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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. vu de mon balcon le 2015-03-25 Sérieusement, les fenêtres en guillottine de la coop sont vraiment laides... j'espère quele revêtement extérieur minimisera leur effet
  2. vu de mon balcon le 2015-03-25 je ne vois pas grand chose, sauf la grue
  3. voici ce que ça donne vu de mon balcon le 2015-03-25 ils ont commencé à enlever les barrières en bois des étages inférieurs; on voit bien les balcons et il y a un nouveau revêtement sur le truc côté Shannon
  4. Pour complémenter la photo de Memphis vu de mon balcon le 2015-03-25
  5. Vu de la clôture, ça ressemblait bien à la brique du LSV
  6. Je passe devant à chaque jour et c'est seulement aujourd'hui que je remarque la brique!
  7. Damien Silès, PDG du QI est venu faire une présentation chez Desjardins sur ce qu'est le QI « Le Quartier de l'innovation (QI), lancé en mai 2013 par l’École de technologie supérieure et l’Université McGill, est un écosystème d’innovation en plein cœur de Montréal qui vise à accroître le potentiel de créativité de la métropole. Lors de cette conférence Damien Silès, directeur général du QI, nous expliquera pourquoi le Quartier de l'innovation a été créé et quelle est sa mission. Mais il nous parlera également de l'état de l'innovation à Montréal et du rôle des entreprises comme Desjardins dans cet écosystème. » voici le vidéo disponible sur YouTube : [video=youtube;-mXMzKwvOfE]
  8. via LaPresse : Un habit de verre pour le Ritz-Carlton La firme Provencher_Roy Architectes signe la restauration et l'agrandissement du Ritz-Carlton. Un projet ambitieux et fort complexe pour ce joyau de la métropole. Inauguré en 1912, le Ritz-Carlton est le seul grand hôtel de luxe montréalais à avoir survécu jusqu'à nos jours sans changer de vocation. Remarquable par ses façades ainsi que par ses élégants intérieurs inspirés du style Adam, cet immeuble est l'un des joyaux de l'architecture montréalaise. Or, malgré ses qualités indéniables, le Ritz-Carlton ne correspondait plus à la nouvelle demande touristique, en profonde mutation depuis plusieurs années. D'importantes transformations devaient être effectuées afin de rentabiliser les lieux. « Il s'agit d'une intervention contemporaine majeure sur un bâtiment patrimonial. Ce fut tout un défi de donner un nouveau visage à cet hôtel centenaire sans altérer sa personnalité. Nous sommes fiers aujourd'hui d'avoir pu contribuer à redonner à la "Grande Dame" ses lettres de noblesse », confie Claude Provencher, associé principal de Provencher_Roy. Le projet d'une superficie totale de 43 000 m2 englobe la rénovation des espaces publics et des 130 suites, et un agrandissement de 12 500 m2 pour 45 nouveaux appartements de luxe. Les architectes ont conçu cette nouvelle aile au seul endroit encore disponible sur le site : le long de la façade ouest du bâtiment, au-dessus d'un garage datant des années trente. Un volume de deux étages a également été ajouté sur le toit de l'édifice historique. Une piscine et une salle d'exercice ont d'ailleurs été aménagées au niveau du toit, et un nouveau spa occupe maintenant le sous-sol de l'ancien bâtiment. « Il est très délicat d'intervenir sur une structure existante. Nous avons dû la renforcer et faire preuve de beaucoup d'imagination pour y intégrer les nouveaux systèmes électromécaniques », explique Martin Vincent, chargé de projet chez Provencher_Roy. Une des difficultés majeures était d'intégrer la nouvelle aile résidentielle sans copier le bâtiment existant, mais sans non plus en occulter le caractère unique. La firme a donc opté pour une enveloppe de verre et d'acier qui évoque la géométrie et le rythme de la façade de 1912, tout en s'en démarquant par un geste résolument contemporain. Dans le même esprit, les deux étages supplémentaires ont été construits en retrait pour préserver les lignes architecturales de la corniche. « Notre credo a été de respecter l'identité de ce bâtiment remarquable, en imaginant une façon de l'agrandir qui puisse le valoriser. La nouvelle aile joue sur les profondeurs en s'habillant d'une enveloppe très raffinée dans sa composition », confirment les architectes du projet, Claude Provencher et Eugenio Carelli. Ces derniers ont exploité le mur-rideau de la nouvelle aile pour concevoir des appartements inscrits sous le signe de l'espace et de la lumière. Les chambres ont été aménagées dans l'ancienne partie de l'hôtel, accentuant ainsi leur caractère intimiste. Les architectes ont ensuite tiré profit des volumes de la nouvelle structure en verre et en acier, en concevant des espaces de vie ouverts (séjour, salle à manger, cuisine), tout en offrant une vue spectaculaire sur Montréal. Des loggias aux dimensions exceptionnelles agrandissent aussi l'espace, en permettant véritablement de prendre le pouls de la ville. Le résultat final est tout simplement magnifique. L'hôtel mythique vient assurément de regagner son titre de « Grande Dame de la rue Sherbrooke ». Le Ritz-Carlton et son enveloppe de verre. Crédit photo : Stéphane Groleau. Une chambre rénovée de l'hôtel. Crédit photo: Alexandre Parent. Une vue imprenable sur la ville. Crédit photo: Stéphane Groleau. La cuisine à l'intérieur d'un nouveau condo. Crédit photo: Stéphane Groleau. Le salon d'une nouvelle résidence. Crédit photo: Stéphane Groleau. Une vue sur une des nouvelles loggias. Crédit photo: Stéphane Groleau. Le salon d'une suite rénovée. Crédit photo: Alexandre Parent. La nouvelle piscine. Crédit photo : Alexandre Parent.
  9. Il y a plusieurs images avec le communiqué de presse: http://v2com-newswire.com/fr/salle-de-presse/categories/design-d-eclairage/dossiers-de-presse/621-20/une-nouvelle-signaturelumineuse-dynamique-pour-le-complexe-desjardins dont des avant/après
  10. Il y avait des roulottes de chantier sous l'autoroute au coin d'Ottawa ce matin
  11. Le dernier étage du côté Nord n'est toujours pas habité. Est-ce un penthouse?
  12. À regarder des émissions de réno sur HGTV, 1 million n'est pas bcp pour habiter dans le centre de Toronto...et c'est encore pire pour Vancouver... Donc ce n'est pas vraiment comparable
  13. même le Tiffani est semblable, mais avec une tour carrée... http://www.neufarchitectes.com/4-residentiel_residential/5464-Tiffani/#O Ces architectes sont vraiment « très » originaux...
  14. Il y a quelques mois pendant le débrouillage de CASA, je suis tombée sur un épisode de « Ma maison bien-aimée » filmé dans un des condos du Roc Fleuri. « Ma maison bien-aimée » est une version habitation de « Souper presque parfait » Le proprio n'a pas gagné
  15. Dans le journal Métro : 9/03/2015 Mise à jour : 19 mars 2015 | 17:17 Bientôt une nouvelle vie pour la tour d’aiguillage Wellington Par Catherine Vaillancourt TC Media La tour d’aiguillage Wellington subira une cure de rajeunissement d’ici deux ans. Le projet dont on ignore pour l’instant les détails sera dévoilé en avril prochain. La ville de Montréal souhaite ainsi redonner ses lettres de noblesses à cet édifice patrimonial unique au Canada, qui représente la porte d’entrée du quartier Griffintown. Lorsque vous circulez le long du canal Lachine, impossible de manquer cet étrange bâtiment en béton blanc de trois étages, barricadé et couvert de graffitis. Jadis une des plus importantes tours d’aiguillage ferroviaire en fonction, en Amérique du Nord, l’édifice de la rue Smith représente aujourd’hui une occasion d’offrir un espace culturel dans un secteur de Montréal au riche passé industriel. Projets de revitalisation Un appel d’idées a été lancé en 2013 pour transformer et mettre en valeur ce bâtiment iconique et ses environs, à temps pour le 375e anniversaire de Montréal. Quatre finalistes ont été retenus. Ils ont décidé de fusionner en deux consortiums qui doivent présenter leurs projets le 30 mars prochain. D’un côté, on retrouve Production Weart et Ateliers créatifs, alors qu’Eastern Bloc s’est associé à Espaces temps. Impossible d’avoir un avant-goût des idées que ces organismes ont développées, tout comme du budget nécessaire à leurs réalisations. Difficile de dire, donc, si la tour abritera une galerie d’art, une salle de spectacle, des ateliers ou même un bistro. Chose certaine, l’espace culturel sera ouvert à la communauté et offrira au quartier un lieu vivant et chaleureux. La petite rue Smith sera quant à elle transformée en promenade pour piétons, ornée par des œuvres d’art public. Centre névralgique La tour d’aiguillage Wellington aux allures fortifiées, a été construite en 1943 durant la Seconde Guerre mondiale. «Son architecture fonctionnaliste est simple, mais robuste et surtout stable, dans le but de coordonner un nombre record de manœuvres, jusqu’à 800 par jour», précise Dinu Bumbaru d’Héritage Montréal. Tout l’aiguillage des trains était articulé sur câble, l’édifice devait donc être bien ancré. Il fallait aussi qu’il soit résistant aux vibrations puisque l’axe du chemin de fer du Lower Lachine, l’ancienne route qui reliait Lachine au Haut-Canada (sur le territoire de la ferme Saint-Gabriel), était alors le deuxième en importance au pays. À l’époque, la tour Wellington, à proximité du centre-ville et du port de Montréal, était le centre névralgique du vaste et complexe réseau de transport du CN, hérité de plusieurs compagnies ferroviaires, notamment Chemin de fer Transcontinental et Grand Tronc. «La salle de contrôle devait alors s’assurer de la sécurité du balai mécanique des différents ponts tournants, levants et à bascule, qui enjambaient le canal Lachine» explique monsieur Bumbaru. Les opérations ont cessé dans les années ’60, au moment où les ponts sont devenus fixes et que le canal Lachine a perdu sa vocation de voie maritime. La tour a par la suite été désaffectée au début des années 2000 et ses équipements ont été transférés au musée ferroviaire Exporail à Saint-Constant. Conserver l’héritage Monsieur Bumbaru souhaite «que ce témoin parlant de l’effervescence industrielle puisse trouver un interprète, qui saura faire parler l’histoire de cet observatoire pour le rendre pertinent, autant pour les Montréalais que les touristes, tout en le transformant en relai pour connecter la ville et l’eau». Le directeur d’Héritage Montréal voudrait peut-être aussi voir la salle de contrôle transformée en observatoire pour permettre aux visiteurs d’expérimenter la vision des aiguilleurs, un point de vue unique sur les structures métalliques du passé». La Ville de Montréal dévoilera le projet du consortium qui redonnera vie à la tour Wellington en avril. La tour de l'aiguilleur Wellington aura une nouvelle vie à temps pour le 375e de Montréal. Hugo Lorini TC Media La salle de contrôle pourrait être transformée en observatoire pour permettre aux visiteurs d'expérimenter la vision des aiguilleurs selon le directeur d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru. Hugo Lorini TC Media L'architecture simple, robuste et surtout stable permettait de coordonner un nombre record de manoeuvres. Hugo Lorini TC Media Tout l'aiguillage des trains se faisait par câble l'édifice devait donc être bien ancré pour en plus, être résistant aux vibrations.
  16. Non, les ouvriers y travaillaient ce matin du côté de Shannon Mon unité est collée sur la phase 3 et je les entends moins que les travaux au District Griffin sur Peel
  17. Dans LaPresse+ ce matin : De bons défis attendent les propriétaires de bureaux André Dubuc La Presse La disponibilité des bureaux au centre-ville n’a pas été aussi grande à Montréal depuis la récession immobilière du début des années 1990. Le taux de disponibilité s’élève à 16 % dans les immeubles de bureaux de catégorie A au cœur du centre-ville, selon le dernier décompte du Groupe Altus. C’est plus du double de la moyenne observée depuis le début des années 2000, qui tourne autour de 7 %, indique Martine Sirois, directrice de la firme de services-conseils Altus, spécialisée dans le produit de bureau. Les immeubles A figurent parmi les plus beaux de l’inventaire. Ils sont plus modernes et offrent des caractéristiques supérieures à celles proposées dans les bâtiments âgés de la catégorie B. À la différence du taux d’inoccupation, le taux de disponibilité englobe non seulement les locaux vacants, mais aussi les locaux occupés pour lesquels le locataire actuel a confirmé son départ sans être remplacé. JEU DE CHAISE MUSICALE Les propriétaires du centre-ville subissent les contrecoups du récent boom dans la construction de tours de bureaux. Au moins cinq projets d’envergure ont été réalisés ou sont sur le point de l’être, ce qui ajoute plus de 1 million de pieds carrés à l’inventaire, dans un marché où la croissance de la demande est anémique. À titre comparatif, 1 million de pieds carrés correspondent à la superficie d’un gratte-ciel comme le 1000, De La Gauchetière, qui compte plus de 50 étages. Parmi les constructions nouvelles, on trouve la tour Aimia, dans le secteur du square Victoria, et la tour Deloitte, rue Saint-Antoine. La Caisse de dépôt a aussi annoncé récemment le début de la construction du 900, De Maisonneuve Ouest, qui sera occupé en partie par l’assureur Manuvie. L’Avenue, face au Centre Bell, et la transformation de la gare Viger, à l’extrémité sud-est du centre-ville, ajouteront aussi des espaces à l’inventaire. UN BUREAU SUR CINQ RESTE VIDE AU 1, PLACE VILLE MARIE Dans un marché stagnant comme le centre-ville de Montréal, les locataires qui signent un bail à une nouvelle adresse laissent bien souvent leur ancien propriétaire avec des locaux vides sur les bras. Une analyse d’Altus parue à l’hiver dans le magazine spécialisé Canadian Real Estate Forum montrait que la moitié des locaux disponibles dans les immeubles de catégorie A au centre-ville se concentraient dans huit immeubles. Ces immeubles affichent en moyenne un taux de disponibilité de 33 %, ce qui est considérable. L’article ne nommait pas les immeubles en question, mais dans l’industrie, on reconnaît sans peine les perdants à ce jeu de chaise musicale. « Sur l’avenue McGill College, de Place Ville Marie en montant jusqu’à la rue Sherbrooke, il doit bien y avoir près de 1 million de pieds carrés disponibles. Les propriétaires sont excessivement nerveux. » — Andrew Maravita, directeur général de la région de Montréal à l'agence immobilière Colliers Redbourne, qui gère le 1800, McGill College, et Industrielle Alliance, qui détient à la fois le 1981 et le 2000, McGill College, ont tous deux des blocs de bureaux sur le marché. Au 1, Place Ville Marie, le taux d’inoccupation frise les 20 %. Ce taux ne tient même pas compte du départ prochain des comptables de Deloitte, qui s’en vont chez Cadillac Fairview, rue Saint-Antoine, à compter de l’été prochain. Chez Ivanhoé Cambridge, personne n’était disponible pour répondre à nos questions. Néanmoins, on sait que cette filiale de la Caisse de dépôt planche sur un programme d’investissement de près de 1 milliard pour redynamiser son portefeuille au centre-ville. Il est notamment question d’aménager un observatoire dernier cri aux quatre derniers étages de Place Ville Marie en lieu et place du restaurant Club Lounge Altitude 737. Des détails sont attendus au printemps. D’autres propriétaires n’hésitent pas à faire des concessions dans l’espoir de remplir leurs étages. « D’après les conversations récentes avec des gens dans le marché, ceux-ci constatent que l’allocation [consentie par le propriétaire au locataire pour l’aménagement des bureaux] est plus élevée qu’elle ne l’était dans le passé dans le but de continuer à louer sans avoir à baisser le loyer de base », dit Martine Sirois, directrice chez Altus. LES INGÉNIEURS FONT DES COMPRESSIONS L’agence Jones Lang LaSalle (JLL) prévoit dans sa plus récente analyse de marché que le centre-ville restera largement favorable aux locataires au moins jusqu’au début de 2016. Indice révélateur de l’état du marché, on trouve près de 1 million de pieds carrés offerts en sous-location. Les ingénieurs, en particulier, se délestent de leurs bureaux. Hatch, Bechtel, Aecom et SNC-Lavalin ont tous mis des bureaux en sous-location en 2014. « Le secteur continue de souffrir en 2015 », assure François Létourneau, responsable de la recherche au bureau de Montréal de JLL. SNC-Lavalin vient tout juste de mettre deux étages, soit 20 000 pieds carrés, en sous-location au 360, rue Saint-Jacques, dans le Vieux-Montréal. Le mandat a été donné à CBRE. Minières et firmes de génie-conseil sont responsables de 20 % des locaux en sous-location, alors qu’ils occupent environ 7,5 % des bureaux du centre-ville. Un phénomène observable ailleurs au Canada Ce n’est pas seulement à Montréal que la disponibilité des bureaux monte en flèche. La raison ? La plupart des grands centres canadiens ont connu un boom dans la construction de bureaux. À la différence des précédents cycles, ce n’est pas la forte demande qui déclenche la construction de nouvelles tours, cette fois-ci, mais plutôt la présence de nombreux investisseurs aux poches bien remplies qui veulent investir dans un portefeuille de bureaux neufs. QUI LOUE QUOI AU CENTRE-VILLE ? Services financiers 24,9 % Technologies de l’information (et jeux vidéo) 21,3 % Services professionnels (comptables) et biens de consommation 17,3 % Ordres professionnels et institutions 14,8 % Génie et ressources naturelles 7,5 % Logistique, transport et aérospatiale 6,2 % Services juridiques 4,5 % Sciences de la vie 3,5 % Source : Jones Lang LaSalle
  18. Entendu à la radio que Des pancartes avec le nouveau nom ont été installées aujourd'hui. Donc, on a officiellement une intersection René-Lévesque/Robert-Bourassa
  19. dans l'intranet aujourd'hui : 16 mars 2015 Desjardins acquiert une participation importante au Port de Montréal Le Régime de rentes du Mouvement Desjardins, Desjardins Sécurité financière et Desjardins Groupe d’assurances générales s’associent à un groupe d’investisseurs pour l’acquisition de 100 % de l’intérêt économique du plus important opérateur de terminaux à conteneurs du Port de Montréal, soit la Société Terminaux Montréal Gateway. La Société Terminaux Montréal Gateway exploite deux des trois terminaux internationaux du Port de Montréal (Racine et Cast) et offre ses services à sept compagnies maritimes mondiales. En 2014, ces terminaux ont fait la manutention de près de 60 % de tous les conteneurs au Port. Étant donné le rôle essentiel des deux terminaux dans l’échange de conteneurs à l’échelle mondiale ainsi que de la nature à long terme de cet actif, cet investissement s’inscrit très bien dans notre portefeuille d’infrastructures, qui continue de croître. Nous sommes fiers de notre participation importante dans un actif montréalais qui est au cœur des activités économiques du Québec. Le Port de Montréal est le premier port de conteneurs en importance de l’Est du Canada et un port d’envergure internationale lié à plus de 140 pays dans le monde. Il bénéficie également de sa proximité avec les principaux ports européens ainsi que d’un important réseau ferroviaire et routier reliant Montréal aux principaux marchés de l’Amérique du Nord.
  20. On dirait que ce sont les espaces de bureaux qui auront le + de fenêtres
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