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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Prével a fait une mise à jour du projet sur son blogue : Bassins du Havre Quai 2 - Nous coulons présentement la dalle de béton du 4e étage - Nous décoffrons aussi le sous-sol pour l'ouverture du stationnement
  2. J'avais une réunion ce matin au 111 Duke au coin d'Ottawa. Alors, j'en ai profité pour faire un petit arrêt et prendre quelques photos. C'était venteux! En passant, Prével a fait une mise à jour du projet sur son blogue : Lowney sur Ville - La dalle du 7e étage a été coulée vendredi dernier - D'ici la fin de la semaine, les dalles du rez-de-chaussée de la phase 2 et de la cour intérieure seront coulées - Les travaux de plomberie sous-terraine ont commencé
  3. J'étais en réunion au 111 Duke ce matin, j'en ai profité pour faire un petit détour avant de revenir au bureau La dalle de béton au dessus du stationnement de la phase 2 a été complétée! Il y aussi une photo du chalet urbain que je n'avais pas vu auparavent et je n'ai pas pu résister de prendre la calèche en photo Photos prises le 2013-12-20 sous la neige
  4. J'étais en réunion ce matin au 111 Duke, j'en ai profité pour prendre une petite photo sous la neige
  5. Un coup de main au fonds de la CSN Publié le 20 décembre 2013 à 07h40 | Mis à jour à 07h40 ANDRÉ DUBUC La Presse En signant un contrat sans appel d'offres d'une valeur de 137 millions au Carré Saint-Laurent, le gouvernement du Québec vient sortir d'un mauvais pas Fondaction, le fonds fiscalisé de la CSN, à un an des négociations dans le secteur public. Fondaction CSN est en fait propriétaire des terrains du Carré Saint-Laurent, par l'entremise d'une société en commandite gérée par le promoteur, la Société de développement Angus (SDA). Le fonds sera également le principal, sinon le seul, pourvoyeur de fonds propres pour la construction. Or, depuis 2008, ces terrains ont perdu près de la moitié de leur valeur et ont coûté cher en taxes et autres frais de détention. Globalement, la société liée à Fondaction a payé 18,9 millions pour ces terrains situés à l'angle sud-ouest des rues Saint-Laurent et Sainte-Catherine. En entrevue, le promoteur du Carré Saint-Laurent, Christian Yaccarini, a admis que la valeur de ces terrains a dû être dégonflée aux fins de l'offre de location au gouvernement, les faisant passer de 465$ à 250$ le pied carré. On parle ici d'une perte sur papier d'environ 9 millions. Un montant significatif pour Fondaction CSN, qui perd de l'argent une année sur deux depuis 2006. «Nous avons diminué la valeur de notre investissement», a confirmé Geneviève Morin, chef des investissements à Fondaction CSN, sans s'avancer sur un chiffre. Les lots avaient été acquis à fort prix entre 2008 et 2010 par son partenaire SDA dans le cadre d'une entente avec Hydro-Québec, qui cherchait à agrandir son siège social. Hydro exigeait toutefois que la SDA fasse disparaître le bar érotique Café Cléopâtre, mais le projet a avorté quand le propriétaire du club a refusé de vendre. «On était pognés avec le terrain à coût élevé, a dit Christian Yaccarini, PDG de la SDA. On a acheté le terrain parce qu'on avait une entente avec Hydro. Quand l'entente est tombée, je les aurais vendus. Personne ne voulait les acheter. As-tu vu le coin?», s'est-il exclamé. Cette perte s'ajoute à une facture salée que la société de Fondaction CSN a dû assumer depuis 2008. Le fonds a dû payer un peu plus de 1 million en taxes municipales et scolaires, et entre 1 et 1,5 million pour démolir des bâtiments sur le boulevard Saint-Laurent qui risquaient de s'effondrer. En tout, on parle de charges de 12 millions environ. C'est dire l'importance qu'un projet voie le jour rapidement sur ces terrains. Le portefeuille d'investissements de Fondaction s'élève entre 650 et 700 millions, dont 54 millions sont consacrés aux projets de la SDA. De cette somme, 30 millions sont réservés au projet du Carré Saint-Laurent. Fondaction CSN a des liens étroits avec la centrale syndicale CSN. Comme au Fonds de solidarité FTQ, la présidence de Fondaction est assumée d'office par le président de la centrale syndicale. De plus, 6 des 13 membres du conseil d'administration sont issus du sérail de la CSN. La CSN est le principal syndicat des employés du gouvernement, avec 170 000 syndiqués. La convention collective arrive à échéance en mars 2015, mais les négociations doivent commencer en novembre 2014. Invitée à commenter, la CSN a décliné l'offre et nous a dirigé vers Fondaction CSN. «Nous n'avons fait aucune représentation auprès du gouvernement, se défend Fondaction par la voix de Geneviève Morin. Ce qu'on offre, c'est un loyer au marché. On n'est pas en train de surcharger qui que ce soit [...] Ça ne m'apparaît pas scandaleux», a-t-elle ajouté. Dossier semblable critiqué par le VG Le projet du Carré Saint-Laurent ressemble à celui du complexe de la FTQ, construit au début des années 90, qui avait fait l'objet de vives critiques de la part du vérificateur général du Québec. À l'époque, la FTQ avait convaincu le gouvernement Bourassa de louer 11 000 mètres carrés pendant 30 ans dans le projet immobilier situé au coin des rues Crémazie et Lajeunesse, à Montréal. Cette superficie représentait 40% de l'immeuble, et la facture totale s'élevait à plus de 100 millions. Or, le gouvernement n'avait pas besoin de ces locaux à l'époque, avait constaté le vérificateur dans son rapport de 1997. Il a donc dû vider des locaux d'autres immeubles qu'il détenait. Dans le cas du Carré Saint-Laurent, le gouvernement n'y louera pas 40% des bureaux, mais 100% (14 000 mètres carrés). Et les versements totaliseront 137 millions sur 25 ans à partir de 2018, plutôt que 100 millions sur 30 ans à partir de 1996. Dans les deux cas, les projets ont pour objectif de revitaliser un secteur, et les baux du gouvernement sont administrés par le bras immobilier du gouvernement, soit la Société immobilière du Québec (devenue la Société québécoise des infrastructures).
  6. Carré Saint-Laurent ou Carré Saint-Coûteux? Publié le 20 décembre 2013 à 06h23 | Mis à jour à 06h23 FRANCIS VAILLES La Presse Quand on s'est mis à poser des questions pointues, le promoteur immobilier et le gouvernement ont fini par tout mettre sur la table. Enfin, presque tout. «Donne-lui le prix de location confidentiel, j'en prends la responsabilité», a dit le ministre Jean-François Lisée au promoteur Christian Yaccarini, jeudi soir dernier. M. Lisée appuie fermement le projet du Carré Saint-Laurent à titre de ministre responsable de la Métropole et ministre des Relations internationales. Le lendemain matin, nous étions invités, mon collègue André Dubuc et moi, à rencontrer Christian Yaccarini à sa résidence personnelle, dans l'arrondissement de Rosemont. Le patron de la Société de développement Angus (SDA), instigatrice du projet, s'est montré volubile et transparent, comme Lisée la veille au téléphone. Il faut dire que l'opacité des renseignements financiers entourant le Carré Saint-Laurent laissait songeur. Quoi, vous lancez une tour de 160 millions de dollars grâce à des fonds publics, mais tout est secret? En cette ère Charbonneau? Il faut dire aussi que les relations étroites entre les protagonistes soulevaient des interrogations. Ces observations ont irrité l'ex-journaliste Jean-François Lisée, qui a décidé de jouer franc jeu, honorablement. La transparence n'efface toutefois pas les problèmes sérieux entourant le projet de tour de bureaux de 10 étages et de 150 condos, au coin de Sainte-Catherine et Saint-Laurent, à Montréal. D'abord, pendant 25 ans, les bureaux seront totalement remplis par 700 fonctionnaires du gouvernement du Québec. Pas un seul employé ne viendra du privé. Pour y arriver, le gouvernement videra une partie du Centre de commerce mondial, dans le Vieux-Montréal, où loge notamment le ministère des Relations internationales. Or, le propriétaire du Centre de commerce mondial est la Caisse de dépôt et placement. Dit autrement, c'est le bas de laine des Québécois qui écopera, dans une période où il n'est pas facile de trouver de grands locataires pour occuper des bureaux. Plusieurs fonctionnaires viendront aussi d'un autre ministère, nous dit-on. Le projet lancé par la SDA, rappelons-le, est financé par Fondaction CSN, dont la centrale syndicale commencera à renégocier les conditions de l'essentiel des employés du gouvernement l'an prochain. Deuxième problème: le prix que le gouvernement paiera pour loger des fonctionnaires. On s'entend, dans le cas d'une grande banque, l'emplacement du siège social est primordial. L'institution veut paraître solide aux yeux de ses clients et elle est prête à y mettre le prix. Mais dans le cas d'un groupe de fonctionnaires? Selon l'entente, le gouvernement versera 137 millions de dollars de loyers sur 25 ans. Jean-François Lisée ne s'en cache pas: le gouvernement paiera «entre 2,0 et 2,5 millions de plus par année» que pour les locaux actuels, soit une hausse de 45%. En extrapolant, la décision coûte donc 50 millions de plus sur 25 ans aux Québécois, dans un contexte où le Québec est surendetté et sur le point d'être décoté par les agences financières. «C'est une décision politique de développement urbanistique de Montréal. Le Centre de commerce mondial (CCM) est à maturité, et notre départ ne pose pas de problème à ce quartier de la ville», dit Jean-François Lisée. Autre question: est-il judicieux d'installer les Relations internationales au coeur du Red Light, à un jet de pierre des bars de danseuses nues? Un tel emplacement ne risque-t-il pas de nuire à l'image du Québec lorsque le Ministère recevra des étrangers? «La dévitalisation de ce bout-là de la ville est problématique. Ce projet va être porteur et pourrait permettre d'attirer d'autres investisseurs. [...] C'est une utilisation judicieuse de fonds publics au service du développement de la ville», a dit M. Lisée. Troisième particularité du projet: la construction de 150 copropriétés dans une période où le marché est saturé au centre-ville, à tel point que les prix des condos baisseront au cours des prochaines années, estime David L'Heureux, analyste principal de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). «Nous verrons selon la demande, dit M. Yaccarini. S'il faut retarder le projet de condos d'un an, pas de problème. Les autres volets du projet n'en dépendent pas.» Prête-nom et Charbonneau À cette série de particularités s'ajoute la proximité des acteurs du projet. Ces dernières années, Christian Yaccarini a travaillé en étroite collaboration avec le maire d'arrondissement de Rosemont, André Lavallée, dans le redéveloppement du Technopôle Angus. Or, André Lavallée est aujourd'hui le bras droit de Jean-François Lisée à titre de secrétaire général associé à la région de Montréal. En 2009, Christian Yaccarini a même incité l'une de ses ex-employés de la SDA à faire un don illégal de 1000$ au parti Union Montréal lorsque André Lavallée y était responsable de l'aménagement urbain. L'employée en question avait justement pour tâche d'obtenir des approbations de la Ville pour le Carré Saint-Laurent, notamment, selon son témoignage à la commission Charbonneau, en mars dernier. Sur les registres officiels des dons, le nom de Christian Yaccarini figure à plusieurs reprises. En 2012, année d'élection provinciale, le promoteur a notamment donné 985$ au futur député de Rosemont, Jean-François Lisée, dont le Ministère occupera une partie des bureaux du Carré Saint-Laurent. «Je n'ai pas rencontré un seul politicien dans ce projet. Les discussions se sont faites à travers des fonctionnaires de la Société québécoise des infrastructures, se défend Christian Yaccarini. [...] Pensez-vous vraiment qu'on signe 14 000 mètres carrés avec quelqu'un parce que, dans une campagne municipale, j'ai donné une contribution à André Lavallée? Voyons.» Le Parti québécois et Union Montréal ne sont pas les seuls à avoir bénéficié des dons de Christian Yaccarini. L'homme a donné à des formations aussi diverses que le Parti libéral du Québec, Québec solidaire et le Parti libéral du Canada. Sa générosité a principalement favorisé le Parti québécois, toutefois, qui a reçu 21 695$ depuis l'an 2000, trois fois plus que le Parti libéral du Québec. Pourquoi donner à des partis aux convictions si différentes? «J'ai toujours donné à des gens que j'estime. J'ai donné à Raymond Bachand. J'ai donné à Christine St-Pierre. J'ai donné à Françoise David et à Jean-François Lisée. [...] J'ai même donné à Philippe Couillard. Mais je suis souverainiste, mes convictions sont connues», dit M. Yaccarini. Ces dernières années, les projets du promoteur impliquaient chaque fois beaucoup de fonds publics. Après le Technopôle Angus dans l'arrondissement de Rosemont (33 millions de subventions et de prêts avantageux), son projet d'édifice 2-22, dans le Quartier des spectacles, a bénéficié de plus de 5 millions de subventions. Et à Québec, il mijote un projet qui nécessite encore des subventions. Jean-François Lisée le défend. Il insiste pour dire que la SDA est une société à but non lucratif (bien qu'elle fasse des profits et paie des impôts depuis deux ans). «Ce n'est pas un entrepreneur vénal, mais un entrepreneur social. On n'est pas devant quelqu'un qui cherche à faire de l'argent, mais qui fait du développement économique, culturel et social», a-t-il dit. Social et culturel, peut-être. Mais quand développement économique rime avec montagne de fonds publics, on est en droit de s'interroger.
  7. Un dossier sur l'entente de location du gouvernement dans LaPresse et LaPresse+ ce matin Carré Saint-Laurent: Québec paiera 45 % plus cher Publié le 20 décembre 2013 à 06h30 | Mis à jour à 07h46 ANDRÉ DUBUC La Presse Le gouvernement du Québec subira une hausse de loyer de 45% avec le déménagement de ses fonctionnaires au Carré Saint-Laurent à compter de 2018. La Société de développement Angus (SDA) défend néanmoins le caractère concurrentiel de son projet au centre-ville de Montréal. Québec s'est engagé à y louer les 14 000 mètres carrés de bureaux offerts pendant 25 ans. Il va payer 518,26$ brut le mètre carré au cours des 5 premières années, ce qui inclut les taxes et les frais d'exploitation. D'après l'information transmise par le promoteur portant sur l'entente de location qui le lie avec le gouvernement, le loyer de base est indexé de 12,5% tous les 5 ans, pour des débours totaux estimés à 137 millions par le gouvernement pour la durée du bail. De 2018 à 2022, le loyer annuel s'élèvera à 7,3 millions. Le ministre responsable de la Métropole, Jean-François Lisée, reconnaît que le nouveau bail coûtera de 2,0 à 2,5 millions de plus que le loyer payé aujourd'hui pour loger ces mêmes fonctionnaires. Exprimée en pourcentage, cette différence se traduit par une hausse de 45%. «Je suis dans les prix pour du bureau neuf au centre-ville, s'est défendu le président et directeur général de la SDA, Christian Yaccarini, dans une entrevue la semaine dernière. Le gouvernement ne paie pas plus cher chez nous qu'il paierait ailleurs au centre-ville.» Études de marché en main, M. Yaccarini montre que le taux de location du Carré Saint-Laurent se compare avantageusement à n'importe quel projet d'immeuble de bureaux neufs dans cette portion du centre-ville. Le prix de loyer brut pour un immeuble flambant neuf dépasse souvent les 540$ le mètre carré. Parrainé par la SDA et son partenaire financier Fondaction CSN, le Carré Saint-Laurent est un complexe immobilier de 47 473 mètres carrés qui sera construit à l'angle sud-ouest de Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Paralysé depuis 2009, le projet de 160 millions va de l'avant grâce à la signature d'une entente de location de 25 ans avec le gouvernement du Québec, qui a été annoncée le 2 décembre. Le projet prévoit aussi un marché d'alimentation, 150 condos et un espace de location pour un organisme culturel. La SDA a livré de nombreux immeubles au Technopôle Angus, dans Rosemont, au fil des ans. On lui doit aussi la réalisation de l'immeuble 2-22 Sainte-Catherine, à l'angle sud-est de Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Décision politique Cet écart de 45% dans le loyer, M. Yaccarini l'explique en bonne partie parce que certains des fonctionnaires visés par le déménagement occupent actuellement des locaux vieillots, moins bien situés. Il existe néanmoins un écart défavorable de 20% entre le prix du loyer au Carré Saint-Laurent et le prix demandé aujourd'hui par le Centre de commerce mondial, d'où viendrait l'autre partie des fonctionnaires appelés à déménager. Le Centre de commerce mondial est un immeuble de bureaux de grande qualité, situé avantageusement dans le Vieux-Montréal, mais qui a été inauguré il y a 20 ans. Le ministre Jean-François Lisée assume totalement la décision de son gouvernement qui a choisi de revitaliser un secteur inhospitalier du Quartier des spectacles. Au téléphone, M. Lisée exprime haut et fort son admiration pour celui qu'il qualifie d'entrepreneur social. «Il faudrait dix mille Christian Yaccarini au Québec parce qu'il fait un énorme apport au tissu urbain», a-t-il poursuivi. M. Yaccarini a par ailleurs tenu à souligner les clauses contraignantes de son entente de location. Par exemple, le gouvernement se réserve le droit de rétrocéder au propriétaire sans pénalité 10% de la superficie louée après 5 ans et un autre 10% après 10 ans. Finalement, l'entente inclut un certain nombre de conditions à respecter au préalable par le promoteur en 2014, à défaut de quoi le gouvernement pourrait se retirer du projet avant d'y emménager. Le Carré Saint-Laurent > Promoteur: Société de développement Angus (SDA) > Propriétaire: Fondaction CSN à 100% à travers une société en commandite > Coût du projet: 160 millions > Projet à vocation mixte: bureaux, commercial et résidentiel > Gestionnaire de projet et entrepreneur général: Pomerleau > Superficie totale: 47 473 m2 > Partie bureaux: 14 000 m2 loués au gouvernement provincial pour 25 ans > Partie culturelle: 3252 m2, locataires à trouver > Partie commerciale: 3716 m2 formant le Marché Saint-Laurent > Partie résidentielle: 150 condos > Mise en chantier: automne 2014 > Occupation complète des bureaux: janvier 2018 Source: SDA
  8. J'ai hâte de voir quand ils vont partir ce projet. Si ca part en même temps que le Carré St-Laurent... la rue va être une vraie zone de construction...
  9. De bonnes nouvelles pour les utilisateurs : via LaPresse : Trains de banlieue: l'AMT commande 23 voitures Publié le 19 décembre 2013 à 04h30 | Mis à jour à 06h17 BRUNO BISSON La Presse Malgré les compressions budgétaires, la baisse des effectifs et le déficit appréhendé de son fonds d'immobilisations, l'Agence métropolitaine de transport (AMT) fera l'acquisition de 23 nouvelles voitures pour le réseau de trains de banlieue, au coût d'environ 85 millions, d'ici janvier 2015. L'AMT a lancé un appel d'offres public le 6 décembre dernier pour «la fabrication et la fourniture à l'AMT de 20 voitures remorques à deux étages et 3 voitures remorques à deux étages avec loge de conduite». Selon un document technique, ces nouvelles voitures devront «être pleinement interchangeables avec les voitures multi-niveaux existantes de la série 3000», fabriquées par Bombardier, et qui sont déjà en service sur le réseau de l'AMT. «L'interchangeabilité visera, au minimum, les systèmes de freinage, commande des portes [extérieures et intérieures], communications, attelages, bogies, l'emplacement de la loge de conduite, l'agencement des commandes, et systèmes de diagnostic», précise l'appel d'offres. Un constructeur pourra «proposer séparément un système de rechange, s'il estime qu'un tel système est dans l'intérêt de l'AMT. Le système de rechange doit être décrit au complet et tous les détails et les prix doivent être proposés à titre d'option laissée à la seule décision de l'AMT». Les constructeurs intéressés auront deux mois pour présenter leur proposition. Les soumissions doivent être reçues pour le 7 février 2014. Entretien et nouveaux services En 2014-2015, plusieurs échéances impossibles à contourner et difficiles à reporter feront pression, simultanément, sur la gestion du matériel roulant de l'AMT, qui exploite cinq lignes de train de banlieue transportant 17,3 millions de passagers par année. Les voitures de série 3000 construites par Bombardier et livrées à l'AMT, entre 2009 et 2011, sont déjà en service sur les lignes de Saint-Jérôme, Mont-Saint-Hilaire et Vaudreuil-Hudson. Au moment de leur acquisition, en 2007, 30 de ces 160 voitures étaient destinées au futur train de l'Est, entre Montréal et Mascouche. Cette ligne de train entrera en service à la fin de 2014. De plus, l'AMT prévoit mettre en service des rames composées de voitures 3000 sur la ligne de train la plus importante de son réseau, celle de Deux-Montagnes - qui fonctionne seulement à l'électricité. Les voitures seront tirées par une locomotive bimode, roulant à la fois au diesel et à l'électricité. Actuellement, seules les 58 voitures électriques MR-90 de l'AMT peuvent assurer le service sur cette ligne en raison de la traversée du tunnel du mont Royal, essentielle au service de train. Or, ces voitures arrivent au milieu de leur vie utile et doivent faire l'objet d'une remise à neuf complète, qui forcera à retirer plusieurs voitures du service pour de longues périodes. Selon la porte-parole de l'AMT, Claudia Martin, ces contraintes opérationnelles et les ajouts de service récents sur les lignes de Saint-Jérôme et de Mont-Saint-Hilaire ont justifié l'achat de 23 voitures neuves pour maintenir les services aux usagers, tout en assurant une rotation adéquate du matériel en entretien préventif. Dans son dernier plan triennal d'immobilisations, l'AMT estimait le coût d'achat de nouvelles voitures de passagers à environ 3,7 millions l'unité. Le coût estimé pour les 23 voitures «interchangeables» projetées dans son appel d'offres pourrait ainsi s'établir à environ 85 millions.
  10. Suite du dossier dans le Journal Métro : Une église convertie en spa 18/12/2013 Mise à jour: 18 décembre 2013 | 8:22 Par Marie-Eve Shaffer Métro Les croyants ne se massent plus sur le perron du Sanctuaire du Rosaire et de Saint-Jude, rue Saint-Denis, depuis plusieurs années. Ils ont été remplacés depuis le printemps par des adeptes de l’entraînement physique et du bien-être. Le Saint-Jude Espace Tonus se veut à la fois un spa et un centre sportif. Il est le résultat d’une conversion unique au Québec, d’après le Conseil du patrimoine religieux du Québec. «Et même au Canada», a tenu à préciser un des trois propriétaires du centre d’entraînement privé, Tony Attanasio. L’église néogothique du Plateau-Mont-Royal a été cons*t*ruite en 1905, selon les plans de l’architecte Alphonse Piché. Elle a porté le nom de St. Agnes dans un premier temps, puis elle a été baptisée Sanctuaire du Rosaire et de Saint-Jude, en 1954, lorsque les Pères dominicains l’ont acquise. Ces derniers ont tenté, un demi-siècle plus tard, de démolir l’église pour y construire des condos, mais l’arrondissement s’y est opposé. Après cet échec, les dominicains se sont résolus à vendre la bâtisse. Bien qu’elle fût en piteux état, M. Attanasio et ses deux partenaires d’affaires ont sauté sur l’occasion pour réaliser leur projet de spa et de centre sportif. La Ville de Montréal a mis près de deux ans pour approuver la conversion proposée par les trois hommes. Dès que le permis a été délivré, en 2010, les travaux ont été lancés. Les plans ont été dessinés par l’architecte et professeur de l’Université de Montréal Tom Balaban. «On voulait garder le patrimoine, a expliqué Tony Attanasio. On a construit une nouvelle structure en acier et en béton à l’intérieur. On a ajouté deux étages et demi dans la nef.» Ainsi, des tables de massothérapie ont été installées dans l’ancien chœur de l’église. Dans le reste de la nef, on a déménagé des salles de cours, des vestiaires, un sauna, un lounge, un hammam et une aire de relaxation. Des salles d’entraînement se trouvent au sommet, plus près de la voûte. À l’extérieur, au-dessus de l’ancien garage du curé, des bains d’hydrothérapie ont été disposés, entourés de grandes cloisons pour que les gens puissent s’y détendre à l’abri des regards indiscrets. En dessous des bains, un restaurant doit un jour ou l’autre être aménagé. Plusieurs matériaux sont mis en relief, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’ancienne église. «Il y avait un certain désir de contraste, a expliqué l’architecte Tom Balaban. On est partis du concept du spa, où on passe du très chaud au très froid. On a créé des contrastes entre la pierre, qui est dure et froide, et le bois, qui est souple et mou.» M. Balaban a aussi joué sur la dichotomie entre le vieux et le neuf. Les murs de briques de l’église et ses fenêtres à vitraux côtoient aisément la nouvelle structure de béton et d’acier fraîchement peinte. Les différentes technologies dernier cri que les trois propriétaires ont installées – les multiples exerciseurs offrant des options impensables, les tablettes pour consulter son programme d’entraînement et les bracelets qui donnent accès aux différentes pièces – renforcent cette opposition. Bien que l’idée d’aménager un spa dans une ancienne église soit inusitée, le Conseil du patrimoine religieux du Québec juge que c’est une vocation qui convient à un ancien lieu de culte. «Ce sont des espaces qui se prêtent bien au recueillement, au silence et au repos, a indiqué le chargé de projet du conseil, Denis Boucher. Les lieux proposent une quiétude naturelle.» L’architecte Ron Rayside, qui trouve intéressant ce genre de conversion inusitée, croit que le défi sera de rentabiliser les nouvelles fonctions, considérant que les coûts d’entretien sont importants. «Il faut s’assurer que le spa sera encore là dans 15 ans», a-t-il dit. M. Attanasio est d’accord. Il prévoit que le Saint-Jude Espace Tonus sera rentable quand il dépassera 600 mem***bres. Il en a présentement 300. «On est dans une bonne période et le lendemain de la dinde, c’est une très bonne période», a dit l’homme d’affaires en souriant. Le Saint-Jude Espace Tonus Ancienne église construite en 1905 Investissement (achat et rénovation) : 5 M$ Aucune subvention ou aide financière publique Nombre d’emplois créés : 35 Nombre de membres actifs : 300 Seuil de rentabilité : 600 membres
  11. ScarletCoral

    IGA Express

    Je me demande combien des stations Shell achetés par Sobeys vont être transformées en IGA Express
  12. Alors, ça passe officiellement de « Approuvé » à « En construction » ?
  13. Je crois que c'est la couleur bizarre qu'ils ont utilisée... espèce de beige laid.... l'édifice aurait été plus beau dans une autre couleur
  14. Sur les photos déjà postées, on voyait déjà les différents tons de gris sur les façades... c'est p-ê voulu?
  15. Entre cette tour et la Place Ville-Marie, je crois que ces firmes choisiraient la PVM au détriment d'un bâtiment tout neuf... Avec le départ de Deloitte, il va y avoir plein d'étages vacants, à moins qu'ils soient déjà loués. Pour Bell et l'Île-des-Soeurs, mauvaise idée pour attirer des candidats potentiels. Je connais plusieurs employés de Bell qui ont démissionné suite au déménagement. L'hiver, c'est l'enfer se déplacer là. Ça fait plusieurs offres d'emploi que je reçois des Pages Jaunes qui est aussi situé là ... et ils ne peuvent pas m'offrir assez pour quitter mon emploi au centre-ville. Il n'y a pas juste le salaire, mais aussi le temps perdu en déplacement à prendre en considération...
  16. Il y avait un article dans LaPresse sur le projet : Le 21 novembre 2013 Pointe Est: nouveau quartier à Pointe-aux-Trembles Danielle Bonneau La Presse Pointe Est prend forme dans un terrain triangulaire qui appartenait auparavant à la compagnie ferroviaire Canadien National (CN). Aux confins d'un quartier résidentiel, celui-ci est bordé d'un côté par la voie ferrée, qui sera empruntée pour le futur train de l'Est. Nom du projet: Pointe Est Où? Entre les rues Sherbrooke et Notre-Dame, dans le prolongement de la rue Victoria, à Pointe-aux-Trembles. En tout: 438 appartements en copropriété dans des immeubles de trois étages. Ceux-si sont construits de part et d'autre de la rue à sens unique, en forme de boucle, qui a déjà été aménagée au coeur du quartier. Le long de la rue Victoria, 27 maisons en rangée seront aussi construites. Aperçu: Pointe Est prend forme dans un terrain triangulaire qui appartenait auparavant à la compagnie ferroviaire Canadien National (CN). Aux confins d'un quartier résidentiel, celui-ci est bordé d'un côté par la voie ferrée, qui sera empruntée pour le futur train de l'Est. La future gare Pointe-aux-Trembles sera à une dizaine de minutes de marche. La firme TG Beco a choisi l'agence Alt&Agapi Architectes pour concevoir les immeubles. Ceux-ci ne seront pas tous identiques et porteront différents noms pour les distinguer: Magnolia, Merisier, Laurier, Mimosa et L'Érable. Les édifices de type Magnolia sont d'abord bâtis sur le même côté de la rue Bernard-Geoffrion. Les 13 immeubles de deux étages, construits au-dessus de garages au rez-de-jardin, doivent chacun compter six logements. Les trois premiers bâtiments sont habités et deux autres commencent à accueillir des copropriétaires. Les maisons en rangée devraient être mises en vente dans un mois, afin d'entamer la construction le printemps prochain. Pour qui: Les condos, qui ont une ou deux chambres, attirent des personnes habitant seules, des couples et des baby-boomers. Les maisons en rangée, avec leurs trois chambres et deux salles de bains, plairont davantage aux familles. Combien: PHASE 1, MAGNOLIA À partir de 129 000$, une chambre (538 pi2). > À partir de 144 900$, avec garage intérieur, une chambre (538 pi2). > À partir de 184 900$, avec garage intérieur, deux chambres (837 pi2). Les charges de copropriété varient entre 40$ et 80$ par mois, selon la superficie des condos. MAISONS EN RANGÉE Elles devraient coûter moins de 300 000$, taxes en sus. *Air climatisé central inclus, taxes en sus. Dans le voisinage: Trois écoles et plusieurs parcs, dont le parc Montmartre, avec ses jeux d'eau et le parc-nature de la Pointe-aux-Prairies. Le fleuve Saint-Laurent se trouve non loin, ainsi qu'une piste cyclable dont l'aménagement doit se poursuivre. Un plus: Pour maximiser les espaces verts et rendre le quartier visuellement plus attrayant, tous les fils seront enfouis à l'intérieur du quartier et les stationnements seront intérieurs. Un moins: Les travaux en sont à leurs débuts. Les copropriétaires emménagent dans un quartier qui sera en construction pendant encore quelques années. Info: pointeest.ca Photos Hugo-Sébastien Aubert, La Presse : Ces deux immeubles jumelés de type Magnolia ont deux étages, construits au-dessus de garages au rez-de-jardin. Chacun compte six condos et six espaces de stationnement intérieur. Ce condo témoin de 1063 pi2 se trouve au rez-de-chaussée. Un appartement similaire coûte 224 000$ (stationnement intérieur et air conditionné central inclus, taxes en sus). Dans la cuisine, les armoires sont en thermoplastique et en mélamine. Les surfaces de travail sont en quartz. Un coin pour l'ordinateur peut être aménagé à l'écart de l'action, entre la cuisine et les chambres. Il y a deux chambres, toutes deux très éclairées et spacieuses.
  17. Dans LaPresse : Le 05 décembre 2013 SoHo à l'est d'Honoré-Beaugrand Danielle Bonneau La Presse Dans ce secteur du quartier Mercier-Est, les immeubles se distinguent par leur structure de béton et d'acier, leur stationnement souterrain, leur ascenseur, leurs condos aux plafonds de 9 pi de haut à tous les étages, leurs grandes fenêtres... et leurs planchers chauffants. Nom du projet: Carré SoHo Condos Lofts Où: Dans un quadrilatère bordé par les rues Souligny et Hochelaga (d'où le nom SoHo), dans l'est de Montréal. En tout: Les deux premiers immeubles, jumelés et très similaires, comportent chacun 35 condos. De quatre étages, ces édifices sont construits et habités. La troisième phase, qui comptera 60 condos, sera mise en vente au début de l'an prochain. Aperçu: Le complexe est construit sur une partie du terrain de l'ancienne usine Alcatel. L'entreprise EJP Construction a d'abord bâti la résidence pour personnes âgées Les Toits de Mercier, de l'autre côté de la rue Marcelle-Ferron. Elle a demandé à l'agence Forme Studio-Morand Émond Architectes de concevoir les plans du Carré SoHo, qui complète la transformation du terrain. Dans ce secteur du quartier Mercier-Est, les immeubles se distinguent par leur structure de béton et d'acier, leur stationnement souterrain, leur ascenseur, leurs condos aux plafonds de 9 pi de haut à tous les étages, leurs grandes fenêtres... et leurs planchers chauffants. Un vaste jardin, où a été installé un système d'irrigation, a été aménagé à l'arrière. Tous les copropriétaires auront accès à la terrasse commune prévue sur le toit du troisième immeuble, qui aura six étages et longera la rue Hochelaga. Huit terrasses privées pourront aussi être achetées. Pour qui? Une clientèle formée majoritairement de personnes ayant de 50 à 75 ans, qui ont vendu leur maison devenue trop grande et ne désirent plus entretenir leur propriété. De jeunes professionnels dans la trentaine, la plupart sans enfant, ont aussi emménagé dans les condos. Les prix (14 condos à vendre, phase 2)* Une chambre, de 175 500 $ à 185 500 $, 621 pi2. Deux chambres, de 260 000 $ à 289 900 $, de 900 à 967 pi2. Trois chambres, 322 900 $, 1279 pi2. Stationnement intérieur: 20 000 $ (taxes en sus) Comme il y a peu d'espaces communs, les charges de copropriété s'élèvent à environ 17 cents le pied carré. Dans le voisinage: Le parc Saint-Victor (en face) et quelques commerces le long de la rue Hochelaga. Le parc de la Promenade-Bellerive, qui longe le fleuve Saint-Laurent sur une distance de 2,2 km, se trouve non loin. La station de métro Honoré-Beaugrand est la plus proche. On aime: Les planchers étant en béton, un système de plancher chauffant à l'eau, avec un contrôle indépendant dans chacune des pièces, a été installé. Aucune plinthe ne restreint la disposition des meubles. On aime moins: Comme des lattes de bois franc ne peuvent être clouées dans un plancher de béton (elles risqueraient aussi de craquer), c'est surtout un couvre-plancher stratifié (de qualité) qui est installé. carresoho.com * Taxes, climatisation, hotte et finition haut de gamme incluses. Photos Olivier Pontbriand, La Presse Un vaste jardin, où a été installé un système d'irrigation, a été aménagé à l'arrière des immeubles. Les plans de travail dans la cuisine sont en quartz. Cet appartement est déjà vaste. Grâce aux plafonds de 9 pieds de hauteur et aux grandes fenêtres, il a l'air encore plus grand. La douche, séparée de la baignoire, est spacieuse. Un système de plancher chauffant à l'eau, avec un contrôle indépendant dans chacune des pièces, a été installé.
  18. Bentall, c'est la compagnie qui gère l'édifice Sun Life au centre-ville
  19. Dans LaPresse+ ce matin CHICS CONDOS DANS LE VIEUX-MONTRÉAL DANIELLE BONNEAU LA PRESSE EN TOUT Un total de 167 condos de 420 à 3649 pi2, répartis dans un immeuble de 10 étages en forme de L. Il n’y aura qu’une phase, contrairement aux autres complexes Sax à L’Île-des-Sœurs, Mont-Royal et Longueuil, d’où la mention « édition limitée » dans le nom du projet. DESCRIPTION Un stationnement et une ancienne usine désaffectée englobant trois bâtiments occupent actuellement le terrain. Jeff Feifer, petit-fils de l’entrepreneur qui a transformé les lieux en une manufacture de bottes, en 1943, et propriétaire du terrain, a choisi de s’associer avec le promoteur Kevlar. Ils travaillent de concert avec l’agence Neuf architect(e)s et la firme Camdi Design pour réaliser un immeuble dans la lignée des autres complexes Sax. LE PRINCIPAL DÉFI? Marier le neuf et l’ancien, puisque le plus vieux des édifices a été construit en 1873. Certaines façades de pierre (rue Wellington) et de brique rouge (rue King) seront en effet préservées. L’intérieur sera entièrement neuf, mais les planchers demeureront au niveau actuel pour s’aligner avec les fenêtres. Résultat ? Les plafonds auront de 9 à 13 pi de hauteur, selon les appartements. Comme dans les autres complexes Sax, le hall d’entrée devrait être vaste et impressionnant. Une piscine chauffée, un salon commun, une salle de conditionnement vitrée et une vaste terrasse sont prévus sur le toit. POUR QUI? Une clientèle formée de baby-boomers qui comptent vendre leur maison devenue trop grande, ainsi que de jeunes professionnels qui travaillent dans les environs et désirent habiter près du Vieux-Port. COMBIEN* À partir de 179 000 $, studio de 420 pi2. À partir de 244 000 $, condo d’une chambre, 603 pi2. À compter de 329 000 $, condo de deux chambres et deux salles de bains, 829 pi2. À compter de 629 000 $, condo de trois chambres et deux salles de bains, 1539 pi2. Un garage souterrain coûte 45 000 $ (taxes en sus). Les charges de copropriété s’élèvent à 26 cents le pied carré (ce qui comprend l’eau chaude et les frais liés au garage). DANS LE VOISINAGE L’immeuble s’élèvera au croisement du Quartier international et du Vieux-Montréal, un peu en retrait de l’action, tout près de la piste cyclable du canal de Lachine et des restaurants de la rue McGill. La station de métro Square-Victoria se trouve non loin. ON AIME Le futur immeuble, voisin du complexe Quai de la Commune, achèvera la transformation du quadrilatère formé par les rues Wellington, des Sœurs-Grises, de la Commune Ouest et King. ON AIME MOINS Les copropriétaires devront patienter jusqu’à la fin de 2015 pour emménager. Les travaux de démolition devraient commencer le printemps prochain. * Hotte et électroménagers intégrés, robinetterie haut de gamme, système de climatisation et système d’eau chaude centraux inclus, taxes en sus. sax-1.com
  20. Bonne nouvelle pour ceux qui prennent le train de Deux-Montagnes? The Gazette : AMT to buy Deux-Montagnes line from CN Passenger trains will gain track priority under deal BY ANDY RIGA, GAZETTE TRANSPORTATION REPORTER DECEMBER 13, 2013 Owning the tracks would make it easier to add departures and reduce the chances of freight trains delaying passenger trains, the AMT says. Photograph by: John Kenney , Gazette File Photo Montreal’s commuter-train authority has signed an agreement in principle to buy the Deux-Montagnes line from Canadian National. Owning the tracks would make it easier to add departures and reduce the chances of freight trains delaying passenger trains, the Agence métropolitaine de transport says. The 12-station, 30-kilometre line, which opened in 1918, is the AMT’s busiest, accounting for 45 per cent of commuter train ridership. In the past the AMT has said the negotiations included purchasing the Mount Royal tunnel. The total purchase price has not been disclosed. The AMT has set aside $126 million to buy train lines and land along routes. Over the past two years, Toronto’s commuter-train has spent at least $363 million buying segments of railway lines from CN. The final decision on the deal will have to come from the provincial government, “and we’re hoping it comes over the coming weeks,” Stéphane Lapierre, AMT vice-president of operations, told a public meeting this week. At the moment, the AMT leases the line from CN, which also uses the tracks for freight trains. Freight can use the line within two time windows — 8:30 a.m. to 3:30 p.m., and 8:30 p.m. to 5:30 a.m. “We’re at the limit of what we can do on the line now given the freight trains,” Lapierre said. Under the new deal, AMT trains would have priority between 5:30 a.m. and 8:30 p.m. It’s unclear if CN would pay the AMT to allow its freight trains to use the tracks. If the deal goes through, the AMT will “be able to increase service and add new equipment,” Lapierre said. The AMT has not said how many more departures it hopes to add to Deux-Montagnes. With 49 trains per weekday, the line already has the most departures of any AMT route. Riders complain rush-hour trains are overcrowded, but a plan to introduce double-decker cars to the line has been repeatedly delayed, in part because of a dispute with CN over the use of new dual-mode locomotives in the Mount Royal tunnel. That dispute has since been settled. The addition of those higher-capacity cars was originally planned for the spring of 2012. They are now expected on Deux-Montagnes in 2014, Lapierre said. The train cars on Deux-Montagnes have been in service since the mid-1990s and will be pulled off the tracks for upgrading, he added. Deux-Montagnes, which serves the West Island and reaches into Laval and the North Shore, is expected to be used for 7.7 million rides in 2013, a 2.4 per cent drop compared to last year. The AMT has several theories about the fall in ridership. It says a delay in the start of the university semester early in 2013 may have contributed to the drop. It also suspects some Deux-Montagnes users have switched to the St-Jérôme line, where ridership has jumped by almost 13 per cent since a significant boost in service in August. At this week’s public meeting, the AMT also provided details about: Punctuality The Vaudreuil-Hudson line has the worst punctuality record. Between January and October, 92 per cent of trains were within six minutes of being on time. The network average was 95 per cent. The AMT said most Vaudreuil-Hudson delays were the fault of Canadian Pacific, owner of the infrastructure. Parking The AMT will experiment with paid parking in at least five lots in 2014. One option is reserving spots closest to stations for paying customers. Full parking lots are a problem at many AMT stations. The authority says charging for parking will help it increase revenue and encourage riders to use transit, walk or cycle to reach stations. The Mascouche line Eighty two per cent of the work is completed on the new Mascouche line, which is late and over budget. AMT chief executive Nicolas Girard said the line will open in 2014. ariga@montrealgazette.com Twitter: andyriga Facebook: AndyRigaMontreal © Copyright © The Montreal Gazette
  21. C'est tout un hôtel de ville! Il aurait été situé où? Je n'arrive pas à identier les rues par les bâtiments autour.
  22. Je sais! Le Simons d'Anjou est vraiment super même mieux que celui de Laval et de Saint-Bruno, mais je suis tellement habituée au Simons centre-ville et que je sais où sont les items que ça ne me prend que 20 minutes pour tout acheter incluant l'essayage à Anjou, j'ai dû faire le tour au complet du magasin pour repérer les trucs
  23. Avec le Delta Centre-Ville à côté qui va devenir des résidences pour étudiants, est-ce que la vocation de ces condos pourrait changer par rapport à ce que proposait le projet Univers?
  24. On verra après le 2 février J'ai cherché dans l'intranet pour des nouvelles concernant l'illumination des tours, mais je n'ai rien trouvé.
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