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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Alors, super ça annonce des trucs sans même y réfléchir avant.... *rolleyes*
  2. Ça ne dit pas ce qu'ils vont faire avec l'édifice sur Saint-Jacques via LaPresse : Publié le 11 février 2014 à 06h39 | Mis à jour à 06h39 Le Groupe financier TD déménage à l'édifice CGI ANDRÉ DUBUC La Presse La Banque TD (T.TD) quittera la rue Saint-Jacques à la fin de 2014, mettant fin à une présence ininterrompue de 154 ans sur l'artère qui a longtemps symbolisé le coeur financier du Canada. L'institution financière, qui connaît une expansion de son volume d'affaires dans la province depuis 10 ans, déménage son bureau régional pour le Québec à l'édifice CGI, dans la Cité du commerce électronique, dans le secteur ouest du centre-ville de Montréal, boulevard René-Lévesque Ouest. «Étant donné notre expansion, on n'a plus de place ici. On est obligés de s'en aller», a dit Christine Marchildon, première vice-présidente, réseau de succursales, du Groupe Banque TD, au sujet de l'emplacement actuel, au 500, rue Saint-Jacques. Environ 450 employés déménageront au 1350, boulevard René-Lévesque Ouest, où ils occuperont près de 100 000 pieds carrés, soit quatre étages au complet. Synergies «Le fait de se regrouper va créer des synergies entre les lignes d'affaires, a-t-elle poursuivi. C'est beaucoup plus facile de travailler ensemble et d'analyser les stratégies qui vont nous permettre de gagner dans le marché quand on est physiquement les uns avec les autres.» Mme Marchildon, qui porte aussi le titre de présidente, direction Québec, de la banque, a accordé une entrevue à La Presse Affaires la semaine dernière. L'institution financière poursuit la stratégie «Une seule TD» dont l'objectif est de regrouper ses différentes gammes de services sous un chapeau commun afin de gagner des parts de marché en allant chercher la meilleure portion possible du portefeuille de ses clients. Les services visés sont les services de détail, la gestion de patrimoine (aussi connue sous le nom TD Waterhouse) et les services aux entreprises. Au rez-de-chaussée de l'édifice CGI, TD Canada Trust ouvrira une succursale. Le groupe financier, qui emploie quelque 5000 personnes au Québec, ne délaisse pas sa clientèle du Vieux-Montréal pour autant, puisque la succursale de la rue Saint-Jacques, au coin de McGill, déménagera de trois pâtés de maisons plus au nord, au rez-de-chaussée de la tour Aimia, qui est actuellement en construction au coin de Viger et Beaver Hall. «La succursale est beaucoup trop grande pour nos besoins. C'était la succursale principale. On a pris la décision de déménager cette succursale», a expliqué la première dirigeante de la TD au Québec. Loyers plus abordables De leur côté, les 800 employés travaillant au sein des services administratifs s'en vont d'ici la fin de l'année au 7250, rue du Mile-End, dans le quartier Villeray, entre les stations de métro De Castelnau et Parc. Ils loueront 103 000 pieds carrés, répartis sur trois étages. Il s'agit entre autres des équipes des services téléphoniques bancaires et des services de crédit. Dans cette portion de la ville, où abondent d'anciennes manufactures converties en immeubles de bureaux, les loyers sont plus abordables qu'au centre-ville. La Banque Laurentienne fut l'une des premières à agir en ce sens quand elle a déménagé ses services administratifs un peu plus au nord, au 555, Chabanel, au début des années 2000. À noter que TD Assurance, aussi connu sous le nom de Meloche Monnex, reste dans ses bureaux du boulevard Crémazie, le long de l'autoroute Métropolitaine. ------------------- Groupe Banque TD au Québec > 5000 employés > 124 succursales > 6 centres bancaires commerciaux > Présentateur officiel du Festival international de jazz jusqu'en 2019 © 2014 La Presse inc., une filiale de Gesca. Tous droits réservés.
  3. via le journal Métro 10/02/2014 Mise à jour: 10 février 2014 | 19:42 Métamorphose en vue à l’Insectarium, au Biodôme et au Jardin botanique Le concours international d’architecture qui donnera un nouveau visage au Biodôme, à l’Insectarium et au Jardin botanique a été lancé lundi matin par le ministre responsable de la région de Montréal, Jean-François Lisée. Au total, un budget de 45M$ a été alloué par Québec pour la réalisation de trois projets de design qui consistent à agrandir l’Insectarium, réaménager le Biodôme et doter le Jardin botanique d’un pavillon de verre. «Tout cela sera réalisé à temps pour le 375e anniversaire de Montréal. L’année 2017 est l’occasion parfaite d’augmenter notre rayonnement international», a déclaré le ministre Lisée. «Bientôt, 70% de la population mondiale vivra en milieu urbain. Il est urgent de se réinventer, de proposer de nouvelles façons de se rapprocher de la nature tout en habitant en ville.» -Charles-Mathieu Brunelle, directeur général d'Espace pour la vie Espace pour la vie, qui est le nom du complexe regroupant le Biodôme, l’Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium, est un attrait touristique qui ne cesse de gagner en popularité, a affirmé le directeur général Charles-Mathieu Brunelle. Selon lui, les projets de design qui seront déployés grâce au concours permettront d’augmenter le nombre de visites drastiquement. À l’heure actuelle, 26% des touristes qui viennent à Montréal visitent l’une de ces infrastructures. «On peut clairement aller chercher une notoriété encore plus grande, auprès des Québécois et auprès des touristes venant de l’étranger», a-t-il souligné. M. Brunelle a précisé que les firmes d’architecture intéressées peuvent dès maintenant soumettre leur candidature pour un, deux ou trois des projets. Après l’examen des dossiers, le jury, composé d’architectes d’ici et d’ailleurs, retiendra quatre finalistes par projet. Ces finalistes devront approfondir leur concept et le présenter au jury en juillet. Les travaux débuteront en septembre 2015 et devront être achevés deux ans plus tard. Trois projets, trois budgets Un certain montant du budget de 45M$ est attribué à chacun des projets, en fonction de son envergure. 1. Biodôme. 20M$. Le but est de réaménager les espaces et les écosystèmes pour créer des expériences immersives avec les animaux et la nature. 2. Insectarium. 19M$. Le projet consiste à agrandir le bâtiment existant et développer les espaces extérieurs pour augmenter les contacts entre humains et insectes. 3. Jardin botanique. 6M$. Création d’un pavillon de verre avec un design novateur pour accueillir des événements horticoles et corporatifs écoresponsables.
  4. via le journal Métro 10/02/2014 Mise à jour: 10 février 2014 | 19:42 Métamorphose en vue à l’Insectarium, au Biodôme et au Jardin botanique Le concours international d’architecture qui donnera un nouveau visage au Biodôme, à l’Insectarium et au Jardin botanique a été lancé lundi matin par le ministre responsable de la région de Montréal, Jean-François Lisée. Au total, un budget de 45M$ a été alloué par Québec pour la réalisation de trois projets de design qui consistent à agrandir l’Insectarium, réaménager le Biodôme et doter le Jardin botanique d’un pavillon de verre. «Tout cela sera réalisé à temps pour le 375e anniversaire de Montréal. L’année 2017 est l’occasion parfaite d’augmenter notre rayonnement international», a déclaré le ministre Lisée. «Bientôt, 70% de la population mondiale vivra en milieu urbain. Il est urgent de se réinventer, de proposer de nouvelles façons de se rapprocher de la nature tout en habitant en ville.» -Charles-Mathieu Brunelle, directeur général d'Espace pour la vie Espace pour la vie, qui est le nom du complexe regroupant le Biodôme, l’Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium, est un attrait touristique qui ne cesse de gagner en popularité, a affirmé le directeur général Charles-Mathieu Brunelle. Selon lui, les projets de design qui seront déployés grâce au concours permettront d’augmenter le nombre de visites drastiquement. À l’heure actuelle, 26% des touristes qui viennent à Montréal visitent l’une de ces infrastructures. «On peut clairement aller chercher une notoriété encore plus grande, auprès des Québécois et auprès des touristes venant de l’étranger», a-t-il souligné. M. Brunelle a précisé que les firmes d’architecture intéressées peuvent dès maintenant soumettre leur candidature pour un, deux ou trois des projets. Après l’examen des dossiers, le jury, composé d’architectes d’ici et d’ailleurs, retiendra quatre finalistes par projet. Ces finalistes devront approfondir leur concept et le présenter au jury en juillet. Les travaux débuteront en septembre 2015 et devront être achevés deux ans plus tard. Trois projets, trois budgets Un certain montant du budget de 45M$ est attribué à chacun des projets, en fonction de son envergure. 1. Biodôme. 20M$. Le but est de réaménager les espaces et les écosystèmes pour créer des expériences immersives avec les animaux et la nature. 2. Insectarium. 19M$. Le projet consiste à agrandir le bâtiment existant et développer les espaces extérieurs pour augmenter les contacts entre humains et insectes. 3. Jardin botanique. 6M$. Création d’un pavillon de verre avec un design novateur pour accueillir des événements horticoles et corporatifs écoresponsables.
  5. via le journal Métro 10/02/2014 Mise à jour: 10 février 2014 | 19:42 Métamorphose en vue à l’Insectarium, au Biodôme et au Jardin botanique Le concours international d’architecture qui donnera un nouveau visage au Biodôme, à l’Insectarium et au Jardin botanique a été lancé lundi matin par le ministre responsable de la région de Montréal, Jean-François Lisée. Au total, un budget de 45M$ a été alloué par Québec pour la réalisation de trois projets de design qui consistent à agrandir l’Insectarium, réaménager le Biodôme et doter le Jardin botanique d’un pavillon de verre. «Tout cela sera réalisé à temps pour le 375e anniversaire de Montréal. L’année 2017 est l’occasion parfaite d’augmenter notre rayonnement international», a déclaré le ministre Lisée. «Bientôt, 70% de la population mondiale vivra en milieu urbain. Il est urgent de se réinventer, de proposer de nouvelles façons de se rapprocher de la nature tout en habitant en ville.» -Charles-Mathieu Brunelle, directeur général d'Espace pour la vie Espace pour la vie, qui est le nom du complexe regroupant le Biodôme, l’Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium, est un attrait touristique qui ne cesse de gagner en popularité, a affirmé le directeur général Charles-Mathieu Brunelle. Selon lui, les projets de design qui seront déployés grâce au concours permettront d’augmenter le nombre de visites drastiquement. À l’heure actuelle, 26% des touristes qui viennent à Montréal visitent l’une de ces infrastructures. «On peut clairement aller chercher une notoriété encore plus grande, auprès des Québécois et auprès des touristes venant de l’étranger», a-t-il souligné. M. Brunelle a précisé que les firmes d’architecture intéressées peuvent dès maintenant soumettre leur candidature pour un, deux ou trois des projets. Après l’examen des dossiers, le jury, composé d’architectes d’ici et d’ailleurs, retiendra quatre finalistes par projet. Ces finalistes devront approfondir leur concept et le présenter au jury en juillet. Les travaux débuteront en septembre 2015 et devront être achevés deux ans plus tard. Trois projets, trois budgets Un certain montant du budget de 45M$ est attribué à chacun des projets, en fonction de son envergure. 1. Biodôme. 20M$. Le but est de réaménager les espaces et les écosystèmes pour créer des expériences immersives avec les animaux et la nature. 2. Insectarium. 19M$. Le projet consiste à agrandir le bâtiment existant et développer les espaces extérieurs pour augmenter les contacts entre humains et insectes. 3. Jardin botanique. 6M$. Création d’un pavillon de verre avec un design novateur pour accueillir des événements horticoles et corporatifs écoresponsables.
  6. via LaPresse : Publié le 10 février 2014 à 13h00 | Mis à jour à 13h00 Un milliard$ du réseau routier détourné vers les transports en commun La Presse (BRUNO BISSON) Le gouvernement du Québec va détourner 958 millions$ des budgets de réfection du réseau routier d'ici 2020, afin de permettre aux sociétés de transports collectifs de remettre en état leurs infrastructures existantes dans l'ensemble du Québec. Ces sommes additionnelles devront être exclusivement utilisées pour des projets de «maintien des actifs», tels que la réfectionm des infrastructures du métro, le remplacement des autobus ou la réfection de terminus ou d'abris. Le transfert des budgets entre le réseau routier et les réseaux de transports collectifs, sera réalisé à coût nul pour le gouvernement. Il permettra toutefois de hausser le montant des investissements gouvernementaux dans les transports en commun de 3,7 à 4,6 milliards $, entre 2014 et 2020. Ces investissements additionnels sont les faits saillants d'une «Stratégie nationale de mobilité durable» présentée gpar le ministre des Transports du Québec, Sylvain Gaudreault, ce midi, lors d'un déjeûner-causerie organisé par un organisme de promotion des tranports collectifs, Transports 2000 Québec. La quasi-totalité des intervenants du milieu des transports en commun assistait à la présentation de cette Stratégie attendue depuis maintenant deux ans. Ceux qui attendaient des solutions aux problèmes de gouvernance et de financement de nouveaux services, sont restés sur leur faim. La stratégie gouvernementale présentée par le ministre Gaudreault ne présente pas de propositions concrètes pour générer de nouveaux revenus, ni pour régler les problèmes de gouvernance qui minent le développement des services, en particulier dans la région de Montréal. Ambitions et consultations Elle propose malgré tout un «objectif ambitieux»: accroître de 30% l'offre de service des transports en commun au Québec d'ici la fin de la décennie. «Une augmentation de plus de 5% par année, entre 2015 et 2020», selon le document présenté par M. Gaudreault. La Stratégie reconnaît toutefois, du même souffle, que les conditions de financement nécessaires pour une telle augmentation des services de trains de banlieue, d'autobus et de métro, «ne sont pas remplies en vertu du cadre financier actuel». Pour accroître les revenus disponibles, la Stratégie présentée ne propose ni hausses de taxes sur l'essence, ni augmentations des droits d'immatriculation, qui auraient pu être mal reçues par la population à la veille du déclenchement possibles d'élections générales. En lieu et place, elle propose «un ambitieux chantier sur le financement du transport collectif», afin d'«accroître à terme, et de façon significative, l'offre actuelle». Ce chantier «aura pour objectif de proposer un nouveau cadre de financement» pour la période 2015-2020, où «la contribution de chacun des partenaires devra respecter leur capacité de payer» en s'appuyant sur «certains principes». Le mandat précis de ce chantier «sera précisé au cours des prochaines semaines» et il devrait s'étendre à l'identification des besoins, à la priorisation des projets de transports et à l'établissement d'échéanciers de réalisation, en fonction des projets priorisés. Des fusions de société? Sur le plan de la gouvernance, la Stratégie postule que le partage actuel des pouvoirs et des responsabilités entre les multiples intervenants (municipalités, sociétés de transport, organismes gouvernementaux et autres) doit être modifié. Le gouvernement annonce ainsi son intention de «déposer prochainement une propositiion pour réviser la gouvernance du transport collectif dans les agglomérations de Montréal et de Québec-Lévis». Cette proposition gouvernementale sera suivie d'une consultation, au printemps de 2014, avec «les différents partenaires concernés», avant le dépôt d'un projet de loi prévu à l'automne, «qui s'inspirera des meilleures pratiques». L'idée de fusionner ou de regrouper des sociétés de transports collectifs d'un même territoire est clairement évoquée. La stratégie précise qu Québec «entend accompagner les organismes municipaux et intermunicipaux de transport de la région de Montréal désireux de se regrouper. Le but est de rendre la la gestion des services plus efficace et de bénéficier d'économies d'échelle.» Des programmes bonifiés La Stratégie nationale de mobilité durable (SNMD) succède, avec deux ans de retard, à la défunte Politique québécoise des transports collectifs mise en place entre 2007 et 2011 par l'ancien gouvernement libéral. Cette politique avait pour objectif d'augmenter l'offre de service des transports en commun de 16% - presque deux fois moins que l'objectif de 30% de la nouvelle stratégie - et de faire grimper l'achalandage global de 8%, en cinq ans. Ces objectifs ont été largement dépassés avec une offre de service accrue de 23% et une augmentation de l'achalandage global de 13%, entre 2007 et 2011. La Politique de 2007 contenait cinq programmes d'aide gouvernementale qui seront tous reconduits par la nouvelle stratégie, avec des légères bonifications. En 2013-2014, ces cinq programmes dédiés à l'amélioration des services, au transport actif (vélo, marche), au transport adapté et aux transports en commun régionaux, ont totalisé 237,5 millions $. Pour la prochaine année, Québec y consacrera 262,3 millions$, presque 25 millions $ de plus. La plupart des bonifications consenties pour 2014-2015 ne seront toutefois pas de retour lors des années subséquentes, de 2015 à 2020, où le gouvernement prévoit y verser des sommes des 244,5 millions $ par année. «Tant pour les investissements que pour les programmes d'aide, indique la Stratégie gouvernementale, les ressources financières ajoutées proviennent des réaménagements ou des sommes déjà disponibles, de telle sorte que cela n'entraîne aucun coût supplémentaire pour le gouvernement.»
  7. Le plus drôle c'est que la dame au bureau de ventes du Peterson m'a dit que beaucoup de gens attendent que la construction commence avant d'acheter, car ils sont réticents à acheter quand ce n'est pas 100% sûr que ce sera construit
  8. Si on ne veut pas marcher, il y a aussi le l'autobus no 168 qui mène jusqu'aux portes de l'université McGill
  9. Via Guide Habitation Description * Prix 1 chambre à partir de 181 550 $ 2 chambres à partir de 267 850 $ * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles. Avis légal . Dernière mise à jour : 2014-01-16 Le Quartier 17 propose 17 condos de 1 ou 2 chambres, de 700 à 1300 pi², à l'angle des rues Rosemont et Christophe-Colomb, à Montréal. Caractéristiques: Balcon ou loggia pour chaque unité Large fenestration Planchers de bois Garage disponible Situé à proximité des métros Beaubien et Rosemont ainsi de plusieurs espaces verts et parcs, ce projet vous offre des unités avec balcon, mezzanine et de très grandes terrasses sur le toit avec des vues exceptionnelles. Livraison prévue pour l'automne 2014. Plus d'information à la page: http://www.condosquartier17.com
  10. J'en ai pas entendu parler. Desjardins est en train de récupérer de l'espace au Complexe Desjardins avec le départ des succursales de la Banque Royale et de la Banque Nationale. Il ne faut pas oublier aussi que Revenu Québec va déménager dans l'Îlot Voyageur. Il y a aussi plein d'espace inutilisé au rez-de-chaussé de la tour Sud. En plus, il y a des réaménagements sur les étages occupés par Desjardins des tours Est et Sud pour augmenter le nombre de bureaux par étage. On est rendu avec des cubicules de 6 pi X 6 pi. Avant, on était dans des 6 pi X 9 pi.. Alors, au lieu d'avoir 2 cubicules, on en a 3 dans le même espace.
  11. Dans LaPresse+ ce matin : AUX PORTES DU QUARTIER DIX30 DANIELLE BONNEAU LA PRESSE NOM DU PROJET Les Portes de Londres OÙ Tout près du Quartier DIX30, en bordure de l’autoroute 30, à Brossard. EN TOUT Pas moins de 560 appartements en copropriété répartis dans deux types de bâtiments de trois étages hors sol. Ainsi, 32 immeubles « Windsor » comprendront 256 condos et 19 édifices « Brittania » engloberont 304 condos. Les immeubles « Windsor », dotés de garages intérieurs, comptent chacun huit condos, tandis que les édifices « Brittania » en comprennent le double. Environ 200 condos sont toujours à vendre. APERÇU Lors d’un voyage dans le sud-ouest de l’Angleterre, Normand Lamoureux, fondateur du Groupe Habitations Signature, a eu un coup de cœur pour la région des Cotswolds. La campagne anglaise et les bâtiments plusieurs fois centenaires aux murs jaunâtres, qui contribuent au charme du paysage, ont donc été l’inspiration des Portes de Londres. Le projet a été lancé en janvier 2011. Les immeubles du nouveau quartier contrastent avec les édifices rectilignes aux murs vitrés qui se construisent ailleurs. C’est voulu. Des panneaux de béton imitant la pierre anglaise du XIIIe siècle se marient ainsi à la brique rouge. Un grand soin est par ailleurs accordé à l’aménagement paysager. Plusieurs bâtiments entourent un immense bassin de rétention d’eau, dans lequel poussent des graminées et des arbres, qui sert de parc l’été par temps sec. Tous les fils et les câbles sont enfouis. Des piscines creusées à l’eau salée, chauffées cinq mois par année, sont installées (une pour cinq immeubles). Pour réduire les sons provenant de l’autoroute 30, Habitations Signature Brossard a par ailleurs conçu un mur antibruit, éclairé la nuit, qui longe la voie de circulation. POUR QUI Une clientèle dont l’âge moyen est d’environ 30 à 35 ans. Beaucoup de jeunes couples sans enfant s’installent dans le quartier. On y trouve aussi des retraités, qui ont vendu leur maison devenue trop grande. Environ 30 % des résidants travaillent à Montréal. COMBIEN* À partir de 188 000 $, 2 chambres, 979 pi2 (stationnement extérieur pour deux véhicules inclus). À partir de 258 000 $, 3 chambres, 1241 pi2 (un stationnement extérieur, une place dans un garage intérieur inclus). Les charges mensuelles de copropriété varient entre 8 et 12 cents le pied carré, selon l’étage. Des chauffe-eau centraux au gaz naturel étant installés, ces frais incluent l’eau chaude. * Taxes incluses DANS LE VOISINAGE Les nombreux commerces et restaurants, ainsi que les salles de spectacle du Quartier DIX30. Des autobus se rendant au terminus Panama traversent le quartier. Un arrêt d’autobus pour se rendre à la station de métro Bonaventure se trouve juste à l’extérieur. ON AIME Treize condos modèles, répartis dans un immeuble « Windsor » et un édifice « Brittania », ont été aménagés afin que les visiteurs puissent faire un choix éclairé. Ceux-ci mettent jusqu’à deux heures pour comparer les différentes options (condos répartis sur un, deux ou trois niveaux, avec ou sans garage, cour privée ou balcon, espace de rangement intégré, configuration de la cuisine, fenêtres, etc.). ON AIME MOINS Il s’agit d’un projet typique de banlieue. Seule la rue principale, desservie par une ligne d’autobus, est bordée d’un trottoir. Il faut prendre sa voiture pour faire ses courses. SITE WEB http://habitations-signature.com
  12. Mauvaise nouvelles pour les voyageurs via The Gazette : STM ‘destroying’ 747 shuttle with cuts, airport claims BY ANDY RIGA, GAZETTE TRANSPORTATION REPORTER FEBRUARY 6, 2014 The 747 airport shuttle bus has far more departures then is warranted, making it a “Cadillac service,” says STM vice-chair Marvin Rotrand. Photograph by: mf coallier Montreal’s airport authority says the Société de transport de Montréal is “destroying” the popular 747 airport shuttle bus by slashing the service. But the STM says the 19-per-cent service cut as of Jan. 2 was a “fleet management” decision that will not dramatically affect passengers. There are now 145 daily departures on the 747 bus route, down from 180 in December. When compared to January 2013, the number of departures has actually fallen by 30 per cent, said Christian Beaulieu, a spokesperson for Aéroports de Montréal. “To have a good service, you have to have frequency, you have to have confidence that the service is good,” Beaulieu said. “And that’s what, sadly, this cut is destroying.” Introduced in 2010, the 747 links downtown Montreal and Trudeau Airport. The bus has proven popular with airport workers and tourists. In 2013, ridership on the 747 jumped by 12 per cent, reaching 1.44 million. The cost to ride the 747 went up Jan. 1. Holders of transit passes use the 747 at no extra cost. Those who pay on board must buy a $10 ticket (up from $9 in 2013), which includes unlimited access to the bus and métro network for 24 hours. “If you have really good service and a place to sit in the bus, we all agree people would pay a premium,” Beaulieu said “But now you pay 10 bucks and you’re squeezed like a sardine and you only have it every 30 minutes and it’s minus-30 C outside and you’re waiting on the street. I don’t think it’s worth 10 bucks.” Last month, the STM was forced to cut $65 million from its budget. But STM vice-chair Marvin Rotrand said the 747 cut was planned before the belt-tightening started. Until now, the 747 was a “Cadillac service,” with far more departures than was warranted by its ridership levels, he said. “This is better fleet management. Our planners felt we weren’t optimally using our resources. On certain 747s at certain times of the day there wasn’t much ridership.” Rotrand said the STM wants “the airport to be attractive but that doesn’t mean they’ll get a quality of service that is well above what everybody else in the network is going to get.” The 747’s new service levels “in no way compromise the quality of service” he added. Rotrand defended the fare. “You arrive in Montreal, you clear customs and you can take public transit right downtown for $10, plus you have a pass that is valid for 24 hours,” Rotrand said. “That is a very good deal.” Before the 747, a private company provided a much less frequent airport bus service, charging $16, he noted. The STM will increase service during busy periods at the airport, such as the March school break, he said. ariga@montrealgazette.com Twitter: andyriga Facebook: AndyRigaMontreal © Copyright © The Montreal Gazette
  13. Est-ce qu'on a déjà vu des projets de McGill Immobilier, l'agence inscriptrice, prendre autant de temps avant de commencer la construction après le début des ventes?
  14. via Les Affaires Le recul de la construction résidentielle tire à sa fin au Québec Publié à 10:20, mis à jour à 10:36 PAR STÉPHANE ROLLAND La construction résidentielle devrait se stabiliser au cours des deux prochaines années au Québec après avoir connu une baisse de 22 % en 2013, selon les prévisions de la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL). «Le rythme modéré de la croissance de l'économie et de l'emploi pèsera sur la demande de logements, neufs comme existants, cette année et l'an prochain, explique Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec. De plus, le nombre de mises en chantier sera aussi limité par des stocks relativement élevés de logements neufs et existants.» L’organisme fédéral anticipe ainsi qu’il y aura 38 000 mises en chantier au Québec en 2014, suivies de 38 800 unités en 2015. Les mises en chantier de maisons individuelles devraient être de 13 200 en 2014 et de 13 400 en 2015. Celles de logements collectifs s’établiraient à 24 800 unités et 25 400 unités, toujours selon les prévisions de la SCHL. Même si le marché ralentit, les prix continueront d’augmenter d’environ 1% en 2014 et en 2015, estime la SCHL. «En raison d’une contraction de la demande et d’une augmentation de l’offre, les prix des propriétés existantes connaîtront une très faible progression durant l’horizon prévisionnel. Le retour graduel à un marché plus équilibré maintiendra le taux d’accroissement des prix autour de la barre du 1 %, cette année et l’an prochain», note la SCHL. Le prix moyen s’établira donc à 265 800 $ en 2014 et à 269 000$ en 2015. Les prévisions de la SCHL surviennent tandis que les économistes débattent de la taille de la surévaluation des résidences canadiennes. La Deutsche Bank estime que le marché canadien est surévalué de 60 %. L’agence de notation Fitch évoque plutôt 30 %. Le FMI et la Banque TD évoquent plutôt un écart de 10 %.
  15. Via Les Affaires : L'incubateur Founder Institute s'établit à Montréal Offert par Les Affaires Publié à 06:00 Édition du 08 Février 2014 PAR JULIEN BRAULT Le Founder Institute accueillera sa première cohorte d'entrepreneurs à Montréal le 29 avril prochain. Fondé dans la Silicon Valley en 2009, l'incubateur est déjà implanté dans quelque 70 villes, mais Montréal représentera sa première incursion au Canada. Son ambition ? Amener des employés à créer des entreprises qui dureront. «Mon but est d'inverser le taux d'échec des start-ups, dont 90 % ferment leurs portes avant d'avoir atteint 24 mois», explique Adeo Ressi, pdg du Founder Institute. L'incubateur affiche des résultats qui semblent probants. Des 1 034 entreprises issues de l'incubateur, 89 % seraient toujours actives. Dans chaque ville où s'implante le Founder Institute, des directeurs locaux s'occupent de mettre en place le programme. À Montréal, c'est Sergio Escobar, organisateur de Startup Weekend à Montréal, et Louis-Philippe Maurice, pdg de Busbud, qui font office de codirecteurs. Contrairement aux incubateurs comme FounderFuel, le Founder Institute n'investit pas dans les entreprises qu'il incube. En fait, il faut débourser 750 $ pour y être admis à Montréal, en plus de céder 3,5 % des parts de toute entreprise créée durant le programme. Ces parts sont ensuite partagées entre le Founder Institute et les mentors. D'une durée de quatre mois, le programme requiert des poulains un investissement en temps d'au moins 15 heures par semaine, mais leur permet de garder leur emploi. «Le but est d'attirer des jeunes professionnels qui ont peut-être une idée, mais qui ne savent pas quel chemin emprunter pour la concrétiser», explique Louis-Philippe Maurice. Conseils d'entrepreneurs à succès L'incubateur, qui accepte les candidats individuellement, favorise ainsi la formation d'équipes, mais surtout, il permet à ses participants de bénéficier des conseils d'entrepreneurs à succès. Hicham Ratnani, cofondateur de Frank & Oak, Ian Jeffrey, directeur général de FounderFuel, Martin-Luc Archambault, pdg de Wajam et Alexandre Taillefer, associé principal de XPND Capital, seront du nombre. «Ce programme permet aux entrepreneurs d'éviter de faire des erreurs ; si on en avait fait partie, on aurait pu aboutir plus vite», soutient Hicham Ratnani, de Frank & Oak. Le Founder Institute n'est pas aussi sélectif qu'un incubateur traditionnel, mais n'y est pas admis qui veut. Le processus d'admission repose en grande partie sur un test de personnalité en ligne, qui permettrait de retenir les candidats ayant ce qu'il faut pour devenir des entrepreneurs à succès. Un second tri est effectué durant le programme. En règle générale, entre 20 et 30 % des participants partent en cours de route. Un devoir non rendu ou une absence peuvent entraîner l'exclusion. «C'est dans le contrat de chaque participant», explique Sergio Escobar, codirecteur du Founder Institute à Montréal. Ceux qui souhaitent faire partie de la première cohorte montréalaise de l'incubateur ont jusqu'à la mi-avril pour poser leur candidature. Entre 20 et 25 participants devraient être retenus.
  16. Si je me souviens bien, il y avait une succusale de la HSBC au RDC du 500 Ouest du temps que je travaillais à la BNC Je me souviens qu'elle a été fermée il y a une couple d'années. Il n'y a pas eu de locataire là depuis?
  17. Les tomates vont avoir un meilleur tarif d'électricité que la STM Du blogue de François Cardinal Mercredi 5 février 2014 | Mise en ligne à 18h00 Québec déroule le tapis rouge pour les tomates… De plus en plus étrange, cette histoire des tarifs d’électricité payés par la STM… Je vous racontais hier comment Hydro et le gouvernement ont choisi d’exclure la société des transports des tarifs L, et ainsi imposer un surcoût à l’électricité qu’elle paye… au moment où Hydro et le gouvernement mettent le cap sur l’électrification des transports. À la Société d’État, on me disait que c’était par simple «souci d’équité». On évacuait tous les clients non industriels du tarif privilégié, donc il fallait aussi en évacuer la STM puisqu’elle n’est pas un client industriel. Simple «souci d’équité»… Et bien j’apprends que dans la belle province de Québec, ce «souci d’équité» ne s’applique pas aux serriculteurs, allez comprendre… Dans le remue-ménage imposé par Hydro-Québec, on a en effet décidé de renvoyer la STM parmi les clients ordinaires, qui essuieront la hausse des tarifs du bloc patrimonial, mais on a néanmoins accordé un traitement distinct aux serriculteurs, qui connaîtront ainsi non pas une augmentation moins salée… mais bien une baisse de leurs tarifs d’électricité! Pourquoi? Parce que, me répond-on à la Société d’État, «ce secteur d’activité est important pour Hydro-Québec». Il a droit non pas à une baisse, selon Hydro, mais bien à une «optimisation» de sa facture. Même son de cloche à Québec, où le gouvernement Marois a lui-même demander un tarif privilégié aux serriculteurs l’an dernier. Et ce, pour compenser la hausse des tarifs imposée par les méchants libéraux… «Cette mesure constitue une utilisation judicieuse des surplus énergétiques», précisait alors le ministre François Gendron. Attendez… On ne veut pas donner de passe-droit à la principale société de transport en commun du Québec au moment où l’on dit vouloir miser sur le transport en commun, mais on accorde un tarif spécifique aux serriculteurs… parce que les serriculteurs, c’est important! Expliquez-moi, de grâce… «Ces mesures tarifaires visent à contribuer au développement d’un secteur d’activité important pour Hydro-Québec, le secteur agricole, tout en permettant d’accroître les ventes d’électricité», précise Patrice Lavoie, porte-parole d’Hydro. «Ces mesures visant les exploitations agricoles proposées dans le dossier tarifaire ont été soumises et approuvées par la Régie de l’énergie. Ils s’inscrivent aussi bien dans la foulée de la Politique gouvernementale de souveraineté alimentaire.» Loin de moi l’idée de laisser entendre que cette dernière politique n’est pas importante, bien au contraire. Mais veut-on bien me dire pourquoi elle a préséance sur la toute nouvelle Politique économique dont un des quatre piliers est la Stratégie d’électrification des transports? Et surtout, pourquoi traiter ainsi la STM quand on sait fort bien que l’électrification des transports va se retrouver dans 1) la Politique énergétique, 2) la Politique de mobilité durable et 3) le Plan d’action sur les changements climatiques que le gouvernement Marois souhaite dévoiler avant les élections? Cela signifie-t-il que dans cette nouvelle ère politique hyper-segmentée où l’on donne des petits bonbons à des catégories bien précises d’électeurs, les producteurs serricoles ont plus de poids que les usagers du transport en commun? Expliquez-moi…
  18. Image tirée du site web http://le21e.prevel.ca/en/photos.php Prével ne fait pas souvent de mise à jour de leurs sites web...ça leur prendrait un meilleur Webmaster
  19. Phase 1 = Partie foncée à deux niveaux à droite avec la piscine sur le toit
  20. Nouvelle adresse dans le Quartier des spectacles : Café Parvis : un petit nouveau, rue Mayor Publié le 4 février 2014 par Quartier des spectacles Les huit partenaires derrière le Furco frappent encore. Situé dans le grand local adjacent au populaire bar, le Café Parvis, ouvert depuis quelques jours à peine, est un café et une pizzeria. L’endroit séduit déjà les Montréalais le jour et on prévoit une ouverture en soirée d’ici le printemps. Rencontre avec Éric Bélanger, chef superviseur et associé au Café Parvis, au Furco et à la Buvette Chez Simone. Comment est né le Café Parvis? Quand nous avons ouvert le Furco, en octobre 2012, nous avions prévu qu’il serait en opération midi et soir. Nous avons d’abord ouvert le soir, pour le rodage, puis, après une semaine, le bar était déjà plein tous les soirs. C’est devenu très rapidement un endroit où c’était continuellement la fête. Nous n’avons donc jamais ouvert le midi. Puis, on nous a proposé le local adjacent. Au départ, nous étions plus ou moins intéressés parce que nous étions satisfaits du Furco. Mais l’idée d’ouvrir un café me trottait dans la tête depuis un moment. Puisque le local était parfait et que ça fonctionnait bien avec les associés du Furco, nous avons décidé d’aller de l’avant. Le Parvis, lui, sera ouvert seulement le midi? Notre objectif est de l’ouvrir matin, midi et soir! Le Parvis ouvre dès sept heures le matin. Nous servons un café haut de gamme – notre barista est même allée suivre une formation en Oregon! – ainsi que des viennoiseries qui sont cuisinées sur place. Nous nous préparons pour l’ouverture de soir, qui se fera d’ici le printemps, quand tout sera à mon goût. Pour le moment, donc, nous sommes ouverts du lundi au vendredi, de 7 h à 15 h, et, bientôt, nous ouvrirons les soirs et les week-ends. Qu’est-ce qu’on retrouve au menu? Il y a six sortes de pizzas, autant de salades et une soupe. On peut manger sur place ou commander pour emporter. Le concept ressemble à celui de la Buvette chez Simone [où Éric Bélanger est aussi associé], c’est-à-dire que, sur le menu, vous encerclez ce que vous voulez et nous l’apportons sur des plateaux pour permettre le partage entre les convives. C’est parfait pour le midi. Cela nous permet de faire un service rapide en moins de 45 minutes. Nous proposons des pizzas romaines, qui ont une pâte plus épaisse et plus croustillante que la pizza napolitaine. Les recettes se veulent inventives. Il y a, par exemple, une pizza avec du boudin maison et des oignons caramélisés. Une autre est garnie de saumon fumé maison, de salade fraîche et d’huile citronnée. Vous avez un permis d’alcool? Oui. C’est un permis pour restaurant, donc il faut manger pour consommer de l’alcool. Nous proposons six bières en fut d’une microbrasserie québécoise. La carte des vins est restreinte, mais bien choisie : il y a douze bouteilles et au verre, nous proposons deux vins d’importation privée qui ont été créés spécialement pour nous. Le vrai bar, il est à côté; c’est le Furco. Ici, nous voulions créer une pizzeria conviviale où les prix sont abordables. Quelle est l’ambiance du Parvis? Nous avons voulu créer une ambiance un peu seventies. Nous souhaitions déménager l’esprit du Mile-End au centre-ville, parce qu’il n’y a pas vraiment d’établissement de ce genre ici. C’est le designer Zébulon Perron, aussi partenaire dans l’aventure, et moi-même qui avons pensé le décor qui comprend des références rétro et beaucoup de plantes. Quels autres projets avez-vous en tête pour le Parvis? Nous souhaitons avoir des places de terrasse sur la rue dès le printemps. La demande de permis a été faite. La terrasse serait ouverte du matin jusqu’à environ 21 h ou 22 h. Nous pourrions la garder ouverte jusqu’à 23 h, mais nous voulons nous assurer d’une bonne cohabitation avec le voisinage. Aussi, j’aimerais ajouter une serre sur le toit. Nous pourrions y faire pousser nos propres piments. Nous allons probablement commencer les travaux en mai. Quelle image vous vient en tête quand vous pensez au Quartier des spectacles? L’Église Unie Saint-James. J’aime beaucoup l’architecture et je venais souvent me promener dans le quartier pendant les travaux de revitalisation de l’église. C’est comme ça d’ailleurs que j’ai trouvé le local de la rue Mayor, derrière l’église, et que nous nous sommes installés ici. Café Parvis 433, rue Mayor
  21. Sur le compte Twitter et Google+ de Prével : @PrevelUrbain 22h La construction au 21e a officiellement commencé / Construction at 21e has officially started http://www.21e.ca pic.twitter.com/x3DxGsyVJV
  22. « Occupation début 2013 » ? Il faudrait qu'ils revisent leur date sur le site web
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