Aller au contenu
publicité

ScarletCoral

Non-Membre
  • Compteur de contenus

    7 199
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Celle-là, je ne l'ai jamais entendue! Par définition, j'en suis une aussi... mais je me considère plus comme une banane (jaune à l'extérieur, blanche à l'intérieur)
  2. Photo prise le 15 mai, ils sont en train d'installer les fenêtres au 18e étage
  3. Au sujet de l'Alt Montréal Griffintown sur le site du journal Métro : 13/05/2014 Mise à jour: 13 mai 2014 | 18:34 Le petit nouveau des Germain Par Andréanne Chevalier Métro Le lobby. On y croise des chaises uspendues, créées par les Ateliers Guyon, de Montréal, et une murale colorée de 1 200 photos de la métropole, dont 500 ont été prises par des jeunes en difficulté participant au programme Focus, de l’organisme Déclic. Photo : Yves Provencher/Métro Le Groupe Germain Hospitalité a établi son plus récent hôtel ALT à Griffintown, à Montréal. L’établissement est écolo, minimaliste et confortable. «Le groupe Germain trouvait qu’il y avait un “trou” dans le secteur des 3 étoiles», affirme François Têtu, directeur des ventes pour l’hôtel ALT Montréal Griffintown. Bannière québécoise de l’hôtellerie, le Groupe Germain Hospitalité – qui porte aussi l’enseigne des hôtels-boutique Le Germain – s’est donc installé depuis le 17 mars dans ce secteur en développement du Sud-Ouest avec son concept ALT; soit des hôtels à «services limités» et à tarif unique (que ce soit en occupation simple ou double, et sans distinction hausse et basse saison). Services limités, parce que dans les ALT, on ne retrouve pas de mini-bar dans les chambres. On n’y trouve pas non plus de bar ni de restaurant appartenant à l’hôtel. Et pas de service aux chambres, par conséquent. «Notre spécialité, c’est l’hébergement», fait valoir M. Têtu. Pour les ALT, c’est plutôt la réception qui agit comme centre névralgique, précise M. Têtu. C’est là que se trouvent les grignotines normalement associées au mini-bar. Ce sont aussi les réceptionnistes qui peuvent servir un café ou un verre de vin. Pour combler les besoins de l’établissement du Sud-Ouest, un restaurant-bar Zibo! s’installera sous peu dans l’édifice, mais en tant que concession. Un café Starbucks qui communique avec le lobby y réside, lui, déjà. Un petit espace gym est par ailleurs offert aux clients. Les 154 chambres (dont 34 possèdent deux lits), réparties sur les étages 7 à 18, sont très confortables et élégantes, sans toutefois tomber dans le luxe. On y trouve des murs de béton exposé, et le contreplaqué de bois couleur caramel ajoute un peu de chaleur parmi le blanc et les touches de gris charcoal. Des œuvres de l’artiste Pascale Girardin les décorent. Écolo Du côté environnemental, le ALT Griffintown est entièrement chauffé et climatisé par géothermie. Il possède un toit blanc, recycle, utilise des produits de nettoyage écologiques. Dans sa construction, la brique d’anciens bâtiments du quartier a même été réutilisée. Il est aussi doté d’une politique d’achat local et propose, par exemple, comme produits de bain, une gamme préparée spécialement par Bella Pella, une entreprise d’ici. Qui plus est, ceux-ci sont offerts dans des grands formats, plus écolos: exit, donc, les petites bouteilles d’hôtel à usage individuel. En résumé Le style: Tout confort, moderne et design. On aime: Le Wi-fi gratuit. La mise en valeur des produits et des artisans d’ici. On aime moins: Pas possible de prendre son café dans sa chambre au saut du lit. C’est quand même dommage… Prix: Tarif unique de 149$ la nuit (en promotion jusqu’à la fin mai à 119$). 5 5 hôtels ALT existent déjà, à l’aéroport d’Halifax, à celui de Toronto, à Québec, au Dix30 de Brossard et maintenant, à Griffintown à Montréal. Deux autres seront ouverts dans les prochaines années, à Ottawa (en 2016) et à Winnipeg (en 2015).
  4. Mais près de l'ascenseur, c'est plus passant aussi. Et Pour l'épicerie, avec le Métro qui va être construit dans le District Griffin sur Peel, l'auto n'est pas trop nécessaire Et si je veux rester au premier sous-sol, les choix disponibles près de la porte qui mène aux ascenseurs ne sont pas super. Il y a des places réservées pour les personnes à mobilité réduite.
  5. J'ai recu les plans par courriel et je dois leur envoyer mes choix avant 17h demain. Donc, 24 heures pour soumettre ses choix.
  6. je conduis une Honda Fit, une sous-compact Il y a bcp de colonnes et quelques murs dans ce stationnement (sur 3 étages) comme on peut le voir sur cette photo du début de la construction. Edit : En fait, en examinant le plan plus attentivement, chaque place de stationnement a soit une colonne soit un mur d'un côté
  7. J'ai eu un courriel pour faire mon choix de stationnement et de locker.. Avez-vous des recommendations pour le choix d'emplacement?
  8. via le blogue de Maxime Bergeron sur le site de La Presse : Lundi 12 mai 2014 | Mise en ligne à 9h31 Avril tranquille Plus de pancartes « à vendre », moins d’acheteurs. Ainsi se résume le marché immobilier ce printemps à Montréal. Le nombre de transactions effectuées par des courtiers a reculé de 9 % le mois dernier par rapport à avril 2013, indiquent les plus récentes statistiques de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Au total, 4184 propriétés ont changé de main, la pire performance depuis au moins cinq ans pour un mois d’avril. En parallèle, le nombre de résidences à vendre – les fameuses « inscriptions », dans le jargon des courtiers – a poursuivi sa hausse… pour le 44e mois d’affilée ! Il y a aujourd’hui 35 904 propriétés à vendre par les courtiers dans le Grand Montréal, contre: – 33 099 en avril 2013; – 28 632 en avril 2012; – 25 996 en avril 2011; – 22 241 en avril 2010. « Étant donné l’augmentation du nombre d’inscriptions et la baisse des ventes depuis quelques mois, les acheteurs regagnent du pouvoir de négociation, en particulier s’ils magasinent une copropriété, dont les conditions de marché sont clairement à l’avantage des acheteurs dans la majorité des secteurs », a fait valoir Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM. Toutes les catégories de propriétés ont vu leurs ventes fléchir en avril, souligne la CIGM. Le repli a affecté tous les secteurs géographiques de la région métropolitaine, soit l’île de Montréal, Laval, la couronne nord, la Rive-Sud et Vaudreuil-Soulanges. Les prix médians se sont maintenus de justesse presque partout. Mais pas dans l’île de Montréal, où se fait environ la moitié des transactions. La valeur de revente y a reculé de 1% pour les unifamiliales, 2% pour les “plex” et 3% pour les condos, rapporte la CIGM. Sans grande surprise, la valeur combinée des ventes, en dollars, affiche un recul significatif en avril. Les transactions réalisées par des courtiers ont ainsi totalisé 1,329 milliard dans la région métropolitaine, une baisse de 8 % par rapport à l’an dernier. C’est 300 millions de moins qu’en avril 2012, alors que le marché montréalais était survolté. Et qu’en est-il des délais de vente ? Ils ont poursuivi leur tendance à la hausse dans le Grand Montréal, avec une moyenne de 91 jours pour l’unifamiliale (+9 jours), 113 jours pour la copropriété (+15 jours). Seuls les « plex » se vendent plus vite que l’an dernier, avec une moyenne de 78 jours (-9 jours). Notons enfin que les statistiques de la CIGM excluent toutes les ventes réalisées sans intermédiaire, ainsi que les transactions de condos neufs faites directement par les promoteurs. Le nombre réel de propriétés à vendre sur le marché est donc significativement plus élevé que ce qu’indiquent ces chiffres, ce qui ajoute une pression supplémentaire sur les prix.
  9. Donc, probablement des entrepreneurs et fournisseurs différents des autres projets de Prével dans Griffintown. Ce qui peut expliquer en partie la différence dans la qualité... malgré que les Bassins est un projet qui est supposé être plus haut de gamme que les différentes phases du Lowney par exemple. Pour la certification LEED, c'est le LEED ND (Neighborhood Development) qui est recherché est non LEED tout court. C'est le quartier qui recherche la certification et non le bâtiment. Selon Wikipédia : « All LEED-ND projects are required to have at least one certified green building». Alors, si Phase 1 est certifiée LEED, phase 2 n'est pas obligée de l'être et le quartier peut quand même obtenir le LEED ND.
  10. Dans LaPresse : Publié le 12 mai 2014 à 06h17 | Mis à jour à 06h17 Étalement des sièges sociaux ANDRÉ DUBUC La Presse Il existe une inadéquation entre le type de bureaux souhaité par les locataires à Montréal et les locaux proposés dans les tours du centre-ville, soutient le patron montréalais d'une importante firme de courtage immobilier commercial. S'il est vrai que l'on se plaint de la croissance anémique de l'économie montréalaise, la réalité est qu'il existe une panoplie de sociétés dynamiques qui connaissent une croissance soutenue. Elles oeuvrent dans les domaines des technologies, de l'information ou de la création au sens large. «Il n'y a rien dans le centre-ville qui est proposé pour des firmes qui connaissent ce genre de croissance», déplore Laurent Benarrous, directeur général et associé du courtier Avison Young à Montréal. Il donne l'exemple du Cirque du Soleil, une société qui a certainement la capacité financière de se loger au centre-ville mais qui a fait le choix dans le passé de s'établir dans le quartier Saint-Michel. D'autres exemples? Beyond the Rack (400 employés) est dans l'arrondissement de Saint-Laurent. Maintenant cotée en Bourse, Lumenpulse (225 employés) loge dans l'édifice Le Nordelec, dans Pointe-Saint-Charles. Moment Factory a pignon sur la rue Hutchison, dans le Mile End, tandis que Luxury Retreats est établie dans les lofts de la Dompark, rue Saint-Patrick, dans le quartier Côte-Saint-Paul. Leur effectif, souvent issu de la génération Y, ne manifeste guère d'empressement à travailler dans les tours de bureaux que l'on trouve sur l'avenue McGill College, par exemple, dans le quartier des affaires, fait valoir M. Benarrous. Tendance à la densification Ces tours ont été conçues pour la clientèle traditionnelle des centres-villes: les professionnels, comptables, avocats et financiers qui gravitent autour des sièges sociaux et autres bureaux décisionnels des grandes sociétés. Ce secteur d'activité croît habituellement à la vitesse de l'économie dans son ensemble, soit environ à 1 ou 2% par an à Montréal. Dans les faits, cette faible croissance est contrecarrée par la tendance à la densification des planchers de bureaux. Au nom de l'efficacité, les locataires de bureaux veulent faire travailler plus d'employés dans un espace donné. La superficie louée dans les bureaux du centre-ville a diminué au premier trimestre 2014 pour la septième fois au cours des huit derniers trimestres, selon la firme Jones Lang LaSalle (JLL). Décentralisation Par exemple, la Banque Royale, locataire historique du centre-ville, a remis à son propriétaire plus de 100 000 pieds carrés à Place Ville-Marie, sans licencier personne. Elle a peu après loué 186 000 pieds carrés au 7101, avenue du Parc, dans le nord de la ville. Parc-Extension, Mile-End, Chabanel, les quartiers au nord du centre-ville connaissent un véritable boom immobilier. Un million de pieds carrés de locaux industriels ont été convertis en bureaux à loyer concurrentiel seulement en 2013. Une superficie qui correspond à une tour haute comme le 1000, de La Gauchetière. Et d'autres conversions s'ajouteront à l'inventaire de bureaux en 2014. Signe des temps, la société Allied Properties, spécialisée dans les bureaux-lofts, est devenue le troisième propriétaire de bureaux d'envergure à Montréal, derrière Cominar et Ivanhoé Cambridge. «Comme propriétaire, je me questionnerais beaucoup si mon horizon de détention d'un actif de catégorie A au centre-ville de Montréal, sur l'avenue McGill College, par exemple, était de 10 à 20 ans, dit M. Benarrous. En fait, j'aurais cherché à m'en délester il y a probablement 12 mois. Si je n'avais pas pris cette décision il y a 12 mois, peut-être que je la prendrais aujourd'hui.» Si on n'a pas encore observé le départ de grands propriétaires du centre-ville, certains d'entre eux cogitent sur l'avenir de leurs éléments d'actif. Le spécialiste immobilier Redbourne travaille sur des plans visant à changer complètement le look du hall d'entrée de la Tour Bell Média, au 1800, avenue McGill College, a-t-on appris. Le but est de le rendre plus compatible avec l'identité de son locataire principal. «Il y a des projets d'investissement, mais c'est très embryonnaire, s'est contenté de dire Michel Bouchard, vice-président directeur, développement des affaires de Redbourne. Ça fait partie d'un projet de modernisation, un processus normal dans la vie d'un immeuble qui est rendu à 20 ou 30 ans.» Terminé en 1989 sous le nom de Place Montréal Trust, l'immeuble est l'archétype de la tour de prestige du centre-ville avec son lobby cérémonial digne de noces italiennes. Industrielle Alliance en est une autre qui transforme l'image de sa propriété, au 2020 University, maintenant appelée Tour Intact. Des travaux de 35 millions servent à aménager 4 étages de bureaux entièrement fenestrés au coin des rues University et de Maisonneuve. Un stationnement de 200 vélos avec douches est aussi prévu pour accommoder les locataires. Ça aussi, c'est prisé par les travailleurs de la nouvelle économie. Google, une exception (dans la version de LaPresse+) La société Google, une marque-phare de l’internet, s’est installée avenue McGill College à Montréal, en plein cœur du quartier des affaires, et non pas dans un bureau-loft du Sud-Ouest ou du quartier Chabanel. Mais au lieu de louer des bureaux dans l’une des tours modernes de l’avenue, au nord de la rue Sainte-Catherine, la société américaine a choisi de se loger au sud de la rue marchande, plus précisément au 1253, avenue McGill College, un édifice patrimonial au style européen, haut de 10 étages, datant de 1927 et qui a fait l’objet d’une importante modernisation en 2007… principalement pour Google.
  11. C'est quand même triste pour les copropriétaires de devoir embaucher des gardiens de sécurité pour surveiller les lieux communs Est-ce qu'il y a des problèmes similaires dans d'autres projets? (Je viens de remarquer que l'auteure de l'article est Allison Lampert! Elle avait annoncé son départ de La Gazette, mais pas dit où elle allait.)
  12. Dans LaPresse+ de samedi : Condos contemporains dans la Petite Italie VALÉRIE VÉZINA COLLABORATION SPÉCIALE NOM DU PROJET Le San Lorenzo OÙ ? À Montréal, à l’angle du boulevard Saint-Laurent et de l’avenue Shamrock, à l’emplacement de l’ancienne succursale postale. C’est à deux coins de rue du marché Jean-Talon. EN TOUT Un ensemble de 42 unités en copropriété, dont au moins 26 ont été vendues, d’après le promoteur, Les Constructions Di Fiore. L’entreprise a construit des résidences pour personnes âgées dans le passé. Une entreprise sœur, Pro-DIFCO, est derrière les Domaines René-Bauset et les Habitations Germaine-Guèvremont, à Ahuntsic-Cartierville. La conception architecturale du San Lorenzo est signée Campanella et Associés, à laquelle on doit l’architecture des Condos Lajeunesse (au 10210, rue Lajeunesse), des Condos du square Beaumont à Mont-Royal et, plus récemment, des phases 1 et 2 du complexe Rouge Condominiums, plus à l’ouest. APERÇU Immeuble en béton avec ascenseur situé en plein cœur de la Petite Italie, dans l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie, à Montréal. Il y aura quatre niveaux hors sol. Des espaces commerciaux occuperont le rez-de-chaussée tandis que les appartements se concentreront aux deuxième, troisième et quatrième niveaux. La plupart des unités disposeront d’un balcon et certaines, d’une terrasse privée et d’un balcon. Le projet est dit « de prestige » : les rendus montrent des cuisines contemporaines deux tons ouvertes sur le séjour ou la salle à manger. À signaler : de grandes fenêtres et des salles de bains comprenant baignoire et douche séparées. Il est aussi possible de disposer d’un rangement en sous-sol. Briques, pierre et panneaux métalliques habilleront le San Lorenzo. Les garde-corps des balcons seront-ils en verre ? La petite cour intérieure entre les trois ailes de l’immeuble sera-t-elle paysagée ? Autant de questions en suspens pour l’instant. POUR QUI ? Les banlieusards attirés par le mode de vie offert dans la Petite Italie, notamment diverses possibilités pour s’alimenter au marché et au resto ; des résidants du quartier qui veulent déménager dans un immeuble en béton ou neuf ; les professionnels habitant seuls ; des Montréalais d’autres secteurs de la ville qui voudraient se rapprocher du marché Jean-Talon. COMBIEN ? À partir de 235 000 $, une chambre (702 pi2). À partir de 305 000 $, deux chambres (838 pi2). À partir de 455 000 $, trois chambres (1198 pi2). À partir de 385 000 $, appartement combinant mezzanine et terrasse privée sur le toit (1009 pi2). Taxes et électroménagers en sus. Garantie APCHQ comprise. En option : espace(s) dans le parc de stationnement souterrain à deux niveaux projeté. Le promoteur prévoit y aménager 54 espaces pour véhicules motorisés ainsi que des emplacements réservés aux vélos. Charges mensuelles de copropriété : de 18 à 22 cents le pied carré, sujettes à changement. CONSTRUCTION Elle doit débuter en mai 2014. Les premiers propriétaires pourraient emménager à l’été 2015 si l’échéancier ne change pas d’ici là. DANS LE VOISINAGE Le marché Jean-Talon et plusieurs commerces : cafés, épiceries, restaurants, boutiques indépendantes. Les parcs Dante, de la Petite-Italie et Jarry. Le métro De Castelnau se trouve à plus ou moins 300 m et il y a des stations d’autopartage et de BIXI.
  13. Au sujet du Séville phase 2 dans LaPresse+ du samedi : Condos ou gîtes DES LOCATAIRES DÉRANGEANTS ALLISON LAMPERT LA PRESSE L’été dernier, Alexander Vesey s’est inquiété de la présence de locataires à court terme dans son immeuble à condos du centre-ville, quand l’ambiance nocturne aux terrasses s’est mise à ressembler à celle d’un bar. Un va-et-vient constant, des fêtes délirantes autour de la piscine jusqu’à 4 h du matin, des copropriétaires qui se font réveiller par des cris de fêtards. Le verre a fini par déborder. « C’était incontrôlable », se rappelle M. Vesey, membre du conseil d’administration du syndicat des copropriétaires du Séville phase 2. Il a dû engager un agent de sécurité pour maintenir l’ordre dans les lieux communs de l’immeuble, situé dans le quartier du village Shaughnessy, au centre-ville de Montréal. « Nous avons dû réagir rapidement, établir des règles de conduite, installer des affiches et engager des agents de sécurité », explique-t-il. Construit sur le site de l’ancien cinéma Séville, le projet de 477 appartements en 3 phases est vendu à 100 %. Plus du quart des acheteurs sont en fait des investisseurs qui louent leur logement, un phénomène qui gagne en importance dans le marché de la copropriété à Montréal. « DIFFICILE À CONTRÔLER » M. Vesey, lui-même investisseur, a acheté deux condos dans le Séville à des fins locatives, mais toujours pour une période d’au moins un an. Il est d’ailleurs interdit de signer un bail pour moins d’un an au Séville, mais certains copropriétaires le font quand même, déplore-t-il. « C’est difficile à contrôler. Les propriétaires qui louent à court terme ne nous le font pas savoir. Mais on sait que ça existe. Les gens se plaignent du non-respect de la qualité de vie par des locataires à court terme. » — Alexander Vesey « Nous croisons de nouveaux visages régulièrement. C’est difficile pour les gens de reconnaître qui a le droit d’être là », dit M. Vesey. La location à court terme demeure problématique, car ces locataires sont moins enclins à respecter les règlements de l’immeuble, explique Robert Libman, gestionnaire du Séville et ancien maire de l’arrondissement de Côte-Saint-Luc. Lors de son assemblée annuelle générale, tenue au début du mois de mai, le syndicat des copropriétaires a décidé de mettre fin à l’ambiance « terrasse de bar » en engageant un « videur » pour la période estivale. Les copropriétaires ont embauché un agent de sécurité additionnel qui travaillera au Séville de la mi-juin à la mi-septembre. « On aura un agent de sécurité 24 heures sur 24 dans le hall et un agent mobile qui se promènera sur les terrasses, dit M. Vesey. Nous trouvions que c’était nécessaire. »
  14. Photo dans LaPresse+ de samedi [ATTACH]15574[/ATTACH]
  15. Photo prise le 8 mai Les fenêtres de la partie ressortie ont aussi un cadrage blanc. Les murs extérieurs du 17e étage sont en train d'être montés
  16. via le journal Les Affaires : Immobilier: les ventes reculent pour un cinquième mois de suite à Montréal Publié le 07/05/2014 à 07:39 PAR YANNICK CLÉROUIN Moins d’acheteurs et beaucoup plus de vendeurs. Le marché immobilier montréalais a continué de subir un net ralentissement en avril, au cours d’un trimestre habituellement faste pour les achats et ventes de maisons. Le nombre de propriétés vendues dans la grande région métropolitaine en avril a fléchi de 9% par rapport à avril 2013, signale mercredi la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Il s’agit d’un cinquième recul mensuel consécutif des ventes. Au total, 4184 propriétés ont changé de mains au cours du dernier mois recensé par la Chambre. Les trois catégories de propriétés ont subi des baisses similaires. Les ventes d’unifamiliales ont fléchi de 8%, tout comme celles des plex. Les ventes de copropriétés ont pour leur part reculé de 9%. Sur le plan géographique, c’est dans la région de la Rive-Nord que la chute a été la plus prononcée: il y a eu 10% moins de ventes en avril 2014 par rapport au même mois de 2013. Sur l’île de Montréal, le recul a été de 9%, tandis qu’il a été de 8% sur la Rive-Sud et de 6% à Laval. Le marché est toujours plus vendeur. Le nombre de propriétés à vendre est en hausse depuis 44 mois consécutifs. Au 30 avril, la Chambre dénombrait 35 904 inscriptions en vigueur au système Centris, une hausse de 9 % par rapport à la même période l'an dernier. «Étant donné l'augmentation du nombre d'inscriptions et la baisse des ventes depuis quelques mois, les acheteurs regagnent du pouvoir de négociation, en particulier s'ils magasinent une copropriété, dont les conditions de marché sont clairement à l'avantage des acheteurs dans la majorité des secteurs », souligne dans un communiqué Patrick Juanéda, président du conseil d'administration de la CIGM. Les prix résistent... pour le moment Le prix médian des propriétés, à l'échelle de la région métropolitaine, a enregistré une hausse de 1 %, tant pour l'unifamiliale (282 000 $), que pour la copropriété (225 000 $) et le plex (429 000 $), indique la Chambre immobilière. Le prix médian a même progressé de 4 % pour les maisons unifamiliales sur la Rive-Sud. Les délais de vente moyens ont augmenté de 9 jours pour l'unifamiliale (91 jours) et de 15 jours (113 jours) pour la copropriété. Les plex ont pour leur part trouvé preneur en 78 jours en moyenne. C’est 9 jours de moins qu'en avril 2013.
  17. Billet de Jacques Vincent dans le blogue de Prével : La santé du marché immobilier à Montréal Une réflexion sur la situation du marché immobilier en 2014. PAR PRÉVEL 06 MAI 2014 En 35 ans d’expérience en tant que promoteur, j’en suis arrivé à la conclusion que le succès du marché immobilier repose sur trois facteurs : les taux d’intérêt, la démographie et le niveau de confiance des consommateurs. Tout d’abord, les taux d’intérêt actuels sont très favorables pour les acheteurs (à titre d’exemple, le taux de la Banque de Montréal pour un prêt de 5 ans est de 2,99 %) et on ne prévoit pas de hausse pour l’instant. En second lieu, en matière de démographie, on compte une augmentation annuelle de près de 30 000 résidents à Montréal. En effet, environ 40 000 immigrants arrivent à Montréal chaque année et l’écart positif entre les naissances et les décès est d’approximativement 9 000. À l’opposé, on note une migration vers les banlieues d’environ 15 000 personnes par année et une autre vers d’autres provinces autour de 5 000. Les immigrants s’installent principalement à Montréal, ce qui exerce une certaine pression sur le marché immobilier résidentiel d’autant plus que la construction d’immeubles locatifs n’est pas en progression. Montréal continuera d’attirer les immigrants à cause de sa structure orientée vers la nouvelle économie : l’aérospatiale, les technologies et les communications. Le niveau de confiance des consommateurs se traduit actuellement par une interrogation sur la stabilité du marché compte tenu de la grande offre de condos. Il faut se rappeler que c’est le surplus d’inventaire qui met la pression sur les prix et non le surplus d’offre. Prenons l’exemple de Griffintown qui est souvent cité dans les médias. Selon un rapport d’Altus, au 31 décembre 2013, il y avait seulement 59 condos en inventaire, c’est-à-dire construits et invendus, ce qui est très faible. Sur les 1 058 unités en construction, 430 étaient invendues, ce qui s’accorde avec le fait que les banques exigent entre 60 et 65 % de ventes avant de pouvoir débuter la construction, qui s’effectue dans un délai de 18 à 24 mois, présageant ainsi un niveau d’inventaire très faible à la fin. Il ne faut pas considérer ces unités invendues comme de l’inventaire tant que le projet n’est pas livré. Par exemple, dans notre projet du Lowney sur Ville, la phase 1, qui compte 199 unités, est vendue à 86 %. La livraison débutant seulement en novembre, nous sommes très confiants qu’il y aura peu ou pas d’unités en inventaire dans 6 mois. Par ailleurs, dans un récent rapport, le Conférence Board du Canada a exclus toute menace de bulle immobilière. Nous sommes optimistes que le niveau de confiance des consommateurs reprendra de la vigueur au cours de l’année 2014. En plus de la satisfaction d’y habiter, l’achat d’un condo représente pour un propriétaire occupant une large part de son patrimoine. En 1978, je vendais mes premières maisons semi-détachées à 32 900 $. Imaginez le prix aujourd’hui… Jacques Vincent
  18. Selon le PPU Griffintown, le parc serait au nord d'Ottawa.
  19. La dimension de mon balcon est de 41 pi X 5 pi 41 pi c'est la largeur de l'unité
  20. Entre le M9 et le 111 Duke, il n'y a vraiment pas bcp d'espace. J'ai travaillé dans d'autres tours à bureaux dans le centre ville et les édifices voisins n'ont jamais été aussi proches. La rue Wellington n'est vraiment pas large.. Disons que la première fois que j'ai vu la structure par les fenêtres, c'était frappant La rue Beaver Hall entre la tour Banque Nationale et l'Altoria est quand même 2 fois plus large que Wellington. De plus, la tour BNC n'est pas collée sur le tottoir. Les architectes du M9 auraient pu faire l'édifice un peu plus en retrait... mais j'imagine que c'est pour maximiser le nombre d'unités que c'est fait comme ça. Pour les gens qui ne connaissent pas le coin, cette image du projet est vraiment trompeur. On n'y voit pas l'édifice voisin... ça donne plutôt l'impression qu'il n'y a aucun bâtiment l'autre côté de la rue.
  21. L'espace que les camions occupaient l'an dernier près de la Place des festivals est pris par les roulottes des entrepreneurs du Wilder...
  22. C'est encore drôle... les mises en production des systèmes bancaires se font les fins de semaine ou durant la nuit pour minimiser les impacts sur les clients J'imagine que ça doit être semblable pour SAP et Resolu qui occupent aussi l'édifice. Telus y a aussi des bureaux. J'ai des rencontres/ateliers de travail au 111 Duke quasiment à toutes les semaines d'ici fin juin. Je prendrai d'autres photos si le revêtement est installé d'ici là.
  23. Une carte des emplacements avec regroupements de plusieurs camions, pas à la Place des festivals cette année https://mapsengine.google.com/map/embed?mid=zS7jYr50zfM0.koQ5Jz6YuDpk&pli=1
×
×
  • Créer...