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  1. Une idée intéressante d'Énergir annoncée il y a quelques jours. Je n'ai pas vu de fil à ce sujet. Ça semble être une bonne idée. Évidement, si on consomme notre propre gaz plutôt que d'importer celui de l'Alberta, on nous aimera encore moins et on nous accusera de ne penser qu'à nous... Mais dans les faits, ça pourrait rapporter gros au Québec tout en nous permettant de revaloriser nos déchets et de diminuer nos importations en gaz naturel. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/energie-et-ressources/201902/06/01-5213711-gaz-naturel-renouvelable-une-solution-a-20-milliards.php
  2. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/424197/comment-vendre-un-pipeline-aux-quebecois Comment vendre un pipeline aux Québécois TransCanada dispose d’un plan précis pour faire aboutir le projet Énergie Est 18 novembre 2014 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis les événements tragiques de Lac-Mégantic. Si elle veut convaincre les Québécois d’appuyer son mégaprojet de pipeline Énergie Est, TransCanada doit vanter la sécurité de ce moyen de transport par rapport au train, dans la foulée de la tragédie de Lac-Mégantic. La pétrolière doit aussi établir des stratégies afin de nuire aux opposants tout en éduquant les citoyens d’ici sur les vertus du pétrole des sables bitumineux. Ce sont là certains des principaux piliers du « plan stratégique » pour le Québec élaboré par la multinationale des relations publiques Edelman, à la demande de TransCanada. Le document, obtenu par Greenpeace et transmis au Devoir, présente plusieurs éléments clés de la stratégie qui devrait se déployer dans le but de convaincre les Québécois d’accepter le passage ici du plus important projet de transport de brut albertain en Amérique du Nord. Revenant d’entrée de jeu sur le fait que le transport de pétrole est devenu un « enjeu majeur » pour les citoyens du Québec depuis la catastrophe de Lac-Mégantic, le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis ces événements tragiques. Les Québécois, peut-on lire, souhaitent désormais être mieux « protégés », et « le pipeline pourrait constituer une réponse à cette préoccupation ». Les pipelines peuvent en fait constituer une « nouvelle opportunité » de transport pétrolier, même s’ils demeurent toujours « méconnus » du public. Edelman, qui a aussi travaillé sur le projet de pipeline Keystone XL, propose justement d’éduquer les Québécois à ce sujet. « Les Québécois ne sont pas familiarisés avec le pétrole comme source d’énergie. Les mythes et les appréhensions sont encore plus présents lorsqu’il s’agit du pétrole provenant des sables bitumineux albertains, qui sont directement associés au gouvernement de Stephen Harper. L’éducation sur le sujet est donc fortement requise », peut-on lire dans le document de 45 pages rédigé en anglais. Investir pour convaincre Dans ce contexte éducatif mis en avant par la pétrolière, il serait toutefois préférable d’utiliser le bon langage. « Nous recommandons de continuer à miser sur le terme “ressources naturelles” lorsque cela est possible, plutôt que le terme “sables bitumineux”, qui est perçu négativement », écrit Edelman dans ce rapport daté du 20 mai 2014. Celui-ci fait partie d’une série de documents confidentiels obtenus par Greenpeace. Puisque le projet de pipeline et de port d’exportation de Cacouna touche plusieurs communautés du Québec, la firme de relations publiques souligne l’importance de réaliser des investissements financiers afin de rallier la population à son projet. « Nous recommandons de définir un programme d’investissement communautaire spécifique au fleuve Saint-Laurent en raison de son importance dans le projet, en misant sur la restauration de quais et d’infrastructures riveraines puisque cela pourrait générer un retour sur l’investissement significatif. » Edelman estime aussi que « soutenir une campagne majeure de financement d’une université québécoise tout en contribuant à ses efforts dans la recherche environnementale pourrait aider à démontrer le sérieux de TransCanada par rapport à ces enjeux, mais aussi contribuer à améliorer l’image de la compagnie ». Le Devoir révélait récemment que TransCanada négocie actuellement avec l’Institut des sciences de la mer de Rimouski le financement d’une chaire de recherche sur le Saint-Laurent axée sur l’étude du béluga. En plus de ces engagements financiers, TransCanada devrait rencontrer et chercher à rallier à sa cause des personnalités influentes du Québec. La liste établie par Edelman comprend 19 noms, dont ceux de Brian Mulroney, Lucien Bouchard, Monique Jérôme-Forget, Pierre Marc Johnson, Denis Coderre, Régis Labeaume, le p.-d.g. d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, ainsi que le président de la Caisse de dépôt et placement, Michael Sabia. Contrer l’opposition S’il importe de se doter d’alliés, Edelman insiste aussi sur la nécessité de contrer les opposants, qui sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. « Si on les laisse faire, les opposants à Énergie Est utiliseront chaque information à leur disposition pour attaquer le projet et TransCanada. » La firme souligne notamment la nécessité d’établir le profil précis des groupes d’opposants. « Dans le but d’ajouter des obstacles aux opposants, nous travaillerons avec des tierces parties et nous les armerons avec l’information dont ils ont besoin pour faire pression sur les opposants et les distraire de leur mission », fait aussi valoir la firme de relations publiques. Ces « tierces parties » pourraient être par exemple des voix « crédibles » recrutées au sein des communautés. Parmi les arguments à mettre en avant, celui des bénéfices économiques semble être en haut de la liste. Edelman estime ainsi qu’à la suite des récentes élections, les Québécois ont tourné le dos à la question nationale et sont désormais plus préoccupés par les problèmes économiques. « Dans ce contexte, le projet Énergie Est pourrait être présenté comme une nouvelle occasion d’insuffler une nouvelle vie dans l’économie du Québec, grâce à la création d’emplois et d’effets indirects positifs sur d’autres secteurs. » La firme recommande par exemple de mettre en avant l’argument des bénéfices économiques afin de mieux faire accepter la construction d’un port pétrolier en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent. « L’impact économique du projet sera un argument fort pour rallier la communauté [de Cacouna] au projet », affirment les auteurs de la stratégie préparée par Edelman. Le projet doit permettre, à terme, de créer 133 emplois directs au Québec. Le pipeline Énergie Est doit faire passer ici 1,1 million de barils de pétrole brut chaque jour, soit l’équivalent de 1335 wagons-citernes. La province deviendra ainsi le point le plus stratégique au Canada pour l’exportation de pétrole des sables bitumineux.
  3. La maison verte sera un bâtiment à énergie nette-zéro aménagé aux abords de la rivière des Prairies, dans le parc Simonne-Monet-Chartrand, sur la rive nord de l'île de Montréal. Son emplacement constitue un point d'entrée de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et de Montréal En s'inspirant des approches écologiques de construction comme LEED Canada-NC 2009, passivhaus (énergie solaire passive) et le Living Building Challenge (Le Défi du bâtiment vivant), ce lieu muséal novateur et de haute technologie aura des caractéristiques durables et proposera une intégration harmonieuse au site, une gestion des eaux usées sur place et une conception écoénergétique globale. Enfin, la maison verte est un projet conçu pour les citoyens dont le concept facilite une appropriation de la communauté. En effet, en plus d'offrir l'accès à la rivière, le site sera accessible à des initiatives citoyennes.
  4. Wow, Atral média ne cessera jamais de me surprendre. Déjà qu'ils viennent de changer la radio locale Mix96 à Virgin Radio. Une radio moulé internationale qui n'est rien d'autre qu'une façon de faire du nettoyage dans du personnel et d'ajouter des émissions faites ailleurs à des heures de grande écoute qui dilué dans toutes leur station, coute moins chère et rapporte plus. Même si je n'écoutais pas cette radio, j'ai tout de suite vu une différence dans la qualité du produits local. Le Québec, Franco ou Anglo c'est exactement ça, une personnalité propre à nous même. Je suis un fan de la compagnie Virgin, je trouve que Richard Branson à réussi dans la vie pour les bonne raison, comme Bill Gates ou d'autre "players" qui ont commencé avec rien et qui ont eu des idées! Pourquoi je parle de Virgin Radio? Bien, Astral Média récidive en changeant la station Radio Énergie. Il prennent la radio francophone probablement la plus écouté à Montréal (Que je n'écoute pas non plus) et la transformeront en NRJ, la station française top 40 qui est le penchant de Virgin, c'est à dire, coupé au moule "à la McDonald" pour que peux importe où vous allez, les stations NRJ se ressembles toutes. C'est pas fort, vraiment pas fort, j'aimais bien Astral Média, une compagnie bien de chez nous mais qui franchement fait dure en crisse avec ces annonces. Moi entendre Anthony Cavanaugh (une des vedettes d'NRJ) avec un accent français, ça va me faire chier, putain de merde! Communiqué de Presse:
  5. Publié le 17 mai 2009 à 07h33 | Mis à jour le 17 mai 2009 à 07h35 Gros gloutons, gros barrages Patrick Lagacé La Presse Hydro-Québec va donc construire ces quatre barrages sur la rivière Romaine. Je devrais déchirer ma chemise et dire que c'est écoeurant, qu'on détruit la nature, qu'on saccage le patrimoine pour éclairer les maisons des Américains. Pourtant, non. Je ne vais pas déchirer ma chemise. Parce que c'est ma faute, ce barrage. Ma faute et la vôtre aussi. Parce que nous sommes des gloutons énergétiques. Comme tous les Occidentaux, ou presque, en cela. La croissance de la demande énergétique des Québécois est constante et imparable: 1% par année. Ça n'a l'air de rien, mais c'est énorme. C'est 10% en une décennie. Je sais, je parle du Québec alors qu'il s'agit de vendre de l'électricité aux Américains. Sauf qu'après la construction des quatre barrages, l'électricité de la Romaine va éclairer nos maisons. À terme, nous sommes toujours rattrapés par ce foutu 1%. À terme, nous sommes toujours rattrapés par nos téléviseurs 64 pouces au plasma (et celui de 32 pouces au sous-sol), par la thermopompe, par le chauffe-piscine, le ventilateur, le climatiseur, le frigo, le congélateur, le chauffe-eau, l'ordinateur, les plinthes qui nous chauffent, les lumières de Noël, les ampoules électriques qui nous éclairent (ou qui éclairent nos pièces vides). Traduction: nous sommes toujours rattrapés par tous les cossins de la vie moderne qui fonctionnent magiquement quand on les branche dans le mur. * * * Je ne veux pas planter les environnementalistes. Leur job, leur vocation, c'est de défendre l'environnement. Ils sont parfois moralisateurs mais, sur le fond, ils ont raison: l'environnement n'est pas exactement en bonne santé. S'ils ne déchirent pas leur chemise, qui le fera? Sauf que quand je les entends parler de la Romaine, j'ai de la misère à les suivre. D'abord, il y a eu ces déclarations de Daniel Green, selon lesquelles l'hydroélectricité n'est pas une énergie verte. C'est vrai... selon le fisc de 27 États américains qui appliquent le RPS, ou Renewable Portfolio Standard, m'explique Jean-Thomas Bernard, professeur titulaire de la chaire en économique de l'énergie électrique de l'Université Laval. Le RPS force les fournisseurs d'énergie à inclure, dans leur offre d'électricité, une fraction produite par certaines technologies vertes comme la biomasse, l'éolien et le solaire. C'est une façon de stimuler ces industries naissantes. «Et la grande hydroélectricité, qu'on trouve surtout au Québec, n'est pas considérée comme une énergie verte par le RPS», dit le professeur Bernard. Sauf que l'hydroélectricité reste une énergie propre, très propre, au palmarès des façons de produire de l'électricité. «Avec les forêts détruites, le pourrissement des arbres, il y a quand même des émissions de CO2, selon Jean-Thomas Bernard. Sauf que c'est minime, par kilowattheure produit, si on compare au charbon.» * * * L'autre mantra des environnementalistes, dans l'opposition à la Romaine, c'est dire que le Québec devrait mieux gérer l'électricité qu'il produit avant d'en produire encore plus. Miser sur les programmes d'économie d'électricité. J'en suis. Sauf que ça n'arrivera jamais. D'abord, l'électricité, au Québec, ne coûte pas cher. On se fiche de ce qui ne coûte pas cher. On le dilapide. C'est un peu comme les radars photo. Pourquoi les gens roulent-ils vite? Parce que le risque de se faire pincer est mince. Pourquoi lèvent-ils le pied, dans les pays où un système de radars photo est en place? Parce que le risque de se faire pincer est grand. Traduction: parce que, s'ils roulent vite, ils vont payer. Idem pour l'électricité. Pour que l'économie d'énergie fonctionne, il faudrait qu'elle coûte plus cher, cette énergie. Malheureusement, pour l'écologiste moyen, c'est plus facile de taper sur Hydro que de dire aux Québécois qu'on devrait augmenter le coût de l'électricité afin d'en utiliser moins. Parce que quand on parle de hausser les tarifs de l'Hydro, que ce soit pour réduire la consommation d'électricité ou s'enrichir collectivement en la vendant aux Américains, vaut mieux revêtir son casque Joffa à grille: les roches viennent vite... Ensuite, l'Homo quebecus, dans le confort de son salon, quand il regarde Occupation double, ne veut pas se faire embêter par la conservation de l'électricité. Il ne veut pas se faire dire qu'il devrait aller éteindre la lumière de la salle de bains, où il est allé pendant la pause publicitaire. Et quand il part travailler, il ne veut pas faire le tour de la maison pour baisser le chauffage. Parce que c'est compliqué, être moins énergivore. Dans son quotidien, quand on est roi de son petit univers, empereur de son grand bungalow, c'est emmerdant de modifier son comportement de glouton énergétique. C'est moins emmerdant de laisser l'État construire des barrages monstrueux sur des rivières que 98% des Québécois ne verront jamais de leurs yeux. Je termine sur un extrait de la chronique d'hier de François Cardinal, qui couvre l'environnement pour La Presse: «Le Canada est 16e au palmarès Greendex du National Geographic. Le pays se classe ainsi avant-dernier d'une liste de 17 pays en raison de la taille des maisons, de la consommation d'énergie et, surtout, de la propension des Canadiens à se déplacer dans des voitures toujours plus grosses.» Gros gloutons, gros barrages. On n'en sort pas.
  6. Rolls-Royce a des projets pour Montréal * Dominique Lemoine, Lesaffaires.com * 11:01 Rolls-Royce inaugurera en mai à ses installations de Montréal la première ligne nord-américaine de réparation et de remise en état pour la famille de moteurs V2500. Rolls-Royce souligne le soutien financier du gouvernement du Québec pour cet investissement. L’entreprise a aussi annoncé jeudi que deux ensembles de moteurs Trent 60 seront construits à l’usine de Montréal. Les moteurs Trent 60 ont été sélectionnés pour fournir en énergie électrique une nouvelle mine de Nickel en Nouvelle-Calédonie. Le projet de Koniambo est dirigé par Koniambo Nickel SAS, une coentreprise propriété de Xstrata Nickel et Société Minière du Sud du Pacifique.
  7. Le fonds de revenu, producteur d'électricité basé à Montréal, a enregistré un profit de 2,8 M$ au cours de son troisième trimestre, soit une hausse de 87%. Pour en lire plus...
  8. Jacques Lamarre n'en fait pas un mystère. SNC-Lavalin sautera sur l'occasion d'acquérir en tout ou en partie Énergie atomique du Canada, si le gouvernement fédéral décide de privatiser la société d'État. Pour en lire plus...
  9. Le président français qui a engagé l'État dans le sauvetage de la banque Dexia, a assuré mardi qu'il consacrait «toute son énergie pour organiser une réponse coordonnée à la crise». Pour en lire plus...
  10. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que la construction d'un complexe hydroélectrique sur la rivière Romaine, en Minganie, est un projet majeur pour la Côte-Nord, qui générera une énergie renouvelable et sans émission de gaz à effet de serre. Pour en lire plus...
  11. Boralex a dégagé un bénéfice net de 5,3 M$ au cours du deuxième trimestre de l'exercice 2008, mais peine à s'ajuster à la pénurie de résidus de bois au Québec. Pour en lire plus...
  12. La direction d'Hydro-Québec Distribution a déposé une demande auprès de la Régie de l'énergie pour hausser une nouvelle fois ses tarifs à compter du printemps 2009. Pour en lire plus...
  13. «Une énergie propre, c'est celle qui demande le moins de transformation possible, et qui est la plus locale possible.» Pour en lire plus...
  14. LS Power, un fonds privé d'investissement basé à New York, offre 7,8 milliards de dollars pour faire l'acquisition du producteur d'électricité albertain TransAlta. Pour en lire plus...
  15. La compagnie torontoise réclame 1,6 G$ pour l'abandon unilatéral du projet MAPLE, pour la production d'isotopes. Pour en lire plus...
  16. La Jordanie a signé un accord avec Énergie atomique Canada pour évaluer la solution nucléaire civile du groupe canadien. La collaboration durera trois ans et pourrait donner lieu à la construction d'une centrale de type CANDU. Pour en lire plus...
  17. Energie atomique du Canada (EACL) et SNC-Lavalin ont signé, samedi à Amman, en Jordanie, un protocole d'entente de partenariat avec la Commission de l'énergie atomique de Jordanie. Pour en lire plus...
  18. Le technopole Angus finalise son expansion 29 mai 2007 | Léonie Laflamme-Savoie , LesAffaires.com Le technopole Angus vient de faire l’acquisition du dernier terrain compris dans son plan d’expansion initial. Le technopole s’étend à présent sur 1,4 millions de pieds carrés et près de 40 entreprises s’y sont installées. Parmi elles on compte la compagnie française spécialisée dans la conception de jeux vidéos Ubisoft, Hélimax Énergie une entreprise spécialisée dans l’énergie éolienne ainsi qu'une succursale des caisses Desjardins et de la SAQ. Depuis 1996, ce sont près de 1000 emplois qui ont été créés sur le territoire du technopole qui réalise des revenus annuels de plus de 7M$. Le technopole est entièrement géré par la Société de Développement Angus (SDA), un organisme communautaire.
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