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Tout ce qui a été posté par Atze

  1. Îlot Voyageur: la Caisse de dépôt est liée au projet Le Devoir Kathleen Lévesque Édition du mardi 17 juin 2008 Mots clés : UQAM, Caisse de dépôt et placement du Québec, Îlot Voyageur, Construction, Investissement, Québec (province), Montréal La Caisse de dépôt et placement du Québec participe depuis 2006 à l'administration du contrat de construction de l'îlot Voyageur, un projet immobilier qui a entraîné l'Université du Québec à Montréal (UQAM) dans un gouffre financier de plusieurs centaines de millions de dollars. Comme l'a appris Le Devoir, la société MCAP, propriété à 75 % de la Caisse par sa division immobilière CADIM, a un mandat, toujours en vigueur, d'agent d'administration des débours. À ce titre, MCAP a la responsabilité d'autoriser les avances de fonds, ce qui permet d'effectuer les paiements pour le chantier de l'îlot Voyageur. La participation de la Caisse de dépôt et placement dans ce projet immobilier controversé constitue un autre indice possible indiquant que le gouvernement avait pleine connaissance du développement de l'îlot Voyageur avant que n'éclate la crise de l'UQAM sur la place publique à l'automne 2006. Les services de MCAP ont été retenus environ six mois auparavant, c'est-à-dire au printemps 2006. C'est d'ailleurs à cette époque que le ministère des Finances a racheté les 269 millions d'obligations émises pour le financement de l'îlot Voyageur et entièrement garanties par l'UQAM. L'intervention du ministère visait à éviter une hausse des coûts d'emprunt futurs du gouvernement et de l'ensemble du secteur public. Selon le vérificateur général du Québec, qui a rendu publique la deuxième partie de son rapport particulier sur l'UQAM il y a deux semaines, en faisant cela, le ministère des Finances «a agi correctement». Une fois les 269 millions devenus disponibles, le promoteur Busac, partenaire de l'UQAM pour la construction de l'îlot Voyageur, pouvait aller de l'avant. C'est à ce moment que MCAP est entrée en scène. Il s'agit d'un aspect que le vérificateur général n'a toutefois pas analysé. MCAP n'a rien à voir avec l'émission des obligations comme telle. Ce n'est qu'après cette opération que la société affiliée à la Caisse a été impliquée. MCAP s'est alors assurée que l'argent était utilisé pour le projet auquel il était destiné. «Son rôle est de veiller aux intérêts du prêteur et d'effectuer des demandes de paiements en s'appuyant notamment sur des opinions externes, telles que les rapports d'un consultant en coûts, d'un architecte, d'ingénieurs. [...] Il n'a pas de pouvoir discrétionnaire si des demandes débordent du cadre de l'entente. Advenant un tel cas, il doit obtenir les autorisations nécessaires pour pouvoir procéder à la demande de paiement», a expliqué France Bouffard, porte-parole de la Caisse. Le prêteur dont il est question est le gouvernement qui est devenu propriétaire du prêt hypothécaire en rachetant les obligations University Finance Trust 2006. Quant au consultant en coûts, il s'agit de la firme Altus. Mme Bouffard a refusé de dévoiler qui a donné le contrat à MCAP, quelle en est la nature exacte et à quel tarif. «C'est une entente privée», a-t-elle répété. «Il est par ailleurs exact d'affirmer que la Caisse ou certaines de ses filiales ont eu et ont des relations d'affaires avec Busac», a ajouté France Bouffard. Les documents accompagnant la vente des obligations donnent un certain éclairage. La «notice d'offre» spécifiait que MCAP deviendrait l'administrateur des débours ce que le gouvernement ne pouvait ignorer lorsqu'il a fait l'acquisition des obligations. Au ministère des Finances, on disait il y a quelques jours ignorer tout de la participation de MCAP dans le dossier. Du côté de la Caisse, on s'est borné à préciser que le mandat de MCAP concerne trois des cinq composantes prévues initialement à l'îlot Voyageur. Or, ce projet se composait, d'une part, d'un stationnement souterrain et de résidences étudiantes qui devaient appartenir en propre à l'UQAM une fois le chantier terminé, ce qui n'est toujours pas le cas. D'autre part, Busac contrôlait l'autre portion de l'îlot Voyageur, c'est-à-dire la gare d'autobus, la tour de bureaux ainsi que le pavillon universitaire. Selon toute vraisemblance, c'est l'administration du contrat de construction de ces trois édifices qui relève de MCAP. La Caisse a refusé de le confirmer. Dans son rapport, le Vérificateur général présente les coûts engagés au 31 janvier 2008 dans l'îlot Voyageur. Ainsi, pour les trois composantes relevant de Busac et pour lesquelles l'UQAM doit payer une emphytéose de 30 ans, les coûts engagés totalisent 112,7 millions. À cette somme, il faut ajouter 24,6 millions qui sont des honoraires professionnels supplémentaires et une partie de la rémunération de Busac qui s'appliquent toutefois à l'ensemble de l'îlot Voyageur. Ce chantier est aujourd'hui complètement arrêté. L'UQAM a entrepris des négociations avec Busac afin de revoir les termes du contrat. Le gouvernement a annoncé qu'il prendrait à sa charge l'îlot Voyageur, mais les modalités ne sont pas toujours pas connues. Il avait toutefois indiqué qu'il souhaitait que le développement de ce site du centre-ville soit repris par un nouveau promoteur. Ainsi, la Société immobilière Trans-Québec (SITQ), une filiale de la Caisse de dépôt et placement analyse la possibilité de mettre la main sur l'îlot Voyageur. Depuis l'hiver dernier, la SITQ est en pourparlers avec de «gros locataires» potentiels. Mais si l'intérêt de la SITQ devait se concrétiser, il ne resterait que peu de choses du projet d'origine de l'UQAM et de Busac. Le pavillon universitaire et la tour de bureaux semblent écartés de tout futur développement. http://www.ledevoir.com/2008/06/17/194347.html (17/06/2008 6H26)
  2. Il y a une affiche de la ville sur la porte qui interdit à quiconque d'entrer... peut-être que ça fait parti de leur décor, mais comme l'endroit semble complètement mort et que rien n'a encore été installé sur la terrasse, je pense que l'endroit est fermé. Il y a des clôtures sur le trottoir autour de la partie arrière et il semble que de briques soit tombés. L'hiver semble avoir été fatal, plusieurs fissures sont apparus sur les murs. Tant qu'à moi, ce n'est pas une grande perte s'il la détruise, l'endroit est plutôt moche et je ne pense pas que les voisins s'en plaindront.
  3. Hôtel Dauphin et Maison Hantée (sous ordre d'évacuation depuis le milieu de l'hiver):
  4. La qualité des photos est mauvaises, je m'en excuse, mais les tours ont vraiment un impact sur le "skyline" de l'est de la ville:
  5. Dimanche, en revenant des tamtams (hé oui, je suis un hippie selon les critères de certain !), ils étaient entrain d'installer cette bannière:
  6. U.S. airline stocks can be hazardous to your wealth Wed Jun 11, 2008 12:59pm EDT By Mark McSherry - Analysis NEW YORK (Reuters) - When equity analysts qualify their recommendations with warnings like "investing in airline stocks is very risky" and "trading airline stocks can be hazardous to your wealth," you kind of get the picture. The warnings, which appeared in recent notes from Lehman Brothers and UBS, respectively, are well placed. Shares of most major U.S. airlines have plummeted during the past year amid record oil prices and a weakening economy, wiping out billions of dollars in stock market value. Take United Airlines parent UAL Corp (UAUA.O: Quote, Profile, Research, Stock Buzz). Its stock has fallen from $51.60 last October to under $8 on Wednesday. Then there is AMR Corp (AMR.N: Quote, Profile, Research, Stock Buzz), parent of American Airlines. It has seen its share price fall from $29.32 last July to around $6.35 on Wednesday. Some experts believe U.S. airline stocks have now become the domain only of professional traders and speculators who can profit from short-term price movements, or short sellers who make money if stocks decline. "For long-term investors, these are not investments that they should be looking at," said Brian Nelson, analyst at Morningstar. "Airline stocks are of a different breed -- the structural features are horrible in terms of the industry," Nelson added. Sky-high fuel prices and a weakening U.S. economy have stalled the U.S. airline industry's modest recovery from the 2001-2006 downturn. Oil prices have roughly doubled in the past year. To survive, U.S. airlines are slimming down. They have reduced services and capacity, cut jobs, hiked fares, and added new fees and surcharges. But unless oil prices ease soon, some experts believe these measures might not be enough. A MATTER OF TIME At least seven small airlines have filed for bankruptcy or stopped operating in recent months. And if oil prices do not retreat soon, some analysts believe it is a matter of time before a major airline files for bankruptcy. "The state of the airline industry is one of disrepair and the industry faces a crisis as oil prices soar," said Calyon Securities analyst Ray Neidl. Meanwhile, most airline shares keep falling. The stock of Delta Air Lines (DAL.N: Quote, Profile, Research, Stock Buzz), which has announced plans to acquire Northwest Airlines (NWA.N: Quote, Profile, Research, Stock Buzz), has declined from $21.80 last July to less than $6 today. Over the same period, Northwest shares have fallen from $24.23 to around $6.50. Continental Airlines (CAL.N: Quote, Profile, Research, Stock Buzz) has dropped from $38.61 to around $12.50 in the last 11 months and US Airways Group (LCC.N: Quote, Profile, Research, Stock Buzz) has plummeted from $36.19 to around $3.50 over the same period. Most U.S. airline stocks have fallen so much that Germany's Lufthansa (LHAG.DE: Quote, Profile, Research, Stock Buzz) now has a stock market value worth more than AMR, UAL, Delta, Northwest, Continental and US Airways combined. Indeed, Southwest Airlines (LUV.N: Quote, Profile, Research, Stock Buzz), which has a history of successfully hedging against high fuel costs -- reflected in a stronger stock price -- also has a stock market value higher than its six rivals put together. Southwest shares have declined much less than its rivals, from $16.96 last August to under $14 on Wednesday. "Airline equities could go to zero ... you are betting that crude oil could fall," said Morningstar's Nelson. "Crude oil could definitely fall at some point -- however airline stocks could very well be bankrupt well before then," Nelson added. JP Morgan analyst Jamie Baker has estimated a collective loss of $7.2 billion for U.S. airlines this year. WORTH A GAMBLE And yet there are some who believe that selected airline stocks are worth a gamble. In a note to clients last week, Lehman Brothers' Gary Chase, the analyst who said "investing in airline stocks is very risky," also said his firm sees "substantial upside potential in selected airline equities as the industry undertakes an historic restructuring." Chase wrote: "Risks are extreme, but we believe justified by substantial upside potential," adding that his favorites are Delta and Northwest as they have the "best balance sheets, liquidity, and cash burn profiles." Neidl of Calyon Securities said U.S. airline stocks have become merely "trading vehicles" for professionals who know what they are doing. "We continue to believe that the major carriers will make it through what will be a difficult 2008 and that as trading vehicles the stocks will be attractive acquisitions at current low prices -- but the time is too early," said Neidl. Morningstar's Nelson agreed, saying U.S. airline stocks have not yet reflected the rising risk of bankruptcy. Even at their current low levels, Nelson added: "I still think most of them are overvalued." http://www.reuters.com/article/ousiv/idUSN1147489320080611?sp=true (15/06/2008 01H58)
  7. Je vais à Beijing, à Seoul et à Busan à la fin du mois, si vous avez des demandes spéciales pour certains édifices ou infrastructures, n'hésitez pas. Je vais pendre beaucoup de photos des installations olympiques que je partagerai avec joie avec vous.
  8. Probablement que la très grande majorité des gens vont apprendre que la bâtisse est en construction au moment où ils vont descendre du taxi et comme ils vont déjà avoir leur réservations, beaucoup n'annuleront pas. Ils doivent vouloir encaisser le maximum d'argent durant l'été et l'automne avant l'hiver qui est une période plus difficile côté trésorerie dans les hôtels du centre-ville (tout le contraire avec ceux près de l'aéroport).
  9. Atze

    Gare Viger

    Une épine de moins au pied du promoteur de la gare-hôtel Viger Le Devoir Kathleen Lévesque Édition du mardi 10 juin 2008 Mots clés : amendement, projet de loi, gare-hôtel Viger, Montréal, Québec (province) Le promoteur de la gare-hôtel Viger vient de voir tomber l'un des obstacles qui se dressaient devant lui. Un changement à la Charte de la Ville de Montréal permettra de noyer la contestation des voisins immédiats au projet. En effet, le gouvernement du Québec a adopté jeudi soir dernier un amendement au projet de loi omnibus en matière municipale qui fait en sorte d'étendre à tout l'arrondissement historique du Vieux-Montréal le territoire de consultation pour le projet Viger. Cette modification qui doit être entérinée par l'Assemblée nationale d'ici à la semaine prochaine, s'appliquera à tous les grands projets situés dans le Vieux-Montréal. Les règles actuelles limitent le processus démocratique du registre et d'un éventuel référendum aux seuls Montréalais habitant les zones contiguës d'un projet. Or, la revitalisation du site de la gare-hôtel Viger avec l'érection de hautes tours dans l'arrondissement historique, soulève de nombreuses critiques, mais le changement législatif «en cours de processus» a littéralement fait bondir le Regroupement pour un projet Viger harmonieux. On estime que changer les règles à ce moment-ci, «enlève le pouvoir aux citoyens de donner leur point de vue à la suite des pressions du promoteur qui a des entrées politiques». Le promoteur Viger DMC International a fait appel à des lobbyistes au cours des derniers mois afin de sensibiliser les autorités gouvernementales et municipales au bien-fondé du projet de la gare-hôtel Viger et surtout afin d'éliminer certains obstacles. Il a également entrepris des consultations privées avec les résidants du secteur, constatant ainsi une opposition vive quant à la hauteur prévue des immeubles et à leur emplacement. À l'origine, le promoteur souhaitait un changement radical de la charte montréalaise pour faire disparaître la possibilité de la tenue d'un registre et d'un référendum après des consultations en bonne et due forme de l'Office de consultation publique de Montréal. Le projet Viger doit toutefois faire l'objet d'un avis du ministère de la Culture compte tenu du fait qu'il est situé dans le Vieux-Montréal. En avril dernier, Homburg Invest, l'un des partenaires du consortium Viger DMC International, a manifesté une certaine impatience et menaçait même de se retirer si les obstacles n'étaient pas levés. De passage à Montréal, Richard Homburg avait rencontré le maire de Montréal, Gérald Tremblay, pour réaffirmer son désir d'investir à Montréal dans les meilleurs délais. http://www.ledevoir.com/2008/06/10/193379.html (10/06/2008 6H33)
  10. Atze

    Future train connections

    Je pense que Québec à déjà eu un projet de lien rapide avec Boston, Boston et New York pourrait fermer la boucle.
  11. Encore mieux, selon l'exemple de Seattle, qui a des bus accordéons hybrids avec un support à vélo. Je sais que beaucoup d'entre-vous allez avoir des réticences avec le support à vélo, mais j'en ai vu plusieurs et ça m'a semblé très facile à utiliser et ça ne causait vraiment pas de retard important au bus. Il y a de le place pour un ou deux vélos et le support est sur un ressort qui le fait remonter quand il n'y a pas de vélos. En donnant la possibilité à plus de gens d'atteindre facilement un point B en vélo à partir d'un circuit d'autobus, ça convainc surement plusieurs personnes à ne pas prendre leur automobile si l'option leur semple plus avantageuse.
  12. Le crédit revient à Yara, qui avait suggérer d'en prendre depuis le secteur. Très impressionnantes tes photos de Laval !
  13. Photo de la base de la fontaine décoffrée: Mes autres photos n'étaient pas bonnes, mais on dirait qu'ils ont commencé à remplir le trou qu'ils avaient fait sur une très grande partie du site. Peut-être ont-ils fait du remplissage parce que la capacité portante du sol était trop faible ?
  14. Je n'ai pas trouvé de fil existant, et ça semble quand même remplir un gros trou sur Ste-Catherine. La pancarte ne me semble pas récente par contre.
  15. Je pense que c'est la tour Transat et le complexe La Cité.
  16. J'ai réussi à prendre des photos à côté de l'ambassade de nos voisins du sud sans me faire shooter ! Mais je suis probablement maintenant ficher par la CIA. ayaye, je vais me faire savonner la prochaine fois aux douanes mouhahaha
  17. Corrigez moi si je me trompe, mais je crois que ce sont les anciens pavillon des sciences de l'UQAM. Rue St-Alexandre: Vue de l'arrière, à partir du stationnement du projet de la tour du Square Phillips:
  18. Ste-Catherine / Bleury: Maisonneuve/Sansguinet (désolé pour la photo sombre): Maisonneuve/St-Dominique:
  19. Ils ont atteint la Chine ! Sans blagues, est-ce que c'est eux qui ont coulé une dalle de béton ? ou est-ce le métro ? ou ... ?
  20. Atze

    TGV: Liaison Windsor - Québec

    Si tu es intéressé par le sujet, fais une petite recherche sur la GM qui a tout fait pour freiner le développement du système ferroviaire pour le remplacer par des lignes d'autobus(qu'elle construisait) et promouvoir la construction d'autoroutes pour vendre plus de voitures.
  21. Je ne donne pas chère de la tête à Chavez si le prix atteint ne serais-ce que 0.50 $ / litre !
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