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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Dans la version de l'article de LaPresse+ : l'emplacement comme illustré par franktko
  2. j'ai eu un 2.35% variable pour 5 ans que je peux virer en fixe n'importe quand si jamais les taux montent...
  3. le $ canadien a perdu 2¢ par rapport au $ US depuis l'annonce... ça va faire augmenter les prix des produits importés
  4. à voir si les banques baissent leurs taux hypothécaires... via LaPresse.ca La Banque du Canada abaisse son taux directeur à 0,75% Publié le 21 janvier 2015 à 10h04 | Mis à jour à 10h04 RUDY LE COURS La Presse À la surprise générale, la Banque du Canada abaisse son taux directeur dans le but d'adoucir les effets négatifs de l'effondrement des cours du pétrole. Le taux cible de financement à un jour passe de 1% à 0,75%. Il n'avait pas bougé depuis septembre 2010. Le choc pétrolier ralentit déjà la croissance réelle qui passera à 1,5% en rythme annualisé au premier semestre tout en faisant plonger le taux d'inflation sous la barre de 1% durant la plus grande partie de 2015 avant de revenir près des 2% à la fin de 2016. «La mesure de politique prise par la Banque vise à offrir une assurance contre ces risques, à favoriser l'ajustement sectoriel nécessaire au renforcement des investissements et de la croissance, et à permettre à l'économie canadienne de retourner à son plein potentiel et l'inflation à la cible», expliquent les autorités monétaires. Reste à voir maintenant si les institutions financières abaisseront à leur tour leur taux préférentiel consenti à leurs meilleurs clients. Il est fixé à 3,0%, lui aussi depuis septembre 2010. Ce taux influence les prêts à taux variable. Dans son nouveau scénario économique, la Banque fait l'hypothèse que le cours moyen du baril de pétrole West Texas Intermediate sera de 60 $ américains d'ici la fin de 2016. Cela suppose qu'il se raffermira au cours des prochains mois. D'ici là, il pourrait diminuer encore à court terme. La Banque fait aussi l'hypothèse que le taux de change moyen du dollar canadien sera de 86 cents US durant la période tout en admettant que son annonce-surprise est susceptible de l'affaiblir à court terme Pour l'ensemble de 2015, le taux d'expansion réelle est ramené de 2,4% à 2,1% alors qu'il est augmenté d'un dixième à 2,4% pour l'an prochain. La diminution est surtout attribuable aux investissements des entreprises. En octobre, la Banque s'attendait à ce qu'ils soient un facteur de croissance. Désormais, c'est l'inverse bien qu'elle prévoit un redressement solide l'an prochain, parallèlement à la remontée attendue des cours pétroliers. L'autre grand changement à son scénario économique porte sur le revenu intérieur brut, une mesure fiable du pouvoir d'achat. Estimée à 1,7% en octobre, sa croissance est ramenée à 0,7% seulement. Cela signifie que les ménages et les entreprises ne sentiront pas l'enrichissement associé en général à la croissance. Autrement dit, l'équivalent de la baisse d'impôt associée à la chute des prix des carburants aura des effets de courte durée. Les conséquences négatives sur les investissements des entreprises et sur la valeur des exportations liées au pétrole prendront progressivement le dessus. Un prix plus faible du brut affaiblit la valeur des exportations alors que la baisse du dollar canadien augmente celle des biens importés. «L'affaiblissement des termes de l'échange du Canada aura un effet défavorable sur les revenus et la richesse, et influera de ce fait sur la consommation et les finances publiques.» Cela signifie que bien des ménages auront le sage réflexe de mettre de l'argent de côté, surtout dans les provinces pétrolières où les mises à pied vont se multiplier. Bref, l'argent en plus venu de la baisse du prix de l'essence ne sera pas automatiquement consommé ailleurs. C'est aussi un signal aux ministres des Finances d'aiguiser leurs crayons et de revoir leurs prévisions budgétaires, compte tenu de la chute anticipée de l'inflation qui va ralentir la croissance de l'assiette fiscale. La prochaine date de fixation du taux directeur sera le 15 avril.
  5. bureau de ventes risque d'être prêt avant la pelletée de terre
  6. via LaPresse+ Retour timide des acheteurs prévu en 2015 Maxime Bergeron LaPresse Les acheteurs de maisons devraient sortir quelque peu de leur torpeur en 2015 au Québec, après deux années consécutives de repli. Selon les prévisions de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ), publiées cette semaine, le nombre de transactions devrait s’élever à 72 400 cette année dans la province. Il s’agira d’une hausse de 2 % par rapport à l’an dernier. Les prix, cependant, continueront à faire du surplace. La valeur de revente médiane d’une maison unifamiliale devrait progresser d’à peine 1 % cette année, à 230 000 $, prévoit la FCIQ. « Il s’agira d’une troisième année d’atterrissage en douceur, après des variations de prix de 0 % en 2013 et de 1 % en 2014 », a fait valoir Paul Cardinal, directeur du service Analyse du marché de la FCIQ. Si le prix médian semble immobile à l’échelle provinciale, certaines villes ont affiché de fortes variations en 2014 – à la hausse comme à la baisse. Quoi qu’il en soit, la très vaste quantité de propriétés à vendre continuera de plomber les prix pour encore un bon bout de temps. Le nombre d’inscriptions en vigueur a explosé de 141 % au Québec depuis 10 ans, nettement plus vite que la demande réelle des ménages. On retrouvait ainsi presque 78 000 pancartes « à vendre » sur le réseau MLS à la fin de 2014. Un nombre impressionnant… qui exclut les milliers de résidences mises en vente directement par leurs propriétaires, ainsi que le raz-de-marée de condos neufs qui a envahi le marché. Parlant de copropriétés, le « nombre de mois d’inventaire » – grosso modo, la quantité de mois qu’il faudrait pour écouler tous les condos sur le marché – atteint des proportions inquiétantes dans plusieurs secteurs. Sans surprise, L’Île-des-Sœurs et Ville-Marie, qui comprend le centre-ville de Montréal, dominent le palmarès…
  7. Comparé au voisin d'à côté, il y a quelques pieds de trop Pour abaisser, ils vont creuser sous les fondations?
  8. les robots ressemblent à des valises à plat edit : le Journal de Montréal a une meilleure photo :
  9. Il me semble que j'avais du Wi-Fi dans le métro et tram à Helsinki... ou était-ce à Oslo En tout cas, il y avait du Wi-Fi gratuit quasiment partout, magasins et espaces publics, dans le centre-ville de Helsinki
  10. En fait je croyais que tout comme les Apple Stores, les magasins de Sony n'étaient là que pour servir de vitrine aux produits. Mais comme ils délaissent les TV et les ordinateurs portables, il ne reste pas tant de produits que ça à montrer surtout que du côté téléphones intelligents et appareils photos, Sony est loin des leaders du marché.
  11. les magasins vont liquider la marchandise? J'ai justement besoin d'un trépied pour mon DSLR... Sony en fait des pas pires
  12. Un des problèmes que les analystes évoquent est que Target a fait une version « allégée » du Target USA. Pour s'implanter rapidement et faire un big bang, tout le côté qui les démarquait de Walmart a été enlevé : l'expérience-client en magasin... qui était un peu à la sauce d'Ikea. Les magasins Zellers ont été repris tels quels sans faire de changement dans l'aménagement. En somme, Target au Canada était juste un genre de Wal-Mart avec des prix plus élevés et surtout des problèmes d'approvisionnement! (on est loin du « just-in-time » de Walmart) Target a aussi pris pour acquis que tous les Canadiens connaissaient la marque... c'est pas parce que quelques milliers de Canadiens vont magasiner au Target l'autre côté de la frontière que les 31 millions de Canadiens connaissent Target
  13. C'est un bon cas d'étude pour les écoles de gestion... via Bloomberg Target Will Abandon Canada After Racking Up Billions in Losses Target Corp. (TGT) will abandon its operations in Canada after less than two years, putting an end to a mismanaged expansion that racked up billions in losses. The Canadian business is seeking court approval to begin liquidation, the Minneapolis-based retailer said today in a statement. The move will lead to a $5.4 billion writedown. This is the first major strategic shift made under Chief Executive Officer Brian Cornell, who took over for Gregg Steinhafel last year. Steinhafel had seen Canada as burgeoning market for Target, the second-largest U.S. discount chain, because so many Canadians already knew the brand and would cross the border to shop at American stores. Fixing the Canada unit, which amassed more than $2 billion in operating losses since 2011, has been a top priority for Cornell. After taking the reins in August, he spent a portion of his early days at the company touring operations in Canada. The woes plaguing the company’s 130 stores there ranged from empty shelves to prices being higher than locations in the U.S. “We were unable to find a realistic scenario that would get Target Canada to profitability until at least 2021,” Cornell said today. “This was a very difficult decision, but it was the right decision for our company.” Target announced its foray into Canada in 2011 with the purchase of 220 locations from Zellers Inc., a subsidiary of Hudson’s Bay Co., for about C$1.8 billion. The deal cemented the chain’s first expansion outside the U.S., where it had about 1,750 stores at the time. Target’s shares have rebounded since taking a hit following a data breach during the 2013 holiday season. The stock had gained 21 percent to $74.33 over the past 12 months through yesterday. To contact the reporter on this story: Matt Townsend in New York at mtownsend9@bloomberg.net
  14. C'est vraiment triste! Dans le journal Métro : R.I.P. Prince-Arthur Selon Eco-compteur, plus de 40 000 personnes déambulent quotidiennement sur la rue Prince-Arthur malgré son déclin. Marc-André Carignan La rue Prince-Arthur était «aux soins palliatifs» depuis déjà plusieurs années, et sa santé économique se dégradait à vue d’œil. Mais là, c’est vrai: elle a rendu l’âme ces derniers mois dans un silence presque absolu. Sur la portion piétonnisée entre Saint-Laurent et le carré Saint-Louis, le paysage est plus morose que jamais dans cette rue qui a jadis fait la réputation de Montréal, avec ses terrasses, ses artistes et ses formules Apportez votre vin. Les restaurateurs, principaux piliers de l’activité économique du secteur depuis les années 1980, n’auront malheureusement jamais réussi à se renouveler face à la compétition de plus en plus féroce sur l’île. Si on ajoute à cela des hausses marquées des coûts d’exploitation et des taxes foncières sur le Plateau, l’inévitable devait arriver un jour ou l’autre. Les locaux commerciaux vacants se succèdent désormais dans cette rue (le taux d’inoccupation dépasse les 30%), tout comme les graffitis qui pullulent sur les édifices désertés. La neige est à peine déblayée, et plusieurs portes et fenêtres sont placardées. Le coût mensuel de certains locaux délaissés aurait même diminué de 50% à 60% au cours des cinq dernières années, selon des commerçants que j’ai questionnés à ce sujet. Ironiquement, Prince-Arthur possède toujours un certain charme malgré sa déconfiture. Sa configuration à l’échelle humaine s’avère très attractive, et sa localisation entre le métro Sherbrooke et la Main rend ce lien pédestre quasi indispensable pour les piétons et les cyclistes. Plus de 40 000 personnes y circulent quotidiennement, un chiffre plutôt impressionnant pour une artère «cliniquement morte». Son potentiel de réaménagement est donc énorme, et les élus de l’arrondissement le savent très bien. «Vous m’auriez parlé de Prince-Arthur il y a huit mois, j’aurais été très découragée, me confiait récemment la conseillère du district Jeanne-Mance, Christine Gosselin. Mais là, on voit un renouveau. Une association marchande volontaire a été créée, de nouveaux bâtiments sont en chantier ou le seront bientôt. Et puis quelques commerces ont ouvert leurs portes. Ça devrait amener un second souffle.» L’arrondissement planche également sur divers scénarios pour dynamiser les environs, notamment durant la période estivale. «On tente de développer un projet de danse à ciel ouvert, de guinguette où les citoyens pourraient socialiser, poursuit-elle. L’idée d’un marché de fruits et légumes ou d’antiquités a également été évoquée.» Propositions intéressantes, certes, mais on devra aller beaucoup plus loin. Ce qu’il faut avant tout pour Prince-Arthur (et plusieurs autres artères sur l’île), c’est un véritable plan de match pour le développement commercial. Un plan qui forcerait l’administration Coderre à réévaluer le fardeau fiscal imposé aux commerçants, à épurer les couches bureaucratiques qui nuisent à l’épanouissement des artères (pour installer de simples lumières de Noël, par exemple!) et à élaborer des stratégies pour limiter la spéculation immobilière. Un remède de cheval, quoi. Plus d’un local commercial sur trois est vacant sur la rue Prince-Arthur Les graffitis pullulent plus que jamais sur la rue piétonne
  15. Dans le communiqué de presse d'octobre : Les travaux de soutènement sont terminés? On va bientôt avoir un échéancier? Le projet est tjs listé sur le site de Quadrax.
  16. via Radio-Canada Le prix des maisons lié à la chute du prix du pétrole, selon Royal LePage Mise à jour il y a 26 minutes Deux études de la firme Royal LePage sur le marché de l'immobilier au Canada prévoient que la chute récente du prix du baril de pétrole brut aura une incidence sur les principaux marchés canadiens. L'Étude sur le prix des maisons et l'Étude sur les prévisions du marché, diffusées aujourd'hui, prévoient notamment que le ralentissement de l'augmentation du prix des maisons sera retardé dans le centre du Canada et accéléré dans l'Ouest par les récents développements dans le secteur énergétique. Royal LePage souligne que la santé du marché immobilier canadien demeure menacée, notamment par des hausses des taux d'intérêt, davantage d'intervention du gouvernement fédéral sur le marché immobilier ou une culbute soudaine de l'économie nord-américaine. Même s'il est peu probable que ces facteurs se mettent en place en 2015, la plus grande menace pour le marché immobilier réside dans la perte de confiance des consommateurs. Au quatrième trimestre de 2014, le prix moyen des propriétés au Canada a enregistré des gains par rapport à l'an dernier sur la plupart des marchés. Le prix moyen des habitations a augmenté de 4,5 % à 6,7 %. Le prix moyen d'une maison individuelle de plain-pied s'est hissé à 406 218 $ (en hausse de 6,7 %), celui d'une maison standard à deux étages, à 443 379 $ (en hausse de 6 %), et celui d'un appartement en copropriété standard, à 257 624 $ (en hausse de 4,5 %). Royal LePage prévoit que le prix des maisons augmentera de façon modérée en 2015, soit de 2,9 % à l'échelle nationale. Le marché a été relativement stable à Montréal au quatrième trimestre. Le prix moyen des maisons individuelles de plain-pied a augmenté de 2,1 % en un an, pour atteindre 297 300 $. Le prix des appartements en copropriété standards a grimpé de 1,1 % pour atteindre 241 983 $. Et le prix des maisons standards à deux étages est demeuré stable, avec une maigre augmentation de 0,2 %, pour s'établir à 402 321 $. Cette très légère hausse des prix à Montréal s'explique par une augmentation du nombre de maisons à vendre et par une multiplication des nouvelles mises en chantier dans la grande région de Montréal. Selon Royal LePage, les mesures d'austérité adoptées par le gouvernement Couillard pèsent également sur le marché de l'immobilier. La firme s'attend à ce que les prix des propriétés augmentent légèrement en 2015 dans la région métropolitaine, de 0,6 %, mais que les ventes baissent de près de 2,5 %.
  17. Entendue en entrevue à la TV hier, Coderre propose de regarder pour un métro en surface pour diminuer les coûts.. surtout que le prolongement de la ligne bleue vers Anjou ne semble pas faire partie des priorités que le gouvernement a demandé à la Caisse de dépôt d'étudier
  18. Radio-Canada parle de 2 priorités : le projet de train entre Dorval et le centre-ville et le projet SRL sur le futur Champlain
  19. Je fais partie des exceptions. J'ai signé mon contrat de vente à la fin de février 2012 et mon condo sera livré début février... quasiment 3 ans... mais bon j'habite encore chez mes parents (une vraie Tanguy )... et je le savais dès l'achat que la livraison sera près de 3 ans plus tard. Il faut dire aussi que le promoteur est bien établi à Griffintown et connaît bien la clientèle contrairement à Samcon.
  20. Comme je disaiis, Griffintown n'est pas le marché habituel de Samcon... Pas la même chose de vendre à Griffintown qu'à Ahuntsic... Les gens ne cherchent pas les mêmes choses.
  21. Comparée à l'installation de l'an dernier, je préfère celle de cette année Édition : 2013-2014 Dommage que ça s'arrête le 1er février. J'imagine que la place des Festivals doit être libérée pour Montréal en Lumière, notament pour la Nuit blanche. Par contre, les projections murales pourraient être gardées non? Elles ne devraient pas gêner les activités de la Nuit blanche...
  22. En effet, ce n'est plus sur la liste des projets de Samcon http://www.samcon.ca/condos-a-vendre.html
  23. Mega grosse affiche au Complexe Desjardins ce matin Vendu à 65% Désolée pour la qualité de la photo.
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