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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. C'est le quartier qui va être LEED, d'où le ND pour Neighbourhood Developement..
  2. Le prochain projet va s'appeler "Champion" ?
  3. Est-ce que cette nouvelle a rapport avec ce projet? via journal 24 Heures Logements sociaux: un terrain réservé dans Griffintown Améli Pineda 04/02/2015 21h31 MONTRÉAL - La Ville de Montréal a acquis un terrain à l'angle des rues Éleanor et William dans Griffintown afin d'y construire des logements sociaux. L'administration municipale a conclu une entente avec le propriétaire du terrain, qui s'était engagé, à défaut de construire des logements abordables, à vendre ce lot. Alors que sa valeur marchande dépasse les 2 millions $, le terrain a pu être acheté par la Ville au prix de vente établi en fonction du programme d'AccèsLogis, soit 930 000 $. La Ville de Montréal vendra le terrain à un organisme qui souhaite y développer du logement social au même coût. L'échéancier pour la construction de ces logements n'a pas encore été fixé.
  4. what's a "European cosmopolitan feel" ?
  5. la BNC commandite plusieurs des entreprises artistiques de la PdA comme l'OSM et il y a un guichet de la BNC à l'intérieur. j'imagine que ça consolide sa présence Oui Desjardins réserve ces espaces pour elle-même. On ne connaît pas encore les plans. En passant, la RBC déménage dans le Belgo.
  6. Entrevue de Patrice Roy au Téléjournal hier Voir vidéo ici : http://ici.radio-canada.ca/tele/le-telejournal-18h/2014-2015/segments/entrevue/1053/debat-megacentre-commercial-roy-castanheira
  7. via Radio-Canada.ca Après le Dix30, le Quinze40? Un projet de mégacentre commercial à Montréal divise Mise à jour le jeudi 5 février 2015 à 12 h 49 HNE Secteur visé par le projet de centre commercial à l'angle sud-ouest de l'autoroute Décarie et de la Métropolitaine dans Ville Mont-Royal Le promoteur du Quartier Dix30 de Brossard travaille sur un autre projet de Lifestyle center, cette fois en plein coeur de l'île de Montréal. La compagnie Carbonleo a acquis des terrains d'un vaste secteur industriel à l'angle des autoroutes 15 et 40, dans la Ville de Mont-Royal. Le projet est encore sur la table à dessin, mais il fait déjà réagir. Un texte de Thomas Gerbet Le projet est pharaonique : 280 000 mètres carrés à développer, une superficie presque équivalente à celle du parc Lafontaine. L'endroit verrait pousser des commerces, des restaurants, un hôtel, un cinéma et même une salle de spectacle. Le projet pourrait coûter deux milliards de dollars. « Nous, on est heureux, heureux ! », s'extasie le maire de Mont-Royal, Philippe Roy. « Tout le monde attendait le projet parfait pour mettre sur ce terrain, et là il nous est arrivé ». Le secteur industriel, en partie désaffecté, a été acheté en parcelles par Carbonleo, le promoteur du Dix30. La municipalité prévoit modifier le zonage ce printemps pour autoriser le développement commercial. « C'est une excellente nouvelle pour toute la région de Montréal », clame le maire. À elle seule, Mont-Royal peut espérer une centaine de millions de dollars d'entrées de taxes supplémentaires chaque année. « Jusqu'à maintenant, quelqu'un qui habite sur l'île de Montréal et qui voulait aller dans un centre commercial de nouvelle génération, il allait au Carrefour Laval ou au Dix30, à Brossard. Là, on va se doter, au coeur de l'île, d'un centre qui sera le plus gros de toute la région » — Philippe Roy, maire de Mont-Royal Pas avant plusieurs années Le promoteur Carbonleo est avare de commentaires sur son projet. « C'est préliminaire », répond l'entreprise. Cependant, selon nos informations, le méga complexe commercial est bel et bien sur la table à dessin. Une source proche du dossier explique que des architectes se penchent sur les plans actuellement, et l'entreprise travaille sur le montage financier qui ouvrira la porte à l'investissement de grands fonds de pension. Le Quartier Dix30 de Brossard avait pris trois ans à concevoir. Il devrait en être autant pour le projet dans Ville Mont-Royal qui n'a pas encore de nom. Quant à la Ville de Mont-Royal, elle devra mettre en place un plan particulier d'urbanisme (PPU) et faire des consultations publiques. Défi majeur pour la circulation Shuja Bashir, qui vend des tapis de l'autre côté de l'autoroute Décarie accueille positivement l'idée de développer le commerce : « C'est un signe de vitalité. Ça prouve qu'il se passe quelque chose à Montréal ». Cependant, il s'inquiète pour le trafic, déjà pénible dans le secteur. « Ça va être un gros mess, les gens vont se plaindre, et se plaindre vraiment ». « Les promoteurs ont déjà fait plusieurs études », explique le maire Philippe Roy. « Ils semblent assez confiants de pouvoir adapter la fluidité du trafic pour qu'on puisse avoir accès à leur centre facilement ». La Ville assure qu'elle fera aussi ses propres études d'impact sur la circulation, en collaboration avec la Ville de Montréal. Le maire, qui avoue ne jamais avoir mis les pieds au Dix30, mentionne que le centre commercial sera connecté à la station de métro De la Savane, sur la ligne orange. Quelles conséquences pour les commerçants de Montréal ? « Ce sera un désastre », anticipe le directeur général de la Société de développement du boulevard Saint-Laurent, Glenn Castanheira. Quand il a appris l'existence du projet, il a cru à une blague. « Je suis tombé en bas de ma chaise, c'est absolument absurde. ». Il croit que ce projet va signer l'arrêt de mort des commerces indépendants déjà en mauvaise posture à Montréal et entraîner d'importantes pertes d'emplois à moyen et long terme. Il préférerait qu'on crée un quartier résidentiel à la place. « C'est la plus grosse erreur que Montréal aura faite depuis le scandale des compteurs d'eau. Toutes les grandes villes du monde regrettent d'avoir créé des Life style center dans leur centre-ville. » — Glenn Castanheira, DG de la Société de développement du boulevard Saint-Laurent Comme le projet est à l'intérieur des limites de la Ville de Mont-Royal, les élus de Montréal auront peu de choses à redire sur ses décisions indépendantes. « C'est aberrant », dit Glenn Castanheira, « le fait que le maire Roy soit excité par ce projet démontre son manque de vision et la déficience de la gouvernance à Montréal ». Le Quartier Dix30 en chiffres : Un territoire de 100 hectares soit plus grand que le Jardin botanique 4000 travailleurs Plus de 300 magasins En développement depuis 10 ans, et ce n'est pas terminé. 20 millions de visiteurs annuels (dont de plus en plus de Montréalais) Les clients y passent en moyenne 3 heures, 1h15 dans les galeries commerciales classiques
  8. Il doit avoir un rabais sur la brique beige... la couleur est tellement laide qu'elle est vendue à bas prix Il me semble avoir lu que Métro a dit que ce sera un Métro, car la cie veut qu'Adonis reste une marque de « niche » et que celui qui est localisé dans le Séville sera le seul du coin... mais bon, ça peut toujours changer d'ici l'ouverture officielle
  9. OMG... Si c'est le cas, je vais avoir cette horreur dans la face à tous les jours:eek: au moins. il n'y a pas de rouge comme l'Hexagone... mais il y a des balcons vert fluo... beige + gris + vert fluo... pas sûre que ça soit mieux que beige + gris + rouge
  10. Well some reviews on Yelp didn't help either. via Montreal Eater : Griffintown Restaurant Boom Blamed for Aziatik's Shutter in Old Montreal by Ian Harrison Feb 4 2015, 11:53a @Blumsteinboy So reports management. <article style="-webkit-font-smoothing: subpixel-antialiased; box-sizing: border-box; margin-bottom: 0px; color: rgb(41, 41, 41); font-family: 'Whitney A', 'Whitney B'; font-size: 18px; line-height: 27px;">Aziatik, a self-described Asian fusion and sushi restaurant in Old Montreal on Marguerite-d'Youville, has closed. The restaurant, open since 2007, had fallen under the radar amid the build-up of what is now a veritable restaurant row on McGill — not to mention the proliferation of restaurants all over Old Montreal. A spokesperson for Aziatik, however, attributes the decline in business and subsequent decision to close on another factor: "Our clients have shifted to Griffintown!!" Significantly, the restaurant's last Yelp review came in August of 2013. And it was far from positive. </article>
  11. Article parlant de la techno utilisée comme revêtement extérieur via http://www.sys-con.com/node/3282014 Montreal's Griffix: SlenderWall Makes a Clean, Contemporary Mark for Expanding Skyline For a City Making Development in Montreal, SlenderWall Serves a Futuristic-Looking Design Concept With Multiple Construction Benefits BY MARKETWIRED . JANUARY 22, 2015 08:20 AM EST MIDLAND, VA -- (Marketwired) -- 01/22/15 -- Smith-Midland Corporation's (OTCQB: SMID) subsidiary Easi-Set Worldwide announces the completion of another successful SlenderWallarchitectural cladding project by its Canadian licensed precast producer Béton Préfabriqué du Lac (BPDL). Urban revitalization is a major trend throughout North America, and although each individual development brings its own specific obstacles, certain challenges are more universal. How can a new building respect the past of the existing neighborhood while also looking to the future? How can it be constructed with the newest green building technologies and the most desired amenities at a reasonable cost? With the aid of SlenderWall, the Griffix condominium project in Montreal offers a compelling answer to these increasingly pertinent questions. The Griffix reaches 20 stories above the corner of Peel and Wellington Streets in the Griffintown neighborhood and houses 175 units of between 545 and 1,245 square feet, as well as commercial space on the ground floor. The building, constructed atop the location's original one-story brick building, has a clean, contemporary finish façade combining 380 floor-to-floor height SlenderWall panels -- for a total of 50,000 square feet of SlenderWall cladding -- with a fully glazed curtain wall. A variety of benefits led the project team to consider and employ SlenderWall for this major project. Among those was the high R-value of the cladding and its relatively lightweight, easy-to-assembly nature. SlenderWall's hybrid construction -- a lightweight 2 inch-thick precast panel fixed to a heavy-gauge steel frame -- provides both the exterior insulated envelope and an interior stud wall ready to receive gypsum board. SlenderWall's weight advantages over traditional precast panels -- 28 lbs. per square foot versus close to 85 lbs. per square foot -- also made it an ideal specification. For example, the contractors could use smaller, lower-cost construction equipment and build the structural frame with smaller members. This helped reduce steel tonnage and associated first costs as well as contribute to lower construction-phase expenses for the owner. In addition, the ability of the system to be pre-manufactured off-site also helped boost the speed of construction scheduling. This proved critical for the developer, who could get the condominiums on the market before competitors in this rapidly changing neighborhood. Yet cost was not the only consideration. The new development also demanded a finish quality and permanence that was truly modern in look yet could adapt to the context. The gray, sandblast-finished panels provide a simulated stone exterior that is trendy while also true to the area's history and aesthetic. Unique history, big opportunity A century ago, Griffintown was the beating heart of Montreal's waterfront industrial life. Located on the Lachine Canal in the southeast corner of the city, "the Griff," as it has been affectionately known, gave a home to factories, breweries, shipping companies, the Port of Montreal, and other operations needing easy access to waterways or transportation. But in 1959, as the opening of the St. Lawrence Expressway meant the closing of the Lachine Canal -- and a drop in Griffintown's economic importance. Less than a decade later, the Bonaventure Expressway was opened, severing Griffintown from the rest of Montreal. Starting in the 1990s, artists began to gravitate towards the neighborhood, slowly turning it into one of Montreal's cultural centers. In early 2012, the city of Montreal unveiled its new urban plan for downtown, including Griffintown. Seeking to attract an urbane clientele, Griffix was conceived by Diamond Trust and Investissement Poirier -- along with their lead design firm, Geiger Huot Architects -- as a lifestyle choice with a long list of amenities including a balcony for each unit, a furnished roof terrace with stunning views of Montreal and its surroundings, highly energy-efficient HVAC systems and windows, and of course, its location. The compatibility of all these needs with the lightweight, flexible hybrid system of SlenderWall panels, created an instant appeal for the developers, architect, fabricators and contractors. Nearby, Griffintown began to show signs of being a highly livable, walkable neighborhood. Along with six new public green spaces and $93 million of public investment, city planners enacted a residential rezoning for much of Griffintown, opening the door for redevelopment of the area as a desirable waterfront location for mixed-use towers like Griffix. Young professionals, drawn by the interesting historical atmosphere and easy access to Montreal's new "cultural corridor" of art galleries, restaurants, shopping, parks, and transportation, came to Griffix to get a feel for the building and locale. CIO, CTO & Developer Resources A novel design, and SlenderWall The revitalization presented an ideal building scenario for the developers Diamond Trust and Investissement Poirier. Yet for the architects and construction team, it added certain challenges -- including the rush to get to market first. On top of that, for a neighborhood where visual appeal derives in large part from its historic low-rise brick and warehouse buildings, the architects needed the high-rise to maintain the local character while standing on its own merit. SlenderWall was an essential part of answering these questions. For Eric Huot, a principal in the Montreal-based architectural firm of Geiger + Huot and the primary architect involved in the Griffix design, his main mission was "incorporating the existing façade of the historic building, recreating the arcade along Wellington Street, and marrying these to a new high-rise building." From a site planning standpoint, the solution was to locate the high-rise tower at the eastern edge of the site and leave the corner of Peel Street to the existing building, "in an effort to maintain the streetscape as it had been for most of the last century," Huot says. To emphasize the tower's "distinct expression" in relation to the original building, Huot used SlenderWall and recessed windows to create a cladding design that combines solid masses with punched openings and a "lighter, airy counterpoint of glass curtain wall." The exterior system also had to be adaptable and cost-effective to meet these and other design needs. From the start, Geiger + Huot looked to SlenderWall for the Griffix, preferring the premanufactured, panelized exterior approach. Familiar with the system and its benefits from their award-winning 400 Sherbrooke Ouest hotel project, the firm took advantage of the design freedom offered by SlenderWall. For example, the interplay of solids and voids that formed the basis of Le Griffix design depended on the façade's concrete cladding being attached to the edge of the floor slabs in the building, a standard feature of SlenderWall. The detail also adds a small amount of bonus square footage to the interior footprint. Adaptable, efficient and lightweight But it wasn't only the architects who advocated the use of SlenderWall on the Griffix, says Guy Tremblay, the technical director at Precasting firm Béton Préfabriqué du Lac (BPDL). Tremblay adds that the structural engineers for Le Griffix advocated for SlenderWall's use based on its suitability for the project and their experience with the system on previous multifamily projects in the United States and Canada. Construction advantages added to their case for SlenderWall. For example, with the balcony panels in-set from the main exterior of the building, crane access presented a potential design challenge. The reduced weight of the SlenderWall panels as compared to standard precast combined with a user-friendly erection method eliminated this concern by allowing for the use of smaller cranes that saved time and money. Beyond weight, SlenderWall offered other benefits that attracted the Griffix's builders. "The SlenderWall panel already comes to the building with insulation," notes Tremblay, which helped both designers and contractors. Also, he notes, with its pre-insulated panels and built-in interior framing, "SlenderWall also speeds up the construction process, whereas usually with a precast panel, you set the panel in place and have to waterproof, enclose, and then do the insulation and the interior stud wall framing." "So we had an advantage with SlenderWall," says Tremblay. Indeed, SlenderWall made it simple to achieve the tight thermal envelope and highly energy-efficient environment that the developers sought for Le Griffix as one of its major selling points. Although the Griffix has been open for only a short time, the neighborhood has embraced it and the Montreal press has already described it as "spectacular," "hip," and "urbane." The Montreal Online says the building "captured the collective imagination of many purchasers" even before completion. The latest and greatest addition to the growing Griffintown scene, the Griffix is notable not only for its high design and amenities, but also for the cutting-edge construction elements that allowed vision to become reality. About Easi-Set Worldwide Easi-Set® Worldwide, a wholly-owned subsidiary of Smith-Midland Corporation (DE), a publicly traded company (OTCQB: SMID), licenses the production and sale of proprietary precast products around the world. For more information on SlenderWall or precast product licensing opportunities, please call (540) 439-8911 or visit www.slenderwall.com or www.EasiSet.com. Link back to original article on NuziNet.com Link back to Smith-Midland Corporation on NuziNet.com Image Available: http://www2.marketwire.com/mw/frame_mw?attachid=2753397 Media and Licensing Inquiries: info@easiset.com Sales Inquiries: (540) 439-8911
  12. via Radio-Canada Les restaurateurs divisés sur les façons de réduire la concurrence Mise à jour le samedi 31 janvier 2015 à 21 h 53 HNE Au Québec, 7 restaurants sur 10 ne franchissent pas le cap des cinq ans d'existence. Dans plusieurs villes, des restaurateurs réclament maintenant des quotas pour limiter le nombre d'établissements et la concurrence. Une approche rejetée par la Ville de Montréal et qui est loin de faire l'unanimité chez les restaurateurs. Un texte de Michel Marsolais Avec 1 restaurant pour 374 habitants, le ratio de restaurants est plus élevé à Montréal qu'à New York. L'an dernier, 105 d'entre eux ont fermé leurs portes et beaucoup d'autres sont en mode survie. Luc Laroche en sait quelque chose. Après 20 ans, il vient de fermer le Misto, un restaurant vedette de l'avenue du Mont-Royal. Cela ne l'a pas empêché d'ouvrir un autre établissement dans Griffintown, le nouveau quartier à la mode de la métropole. Pourtant, Luc Laroche n'est pas chaud à l'idée d'imposer des quotas comme le réclament des restaurateurs comme Carlos Ferreira. « Je suis davantage une personne de libre marché pour trouver les perles rares. Mais c'est sûr qu'il y a beaucoup de trop de restos à Montréal », dit-il. Il croit cependant qu'on devrait exiger des compétences reconnues pour encadrer la restauration, un secteur où beaucoup se lancent sans avoir fait leurs devoirs et sans être suffisamment capitalisés. Plus d'accent sur la gestion À l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec, on indique qu'on tente de sensibiliser les étudiants à la réalité du marché et à mieux les préparer sur le plan de la gestion. « Si un chef a une formation, qu'il est excellent en cuisine, ça ne veut pas dire qu'il est excellent en affaire. Beaucoup de restaurants démarrent avec du ''love money'', des prêts d'amis, de l'argent familial, c'est risqué parce qu'on peut le perdre et c'est souvent ça qui arrive », explique Luc Laroche. À Montréal, l'effet de mode est plus prononcé qu'ailleurs et la clientèle pas toujours fidèle. Les restaurants vedettes sont parfois désertés quelques années plus tard. Même des institutions comme Le Continental, Le Latini ou la taverne Magnan ont dû fermer au cours des derniers mois. Sylvie Chaumette, qui publie le Guide des restos Voir, voit les restaurants apparaître et disparaître chaque année. Elle rappelle pourtant que ces cycles font partie de la nature de l'industrie et que toutes les fermetures ne sont pas toutes dramatiques. « Il y en a pour qui la situation est malheureuse, mais parfois non, c'est juste qu'on prend sa retraite, il y a pas de relève, on change d'emplacement, etc. », explique-t-elle. Mme Chaumette estime que la vie d'un restaurant est variable et qu'il faudrait rendre hommage à ceux qui ont réussi à durer longtemps. « La rentabilité d'un restaurant est de plus en plus faible. On parle de 2,6 % présentement. Pour des ventes de 1 million de dollars, on dégage seulement 26 000 $ de profit », précise le vice-président aux affaires publiques et gouvernementales à l'Association des restaurateurs du Québec, François Meunier. Des effets pervers À l'Association des restaurateurs, on admet être divisé sur la question des quotas, un système qui existe pourtant ailleurs. « Il y a des effets pervers. Au Montana, l'État vend le permis 400 $, mais sur le marché vous l'achetez à 500 000 $ », indique François Meunier. Il ne faut pas oublier que dans certains quartiers, une abondance de restaurants peut même avoir un effet catalyseur. Plus significatifs que la concurrence, les taxes foncières et le faible revenu disponible des Québécois touchent lourdement le secteur de la restauration. François Meunier rappelle que les longues fermetures de rues pour effectuer des travaux sont aussi en partie à blâmer pour la fermeture de plusieurs restaurants. « Les municipalités doivent comprendre que ces gens-là ont payé des taxes pendant des années puis là vous allez les perdre comme vous avez perdu un paquet de joueurs dans la rue Saint-Laurent ou l'avenue du Parc pendant les travaux », rappelle-t-il. « Même les travaux de la commission Charbonneau ont changé les habitudes de consommation. Les gens hésitent à inviter des clients au restaurant », ajoute-t-il. « Ça prend un peu de folie pour ouvrir un restaurant. Mais il n'y a plus de place pour l'essai », conclut Luc Laroche. Au Québec, le nombre de restaurants diminue depuis 2011. Il y en a maintenant 21 400. L'industrie génère 10,7 milliards de dollars annuellement.
  13. le Misto a fermé ses portes le 18 janvier dernier. Dans une entrevue sur la restauration à Montréal, un des proprios a dit qu'il préférait mettre l'emphase sur Griffintown (le quartier «in» de l'heure) avec Le Richmond.
  14. Souvenez-vous de la "ligne blanche" qui partait de Pie-IX sur les cartes de metro? Celle-là n'aurait pas engorgé la ligne orange et aurait rejoint l'Est de la ville
  15. Un ami qui travaille chez Standard Life m'a dit qu'il y avit une grosse annonce de restructuration vendredi... il attendait à savoir s'il avait encore une job ou non... je n'ai pas eu de ses nouvelles encore.
  16. via Radio-Canada SLR sur le pont Champlain : la CAQ demande à Québec de reprendre le projet en main Mise à jour le vendredi 30 janvier 2015 à 13 h 16 HNE La Coalition avenir Québec (CAQ) demande au gouvernement libéral de reprendre le contrôle du projet système léger sur rails (SLR) sur le nouveau pont Champlain, après les révélations de Radio-Canada sur des prévisions d'achalandage exagérées. Le porte-parole de la CAQ en matière de transports, Claude Surprenant, demande au ministre des Transports, Robert Poëti, de dévoiler le rapport obtenu par l'émission Enquête et qui démontre que l'achalandage a été surestimé par l'Agence métropolitaine de transport (AMT) pour justifier le choix de SLR. Des études commandées par l'AMT ont avancé que « le nombre d'usagers du transport en commun va plus que doubler avec un SLR sur le pont Champlain d'ici 2061 ». Or, le ministère des Transports du Québec (MTQ), qui a sollicité l'analyse d'experts indépendants, estime que « le scénario de demande optimiste mis de l'avant par l'AMT [...] n'est pas réalisable, et que le scénario conservateur est probablement surévalué. » L'analyse constate que certaines études de l'AMT « visent à entériner un choix technologique » et conclut que les prévisions d'achalandage de l'AMT « ne peuvent même pas permettre de prendre une décision éclairée sur le choix du mode de transport à privilégier sur le pont Champlain ». « Plus de 20 millions de dollars ont été dépensés dans les dix dernières années pour que l'AMT réalise des études sur le SLR. Ce qu'on apprend aujourd'hui, c'est que toutes ces études pourraient être biaisées, car des compagnies privées, qui ont clairement des intérêts dans cette technologie, auraient voulu mousser la construction d'un SLR », a déclaré Claude Surprenant. L'AMT a confié pendant des années plusieurs aspects de ses études à un consortium formé notamment de Bombardier et de SNC-Lavalin, qui ont un intérêt évident à soumissionner pour obtenir le contrat de SLR sur le pont Champlain. Bombardier et SNC-Lavalin soutiennent que c'est l'AMT qui a dicté le choix technologique, et que plusieurs fournisseurs peuvent répondre aux critères qu'ils ont recommandés. Bombardier précise qu'un comité d'experts validait la neutralité des recommandations. La CAQ établit par ailleurs un lien entre ces révélations et la récente entente Québec et la Caisse de dépôt pour la réalisation de projets d'infrastructures. « On dirait que le gouvernement du Québec, sachant très bien que tout allait de travers au MTQ et à l'AMT avec ce projet, a décidé de s'en débarrasser et de le pelleter dans la cour de la Caisse de dépôt. Les Québécois risquent donc de se retrouver avec un projet mal ficelé sur les bras, à cause de l'incompétence du ministère et de la négligence du gouvernement libéral. »— Claude Surprenant
  17. Ce quadrilatère est zoné quelle hauteur? Ça m'étonnerait que Prével n'ait pas contruit jusqu'au maximum.
  18. Ça serait bien : j'aurai juste à traverser la rue pour faire l'épicerie
  19. Il y a une longue liste d'exempls de métros légers sur wikipedia... c'est un brin difficile de vraiment voir la différence... il y a des systèmes qui ressemble à des trains et d'autres à des tramways http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tro_l%C3%A9ger Mais pourquoi ne pourrait-on pas avoir un tramway entre la Rive-Sud est Montréal? La distance entre les deux bouts ne sera pas si grande que ça. A-t-on vraiment besoin d'un système plus lourd? à Bordeaux, j'avais pris un tram qui traversait la Garonne
  20. le Skytrain de Vancouver est exactement la même techno qu'en Corée avec plus de trains. Dans le reportage d'Enquête, la raison d'un wagon unique en Corée est expliquée! Il y en a un des conseillers de la ville qui a dit que c'est un "bus sur rail"
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