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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Rogers wants to build 30-storey tower in Montreal The Gazette Published: Thursday, June 14, 2007 Canadian communications giant Rogers wants to establish a presence in Quebec by building a 30-storey office tower near Montreal's Place Des Arts, according to published reports. The building would help rejuvenate the Balmoral ilot with a stage for festivals and a new theatre. Discussions are underway between Rogers and the Societe d'habitation et de developpement de Montreal. According to the report, the tower would be built at the corner of Bleury St. and de Maisonneuve Blvd. and would allow Rogers to group all of its Montreal offices under one roof. The Wilder building, on the south side of the ilot, would be demolished to make way for the new theatre, which would compensate for the loss of the Spectrum, which is to be demolished later this year.
  2. super!!!!! Mais ce fil appartiens a la section Propositions!
  3. j'ai pas l'habitude de dire ça: c'est long
  4. MIllau: un PPP réussi 12 juin 2007 - 10h54 La Presse Claude Picher Grossir caractèreImprimerEnvoyervar nsteinWords;nsteinWords = unescape(''); Si vous vous intéressez le moindrement aux techniques de construction, vous connaissez déjà le viaduc de Millau, que les spécialistes considèrent comme une prouesse architecturale sans égale. Millau est une petite ville située près de Montpellier, dans le sud de la France. L’autoroute 75, un des quatre grands axes autoroutiers qui traversent la France du nord au sud, passe par là. Or, jusqu’à récemment, cette superbe autoroute était en quelque sorte coupée en deux. À la hauteur de Millau, le Tarn a creusé une immense et profonde vallée. L’autoroute s’arrêtait donc à Millau; les automobilistes (et les poids lourds) devaient faire un long détour pour gagner l’autre côté de la vallée et retrouver la 75. Comme on s’en doute, cela causait d’énormes problèmes de circulation. L’endroit a ainsi hérité du douteux surnom de «bouchon de Millau». Depuis deux ans, le problème est résolu. Les deux parties de l’autoroute sont maintenant reliées par un superbe viaduc de 2,5 kilomètres. Superbe? Le mot est faible. Avec ma conjointe, je viens de passer quelques semaines de vacances en France, et nous en avons profité pour visiter le viaduc. «En personne», si j’ose dire, il est encore plus impressionnant qu’en photo. document.write(''); document.write(''); De loin, on peut apercevoir l’époustouflante silhouette du viaduc, dont le tablier, le plus haut au monde, est soutenu par d’élégants haubans amarrés à de minces piliers aux formes élancées. Le plus haut de ces piliers fait 343 mètres; c’est, de loin, le plus haut au monde, un autre record. Même de près, il s’en dégage une inoubliable impression d’harmonie, de légèreté et de délicatesse. Il ne faut pas s’y tromper: le viaduc est en fait une solide construction ayant nécessité 206 000 tonnes de béton. Et aussi fragiles qu’ils puissent paraître, les haubans supportent facilement un tablier de 36 000 tonnes, quatre fois le poids de la tour Eiffel. Près de 12 000 véhicules par jour franchissent le viaduc, mais sa capacité est nettement supérieure à cela: en août dernier, en une seule journée, il a été emprunté par 54 000 véhicules. Cela ne fait pas peur aux architectes, tellement sûrs de leur affaire que l’ouvrage est garanti pour 120 ans. Évidemment, à Millau, on jubile. Les touristes viennent de partout pour admirer le viaduc. Millau connaît depuis deux ans un véritable boom économique. Le maire de l’endroit n’hésite pas à faire dans l’hyperbole: «Désormais, a-t-il déclaré, on connaît Millau comme on connaît Shanghai ou New York» Bon, un peu gros, peut-être, mais sincère. Toujours est-il que ce chef-d’oeuvre a été construit au coût de 400 millions d’euros (600 millions de dollars canadiens). Et maintenant, le plus beau: > L’échéancier a été scrupuleusement respecté. Le 14 décembre 2001, le ministre français des Transports pose la première pierre. Le 14 décembre 2004, trois ans plus tard jour pour jour comme prévu, le président Chirac préside la cérémonie d’inauguration. > Il n’y a eu aucun dépassement de coût. Le budget original était de 400 millions d’euros, on a réalisé l’ouvrage pour 400 millions d’euros. C’est aussi simple que cela. > Le viaduc ne coûte rien aux contribuables français. Tous les risques (financement, conception, construction, exploitation et entretien du viaduc) sont assumés par une entreprise privée, la CEVM (Compagnie Eiffage du Viaduc de Millau), une filiale du groupe Eiffage. Le groupe, dont le chiffre d’affaires atteint 10 milliards d’euros, est spécialisé dans les partenariats public-privé (PPP). La CEVM a négocié une concession de 75 ans avec le gouvernement français. Pendant cette période, Eiffage compte récupérer son investissement et réaliser des profits grâce au péage. Le concessionnaire n’a toutefois pas les pleins pouvoirs; les tarifs doivent être approuvés par le ministère des Transports. Présentement, pour une voiture, il en coûte 5,4 euros (environ huit dollars) pour franchir le viaduc. En haute saison, le tarif passe à sept euros. Ce n’est pas cher, je trouve. De toute façon, ceux qui trouvent cela trop cher peuvent toujours passer par l’ancien détour de la vallée. Visiblement, ce n’est pas le premier choix des automobilistes: après deux ans d’exploitation, l’achalandage est de 8% supérieur aux prévisions. Le viaduc de Millau est un exemple parfait de PPP réussi. C’est le principe de l’utilisateur-payeur qui s’applique. Le gouvernement, c’est-à-dire l’ensemble des contribuables, ne paie rien et ne prend aucun risque. Au bout de 75 ans, la concession expire et le viaduc revient à l’État, à moins que les deux parties s’entendent sur une prolongation. Une clause prévoit cependant que le gouvernement peut acquérir le viaduc au bout de 41 ans, en versant une compensation financière à la CEVM. Millau n’est pas un cas unique. Ceux qui sont habitués à voyager en France ont déjà pu apprécier l’exceptionnelle qualité des autoroutes françaises exploitées selon la formule des PPP. Au Québec, le gouvernement Charest compte appliquer la formule pour le prolongement de l’autoroute 25, Dans les milieux syndicaux québécois, il existe un fort courant anti-PPP, beaucoup plus idéologique que pratique. Déjà, la CSN et la FTQ ont publié un communiqué dénonçant «toute réalisation en PPP qui ne peut avoir comme conséquence que de brader nos services publics aux mains des transnationales qui ne pensent qu’au profit». Du prolongement du métro à Laval au siège de la Caisse de dépôt en passant pas la Gaspésia, il ne manque pourtant pas d’histoires d’horreur au Québec, et on a été capable de faire ces désastres sans l’aide des transnationales. Peut-être que les bonzes du lobby anti-PPP québécois seraient-ils bien inspirés d’aller faire un tour du côté de Millau...
  5. c'est un chiffre que je j'ai trouvé dans un article de journal! Je vais mettre à jour le titre du fil.
  6. And this concludes the May 2007 pictures: Stay tuned for my June 2007
  7. GlaxoSmithKline investit 50M$ à Laval 11:37 | Denis Lalonde, LesAffaires.com GlaxoSmithKline investit 50M$ dans ses installations de Laval qui deviennent le siège social nord-américain de sa division de vaccins. L’investissement inclut également l’agrandissement et la modernisation des laboratoires existants de même que la construction de nouveaux laboratoires sur le site de l’entreprise à Laval. En bout de ligne, une soixantaine d’emplois seront créés dans les secteurs du développement clinique et de l’exploitation. Les travaux des scientifiques lavallois porteront principalement sur la biologie moléculaire, l’immunologie et les vaccins contre les infections respiratoires virales, les allergies et l'oncologie. Le président et chef de l’exploitation de GlaxoSmithKline (GSK), Paul Lucas a précisé que l’investissement avait été rendu possible grâce aux politiques favorables des gouvernements fédéral et provincial dans le secteur de l’innovation. GSK se dit maintenant l’employeur numéro un de l'industrie biopharmaceutique au Québec et dans l'ensemble du Canada, alors qu'elle y compte respectivement plus de 1 400 et 3 300 employés. Les vaccins de GSK comptent déjà pour environ 75% des stocks de vaccins contre la grippe saisonnière du gouvernement canadien. La société travaille par ailleurs de concert avec les gouvernements fédéral et provincial à préparer la réponse à une éventuelle pandémie. Le siège social mondial de la division Vaccins de GSK est situé à Rixensart, en Belgique. La division nord-américaine possède des installations à Sainte-Foy (Québec), Hamilton (Montana), Columbia (Maryland) et Marietta (Pennsylvanie).
  8. La SAQ dégage un profit annuel de 710,1 M$ 8 juin 2007 | Presse Canadienne, La Société des alcools du Québec (SAQ) a conclu son exercice avec un bénéfice net de 710,1 M$, en hausse de 8 % comparativement aux 656,9 M$ de l'année dernière, tandis que ses ventes ont suivi la même progression pour atteindre 2,9 G$. Les recettes gouvernementales totales tirées de l'exploitation, incluant les revenus fiscaux, ont atteint 1,4 G$, a indiqué vendredi la société d'Etat, dans un communiqué. Durant l'exercice, la croissance des ventes en volume (litres) a été de 6,5 %. La part du vin dans les ventes totales en dollars de la SAQ a continué de s'accroître de 1,8 % pour atteindre 76,8%, alors que celle des spiritueux a légèrement régressé de 0,4 %, à 15,6 %. La part des boissons panachées (coolers) a diminué de 1,1 %, à 5,9 %. La bière ferme la marche avec 1,4 % des ventes, comparativement à 1,5 % en 2005-2006. La plus grande partie de la croissance des ventes provient des succursales, dont le niveau d'activité continue de croître alors que celui des secteurs de la restauration et de l'alimentation demeure stable. Par ailleurs, la SAQ a disposé en cours d'année de sa participation dans Maison des Futailles. La cession de ce placement, qui découle de la mise en oeuvre de son plan stratégique, a engendré un gain de 3 M$. "Nous sommes très satisfaits de ces résultats, non pas parce qu'il s'agit de résultats records, mais parce qu'ils sont le fruit des efforts de tous les employés pour faire de la SAQ un meilleur détaillant et une entreprise innovatrice", a déclaré le président-directeur général de la SAQ, Sylvain Toutant. Plus tôt cette semaine, la régie des alcools de l'Ontario (LCBO) a indiqué que son bénéfice annuel net avait augmenté de 7,6 %, pour atteindre 1,3 G$. Ses ventes ont atteint le niveau de 3,9 G$, pendant l'exercice, en hausse de 235 M$. La LCBO a versé un dividende de 1,275 G$ dans les coffres de la province de l'Ontario. Vendredi, la SAQ a indiqué que durant l'année, elle a ouvert sept magasins dans de nouveaux secteurs, tandis que 38 autres ont été agrandis ou déménagés dans des locaux plus vastes ou rénovés. La société d'Etat note aussi dans son communiqué que la consommation d'alcool des Québécois, qui est équivalente à 7,6 litres d'alcool pur par année, est alignée sur la moyenne canadienne et se situe en deçà des normes de Santé Canada. Le modèle de consommation des Québécois est "le plus responsable au Canada avec des consommations plus fréquentes, mais en plus petites quantités qu'ailleurs au Canada", estime la SAQ. Elle observe que les Québécois évoluent aussi vers la consommation de produits de gamme supérieure.
  9. Une étape importante vers le parachèvement de l'autoroute 25 MONTRÉAL, le 9 juin /CNW Telbec/ - La ministre des Transports et ministre responsable de la région de la Mauricie, Mme Julie Boulet, ainsi que la ministre de l'Education, du Loisir et du Sport, ministre de la Famille et ministre responsable de la région de Laval, Mme Michelle Courchesne, accompagnées du maire de Laval, M. Gilles Vaillancourt et des députés de Laval, annoncent la sélection de Concession A25, S.E.C. (Infras-Québec A25) en vue de la conclusion d'une entente de partenariat d'une durée de 35 ans pour la conception, la construction, le financement, l'exploitation et l'entretien du parachèvement de l'autoroute 25. Concession A25, S.E .C. est composé des membres suivants : MIP Quebec Holdings, L.P. et Concession A25 Funding 2 Ltd. Participent aussi au projet : Macquarie Bank Limited, Construction Kiewit Cie, Ciment St-Laurent inc., Parsons Overseas Company of Canada Ltd., Genivar Société en Commandite et Miller Paving Ltd. Plusieurs de ces entreprises oeuvrent d'ailleurs dans d'importants projets d'infrastructures routières au Canada et à l'étranger. «La sélection de Concession A25, S.E.C. s'est faite au terme d'un processus rigoureux co-géré par le ministère des Transports du Québec et Partenariats public-privé Québec. Nous sommes convaincus que ce regroupement de firmes, parmi les plus importantes au monde et reconnues à l'échelle internationale pour la réalisation de grands projets d'infrastructures routières selon l'approche de partenariat public-privé, saura relever ce défi avec brio, dans le meilleur intérêt des Québécois», a déclaré Mme Boulet. La ministre des Transports a aussi souligné les nombreux avantages de la formule retenue pour le parachèvement de l'autoroute 25. «La proposition déposée par Concession A25, S.E.C. représente la meilleure offre conforme au coût proposé au gouvernement. De plus, le coût de la proposition inclut un partage de risques et de responsabilités entre le partenaire privé et le gouvernement. Les risques liés au dépassement de coûts et au non-respect de l'échéancier sont aussi de la responsabilité du partenaire privé», a ajouté Mme Boulet. Une solution aux problèmes de circulation et un plus dans la qualité de vie des citoyens «Ce tronçon complète un lien manquant et corrige la discontinuité actuelle du réseau routier. Sa réalisation va atténuer certains problèmes majeurs de circulation et offrir un outil efficace dans la poursuite de nos objectifs en matière de transport durable, en réduisant notamment les détours inutiles que s'imposent chaque jour des centaines d'usagers du réseau», a indiqué Mme Courchesne. La ministre Michelle Courchesne a aussi réitéré, au nom du caucus des députés de Laval, toute l'importance de ce projet pour la population et l'économie de la région. «L'étape que nous franchissons aujourd'hui nous rapproche du jour où nous pourrons enfin répondre aux attentes formulées par une partie importante de la population de la région métropolitaine de Montréal et de Laval dans ce dossier. Non seulement ce projet va-t-il se traduire par une meilleure qualité de vie pour les citoyens, mais il sera également un soutien de taille pour le développement des pôles économiques de l'agglomération et la croissance économique de l'est de Montréal et de Laval», a ajouté la ministre. M. Gilles Vaillancourt, maire de Laval, se dit «très heureux de voir le gouvernement donner suite à ce projet majeur qui complète le réseau de transport métropolitain. Selon lui, »le parachèvement de l'autoroute 25 démontre une réelle volonté de traiter les gens de l'Est équitablement tout en facilitant la conciliation travail-famille. « Rappelons que le parachèvement de l'autoroute 25 vise à compléter un tronçon autoroutier de 7,2 kilomètres entre le boulevard Henri-Bourassa, à Montréal et l'autoroute 440, à Laval. Le projet inclut un pont à péage de 1,2 kilomètre enjambant la rivière des Prairies. En fait, le concept privilégié par Concession A25, S.E .C. consiste en une autoroute à deux voies par direction avec un pont à haubans à trois voies par direction au-dessus de la rivière des Prairies. La réalisation du parachèvement comprend aussi une piste multifonctionnelle pour les cyclistes et les piétons et une voie réservée pour le transport en commun. La conclusion de l'entente de partenariat est prévue au plus tard pour septembre 2007 et, selon l'échéancier prévu, la mise en service devrait avoir lieu en 2011. Après la conclusion de l'entente de partenariat, un rapport de l'analyse de la valeur sera rendu public. Ce rapport fera état des coûts estimés pour le parachèvement de l'autoroute 25 et présentera les faits saillants de l'entente de partenariat qui sera conclue entre la ministre des Transports et Concession A25, S.E.C. Par la suite, le vérificateur du processus produira un rapport sur l'ensemble du processus ayant mené à la sélection du partenaire privé. Son rapport sera disponible sur les sites Internet des co-gestionnaires du projet de parachèvement de l'autoroute 25, soit sur le site du ministère des Transports du Québec à l'adresse : www.mtq.gouv.qc.ca et celui de Partenariats public-privé Québec à l'adresse : www.ppp.gouv.qc.ca.
  10. Je me demande si on peut transporter un container sur une bicyclette... ou une petite famille de un ou deux enfants sur une bicyclette.
  11. New broom sweeping Montreal clean INGRID PERITZ June 8, 2007 MONTREAL -- In Montreal this spring, a new army of enforcers is taking command of the streets and spreading fear in back alleys. They're tough, eagle-eyed - and armed with big brooms. The city in Canada best known for its insouciance and laissez-faire ways is suddenly aspiring to be Singapore on the St. Lawrence. This year, Montreal has declared war on trash. Besieged by criticism that downtown had become an open-air dump of litter and bulging trash bins, city hall made a clean sweep of it by adopting a bylaw on "civility, respect and cleanliness." Since last Friday, property owners downtown have become responsible for cleaning up in front of their homes and businesses. Fines start at $125 and reach $4,000 for repeat offenders. "This is probably the toughest bylaw of its kind in Canada, if not North America," said Benoît Labonté, mayor of Montreal's downtown borough. "There are no warnings, just tickets for violations. We mean business." Mr. Labonté has scheduled a news conference this morning to reveal the fruits of the new crackdown: In just seven days, the city's "trash troopers" issued about $70,000 in fines. Montreal was inspired by cities like New York and Paris, which turned around their notoriously unkempt appearance in a few years, Mr. Labonté said in an interview yesterday. "If it's good enough for New York and Paris, it's good enough for Montreal." Montreal has always had anti-trash rules on the books, but it put muscle this year into applying them: Ten more trash inspectors downtown, 189 young "cleanliness brigadiers," as well as 1,400 new garbage bins, 700 ashtrays and four solar-powered trash compactors valued at $4,700 apiece. Some people worry Montreal will get so clean it will be antiseptic. And the more cynical wonder if Mayor Gérald Tremblay isn't picking an easy target because it's a lot tougher to solve intractable problems like his woeful revenue sources. Still, many agree the city had let cleanliness slide in recent years, and civic pride with it. Complaints mounted about overflowing garbage cans, oozing back-alley dumpsters, and cigarette butts outside office buildings after no-smoking rules went into effect. "We'd let things go in the last few years, and it was visible," said Claude Rainville, head of a business development group in Montreal's Latin Quarter. "The industrial quantities of butts. The trash containers. It just wasn't welcoming." And the tough anti-litter talk isn't the only effort aimed at making Montrealers less unruly. Montreal police last year added 133 officers to its traffic squad to curb the notoriously bad habits of city drivers, cyclists and pedestrians. In the first four months of this year, police issued nearly 3,500 tickets for jaywalking, and plan to crack down on the habit through the summer, said Chief Inspector Réjean Toutant. "I understand that this is part of Montreal's culture. But that's no reason to let things go," he said. No smoking, no jaywalking, no littering - is Montreal losing its joie de vivre? Éric Montpetit, a political scientist at the University of Montreal, studied the city's litter problems and said the new efforts are long overdue. But the trash crackdown does appear to fit into a larger pattern. "Montrealers have long been the exception in Canada. We've been less disciplined and maybe a little less polite. But that wild side is also part of the city's charm," said Prof. Montpetit, who has lived in Ontario and Saskatchewan. Now, the efforts at behaviour reform may signal a shift. "Maybe," he said, "we're starting to Canadianize Montrealers."
  12. Charest ne veut pas privatiser Hydro-Québec Photo La Presse Norman Delisle Presse Canadienne Québec Il n'est pas question de privatiser Hydro-Québec, a affirmé mardi à l'Assemblée nationale le premier ministre Jean Charest. Taille du texteImprimerEnvoyer Le chef du gouvernement a ainsi rejeté une suggestion formulée par Claude Garcia, un homme d'affaires québécois qui a présidé la Standard Life de 1993 à 2004 et qui est identifié comme un partisan libéral du gouvernement de Jean Charest. M. Garcia suggérait en fin de semaine la privatisation d'Hydro-Québec afin d'effacer la totalité de la dette du Québec. Selon les calculs de Claude Garcia, la capitalisation boursière d'Hydro-Québec en cas de privatisation pourrait atteindre 130 milliards $, ce qui permettrait d'effacer la dette cumulée du Québec qui, au 31 mars 2006, s'élevait à 122,6 milliards $. En soulevant la question à l'Assemblée nationale mardi, le chef de l'opposition péquiste, François Gendron, a noté que «le gouvernement libéral a une très grande confiance en M. Garcia, puisque ce dernier a été nommé sur d'importants conseils d'administration par le gouvernement libéral, dont l'Agence des partenariats publics-privés et la Caisse de dépôt et placement». «Il n'a jamais été question de privatiser Hydro-Québec, a rétorqué M. Charest à l'Assemblée nationale. On a fait un plan de réduction de la dette, qui fonctionne très bien.» En 1981, M. Garcia avait été candidat libéral dans la circonscription de Lévis, où il avait été défait par le péquiste Jean Garon. Il avait refait la manchette politique lors du référendum de 1995 où, comme partisan du clan fédéraliste, il avait souhaité que le camp du Non écrase ses adversaires du Oui à l'occasion du vote référendaire. Le chef des forces fédéralistes, Daniel Johnson, avait dû se désolidariser de cette déclaration malheureuse. La suggestion de M. Garcia de privatiser Hydro-Québec s'inspire de la situation albertaine où le développement énergétique a été laissé au secteur privé. Grâce aux redevances tirées de son pétrole, l'Alberta exempte ses citoyens de la taxe de vente et possède le taux d'impôt sur le revenu le plus bas au Canada. Même si le gouvernement Charest n'a pas l'intention de privatiser Hydro-Québec, il a néanmoins accepté de céder au secteur privé la production d'électricité par l'énergie éolienne.
  13. mtlurb

    Gare Viger

    Site of the former Viger hotel and station - Project proposal submitted to Borough of Ville-Marie MONTREAL, June 4 /CNW Telbec/ - Today, Viger DMC International submitted a master plan, for study, to the Borough of Ville-Marie for the redevelopment of the former Viger hotel and station site. The project calls for the revitalization of two city blocks plus the former hotel and railway station building located between Berri and Saint-Christophe streets and Saint-Antoine and Notre-Dame streets. As a part of this proposal, Viger DMC International has initiated a consultation and discussion process on one of the most exciting new projects in Montreal. "Our project highlights the tourism, commercial, and residential vocation of this unique site. Its historical value and exceptional location at the eastern gateway to Old Montreal will no doubt make it a popular urban destination. The plan to breathe new life into the former Viger hotel and station site is an exciting one in many respects, particularly since it involves a well-recognized Montreal landmark. It is also a key economic lever for Old Montreal and the city at large," explained Viger DMC International President and CEO, Mr. Phil O'Brien. Local residents are invited to come and discuss the project with its developer and urban planning advisors during a three-day open house this June 16, 18, and 19. This will be an opportunity to learn more about the Viger DMC International proposal. "The proposal we have submitted takes into account the needs that local residents and others have expressed for locally accessible services and parking. We want the project to proceed in close cooperation with area residents. We will keep them regularly informed throughout each stage of development and hope they will voice their opinions. We think it is very important to keep the channels of communication and dialogue open and free so everyone benefits," added Mr. Cameron Charlebois, General Manager of Viger DMC International. The project follows the acquisition in May 2006 of the former Viger hotel and station building and adjacent land by Viger Limited Partnership, a consortium of three companies: Homburg Invest Inc. based in Halifax, Telemedia Entreprises Inc., Montreal, and SNS Property Finance based in Hoevelaken, Netherlands. Viger DMC International ----------------------- Viger DMC International is a management company mandated by Viger Limited Partnership to ensure project development. For further information: Jean-Benoît Houde, CASACOM, (514) 286-2145, ext. 224, (514) 652-4344
  14. DESCRIPTION DU PROJET Le journal Le Courrier Ahuntsic a fait largement écho depuis quatre ans des démarches du Collège Ahuntsic pour construire une résidence étudiante. Voici quelques éléments décrivant le projet. • Concept architectural et bâtiments bien intégrés à son environnement; tient compte des préoccupations des citoyennes et citoyens du quartier et des autorités de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. • Située rue Saint-Hubert, à proximité du Collège et entre le stationnement donnant accès aux terrains de tennis et la rue Marcel-Cadieux. À deux pas de la station de métro Crémazie. • Un projet en deux phases : la première prévoyant accueillir quelque 400 étudiantes et étudiants dès 2007 et, la seconde, environ 100 étudiantes et étudiants en 2010. • De confortables studios et des appartements comptant deux chambres. • Appartements modernes, meublés, incluant téléphone et Internet. • Aménagement paysager en lien avec les espaces verts actuels. • Salle communautaire. • Stationnement des usagers sur le terrain actuel de stationnement du Collège. http://www.collegeahuntsic.qc.ca/pdf/depliant_residence.pdf
  15. Ménage de (fin) printemps du modérateur. Nous pouvons dire que ce projet ne verras jamais le jour....
  16. Ménage de (fin) printemps du modérateur. Nous pouvons dire que ce projet ne verras jamais le jour....
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