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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Je suis allée faire un petit tour au bureau de ventes ce midi sur mon heure de lunch. J'ai fait l'acheteuse intéressée Voici quelques infos recueillies : - Livraison : fin 2015 / début 2016 - Taux vendus : environ 62% - Bureau de ventes va déménager sur Bleury le mois prochain, car ils doivent aussi le raser pour la construction et voici quelques photos en date du 2014-02-26 Il y avait plein de trucs qui sortaient par les fenêtres! J'ai aussi pris les côtés Nord et Ouest de la maquette, car on ne les voit jamais dans les rendus!
  2. Dans la section "Constructeurs+" de LaPresse+ : Walter sur Atwater (65  % vendu) Nombre d’unités  : 105 sur 6 étages Disponibilité  : 2014 Superficie  : de 606 à 1531 pc (1, 2 et 3 cc) Prix  : à partir de 219 000  $ (plus taxes) Caractéristiques  : immeuble en béton, loggia, plancher en bois d’ingénierie ou céramique, 3 électroménagers en inox, plafond à 9 pieds de hauteur (9,6 pieds au 6e étage), des unités ont une paroi de verre entre la chambre et le salon/salle à manger, domotique en option, comptoirs en quartz, climatisation, piscine et terrasse communes sur le toit, terrasses privées pour 7 condos, stationnement intérieur, gym, salle de réception, rangement intérieur et extérieur pour vélos, etc. Emplacement  : 2727, rue Saint-Patrick, à l’entrée sud de la passerelle au-dessus du canal de Lachine qui mène directement au marché Atwater Bureau des ventes : 2985, rue Saint-Patrick, Montréal lundi au jeudi, de 13 h à 19 h samedi et dimanche, de midi à 17 h 514 846-0888
  3. Voilà l'article de LaPresse+ (YUL au bas de la page) : http://plus.lapresse.ca/screens/4d3d-e958-52f3e1d9-894c-08a3ac1c606d%7C_0.html YUL (phase 1, 45  % vendue en 3 mois) Nombre d’unités  : 398 Disponibilité  : 2017 Superficie  : studio, 1, 2, 3 cc, maison de ville, appartement-terrasse Prix  : studio à partir de 149 000  $ (stationnement intérieur compris, + taxes) Caractéristiques  : immense espace commun avec jardin, gym, piscine intérieure, piscine extérieure transformable en patinoire l’hiver ; terrasse et salon au sommet d’une tour ; électroménagers fournis, comptoir en quartz, dosseret vitré, climatisation, planchers d’ingénierie à planches larges, carreaux de céramique, etc. Emplacement  : angle du boulevard René-Lévesque et de la rue Lucien-L’Allier. CENTRE DE PRÉSENTATION YUL 1400, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal 514 903-8989 Lundi à jeudi  : midi à 18 h Vendredi  : fermeture hebdomadaire Samedi et dimanche  : midi à 17 h http://www.destinationyul.com Réplique complète d’un condo et 6 écrans tactiles géants pour consultation et démonstration.
  4. Une section spécial "Constructeurs" dans LaPresse+ aujourd'hui, dont un article sur District Griffin (toutes les phases) Voici un peu d'info sur le % de vendus pour le District Griffin sur le Parc : District Griffin sur le Parc (vendu à 90  %) Unités restantes  : une douzaine sur 114 Disponibilité  : immédiate Superficie  : 631 à 1035 pc Prix  : à partir de 242 000  $ (plus taxes) Caractéristiques  : d’inspiration hôtel boutique, climatisation, planchers en bois d’ingénierie, grande douche vitrée, électroménagers, grande fenestration, armoires en thermoplastique et en stratifié, stationnement intérieur optionnel, balcon. Aires communes avec piscine intérieure, salle d’entrainement et terrasse extérieure. Emplacement  : 185, rue du Séminaire districtgriffin.com
  5. Une section spécial "Constructeurs" dans LaPresse+ aujourd'hui, dont un article sur District Griffin (toutes les phases) Voici un peu d'info sur le % de vendus pour les phases 3 et 4 District Griffin sur Peel (phase 3, vendue à 62  %) Nombre d’unités  : 149 sur 17 étages Disponibilité  : 2015 Superficie  : de 300 à 1362 pc Prix  : à partir de 135 900  $ (plus taxes) Caractéristiques  : plafond en béton apparent, planchers en bois franc d’ingénierie, céramique pour la salle de bain, électroménagers de style européen, loggia ou balcon ou terrasse, climatisation, stationnement intérieur optionnel, vaste terrasse commune sur le toit, piscine sur le toit, chalet urbain, parc à vélo, etc. Emplacement  : 225 rue Peel, angle de la rue Ottawa districtgriffin.com District Griffin sur Peel (phase 4, vendue à 55 %) Nombre d’unités : 163 sur 17 étages Disponibilité : 2015 Superficie : de 350 à 1391 pc Prix : à partir de 168 000 $ (plus taxes) Option GENIUS offerte à partir de 185 000 $ Caractéristiques : modèle exclusif de condo « GENIUS », plafond en béton apparent, planchers en bois franc d’ingénierie, céramique pour la salle de bain, électroménagers de style européen, loggia ou balcon ou terrasse, climatisation, stationnement intérieur optionnel, vaste terrasse commune sur le toit, piscine sur le toit, chalet urbain, parc à vélo, etc. Emplacement : 225 rue Peel, angle de la rue Ottawa districtgriffin.com
  6. To qualify for the city's financial aid : for a single person first time buyer without children, the maximum is 200K for a new built (extras and taxes included) (see http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=9337,112591595&_dad=portal&_schema=PORTAL) Good luck finding something with 2 bedrooms well situated under that price
  7. C'est sûrement un dessin préliminaire Je suis allée voir sur le site des deux firmes d'architecture, elles ont fait de belles choses à Montréal : Atelier Raouf Boutros Aedifica
  8. J'ai pris une capture d'écran avec mon iPad sans le texte.
  9. J'approuve! Des gens ont pris des photos du projet? La construction doit être assez avancée si la livraison est prévue pour octobre 2014
  10. LaPresse a mis cet article sur le site maintenant : Griffintown: l'embarras du choix mais cette image n'y est pas
  11. Le projet va être certifié LEED et le quartier LEED ND (Neighborhood Development) je ne sais pas s'il y a eu d'autres projets LEED à Montréal
  12. Un peu plus d'info dans l'article de Radio-Canada Laval enquête sur le projet de condos du Commodore Le maire de Laval, Marc Demers, poursuit le « ménage » à l'hôtel de ville de Laval. Il annonce une enquête administrative sur le projet Le Commodore, le controversé projet de condos aux abords de la Rivière-des-Pairies. Laval avait décidé de mettre un frein au développement des tours à condominiums de 28 étages en août dernier, après une mobilisation populaire contre le projet. Les résidents craignaient l'augmentation de la congestion routière, la perte d'accès au rivage de la rivière et l'ombre créée sur les résidences par les hautes tours. Les opposants arguaient aussi que la construction des tours allait à l'encontre du plan d'urbanisme de la ville et voulaient savoir si le site se trouvait sur une zone déclarée inondable par Québec. Martine Beaugrand, la mairesse intérimaire de Laval qui avait décidé de ne pas octroyer de permis jusqu'à l'élection, en novembre, avait d'ailleurs reçu une mise en demeure de la part des promoteurs du projet Le Commodore. Ils voulaient la contraindre à expliquer sa décision et les motifs juridiques la justifiant. Après avoir étudié le controversé projet immobilier Commodore, le nouveau maire de Laval Marc Demers estime qu'il est maintenant nécessaire d'instituer une enquête. « Comme plusieurs projets controversés, il a fait l'objet d'un examen préliminaire et à la lumière de cet examen, il est de mise d'instituer une enquête administrative pour s'assurer que tout a été fait, à l'époque, selon nos règles et règlements. » « Le temps que cette enquête administrative se produira, nous allons suspendre l'émission de permis de construction. » — Marc Demers Indemnité de départ Le maire annoncera aussi que la ville retient la prime de 390 000 dollars qu'a attribué Laval Technopole à Pierre Desroches, son ex-pdg, qui a quitté ses fonctions en décembre 2013. En campagne électorale, Marc Demers avait affirmé que les primes de départs pour les élus et les fonctionnaires qui quittent avant la fin de leur mandat, pour des raisons autres que médicales ou humanitaires, allaient être abolies. M. Demers était jusqu'à présent resté silencieux sur le sort de M. Desroches, qui dirigeait l'organisme de développement économique de Laval depuis 2008. M. Demers a également effectué un examen préliminaire de cette décision. À la suite de cet examen, il a demandé au directeur général et président de Laval Technopole, David de Cotis, « de s'assurer que le paiement de cette indemnité de départ - qui est à mon sens très généreuse, même trop [...] - si tout c'était fait selon les règles ». L'avis juridique sollicité dans le dossier a incité le maire de Laval à suspendre le versement de l'indemnité de départ et il entend soumettre l'avis juridique au C.A. de Laval Technopole qui aura à prendre la décision finale dans le dossier. « C'est sûr qu'on s'expose à des critiques, qu'on s'expose à des manœuvres de certains adversaires », a-t-il poursuivi. Mais, « il n'est pas question de se laisser intimider. Nous verrons les réactions après, mais il y a déjà eu [...] des réactions excessives à des gens opposés à ces décisions. « Il n'y a pas de place pour l'improvisation quand on prend ce type de décision-là », a déclaré M. Demers en entrevue à RDI. « Oui, c'est difficile. Il faut être patient, minutieux et prendre les bonnes décisions. Parfois c'est un peu plus long, mais on s'assure que les décisions sont prises sur de bonnes bases juridiques et ne pas prêter flanc aux attaques. »
  13. projet est suspendu!! via LaPresse : Publié le 24 février 2014 à 08h01 | Mis à jour à 08h01 Marc Demers annule deux décisions de Vaillancourt KATHLEEN LÉVESQUE La Presse Le projet de condominiums Commodore, à Laval. ILLUSTRATION FOURNIE PAR ALDO CONSTRUCTION La Ville de Laval sort l'artillerie lourde dans deux dossiers controversés hérités de l'administration Vaillancourt. Le maire Marc Demers annoncera aujourd'hui que le projet immobilier Le Commodore est suspendu le temps d'une enquête administrative et que l'indemnité de départ de 393 000$ à l'ancien PDG de Laval Technopole ne lui sera pas versée. Élue en novembre dernier avec l'engagement de «mettre fin au désordre» à Laval, l'administration Demers a déjà entrepris de faire le ménage à Laval Technopole, son bras économique, du côté de la direction et du conseil d'administration. Elle va maintenant un cran plus loin en retenant la très généreuse indemnité de départ accordée au PDG Pierre Desroches, qui équivaut à 12 semaines de salaire par année de service. La Ville appuie sa décision sur un avis juridique. En décembre dernier, le vice-président du conseil d'administration de Laval Technopole, Me Alexandre Jarry, estimait, quant à lui, qu'il serait «scandaleux» de contester le versement de l'indemnité à M. Desroches en engageant «des procédures juridiques et des fonds publics». Le Commodore chancèle En ce qui concerne le projet immobilier Le Commodore, la Ville a pris en compte le témoignage de l'ancien directeur général adjoint, Jean Roberge, devant la commission Charbonneau. Selon M. Roberge, il y a eu des pressions politiques dans ce dossier. Dans une première étape, le promoteur, Aldo Coviello, a fait appel à l'ancien directeur général de la Ville, Claude Asselin, pour mener le dossier auprès des fonctionnaires. Voyant que les choses ne bougeaient pas suffisamment vite, M. Asselin aurait contacté le maire Gilles Vaillancourt qui est intervenu pour débloquer le dossier, a relaté M. Roberge. En déclenchant une enquête, la Ville souhaite faire la lumière sur les circonstances qui ont permis la modification de zonage pour Le Commodore. L'enquête sera menée par une firme externe. Ce projet qui consiste à construire deux tours de quelque 28 étages dans un quartier où abondent les bungalows et les maisons à deux étages a soulevé la grogne dans la population. Un mouvement citoyen, «Pas de tours dans ma cour», s'est mis en place pour le contester.
  14. Bon article! merci c'est ça que les Français qui veulent venir ici doivent retenir :
  15. Très intéressant billet sur l'évolution des autobus de Montréal via Mtl blog : The Evolution Of Montreal’s Buses J'aimais ceux des années 1980, les fenêtres s'ouvraient bcp plus et les sièges étaient bien rembourrés [ATTACH=CONFIG]14158[/ATTACH]
  16. via LaPresse+ AU CŒUR DE LA MÉTROPOLE DANIELLE BONNEAU LA PRESSE NOM DU PROJET Le Metropol OÙ À l’intersection de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque, en face de l’hôpital Saint-Luc et du futur CHUM. EN TOUT Un projet de 199 condos dans un immeuble de 15 étages dont la construction est presque terminée. Les copropriétaires emménagent graduellement. APERÇU Le Metropol a été construit à la place de l’édifice centenaire qui a abrité tour à tour Desjardins Fourrures, le Vieux Munich, puis le Medley. À cet endroit stratégique, Samcon a bâti son édifice le plus haut jusqu’à présent. Pour ce faire, il a notamment fait appel à l’agence IBI|MMB. Dans un milieu urbain où les coûts des terrains et de la construction sont élevés, la plupart des appartements comptent une seule chambre afin de garder les prix le plus accessibles possible. Dans un tel contexte, les espaces communs deviennent le prolongement des condos. Sur le toit, les copropriétaires ont déjà accès à un vaste salon entièrement vitré doté d’un foyer au gaz, avec une vue dégagée sur les environs. Ils peuvent aussi garder la forme dans une salle d’entraînement, elle aussi vitrée. À l’extérieur, toujours sur le toit, une piscine, un espace pour le barbecue et un coin détente avec un foyer seront aménagés au printemps. Le stationnement souterrain, quant à lui, est réparti sur quatre niveaux. Une pharmacie occupera sous peu le rez-de-chaussée. POUR QUI Une clientèle diversifiée, assez jeune (une trentaine d’années), qui achète surtout son condo pour l’habiter. COMBIEN (prix des 70 condos toujours à vendre) À partir de 249 900 $*, 1 chambre, 625 pi2. À partir de 349 900 $*, 2 chambres, 800 pi2. * Taxes et six électroménagers inclus. Charges mensuelles de copropriété : environ 25 cents le pied carré (eau chaude incluse, grâce à un système de distribution d’eau chaude central). Stationnement souterrain : 49 900 $ (taxes en sus) DANS LE VOISINAGE L’hôpital Saint-Luc et le futur CHUM, l’UQAM, le Quartier des spectacles, les stations de métro Berri-UQAM et Champ-de-Mars, le Quartier chinois, ainsi que les restaurants et les bars des rues Sainte-Catherine et Saint-Denis. ON AIME L’arrivée d’une nouvelle population dans le Quartier latin devrait contribuer à sa revitalisation. ON AIME MOINS L’édifice s’élève à une intersection fort fréquentée. C’est l’envers de la médaille. SITE WEB http://samcon.ca
  17. Par contre certains Français ont sûrement encore ces idées du Québec véhiculées par ce "superbe" reportage de TF1 http://videos.tf1.fr/jt-13h/2013/au-coeur-de-l-hiver-quebecois-8337519.html
  18. Après avoir regardé sur la feuille avec mes choix, ce n'est pas 4100, mais 4900$ pour la climatiseur "mini split"
  19. Ça travaillait fort hier sur le chantier! via Les Affaires Grosse opération bétonnage à la Tour des Canadiens Publié le 20/02/2014 à 15:27 PAR HUGO JONCAS Grosse opération de bétonnage à côté du Centre Bell. Au centre-ville de Montréal, plus d’une centaine de bétonneuses font la file depuis six heures du matin au chantier de la Tour des Canadiens, le grand projet de copropriétés de Cadillac-Fairview, Canderel et le Fonds de solidarité FTQ. «On fait la coulée de béton pour les fondations du gratte-ciel, dit Olivier Cartier, gérant de projet pour l’entrepreneur général Les Constructions Reliance, chargé de l’érection de la tour. C’est le noyau de la bâtisse, la masse qui va la tenir.» Au total, 1000 mètres cubes de béton doit être injecté au pied du gratte-ciel. L’opération devrait s’étirer jusqu’à 19h, voire 20h, dit-il. En chantier jusqu’à l’été 2016 Le responsable du chantier précise que les travaux à la Tour des Canadiens se poursuivra jusqu’à l’été ou l’automne 2016. Au plus fort des travaux, en début d’année 2016, pas moins de 500 travailleurs seront à pied d’œuvre. Les promoteurs font construire dans le gratte-ciel 552 unités sur 50 étages. La tour fera 167 mètres. Le consortium investit 230 M$ dans le chantier.
  20. En effet, du sacarsme, c'est comme ça que je le vois... Ce qu'il écrit encourage plutôt les gens à venir. On n'a qu'à lire les commentaires laissés suite à son article Anyway, on ne veut pas de Français qui n'aiment pas notre gentillesse! Edit : L'auteur vit à Vancouver depuis 2009... http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Sagalovitsch
  21. Via le journal Les Affaires Lettre à Michel Labrecque, nouveau patron de la RIO Publié le 19/02/2014 à 13:18 Blogue de Travers Dans ce blogue il y a quelques semaines, nous avions suggéré à Pauline Marois d’embaucher Michel Labrecque à la tête de la RIO. Nos voeux ont été exaucés. Monsieur Labrecque, vous savez que le plus dur reste à faire. Pour avoir communiqué avec vous, je sais que vous avez hésité. Ce n’est pas une mince tâche que de faire bouger ce «pachyderme». Le substantif est de vous... Espérons que vous aurez les moyens et la latitude de vous entourer de gens compétents, imaginatifs, créatifs. Ce chantier – car il s’agit vraiment de bâtir une réalité nouvelle – exigera de la vision, pas seulement des talents de comptable et d’administrateur. Et de la vision, vous en avez eu jusqu’ici. Ce chantier sera à plusieurs niveaux: • À celui des équipements proprement dits. Que faire du stade? Le rapport final du comité-conseil Bissonnette (remis le 12 décembre 2012, il y a déjà plus d’un an...) a été clair: s’il veut répondre aux attentes des Montréalais, le lieu devra connaître une «cure de rajeunissement», «faire peau neuve»: toit rétractable, nouveaux équipements, un parc «vert à 100%, un musée des sports. Le tout pour 2027. D’autres voix clament qu’il faut démolir cet «éléphant blanc» qui a «coûté trop cher». Pour trancher, votre équipe et vous devrez dire ce que vous entendez faire (comment, selon quel échéancier et à quels coûts) du mât et de ses nombreux étages vides, du funiculaire et du sommet de la tour, sans compter tout ce qui occupe ce quadrilatère de 55 hectares. Le groupe français Altiplano vient tout juste d’annoncer qu’il ouvrira dès l’été prochain un Parc acrobatique urbain (sic) sur l’esplanade au pied de la tour, esplanade qui accueille de plus en plus d’événements. Comment un tel équipement s’intégrera-t-il dans l’ensemble? • À celui du milieu immédiat. À la fin du 19e siècle, quand les frères Oscar et Marius Dufresne ont imaginé leur ville de Maisonneuve, ils voulaient en faire une cité modèle, équilibrée dans ses fonctions. Rappelons que ce projet comprenait, entre autres, l’aménagement d’un jardin botanique et d’espaces verts, d’un golf, de terrains de sport, d’amphithéâtres. La guerre de 14-18 et une crise du logement liée à un effondrement du marché immobilier ont mis la ville de Maisonneuve dans un tel embarras financier qu’elle a dû demander son annexion à Montréal en 1918. Fin du rêve. Par la suite, ce quartier a connu une évolution largement dictée par les impératifs de Montréal dont le centre économique et politique vibrait beaucoup à l’ouest. Un Parc Olympique renouvelé dans sa vision pourrait renouer avec le rêve des frères Dufresne. S’identifier à Maisonneuve. Et ne plus être un machin-truc de béton étranger à son milieu d’accueil. Ce n’est pas une utopie; c’est possible. • À celui de l’agglomération montréalaise. Une ville n’existe pas qu’en une seule portion de son territoire. On a fait du Parc Olympique un machin-truc trop loin du centre, incapable d’attirer en grand nombre tant les Montréalais que les visiteurs de l’extérieur. Pourtant, quand les Expos étaient une bonne équipe, il y avait du monde, beaucoup de monde au stade. On disait même que le «fun est dans l’stade». Aujourd’hui, des promoteurs et leurs alliés proposent de ramener le baseball à Montréal. Dans un autre stade construit expressément à cette fin, bien sûr. Avec la même logique qui a fait fermer l’aéroport de Mirabel. Ça se peut-tu! Au secours! Et, pendant ce temps-là, personne ne se demande comment relier mieux et de façon plus organique ce lieu unique avec le centre-ville et les autres parties de l’agglomération. Comment établir des liens non seulement physiques mais mentaux avec lui. La tour inclinée et l’ovale du stade procurent à Montréal une signature originale, bien à elle. Pas un machin-truc à jeter aux orties. À Rio, on ne s’interroge pas sur l’utilité du Corcovado; idem à Paris dans le cas de la tour Eiffel. Montréal a été et reste une ville olympique. Ce n’est pas le cas de toutes les villes de la planète. Il y a un héritage à dynamiser et à valoriser pour le mieux être de tout le monde. • À celui du Québec tout entier. Les installations olympiques n’appartiennent pas qu’aux Montréalais. Quelle place, par exemple, tiennent-elles, dans la promotion du Québec? On l’aura saisi, les installations olympiques ne sont pas que des équipements sportifs, que des structures de béton qui se déglinguent. Ils constituent un ensemble quatre-saisons multi-fonctionnel qui est aussi un lieu chargé de signification culturelle. Et identitaire. Ce ne sera pas facile. Il vous faudra, Monsieur Labrecque, de solide idées, des arguments, de la force de persuasion. De la pugnacité, de la ténacité. Allez! monsieur Labrecque, osez! Faites du think tank, conviez les gens à faire du remue-méninges avec vous. Consultez Roger Taillibert, il a sûrement des choses à dire. Aidez-nous à ne pas être frileux. À croire en ce monument.
  22. Tombée sur cet article via le blogue de Gary Lawrence du journal L'actualité Appel à la jeunesse de France désireuse de s’installer au Canada Cette année, ils sont près de 50 000 français grincheux à oser se présenter sur la ligne de départ. 50 000 maudits français, âgés entre 18 et 35 ans, qui n’aspirent qu’à une seule chose : décrocher leur fichu PVT (Permis Vacances Travail) pour découvrir les charmes surcotés de ce Canada de pacotille, poser les premières pierres de ce qui constituera pour nombre d’entre eux la grande aventure d’une émigration qui s’achèvera quelques mois plus tard dans les larmes et le sang. L’adieu à la France, la fin du cauchemar, l’au-revoir parfois définitif à cette terre nourricière dont, confis d’ingratitude, repus d’égoïsme anti-patriotique, ils ne veulent plus entendre parler, pauvre petits pioupious fatigués de vivre dans la désespérance d’une nation qui, pétrie d’immobilisme, figée dans de vieux schémas séculaires, creuse sa tombe et n’attend plus que le coup de grâce pour basculer dedans. 50 000 enfants gâtés qui ne calculent pas leur chance de vivre dans un pays où le Doliprane est presque gratuit, où un état providence les chouchoute et les câline avec la même attention qu’une mère nourricière vis-à-vis de sa tripotée de moutards, où ils ont la possibilité de se loger dans un vingt mètres carrés somptuaire en déboursant à peine moins d’un millier d’euros par mois. Sauf qu’au final, ils ne seront que 6750 à décrocher ce précieux sésame. Les autres seront obligés de retourner à la mine. Franchement, je ne comprends pas bien cet engouement pour le Canada. Ces jeunes gens prétendument las de vivre dans un pays à l’horizon embouché ont-ils seulement conscience qu’ils s’apprêtent à poser le pied dans une contrée où les gens sont heureux de vivre ? Comprennent-ils réellement le sens de cette horrible assertion ? Se rendent-ils compte ce que cela peut signifier de se retrouver ainsi parachuté au sein d’une population versée dans un optimisme béat, perdu au milieu d’une faune d’énergumènes qui ne savent que sourire et passent leur temps à se dire bonjour ou à s’échanger des sourires complaisants ? De vrais culs-terreux qui prennent la peine de remercier le chauffeur de bus d’avoir stoppé leur engin à l’arrêt prévu, qui ne cessent d’afficher en toutes circonstances une affabilité extrême, toujours prompts à défendre la veuve et l’orphelin, jamais fichus de grommeler leur insatisfaction atavique ou de montrer le début d’un soupçon de mécontentement en éructant une palanquée d’injures ? Imagine-t-on un seul instant le choc culturel que cela peut représenter ? Sans oublier l’implacable flexibilité du monde du travail, la retorse capacité des employeurs à vous juger non pas sur la liste de vos prétendues qualités affichées sur votre CV mais bien plus sur vos réelles aptitudes à accomplir le travail demandé, cette outrecuidance insupportable à vous accepter tels que vous êtes, noirs, arabes, auvergnats sans jamais se soucier de vos origines. Le Canada n’est pas le paradis qu’il prétend être. Il faut débourser des sommes folles pour déguster un ersatz de fromage, être prêt à se farcir des baguettes de pain aussi appétissantes que des sushis polonais, déguster des vins aussi gouleyants à boire que des citronnades norvégiennes, s’empiffrer de burgers indigestes ou de poutines écœurantes. Etre dérangé au restaurant toutes les deux minutes par l’intervention inopinée d’une serveuse vous harcelant de demandes intempestives et incongrues ” Ca vous plaît ? “, “ La cuisson vous convient ? ”, ” Besoin de rien d’autre ? “ quand elle ne vient pas vous remplir à ras bord votre verre d’eau tout en vous adressant un grand sourire enjôleur. Etre confronté à une administration des plus sadiques qui écoute vos récriminations sans jamais s’emporter ou élever la voix, devoir se frotter à des entreprises de service public qui comprennent vos attentes et se mettent en quatre pour les satisfaire, être contraint de marmonner un “ très bien, merci ” à votre caissière de supermarché qui ne manque jamais une occasion de vous demander ”comment se passe votre journée jusqu’à présent” ? Un véritable voyage au bout d’un enfer climatisé placé sous le sceau de la tranquillité de vivre. Une plongée radicale au cœur d’une société émolliente à souhait où les enfants sont heureux d’aller à l’école, où l’on pratique le bénévolat animé de la seule volonté de contribuer à rendre la vie meilleure, où l’on ne cesse de promouvoir le respect de chacun, de ses traditions, de ses coutumes, de son mode de vie, afin de vivre ensemble dans la concorde et l’harmonie. Vouloir émigrer de France au Canada, c’est comme désirer d’échanger son valeureux pitbull contre un indolent Saint-Bernard. C’est renoncer à exister en s’opposant. C’est consentir à penser que finalement l’homme est bon par essence. Une horreur existentielle. Jeunesse de France, ne pensez pas que l’herbe est plus verte au Canada que dans l’hexagone. Elle est juste mieux entretenue.
  23. Un mur végétal! Je ne l'avais pas remarqué dans les premiers dessins
  24. C'est l'organisme Bâtir son quartier (http://www.batirsonquartier.com/) qui s'occupe de la coop. La coop était listée dans les projets en construction du dossier de LaPresse+ sur Griffintown : Ils ont aussi la Coop Griffin (Murray et Wellington) et la Coop Tiohtiake (rue des Seigneurs)
  25. J'ai lu dans un autre article que c'était saisonnier. Du moins que les emplois étaient saisonniers. L'article ne précisait pas si les installations étaient permanentes. En même temps, une autre question se pose, où vont aller les camions de bouffe? Photo de l'Esplanade durant la Coupe Rogers au Tennis avec les camions : Maquette fournie par Altiplano : Selon la maquette, les installations seraient juste dans la partie + petite.
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