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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. J'irai faire un tour sur mon heure de lunch mercredi ou vendredi si je ne suis pas trop prise avec une tonne de réunions
  2. J'ai trouvé une description du Kynégraf datant de 2012 : La fontaine produit du brouillard?!?
  3. J'ai regardé l'expo de la mezzanine aujourd'hui puisque que ce n'est pas encore ouvert au public. Il y avait bcp de maquettes.
  4. Olivier Dufour a fait un autre projet semblable dans un restaurant à Québec : http://dufour.tv/portfolio?project=la_chose
  5. Pourtant ça avait l'air bien quand des tests ont été faits en 2012 :
  6. J'ai finalement compris pourquoi j'avais l'impression que le Complexe Desjardins semblait « vide » depuis 2 semaines les gouttes d'eau du Kynégraf ont été enlevées!!
  7. Un autre + à ce projet : un autre stationnement extérieur qui disparaît
  8. Dans notre intranet : Activité biennale! C'est pour ça qu'il n'y avait pas cette expo l'an dernier.
  9. Dans le journal métro ce matin : 16/04/2014 Mise à jour: 16 avril 2014 | 17:25 Le projet Point Vert: verdure en ville Par Geneviève Vézina-Montplaisir Métro Offrir un bel espace vert à ses résidants, c’est ce que le promoteur Devler voulait avec son projet immobilier Point Vert. En optant pour la construction de deux immeubles donnant sur deux rues parallèles, Saint-André et Boyer, dans le quartier Rosemont–La Petite-Patrie, Devler s’est assuré de pouvoir aménager entre les deux une vaste cour intérieure. «Ce sera une belle cour privée avec une fontaine, un potager, et des petits bancs, explique le directeur des ventes, André Lessard. C’était très important pour nous d’avoir de la verdure dans le projet.» On retrouvera également, dans les unités du troisième étage, des terrasses privées doubles dotées d’une section gazonnée, ainsi que d’une section en bois. «Il n’existe pas de terrasse de ce type dans d’autres projets immobiliers à Montréal, assure le directeur des ventes. Les unités des autres étages seront pour leur part toutes pourvues de grands balcons.» Le projet Le Point Vert comptera 23 unités dans l’immeuble donnant sur la rue Saint-André et 12 unités dans celui de la rue Boyer: un total de 35 unités réparties sur six phases et trois étages. On y retrouvera des 3 et demi, des 4 et demi et des 5 et demi. Tous les 3 et demi seront situés au deuxième étage et bénéficieront de grands balcons avec vue sur le jardin aménagé. Les 4 et demi seront offerts en deux versions: soit en version penthouse avec terrasse privée (dont une partie végétalisée) ou en version cottage avec garage intérieur privé. Les 5 et demi seront offerts en style cottage et comprendront un rez-de-chaussée combiné à un sous-sol ainsi qu’à une cour anglaise extérieure. Leur superficie variera de 534 à 1 308 pi2. C’est à Caroline Beauvais qu’a été confié le design du projet Point Vert. En collaboration avec l’architecte Jean-François Potvin, de la firme Bosses Design, la designer d’intérieur a travaillé aux plans des cuisines et des salles de bain. Elle a également fait le choix des matériaux utilisés: céramique, comptoirs de quartz, planchers de merisier, etc. «J’ai opté pour un look très actuel, des lignes assez sobres, explique Caroline Beauvais. Dans la cuisine, j’ai choisi de mélanger deux couleurs pour les armoires : un fini imitation bois et des portes en stratifié brillantes. Je voulais que ça soit frappant et fonctionnel à la fois. Pour la salle de bain, j’ai décidé de mettre l’accent sur des formes droites. La vasque est au-dessus du comptoir de la vanité, mais seulement à quelques centimètres et forme un beau rectangle. Sa valve est carrée et la douche est rectangulaire.» Plusieurs choix de couleurs seront disponibles pour toutes les finitions. Les acheteurs auront également l’occasion de profiter d’une consultation de deux heures avec la designer afin de créer leur décor de rêve. *** C’est situé ou ? • Sur les rues Saint-André et Boyer, entre Saint-Zotique et Beaubien • À quelques minutes de la station de métro Beaubien • Près des commerces de la Plaza Saint-Hubert • À proximité du marché Jean-Talon Les prix • À partir de 200 000$ et jusqu’à 414 000$, taxes incluses. • Il n’y a pas de stationnement intérieur, mais certaines unités 4 et demi sont dotées d’un garage. Devler.ca
  10. Dans le journal Métro ce matin, entrevue avec Luc Ferrandez à propos de laplace Gérald-Godin : 16/04/2014 Mise à jour: 16 avril 2014 | 19:27 Luc Ferrandez contre vents et marées Par Marc-André Carignan Métro Pour avoir interviewé des dizaines de politiciens ces dernières années, je peux dire que le maire du Plateau est l’un de ceux qui m’interpellent le plus lorsque vient le temps de discuter de design urbain et d’architecture. Pourquoi? Parce que Luc Ferrandez a beaucoup voyagé. Il est allé un peu partout en Europe, notamment en Allemagne et en Scandinavie, et ne s’est pas contenté des attractions touristiques. Il a pris le temps de sortir des sentiers battus et d’observer la conception de certains quartiers, ce qui l’inspire beaucoup lorsque vient le temps de prendre des décisions éclairées pour son arrondissement. Je l’ai constaté une fois de plus lors de la réflexion publique sur le réaménagement de la place Gérald-Godin, qu’il appelle «le cœur du Plateau». Pas question pour lui de se satisfaire du minimum et de faire ce qu’on fait malheureusement trop souvent à Montréal: revitaliser pour revitaliser, sans trop réfléchir à la façon de bonifier l’espace public. «Partout dans le monde, les villes se réinventent et s’éclatent dans la créativité, m’explique-t-il. Il n’y a plus de limite. On tente de créer de plus en plus de rencontres citoyennes, d’améliorer la déambulation dans les quartiers, de retenir les gens en ville plutôt que de les voir s’évader à l’extérieur pour le week-end. On peut faire ça, nous aussi, à Montréal.» Pour M. Ferrandez, il est grand temps que la place Gérald-Godin se définisse autrement que comme un simple lieu de passage pour accéder au métro ou pour attendre un ami. Le site doit devenir un lieu de destination où on se rend pour passer du bon temps. «Une place publique attirante offre un moment de poésie, de détente et de plaisir, poursuit-il. Quand les gens font un détour dans leur quotidien pour venir sur une place publique, c’est signe que c’est réussi.» C’est pourquoi il compte évaluer, au cours des prochains mois, toutes les options possibles pour marquer le territoire à l’approche du 375e anniversaire de la métropole. Peut-on prolonger le site sur les rues adjacentes et le piétonniser? Doit-on repenser les circuits d’autobus de la STM autour de l’édicule? Serait-ce une bonne idée d’ajouter de petits commerces éphémères ou un «beer garden» pour attirer les gens? Peut-on faire de l’agriculture urbaine en hauteur ou créer un circuit artistique? Bref, la seule limite, pour le moment, reste notre imagination collective. Et pour tous ceux et celles qui se demandent si les budgets du Plateau permettront réellement de laisser place à l’audace dans l’éventuelle proposition, M. Ferrandez reste confiant. «Argent n’égale pas automatiquement audace. Trouvez-vous que la place des Festivals, qui a coûté plus de 200M$, est audacieuse? […] On va faire des ateliers de coworking et un concours de design pour stimuler la créativité tout au long du processus. On ne peut tout simplement pas se permettre de rater ce projet.»
  11. L'un ou l'autre est 1000 fois mieux que la patente que le proprio actuel va construire
  12. via LaPresse+ Condos au bord de l'eau dans Griffintown DANIELLE BONNEAU LA PRESSE L’offre de condos dans Griffintown s’enrichira demain midi, avec le lancement de la troisième phase des Bassins du Havre. Parallèle au canal de Lachine, l’immeuble Quai 3 Signature comportera 63 appartements en copropriété haut de gamme, qui auront pour la plupart une vue sur l’eau. L’édifice de huit étages a été conçu pour plaire à une clientèle qui s’est précisée depuis la mise en vente de la première phase, en juin 2011. Avertie, souvent engagée dans le processus de vendre une maison devenue trop grande, cette clientèle désire s’installer plus près du centre-ville et recherche des appartements spacieux d’un certain luxe. Résultat : les appartements auront des superficies variant entre 900 et 1900 pi2 et compteront deux ou trois chambres. Aux deux premiers niveaux seront aménagées 14 maisons en rangée avec des terrasses privées, dont 9 feront face au canal. Sept appartements-terrasses auront chacun une terrasse privée sur le toit. « Nous nous distinguons des autres projets dans Griffintown, orientés vers de petits logements d’une chambre », indique Jacques Vincent, coprésident de Prével, qui réalise le complexe conjointement avec Rachel Julien, avec le soutien financier du Fonds immobilier de solidarité FTQ et Claridge. « Nous attirons des gens qui veulent être dans une oasis de tranquillité, près du canal, précise-t-il. Dans la troisième phase, nous améliorons la qualité des finis, de la plomberie et des électroménagers inclus dans les prix. Les appareils seront ainsi de marque Gaggenau, Miele et AEG, ce que nous n’avons jamais offert dans nos autres projets. » Les ascenseurs seront semi-privés, et ne desserviront que deux appartements par étage. Sur le toit, les copropriétaires auront accès à une terrasse commune et à une piscine. Ils pourront aussi profiter de la piscine intérieure et du centre de conditionnement physique situés dans la deuxième phase du complexe. Quai 3 Signature, conçu conjointement par le Groupe IBI|CHBA et Menkès Shooner Dagenais Letourneux, visera la certification écologique LEED, à l’instar des deux premières phases, confirme M. Vincent. Le complexe s’intègre dans les Bassins du Nouveau Havre, un vaste secteur qui change graduellement de vocation sous l’impulsion de la Société immobilière du Canada (SIC), qui a mis la barre très haut afin de mettre en valeur le terrain, dont elle était propriétaire. Le quartier vise la certification écologique LEED ND (Leadership in Energy and Environmental Design for Neighborhood Development) et englobera aussi des logements communautaires, des habitations abordables (Accès Condos) et une zone d’emploi destinée à l’économie sociale et créative. Les prix au Quai 3 Signature: de 390 000 à 950 000 $, taxes en sus Superficies: entre 900 et 1900 pi2 Prix moyen: environ 450 $ le pied carré Espaces de stationnement: 37 500 $ chacun, taxes en sus. Charges mensuelles de copropriété: environ 30 cents le pied carré Prévoir emménager à l’automne 2016 ou à l'hiver 2017
  13. Sur le site de Radio-Canada : http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/04/08/006-laval-tours-commodore-annule-controverse.shtml
  14. J'étais en réunion au 8e étage du 111 Duke cet après-midi, j'en ai profité pour prendre des photos Si je compte bien, le plafond du 20e étage (le dernier!!) est fait... En date du 2014-04-11
  15. La coop est déjà en construction non? Et c'est un autre organisme qui la gère De plus, je crois qu'aucun des projets dans le programme Accès Condos jusqu'à présent n'est sous forme de coop.
  16. Tu parles de quelles taxes? Taxes foncières et scolaires? Elles ne sont pas considérées dans le prix de vente des propriétés; ce sont des dépenses récurrentes. Peu importe ce que tu achètes, tu vas devoir subir leurs augmentations et les payer. Pour la TPS et TVQ, elles n'ont pas augmentés et je crois que les plateaux de prix des propriétés pour obtenir des crédits pour ces deux taxes sont restés les mêmes.
  17. Radio-Canada en a parlé aujourd'hui : L'Université McGill veut acheter l'hôpital Royal Victoria Mise à jour le vendredi 4 avril 2014 à 18 h 00 HAE L'hôpital Royal Victoria (archives) Photo : PC/Graham Hughes L'Université McGill compte acquérir le site qui abrite actuellement l'hôpital Royal Victoria pour en faire « un lieu d'enseignement, de recherche et de rencontre », a annoncé vendredi sa principale et vice-chancelière, Suzanne Fortier. Lors d'un discours prononcé devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Mme Fortier a expliqué qu'elle voulait faire de ce secteur un « carrefour » qui unirait le Québec au monde. Elle a précisé que le site, situé à l'angle de la rue University et de l'avenue des Pins, ferait l'objet d'un « projet de développement urbain et touristique », développé en partenariat avec la communauté montréalaise. Ce projet assurerait la préservation des édifices patrimoniaux, offrira de nouveaux espaces verts, ainsi qu'un nouvel édifice au mont Royal à partir du centre-ville. « McGill a un déficit d'espace reconnu et peu de possibilités d'expansion pour son campus du centre-ville. Le déménagement de l'hôpital Royal Victoria représente une occasion unique que nous devons regarder de près », a déclaré Mme Fortier devant la Chambre de commerce. « Nous n'en sommes qu'aux études préliminaires, mais si les bonnes conditions sont réunies, le projet pourrait être lancé à l'occasion du 375e anniversaire de Montréal et ouvert au public à l'occasion du 200e de McGill en 2021 », a-t-elle ajouté. Le développement du site de l'hôpital Royal Victoria sera rendu possible par le réaménagement de l'institution sur le nouveau site du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Suzanne Fortier dit vouloir faire de l'Université McGill « un meilleur partenaire » pour Montréal, sur les plans du savoir, de la culture, des affaires, et du rayonnement de la ville à l'échelle internationale. L'acquisition des locaux du Royal Victoria pourrait représenter une dépense d'environ 750 millions de dollars, d'où l'intérêt de McGill pour un partenariat avec les instances publiques. L'Université a présenté son projet auprès d'un comité gouvernemental qui examine l'avenir des bâtiments qui seront abandonnés à la suite du réaménagement du CUSM, mais Québec n'a pas encore fourni de réponse sur le sujet.
  18. Sans oublier que les régimes de retraite sont moins généreux pour les nouveaux employés. Les entreprises non syndiquées en profitent pour créer de nouveaux régimes avec bcp moins d'avantages que ceux des gens qui ont 20-25 ans d'ancienneté... comme virer un régime à prestations déterminées à un régime à cotisations déterminées pas que je resterai 20 ans, ni même 10 chez le même employeur... mais ça fait deux classes d'employés
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