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booboohome2003

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  1. En lisant la dernière étude de AltusInSite à propos " Montreal Market under construction", je remarquais qu'ils étaient( en mars 2008 ) encore à 0% en pre-leasing. Une partie de l'Édifice sont des espaces de locations.....on indique sur le tableau de présentation les étages ( 9 étages) avec les niveaux 5, 6, 7, et 8 en disponibilité. Quelqu'un connait la configuration interne.....partie HOTEL et les espaces de location....?????
  2. L'acheteur de la transaction que je mentionnais hier et surlaquelle je vous écrivais une précision ce matin est bel et bien le meme acheteur qui détient le lot sur René-LÉvesque entre les memes rues St-Dominique et St-Laurent. Donc ce qui résulte au double( à l'oeil) de la superficie de terrain que l'on parlait hier.
  3. En regardant le print du terrain cadastré, j'aimerais préciser ( désolé) qu'il s'agit d'un terrain( lot vacant) toujours entre st-Dominique et St-Laurent, mais plus au sud que le lot vacant qui longe René-Lévesque. Je regarderai plus tard s'il s'agit d'un assemblage ou non de ces lots vacants.
  4. Non, du moins il n'apparaisse pas à la publication. On me dit qu'il y a une veille roulotte sur le terrain, mais aucune enseigne. Le terrain fait le coin sud-est de René Lévesque et St-Laurent ( entre St-Dominique et St-Laurent, donc carrement face à la maison du Pret d'Honneur.
  5. Terrain qui vient d'être vendu pour $ 4,2M. Ce terrain a une superficie de 1985 metres carrés......quasi $200. LE PI.CA. Ce terrain est borné aussi par St-Dominique.
  6. En plus, ils ont vendus( fond du gouvernement//donc nous tous) à la nouvelle entité le terrain pour $ 13,000.; ce théatre aurait du tout simplement installé ailleurs.
  7. Alcan est loin d'un nouveau siège social à Montréal Éric Desrosiers Édition du mercredi 09 juillet 2008, Le Devoir Mots clés : Rio Tinto, siège social, Alcan, Économie, Montréal, Canada (Pays) L'Alcan n'est plus aussi sûre, depuis qu'elle a été achetée par Rio Tinto, d'avoir besoin d'agrandir et de moderniser les bureaux de son siège social à Montréal. Annoncés en grande pompe en janvier de l'année dernière, les projets de rénovation et d'agrandissement étaient censés se mettre en branle au début de 2007 et se terminer avant la fin de 2009. C'était avant que l'aluminerie canadienne fasse l'objet d'une offre d'achat hostile de sa concurrente américaine Alcoa, puis d'une autre offre d'achat, amicale celle-là, du géant minier australo-britannique, qui allait finalement se conclure en novembre dernier. «Les travaux n'ont toujours pas commencé, a déclaré hier, au Devoir, le porte-parole de Rio Tinto Alcan Stefano Bertolli à propos des projets d'agrandissements. Nous sommes toujours en train d'intégrer l'ancienne Alcan dans Rio Tinto. Pour le moment, on évalue quels sont nos besoins et quel serait l'intérêt de ces projets d'agrandissement. Tant que notre analyse ne sera pas complétée, on ne pourra pas dire quand les travaux commenceront, quelle ampleur ils auront, ni même s'ils auront lieu.» Le projet d'agrandissement initial comprenait l'acquisition et la conversion pour 40 à 50 millions $ du sanctuaire et de la tour administrative de l'Armée du Salut, situés sur les rues Stanley et Drummond, juste à côté du siège social d'Alcan. Mais, tout a été arrêté après l'achat des bâtiments. Rio Tinto s'est accordé deux années pour compléter son processus d'intégration d'Alcan. Le travail de réflexion auquel ce processus donne lieu ne remet pas en cause l'engagement de Rio Tinto de maintenir à Montréal un siège social équivalent à ce qu'il y avait avant la transaction, a assuré Stefano Bertolli. Il définit cette obligation comme une «combinaison» du nombre d'emplois et de leur caractère décisionnel dans l'entreprise. Des employés qui partent, d'autres qui viennent Il a été décidé que la métropole servira de siège social mondial à Rio Tinto Alcan, qui regroupera toutes les activités de Rio Tinto dans le secteur de l'aluminium, en plus d'être le centre de service régional pour toutes les filiales de Rio Tinto au Canada. Selon Rio Tinto Alcan, le nombre d'employés aux bureaux de Montréal est resté pratiquement le même qu'à l'époque d'Alcan. La compagnie évalue ce nombre entre 820 et 830 personnes, «si l'on compte les employés à temps plein, ceux à temps partiel et les consultants». On admet que certains services ont d'ores et déjà été transférés à l'étranger, comme celui des relations avec les investisseurs qui a été rapatrié à la maison-mère, à Londres. On assure toutefois que d'autres services, notamment ceux des communications et des technologies de l'information, ont vu grossir leurs rangs. Au moment de la transaction, Rio Tinto Alcan s'était engagé à respecter les obligations contractées par Alcan auprès du gouvernement du Québec en échange de l'accès à bas prix aux ressources hydroélectriques du Québec. Ces obligations portent notamment le volume des investissements à long terme au Québec, le maintien du niveau d'emplois et l'engagement financier de la compagnie dans la collectivité. Énumérées dans une «convention de continuité» de neuf pages, elles spécifient également que l'Alcan et ses éventuels acquéreurs doivent assurer «le maintien au Québec d'activités et de sièges sociaux opérationnels, financiers et stratégiques importants pour Alcan et ses actifs à des niveaux essentiellement similaires à ceux d'Alcan» au moment de la signature de l'entente, en décembre 2006. Québec est content Rio Tinto Alcan a, jusqu'à présent, rempli et même dépassé ses obligations à l'égard du gouvernement du Québec, a déclaré son porte-parole. Stefano Bertolli a cité en exemple la récente annonce d'un possible projet d'expansion de 2,5 milliards $US de l'usine pilote AP50 à Alma ainsi que les 200 millions que la compagnie a promis d'investir dans un fonds pour des engagements caritatifs, communautaires et culturels. Le gouvernement du Québec se dit très satisfait pour le moment. «Des rencontres ont lieu tous les deux mois entre la compagnie et le Ministère et tout se passe très bien jusqu'à présent», a déclaré hier, au Devoir, Manuela Goya, l'attachée de presse du ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Raymond Bachand. Le gouvernement Charest s'est montré très fier de sa convention de continuité ces derniers mois. Il continue d'y voir sa meilleure police d'assurance s'il fallait qu'un autre géant minier australo-britannique, appelé BHP Billiton, celui-là, réussissait finalement à mettre la main sur Rio Tinto et, par le fait même, sur Rio Tinto Alcan, comme il essaie de le faire depuis des mois. On était bien loin de tout cela, le 15 janvier 2007, lorsque Alcan a annoncé son projet d'agrandissement et de modernisation de son siège social à Montréal. Il y avait, entre autres, le premier ministre Charest, Raymond Bachand, le ministre fédéral des Travaux publics Michael Fortier et le maire de Montréal, Gérald Tremblay. «C'est une journée qui passera à l'histoire d'Alcan», avait alors déclaré le grand patron de la compagnie, Dick Evans, devenu, depuis, chef de la direction de Rio Tinto Alcan.
  8. Dans Le Devoir d'aujourd'hui; Plateau-Mont-Royal - Des citoyens demandent le rejet d'une pétition favorable à des promoteurs de condos Jeanne Corriveau Édition du mercredi 09 juillet 2008 Mots clés : contestation, condos, promoteurs, Référendum, Montréal Des citoyens du Plateau-Mont-Royal contestent la validité d'une pétition déposée, en 2006, par des promoteurs d'un projet immobilier qui doit être construit à proximité du monastère des carmélites. Cette pétition avait empêché la tenue du référendum que réclamaient des résidants du voisinage opposés au projet. Des citoyens du Plateau soutiennent que 39 des 614 signatures figurant sur la pétition des promoteurs sont non-conformes puisque ces personnes sont domiciliées à l'extérieur des zones contiguës au projet immobilier, selon les adresses qu'elles ont inscrites sur le document. Ces opposants au projet immobilier ont profité de la séance du conseil d'arrondissement du Plateau, qui avait lieu lundi soir, pour signaler aux élus «ce vice de forme.» Ils ont réclamé que soit invalidée la pétition des promoteurs et que l'entrée en vigueur des deux résolutions autorisant le projet immobilier soit annulée. Les citoyens n'ont examiné que les adresses, sans s'attarder à l'identité des signataires de la pétition, pour en venir à leur conclusion. «C'est une vérification d'usage qui aurait dû être faite initialement», a indiqué Christian Dupuy, un résidant de la rue Casgrain. En 2006 La pétition des promoteurs, déposée à l'arrondissement en octobre 2006, avait mis fin abruptement aux démarches entreprises par des citoyens pour contester le changement de zonage. Elle contenait 614 signatures de citoyens favorables au zonage résidentiel, soit 11 de plus que le nombre requis pour mettre un terme à la procédure référendaire. Les opposants avaient dû s'adresser à la Commission d'accès à l'information pour obtenir copie de cette pétition, l'arrondissement ayant d'abord refusé de la rendre publique. Étonnée de la requête, la mairesse de l'arrondissement, Helen Fotopulos, a fait savoir qu'une vérification serait effectuée concernant les allégations des résidants. «Je sais que, comme lors d'élections, il y a des gens qui sont aptes à voter même s'ils ne sont pas des résidants. [...] Est-ce que c'est le cas? Je l'ignore parce que je n'ai pas vu les documents», a indiqué la mairesse. Comme le greffier de l'arrondissement, qui s'était occupé du dossier en 2006, a quitté ses fonctions, Mme Fotopulos n'a pu obtenir des détails sur les procédures qui avaient été effectuées à l'époque. «La démarche référendaire est très complexe. Le promoteur ayant présenté une pétition, on avait tout intérêt à vérifier que ça respectait la loi», indique Michel Tanguay, chargé de communication à l'arrondissement. «S'il est vrai qu'on n'atteint pas le chiffre magique de 603, ça annule complètement la pétition en question. On devra reprendre le processus», croit pour sa part Richard Bergeron, chef de Projet Montréal et conseiller du district De Lorimier. Les condos Rappelons que les propriétaires des deux terrains visés entendent construire des immeubles de cinq à sept étages à l'angle des rues Henri-Julien et Maguire, tout près du couvent des carmélites, afin de loger 180 condos. Le premier terrain appartient à la famille Simitsakos. Le second terrain sera développé par Laurendeau construction. Les résidants s'opposent au projet pour différentes raisons. Les uns s'inquiètent de la hauteur projetée des immeubles ou craignent une augmentation de la circulation automobile dans le secteur, alors que d'autres reprochent à l'arrondissement de ne pas proposer de plan d'ensemble pour le secteur et de ne pas prévoir suffisamment de logements sociaux.
  9. Laurent Imbault, Résidant du Plateau Mont-Royal, ex-coordonnateur de l'UCIM et porte-parole des Citoyens opposés à la vente des droits aériens Édition du mercredi 09 juillet 2008 Mots clés : pilotis, promoteur, Condos, Construction, Montréal Faut-il se réjouir de l'entente intervenue entre la Ville de Montréal et le promoteur dans le dossier des condos sur pilotis du Plateau Mont-Royal? Les politiciens, la mairesse Helen Fotopulos en tête, clament avoir «réussi» tout en se gardant bien de nous dire de quelle réussite il s'agit. D'accord, il n'y aura pas de construction sur pilotis avec des stationnements en demi-sous-sol. Du point de vue de la sécurité, il s'agit certainement d'un gain important et nous nous en réjouissons. Dès l'annonce de ce projet en 2001, une large coalition de marchands et de citoyens (plus de 12 000, faut-il le rappeler) avait demandé à l'administration du maire Gérald Tremblay de négocier immédiatement le rachat des droits du promoteur qui, à l'époque, étaient évalués à un million de dollars! Michel Prescott, alors responsable de l'habitation au comité exécutif, s'y était formellement opposé, sous prétexte qu'il ne voyait pas «comment justifier donner un million à quelqu'un qui n'a rien fait pour». Or, n'est-ce pas exactement ce que vient de faire l'administration Tremblay? Le promoteur ayant payé 1,25 million pour sept immenses terrains en plein coeur du Plateau, son coût net d'acquisition s'élève donc maintenant à 250 000 $. En échange de quoi il abandonne la poursuite de 5,9 millions intentée contre la Ville pour retard dans l'émission des permis. Nos élus nous ayant toujours affirmé que cette poursuite était non-fondée et que les permis n'avaient pas été émis parce que le promoteur n'avait pas fourni tous les documents requis, on est encore à se demander pourquoi l'avoir alors dédommagé. En réalité, si quelqu'un a «réussi» quoi que ce soit ici, il nous semble qu'il s'agisse du promoteur. Le projet lui-même nous apparaît problématique, car là où s'érigeaient, en 1960, 27 unités d'habitation, le promoteur veut maintenant construire non plus 104 condos, mais 104 logements, tout en affirmant que «beaucoup de monde étaient contre les condos». Il n'aura jamais compris que nous n'étions pas tant contre les condos que contre «ces» condos. Il prend bien soin cependant de préciser que «ce ne seront toutefois pas des logements abordables». Est-ce à dire que nous allons voir s'ériger sur ces terrains, autrefois publics, des logements inabordables qui ne pourront être que de petites unités pour une clientèle de passage, au lieu de logements sociaux ou d'appartements assez grands pour y élever des familles? De plus, les problèmes éprouvés actuellement par les citoyens de la rue Laval, là où on construit 200 unités de condos, ne peuvent qu'alimenter les pires craintes des citoyens sur les dommages potentiels à leurs propriétés et les inconvénients de toutes sortes causés par les méga-chantiers en milieu urbain. Et, que dire de Stationnement de Montréal (SDM) dans toute cette affaire? Voilà un organisme parapublic, dont la mission est récolter des «trente sous», qui s'improvise tout à coup expert en développement immobilier à grande échelle et qui, sans compétence aucune, livre un quartier à l'appétit vorace d'un promoteur, et ce, sans aucune consultation, étude de faisabilité ou étude d'impact. Ne devrait-on pas revoir le mandat de SDM de manière à s'assurer que cela ne se reproduise jamais ailleurs? La réussite dont se vantent nos élus n'aurait-elle pas dû comporter une vraie prise en charge de tous les besoins du quartier et de ses résidants: logements pour les familles, logements sociaux, stationnements et espaces verts? Au lieu de cela, nous avons une entente privée entre un promoteur dont le but avoué est de faire des profits et des politiciens qui voient l'échéance électorale de 2009 avancer à grands pas et qui sont prêts à tout pour se débarrasser d'un dossier qui n'en finit plus de traîner. Nous sommes loin d'une victoire pour les citoyens. Espérons que les résidants du quartier se souviendront des noms de ceux qui, par leur inaction et leur naïveté, les ont sacrifiés sur l'autel «du développement du parc immobilier».
  10. ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/ITEM/5136DBB876AEA0DCE0430A930132A0DC -
  11. | Le 26 Juin 2008 Madame Sonia Trudel nous parle du projet de revitalisation de la Maison Radio-Canada et du MIPIM À l’occasion du Marché International des professionnels de l’Immobilier qui avait lieu en mars dernier à Cannes en France, Le pied carré a eu la chance de discuter avec Sonia Trudel, Directeur exécutif de la Division immobilière de Radio-Canada, au sujet d’un important projet de revitalisation du terrain de la Maison Radio-Canada. Madame Trudel et quelques personnes attachées au projet avaient fait le trajet pour susciter l’intérêt des investisseurs étrangers. Cliquez sur le lien ci-dessous pour visualiser l’entrevue avec madame Sonia Trudel http://gowebpost.com/clients/Pi2/Pi2_MVI_0450/Pi2_MVI_0450.asp - Michel Rémy
  12. Publié dans le PIED CARRÉ/magazine internet: Secteur hôtelier | Le 26 Juin 2008 Un Waldorf Astoria se construira à Montréal C’est un promoteur immobilier montréalais qui a su convaincre la société Waldorf Astoria Collection de réaliser leur nouveau projet hôtelier dans la métropole. C’est à travers une connaissance intime de monsieur Barry Kolter, à Dallas au Texas, que les liens se sont tissés et ont permis à ce projet d’aller de l’avant. Investissements Monit, principalement dirigé par la famille Kotler, assurera la gestion du projet et Waldorf Astoria Collection s’occupera de la gestion de l’hôtel. Un investissement de 200 millions de dollars sera nécessaire pour construire les 32 étages du Waldorf Astoria Montréal qui compte offrir 250 chambres sur les 13 premiers étages et 79 résidences condominium sur les 19 étages supérieurs. Comme vous pouvez le constater, il s’agit d’appartements qui seront très spacieux, comme me le confie Jonathan Goldbloom, porte-parole de monsieur Barry Kotler. Photo de Montréal Inc. Le groupe hôtelier Hilton développe depuis quelques années la bannière Waldorf Astoria Collection qui compte à ce jour 5 hôtels. Dans le respect de l’hôtel phare de Manhattan à New York, les propriétés ciblées pour ériger ces véritables joyaux sont situées dans les villes les plus nobles au monde. Investissements Monit http://www.monit.com construira l’hôtel sur son terrain au 1500 rue Sherbrooke Ouest à l’angle de la rue Guy. L’emplacement occupera la majeure partie du stationnement derrière et l’entrée sera sur Sherbrooke entre le restaurant Bice et le Medical Arts building. Malgré l’âge avancé de cet édifice, il n’y a pas de rénovations esthétiques prévues à l’extérieur. L’ouverture est prévue pour 2011. http://waldorfastoria1.hilton.com/en/wa/home.do - Michel Rémy
  13. -------------------------------------------------------------------------------- Site localisé face au Parc Regional de Longueuil ( 20,000,000 de pi.ca., donc aussi grand que le parc du Mont-Royal) dans le nouveau quartier de Longueuil sur le Parc ( 1897 ménages s'y sont installés depuis les derniers 3/4 ans). Pour ceux qui connaissent moins Longueuil, la Tour Jazz s'y est installé , ainsi que Promenade du Parc du Groupe Maurice ( 450 unités); également quelques 700 unités ( maisons, condos en 4 et 6 plex s'y sont construits) autour d'un Parc Central de 650 metres de longueur par 80 metres de largeur complètement aménagé avec des arches, mobiliers urbains, éclairé la nuit. Le projet de condos(Les Tours du Boisé) est en vente depuis quelques mois ( $ 26M) et la construction de la phase 1 vient de démarrer. Deux batiments béton/6 étages dont l'architecture a été réalisé par DYSCA. Un autre construction béton a démarré son excavation cette semaine dans LSP; il s'agit d'un centre avec des unités de personnes agées non autonome. Le groupe de Daniel Arbour avait été mandaté pour travailler sur le plan d'urbansime sur ces anciennes terres agricoles qui contenaient un boisé exceptionnel de magnifiques chênes ainsi que des arbres centenaires; de plus ces terrains étaient parsemés d'anciennes clotures de pierres( vestige de la vocation agricole d'antan )qui ont été majoritairement conservées et ou réutilisées dans l'amménagement de ce nouveau quartier avec de multiples rues dessinés plus sinueusement de ce que l'on voit habituellemnt, de nombreux sentiers pédestres, pistes cyclabes.....etc.etc..... A VENIR SONT 500 À 600 UNITÉS SUPPLÉMENTAIRES sur le restant des terrains non-développés, UN CENTRE EPIC ANNONCÉ PAR LA Fondation de l'Hopital Pierre-Boucher( valeur/ de $23M) s'y ajoutera aussi. Pour ceux que ça intéresse: visitez le site web et visitez la section LOCALISATION du site, vous y verrez trois cartographies très explicites de ce nouveau quartier: Longueuil sur le Parc. http://www.lestoursduboise.com
  14. Site localisé face au Parc Regional de Longueuil ( 20,000,000 de pi.ca., donc aussi grand que le parc du Mont-Royal) dans le nouveau quartier de Longueuil sur le Parc ( 1897 ménages s'y sont installés depuis les derniers 3/4 ans). Pour ceux qui connaissent moins Longueuil, la Tour Jazz s'y est installé , ainsi que Promenade du Parc du Groupe Maurice ( 450 unités); également quelques 700 unités ( maisons, condos en 4 et 6 plex s'y sont construits) autour d'un Parc Central de 650 metres de longueur par 80 metres de largeur complètement aménagé avec des arches, mobiliers urbains, éclairé la nuit. Le projet de condos(Les Tours du Boisé) est en vente depuis quelques mois ( $ 26M) et la construction de la phase 1 vient de démarrer. Deux batiments béton/6 étages dont l'architecture a été réalisé par DYSCA. Un autre construction béton a démarré son excavation cette semaine dans LSP; il s'agit d'un centre avec des unités de personnes agées non autonome. Le groupe de Daniel Arbour avait été mandaté pour travailler sur le plan d'urbansime sur ces anciennes terres agricoles qui contenait un boisé exceptionnel qui contenait de magnifiques chênes ainsi que des arbres centenaires; de plus ces terrains étaient parsemés d'anciennes clotures de pierres( vestige de la vocation agricole d'antan )qui ont été majoritairement conservées et ou réutilisées dans l'amménagement de ce nouveau quartier. A VENIR SONT 500 À 600 UNITÉS SUPPLÉMENTAIRES sur le restants des terrains non-développé, UN CENTRE EPIC ANNONCÉ PAR LA Fondation de l'Hopital Pierre-Boucher( valeur/ de $23M). Pour ceux qu ca intéresse, voir la Galerie de Photo du site: http://www.lestoursduboise.com
  15. Ca fait quelques annees que la SRC( 5++) s'est lancee dans ce projet et qu'ELLE A constitue une equipe interne avec une batterie de consultants et professionnels externes qui suive leur orientation d'un president qui ne connait rien au developpement, et ce, au frais des contribuables......donc nous tous. SRC veut tenter de generer des $$$$ avec ce processus boiteux dans lequel elle a deja depense une fortune ( ce qu'un prive n'aurait jamais pu se permettre) et SRC nous a livre cette maquette, fort belle et tape a l'oeil qu'elle promene avec fierte dans tous les evenements et ou foires existantes de MTL. Quant a moi, de corder quelques edifices a la sovietique autour de cette tour pas trop jolie est un manque de creativite totale et dont le seul objectif( celui du president) sont de genere des valeurs de pieds carres de terrain ++++( coryez moi qui seront des maigres $$$$ en rapport avec ce que SRC a depense a ce jour et ce qu'elle aura a depenser dans les prochaines annee. Mon point est le suivant; si Habitation St-Luc a paye son dernier terrain $90. le pi.ca. et le tout dernier $100. ( pour le Solano) et un il y a trois ans $65.00 le pi.ca. et que Groupe McGill a paye un $65. le pi. pour son M9 de la phase 1 et $100. pour le terrain de la phase 2.......combien vaut le pied carre de la SRC.....! Et je pourrais vous faire une liste complete de valeur de prix au pi.ca. que les promoteurs paient pour des terrains. SRC DEVRAIT FAIRE DE LA TELEVISION ET SURTOUT PAS DU DEVELOPPEMENT et le resultat qu'il pavane a gauche a droite et a gauche comme si c'etait un produit d'exibition de foire revele malheureuseusemnt une meconnaissance totale des besoins residentiels de Montreal et ils ont fait des devoirs a nos frais du moins a ce jour qui sont voues a l'echec....et bien sur, SRC recoit des tapes sur l'epaule du maire d'arrondissement local qui s'approprie ce projet pour se faire du capital politique.......!
  16. Parachèvement de l'Autoroute 30 en partenariat public-privé : un candidat retenu MONTREAL, le 19 juin /CNW Telbec/ - Les gouvernements du Canada et du Québec ont annoncé la sélection de Nouvelle Autoroute 30, S.E.N.C. en vue de la conclusion d'une entente de partenariat d'une durée de 35 ans pour la conception, la construction, le financement, l'exploitation, l'entretien et la réhabilitation du parachèvement de l'autoroute 30. Nouvelle Autoroute 30, S.E.N.C. est composé des entreprises suivantes : - Acciona Concessions Canada Inc. - Iridium Concessions Canada Inc. - Acciona Infrastructures Canada Inc. - Dragados Canada Inc. - S.I.C.E. - Arup Canada Inc. - Construction DJL Inc. - Verreault Inc. Ces entreprises oeuvrent déjà dans d'importants projets d'infrastructures routières. "Une fois de plus, le partenariat des gouvernements du Canada et du Québec pour le parachèvement de la partie Ouest de l'autoroute 30 donne des résultats concrets," a déclaré le ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités, l'honorable Lawrence Cannon. "Ce projet, qui réduira la congestion routière en offrant une voie de contournement de l'île de Montréal, est une priorité du gouvernement du Canada. Puisqu'il s'agit d'un partenariat public-privé majeur, il assure aussi aux Canadiens que leurs dollars sont bien investis." La ministre des Transports du Québec et ministre responsable de la région de la Mauricie, Julie Boulet, a tenu à rappeler que cette nouvelle infrastructure va générer 18 900 emplois directs et indirects pour la durée des travaux de construction. "Cette infrastructure apportera une contribution significative à l'économie québécoise en plus de permettre le contournement de l'île de Montréal de façon fluide et sécuritaire. L'annonce du consortium retenu constitue un pas de plus dans la réalisation de ce projet important pour la grande région métropolitaine." De son côté, la ministre des Finances et présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, a souligné les avantages de la formule du partenariat public-privé (PPP) pour ce projet d'envergure : "La réalisation de ce projet en PPP nous assurera que les travaux seront faits dans les délais prévus sans possibilité de dépassement de coûts. Ce mode de réalisation permettra aux Québécois de réaliser des économies; c'est une formule qui a fait ses preuves quant à la rigueur du processus, au respect des échéanciers et aux économies qu'elle génère." Le ministre du Revenu, leader parlementaire du gouvernement et ministre responsable de la région de la Montérégie, Jean-Marc Fournier, estime pour sa part qu'une étape cruciale vient d'être franchie dans la mise en oeuvre de ce chantier majeur. "Nous sommes tous impatients de voir enfin se réaliser ce grand projet dont la région de Montréal et la Montérégie ont été privées trop longtemps. Le parachèvement de la 30 aura un impact majeur et bénéfique sur l'ensemble du fonctionnement du réseau autoroutier. Le commerce avec nos partenaires de l'Ontario et des Etats-Unis s'en trouvera stimulé tout autant que le développement de projets économiques structurants pour la Montérégie." La signature de l'entente de partenariat est prévue pour septembre 2008. D'ici là, le ministère des Transports du Québec et le candidat sélectionné procèderont à la finalisation de la transaction financière. Selon l'échéancier prévu, la mise en service aura lieu en 2012. L'entretien de tronçons complémentaires confiés au partenaire privé L'entretien, l'exploitation et la réhabilitation d'environ 32 km supplémentaires de l'autoroute 30, construits en mode conventionnel, seront de plus confiés au partenaire privé pour la même période, soit environ 35 ans. Rappelons que le parachèvement de l'autoroute 30 vise à doter la région métropolitaine d'une voie de contournement par le Sud. La partie Ouest (42 km) s'étend de Vaudreuil-Dorion à Châteauguay et comprend une section autoroutière vers Salaberry-de-Valleyfield. La partie Est (13 km), au sud de Candiac, Delson et Saint-Constant, est actuellement réalisée en mode conventionnel par le ministère des Transports du Québec. Renseignements: Karine White, Attachée de presse, Cabinet du ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités, Ottawa, (613) 991-0700; Daniel Desharnais, Attaché de presse, Cabinet de la ministre des Transports et ministre responsable de la région de la Mauricie, (418) 643-6980; Relations avec les médias, Transports Canada, Ottawa, (613) 993-0055; Marjolaine Gagné, Ministère des Transports du Québec, (514) 873-0234, poste 219; Hugo Delaney, Agence des partenariats publics-privés du Québec, (514) 864-6926; Ce communiqué est disponible en formats substituts pour les personnes ayant une déficience visuelle.
  17. C'est un batiment qui date du début du siècle dernier; 6 étages sur un terrain de 12,000++ pi.ca. On m'avait dit et ou vu ( ???) qu'à un moment donné, les gens ( behind) le Buddha Bar avait regardé et sketché( il y a déjà plusieurs lunes) cette localisation avant de se ramasser sur St-Jacques. Ce que je peux comprendre de cette transaction est que l'acheteur ayant un solde de prix de vente....est qu'il ne pourra altérer l'édifice tant qu'existe ce solde, mais qu'il pourrait installer un bureau de vente et autres installations requises pour un projet de condos. Donc....ce serait à la lumière de mon info, un recyclage du batiment en condominiums.
  18. Opinion dans Le Devoir de ce matin Le bourbier financier de l'UQAM - Requiem pour l'architecture publique Marc Chevrier, Professeur au département de science politique de l'UQAM Édition du jeudi 19 juin 2008 Mots clés : Architecture publique, Université, Québec (province), Montréal L'îlot Voyageur, au coeur du Quartier latin de Montréal, donne à voir un spectacle comme en offrent la Sicile et la Campanie: là-bas, des édifices à demi achevés, exposant leurs entrailles, des bretelles d'autoroute érigées au milieu de nulle part, des ponts enjambant des rivières asséchées; ici, une gare d'autobus flambant neuve et déserte, un squelette de béton préfigurant quelques étages d'un immeuble indéterminé, un escalier monumental s'élevant vers le vide. Cet îlot qui ressemble déjà à une ruine post-moderne signale pourtant aux yeux de tous un aspect du fiasco dont personne ne parle: l'immense cafouillage architectural. À la belle époque où Roch Denis promettait des merveilles, il réunit les professeurs de la faculté de science politique et de droit de l'UQAM pour dévoiler les grandes lignes de son très grand projet. La chose intéressait la faculté au premier chef, puisqu'elle devait être relogée dans le nouveau complexe. À une question portant sur le processus qui encadrerait la conception architecturale du projet, le recteur répondit qu'il y aurait au moins un «concours national d'architecture». De ce fameux concours on n'entendit plus jamais parler. Cependant, on finit par apprendre que l'UQAM, qui devait être maîtresse d'oeuvre du projet à l'origine, le confierait à la firme Busac, et qu'elle habiterait le complexe à titre de «locataire». Puis, après quelques mois de silence, les architectes de l'UQAM vinrent présenter aux départements de la faculté un diaporama en couleur esquissant quelques coupes du fameux Taj Mahal busacien: tout le monde était content, chacun aurait son bureau côté rue, la faculté se flatterait de posséder une salle de débats en hémicycle, des murs végétaux exhaleraient une ambiance bio. Intérêt public Maintenant que les rapports du vérificateur général et de nombreux autres ont mis en lumière l'ampleur de l'impéritie de l'ancienne direction de l'UQAM et certains défauts, semble-t-il, dans la gouvernance des universités, il serait peut-être temps de poser une question d'intérêt public, plus générale: comment se fait-il que l'État québécois, sous la direction notamment du ministère de Jean-Marc Fournier, ait laissé une université d'État, créée pour combler le retard universitaire des francophones, s'aventurer seule, sans balises, sans soutien véritable, dans un projet immobilier devant restructurer un quartier névralgique de Montréal? Car le projet n'était pas qu'un petit pavillon pour les seuls besoins de l'UQAM: on voyait grand, une gare d'autobus connectée au métro, une tour à bureaux, des résidences universitaires, un jardin suspendu urbain. On redessinait un quartier, on refaçonnait l'espace public, et au surplus directement en face de la Grande Bibliothèque, immeuble emblématique de l'État du Québec, conçu à la suite d'un rigoureux concours d'architecture. Contraste saisissant Le contraste entre la Grande Bibliothèque et la boursouflure bétonnée de l'autre côté est du reste saisissant: dans le premier cas, c'est l'État qui agit, qui couve son bébé, qui fixe ses exigences, au point d'obtenir une bibliothèque construite avec un budget ridiculement bas, recouverte de tuiles de verre de second ordre, caduques comme les feuilles d'automne. Au moins les Québécois disposent-ils d'un bien public, ingénieusement aménagé, dont le succès ne se dément pas. Dans l'autre cas, nous avons un État non interventionniste, qui laisse s'accomplir le marché aux étudiants et la course aux immeubles universitaires, sans le moindre souci pour l'impact architectural et urbanistique de ces constructions florissantes. Après l'État Provigo des années Bourassa, voilà l'État Busac des années Charest: laissons donc faire, n'importe quoi, par n'importe qui, pourvu que la chose paraisse s'autofinancer. Cette nonchalance gouvernementale n'est pas vraiment unique. Paralysé par son libéralisme architectural et la crainte, sans doute, d'être accusé de patronner des projets coûteux, l'État québécois n'a pas une feuille de route impressionnante à Montréal. Il suffit de penser à la longue suite de projets avortés de salle de concert de l'OSM, aujourd'hui promise par le miracle d'un PPP, au temps écoulé avant que l'Institut d'hôtellerie ne possède une façade décente, à la lenteur et à l'indécision entourant la construction du CHUM, aux projets restés fantasques de nouveau siège social d'Hydro-Québec. Impuissance étatique Non seulement l'État québécois peine-t-il à mener à bien un projet et à lui garantir une valeur architecturale forte, il ne sait même pas manifester sa présence dans l'environnement urbain. Quelques suites louées dans des bureaux, quelques «basilaires» du complexe Desjardins, le siège d'une société d'État, voici comment il se matérialise dans sa chère métropole. C'est à croire que Montréal est une ville sous administration fédérale, grâce à la mise en scène du complexe Guy-Favreau et d'un Vieux-Port et d'un canal Lachine renaissants. Ainsi que l'écrivait Simone Weil dans L'Enracinement: «La participation aux biens collectifs, participation consistant non pas en jouissance matérielle, mais en un sentiment de propriété, est un besoin... important. [...] Là où il y a véritablement une vie civique, chacun se sent personnellement propriétaire des monuments publics, des jardins, de la magnificence déployée dans les cérémonies.» C'est pourquoi le fiasco de l'îlot Voyageur est bien plus qu'une déplorable gabegie financière: c'est une dépossession collective.
  19. Greg....j'ÉCRIVAIS ET OU TOUT AUTRE CONCEPT.....anyway; celui¨-çi se nomme SCANDALE....le bénificiaire est une société américaine.....son dirigeant local avec un passé un peu olé, olé avec le frère du PM......et qui sait....peut-etre que l'on trouvera que ( blague) Julie Couillard a un lien aussi dans toute cette affaire.
  20. ToxiK, tu viens d'écrire une phrase qui résume bien le comment et le pourquoi du comment certaines choses se passent au Québec, mais parfois on oublie vite.....on va espérer que les futurs PPP et toutes autres concepts seront greffés de plus d'éthique et de bonnes gouvernances; dans ce cas-ci, c'est comme un gros train qui nous rentre dedans....et notre PM ne veut surtout pas d'enquête
  21. Groupe Pacific Southam vient de vendre l'édifice derrière le Mosaique Southam. Oren Vered vient de s'en porter acquéreur pour $5.5M. L'édifice fait le coin de St-Alexandre et de la Gauchetière, juste au sud du Gillett.
  22. Avis aux médias - Assemblée publique d'information sur le projet du campus universitaire d'Outremont MONTREAL, le 16 juin /CNW Telbec/ - M. André Lavallée, responsable de l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif de la Ville de Montréal, et Mme Marie Cinq-Mars, mairesse de l'arrondissement d'Outremont, invitent les représentants des médias à une assemblée publique d'information au cours de laquelle seront présentées les études réalisées par la Ville de Montréal à la suite des recommandations de l'Office de consultation publique de Montréal, ainsi que les prochaines étapes du projet. (Une rencontre de même nature se tiendra, le 18 juin, à 19 h, au Centre William-Hingston, dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, au 419, rue Saint-Roch.) << Date : Le mardi 17 juin Heure : 19 h Endroit : Centre communautaire intergénérationnel d'Outremont, 999, avenue McEachran, arrondissement d'Outremont >> Renseignements: Jean-Jacques Bédard, Service des communications et des relations avec les citoyens, (514) 872-3393; Source: Darren Becker, Cabinet du maire et du comité exécutif, (514) 872-6412
  23. Offre d'achat de 2 milliards de dollars «Rumeurs et spéculations», répond le Cirque du Soleil Mise à jour : 16/06/2008 13h35 sur LCN Le Cirque du Soleil à vendre ? 16 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Le Cirque du Soleil serait à vendre. Enfin, c’est ce qu’affirme le London Daily Telegraph dans son édition de lundi. Le populaire cirque qui a des activités partout sur le globe aurait été approché par plusieurs acheteurs potentiels notamment un groupe d’investisseurs de Dubaï. Le nom de ce possible acheteur n’est pas nommé par le quotidien anglais, mais la transaction pourrait valoir 2 G$. Nakheel PJSC, promoteur des fameuses îles de Dubaï, a déjà offert au Cirque du Soleil de construire un théâtre permanent sur un des complexes, la Palm Island. Un porte-parole du Cirque du Soleil a indiqué que la nouvelle selon laquelle la troupe aurait été approchée par Istithmar, une firme associée à Nakheel, n’est que «rumeurs et spéculations».
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