Aller au contenu
publicité

ScarletCoral

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    7 199
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Viens de recevoir ce courriel de Prével : 17e étage! Il ne reste que 3 (ou 4 si on ne compte pas le 13e étage qui n'existe pas )
  2. Je viens de recevoir ce courriel d'Accès Condos au sujet du projet Alinéa voici des captures d'écran :
  3. via LaPresse Publié le 11 mars 2014 à 06h32 | Mis à jour à 06h32 Le marché immobilier montréalais en perte de vitesse MAXIME BERGERON La Presse Le marché immobilier montréalais continue de s'éloigner de ses sommets. Le nombre de transactions a reculé de 2% le mois dernier par rapport à février 2013... un mois où les ventes affichaient déjà une chute impressionnante de 22%. Au total, 3311 propriétés ont changé de main le mois dernier, indiquent les plus récentes données de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Le marché reste ainsi à des années-lumière de sa performance de février 2012, alors que 4465 transactions avaient été enregistrées. Cette baisse de régime fait mal à l'industrie montréalaise de l'immobilier. La valeur totale des ventes résidentielles s'est établie à 1,044 milliard de dollars le mois dernier dans la région métropolitaine, comparativement à 1,364 milliard au très actif mois de février 2012. Le manque à gagner dépasse les 300 millions pour un seul mois. Message positif Dans son rapport mensuel publié hier, la CIGM a préféré insister sur la croissance des prix. Celui des condos, notamment, s'est quelque peu redressé depuis un an. «Il faut souligner que l'augmentation de 2% du prix médian des copropriétés dans l'île de Montréal, en février, est la plus forte des 10 derniers mois», a fait valoir Patrick Juanéda, président du conseil de la CIGM. Dans l'ensemble de la région métropolitaine, le prix médian des condos s'est établi à 225 000$ en février (" 3%), celui des maisons unifamiliales, à 275 000$ (" 2%), et celui des «plex» de 2 à 5 logements, à 420 000$ (- 3%). La pression baissière demeure forte. Le nombre de propriétés à vendre - les «inscriptions en vigueur», dans le jargon des courtiers - grimpe sans cesse. On en compte aujourd'hui 34 620 dans le Grand Montréal, comparativement à 28 804 il y a deux ans. L'offre dépasse la demande, et de loin. Signe de cette surabondance de pancartes «à vendre», les délais de vente se sont allongés depuis un an, surtout pour les copropriétés et les plex (" 11 et " 12 jours). Qui plus est, les nombreux projets de condos neufs entrent en concurrence avec les appartements existants. Le segment de la maison unifamiliale a affiché une meilleure tenue. Les ventes sont demeurées stables en février (2060 transactions), et les délais se sont révélés à peine plus longs que l'an dernier. «Les marchés de l'unifamiliale et des plex sont équilibrés à l'échelle de la région métropolitaine de recensement, tandis que le marché de la copropriété est à l'avantage des acheteurs», a avancé hier la CIGM. --------------- GRAND MONTRÉAL Nombre de transactions Février 2014: 3311 Février 2013: 3415 Février 2012: 4415 Valeur totale des transactions immobilières Février 2014: 1,044 milliard Février 2013: 1,051 milliard Février 2012: 1,364 milliard Nombre de propriétés à vendre Février 2014: 34 620 Février 2013: 31 711 Février 2012: 28 804 Source : CIGM
  4. Les villes défusionnées font avorter la stratégie globale... via LaPresse : Publié le 10 mars 2014 à 16h09 | Mis à jour le 10 mars 2014 à 16h09 Agrile du frêne: pas de règlement pour l'ensemble de île PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse L'agrile du frêne ne connaît pas de frontières, mais les élus, oui. Les villes défusionnées refusent de voir Montréal imposer un règlement à l'ensemble de l'île pour contrer la progression de cet insecte ravageur qui menace les arbres de la métropole. Une cinquantaine d'élus et fonctionnaires de l'île se sont réunis ce matin pour discuter de la stratégie à adopter face à l'agrile du frêne, cet insecte d'Asie qui s'attaque aux arbres de Montréal depuis 2011. Principale mesure attendue de ce Sommet, l'idée d'imposer une réglementation qui s'appliquerait à toute l'agglomération a rapidement été rejetée par les villes liées. «On ne peut pas les forcer. Les conditions n'étaient pas réunies», a regretté le responsable du dossier, Réal Ménard. Déçu de l'issu du sommet, le maire Denis Coderre compte s'entretenir avec le président de l'Association des maires de banlieues de l'île, Peter Trent, pour tenter de le convaincre. «C'est une première étape. Si on veut agir tous de la même façon, il va falloir que ce soit sous le même parapluie. On ne se chicanera pas sur la gouvernance, le but, c'est de sauver les arbres», a-t-il commenté. Un nouveau règlement aurait notamment permis d'aborder la question des frênes sur les terrains privés, sur lesquels Montréal n'a présentement aucune emprise. L'opposition montréalaise a déploré l'issue du Sommet sur l'agrile du frêne que plusieurs attendaient pour renforcer la lutte à cet insecte ravageur. «C'est un échec complet», a tranché Sylvain Ouellet, de Projet Montréal. Celui-ci a blâmé Réal Ménard pour son manque de préparation, disant qu'il n'avait soumis aucun projet de réglementation aux élus. Réal Ménard s'est défendu en qualifiant de succès le fait que les élus de l'île se soient à tout le moins entendus pour poursuivre les efforts déjà déployés, soit de dépister la présence d'agrile sur les frênes et de traiter les arbres voisins d'un foyer d'infestation. Depuis trois ans, Montréal a fait du dépistage sur seulement 7303 des 200 000 frênes présents sur le domaine public de la métropole. L'insecte a été détecté sur 206 arbres, jusqu'à présent. La Ville de Montréal demandera au gouvernement de l'aider à financer la lutte à l'agrile du frêne. Pour éradiquer complètement l'infestation, la métropole évalue qu'elle devrait inoculer les 200 000 frênes sur son domaine public avec le seul insecticide disponible, ce qui coûterait 20 millions par année. En incluant ceux sur les terrains privés, la facture pourrait doubler. L'insecticide utilisé protège les frênes pendant deux ans seulement. M. Ménard propose aussi de solliciter le privé pour contribuer financièrement à la lutte à l'agrile. «Je n'imagine pas qu'on puisse gagner sans que le Montréal Inc. soit mis a contribution.» Sylvain Ouellet souligne toutefois que le privé contribue déjà en finançant un programme pour planter de nouveaux arbres.
  5. Rendu via Guide Habitation Description Sur le site des anciens ateliers ferroviaires du CN, à Pointe-Saint-Charles, ce projet résidentiel de 48 unités abrite des condos de 1 ou 2 chambres à coucher et des appartements-terrasses avec mezzanine dans 6 immeubles en rangée de 4 étages, en harmonie avec le patrimoine bâti du secteur. Les condos, fonctionnels et lumineux, maximisent l’espace et le rangement, tout en offrant des espaces de vie propices à la détente, grâce à la présence de cours, de balcons ou de terrasses qui donnent sur un bel aménagement paysager. De plus, vous pourrez choisir parmi une vaste sélection de finis et de couleurs pour créer un décor qui vous ressemble. Caractéristiques du projet: Près de la station Charlevoix De 750 à 1060 pi² Cour/terrasse/balcon privé pour chaque unité Espace de rangement privé pour chaque unité Cuisine de type européen Armoires en mélamine Comptoir en granit Dosseret en céramique Espace pour lave-vaisselle Douche et bain séparés Espace laveuse-sécheuse Planchers stratifiés Vaste choix de finis et de couleurs Aménagement paysager Stationnement extérieur (optionnel) Garantie 2 ans de Samcon et de 5 ans de l'APCHQ Livraison le 1er septembre 2014 Ce projet est admissible à une subvention de la Ville de Montréal. Pour plus de détails, venez nous visiter! Certaines conditions s'appliquent. Promotion d'une durée limitée. Plus d'information à la page: http://www.samcon.ca
  6. Description via Guide Habitation : Description * Prix 1 chambre à partir de 175 528 $ 2 chambres à partir de 227 223 $ * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles. Avis légal . Dernière mise à jour : 2014-02-19 Mobilis Papineau offre 32 condos de 1 et 2 chambres, de 587 à 1 586 pi2, dans un bâtiment en béton de 5 étages, à quelques minutes du métro Papineau et du Parc Lafontaine, à Montréal. Situé à une distance de marche des commerces de la rue Ontario et de la rue Ste-Catherine, le projet permet un accès facile à la plupart des attractions du centre-ville. Caractéristiques: Condos de 1 chambre, de 1 chambre + bureau, de 2 chambres et de 2 chambres sur 2 étages disponibles Planchers de bois franc et en céramique Balcons Plafonds à 9 pieds de hauteur Baignoire de 60 po X 30 po et vanités en mélamine Comptoir de cuisine en quartz Stationnement intérieur Ascenseur Espace de rangement au sous-sol Garantie de maison neuve Abritat. Condo modèle à visiter, sur demande. Les premiers acheteurs sont éligibles au programme d’accès à la propriété de la ville de Montréal. Plus d'information à la page: http://www.constructionbeau-vain.com
  7. Ce projet aurait pu se retrouver dans la section rénovations aussi, car c'est la conversion de la manufacture de vêtements « Utility » via Guide Habitation : Description * Prix 1 chambre prix N/D 2 chambres prix N/D * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles. Avis légal . Dernière mise à jour : 2014-02-26 U-Lofts offre 18 condos, de 1 ou 2 chambres, de 586 à 993 pieds carrés, dans l'ancienne manufacture de vêtements « Utility », au coeur de la Petite-Italie. Profitant d'une localisation avantageuse, à proximité des transports en commun, du marché Jean-Talon, du parc Jarry et de nombreux services et commerces, le projet se distingue par son architecture sobre qui respecte aussi bien le caractère initial de la bâtisse que celui du quartier. Soyez parmi les premiers à découvrir le projet et profitez de prix pré-construction! Inscrivez-vous maintenant : http://www.u-lofts.com
  8. Projet dans NDG : Description * Prix 1 chambre à partir de 187 425 $ 2 chambres à partir de 222 600 $ 3 chambres à partir de 307 890 $ Studio à partir de 164 400 $ * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles. Avis légal . Dernière mise à jour : 2014-03-05 Oxford Condos est un projet de 30 unités de studios, 1, 2 ou 3 chambres allant de 548 à 980 pi2 dans Notre-Dame-de-Grâce. Caractéristiques: Ascenseur Stationnement intérieur Espace de rangement Espace pour stationner les vélos Localistion: Hôpital CUSM Métro Vendôme Village Monkland Parcs et pistes cyclables La livraison est prévue pour juillet 2015. Plus d'information à la page: http://www.mondev.ca
  9. Il ne reste quelques étages à monter
  10. Je n'ai pas trouvé de thread pour ce projet de réno. LaPresse parle de ce projet aujourd'hui Publié le 08 mars 2014 à 09h08 | Mis à jour à 09h09 Conversion d'un monument historique en condos par Karsten Rump L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE VINCENT LAROUCHE La Presse La Commission de la construction du Québec ordonne l'arrêt immédiat des travaux de conversion d'un monument historique de grande valeur au centre-ville de Montréal, après avoir constaté que l'ancien «roi des peep-shows» de la métropole tentait d'y aménager des logements en usant de procédés douteux. L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. Le bâtiment de style néo-Tudor, classé «monument historique» et «immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle» par le gouvernement du Québec, a été construit en 1904 par les architectes Saxe et Archibald. L'Université Concordia y a longtemps eu des bureaux, puis elle a vendu l'immeuble pour 3,2 millions de dollars en 2010. D'importantes rénovations ont été entreprises pour y aménager des logements de prestige. Après une série de mésaventures financières et de problèmes avec des entrepreneurs en construction qui disaient ne pas avoir été payés, le projet a atterri entre les mains de l'homme d'affaires Karsten Rumpf. Rumpf avait été baptisé «le Roi des peep-shows» par le magazine Affaires Plus au cours des années 1990, car il était le plus important propriétaire de cinémas XXX à Montréal et Hamilton. Aujourd'hui, son adresse correspond à une boîte postale de Nassau, aux Bahamas, et l'homme s'est recyclé dans la gestion d'un imposant parc immobilier. Son représentant à Montréal n'a pas répondu à nos appels hier. La Commission de la construction dit avoir inspecté le chantier des Appartements Bishop Court à plusieurs reprises. Ses inspecteurs étaient mal reçus et avaient du mal à pénétrer sur les lieux et y ont découvert des travailleurs sans cartes de compétence. Pire, les travaux n'étaient même pas supervisés par un entrepreneur accrédité en bonne et due forme, selon eux. «Ils ont aussi constaté des problèmes qui pouvaient porter atteinte à la sécurité à cause des installations électriques», raconte Simon-Pierre Pouliot, porte-parole de l'organisme. Le propriétaire devra maintenant convaincre la Commission qu'il a régularisé la situation avant de pouvoir reprendre les travaux.
  11. Il me semble que c'est ça que Prével a donné comme raison du nom. Sur le site : et sur le blogue lors de leur concours pour un voyage à Paris : En tout cas, ce n'est pas pour Montréal avec ses 19 arrondissements
  12. Pour les intéressés, une promo de MTLARABAIS pour La Trattoria Rabais du Jour: 35$ pour un menu 3 services pour deux personnes au restaurant La Trattoria– Apportez votre vin! (valeur de 102$) La Trattoria 1551 rue Notre-Dame Ouest Montréal, QC, H3C 1L2 514-935-5050 http://www.latrattoria.ca
  13. Une pépine ne veut rien dire... Elle peut être placée là et servir de décoration pendant des semaines...
  14. via Les Affaires : Immobilier: Montréal, parmi les 20 plus chères en Amérique du Nord Publié le 05/03/2014 à 16:57 Rien ne semble refroidir les ardeurs des acheteurs dans les grands centres urbains canadiens. Malgré les prédictions de nombreux experts selon lesquels une correction attend le marché immobilier au pays, les prix ne cessent de grimper dans les principaux centres urbains. Le site américain Business Insider a dressé la liste des marchés les plus chauds au Canada et aux États-Unis. Montréal figure à la 13e position. Edmonton, Ottawa, Calgary, Toronto et Vancouver sont toutes devant. Parmi les dix villes les plus chères en Amérique du Nord, quatre sont canadiennes; de quoi alimenter les arguments de ceux qui affirment que le marché immobilier au nord du 45e parallèle est surévalué.
  15. Sur le site du Lowney : Ce que m'avait confirmé la designer quand je suis allée faire mes choix de finitions.
  16. Sur le site de CBC, ça parlait du 1155 rue Saint-Charles Ouest, qui est l'adresse de ce projet. via Canoë : Un travailleur chute d'un édifice en construction 05-03-2014 | 14h42Dernière mise à jour: 05-03-2014 | 15h07 LONGUEUIL - Une chute d'une douzaine d'étages dans une cage d'ascenseur d'un immeuble en construction, mercredi, à Longueuil, a coûté la vie à un travailleur de 36 ans. Le tragique accident de travail s'est produit peu après 13h, sur la rue Saint-Charles, dans un immeuble à condos en construction. «L'homme travaillait sur le toit lorsqu'il a chuté dans la cage d'ascenseur», a mentionné une porte-parole de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST), Marie-France Roulier. Les services de secours ont retrouvé l'homme une douzaine d'étages plus bas, dans le sous-sol de l'édifice, a mentionné l'agent Mark David, de la police de Longueuil. Des manœuvres de réanimation ont été pratiquées sur la victime, mais compte tenu de la gravité de sa chute, l'homme a succombé à ses blessures. Selon la porte-parole de la CSST, le travailleur, un monteur d'acier, portait son harnais de sécurité au moment de l'accident. «Deux inspecteurs de la CSST ont été rapidement dépêchés sur place pour sécuriser les lieux et tenter de comprendre ce qu'il s'est produit», a indiqué Mme Roulier. image de CBC :
  17. via LaPresse : Publié le 06 mars 2014 à 07h30 | Mis à jour à 07h39 Les nouvelles voitures du métro arrivent, avec huit mois de retard MARIE TISON La Presse C'est finalement avec huit mois de retard que les nouvelles voitures de métro descendront dans le sous-sol de Montréal. La Société de transport de Montréal (STM) devrait prendre livraison des neuf premières voitures, qui formeront un train prototype, d'ici la fin du mois. À l'origine, ce train devait être livré en juillet 2013. Le prototype doit effectuer des essais en tunnel pendant une durée d'environ huit mois. Ce n'est qu'après cette période, qui ne peut pas vraiment être compressée, que les nouvelles voitures pourront enfin transporter des passagers payants. L'entrée en service officielle se fera donc huit mois plus tard que prévu. Bombardier a toutefois assuré qu'il n'y aura pas d'autres retards. En outre, le constructeur s'est dit en mesure d'accélérer la cadence pour rattraper le retard et faire en sorte que les 468 voitures soient livrées d'ici la fin de septembre 2018, comme prévu au contrat. «Actuellement, le calendrier de production prévoit un train par mois, mais nous pouvons doubler la cadence et livrer deux trains par mois», a déclaré le porte-parole de Bombardier Transport, Marc Laforge, dans une entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. La STM prend son mal en patience. Il y a des pénalités prévues au contrat en cas de retards, mais celles-ci ne s'appliquent pas au train prototype. «C'est encore trop tôt pour commencer à parler de ça, a déclaré la porte-parole de la STM, Odile Paradis. On va recevoir le train prototype, après ça, on verra ce qu'il en est. Ce qui est très important, c'est qu'on reçoive des voitures pour lesquelles tous les tests de qualification ont été réalisés.» Bombardier termine à son usine de La Pocatière une série d'essais sur les nouvelles voitures. M. Laforge a indiqué que Bombardier avait dû faire face à certains défis, notamment en ce qui concerne la maturité des logiciels liés aux équipements et la chaîne d'approvisionnement. «Ce sont des éléments comme ceux-là qui font en sorte que la première livraison est retardée», a-t-il déclaré. Il a notamment expliqué que Bombardier avait dû remplacer des fournisseurs. Il n'a pas voulu identifier d'entreprises, mais il a évoqué un cas de faillite et un fournisseur qui a «atteint malheureusement son incapacité à respecter son engagement». «Dans certains cas, nous avons aidé les fournisseurs, dans d'autres cas, ce n'était pas possible», a déclaré M. Laforge. Selon lui, il n'y a pas d'autres pépins en vue. «Nous sommes à trois semaines d'une livraison, a déclaré M. Laforge. Si nous sommes en mesure de dire ça aujourd'hui, c'est que nous sommes pas mal sûrs.» En raison de la taille des voitures, Bombardier en livrera une par jour sur une période de 10 jours (il n'y aura pas de livraison le dimanche) pour former un train complet de neuf voitures. Ligne de production en avril Les essais que la STM effectuera pendant huit mois porteront sur divers éléments difficiles à tester dans les installations de Bombardier à La Pocatière, comme les communications en tunnel et le bon positionnement des portes dans les stations. Bombardier n'attendra toutefois pas la fin des essais pour entreprendre la production des voitures. «En avril, nous allons commencer la ligne de production», a assuré M. Laforge. À la fin de 2013, Bombardier Transport avait mis à pied 150 employés de production à La Pocatière en raison de la fin d'un contrat pour un train de banlieue au Maryland. «Avec le contrat pour le métro de Montréal, nous serons en mesure de rappeler au moins la moitié de ces employés», a affirmé M. Laforge. C'est en octobre 2010, après une longue saga judiciaire, que la STM a attribué un contrat de 1,2 milliard de dollars au consortium Bombardier-Alstom pour le remplacement des voitures MR-63 du métro de Montréal (entrées en service en 1966). Mme Paradis a affirmé qu'il n'y avait pas eu «trop d'enjeux liés à la vétusté de certains systèmes des MR-63». «C'est sûr qu'elles sont moins fiables que les voitures MR-73 [entrées en service en 1976], mais nous avons maintenu la même offre de service en 2014 qu'en 2013», a-t-elle affirmé.
  18. Les plafonds sont à 8'6" Et si on se fie à cette photo que j'ai prise d'un des condos modèles, il n'y pas bcp d'espace entre le plancher et le bas de la fenêtre :
  19. District Grffin n'a pas l'air d'avoir trop avancé depuis la dernier prise de photos, mais c'est dur à dire avec la clôture. Ils devraient faire comme Prével et faire des trous dans la clôture pour qu'on voit l'avancement
  20. C'est bien d'ouvrir jusqu'à 6h, comme ça les gens peuvent prendre le métro pour rentrer à la maison question de sécurité. Mais là les soûlons se mêleraient aux travailleurs... malgré que j'en ai croisé 2-3 la semaine dernière dans le métro à 5h30 du matin
  21. via Les Affaires Immobilier: 31% des Québécois prêts à renchérir Publié à 11:15 Trente et un pour cent des Québécois se disent prêts à faire monter les enchères lorsqu'ils achètent une propriété, contre 34 % en moyenne au Canada, selon un récent sondage commandité par la Banque de Montréal (BMO). D'après le sondage, 49% des propriétaires actuels disent avoir connu le succès lors de leur première offre. Par contre, cette statistique chute à 42% chez les propriétaires qui ont acheté leur maison durant les cinq dernières années. De plus, les propriétaires canadiens sondés disent avoir visité en moyenne 9,5 propriétés avant d'acheter celle qui leur convenait. Selon les Études économiques de BMO, les prix moyens des maisons au Canada continuent d'augmenter. Dans tout le pays, les prix ont accéléré au cours de la dernière année, avec une hausse annuelle de près de 10% du prix moyen des transactions en janvier. Le prix de vente moyen d'une maison au Canada est actuellement tout juste supérieur à 400 000$. Tandis que de nombreuses personnes soupçonnent que des surenchères sont déclenchées par les vendeurs qui fixent délibérément le prix de leur maison sous le niveau du marché, seulement 15% des vendeurs sondés par BMO avouent le faire. Les résultats du sondage de BMO sur l'accession à la propriété découlent d'entrevues en ligne auprès d'un échantillon aléatoire de 2007 répondants canadiens âgés de 18 ans et plus.
  22. via CBC : Facebook page complaint in Quebec over language settled Chelsea, Que., boutique owner comes to agreement with the French-language office CBC News Posted: Mar 04, 2014 7:51 AM ET Last Updated: Mar 04, 2014 9:31 AM ET A Chelsea, Que., store owner says the province's French-language office has "softened" its position over her English Facebook page. In February, Eva Cooper received a letter from the Office québécois de la langue française (OQLF) with orders to translate the page for her women's clothing boutique Delilah in the Parc to French by March — or face legal consequences. Cooper told CBC on Monday that she came to an agreement with the director of the office to incorporate French into her posts. "The position has softened," she said. "The conversation was conciliatory, there's no doubt about that." A spokesperson for the OQLF told CBC that Facebook posts that advertise the business must include French, but that Cooper can continue to post in English if the conversation is of a social nature. Cooper said she has requested that the office send her permission in writing to post bilingually. Cooper's store has bilingual signs, and she offers customer service in French and English, but her Facebook page was in English. She received a letter from the language office after a customer complained that her page did not meet the requirements of Bill 101, the main legislation in Quebec’s language policy. Cooper argued that the French language legislation did not apply to social media.
  23. Ah c'était ça le projet en face de la Maison Alcan. Je n'ai jamais vu aucun mouvement là depuis que le resto italien a été fermé
  24. Via LaPresse : Publié le 04 mars 2014 à 06h49 | Mis à jour à 06h49 Saputo retourne en Australie RICHARD DUFOUR La Presse La filiale australienne de Saputo (T.SAP) a peut-être publié la semaine dernière ses derniers résultats financiers en tant que compagnie inscrite en Bourse. La seule raison pour laquelle Warrnambool est encore listée à la Bourse d'Australie est le fait qu'un de ses clients, Lion, détient toujours une participation de 10%. La porte-parole de la société, Mélanie Jolin, a confirmé à La Presse que des dirigeants de Saputo quitteront Montréal vendredi pour un autre voyage en Australie. Il n'a pas été possible de connaître l'agenda du voyage. Toutefois, alimentée par la presse australienne, la spéculation s'intensifie à propos des négociations entre Saputo et Lion. Saputo compte réaliser d'autres acquisitions en Océanie et entend utiliser sa nouvelle plateforme australienne pour répondre à la demande croissante pour des produits laitiers à plusieurs endroits dans le monde. L'action de Saputo a touché durant la séance d'hier son plus haut niveau depuis son entrée en Bourse. Elle a terminé la journée à 54,65$, en hausse de 1 cent.
  25. via Radio-Canada Pont Champlain : « les partenaires québécois » déçus Mise à jour il y a 19 minutes Les « partenaires québécois » du gouvernement fédéral dans la construction d'un nouveau pont Champlain reliant Montréal à la Rive-Sud sont restés sur leur faim, lundi matin, lors de la présentation du plan d'affaires d'Ottawa. « Ce n'est pas un plan d'affaires qu'on nous a présenté ce matin, c'est davantage la vision du gouvernement fédéral sur le nouveau pont », a déclaré la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire, au cours d'une conférence de pesse conjointe avec le maire de Montréal, Denis Coderre, ainsi que le ministre québécois des Transports, Sylvain Gaudreault, et le ministre délégué aux Affaires intergouvernementales canadiennes, Alexandre Cloutier. « On devait nous présenter un plan d'affaires ce matin. Vous me voyez un peu sceptique, il n'y a pas de chiffre », s'est plainte la mairesse St-Hilaire. Elle a également déploré « l'absence d'estimation des coûts » et « l'absence de démonstration de la pertinence du péage ». « Je pense que j'aurais dû rester en semaine de relâche finalement », a déclaré Mme St-Hilaire en référence à la semaine de congés scolaires dont disposent les élèves québécois. « On est venu nous dire qu'on était bien chanceux, qu'on allait avoir un nouveau pont, mais que c'est nous autres qui allions le payer. » — Caroline St-Hilaire Le ministre Gaudreault s'est fait plus diplomatique, estimant que le plan d'affaires de son homologue fédéral, Denis Lebel, était incomplet. « Nous considérons qu'il reste des éléments à compléter dans ce plan d'affaires », a indiqué M. Gaudreault. « Nous souhaitons avoir beaucoup plus d'éclaircissement quant au niveau de financement qui est envisagé pour le nouveau pont Champlain. » Le ministre Gaudreault veut connaître les détails de la structure du financement afin de prévoir le type de train léger que Québec veut ajouter à l'infrastructure. Tous les intervenants ont réitéré leur opposition unanime au péage sur le futur pont. Le maire Coderre déplore l'absence de précisions sur l'éventuel péage, auquel tient le gouvernement fédéral. « Moi, je veux savoir si dans le plan d'affaires, dans l'appel d'offres, la question de la gestion des revenus et la question des postes de péage sont un enjeu dans le contrat », a-t-il martelé en conférence de presse. Le maire Coderre soutient que si les postes de péage ne sont pas inclus dans le contrat de partenariat public-privé dont fait l'objet la construction du futur pont, le gouvernement peut revenir sur sa décision et éliminer cet élément du projet. Dans une telle éventualité, « au niveau politique et stratégique, on est en mesure de dire au gouvernement : vous avez un geste à poser ». M. Coderre réclame des études sur l'impact qu'auraient les péages du pont Champlain sur les autres ponts - Mercier et Jacques-Cartier notamment - dans l'éventualité où le gouvernement fédéral persisterait à imposer sa mesure. Il souligne que si le fédéral persiste à installer des péages sur le pont Champlain, il n'aura d'autre choix que d'en installer sur les autres ponts. « On vous le dit depuis le début, quand on en met un on va en mettre partout et on aura l'effet de trou de beigne qui va avoir un impact économique épouvantable pour Montréal », a-t-il poursuivi. Le maire Coderre craint que les péages sur les ponts entraînent un exode de l'activité économique vers les banlieues. M. Coderre demande également à Ottawa de définir le sort des péages dans l'éventualité où la structure serait cédée au gouvernement provincial. Le ministre fédéral des Transports, Denis Lebel, devrait lui aussi faire une annonce cet avant-midi.
×
×
  • Créer...