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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Communiqué de presse de l'Arrondissement concernant les partys de DJ sur la terrasse du New City Gas tous les vendredis de 22h à 3h du matin! Arrondissement du Sud-Ouest et SPVM - Fin des shows de DJ sur la terrasse de la New City Gas MONTRÉAL, le 27 mai 2016 /CNW Telbec/ - L'arrondissement du Sud-Ouest en collaboration avec le poste de quartier 20, met fin à la série de spectacles de DJ sur la terrasse de la New City Gas. débutée vendredi dernier. « Il n'est pas question que les résidents de Griffintown revivent une autre soirée pareille », a déclaré Benoit Dorais, maire de l'arrondissement et chef de la 2e opposition à l'Hôtel de Ville. « Nous allons faire respecter notre règlement d'urbanisme qui spécifie qu'aucune amplification sonore n'est permise sur les terrasses, ce qui exclut clairement les spectacles de DJ », a-t-il ajouté. « Nos inspecteurs ont rencontré les responsables de la New City Gas et leur ont rappelé l'interdiction d'utiliser des systèmes de son sur leur terrasse et les amendes auxquelles ils s'exposent. Les policiers du PDQ seront sur place à 22 h pour s'assurer que le message a bien passé et que les règles sont respectées » a insisté le maire Dorais. Griffintown, un milieu de vie Les citoyens qui vivent près de la New City Gas ont vécu une soirée particulièrement difficile vendredi dernier alors que la très courue salle de spectacle présentait une performance de DJ dehors sur la terrasse de 22 h jusqu'à 3 h du matin. Ils ont été nombreux à se plaindre à l'arrondissement. « Griffintown est un quartier habité et ses habitants ont droit au respect de leur sommeil et de leur environnement », a conclu le maire qui se dit confiant de pouvoir compter sur la présence policière pour l'aider dans sa croisade contre les incivilités. SOURCE Ville de Montréal - Arrondissement du Sud-Ouest Renseignements : Marie Otis, Directrice du cabinet du maire Benoit Dorais, 514 984-7333
  2. De la rue Maisonneuve, ça ressemblait à un revêtement de vinyle blanc comme ceux qu'on trouve partout sur les murs des maisons de banlieue ... Ça explique pourquoi ils sont déjà rendus aussi haut pour le revêtement. Je pensais qu'ils auraient mis de la brique
  3. Panneaux d'aluminium blanc? Garde-corps droits qui n'épousent pas la forme des balcons et petites fenêtres Pas sûre d'aimer ça
  4. J'ai trouvé une vieille photo en cherchant sur Google Dominion Bank en 1935
  5. Il n'y avait pas déjà une chocolaterie sur William à côté du Caméléon Vert? Est-ce qu'elle aurait déménagé sur Guy?
  6. Sur St-Denis, les artistes locaux exposent dans les vitrines des espaces à louer. Comme celui-ci avec Ponto qui fait en même temps la promo du festival de BD Photos tirées de la page Facebook de Ponto
  7. Faire le détour par le Vieux-Montréal et la rue Mills prend moins de temps pour atteindre Victoria que par Wellington.
  8. ça va faire une cour intérieure très sombre quand la phase sur St-Paul va monter
  9. yes right in front of the beautiful station #3
  10. la raison pourquoi on ne voyait pas de rendu du derrière; photos que j'avais prises de la maquette
  11. Mes amies et moi sommes tombées sur ce projet en nous promenant dans le Vieux mardi soir! C'était vraiment intéressant, surtout les tableaux interractifs. à voir absolument
  12. Les fenêtres sont vraiment petites! Je ne sais pas pourquoi, mais je croyais qu'elles feraient quasiment la hauteur de l'étage... vraiment déçue Ce serait p-ê moins pire avec le revêtement et les garde-corps
  13. via Radio-Canada L'AMT annule la signature d'un gros contrat destiné à Bombardier PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 7 H 05 EXCLUSIF – Radio-Canada a appris que l'Agence métropolitaine de transport (AMT) vient d'annuler, en toute discrétion, un appel d'offres de 103 millions de dollars pour lequel Bombardier Transport était le seul soumissionnaire. Parmi les raisons invoquées : Bombardier n'était pas capable de livrer les voitures de train dans le délai requis. Un texte de Thomas Gerbet Le 2 mai, l'Agence a annulé son appel d'offres après avoir jugé non conforme la soumission reçue de la part de Bombardier Transport. L'appel d'offres international lancé en décembre visait la construction et la livraison de 24 voitures à deux niveaux destinées aux lignes de train de banlieue de Candiac, Vaudreuil-Dorion et Saint-Jérôme. Deux raisons pour justifier l'annulation Première raison invoquée par l'AMT : le non-respect des délais de livraison. « Le calendrier établi ne convenait pas », explique la porte-parole de l'Agence, Fanie St-Pierre. L'AMT exigeait un maximum de 24 mois entre la signature et la livraison de la première voiture, alors que Bombardier s'estimait incapable de le faire en moins de 30 mois. Deuxième raison : « la façon dont les voitures étaient livrées, ce qu'elles contenaient, ne répondait pas à ce qu'on avait demandé », dit Fanie St-Pierre. L'AMT exigeait la présence d'écrans afficheurs dans les voitures pour signaler la prochaine gare. Elle voulait également un système de communication et un autre pour détecter automatiquement la présence de passagers dans les voitures, ce que Bombardier ne lui proposait pas. L'AMT n'a signé aucun contrat pour l'achat de nouvelles voitures depuis 10 ans. Or, les besoins de l'Agence sont devenus pressants, en raison notamment de la hausse de l'achalandage. L'appel d'offres annulé prévoyait d'ailleurs une option d'achat pour un maximum de 60 voitures neuves. Toutes les voitures de train de banlieue de l'AMT ont été construites par Bombardier. Bombardier se justifie Bombardier Transport « prend acte » de cette décision, mais maintient que sa proposition était réaliste. « Elle était avantageuse au niveau des coûts et à moindres risques », assure le porte-parole de la compagnie, Marc-André Lefebvre. « Ça nous apparaissait être le délai requis pour mettre en place la ligne de production ». Quant à savoir pourquoi Bombardier ne pouvait pas ajouter les outils électroniques demandés par l'AMT, le porte-parole répond : « l'offre que nous avons présentée [était] basée sur un produit que nous livrons présentement à l'agence Metrolinx [dans la région de Toronto] ». Il s'agit de la « même plateforme éprouvée », explique Marc-André Lefebvre. Bombardier face aux retards Le mois dernier, Bombardier a appelé en renfort les travailleurs de son usine de La Pocatière, au Québec, pour accélérer l'assemblage des tramways de Toronto en cours à Thunder Bay, en Ontario. La livraison avait connu plusieurs retards. La production des nouvelles voitures AZUR du métro de Montréal a aussi subi du retard à La Pocatière. Bombardier assure que ces deux situations n'ont aucun lien avec l'échec de l'appel d'offres de l'AMT. L'AMT veut encourager des compagnies étrangères à soumissionner L'AMT prépare un nouvel appel d'offres qui pourrait être modifié pour faciliter l'accès à d'autres soumissionnaires. Si Bombardier Transport était seul en lice, c'est surtout parce que l'appel d'offres exigeait au moins 25 % de contenu canadien. « Ça fait partie des éléments qu'on est en train de réviser », révèle la porte-parole Fanie St-Pierre, même si elle ajoute qu'il est « trop tôt pour affirmer si on va modifier [cet élément] ». Plusieurs constructeurs étrangers avaient fait part de leur intérêt pour le contrat, mais n'avaient pas soumissionné. Le marché ne manque pas de concurrence avec des entreprises comme Alstom (France), Siemens (Allemagne), Hitachi (Japon) ou encore CNR/CSR (Chine). Bombardier Transport assure qu'elle fera tout pour être de la prochaine course. « On regardera ce qu'on pourra proposer », conclut son porte-parole Marc-André Lefebvre. La facture doit être payée à 75 % par le ministère des Transports du Québec (MTQ). L'AMT a-t-elle l'obligation de produire ses voitures de train au Canada ? Non. Au Québec, le MTQ ne spécifie pas de proportion de contenu canadien obligatoire pour les équipements destinés au transport sur rail, contrairement aux autobus (minimum 20 %). Le Programme d'aide gouvernementale au transport collectif des personnes permet toutefois de fixer des contraintes au cas par cas. Par exemple, l'appel d'offres pour les nouvelles voitures du métro de Montréal devait contenir 60 % de contenu canadien en plus d'un assemblage final au Canada. L'AMT affirme qu'elle n'a pas à obtenir l'autorisation du gouvernement pour réduire le contenu canadien prévu à son appel d'offres.
  14. Trouvé sur le site de Centris Le fameux mur aveugle du District Griffin sur Peel :
  15. Wow il y a un premier étage. Il me semble qu'il y avait rien quand je suis passée à côté hier
  16. Quand je suis passée au bureau de ventes vers 14h, il y avait déjà 19 condos de la 2e partie de la phase 4 qui étaient vendus. Et une dizaine de personne sur la liste d'attente pour le modèle à 500 pi² sur le coin sud-est
  17. ça va être de la brique jaune hôpital pour s'agencer avec les autres phases du site
  18. Autre impact du REM via Radio-Canada : Un centre de 320 millions pour entretenir quatre fois moins de trains que prévu? PUBLIÉ IL Y A 22 MINUTES Centre d'entretien de l'AMT dans Pointe-Saint-Charles PHOTO : SITE DE L'AMT EXCLUSIF - Tout indique que le centre d'entretien des trains de l'Agence métropolitaine de transport (AMT), en construction dans le secteur Pointe-Saint-Charles de Montréal au coût de 320 millions de dollars, servira à entretenir quatre fois moins de voitures que prévu. Le Réseau électrique métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec vient en effet brouiller les cartes, mais la filiale de la Caisse responsable du projet, CDPQ Infra, n'exclut pas d'acquérir les installations. Un texte de François Cormier Ce centre a été conçu pour entretenir les voitures de trois lignes de trains de banlieue : Mont-Saint-Hilaire, Deux-Montagnes et Mascouche. Avec l'arrivée du REM, la ligne de train de banlieue vers Deux-Montagnes disparaîtra. Quant aux trains en provenance de Mascouche, ils ne pourront plus franchir le tunnel sous le Mont-Royal en raison de la présence du REM. Il sera donc impossible pour ces trains de se rendre au centre-ville ou au centre d'entretien de Pointe-Saint-Charles. L'AMT a refusé de spéculer sur l'avenir de son centre. « Il est encore trop tôt pour connaître tous les impacts du REM proposé par CDPQ Infra sur les activités de l'AMT », a indiqué la porte-parole de l'Agence, Fanie Clément St-Pierre. Des sources ont toutefois confirmé à Radio-Canada que les inquiétudes sont bel et bien réelles à l'AMT. Des discussions sont d'ailleurs en cours entre l'Agence et CDPQ Infra. La filiale de la Caisse de dépôt évoque d'ailleurs que différents scénarios sont étudiés. « Nous regardons différentes options pour pouvoir s'en servir pour le REM. L'idée recherchée est de capitaliser sur cette infrastructure pour optimiser le projet et ses coûts, parce que bien évidemment, il faut aussi entretenir les voitures du REM », indique Jean-Vincent Lacroix, de CDPQ Infra. Il a été impossible de savoir combien d'argent avait été investi dans le projet depuis le début des travaux, le 29 juin 2015. Selon les documents de l'AMT, le centre doit être opérationnel en 2017. Il doit abriter un atelier d'inspection, un atelier de réparation, un lave-train automatisé et un atelier de profilage de roue. Les voitures des autres lignes de train de banlieue de l'AMT ne peuvent pas être entretenues dans ce centre, puisqu'il ne s'agit pas du même réseau de rails.
  19. reçu par courriel LANCEMENT VIP : 4 JUIN De nombreux privilèges pendant l’évènement : • Prix de lancement très avantageux • Premier choix d’unités • Dépôt de seulement 5000$ à la signature du contrat* • Offre exclusive pour le 4 juin seulement
  20. via CBC : New City Gas, Heritage Montreal sound off on light rail project through Griffintown 'Griffintown is part of the cradle of the industrial revolution in Canada,' Dinu Bumbaru says By Sarah Leavitt CBC News Posted: May 11, 2016 6:47 PM ET Last Updated: May 11, 2016 6:47 PM ET New City Gas owner Harvey Lev says he's concerned the reserve placed on his building will lead to expropriation. (Radio-Canada) Heritage Montreal and business owners in Griffintown say Quebec's pension fund should take the neighbourhood's historic value into account when building its proposed light rail project. Harvey Lev, the owner of New City Gas night club, says his property is one of 70 in Montreal and Brossard that have been put on reserve. "Somebody in an office took a pen and drew line to mark where the rail line would go without even looking at the sector," Lev said. He fears the next step will be expropriation. The Caisse de dépôt et placement du Québec announced in April that it would invest $3 billion in the commuter light rail line, which would use a combination of existing and newly built tracks and stations. A history worth saving Heritage Montreal spokesperson Dinu Bumbaru says Griffintown's history is well-known and needs to be protected. "This area was planned before Manhattan was planned," he said. "It's part of the cradle of the industrial revolution in Canada and of course in Montreal, as the spearhead of it." New City Gas helped rescue a part of that heritage — an old industrial space built in 1859. "We made proof to the lie that older buildings have no life and need to be destroyed," Lev said. "We made proof that you can take an older building and re-purpose it and make it work very well." Caisse seeks 'least impact possible' Caisse spokesperson Jean-Vincent Lacroix says the plans for the rail project are only in the technical stage. He says the Caisse is sensitive to land owners and heritage buildings. "The intention is to have the least impact possible," Lacroix said. With files from François Cormier
  21. via Radio-Canada : voir reportage vidéo au Téléjournal : http://ici.radio-canada.ca/audio-video/media-7512185/temp Des bâtiments patrimoniaux menacés par le SLR La construction du système léger sur rail (SLR) de la Caisse de dépôt et placement continue de susciter l'inquiétude des résidents de Griffintown. Certains craignent d'être expropriés et que certains bâtiments patrimoniaux soient démolis, comme l'édifice Rodier et le New City Gas, dont les terrains font l'objet de réserves foncières dans le cadre du projet de Réseau électrique métropolitain (REM). Le New City Gas était, au 19e siècle, une usine de transformation de charbon qui produisait du gaz pour l'éclairage des rues et des édifices de la ville. L'édifice Rodier, un édifice en angle à l'intersection de Notre-Dame et de l'Inspecteur, est aussi menacé par le projet d'infrastructure. Le ministère des Transports et la Caisse de dépôt indiquent qu'ils n'ont pas encore pris de décision. Avec les informations de François Cormier
  22. via Le Devoir : Les édifices Rodier et New City Gas menacés par le futur train électrique 11 mai 2016 18h44 Jeanne Corriveau "> Photo: Jacques Grenier Archives Le Devoir L’édifice Rodier, de forme triangulaire et situé au 932, rue Notre-Dame ouest, a été construit en 1875. La Ville de Montréal en a fait l’acquisition en 2010. La New City Gas et l’édifice Rodier, deux immeubles patrimoniaux situés dans l’arrondissement du Sud-Ouest, sont menacés d’expropriation pour permettre la construction du futur train électrique de la Caisse de dépôt et placement du Québec Québec a récemment imposé des réserves foncières sur 70 terrains le long du tracé du futur Réseau électrique métropolitain (REM) qui s’étendra de Brossard jusqu’à Sainte-Anne-de-Bellevue, en passant par l’aéroport Montréal-Trudeau. Propriétaire de la New City Gas, un immeuble construit en 1950 à l’angle des rues Ottawa et Dalhousie, Harvey Lev a reçu par huissier une lettre du ministère des Transports du Québec (MTQ) lui signifiant que des parties de lots lui appartenant étaient visées par une mise en réserve pour deux ans en vertu de la Loi sur l’expropriation. « Je n’ai pas le choix. Je suis habitué maintenant », a indiqué Harvey Lev lors d’un entretien téléphonique. Pendant six ans, sa propriété a fait l’objet d’une réserve foncière de la part de la Ville de Montréal qui, dans un premier temps, souhaitait aménager une zone d’arrêt pour les autobus dans le corridor Dalhousie. La deuxième réserve, qui s’est terminée en juillet dernier, visait l’achat d’une partie du terrain pour l’aménagement d’un parc, un projet qui a été abandonné, dit-il. Démolition? M. Lev indique avoir tenté d’obtenir davantage de précisions sur les intentions de Québec, mais en vain. Il ignore donc s’il y aura démolition ou non de l’immeuble ou si son terrain sera simplement utilisé zone de travail pendant le chantier du REM. Quoi qu’il arrive, M. Lev ne pourra, pendant les deux prochaines années, apporter des modifications à l’immeuble. « J’ai le droit de récolter mes loyers, payer mes taxes et réparer le toit si ça coule, mais rien d’autre », explique-t-il. « L’idée d’un train, c’est merveilleux, mais le tracé me semble un peu bizarre », dit-il en soulignant que, selon lui, le REM aurait dû passer au centre des voies du futur boulevard urbain Robert-Bourassa qui remplacera l’autoroute Bonaventure. Quant à l’édifice Rodier, de forme triangulaire et situé au 932, rue Notre-Dame ouest, il a été construit en 1875. La Ville de Montréal en a fait l’acquisition en 2010. Tracé à définir Le MTQ souligne que les 70 lots visés par les réserves appartiennent à 45 propriétaires et qu’environ 10 % d’entre eux sont destinés à servir de lieux temporaires de travail pour le chantier du futur train. « Le tracé n’est pas encore finalisé. Donc, tout peut changer à ce stade-ci », a expliqué Sarah Bemsadoun, porte-parole du MTQ. « On a fait un réserve pour éviter la spéculation et les améliorations sur les bâtisses existantes ou la construction sur les terrains qui pourraient augmenter leur valeur. La réserve est de deux ans — renouvelable — et ça va laisser le temps à CDPQ Infra de poursuivre ses études pour mieux identifier les terrains qui pourraient être visés par les acquisitions. » Du côté de CDPQ Infra, on indique examiner tous les scénarios. « On va éviter de toucher aux façades de ces immeubles parce qu’on est sensibles au fait que ce sont des édifices patrimoniaux », a précisé Jean-Vincent Lacroix, directeur des relations médias chez CDPQ Infra. « Si on touche aux immeubles, ce sera restreint. » À la sortie du pont Champlain, le SLR roulera en tunnel sous le bassin Peel et reviendra en surface pour rejoindre les rails aériens qui, dans Griffintown, mènent à la Gare centrale, a expliqué M. Lacroix. Les concepteurs du projet de train devront donc déterminer le meilleur endroit pour faire émerger le train et assurer le lien avec les rails existants. Jean-Vincent Lacroix soutient qu’il serait impossible de faire rouler le train entre les voies du futur boulevard Robert-Bourassa pour ensuite le connecter aux rails aériens.
  23. Je crois qu'il était question d'un tunnel souterrain pour la portion Griffintown du tracé... mais un souterrain dans une zone innondable (d'où la construction prévue d'un bassin de rétention devant le NCG) est questionnable... Et on connaît le track record des entrepreneurs en matière d'excavation ces temps-ci...
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