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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Via le journal Les Affaires : «Je veux diriger le QI avec folie et audace» - Damien Silès, directeur général du Quartier de l'innovation Offert par Les Affaires PAR ANNE GAIGNAIRE Édition du 13 Septembre 2014 « Notre objectif est de garder le savoir-faire montréalais en lui donnant des outils pertinents pour rester à Montréal et faire rayonner la ville », dit Damien Silès, du Quartier de l’innovation. Cliquez ici pour consulter le dossier sur les 40 ans de l'ÉTS À 46 ans, Damien Silès, a pris ses fonctions à la tête du Quartier de l'innovation (QI) le 16 juillet 2014. Rencontre avec un «faiseur de projets». Les Affaires - Vous êtes un homme de projets. Qu'est-ce qui vous a fait accepter celui-ci ? Damien Silès - Le QI est, selon moi, l'un des projets phares de Montréal aujourd'hui, et moi, je suis un faiseur de projets. On me donne un concept et je le réalise. C'est ce que j'ai fait dans mon poste précédent à la direction générale de la Société de développement social de Ville-Marie. Mon rôle était de promouvoir les projets pour innover socialement en partenariat avec les entreprises locales. Nous avons mis en place des programmes en responsabilité sociale qui ont contribué à faire sortir des gens de l'itinérance. Nous avons aussi piloté la mise en place de services aux itinérants dans plusieurs stations de métro de Montréal. En prenant ce nouveau poste, j'ai voulu sortir de ma zone de confort, me remettre en question. Je l'ai fait souvent dans ma carrière. De par mon cursus, je suis un intra-entrepreneur : je prends en charge un projet au service duquel je mets mes compétences et mon réseau afin de le mener à bien. À la tête du QI, je veux agir avec folie, dans le bon sens du terme, et audace ! L.A. - Qu'est-ce que le QI exactement ? D.S. - Le QI, c'est une plateforme qui met en relation les forces issues de la créativité de différentes personnes, un écosystème propice à l'innovation. Le QI sera un entremetteur, un stimulateur, un émulateur. Il sera une force de proposition tout autant qu'il coordonnera les projets qui émergeront dans quatre volets : économique, urbain, socioculturel et recherche et développement. Notre objectif est que, quand c'est possible, chaque projet comprenne ces quatre dimensions. L.A. - Quelles sont les visées du QI ? D.S. - On veut redonner vie au quartier [le QI englobe Griffintown, Pointe-Saint-Charles et Saint-Henri/Petite-Bourgogne], revaloriser cette zone au riche passé industriel. On souhaite également créer un sentiment d'appartenance à ce quartier. Pour cela, il faut utiliser les savoirs, rassembler les talents, stimuler l'audace et accompagner les créateurs. On s'appuie sur un riche terreau constitué d'entreprises innovantes : le territoire comprend notamment la Cité du multimédia et la Cité du commerce électronique. C'est la plus grande concentration en technologie de l'information et du multimédia au Canada. Dans ce secteur, le quartier compte plus de 20 000 emplois répartis dans 350 entreprises, une communauté artistique importante, de nombreuses organisations à but non lucratif. Le QI veut s'articuler à l'idée, évoquée d'ailleurs par le maire Coderre, de ville intelligente. L.A. - Quels sont les projets en cours ou à venir ? D.S. - Nous sommes installés depuis peu, mais plusieurs projets sont déjà en cours, comme le projet du Salon 1861, qui consiste à reconvertir une église abandonnée en un espace social et culturel, des incubateurs, le Laboratoire de culture urbaine, etc. En 2015, un des projets phares sera celui de la reconversion du Planétarium Dow acquis récemment par l'ÉTS et qui deviendra une signature forte à l'entrée du Quartier de l'innovation. L.A. - La proximité géographique des acteurs suffit-elle à susciter plus d'innovation ? Ce type d'initiative ne risque-t-il pas de faire augmenter les loyers dans les quartiers concernés ? D.S. - Il y a des entrepreneurs et des entreprises innovantes dans de nombreux secteurs de Mont-réal, mais aucun d'entre eux ne s'appuie sur une masse critique de chercheurs, d'ingénieurs, de techniciens de laboratoire, d'experts en transfert, en technologie et en commercialisation d'innovation, comme peuvent rassembler autour d'elles l'ÉTS et l'Université McGill. Il faut un écosystème qui, pour donner ses fruits, s'appuie sur une infrastructure physique propice à la synergie et à la pollinisation d'idées et de projets. Notre objectif est de garder le savoir-faire montréalais en lui donnant des outils pertinents pour rester à Montréal et faire rayonner la ville. L.A. - Quels sont, selon vous, les défis que vous aurez à relever ? D.S. - Apporter des choses concrètes. Comme nous sommes nouveaux, nous devons montrer concrètement ce qu'on va faire. L'autre défi sera de ne pas nous emballer et d'y aller étape par étape. Le QI suscite de l'engouement et beaucoup de projets émergent déjà. Mais il ne faut pas agir comme une poule sans tête. Les autres villes qui ont créé des QI, comme Barcelone ou Boston, ont mis de 10 à 15 ans pour les mettre en place réellement. Je suis un marathonien : je sais qu'il faut commencer lentement pour être sûr d'arriver à la fin. Damien Silès, Directeur général du Quartier de l'innovation Avant de travailler à l'ÉTS, il été directeur de projet et de développement d'une fondation en Équateur, directeur général de la Chambre de commerce et d'industrie franco-équatorienne, puis directeur, membership et ventes de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, de 2002 à 2008, et enfin directeur général de la Société de développement social de Ville-Marie. Lors des dernières élections municipales, il a été candidat et porte-parole de la plateforme sociale du maire de Montréal, Denis Coderre.
  2. 8 M$! Samcon l'a payé combien? Selon l'évaluation foncière, le 1705 William valait 1.15 M$ quand il y avait un édifice sur le terrain et que c'était zoné non résidentiel
  3. Il me semble que c'est rare qu'un projet de Samcon ne lève pas. D'un autre côté, je connaissais Samcon surtout pour ses projets ailleurs qu'au centre-ville
  4. Encore des histoires avec ce projet via CBC : LaSalle condo buyers feel duped by project developer Group of about 20 condo buyers left out in the cold by developer delays CBC News Posted: Sep 15, 2014 8:26 AM ET Last Updated: Sep 18, 2014 5:19 PM ET Some people who put down deposits in a new condominium development in the Montreal borough of LaSalle say they're still waiting for their condos — or, at the very least, a refund. Last November, CBC News reported on the fact that the road leading to these very same condos hadn’t been paved in the two years since the first owners moved in. Condo development in LaSalle still has unpaved roads after two years LaSalle condo project owners fed up with 'delinquent developer' The road is still not paved, and now CBC News has learned that some people who bought units on another part of the property still don’t have a home to move into. The lot where Liu's condo is supposed to stand. (CBC) $40K deposit and no condo yet Fulai Liu is one of them. He plunked down a $40,000 deposit on a condo in LaSalle after seeing the building project advertised in a local Chinese newspaper. The prospect of having a building with an elevator was particularly interesting, because his young daughter uses a wheelchair. “It’s very hard for my family to carry my daughter going upstairs and going downstairs,” Liu said. But three years later, there’s still no sign of construction — or his money. He’s a group of about 20 investors in the LaSalle condo project who took their complaints to police this weekend. Like Liu, many of them are Chinese immigrants. However, most did not want to share their identity. “We already have a lot of trouble, so we don’t want to have more. We want to protect ourselves,” said one woman. Liu and the others said they handed the money over to a numbered company owned by Allan Schachter and Patricia Navarro. 'Never gave us information — letter or phone call or email — nothing for us. It's incredible.' - Fulai Liu, condo owner The project has since been sold and the development renamed Utopia Gardens. Ads placed in a local Chinese newspaper attracted a number of recent immigrants to the LaSalle condo project. (CBC) Some want their money back The deed of sale stipulated that the original owner had to pay back the deposits by the end of March 2014. However, Liu said the prospective owners weren’t even informed of the sale until April, after that deadline had passed. "(They) never gave us information — letter or phone call or email — nothing for us. It's incredible,” Liu said. A representative for the new company said the road will be paved by the end of October, and that the condo building will be completed next July. As far as the deposits go, that’s the responsibility of the former owners, the representative said. The group of condo investors said a few people got a couple of payments from the original owner, but a number of the cheques bounced. Most of them just want their money back, but Liu and a few others want their deposit applied to a unit when the next phase of the project finally gets built. Liu said police are handing over the matter to their fraud unit to investigate.
  5. Synosik : belle vue! Je te ferai des bebyes de mon balcon
  6. via La Presse : Publié le 19 septembre 2014 à 06h27 | Mis à jour à 08h56 Construction résidentielle: l'année 2015 s'annonce décevante ANDRÉ DUBUC La Presse Après une embellie en 2014, le ciel s'obscurcit en 2015 dans le domaine de la construction résidentielle. L'association qui représente les constructeurs de maisons prévoit une diminution de 3% des mises en chantier dans la province l'an prochain, ce qui ferait de 2015 l'année la plus décevante à ce chapitre depuis le début des années 2000. L'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec (APCHQ) prévoit 37 000 mises en chantier au Québec en 2015. Pour 2014, la prévision s'élève à 38 000, en hausse de 1% par rapport à 2013, une année difficile pendant laquelle les mises en chantier avaient reculé de 20%. «Pour 2015, on a de la misère à voir des signes positifs qui nous rendent optimistes à l'égard des mises en chantier au Québec. On est inquiet», dit Georges Lambert, économiste à l'APCHQ, dans un entretien. Problème d'accès Plusieurs facteurs contribuent à ce pessimisme, notamment le défi que représente l'accession à la propriété. Le resserrement des règles dans le financement des prêts hypothécaires - comme la réduction de la période d'amortissement maximale du prêt de 30 à 25 ans - a restreint l'accès à la propriété de 38 700 ménages, estime l'APCHQ. La démographie a aussi un gros mot à dire dans le bilan, puisque le taux annuel de création des ménages devrait à peine dépasser 1% en 2014 et en 2015, pour ensuite glisser sous les 1% à partir de 2018. Autre élément qui rend M. Lambert songeur, c'est le rythme de vente des unités en construction qui a ralenti. Conséquence: la durée des stocks d'unités invendues est passée de 6,9 mois à 13,6 mois entre juillet 2013 et juillet 2014 dans le marché des logements collectifs, comme la copropriété, à Montréal. C'est plus long qu'à Toronto (9,1 mois) et à Vancouver (7,7 mois). Dans l'ensemble des régions métropolitaines de recensement (RMR), le délai est passé de 7 mois à 10,5 mois, toujours dans le segment des logements collectifs. «L'an passé à pareille date, les inventaires étaient sous contrôle et leur durée en mois diminuait, souligne M. Lambert. Mais cette année, leur durée a augmenté par rapport à l'année dernière. C'est un signal d'alarme.» En fait, l'un des rares facteurs favorisant la construction neuve, cette année et l'an prochain, demeure les bas taux d'intérêt. Mais leur temps est compté. Le locatif en hausse C'est le marché locatif qui profitera de la situation. Le nombre de mises en chantier dans le segment de marché augmentera de 4% en 2014 et de 4% encore en 2015. Ce segment accaparera 24% de l'ensemble des nouvelles unités construites en 2015, comparativement à 21% en 2013. Autre fait à souligner, il se construira plus de copropriétés que de maisons individuelles dans l'ensemble de la province pour la première fois en 2014. Selon les prévisions de l'APCHQ, la part de marché du condo se fixera à 35%, tandis que la maison individuelle glissera à 31%. Les proportions étaient inversées en 2013. La construction neuve au Québec [unités | Variation annuelle] 2013 : 37 758 | -20% 2014 : 38 000 | 1%* 2015 : 37 000 | -2,6%* * prévision La rénovation cartonne Si les nouvelles sont mauvaises du côté de la construction, il faut regarder du côté de la rénovation résidentielle pour trouver des bonnes nouvelles pour les membres de l'APCHQ. Les Québécois rénoveront en grand en 2015, en raison des crédits d'impôt proposés par le gouvernement provincial. L'APCHQ prévoit une croissance de 10% des dépenses en rénovation autant en 2014 qu'en 2015. La moitié de cette hausse sera attribuable aux crédits ÉcoRénov et LogiRénov, avance l'Association. La valeur économique des activités de rénovation a dépassé 11,5 milliards de dollars en 2013. C'est 60% de l'ensemble du secteur de l'habitation.
  7. Si tu regardes l'unité 812, la chambre des maîtres a un walk-in...
  8. Je me demande s'il va y avoir un line-up pour acheter les plus petites unités
  9. Dans le blogue de Maxime Bergeron, il y a des photos tirées des archives de la Ville du secteur à différentes époques : 1928 (Source: Ville de Montréal) 1969 (Source: Ville de Montréal) 1977 (Source: Ville de Montréal) 2014 (Source: Ville de Montréal)
  10. je viens de recevoir un courriel de Prével, la phase 3 sera lancée le 27 septembre! Les modèles d'unités semblent plus variées que celles de la phase 2. Les unités vont de 267 pi² à 845 pi². C’est avec plaisir que nous annonçons le lancement de la phase 3 du Lowney sur Ville le samedi 27 septembre à midi! LOWNEY SUR VILLE C’EST... Vivre au coeur de Griffintown, un quartier en plein effervescence. 550 unités réparties sur 4 phases dont 2 tours de 20 étages avec vues exceptionnelles sur le centre-ville et le Vieux-Montréal. Une grande expertise dans la réalisation d’espaces communs favorisant un milieu de vie dynamique. Lowney sur ville vous offre: centre sportif, piscine intérieure, espace spa, toits-terrasses avec piscines et espaces BBQ ainsi qu'un chalet urbain ouvert sur Montréal. La phase 3 sera située sur la rue Shannon (à l’angle de la rue Ottawa) et totalisera 70 unités réparties sur 8 étages. Vous y trouverez une grande sélection d’unités allant du studio aux unités de 1, 2 et 3 chambres. Les prix varient entre 112 000$ et 335 000$* et la livraison est prévue pour l’été/automne 2016. Le bureau des ventes est situé au 180, rue Ann à Montréal. Les heures d’ouverture sont du lundi au jeudi de 12h à 20h ainsi que le samedi et dimanche de 12h à 17h. Pour plus d’information, vous pouvez nous contacter au 514-868-1555 ou au info@lelowney.com. Unités disponibles pour livraison rapide Prêt à déménager sous peu? Quelques unités sont disponibles dans la phase 1 pour une livraison rapide! Studio à partir de 145 000 $ Unités de 1 chambre à partir de 238 000 $ Unités de 3 chambres à partir de 354 000 $ Plans et liste de prix de la phase 3 ici
  11. J'aurais préféré des petits commerces indépendants. Il me semble que les grandes chaînes ne fittent pas avec l'ambiance du quartier.
  12. Ah oui, il y a un logo du McDo dans le vidéo. Mais ça ne veut pas dire que ce sera dans la phase 5, car il y a les logos des commerces des autres phases
  13. le communiqué de presse : Devimco Immobilier dévoile une nouvelle phase du projet District Griffin District Griffin sur le Parc : Une oasis urbaine à quelques pas du centre-ville MONTRÉAL, le 17 sept. 2014 /CNW Telbec/ - Devimco Immobilier dévoile une nouvelle phase du projet District Griffin sur le Parc, un investissement de 28 M$ qui sera réalisé sur la rue Basin, entre les rues du Séminaire et Rioux. La phase 5 du projet District Griffin sur le Parc comprendra une nouvelle tour de 14 étages totalisant 100 unités de condominium. La construction de la tour commencera en été 2015 pour une livraison prévue en hiver 2016-2017. Les unités auront une vue dégagée à 75% sur le centre-ville de Montréal ou sur un des parcs en bordure du projet. District Griffin sur le Parc se démarque notamment en offrant des espaces verts sur trois façades et sera situé en face du célèbre parc Sainte-Anne, un lieu historique de Griffintown. Le projet aura deux sections de toit avec piscine et terrasses, un jardin intérieur avec coin lecture et jeux d'eau, ainsi qu'un centre sportif adjacent à une piscine intérieure, une des seules à permettre la baignade 12 mois par année dans le quartier! D'autre part, les résidents pourront bénéficier d'une proximité à de nombreux services, tels que banques, restaurants, garderie, pharmacie, boutiques et épiceries. District Griffin est un des plus importants projets immobiliers à usages mixtes à voir le jour à Montréal. Une fois complétés, les ilots de District Griffin comprendront 2 103 unités de condominium, dont 331 logements abordables, un hôtel de la bannière ALT de 154 chambres, environ 299 000 pieds carrés d'espaces de bureau et plus de 328 000 pieds carrés de surfaces commerciales. L'Investissement total atteindra 850 M$. À propos de Devimco Immobilier et du District Griffin Devimco Immobilier est une nouvelle entreprise créée à la suite d'un nouveau partage des responsabilités des partenaires Serge Goulet et Jean-François Breton (Immobilier Carbonleo inc.). Œuvrant depuis 1997 sous la bannière Devimco, l'entreprise est un chef de file du développement immobilier au Québec qui se démarque dans l'élaboration et la mise en oeuvre de projets immobiliers d'envergure, notamment des complexes de type lifestyle alliant des composantes commerciales, affaires, loisirs et résidentielles. Devimco a d'ailleurs été la première société immobilière à développer un complexe de ce type au Canada, soit le Quartier Dix30MC. Depuis 2005, Devimco travaille à la conception du plus grand projet immobilier privé de Montréal, le District GriffinMC, un véritable milieu de vie où tout le tissu social d'une vraie communauté sera représenté. SOURCE Devimco Immobilier Renseignements : Geneviève Chalifour, Cohn & Wolfe, 514 845-7043, genevieve.chalifour@cohnwolfe.ca
  14. Sur le blogue de Prével : Lowney sur Ville : des nouvelles du chantier État d'avancement des travaux PAR PRÉVEL 10 SEPTEMBRE 2014 Avec l’été qui tire à sa fin, le moment est venu de faire un nouveau bilan de l’avancée des travaux au site du Lowney sur Ville. Si vous avez eu la chance de passer au coin des rues Ottawa et Shannon, vous aurez constaté l’ampleur des efforts déployés. Les travaux dans la phase 1 du Lowney sur Ville arrivent à leurs derniers milles. Les équipes de travailleurs se sont déplacées à l’intérieur et des jalons importants, comme la pose du gypse, ont été franchis. De son côté, la phase 2 est en pleine poussée de croissance; nous coulons la dalle de béton du 5e étage cette semaine . Nous amorcerons la livraison des premières unités au début de novembre, tel que prévu. Lowney sur Ville (phase 1) Voici un aperçu des travaux de finition en cours : La pose de la céramique en est au 16e étage; L’installation des armoires au 12e étage; La pose des planchers au 4e étage. Dans les espaces communs : Le béton de la piscine est terminé; Les ascenseurs et le hall d’entrée sont de plus en plus accueillants : divers travaux comme la pose de la céramique y ont été complétés.
  15. via LaPresse : Publié le 16 septembre 2014 à 08h01 | Mis à jour à 08h01 Condos et assurances: un couple en crise HÉLÈNE BARIL La Presse Les assureurs boudent de plus en plus les immeubles en copropriétés, en raison de la hausse du nombre de sinistres, notamment les dégâts d'eau, dans ce type de résidences. Résultat, les copropriétaires voient le coût de leur assurance exploser; la hausse peut atteindre 40%, selon Yves Joli-Coeur, porte-parole du Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec, qui sonne l'alerte. «Il faudra renverser cette tendance au désistement des assureurs, autrement, la valeur marchande des condos va chuter dramatiquement», prévient-il. Certains immeubles en copropriétés, notamment ceux de 100 unités et plus, voient aussi la franchise de leur prime d'assurance augmenter considérablement, jusqu'à 250 000$, et les assureurs ne leur offrent plus la protection contre les dégâts d'eau. «Qui voudra acheter un condo dans ces conditions?», se demande l'avocat. Du côté des assureurs, on reconnaît qu'il y a un «resserrement» des conditions d'assurance. «C'est en réponse au manque d'entretien des immeubles, une situation qui va en s'aggravant», explique Pierre Babinsky, porte-parole du Bureau d'assurance du Canada, le regroupement des assureurs. Selon lui, les assureurs ne boudent pas les copropriétés, mais ils se fient à l'historique des immeubles pour établir leurs conditions. Les dégâts d'eau, en particulier, sont devenus un véritable fléau dans les immeubles en copropriétés, reconnaît Yves Joli-Coeur. Les toits, les chauffe-eau et même les façades qui fuient sont des événements de plus en plus fréquents, et l'absence d'entretien préventif en est généralement la cause. «Faire de la prévention coûte de l'argent, et les syndicats de copropriétés ont souvent du mal à faire accepter ce genre de coûts par les propriétaires». Le Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec suggère que le gouvernement oblige les assureurs à assurer les copropriétés, comme il les a obligés à assurer les automobilistes. «L'obligation imposée aux assureurs aurait des conséquences bénéfiques, en ce sens qu'elle les inciterait à exiger des preuves démontrant qu'un immeuble est en bon état. Les syndicats de copropriétaires négligents devraient se prendre en main». Les assureurs ne sont pas du même avis. «Ça ne réglerait pas le problème, soutient Pierre Babinsky. Ça ne ferait que perpétuer la culture de la complaisance. Les gens se diraient on est assurés, donc pas besoin de faire de l'entretien». Les deux parties s'entendent toutefois sur la nécessité de faire de la prévention, parce que la facture s'alourdit, pour les assureurs comme pour les assurés, avec les immeubles qui vieillissent et les événements météorologiques extrêmes qui se multiplient.
  16. La démolition devrait commencer bientôt alors?
  17. Dans LaPresse+, les deux immeubles vendus à un groupe de Toronto sont au coin Peel et Wellington... Et ça parle d'un Métro Plus et d'une pharmacie en contruction . J'en déduis que c'est le District Griffin sur Peel. http://plus.lapresse.ca/screens/4f05af8d-078a-4025-9d28-a986cc89fd9f%7C_0.html
  18. Radio-Canada a fait un reportage sur les mini-maisons. Reportage vidéo : http://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/7148666/?seektime=0 Les mini-maisons, moins chères et plus écologiques Mise à jour le mercredi 27 août 2014 à 19 h 16 HAE Habiter dans une maison trois fois plus petite qu'une maison unifamiliale moyenne, ce sera bientôt possible au Québec. Des acheteurs se montrent déjà intéressés. Pourquoi? Notamment parce que les mini-maisons coûteront trois fois moins cher. Un reportage de Francis Labbé Trois entreprises de la Rive-Nord se sont tournées récemment vers la fabrication et la vente de mini-maisons. Elles sont convaincues qu'il s'agit là d'un produit de niche qui deviendra très populaire au cours des prochaines années. Surtout qu'une mini-maison - terrain inclus - pourrait coûter aussi peu que 80 000 $. « Tout coûte cher », explique Gabriel Parent-Leblanc, président d'Habitations MicroÉvolution. « Le prix des propriétés a explosé depuis 10 ans. Les coûts de l'énergie et de la nourriture augmentent constamment eux aussi. » De plus, les mini-maisons sont construites dans le but précis de consommer le moins d'énergie possible. « J'ai ajouté un panneau mural pour réchauffer l'air à l'intérieur en hiver et des cellules pour l'énergie solaire sur le toit. Avec ces deux équipements, qui feront diminuer le coût en énergie, la mini-maison que nous proposons vaut environ 50 000 $ », ajoute M. Parent-Leblanc. Moins cher d'entretien Un coût et une consommation d'énergie moindres : voilà deux arguments qui ont convaincu de jeunes adultes de passer à la mini-maison dès que possible « Ça fait des années que je cherche une maison abordable dans des dimensions qui me conviennent, sans tout ce superflu », explique Didier Merette-Dufresne, un Lavallois qui a décidé de s'acheter une mini-maison. Mélanie Roux, originaire de Montréal, a décidé de faire la même chose « pour le prix, pour le côté écologique et pour le choix ». « Je ne voulais plus payer d'hypothèque », explique pour sa part Marc Leblanc. Il a réservé un terrain et a commencé la construction de sa mini-maison, qu'il installera dans un nouveau projet à Lantier, près de Sainte-Agathe. Le projet en question, appelé Le Hameau de La Source, a séduit la municipalité de Lantier. L'entreprise qui gère le projet, Habitat Multi Générations, croit qu'il s'agit d'un concept qui pourrait convenir à plusieurs municipalités québécoises. « C'est une maison qui ne coûtera presque rien à construire, parce qu'elle est faite à partir de matériaux simples et moins volumineux, et c'est aussi une maison qui ne coûtera presque rien à chauffer. » — Marc Leblanc, futur propriétaire d'une mini-maison En demande dans les municipalités du Québec La municipalité de Lantier, à l'est de Sainte-Agathe, dans les Laurentides, risque de devenir la première ville à développer un quartier composé entre autres de mini-maisons. « Nous croyons que ce genre de produit résidentiel, qui coûte moins cher, conviendra à beaucoup de gens. » — Richard Forget, maire de Lantier « C'est une façon pour nous d'attirer de nouveaux résidents et de consolider le coeur de notre municipalité, qui s'est déterioré ces dernières années », poursuit le maire. « Nous sommes en train de finaliser les changements réglementaires requis pour développer un premier quartier et nous en prévoyons aussi un deuxième. » Lantier n'est pas la seule municipalité intéressée par les mini-maisons. L'entreprise de Boisbriand Darcom Innovations fabriquera très bientôt des mini-maisons dans des conteneurs maritimes recyclés. Après un passage remarqué à l'émission Dans l'oeil du dragon, en avril dernier, elle a reçu des appels d'un peu partout au Québec. « Nous avons eu des contacts avec des municipalités de Lanaudière, de l'Outaouais, de l'Estrie et même du Nouveau-Brunswick », explique le président de l'entreprise, Daniel Rodrigue. « Nous ne sommes qu'au début du mouvement, mais dans les prochains mois, nous savons que la demande sera beaucoup plus grande. C'est maintenant que ça se passe », conclut-il.
  19. Le Square Victoria est le même principle non? Par contre, il a l'avantage d'être entouré de tours à bureau et donc très populaire les belles journées ensoleillées. La circulation y est moins dense et moins rapide aussi.
  20. Il y un peu d'info sur le site de la ville http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7097,94687618&_dad=portal&_schema=PORTAL
  21. Ça ne parle que de Bonaventure qui deviendra un boulevard urbain... En mettant l'autoroute à terre, Mais je n'ai pas vu ce que deviendront Duke et Nazareth. Vont-elles être fusionnées au boulevard urbain?
  22. On devrait avoir une belle vue dégagée du centre-ville à partir de la rue de la Commune
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