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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Tellement il a l'air en amour avec la reine actuelle, Harper l'aurait renommé Élizabeth II... Pour en revenir au pont Champlain,on construit un pont pour en remplacer un vieux qui sera éventuellement détruit... pourquoi changer de nom?
  2. c'est quoi le projet en construction juste à côté du Saint-M? Dernière fois que je suis passée par là, ça avait l'air d'avancer vite.
  3. 4 novembre! C'est le grand jour pour les premières livraisons!
  4. these people are color blind or what ? gris + rouge, ça va... mais le beige rend malade...
  5. Rien depuis le communiqué de presse du 13 octobre? Est-ce qu'il y a au moins des activités sur le chantier?
  6. Il n'y a qu'Olivier Niquet du Sportnographe qui peut sortir ces bonnes raisons 03/11/2014 Mise à jour : 3 novembre 2014 | 9:40 Sept raisons pourquoi Maurice Richard est meilleur que Samuel de Champlain La nouvelle a fait couler beaucoup de pixels en fin de semaine: le nouveau pont Champlain s’appellera Maurice Richard. Plusieurs s’en sont indignés, prétextant que Maurice Richard n’a pas l’envergure du fondateur de Québec. D’autres disent que c’est une manoeuvre électoraliste de Stephen Harper et ils ont sans doute raison. Mais on s’en fout. Lorsqu’il est question de Canadien, on oublie tout le reste. Voici donc sept raisons pour lesquelles Maurice Richard est meilleur que Samuel de Champlain. 1. Samuel de Champlain n’a jamais joué pour Canadien. 2. Samuel de Champlain n’a pas compté cinq buts après avoir déménagé de Honfleur à Québec. Il n’en a même pas compté un. 3. Maurice Richard, en participant à l’insu de son plein gré à la révolution tranquille, a rénové un Québec bâti tout croche sur les bases de Samuel de Champlain. 4. Samuel de Champlain a peut-être fondé Québec, mais Maurice lui, il a coaché les Nordiques. Pendant deux matchs. Mais c’est deux matchs de plus que Champlain. 5. Samuel de Champlain a fait la guerre aux Iroquois pendant 14 ans. Maurice Richard a fait la guerre aux Blackhawks pendant 18 ans. 6. Samuel de Champlain n’a jamais été nommé gouverneur de la Nouvelle-France alors que Richard a été capitaine de Canadien. 7. Samuel de Champlain patinait sur la bottine (selon des sources). La prochaine fois, nous débattrons de la pertinence de renommer l’estacade du pont Champlain en l’honneur d’Henri Richard.
  7. via Radio-Canada : « Pont Maurice-Richard »: la famille ravie, mais comprend la polémique Mise à jour il y a 27 minutes À la suite des rumeurs selon lesquelles le futur pont Champlain serait appelé « Pont Maurice-Richard », le fils de Maurice Richard affirme qu'il comprend la controverse, mais que la famille serait très heureuse que la mémoire du grand hockeyeur soit honorée de cette façon. Un texte de François Cormier « Ce n'est pas officiel encore. Ce ne sont que des rumeurs, mais c'est un honneur grandiose », affirme Maurice Richard (fils), joint par Radio-Canada. « Ce sera un monument qui sera là pour plusieurs années. Nous sommes très touchés qu'on veuille donner le nom de notre père », précise-t-il. Le fils du populaire hockeyeur rappelle que ce n'est pas la première fois qu'on veut nommer une infrastructure en l'honneur de son père. « On nous a déjà fait miroiter une autoroute 50 au nom de Maurice Richard ou une rue Maurice-Richard. Il n'y a rien qui a abouti. » Maurice Richard (fils) comprend la controverse qu'entraînerait la disparition du nom de Samuel de Champlain. « Il y a des gens qui s'opposent pour des raisons historiques. Je comprends leur point de vue. Je trouve ça raisonnable jusqu'à un certain point », dit-il. Il nuance toutefois en rappelant que le nom du fondateur de Québec ne disparaîtra pas de l'histoire. « Il ne faut quand même pas exagérer. C'est un fondateur du Canada, du Québec, de la Nouvelle-France. Il mérite beaucoup d'éloges. » Le maire Coderre déplore la façon de faire En entrevue à RDI lundi matin, le maire de Montréal Denis Coderre a déploré la façon de procéder au choix du nom. « Est-ce qu'on est allés chercher le consensus? Nous avons vécu le choix controversé de nommer une rue en l'honneur de Robert Bourassa. Je pense à la famille présentement », a-t-il déclaré. Le maire précise qu'il ne s'oppose toutefois pas à ce que l'ancien numéro 9 du Canadien de Montréal soit honoré de cette façon. « Si le fédéral décide de le nommer Maurice-Richard, on va l'accepter », a-t-il ajouté. Maurice Richard (fils) déplore également que le choix du futur pont sur le Saint-Laurent se fasse de cette façon. « On aurait voulu que ça se fasse dans l'harmonie. Malheureusement, ce n'est pas le cas. On va espérer que les gens se calment », conclut-il.
  8. à l'émission Marie-France Bazzo ce matin : Le pont Maurice Richard : « Une gifle à l'histoire » - Henri Dorion Le lundi 3 novembre 2014 Selon Henri Dorion, ancien président de la Commission de toponymie du Québec, changer le nom du pont Champlain pour Maurice Richard est une « gifle à l'histoire ». Il trouve honteuse la décision de vouloir retirer le nom de Champlain. Il explique que la toponymie « n'est pas un jeu » et qu'il y a des critères à respecter lorsqu'on attribue un nom à un lieu. D'abord, il y a une question d'usage. Quand le nom est ancré, qu'il est dans les habitudes, il faut une bonne raison pour le changer. Il souligne aussi qu'il doit y avoir un rapport entre le personnage et le lieu. Dans ce cas-ci « quel est le rapport entre le sport et un pont ». Le nom Champlain a aussi toute une consonance historique. « Il a fondé un pays à la suite de Jacques-Cartier. Il faut conserver les deux noms des ponts montréalais. Je ne comprends pas les autorités », rapporte Henri Dorion. Selon La Presse, le nouveau pont Champlain sera le pont Maurice Richard. Cet hommage au célèbre Rocket ne fait cependant pas l'unanimité. Pour écouter l'entrevue, cliquez ici
  9. Ils en ont parlé à l'émission de Franco Nuovo ce matin à la radio. Des historiens et experts en toponémie ont été interviewés. Ces derniers ne sont pas du tout d'accord, ils ne voient pas pourquoi le nom d'un sportif (sans rien enlever à Maurice Richard) serait donné à un pont qui enjambe un fleuve si important dans l'histoire de l'Amérique du Nord.
  10. Reportage de Radio-Canada sur le sujet : Boom commercial le long de la 15 Nord Mise à jour le jeudi 30 octobre 2014 à 15 h 34 HAE L'entreprise américaine Simon a lancé son deuxième centre commercial Premium Outlets au Canada à Mirabel. Photo : Francis Labbé Un autre centre commercial ouvre ses portes dans la partie nord de la couronne de Montréal, cette fois à Mirabel. Et partout autour de ce centre, la construction de projets commerciaux se multiplie jusqu'à Saint-Jérôme. Un texte de Francis Labbé Les quelque 84 boutiques du centre Premium Outlets Montréal occuperont, une fois la construction finalisée, 34 000 mètres carrés. L'entreprise américaine Premium Outlet possède 84 centres commerciaux du genre dans le monde, dont plusieurs aux États-Unis. Il s'agit d'aménagements commerciaux entre lesquels les clients peuvent marcher à l'abri des intempéries. « C'est un regroupement de détaillants de mode, des designers, avec des rabais constants, jour après jour, entre 25 % et 65 % », explique Sylvie Laporte, directrice générale des Premium Outlets Montréal. « Nous attendons entre 20 000 et 25 000 visiteurs par jour pendant les quatre journées de l'ouverture officielle, soit jusqu'au dimanche 2 novembre », poursuit Sylvie Laporte. Quelque 74 millions de dollars ont été investis dans la phase 1. Une phase 2 n'est pas exclue. [MAPS]https://www.google.com/maps/d/embed?mid=zbFUW1vY6Br4.khkwUau-MIws[/MAPS] Des clients de partout « C'est le premier centre commercial de type outlet que l'on retrouve au Québec », explique Jean-François Grenier, directeur principal chez Altus, firme spécialisée en développement immobilier. « Le centre va desservir non seulement le marché de la Rive-Nord, mais aussi toute la grande région de Montréal et même au-delà. Premium Outlets a ouvert un premier centre à Toronto ces dernières années et ce fut un réel succès. Je crois que leur succès est aussi assuré à Montréal. » — Jean-François Grenier, directeur principal chez Altus « Par contre, il y a une certaine différence entre les centres Premium de Toronto et Montréal », poursuit-il. D'abord, le fait français est encore méconnu de plusieurs détaillants américains, qui hésitent à venir s'établir chez nous. » « Aussi, les marques luxueuses que l'on retrouve dans le centre Premium de Toronto ne se retrouvent pas toutes dans le centre de Mirabel. Le revenu moyen des gens de Toronto est supérieur à celui des Montréalais, et certaines bannières craignent le manque de profondeur de notre marché. Un « boom » commercial le long de la 15 Selon le maire de Mirabel, ce sont près de 3 milliards de dollars qui seront investis dans le seul secteur de la sortie 28 de l'autoroute 15 d'ici cinq ans. Tout près du centre commercial, le promoteur immobilier Danam-Bonzaï veut construire 2500 logements. « Nous voulons offrir des services de proximité à nos acheteurs », explique Ray Jr Courtemanche, copropriétaire de Danam-Bonzaï et président du projet La Cité de Mirabel. « Nous allons construire des édifices commerciaux pour de la restauration, une clinique médicale, des centres de conditionnement physique et un hôtel. » Près de 14 millions de permis de construction ont été accordés dans le cadre du projet Sortie 28 de Blainville. Photo : Francis Labbé Juste à l'ouest de l'autoroute 15, le secteur Blainville développe le projet commercial appelé Sortie 28. Un Walmart y est déjà installé et une dizaine de commerces s'affairent à y construire leurs nouveaux locaux. À la Ville de Blainville, on affirme avoir délivré des permis de construction dont la valeur totalise près de 14 millions de dollars. Lorsque le projet sera terminé - et s'il atteint sa pleine capacité, Blainville évalue les investissements qu'on y retrouvera à 1 milliard de dollars. Plus au nord, à Saint-Jérôme, chaque côté de la 15 compte son développement commercial. À l'est, un promoteur investit 15 millions de dollars. À l'ouest, on retrouve un autre projet, estimé à 10 millions de dollars, auquel s'ajoutera une deuxième phase, évaluée à 7,5 millions de dollars. « Pas surpris » Stéphane Lalande, de l'organisme Laurentides Économiques, n'est pas surpris de voir apparaître autant de projets commerciaux le long de l'autoroute 15. « De 1991 à 2011, explique-t-il, la population des Laurentides a augmenté d'un peu plus de 47 %, alors qu'au Québec, on augmentait d'un peu moins de 15 % pour la même période. Alors ça amène de nouveaux besoins commerciaux. » À elle seule, la population de Mirabel a pratiquement doublé au cours de cette période, et selon les prévisions de l'Institut de la statistique du Québec, augmentera de près de 50 % d'ici 20 ans. L'autoroute 15, vue d'un viaduc de Saint-Jérôme. Photo : Francis Labbé
  11. le truc c'est de chercher sur google et d'ajouter : site:mtlurb.com ​ Exemple :"tour quartier des spectacles" site:mtlurb.com
  12. a bit more info via CJAD : Cavendish extension part of city's capital works plans — again City unveils three-year, $4.5 billion capital works plan Posted on 10/29/2014 1:01:00 PM by Shuyee Lee The city of Montreal will be spending much more than in previous years on its aging and crumbling roads and water mains. The city's capital works budget for 2015-2017 calls for 50% more money to be spent on fixing up its roads than during the last spending plan. The budget is pegged at a little more than $4.5 billion, 20% more than the last capital works program. It also promises $62 million more for the boroughs. Investment for road and water main work makes up nearly 60% of the spending plans. In his first capital works plan since elected mayor, Denis Coderre said the boost in spending is justified. "The bottom line: it costs less to keep our assets in shape than to make expensive urgent repairs," Coderre told a news conference. "We also realize that such work must be done with greater efficiency. It's one thing to choose a project and another to carry it out." Money is also devoted to fixing up parks, arenas and other cultural and sports facilities. Among the planned projects: the long-awaited Cavendish extension. $13.5 million is allocated for plans to begin in 2017. Work is slated to begin in 2020, even 2019 if they follow an "aggressive" timetable, and it's expected to be done by 2023 or 2022 in the more ideal scenario. The total cost is pegged at $68.5 million. Another envisioned project: the extension of Jacques Bizard Boulevard in the West Island, with work expected to begin in 2019 and finish in 2020. An initial $1.3 million is set aside, the total project estimated at around $55 million. The city is also investing about $300 million for projects linked to the city's 375th anniversary in 2017. If all goes well, the capital works plan should be approved by council next month.
  13. via Montreal Gazette (en passant, je n'aime pas le nouveau logo du journal ) Capital works: Bonaventure a go, Cavendish in 2020, no date for Notre-Dame JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE Published on: October 29, 2014 Last Updated: October 29, 2014 7:14 PM EDT The city of Montreal will complete the transformation of the Bonaventure Expressway into an urban boulevard by 2017, Mayor Denis Coderre said Wednesday. The project, to bring the downtown expressway that leads to the Champlain Bridge to ground level, is one of the priorities outlined in the city’s three-year capital works budget, made public on Wednesday. Coderre said the Bonaventure, which will be renamed Robert-Bourassa Blvd., is one of the legacy projects to mark the city’s 375th anniversary in 2017 at a cost of $74.1 million. “Of course (it will be completed in time),” Coderre said. The project, which would bring more green space into the area south of downtown, is seen as a key element of developing Griffintown, a former industrial neighbourhood undergoing a major transformation. Hundreds of millions in public and private funds will be poured into the downtown neighbourhood over the next decade to build condos, shopping centres, parks and an improved road infrastructure. However, the Bonaventure transformation has been mired in delays since it was first announced in 2002. Coderre said the city is trying to improve its success rate in completing projects, and Bonaventure is one of several delayed projects he has committed to rectify. He has also pledged to complete the extension of Cavendish Blvd., linking Notre-Dame-de-Grâce and Côte-St-Luc with Town of Mount Royal and St-Laurent, through the old Blue Bonnets racetrack. The link, which has been talked about for more that 70 years, would give Côte-St-Luc residents better access to the Namur métro station, and would also be an alternative to the often-jammed Décarie Expressway. The link would also be a key access to a planned residential development around the former horse racing track. The Cavendish project was also outlined in Wednesday’s 2015 to 2017 capital works budget, though construction will start in 2020, or 2019 “with an aggressive time frame,” according to the document made public Wednesday. It’s expected the work will last three years and cost $129 million, excluding costs to acquire the land for the roadway. While the completion of Cavendish will be good news for west-end residents, those in the east end will have to wait longer for the modernization of Notre-Dame St., a project which has also been delayed several decades. While the budget lists Notre-Dame as one of the city’s major projects, there is no time frame for when work will start. Coderre said the city had to make priorities, and Notre-Dame didn’t make the cut. “There’s only so much we can do,” he said, adding that the city is still in the planning stages of that project to outline exactly how it will look and how it would integrate with an eventual bus-rapid-transit network. “It’s a work in progress.” jmagder@montrealgazette.com
  14. via Montreal Gazette (en passant, je n'aime pas le nouveau logo du journal ) Capital works: Bonaventure a go, Cavendish in 2020, no date for Notre-Dame JASON MAGDER, MONTREAL GAZETTE Published on: October 29, 2014 Last Updated: October 29, 2014 7:14 PM EDT The city of Montreal will complete the transformation of the Bonaventure Expressway into an urban boulevard by 2017, Mayor Denis Coderre said Wednesday. The project, to bring the downtown expressway that leads to the Champlain Bridge to ground level, is one of the priorities outlined in the city’s three-year capital works budget, made public on Wednesday. Coderre said the Bonaventure, which will be renamed Robert-Bourassa Blvd., is one of the legacy projects to mark the city’s 375th anniversary in 2017 at a cost of $74.1 million. “Of course (it will be completed in time),” Coderre said. The project, which would bring more green space into the area south of downtown, is seen as a key element of developing Griffintown, a former industrial neighbourhood undergoing a major transformation. Hundreds of millions in public and private funds will be poured into the downtown neighbourhood over the next decade to build condos, shopping centres, parks and an improved road infrastructure. However, the Bonaventure transformation has been mired in delays since it was first announced in 2002. Coderre said the city is trying to improve its success rate in completing projects, and Bonaventure is one of several delayed projects he has committed to rectify. He has also pledged to complete the extension of Cavendish Blvd., linking Notre-Dame-de-Grâce and Côte-St-Luc with Town of Mount Royal and St-Laurent, through the old Blue Bonnets racetrack. The link, which has been talked about for more that 70 years, would give Côte-St-Luc residents better access to the Namur métro station, and would also be an alternative to the often-jammed Décarie Expressway. The link would also be a key access to a planned residential development around the former horse racing track. The Cavendish project was also outlined in Wednesday’s 2015 to 2017 capital works budget, though construction will start in 2020, or 2019 “with an aggressive time frame,” according to the document made public Wednesday. It’s expected the work will last three years and cost $129 million, excluding costs to acquire the land for the roadway. While the completion of Cavendish will be good news for west-end residents, those in the east end will have to wait longer for the modernization of Notre-Dame St., a project which has also been delayed several decades. While the budget lists Notre-Dame as one of the city’s major projects, there is no time frame for when work will start. Coderre said the city had to make priorities, and Notre-Dame didn’t make the cut. “There’s only so much we can do,” he said, adding that the city is still in the planning stages of that project to outline exactly how it will look and how it would integrate with an eventual bus-rapid-transit network. “It’s a work in progress.” jmagder@montrealgazette.com
  15. En affaires, le client a toujours raison... même si tu as les meilleures idées du monde... des fois, ils ne veulent juste pas comprendre Ça me fait penser à ce vidéo
  16. Sur la page Facebook du projet : En date du 22 octobre :
  17. ScarletCoral

    375th B-day

    C'est beaucoup de projets! Combien vont être finis pour 2017?
  18. Et bien, il me semble que j'avais entendu qu'il voulait même rester jusqu'aux prochaines élections via Radio-Canada : Richard Bergeron quitte la direction de Projet Montréal Mise à jour le lundi 27 octobre 2014 à 8 h 26 HAE Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, quitte la direction du parti. Il en fera l'annonce à 11 h ce matin en compagnie de celui qui deviendra le chef intérimaire. On ignore toutefois qui lui succédera. Après les élections municipales en novembre dernier, Richard Bergeron avait dit qu'il quitterait éventuellement la formation qu'il a lui-même créée. Mais il avait déclaré récemment qu'il pourrait aussi rester, puisqu'il aimait le travail que lui a confié le maire Denis Coderre. En février dernier, le nouveau maire de Montréal lui a en effet confié la direction du dossier du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, dans l'est du centre-ville de Montréal. Richard Bergeron est l'un des principaux idéateurs de ce projet, qui consiste à recouvrir la tranchée formée par l'autoroute Ville-Marie afin d'y aménager des espaces verts et des places publiques.
  19. ScarletCoral

    375th B-day

    Il y a une conférence de presse à 10h ce matin au sujet du 375e
  20. Via The Boston Globe : Montreal’s Little Burgundy, Mile Ex are getting hip artfully By Christopher Muther | GLOBE STAFF OCTOBER 18, 2014 CHRISTOPHER MUTHER/GLOBE STAFF Canned vegetables were seen at Dinnette Triple Crown. Life was taking place behind glowing windows on this preternaturally balmy October night. On a walk in Montreal’s Little Burgundy neighborhood, the streets were quiet but inside restaurants were buzzing and the city’s jeunesse dorée were shoulder-to-stylish-shoulder at gallery openings. If it sounds like I’m romanticizing the scene, I am. I had struck travel pay dirt: a hot new neighborhood laid at my feet, and I had a night to aimlessly explore this turf called Little Burgundy. In my usual know-it-all fashion, I thought I had thoroughly chewed and digested the hot neighborhoods of Montreal years ago. As usual, I was wrong. I knew that the Mile End neighborhood was chockablock with the cool kids (genus Hipster). I was also aware that Old Montreal, the part of the city that was once jammed with tatty gift shops, is now very chic and grown-up. Not so long ago I came to Old Montreal with the intention of writing a story about how Old Montreal is the new Montreal. I was too lazy to write the story — please don’t tell my editor — but my theory was correct. The area is now known for its celebrity chef restaurants and art galleries. Which brings us back to this balmy October night in Little Burgundy. Until a few weeks ago, I thought Little Burgundy was an inexpensive red wine. Nope. It was once a working class neighborhood that has blossomed into a hamlet dotted with incredible restaurants and boutiques. For the sake of ease, I’m going to group Little Burgundy with the Saint-Henri and Griffintown neighborhoods. All are in the southwest part of the city and have a rough-around-the-edges, blue-collar history. The neighborhood volte-face began with the cleanup of the Lachine Canal. Artists scrambled for inexpensive studio space. This inevitably brought in the beginnings of gentrification and a rush of 20- and 30-somethings on the hunt for affordable housing. The scene is anchored by Atwater Market in Saint-Henri. Atwater, a mega farmer's market, is housed in a beautiful Art Deco tower. Set aside an hour or two to wander the aisles and check out the produce, much of it from farms around Quebec. I passed rows of passionate red raspberries and strawberries, but opted for locally made chocolates. We all know a man needs a little sugar to keep up his strength. When I began my Little Burgundy evening excursion, I started with restaurants from the pioneering chefs who rode covered wagons into this new frontier and set up shop. Joe Beef opened in 2005 and received a considerable boost when celebrity chef Anthony Bourdain dropped in. The English pub Burgundy Lion sits across the street. It’s part sports bar and part restaurant. I stayed long enough for a drink, but failed miserably when it came to discussing sports. I wanted to chat about the prosecco-scented soap I purchased earlier in the day at a boutique called Beige. The gent on the bar stool next to me wanted to talk about Canadian football. “Who do you think is going to take it?” he asked. “The Alouettes or the Redblacks?” The Alouettes sounded like an effete, all-male a cappella act, so I said the Redblacks. Naturally the Alouettes won. I needed a place where I felt slightly more comfortable discussing my prosecco-scented soap. The trouble was choosing. I passed Tuck Shop, Bitoque, Evvo, and the Drinkerie. All looked pretty wonderful. I stopped in at Code Ambiance, but felt woefully underdressed — and blasted my slovenly American ways! I walked a few doors down to a steak house called Grinder. Like a latter-day Goldilocks, I declared, “This one is just right!” I settled at the bar to start on an amazing meal. Not long after, an animated couple appeared at my side, eager to talk. I love talking to new people, particularly locals, when I’m on the road. But this conversation was making me nervous. It starting getting a bit salty for my liking (I’m not talking about the food), peppered with questions that left me blushing. One of the few French phrases I know, ménage à trois, felt like it was about to be introduced into the conversation. I came up with a hasty excuse to leave, paid the check, and rushed back to my hotel. I guess prosecco-scented soap is a bit of an aphrodisiac. You’ve been warned, people. Sufficiently frightened to go back to Little Burgundy, I met up with my friends Alexis and Julien at a Russian-themed cocktail bar called Kabinet (it’s connected to another Russian-themed bar called Datcha) the next night in Mile End. The conversation focused on Mile Ex, another of Montreal’s hottest new neighborhoods. Like Little Burgundy, I had never heard of Mile Ex. But Julien and Alexis said this once rough-hewn ’hood, which is less than a square mile squeezed between Little Italy and a highway, is also going through a resurgence. More condominiums are going in, and more restaurants are following suit. After cocktails and bowling at the charmingly divey Notre-Dame-des-Quilles (known as NDQ by locals), I drafted a Mile Ex plan for the next day. Mile Ex is very easy to walk (or bike), so I started exploring by going to Marché Jean-Talon on the edge of Little Italy and Mile Ex. Like Atwater Market, the place is mammoth and filled with incredible produce. Again, I skipped anything remotely healthy and jumped to the poutine booth. Bubu Restaurant Gringer One of the first restaurants to open in Mile Ex was Dinette Triple Crown, which didn’t arrive intending to be a forebear of great things to come; the owners say it was pure coincidence and good timing. It’s an unpretentious place where you can order Southern comfort food. Contrast that with Mile Ex’s latest eatery, le Ballpark, which specializes in meatballs. Yes, meatballs. For such a tiny area, there are some fantastic places here. My favorite (not that you asked) was Manitoba, which also opened this summer. “We wanted a taste of the forest in our plates, a taste of nature in our glasses,” reads the restaurant’s website. Much of the food was local and the look of the space was chic and rustic. Braver souls can sample deer heart and veal tongue. I played it safe with duck. I encountered more friendly Montrealers at Manitoba — thank you again prosecco-scented soap — who invited me to a very illegal party at an abandoned warehouse. Generally when I hear the words “illegal” and “party,” I don’t hesitate. It was one of those glorious nights where DJs ironically played music from 1990 to 2000 while revelers danced in a crumbling space that looked like a set from “The Walking Dead.” If you’ve never experienced Technotronic’s “Pump Up the Jam” in an abandoned Canadian warehouse, you don’t know what you’re missing. Even as I write these words I’m feeling guilty. I want to tell people about Little Burgundy and Mile Ex, but I don’t want to ruin these places by turning them into tourist destinations. I want to greedily keep them to myself. If the masses begin descending, will there be enough meatballs left for me at le Ballpark, poutine at Marche Jean Talon, warehouse dance parties, and swingers on the prowl at Grinder? OK, I’ll make a deal: You take the swingers, I’ll keep the poutine. PATRICK GARVIN/ GLOBE STAFF Christopher Muther can be reached at christopher.muther@globe.com.
  21. Le temps qu'ils soient mis en service, je n'aurai plus besoin d'utiliser le métro pour aller travailler.... via La Presse : Publié le 25 octobre 2014 à 07h00 | Mis à jour à 07h00 Nouveau retard pour les voitures du métro Marie Tison La Presse La mise en service des nouvelles voitures du métro de Montréal est à nouveau retardée. Déjà, le projet avait au moins huit mois de retard. Un nouveau délai de quatre mois vient de s'ajouter en raison d'un logiciel qui ne serait pas encore au point. «Vous ne pouvez pas transporter de passagers tant que vous n'avez pas votre système automatique de contrôle de train, a déclaré le porte-parole de Bombardier Transport, Marc Laforge, dans une entrevue téléphonique avec La Presse Affaires hier. Ce logiciel n'est toujours pas au point.» M. Laforge a montré du doigt le fournisseur du logiciel, Ansaldo STS, à Pittsburgh. «Il est responsable de la livraison du logiciel, et il y a toujours des retards», a-t-il déploré. À l'origine, les nouvelles voitures du métro de Montréal devaient entrer en service en mars 2014. Une première série de délais a forcé le consortium Bombardier-Alstom à reporter cette mise en service au premier trimestre 2015. En raison du nouveau retard, cette mise en service est reportée au deuxième trimestre. En vertu du contrat d'acquisition des voitures, la Société de transport de Montréal (STM) pourrait imposer une pénalité de 10 000$ par jour de retard. Cette pénalité atteindrait aujourd'hui près de 2 millions. «Nous avons suspendu temporairement le paiement des pénalités, a affirmé la responsable des affaires publiques à la STM, Odile Paradis, dans un entretien avec La Presse Affaires. Là, ce n'est peut-être pas le temps de parler de pénalités, nous voulons faire avancer le dossier, mais c'est clair, en aucun temps elles ne seront réduites.» M. Laforge a indiqué que le consortium Bombardier-Alstom discutera de pénalités avec la STM à la fin du projet, mais aussi avec ses propres fournisseurs. «Nous ferons le point à la fin: qu'est-ce qui a été la cause des retards? a-t-il lancé. En attendant, il faut mener le projet à terme.» C'est en 2010 que la STM a accordé au consortium Bombardier-Alstom un contrat de 1,2 milliard pour la livraison de 468 nouvelles voitures de métro. Le consortium continue d'affirmer qu'il aura livré toutes les voitures au cours de l'automne 2018, comme prévu. «Le consortium nous a assuré qu'il va récupérer le temps perdu», a déclaré Mme Paradis. Mauvaise nouvelle de Boston Par ailleurs, Bombardier Transport a perdu un important contrat à Boston aux mains d'une société chinoise. Au cours d'une rencontre mercredi soir, le conseil d'administration du département des transports du Massachusetts a décidé d'accorder à la société chinoise CNR MA un contrat pour la fourniture de 284 voitures pour le métro de Boston. Le contrat est assorti d'options sur 58 voitures additionnelles. La proposition de Bombardier Transport pour l'ensemble des voitures atteignait 1,08 milliard US. La proposition de CNR était pratiquement 2 fois moins élevée, soit 566 millions US. «C'est sûr que nous sommes déçus, a déclaré M. Laforge hier. Chaque fois que nous participons à un appel d'offres, c'est pour le gagner.» Il a toutefois souligné le fait que la valeur de la proposition chinoise était inférieure de 200 millions US au montant estimé par des consultants engagés par le département des Transports pour l'ensemble du contrat. CNR a offert d'assembler les voitures dans une nouvelle usine à Springfield, au Massachusetts. Toutefois, les composants seront fabriqués en Chine. Pour sa part, Bombardier entendait fabriquer les composants et les assembler à son usine de Plattsburgh, dans l'État de New York. Elle devait faire effectuer certains travaux à son usine de La Pocatière, notamment la soudure au laser.
  22. Les deux premiers étages vont avoir l'air de ça : On voit un escalier mobile qui mène au 2e à droite de l'entrée et vu de l'arrière :
  23. Google s'implique!! Le communiqué de presse : Notman House brings Montreal into Google's North American Tech Hub Network Google CFO Patrick Pichette commends Montreal's "world-class" startup community MONTREAL, Oct. 24, 2014 /CNW Telbec/ - The OSMO Foundation is pleased to announce that Notman House will now be part of the Google for Entrepreneurs Tech Hub Network, becoming one of two tech hubs in Canada to join this dynamic network of nine leading startup spaces across North America. "We are thrilled to welcome Notman House into Google's Tech Hub Network and to support Montreal's world-class community of startup talent," said Patrick Pichette, Google's Chief Financial Officer. "Our team has been incredibly impressed with the great work Notman House has done in Montreal to support and grow the startup community, and we are excited to work with them to do even more." As a part of this partnership, the Notman House team will collaborate with Google and the eight other Tech Hubs across North America. Founded in 2013, the Tech Hub Network is the first formal network of its kind and connects leading startup hubs fueling local entrepreneurship in cities including Chicago, Denver, Austin, and Kitchener-Waterloo, among others. Google provides these tech hubs with funding, mentorship opportunities, Google training, and Google products, including access to the $100K Google Cloud Platform for Startups program. With the Google for Entrepreneurs Global Passport, entrepreneurs from each hub can also work for free from any other hub in the network. "We're very excited to be working with the Google for Entrepreneurs team and to join this growing network of leading North American tech hubs," said Noah Redler, Notman House Campus Director. "This partnership will help us ensure that Montreal's most promising startups and entrepreneurs have access to a broad, international community where they can go for inspiration, innovation and networking with people living the same reality as them." Media are invited to attend a special fireside chat with Patrick Pichette at Notman House to celebrate this announcement: [TABLE=class: prnsbb0 prnsbl0 prnbcc prnsbt0 prnsbr0] [TR] [TD=class: prngen2]What: [/TD] [TD=class: prngen2]Fireside chat with Patrick Pichette, Chief Financial Officer, Google[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: prngen2]Where: [/TD] [TD=class: prngen2]Notman House[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: prnsbtb0 prntar prnsblb0 prnpl6 prnpr6 prnvab prnrbrb0, align: right][/TD] [TD=class: prngen2]51 Sherbrooke West, Montreal[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: prngen2]When: [/TD] [TD=class: prngen2]3:00 PM, Friday, October 24[/TD] [/TR] [/TABLE] For additional information, visit the Google Canada blog: http://googlecanada.blogspot.ca/ About the OSMO Foundation Founded in 2009 on the initiative of investors, technology and media managers and the web community, the OSMO Foundation is a non-profit organization that aims to promote and support the development of a new generation of technology and Internet professionals and entrepreneurs. SOURCE Fondation OSMO For further information: OSMO Foundation / Notman House, Noah Redler, Campus Director, noah@notman.org, cell: 514-561-9474
  24. ah c'est eux que j'ai vu hier dans le coin du Palais des Congrès et de la Caisse de dépôt. Ils avaient tous des t-shirts bleus et balayaient les trottoirs.
  25. ScarletCoral

    Quartier Concordia

    Le tunnel entre Bonaventure et le terminus de bus (ou est-ce la gare centrale) n'est pas mieux... Est-ce que il fait toujours aussi chaud qu'un sauna dans la station Guy-Concordia?
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