérivés augmentait de 3,8%. Quant aux chances de la Bourse de Montréal de maintenir cet élan en 2013, tout indique qu'elles dépendront de l'attrait des investisseurs pour les produits dérivés alors que les Bourses d'actions sont en poussée haussière. Dans les résultats financiers de TMX, aussi, les attentes demeurent floues, alors que le groupe doit encore intégrer de nouvelles activités (Bourse Alpha à tarifs réduits, firme de compensation CDS) obtenues au moment de la prise de contrôle par le consortium financier Maple. Ce consortium de 13 institutions financières, dont la Caisse de dépôt et placement, la Banque Nationale et du Mouvement Desjardins, a réalisé une mainmise de 3,8 milliards sur TMX en juillet dernier, au terme de 18 mois de démarches financières et réglementaires. Dans ses résultats publiés hier, TMX affiche un profit net de 34,7 millions au quatrième trimestre comparativement à une perte de 10,2 millions un an plus tôt. Pour l'exercice partiel de huit mois terminé le 31 décembre, TMX a dégagé un profit de 20,7 millions au lieu d'une perte de 37,3 millions en 2011. En Bourse, les investisseurs ont manifesté leur satisfaction. Les actions de TMX ont pris 2,2%, à 56,73$. Il s'agit d'un nouveau sommet depuis celui de 57$ atteint en juillet 2007, juste avant la crise financière et le krach boursier de 2008. ------------------ Volume des contrats à terme et d'options (1) Année - Millions 2012 64,2 2011 61,9 2010 44,3 2009 34,7 2008 38 2007 42,7 2006 40,5 2005 25,8 2004 21,8 2003 17,6 1: Produits dérivés de sources diverses, en ordre de volume décroissant en 2012: actions, taux d'intérêt à court terme, obligations, fonds négociés en Bourse (fnb), indices boursiers, devises. Source: Bourse de Montréal (Gr.TMX) http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201302/07/01-4619204-annee-record-a-la-bourse-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  4. Assoiffées de capital, les banques canadiennes sollicitent ces jours-ci les investisseurs particuliers par des émissions d'actions privilégiées aux dividendes plus qu'alléchants. Pour en lire plus...
  5. La demande pour les actions privilégiées de la banque semble forte et cette dernière en profite pour se financer davantage. Pour en lire plus...
  6. Comme certaines de ses consoeurs, la banque torontoise annonce qu'elle émet 200 M$ d'actions privilégiées afin de mettre la main sur plus de capital. Pour en lire plus...
  7. La Bourse de Toronto approuve l'offre publique de la maison mère de Bell de racheter une partie de ses actions afin de retourner de la valeur à ses actionnaires, dans la foulée de l'échec de sa vente. Pour en lire plus...
  8. La compagnie annonce ce matin qu'elle rétablit son dividende à 36,5 cents par action ordinaire et lance un rachat d'actions. Pour en lire plus...
  9. L'entente a été conclue avec le cabinet Raymond James. L'offre porte sur 20 millions d'actions ordinaires de Métanor, qui seront vendues au prix unitaire de 50 cents. Pour en lire plus...
  10. La troisième fortune mondiale a mis la main sur 1% de la banque américaine. La transaction porterait sur près de 26 millions d'actions, pour un montant proche de 150 M$ US Pour en lire plus...
  11. La Caisse se serait départie depuis deux mois pour environ 10 G$ d'actions afin de s'assurer des rentrées d'argent pour faire face au recul des marchés financiers. Pour en lire plus...
  12. La banque a indiqué lundi qu'elle émettrait 30,4 millions d'actions au prix de 39,50 $ chacune. Pour en lire plus...
  13. Vendre 7,5% des actifs de la société d'État sous forme d'actions en permettant uniquement aux Québécois d'en acheter, comme le propose l'ADQ serait impossible, soutiennent des experts. Pour en lire plus...
  14. Les pays du G20 s'entendent sur la mise en place d'actions collectives pour faire face à la crise économique planétaire. Pour en lire plus...
  15. Le bénéfice net attribuable aux porteurs d'actions ordinaires de Manuvie s'est ainsi établi à 503 M$, ou 33 cents par action ordinaire sur une base diluée. Pour en lire plus...
  16. Jean Coutu pourrait donner à ses actionnaires son bloc de 30% d'actions de la chaîne américaine le printemps prochain. Pour en lire plus...
  17. «Faire une émission d'actions à 3 ou 4 cents, c'est assez déprimant. On veut éviter ça à tout prix.» Pour en lire plus...
  18. Le milliardaire américain qui a profité de la crise financière pour multiplier les coups boursiers, «achète américain» car il parie sur l'avenir des entreprises nationales. Pour en lire plus...
  19. Les États-Unis mettent leur plan de sauvetage 700 G$ US en marche et la mesure la plus attendue est l'achat d'actions bancaires par Washington. Pour en lire plus...
  20. Le Trésor américain a annoncé qu'il était en train de «mettre sur pied un programme d'achat d'actions dans une large gamme d'institutions financières». Pour en lire plus...
  21. Le patron du groupe allemand Porsche, Wendelin Wiedeking, affirme dans la presse allemande être personnellement épargné par la crise financière, n'ayant jamais été détenteur d'actions et préférant investir dans les troquets. Pour en lire plus...
  22. Cette annonce survient au lendemain de celle de l'investisseur Warren Buffett qui a signifié qu'il désirait miser 5 G$, et potentiellement le double, dans la société. Pour en lire plus...
  23. Microsoft a également décidé d'augmenter le dividende trimestriel versé à ses actionnaires de 18%, pour le porter à 13 cents par action. Pour en lire plus...
  24. La Bourse de Shanghai a fortement rebondi vendredi à l'ouverture, enregistrant une hausse de 8,22%, ont indiqué des courtiers, évoquant l'effet bénéfique de l'abolition la veille de la taxe sur l'achat d'actions pour soutenir les marchés. Pour en lire plus...
  25. La Caisse de dépôt aurait évité le pire 9 septembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières La Caisse de dépôt et placement aurait évité le pire de l'effondrement boursier des sociétés hypothécaires Fannie Mae et Freddie Mac, selon les registres de la SEC américaine. Leurs actions, très dévalorisées depuis quelques mois, ont subi un coup de grâce de 85% hier. Le coup est venu des investisseurs convaincus de la quasi-éradication de ces actions avec le plan de recapitalisation de Washington. Pourtant, au 31 mars dernier, la Caisse détenait 10,6 millions d'actions de Fannie Mae (ou Federal National Mortgage), pour une valeur déclarée de 280 millions US. C'était presque 10 fois plus d'actions de cette société que le nombre déclaré à la fin de son exercice précédent, au 31 décembre 2007. Aussi, la Caisse détenait alors 64 806 actions de Freddie Mac, pour une valeur déclarée de 2,2 M$ US. Mais dans sa plus récente déclaration à la SEC, en date du 30 juin, la Caisse de dépôt n'avait plus d'actions de l'un ou l'autre de ces géants hypothécaires. À quel prix de revente a-t-elle pu se départir de ces actions? Et la Caisse de dépôt a-t-elle pu en tirer profit ou, du moins, limiter ses pertes? On refusait de répondre à ces questions hier au siège social de la Caisse de dépôt et placement. Pour des raisons de complexité de transactions, d'une part. Mais aussi parce que "ça fait partie des stratégies internes de gestion de portefeuille", a indiqué son vice-président aux affaires publiques, Mark Boutet, mais après pris soin de valider les chiffres relevés par La Presse Affaires.
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