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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Le terrain vert à côté de la phase 1 sera occupé par un autre îlot d'édifices D'après vous, est-ce que la phase 4 sera celle collée à la 2 et 3?
  2. Dans le Devoir : Vers un Centre de design dans le Vieux-Longueuil L’Agence PID veut transformer l’ancienne maison funéraire Darche 12 août 2014 Frédérique Doyon Photo: Annik Mh De Carufel Le Devoir Une demeure victorienne située dans le Vieux-Longueuil, une ancienne maison funéraire, pourrait devenir un centre de design où se rencontreraient des gens du milieu du design et de la communication. Longueuil pourrait bientôt accueillir un nouveau Centre de design. L’Agence PID, qui pilote aussi le Salon international de design de Montréal (SIDIM), s’est portée acquéreur de l’ancienne maison funéraire Darche, édifice d’intérêt patrimonial dans l’arrondissement historique du Vieux-Longueuil, qu’elle compte transformer en lieu de formation et de lancement de produits. La transaction devrait se conclure d’ici l’automne. « Ça fait quelques années qu’on cherche un endroit où on pourrait offrir des ateliers de formation, un centre d’affaires qui permettrait aux gens de l’industrie du design et des communications, dont les nombreux travailleurs autonomes, de se rencontrer », explique au Devoir Ginette Gadoury, coprésidente de l’Agence PID, qui a fondé les magazines Décormag et Intérieurs, le SIDIM et les Grands Prix du design. Très différent du Centre de design de l’UQAM, qui tient lieu de galerie d’exposition, le projet longueuillois vise à doter la grande famille du design québécois d’un lieu de rencontre, de formation et d’exposition de produits. Les bureaux de l’Agence PID, qui comptent une dizaine d’employés, y logeront. Le rez-de-chaussée, destiné au centre d’affaires et de formation, pourra accueillir entre 30 et 50 personnes. La demeure de style victorien appartient à un holding texan qui compte des maisons funéraires dans toute l’Amérique. Elle a été mise en vente l’an dernier au prix de 1,4 million de dollars. Un prix que l’Agence PID, en négociation avec le propriétaire depuis l’été 2013, estime exagéré compte tenu de l’état du bâtiment. Feu vert Le conseil d’arrondissement du Vieux-Longueuil a déjà donné le feu vert à un changement de zonage essentiel aux réfections de la maison historique, qui n’a pas été rénovée depuis 1965. « L’offre d’achat est conditionnelle à l’obtention de changements de zonage, car la bâtisse et son terrain de stationnement sont à cheval sur un zonage commercial et résidentiel. Et on ne pouvait pas réparer l’arrière du bâtiment sans ce changement », indique Mme Gadoury. Le promoteur veut faire percer des fenêtres au mur arrière — laissé aveugle pour les besoins de l’ancien centre funéraire. Elle doit aussi réaliser des mises à niveau majeures. « Tout est à refaire, signale Mme Gadoury. La bâtisse n’est pas conforme aux normes actuelles de la construction. Nos ingénieurs et architectes travaillent là-dessus. » La Ville de Longueuil confirme au Devoir une autre étape importante, soit l’avis favorable du conseil local du patrimoine. Une liste d’exigences architecturales a toutefois été soumise au promoteur en juin dernier, la maison étant sise dans une zone patrimoniale. L’Agence PID a également obtenu des lettres d’appui de l’Association des résidants du Vieux-Longueuil et de l’Association des commerçants de la rue Saint-Charles, « ce qui est très rare », signale Mme Gadoury, qui connaît la communauté protectrice de son caractère historique, puisqu’elle y réside. « Notre projet s’inscrit bien dans celui du Vieux-Longueuil. Il y a une vingtaine de restaurants qui ont perdu beaucoup de clients avec le quartier DIX30. » Reste à achever l’évaluation des travaux à réaliser et à soumettre les plans architecturaux à la Ville de Longueuil, lors de la demande de permis de construction. Le processus devrait aboutir en septembre. Construite en 1898, la résidence fut d’abord celle de Bruno Normandin, maire de Longueuil de 1882 à 1891, puis de nouveau de 1891 à 1892 et de 1907 à 1908. La partie arrière a été ajoutée en 1956 quand l’entreprise funéraire d’Édouard Darche a racheté la demeure, dont l’extérieur est resté à peu près intact.
  3. Dans le Devoir d'aujourd'hui. L'article est payant, mais pas les photos Les étudiants entrent au couvent Photo: Pedro Ruiz Le Devoir La chapelle transformée en magistrale salle de lecture de 300 places. Le salon rouge occupe désormais son chœur. Photo: Pedro Ruiz Le Devoir La chapelle transformée en magistrale salle de lecture de 300 places. Photo: Pedro Ruiz Le Devoir La chapelle transformée en magistrale salle de lecture de 300 places. Le salon rouge occupe désormais son chœur. Photo: Pedro Ruiz Le Devoir Photo: Pedro Ruiz Le Devoir Photo: Pedro Ruiz Le Devoir Pour mettre à niveau les rampes de l'édifice, l'architecte Robert Magne a conçu ces ajouts délicats et très contemporains. Photo: Pedro Ruiz Le Devoir La chapelle transformée en magistrale salle de lecture de 300 places. Le salon rouge occupe désormais son chœur. Photo: Frédérique Doyon La cafétéria de la Résidence compte deux sections. Dans celle-ci, on mange ce qui est préparé par les services alimentaires de l'institution universitaire. L'autre, The Pantry, est une expérience inédite: elle permet aux étudiants d'y concocter eux-mêmes leurs plats. Toute la préparation alimentaire qui dessert les différentes cafétérias et comptoirs du campus a d'ailleurs été centralisée dans l'ancienne et magnifique cuisine des sœurs, dans une annexe de l'édifice. Photo: Frédérique Doyon Une chambre d'étudiant Photo: Frédérique Doyon La crypte de la maison mère des Sœurs grises est un lieu hautement symbolique pour la communauté. Les dépouilles de plusieurs religieuses y reposent. Le site demeure la propriété de l'Ordre afin de permettre à ses membres de le visiter à leur guises. Photo: Alain Renaud Le Devoir Site de la Maison Mère et de la Chapelle de l'Invention-de-la-Sainte-Croix des Sœurs Grises. Photo prise en 1973
  4. Les gens viennent à peine d'y emménager et il y a déjà une pancarte Du Proprio
  5. La pancarte est tjs accrochée au 400 Dowd...
  6. Je suis tellement contente que Devimco n'ait pas pu acheter tous les terrains qu'ils convoitaient pour leur mega projet imaginé en 2007. http://images.lpcdn.ca/924x615/200902/17/48848-esquisse-projet-immobilier-griffintown.jpg
  7. Ah j'ai retrouvé l'image du site web qui indiquait les numéros des phases avant qu'elles soient renommées par secteur http://districtgriffin.com/blog/wp-content/uploads/2014/02/Plan_District-Griffin-copy.jpg
  8. Donc, la phase 3 c'est l'édifice en L qui fait le coin Peel/Ottawa? et 4 c'est celle qui est plus au sud sur Peel? J'ai toujours cru que les phases 3 et 4 formaient le L ... Et que l'édifice plus au Sud sur Peel serait une phase future... et rien n'a contredit cette impression sur le site web quand j'ai regardé les plans.
  9. Dans un article de la Gazette sur les micro-condos : Je me demande si "the project's next phase" égale la phase 4 ou la phase 5. Les unités de la phase 4 étaient vendues en même temps que celles de la phase 3 non?
  10. via The Gazette : Market is growing for shrinking spaces BY JASON MAGDER, THE GAZETTE AUGUST 22, 2014 5:42 PM MONTREAL -- The trend of micro condos, already in full force in cities like New York, Vancouver and Toronto is well underway in this city, too. In New York, for example, a woman gained Internet fame when she showed off her , complete with mini-fridge and sitting area. Another Lower Manhattan condo was much larger, at 420 square feet, but its movable walls allowed for two bedrooms, an office, living room, dining room and kitchen (the stove is a hot plate) in the tiny space, though not all at the same time. It was recently listed for sale at nearly $1 million. While residents of other cities have made do with tiny spaces for several years, micro condos are only a relatively new concept in Montreal. The bulk of the tiny condos in this city are concentrated in the downtown and Griffintown districts. As part of the District Griffin project, about 40 condo units as small as 350 square feet were included in the third phase of construction. Called “Condo Genius,” the units sell for $135,000, and they come fully furnished for $25,000 more. The fully furnished versions come with a Murphy bed, a fold-out ironing board, a dining room table that expands to fit 10 people, and a set of dining room chairs that stack into each other . The Genius condos are selling well, says real estate agent Debby Doktorczyk, the president of McGill Real Estate. “When we launched these units, we had success as if it were a project launch. We sold 20 condos in one night, so that’s pretty good for Montreal,” Doktorczyk said. “(The condos are) very interesting for a first-time buyer, and for investors, and they are good for people who live outside the city, but want to have a pied-à-terre in Montreal.” They sold so well, the developer decided to build 40 more for the project’s next phase, and those are already 80 per cent sold, Doktorczyk said. But if 350 square feet seems too large for you, a smaller condo is available just a few blocks away as part of the Lowney-sur-Ville development on Notre Dame West, also in Griffintown. At 286 square feet, the units are said to be the smallest new condos in the country, according to BuzzBuzzHome, a listing service for new homes, but those units are not even the smallest in the building. One unit as small as 267 square feet has already been sold. The Greater Montreal Real Estate Board didn’t have any statistics based on the size of condo units. However, according to BuzzBuzzHome, the median size of a new studio condo in Montreal is 480 square feet. That compares to 420 square feet in Toronto, 440 square feet in Ottawa and 477 in Vancouver. “Micro condos are mostly seen in hyper-dense areas like New York City or Tokyo, but in the last few years, we’ve been seeing them in Canada, too,” said Monika Warzecha, the associate editor of BuzzBuzzHome. “It’s usually linked to denser cities and rising land prices.” New condo prices remain relatively affordable, Warzecha said. The average listing price is about half of those listed in Vancouver and about 30 per cent less than new listings in Toronto. Warzecha said she was surprised to see Montreal post the smallest condo size in Canada, because condo prices are lower. She speculated that because Montreal has a lot of renters, the micro units could be priced to lure people out of apartments. “In cities like Toronto, a lot of investors are buying them so they can rent them out,” she said. “(In Montreal), the micro condo phenomenon may be because of the large student population, or because of all the renters that are around. I’m not sure it’s as linked to the rising land values.” While the micro condo trend may be here to stay, Warzecha expects the larger condos will still outsell the tiny ones. “I think a lot of people who are first-time buyers are really buying with the future in mind to have enough space for if they partner up or have a child. With a micro condo, you’re really going solo.” Doktorczyk agreed. “There is a demand, but I don’t think it will ever be a majority,” she said. “You’ll never be able to build a whole project around those types of units.” jmagder@montrealgazette.com Twitter: JasonMagder © Copyright © The Montreal Gazette
  11. Ah je n'avais pas vu qu'il y avait un autre bout l'autre côté de la 112. Ça semblerait plus propice [MAPS]https://www.google.com/maps/embed?pb=!1m18!1m12!1m3!1d5935.02457232453!2d-73.3858261589992!3d45.48406790266975!2m3!1f0!2f0!3f0!3m2!1i1024!2i768!4f13.1!3m3!1m2!1s0x4cc90674866f2813%3A0xe3ae1cf4a598fe9d!2sBoulevard+Mo%C3%AFse+Vincent%2C+Longueuil%2C+QC!5e1!3m2!1sen!2sca!4v1408733586254[/MAPS]
  12. via Radio-Canada : Des maires lancent une pétition pour un SLR sur le pont Champlain Mise à jour il y a 45 minutes Les maires d'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, et de Verdun, Jean-François Parenteau, invitent les Montréalais à signer une pétition pour réclamer l'implantation d'un système léger sur rail (SLR) sur le futur pont Champlain. Les deux élus demandent aux gouvernement provincial et fédéral de faire preuve de vision. La pétition est en ligne sur le site de l'Assemblée nationale. « On veut s'assurer que le fédéral, le provincial et le municipal travaillent ensemble pour offrir aux Montréalais une structure digne du 21e siècle. On ne peut pas continuer avec 1200 passages d'autobus par jour dans nos quartiers. » — Le maire de l'arrondissement de Verdun, Jean-François Parenteau Les maires d'arrondissement déplorent la nuisance causée par le passage des autobus qui assurent la navette entre Montréal et le Rive-Sud sur leur territoire respectif. « Le maire Coderre a dit à plusieurs reprises que Montréal doit être à la hauteur d'une ville internationale et le SLR fait partie de ce projet-là », estime le maire de Verdun, Jean-François Parenteau. Il ajoute que « le SLR est du développement économique direct ». Le 27 mai dernier, les élus montréalais ont voté à l'unanimité une motion d'urgence en faveur de l'implantation du SLR. Les maires Dorais et Parenteau demandent maintenant aux autres élus de la région métropolitaine de faire la promotion leur pétition. « C'est important que les gens embarquent », insiste M. Dorais, convaincu que la pétition va faire bouger Québec. Trop d'études Pour le moment, le gouvernement libéral ne ferme pas la porte au SLR, mais semble plutôt privilégier l'option d'un bus rapide. Le premier ministre Couillard a affirmé en juin vouloir évaluer le rapport coûts-bénéfices d'un SRL avant de prendre une décision. Le ministre des Transports du Québec avait quant à lui indiqué attendre l'étude du bureau de projet de l'Agence métropolitaine de Transport, qui doit être complétée d'ici l'été 2015. Mais pour MM. Dorais et Parenteau, le gouvernement s'empêtre avec des études superflues. « Le problème c'est que des études, il y en a depuis belle lurette et [elles] confirment toujours que c'est le SLR qui serait le mieux. » — Le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais Les deux élus reconnaissent que le coût d'implantation du SLR est plus élevé que celui du service rapide par autobus, mais font valoir que le coût d'exploitation est moindre. « Il faut avoir une vision à long terme », plaide le maire Parenteau. « On ne veut pas que par une étude, le gouvernement du Québec trouve un moyen de s'esquiver, a-t-il renchéri. C'est comme si on bâtissait un immeuble ultramoderne avec une cage d'ascenseur, mais qu'on disait aux gens de prendre l'escalier de secours. » La pétition est parrainée par le député de Rosemont, Jean-François Lisée.
  13. Est-ce que le trou actuel correspond seulement à la phase 1 du projet? L'ensemble du projet ne prenait-il pas tout le stationnement juqsu'à la rue St-Henri à l'Est? Il n'aura donc même pas besoin de remblayer
  14. 30 étages? Donc, ce serait l'édifice sur Jeanne-Mance qui serait construit en premier?
  15. Il y avait comme un odeur de moisissure près du site
  16. Voici une autre photo avec le setting biz de ma caméra. Vous prendrez de meilleures photos lors de votre tournée cette fds
  17. Dans cette image du District Griffin phase 5 (sur le Parc), on voit la phase 3 au loin
  18. En effet, ça ressemble au LSV avec les balcons super larges et leurs insertions de jaune On voit aussi le District Griffin sur Peel au loin, mais pas le LSV qui devrait être derrière
  19. Désolée, je n'ai pas vérifié les settings de ma caméra avant de prendre les photos... Elles sont un peu "overexposed". J'ai essayé de les arranger vite vite avec Snapseed. ... et oui, ma lentille est vraiment sale! Prises au 19e étage (en fait, au 18e, car il n'y a pas de 13e ) Vue de la chambre principale, côté ouest ce ne sera plus aussi dégagé quand le District Griffin sur Peel sera monté Vue de la 2e chambre, côté sud... Vue du salon, côté ouest Vue du salon, côté sud [ATTACH]17062[/ATTACH] Insertion de jaune sur le balcon du 10e Balcon d'une unité du 3e, vue de l'intérieur Séparateur entre les unités
  20. J'ai fait ma visite de chantier ce matin... Les travaux avancent bien. Les unités des étages 2 à 6 sont quasiment terminées. Je suis allée voir une unité au 3e, planchers, armoires et électros étaient installés Les balcons au 10e côté Est ont des insertions jaunes et ils ont commencé à installer le revêtement gris sur les parties sans balcon. Photos à venir ce soir, car pas capable d'installer les drivers de mon SLR sur mon ordi au bureau
  21. Je suis passé devant ce matin, il n'y a qu'un trou maintenant. [ATTACH]17065[/ATTACH] [ATTACH]17066[/ATTACH]
  22. Après les micro-condos, allons-nous voir des mini-maisons apparaître sur l'Île? Comme les laneway houses à Vancouver? via LesAffaires : Les mini-maisons s'installent au Québec Édition du 16 Août 2014 La maquette du projet de développement domiciliaire durable, Habitat Multi Générations, à Lantier, dans les Laurentides, où l’on permet désormais la construction de résidences de 350 pieds carrés, et qui comprend le partage de potagers communs. Il y a deux ans, Marc LeBlanc était un expert en informatique. «La pression, la grosse job, être obligé de travailler comme un fou pour payer la grosse hypothèque... J'ai tout laissé ça», dit-il. Ce dernier, qui s'installera à Lantier, dans les Laurentides, d'ici la fin de l'été dans une habitation de 350 pieds carrés (pi2), fait partie du nombre grandissant d'adeptes des mini-maisons. Le mouvement des mini-maisons, des structures de moins de 1 000 pi2, a vu le jour aux États-Unis au début des années 2000 et a pris son envol au moment de la crise de 2008. Le mouvement s'est ensuite répandu au Canada anglais grâce à l'arrivée de quelques entreprises. Mais jusqu'à présent, les Québécois qui désiraient une mini-maison devaient opter pour l'autoconstruction, en se basant sur des plans américains conçus pour des températures plus clémentes. Ces derniers mois toutefois, des entrepreneurs québécois ont commencé à investir le secteur. Parmi eux, Gabriel Parent-Leblanc, détenteur d'une maîtrise en gestion de l'environnement et spécialisé en chauffage et en efficacité énergétique. Il a fondé l'an dernier Habitations Microévolution, une entreprise qui propose des petites maisons écologiques et abordables. Il y voit une occasion d'affaires évidente. «Le prix des maisons a doublé de 2000 à 2010, explique-t-il. Et beaucoup de gens veulent vivre mieux, avec moins de bébelles.» Ses maisonnettes sur roues, qu'il offre depuis le début d'août, mesurent de 175 à 225 pi2. Il vendra aussi des plans et des remorques de base pour l'autoconstruction. Les usages des mini-maisons sont très diversifiés. «Elles peuvent servir de résidence principale, mais aussi de chalet ou encore comme ajout à une résidence pour loger les grands-parents ou pour installer un bureau ou un commerce», dit-il. Ses clients cibles ? Des jeunes professionnels à leur premier emploi, des couples sans enfants ou des célibataires. Les maisons se détailleront autour de 40 000 $. Un défi important demeure : rares sont les municipalités qui permettent la construction de maisons de moins de 750 pi2. C'est ce à quoi s'est appliqué le projet de développement domiciliaire durable Habitat Multi Générations. L'entreprise d'économie sociale a fait modifier la réglementation de Lantier. La taille minimale y est passée de 750 à 350 pi2. L'entreprise y offrira des maisons clés en main, mais aussi du soutien à l'autoconstruction. Aucune limite de taille n'est prévue, ce qui permettra l'établissement de familles. L'objectif est d'offrir un accès à la propriété et un milieu de vie. Les maisons et le terrain, qui se détailleront entre 80 000 $ et 150 000 $, comprendront des potagers communs. «Nous visons l'autonomie résidentielle, financière et alimentaire», explique Fernand Stuart, un des fondateurs de l'entreprise de systèmes de ventilation Venmar aujourd'hui retraité qui a initié le projet. Des 120 terrains disponibles, 21 ont déjà trouvé preneur. À son avis, ce mouvement recèle plusieurs occasions. Habitat Multi Générations est en pourparlers avec une dizaine de municipalités en Estrie, dans Lanaudière et dans l'Outaouais pour des projets similaires. «Parmi les 1 134 municipalités du Québec, une centaine ont des besoins similaires», dit-il. Darcom Innovations, une entreprise de Boisbriand, dans les Laurentides, spécialisée dans les habitations faites à partir de conteneurs recyclés, vient d'ailleurs de conclure une entente pour un projet du genre avec une ville de l'Outaouais (dont le nom reste confidentiel). «Les municipalités sont en train de changer», constate le président Daniel Rodrigue, qui compte aussi offrir des maisons sans terrain au printemps 2015. L'entreprise, découverte à l'émission Dans l'oeil du dragon au printemps dernier, comptera bientôt Alexandre Taillefer parmi ses actionnaires. Celui-ci a remporté la mise lors de l'émission. Notons que la présentation de Darcom avait donné lieu à un bras de fer épique entre les «dragons»... À n'en pas douter, les mini-maisons ont la cote.
  23. Dans LaPresse : Publié le 20 août 2014 à 00h00 | Mis à jour à 00h00 Boulevard Robert-Bourassa: l'ex-maire Tremblay salue la décision L'ancien maire Gérald Tremblay ne peut qu'applaudir la décision de son successeur, Denis Coderre, de renommer la rue University «boulevard Robert-Bourassa» à partir du futur tronçon urbain de l'autoroute Bonaventure jusqu'au boulevard René-Lévesque. «Il s'agira d'une entrée prestigieuse sur Montréal», a-t-il dit. Dans un rare entretien depuis sa démission à la tête de Montréal, M. Tremblay a tenu à préciser à La Presse qu'il s'agissait de l'aboutissement d'un travail d'équipe avec l'administration municipale et le gouvernement du Québec. «Je ne peux que [saluer] la décision, a-t-il répété plusieurs fois. J'ai toujours voulu l'honorer.» Sur un ton posé, il a ensuite expliqué qu'il avait retenu cette option après la controverse de 2006 autour du choix de l'avenue du Parc. Le travail était si avancé que les panneaux indicateurs étaient fabriqués. Toutefois, la famille aurait voulu quelque chose de plus «grand», a-t-il affirmé. «Un boulevard à la mémoire de l'ancien ministre qui a dirigé le Québec, et ce, à partir du pont Champlain», a-t-il précisé. «La famille aurait voulu quelque chose de plus grand, à partir du pont Champlain, mais c'était de juridiction fédérale. C'était compliqué. Vous savez, le sommaire décisionnel [motion] était prêt à changer le nom de la rue University en l'honneur de Robert Bourassa. On avait même l'accord de Québec. J'avais même fait faire les panneaux, l'un à la hauteur de Saint-Jacques, l'autre à l'intersection René-Lévesque», a-t-il expliqué à La Presse. Une annonce la semaine prochaine Comme le rapportait La Presse hier, le maire Denis Coderre a prévu en faire l'annonce en grande pompe dans le hall d'honneur de l'hôtel de ville, le 27 août prochain. Les proches de Robert Bourassa ont déjà commencé à recevoir leur carton d'invitation. Et la haute direction de l'Université McGill s'est déjà montrée favorable au changement de nom de la rue University à partir de la rue Notre-Dame jusqu'au boulevard René-Lévesque. Loin d'en vouloir au maire Denis Coderre de s'en attribuer le mérite dans quelques jours, M. Tremblay a ajouté que les politiciens s'inscrivent toujours dans la continuité. «Nous bâtissons sur des réalisations. L'important, c'est d'enfin honorer l'ex-premier ministre.» À ce sujet, il a rappelé que M. Bourassa lui avait fait confiance en 1989 quand il l'avait nommé ministre de l'Industrie, du Commerce et de la Technologie. Il a ensuite été président de la Commission de l'économie et du travail. «Il m'a fait confiance durant ces sept années. J'ai eu une relation privilégiée avec lui», a-t-il dit, avant de rappeler qu'il a été maire de Montréal durant onze ans. En ce qui concerne l'épisode noir de l'avenue du Parc, il a expliqué qu'il avait d'abord pensé à la famille, et à Robert Bourassa, aussi, qui n'aimait pas la controverse, avant d'abandonner le projet. «La démocratie s'était exprimée. Robert Bourassa n'aurait pas aimé être reconnu dans la controverse. Cet endroit [rue University] est parfait pour l'honorer. Ça va embellir Montréal, avec Griffintown et la cité multimédias. On va enlever toute cette infrastructure lourde de béton. Il était temps.»
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