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ScarletCoral

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  1. Quelqu'un m'a aussi dit que les avocats des deux partis (Prével et le proprio de l'édifice voisin) sont en négo pour voir comment partager les coûts.
  2. l'article est rendu sur le site Web via LaPresse: Publié le 12 juin 2015 à 07h40 | Mis à jour à 07h46 Le Westmount Square est à vendre =author%3AMaxime+Bergeron&sort=recent"]Maxime Bergeron La Presse Après une tentative ratée de conversion en copropriétés, l'an dernier, le complexe commercial Westmount Square, l'une des oeuvres phares de l'architecte Mies van der Rohe, vient d'être mis en vente par son propriétaire environ 100 millions de dollars. Le groupe Elad Canada a confié le mandat au courtier commercial Jones Lang LaSalle, a appris La Presse Affaires. La transaction touchera une tour de bureaux de 22 étages, un immeuble de deux étages ainsi qu'un petit centre commercial souterrain. Les deux tours résidentielles ne sont pas visées. Dror Duchovny, directeur de la gestion d'actifs chez Elad Canada, a dit vouloir « profiter des conditions favorables du marché » pour se départir du Westmount Square. Il n'a pas voulu confirmer le prix demandé pour le complexe de 330 000 pieds carrés, mais des sources au fait du dossier parlent d'une centaine de millions. UN JOYAU Méconnu de bien des Montréalais, le Westmount Square a été inauguré en grande pompe en 1967. À l'époque, son centre commercial était considéré comme l'une des adresses les plus luxueuses de la métropole. Des maisons prestigieuses comme Hermès et Lanvin y tenaient boutique, se souvient Stephen Léopold, président du conseil du groupe immobilier Immodev et fils de l'un des fondateurs du projet. « Certains disaient que c'était vraiment le bijou de Mies van der Rohe. C'était vraiment une ville dans la ville, avec des bureaux, des commerces, des résidences, la définition même du live, work and play », estime Stephen Léopold. Le complexe a changé de mains à quelques reprises au fil des ans. Il s'est retrouvé au coeur d'une polémique, en 1989, quand son propriétaire a apporté une série de changements esthétiques - dont l'installation de puits de lumière - qui ont altéré l'aspect original de la place centrale. La philanthrope et architecte Phyllis Lambert, qui a travaillé de près avec Mies van der Rohe, a combattu ces changements à l'époque. Elle estime que le Westmount Square pourrait de nouveau « être en péril » si le futur propriétaire tente d'apporter des modifications trop importantes au bâtiment. « Il faut quelqu'un qui veut faire de ça un projet d'une grande qualité, a-t-elle fait valoir jeudi. Ce serait désastreux d'avoir quelqu'un qui veut juste faire de l'argent avec ça. » Quoi qu'il en soit, Phyllis Lambert estime que la vente de Westmount Square par Elad était « inévitable », en raison de l'échec du projet de conversion en copropriétés proposé l'an dernier. Elad souhaitait aménager une centaine de condos dans la tour de 22 étages, une proposition qui a été rejetée par la Ville de Westmount. NOUVEAUX LOCATAIRES À l'heure actuelle, la tour de bureaux et le centre commercial affichent un taux d'inoccupation d'environ 20 %, selon Patrick English, directeur général de Westmount Square, géré par la société immobilière Cogir. « Le projet de conversion en appartements a fait partir certains locataires, mais on en a fait signer d'autres depuis », précise Patrick English. Qui pourrait racheter le Westmount Square ? Stephen Léopold, qui roule sa bosse en immobilier commercial depuis les années 70, croit que le groupe Cominar pourrait répéter ce qu'il a fait avec la Place Alexis-Nihon, située à quelques centaines de mètres. L'entreprise de Québec a rénové de fond en comble cette tour mixte, qui abrite aujourd'hui un centre commercial bien achalandé. (Cominar n'a pas rappelé La Presse Affaires, jeudi.) Elad Canada, filiale d'un important groupe israélien, s'est déjà départi d'un important actif immobilier montréalais en 2012. Le groupe avait alors vendu le Village olympique à un fonds de placement immobilier contre 176 millions de dollars. Pas question pour Elad de quitter complètement le marché montréalais, affirment toutefois ses dirigeants. L'entreprise a depuis lancé un vaste projet de copropriétés, le Nordelec, dans le sud-ouest de l'île. « Nous sommes fortement investis à Montréal et nous croyons fortement au marché montréalais », a déclaré Dror Duchovny, joint jeudi par courriel.
  3. Il y une banderole "À louer". La réfection du toit est terminée et on peut voir de la brique rouge!
  4. Plus je regarge la structure de béton, plus je trouve qu'il manque de balcons ou bien ils sont moins larges ou moins profonds par rapport au rendu. Il n'y en a même pas du côté Shannon. Et ici, on dirait plutôt des juliettes dans les coins pour les étages supérieurs
  5. MUZ, URB (est-ce confirmé?)... et Drummond sur respirateur artificiel? pendant ce temps là, le S sur le Square s'est vendu en un après-midi au mois de novembre 2014 et est en construction actuellement... Il y a des promoteurs qui connaissent le marché du centre ville et d'autres non
  6. Dans LaPresse+ RENDEZ-VOUS IMMOBILIER Un marché d’acheteurs… mais un peu moins Maxime Bergeron La Presse Après plus de deux ans de hausse ininterrompue, le déluge de propriétés qui inonde le marché québécois de la revente commence quelque peu à se tarir. Dans un rapport récent, la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) explique que les conditions de marché connaissent une « stabilisation » assez généralisée dans la province depuis le début de l’année. Ce retour graduel à des conditions plus normales survient après un revirement rapide – et abrupt – entre le milieu de 2012 et la fin de 2014. Pendant cette courte période, la plupart des villes sont passées d’un marché favorisant les vendeurs à un marché qui avantage les acheteurs. Les prix ont stagné, voire reculé, dans certains secteurs et les délais de vente se sont allongés. « Même dans les régions ressources, telles que Val-d’Or, Baie-Comeau et Sept-Îles, où les conditions de marché étaient particulièrement serrées en 2012, le nombre de mois d’inventaire a fortement augmenté et en décembre 2014, le marché avantageait les acheteurs dans ces trois agglomérations », écrivent les économistes de la FCIQ. Comment déterminer si un marché est vendeur, acheteur ou équilibré ? Pour y parvenir, la FCIQ calcule le nombre de mois d’inventaire (NMI). Il s’agit du nombre de mois qui serait nécessaire pour écouler toutes les propriétés dans un secteur donné, en se basant sur le rythme actuel des ventes. Selon les critères reconnus, un marché favorise les acheteurs – donc de fortes hausses de prix – lorsque le NMI est inférieur à 8. Entre 8 et 10, il est considéré comme équilibré, tandis qu’il avantage les acheteurs au-delà de 10. Si les acquéreurs de maisons unifamiliales restent avantagés par le marché actuel, « la tendance haussière semble s’être estompée ». La FCIQ dit observer une stabilisation depuis quelques mois grâce à l’amélioration des ventes, couplée à une croissance plus faible de l’offre de propriétés. Sans surprise, le segment des copropriétés a connu la plus forte hausse du NMI depuis 2012. Ce marché continue d’avantager les acheteurs dans les trois plus grandes villes de la province, note la FCIQ. Le pouvoir de négociation reste important, et les délais de vente, assez longs. Malgré cela, on note aussi une stabilisation du NMI dans le marché des condos. Les ventes ont augmenté depuis le début de l’année, tandis que l’offre a progressé plus lentement. En parallèle, les mises en chantiers de nouveaux appartements ont aussi reculé de 54 % à Gatineau, 53 % à Montréal et 11 % à Québec depuis le début de l’année. Qu’en est-il des « plex » ? Après des années de folie furieuse, où les vendeurs avaient la part belle, le marché des immeubles de deux à cinq logements est maintenant à l’avantage des acheteurs. Le NMI ne semble pas encore connaître de « plateau » dans le segment des plex, souligne la FCIQ, ce qui laisse entrevoir une détente accrue des conditions de marché. La FCIQ entend surveiller l’évolution du NMI au cours des prochains mois pour voir si la tendance actuelle se confirme. « Il est même envisageable que les conditions de marché se resserrent si les ventes de propriétés continuent leur croissance au même rythme qu’en mars et en avril dernier », souligne l’organisme.
  7. Dans LaPresse+ Tourné vers l’avenir, dans le respect du passé NOM DU PROJET Le Brickfields OÙ À l’intersection des rues de la Montagne et Wellington, à l’entrée (ou à la sortie) du pont Wellington, dans Griffintown. Danielle Bonneau La Presse COMBIEN 45 condos de 13 modèles différents, du 6e au 14e étage d’un seul immeuble. Des espaces de bureaux, dotés d’une terrasse ou d’un balcon, également vendus en copropriété, devraient occuper les cinq étages au-dessous. Un commerce de style bistro avec une terrasse s’installerait au rez-de-chaussée. APERÇU L’activité immobilière aux alentours du terrain où sera construit le Brickfields est ahurissante. Pour attirer l’attention avec un nouveau projet, tout promoteur doit se distinguer. Maître Carré propose donc d’intégrer la Maison Keegan, la plus vieille habitation de Griffintown, dans le complexe, au bénéfice des futurs copropriétaires. L’entreprise recréera aussi les façades de briques rouges des anciens bâtiments voisins, qui étaient alignés le long de la rue de la Montagne, afin de rappeler l’histoire de l’ancien quartier ouvrier étroitement lié à la communauté irlandaise et à l’industrialisation des abords du canal de Lachine, aux XIXe et XXe siècles. « On veut créer un dialogue entre le passé, le présent et l’avenir », explique Hugo Girard Beauchamp, président de Maître Carré, qui a réalisé Le Carré de la Montagne dans le même quadrilatère et est propriétaire du Horse Palace, la plus vieille écurie urbaine encore en usage en Amérique du Nord, qui se trouve tout près. « L’écurie est l’âme de Griffintown et son emblème la plus forte, estime le jeune entrepreneur, qui préside la Fondation du Horse Palace. On veut préserver l’usage du site et faire en sorte que les gens se l’approprient. On désire ainsi contribuer au quartier. Personne ne veut une ville dortoir. Une raison pour laquelle il y aura des bureaux au Brickfields, c’est justement pour que l’endroit soit vivant le jour. » Le nom du futur complexe, précise-t-il, fait référence au surnom donné au quadrilatère formé des rues Ottawa, de la Montagne, Murray et Wellington, où était établie une immense briqueterie au XIXe siècle. Pour faire place à la nouvelle construction, trois bâtiments qui avaient mal vieilli ont été démolis : un immeuble de quatre logements datant de 1862 dans la rue de la Montagne, un bâtiment de coin construit vers 1852 avec un local commercial au rez-de-chaussée et un triplex bâti en 1909 dans la rue Wellington. En revanche, le promoteur déménagera temporairement à proximité, sur un terrain appartenant à Devimco Immobilier, la petite maison d’Andrew Keegan, que le professeur a habitée de 1863 à 1891. Vraisemblablement construite entre 1846 et 1852, elle n’en serait pas à son premier déménagement. Elle aurait en effet été bâtie ailleurs puis déplacée dans la rue de la Montagne par M. Keegan en 1863*. La maisonnette, qui retrouvera sa place un peu en retrait de la rue et sera restaurée, sera intégrée dans le nouvel immeuble. Elle fera partie du hall d’entrée des copropriétaires. Quelques poutres de la charpente devraient par exemple être préservées afin de mettre en valeur le plafond cathédrale. De nouvelles fenêtres de bois seront aussi notamment installées. Le reste de l’édifice sera résolument contemporain. Pour marier l’ancien et le nouveau, Maître Carré a fait appel à l’agence Forme Studio Architectes. Le design intérieur des espaces communs a par ailleurs été confié au bureau Desjardins Bherer. Le complexe se distinguera aussi en ne comptant ni piscine, ni chalet urbain, ni barbecue sur le toit. Le calme et la quiétude seront à l’honneur, que ce soit sur la terrasse sur le toit, agrémentée de potagers, dans le coin lecture aménagé près de l’entrée dans la maison Keegan, ou dans la cour intérieure, où sera installée une fontaine. *Source : Énoncé de l’intérêt patrimonial du site, préparé par la Division du patrimoine de la Ville de Montréal, septembre 2013. POUR QUI ? Des acheteurs aguerris, qui apprécient le design et l’architecture, et recherchent une propriété plus raffinée ou plus spacieuse. COMBIEN ? (taxes en sus) — À partir de 249 000 $, 1 chambre, environ 650 pi2 — À partir de 313 000 $, 2 chambres, environ 800 pi2 — À partir de 561 000 $, 3 chambres, environ 1280 pi2 — Jusqu’à 1,350 million, appartement-terrasse de 2250 pi2 (dont une mezzanine de 323 pi2) et quatre terrasses totalisant 1172 pi2. CHARGES MENSUELLES DE COPROPRIÉTÉ (estimées par le promoteur) De 25 à 30 cents le pied carré. DANS LE VOISINAGE Le parc de Griffintown St. Ann juste en face, où se trouvent les vestiges de l’église St. Ann, la promenade Smith, qui se veut le trait d’union entre la rue Peel et le canal de Lachine (les travaux d’aménagement en cours entre les rues Peel et Murray devraient être terminés en août), de plus en plus de commerces et de restaurants, dont le futur marché d’alimentation Metro dans le complexe District Griffin sur Peel. La station de métro Lucien-L’Allier est à distance de marche. CONSTRUCTION Elle devrait s’amorcer au début de 2016. Les copropriétaires commenceraient à emménager à la fin de l’été 2017. ON AIME Le condos les moins hauts se trouvent au 6e étage, les copropriétaires auront tous des vues dégagées sur les environs, qui ne seront jamais obstruées. Aucun immeuble en hauteur ne pourra en effet être construit à côté, rue de la Montagne, ou en face. ON AIME MOINS Le quartier se métamorphose, mais il faudra être patient avant que toutes les actions prévues sur le domaine public se réalisent.
  8. il y a un début de trou? ou c'est juste une décoration?
  9. et celle-ci ? elle semble être sur un toit mais je vois pas où elle pourrait être avec toute cette machinerie sur le toit..
  10. C'est quoi la laideur à gauche du centre Bell? les Jardins Windsor?
  11. La terrasse est sur le toit? Car vus de chez moi, les deux toits ressemblent à des champs de thermopompes!
  12. Condo à louer au 20e étage du Griffix. Selon les photos, ça semble être le coin sud-ouest. Le prix demandé : 2390$/mois pour 963pi² http://www.viacapitalevendu.com/montreal-appartement-condo-21711708/ En passant, le restaurant Doca au RDC du Griffix a ouvert cette semaine. J'ai checké le menu. Beaucoup de poisson et de fruits de mer à prix quand mêmes raisonnables.
  13. Pas une nouvelle à propos des étages supérieurs de la PVM, mais il va y avoir un marché public sur l'esplanade de la Place Ville-Marie cet été MARCHÉ PUBLIC SUR L'ESPLANADE DE PLACE VILLE MARIE ​Le nouveau marché public de l’Esplanade Place Ville Marie propose une expérience unique en vous offrant une variété de produits frais et facilement accessibles, à saveur résolument locale! Découvrez aussi les ateliers de cuisine mettant en vedette des cuisiniers québécois qui ont à cœur les produits frais et locaux cuisinés dans le respect de l’environnement. Le marché est ouvert de 11 h 45 à 15 h 30 Les prestations culinaires ont lieu de 12 h 15 à 13 h 15 Dates du marché: 28 mai ; 4 et 18 juin ; 2, 16 et 30 juillet; 13 et 27 août; 10 septembre et 24 septembre Le marché public est ouvert beau temps, mauvais temps.En cas de mauvais temps, les kiosques sont installés sous les quadrants adjacents à l’Esplanade. Exposants : Bar à Beurre Cette boulangerie-pâtisserie familiale offre des recettes artisanales pour combler toutes les gourmandises. Elle présentera notamment ses confitures, ses biscuits à pâte sablée et ses macarons. www.barabeurre.com Cult Yogourt Cult Yogourt offre des yogourts de culture probiotique sains, onctueux et gourmands, disponibles dans une variété de saveurs originales et élaborés dans les Cantons de l’Est avec du lait de vache Jersey 100 % québécois.www.cultyogourt.com Cook It Ce nouveau concept vient révolutionner l’industrie de la distribution alimentaire et offre une sélection de plats divers et variés disponibles sur son site (végétarien, poisson, volaille). Le kit cook it, dans lequel on retrouve les ingrédients frais et pré-portionnés ainsi qu’une fiche détaillée avec les instructions à suivre pour réaliser son festin, est livré à domicile ou peut être acheté directement au marché public. Le tout est présenté dans un emballage entièrement recyclable et biodégradable, qui garde les aliments au frais durant le transit et conçue pour être facilement transportable. www.cookitboutique.com Floralia La fleuriste Caroline Boyce, une passionnée de la Terre, offre des produits écologiques et équitables cultivés à l’écart de la ville, dans la région de Hemmingford, en Montérégie. Mettant de l’avant une approche holistique au niveau de sa production, elle présente une variété impressionnante de vivaces, d’annuelles, de plantes rustiques et de plantes ornementales à travers ses bouquets riches en couleurs et en textures. www.floralia.ca La Chevrière de Monnoir Cette ferme locale, fondée par la famille Marchand et située à Marieville, se spécialise dans l’élevage traditionnel de chèvres laitières et de boucheries nourries aux fourrages et aux grains naturels. Elle fera notamment découvrir sa sélection de fromages tels que le brie de chèvre, les bouchées d’amour, le fromage en grain aux herbes, le saucisson à la viande de chèvre légèrement fumé au bois naturel d’érable et plus encore! www.chevrieredemonnoir.com Four de la pointe Le Four de la pointe offre des produits biologiques préparés à la manière ancestrale, incluant des pains sains et nourrissants, crées à partir de grains cultivés sur des fermes locales et issus de l’agriculture biologique. Les artisans mettent la main à la pâte du début jusqu’à la fin du processus en obtenant la farine par mouture à la meule de pierre, en effectuant le pétrissage et le façonnage manuellement et cuisant le tout au four de bois. Une variété de pains au levain en résulte soit, Le Raisin, Le Khorasan, Le Noix, L’Olivier, Le Vieux Blé, L’Épeautre, Le Blé Noir et Le Seigle. www.fourdelapointe.com Ferme Bons-Bons Légumes Bio Depuis 10 ans déjà, la ferme Bons-Bons Légumes Bio s’engage auprès des familles québécoises afin de leur offrir des produits frais et surtout biologiques. Elle fait partie réseau des fermiers de famille d’Équiterre. Les œufs certifiés bio font la renommée de cette entreprise familiale qui offre ses produits autant en été qu’en hiver avec un élevage de poules traité aux petits soins.Les Jardins de la Terre Fondée en 2003, Les Jardins de la Terre se spécialise dans l’agriculture et l’horticulture biologique. Cultivés dans le respect de la nature, ils offrent un large éventail de légumes frais et de fines herbes et met de l’avant le travail de la terre en cohésion avec l’environnement et l’importance du développement durable. www.jardinsdelaterre.org Dose Géré par une petite équipe basée à Montréal, Dose offre des jus crus et biologiques pressés à froid, qui ne sont ni chauffés ni pasteurisés ou traités chimiquement. Le complément idéal pour un mode de vie sain! www.dosejuice.com Brioche dorée Cette boulangerie réputée propose une vaste gamme de produits de restauration rapide de tradition française et offrira viennoiseries et pâtisseries dans le cadre du Marché public sur l’Esplanade Place Ville Marie. www.briochedoree.us Chef invité le 4 juin : David Côté Président directeur général et co-fondateur de l’entreprise Crudessence, David Côté est tout d’abord un chef de renom en alimentation vivante à laquelle il doit son succès. Aujourd’hui, Crudessence c’est 3 restaurants, un service de traiteur, une gamme de produits, une boutique en ligne et un service de formation culinaire. Précurseur dans le domaine de la cuisine biologique, végétalienne et vivante, il est également co-auteur de 5 livres à succès dont un best seller traduit en 5 langues. David est aussi vice-président de Rise Kombucha, une entreprise de breuvage dont l’expansion en quelques années à de quoi en impressionner plus d’un! www.crudessence.com Recette présentée : crème de jour au concombre
  14. Il faudrait plus de services dans ce secteur. L'épicerie est vraiment loin
  15. C'est un stationnement qui est là actuellement non?
  16. Pour un pont inauguré en 1860, il est très bien! Ce serait bien de l'illuminer. ... je n'aime juste pas rouler sur le trellis.. j'ai tjs l'impression de dériver sur la droite ou la gauche
  17. via Radio-Canada Un parc pour piétons et cyclistes entre les ponts Champlain et Victoria Mise à jour le vendredi 29 mai 2015 à 7 h 25 HAE Le secteur du Havre La Ville de Montréal veut aménager un parc pour piétons et cyclistes le long du fleuve entre les ponts Champlain et Victoria. La Ville a lancé, le 11 mai dernier, un appel d'offres pour évaluer différents scénarios dans le but de rendre les berges plus accessibles aux citoyens, par exemple en transformant l'autoroute Bonaventure en boulevard urbain ou en l'éloignant de la rive. Un texte de Benoît Chapdelaine La Ville veut profiter des travaux reliés au futur pont Champlain et au futur système de transport collectif entre la Rive-Sud et le centre-ville pour rendre cette partie du fleuve plus accessible. Selon le directeur de l'urbanisme de la Ville de Montréal, Sylvain Ducas, « il y a une occasion à saisir à notre avis, pour récupérer une partie des berges du Saint-Laurent, pour les transformer à des fins de parcours linéaires, des parcours piétons cyclables, depuis le pont Champlain jusqu'à la Cité du Havre, ce qui permettait d'assurer en continu ce lien aux abords du fleuve depuis l'arrondissement de Lachine jusqu'au centre-ville ». Différents scénarios sont prévus, comme la transformation de l'autoroute Bonaventure, propriété du gouvernement fédéral, en boulevard urbain. La partie la plus proche du centre-ville, propriété de la Ville de Montréal, est déjà en travaux pour en faire le boulevard Robert-Bourassa. Un autre scénario prévoit un léger déplacement de l'autoroute Bonaventure qui trône sur ce secteur de la ville depuis 1967. Sylvain Ducas précise qu'une étude préliminaire, menée en collaboration avec la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain, a déterminé que l'autoroute Bonaventure pourrait être déplacée une dizaine de mètres au nord dans son emprise actuelle. « Projet Montréal a toujours préconisé de juste démolir tout simplement cette autoroute qui est superflue », souligne le conseiller municipal du secteur concerné dans l'arrondissement du Sud-Ouest, Craig Sauvé. « Mais de rendre accessibles les berges du fleuve aux cyclistes et aux piétons, c'est quand même une bonne nouvelle. Il ne faut pas le nier, il n'y a aucun lien cyclable dans cet endroit magnifique. » Les résultats de l'étude sont attendus au début de 2016.
  18. via Le Devoir <header> L’île Sainte-Hélène n’est pas à vendre, dit Danièle Henkel 30 mai 2015 Jeanne Corriveau Montréal </header> Il n’est pas question de vendre une partie de l’île Sainte-Hélène à des intérêts privés, assure Danièle Henkel. Entrée en poste il y a un mois, la présidente du conseil d’administration de la Société du parc Jean-Drapeau (SPJD) apprivoise son nouveau rôle. Mais la femme d’affaires affirme qu’elle pourra dire non au maire Coderre en cas de désaccord sur l’avenir du parc. Mme Henkel ignorait que des discussions étaient déjà engagées entre Denis Coderre et le fondateur du Cirque du Soleil concernant le projet de Pangéa, un espace commémoratif dédié à des rites funéraires que Guy Laliberté souhaite implanter sur l’île Sainte-Hélène. Elle l’a appris en lisant Le Devoir mardi matin. La femme d’affaires, qui s’est fait connaître avec l’émission Dans l’oeil du dragon, est diplomate. Visiblement, elle n’a pas aimé avoir été tenue dans l’ignorance, mais elle n’est pas du genre à sortir de ses gonds facilement. «Je veux rester dans le respect. Vous savez qu’on peut être ferme, mais très respectueux. Dans le ton d’une voix, dans un message, on peut décoder. On n’a pas besoin de crier», explique-t-elle. Elle semble avoir eu recours à cette méthode avec le maire Coderre. Comme elle devait tenir, jeudi matin, la première réunion du CA de la SPJD, elle a communiqué avec le cabinet du maire pour demander la présence de Denis Coderre afin qu’il puisse rencontrer la nouvelle équipe d’administrateurs et parler du projet. On lui a fait savoir que le maire devait prendre un avion à 10 h ce matin-là pour se rendre à New York. «J’ai répondu: “Demandez simplement à monsieur le maire cet effort que j’apprécierais beaucoup parce que, après tout, j’ai été mise au courant de la mauvaise façon, alors je m’attends à mettre au courant les membres du CA de la bonne façon”, relate Mme Henkel. Et c’est ce qu’il a fait. Il s’est déplacé. Il a fait le détour même s’il a fallu qu’il coure. J’ai apprécié.» Elle refuse toutefois de se prononcer sur le projet de Pangéa, car pour l’instant, il n’y a rien de concret sur la table. «C’est tellement embryonnaire que je ne veux même pas savoir. Sinon, je vais passer mon temps avec mon équipe à essayer de comprendre des choses qui, peut-être, ne verront pas le jour.» Dire non Mais une chose est claire dans son esprit : il est hors de question de vendre un terrain de l’île Sainte-Hélène à des intérêts privés. Danièle Henkel pourra-t-elle dire « non » au maire si elle est en désaccord avec une de ses décisions ? «Mais bien sûr qu’on peut dire non, tout autant qu’il peut dire non aussi», répond-elle aussitôt. Nommée le 30 avril dernier pour un mandat de trois ans, Mme Henkel hérite d’une organisation qui sort d’une crise. En mars, l’inspecteur général Denis Gallant avait relevé des irrégularités dans l’octroi de contrats à la SPJD, ce qui avait entraîné le départ de membres de la direction. Mme Henkel a d’ailleurs rencontré M. Gallant pour s’assurer qu’il n’y avait pas d’autres enquêtes en cours. Avec le nouveau CA, Mme Henkel entend élaborer un plan stratégique pour le parc Jean-Drapeau, dont l’accessibilité doit être facilitée, dit-elle. Elle souhaite aussi établir des communications plus étroites avec les employés et les médias. Elle admet que la tâche est imposante. «Mais ce n’est pas grave parce que j’ai pris le mandat en connaissance de cause et je suis imputable et responsable et je ne me plaindrai pas.»
  19. C'est assez impressionnant quand tu marches direction sud sur de la Montagne
  20. dans LaPresse : Publié le 28 mai 2015 à 07h24 | Mis à jour à 07h24 Bureaux vacants: un sommet de 10 ans au centre-ville =author%3AMaxime+Bergeron&sort=recent"]Maxime Bergeron La Presse La quantité de bureaux disponibles atteint aujourd'hui un sommet de 10 ans au centre-ville de Montréal, avec un peu plus de 4 millions de pieds carrés à la recherche d'un locataire. C'est l'équivalent des trois plus importantes tours de Montréal - la Place Ville Marie, le 1000 De La Gauchetière et le 1250, boulevard René-Lévesque Ouest - combinées. Selon des données de la firme Devencore Newmark Knight Frank qui seront publiées aujourd'hui, le taux de disponibilité des bureaux de catégorie A atteint 16,4% dans le coeur de la métropole, le double d'il y a quatre ans. Cette explosion de l'offre a contribué à faire baisser les loyers jusqu'à 15% dans certains cas. «Ce n'est pas une surprise, on voit ça venir depuis longtemps, a fait valoir Jean Laurin, président et chef de la direction de Devencore, en entrevue à La Presse Affaires. C'est une industrie qui fonctionne selon l'offre et la demande.» L'offre et la demande, toutefois, semblent avoir emprunté la mauvaise trajectoire. Après deux décennies de pause, les promoteurs sont revenus en force depuis quelques trimestres au centre-ville. Plusieurs nouveaux gratte-ciel sont en chantier ou sur le point d'être lancés, comme la Tour Deloitte, à côté du Centre Bell, la Tour Manuvie, boulevard de Maisonneuve Ouest, ou le siège de l'ONF dans le Quartier des spectacles. De nombreux autres immeubles sont sur les planches à dessin. Les entreprises qui s'installeront dans ces tours rutilantes sont parties à la chasse aux locataires - ou aux sous-locataires - pour occuper leurs anciens bureaux. Or, les sociétés à la recherche de nouveaux bureaux sont rares, ce qui contribue à pousser le taux d'inoccupation vers le haut. Autre coup dur pour la demande: une série d'entreprises, notamment dans le secteur financier, ont déménagé dans d'anciens immeubles industriels des quartiers périphériques depuis quelques mois. Si ce mouvement profite aux secteurs comme le Mile-Ex, il a aussi porté un coup dur au marché immobilier du centre-ville. Au même moment, plusieurs firmes ont revu à la baisse leurs besoins au chapitre des espaces et rassemblent leurs employés dans des bureaux plus petits. S'il fait rager les propriétaires fonciers, le climat actuel présente d'excellentes occasions pour les entreprises qui souhaiteraient s'installer dans le quartier des affaires, note Jean Laurin. «Quand tu as 16% de taux d'inoccupation dans le marché, c'est le temps de négocier un bail pour obtenir un prix plus avantageux. Les baisses de prix vont varier d'un immeuble à l'autre, mais on peut facilement parler d'une baisse d'environ 10 à 15%.» Nouvelle donne Dans un tel contexte, pourquoi les promoteurs continuent-ils de lancer de nouveaux projets? Jean Laurin souligne que les propriétaires des tours du centre-ville - surtout des caisses de retraite, des fonds de placement cotés en Bourse et de grandes sociétés publiques - semblent avoir une confiance assez solide envers le marché montréalais. «Une chose comme ça peut arriver lorsque la vision des acteurs est positive à long terme, lorsque quelqu'un regarde un marché comme celui de Montréal, avec une économie assez diversifiée qui tire bien son épingle du jeu dans le secteur des nouveaux médias», a-t-il avancé. Selon l'étude de Devencore, un peu plus de 4 millions de pieds carrés sont disponibles dans les immeubles de catégories A et B du centre-ville, sur un total de 47 millions de pieds carrés. Le taux d'inoccupation atteint 8,6%, tandis que le taux de disponibilité franchit la barre des 16% en incluant tous les espaces offerts en sous-location. Le point sur les nouveaux projets > Tour Aimia, Quartier international Il reste environ 100 000 pieds carrés de locaux dans cette tour de 10 étages, située aux niveaux inférieurs d'un projet mixte de 35 étages. > Tour Deloitte La tour de 26 étages, adjacente au Centre Bell, est presque terminée et accueillera bientôt Deloitte et Rio Tinto. Il reste environ 150 000 pieds carrés à louer. > L'Avenue Cette tour anguleuse de 50 étages compte 140 000 pieds carrés de bureaux aux étages inférieurs, toujours à la recherche de locataires. > Maison Manuvie Le projet de tours de bureaux a finalement été lancé conjointement par Ivanhoé Cambridge et Manuvie, après huit ans de tergiversations. > Desjardins Le service de paiement électronique de Desjardins rassemblera 1600 employés dans un nouvel immeuble de 11 étages situé boulevard De Maisonneuve Ouest. > ONF L'Office national du film déménagera dans un immeuble translucide, à côté de la place des Festivals. Il faudra trouver des locataires pour plusieurs des 13 étages de l'immeuble, puisque l'ONF en occupera moins de la moitié. > En discussions... - Le projet de l'îlot Voyageur, près de l'UQAM - Une tour de bureaux de Westcliff dans le Quartier international - Un gratte-ciel de 1,2 million de pieds carrés de Canderel et du Fonds de solidarité FTQ dans le Quartier des spectacles - Un projet de tour mixte à l'angle de Robert-Bourassa (University) et Saint-Jacques Sources: Devencore Newmark Knight Frank, LaPresse Taux de disponibilité des bureaux au centre-ville de Montréal NOTE: Données pour le premier trimestre de chaque année Source : Devencore Newmark Knight Frank [TABLE=width: 430] <tbody>[TR] [TH=class: left, align: left]Année [/TH] [TH=class: left, align: left]Disponibilité[/TH] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2015[/TD] [TD=class: left, align: left]15,6 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2014[/TD] [TD=class: left, align: left]14,0 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2013[/TD] [TD=class: left, align: left]11,0 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2012[/TD] [TD=class: left, align: left]9,9 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2011[/TD] [TD=class: left, align: left]9,5 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2010[/TD] [TD=class: left, align: left]10,7 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2009[/TD] [TD=class: left, align: left]8,9 % [/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2008[/TD] [TD=class: left, align: left]7,9 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2007[/TD] [TD=class: left, align: left]11,9 %[/TD] [/TR] [TR] [TD=class: left, align: left]2006[/TD] [TD=class: left, align: left]15,6 %[/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  21. via Radio-Canada Royalmount va se faire sans consultation, déplore un conseiller indépendant de Mont-Royal Mise à jour le mercredi 27 mai 2015 à 17 h 22 HAE Le seul conseiller indépendant de Ville Mont-Royal, Louis Dumont, dénonce le manque de consultation auprès des citoyens dans le futur projet du mégacentre commercial et de divertissement Royalmount. M. Dumont affirme que les promoteurs de ce qui a été surnommé le Quinze40 ont développé leur projet « dans le plus grand secret », sans consulter les résidents de Ville Mont-Royal (VMR). Cet éventuel centre hybride sera situé à l'angle des autoroutes 15 et 40, à Montréal et nécessitera, s'il se concrétise, des investissements évalués à 1,7 milliard de dollars. Dans un communiqué daté de février dernier, la mairie de VMR explique que « le promoteur immobilier Carbonleo, propriétaire de terrains, pour la plupart inoccupés, a démontré son intérêt à les redévelopper en y créant un projet urbain multifonctionnel sur 20 hectares. Localisé dans la portion industrielle nord-est, ce projet de redéveloppement devra d'abord répondre aux exigences de la Ville de Mont-Royal ». Dans ce même communiqué, VMR affirme « qu'elle a entrepris la modification de son plan d'urbanisme afin de prévoir et d'accompagner la revitalisation d'une partie de son secteur industriel ». Or, Louis Dumont reproche à la mairie de VMR de « manquer de vision » en embrassant, sans la remettre en question, la vision proposée par le promoteur. « On s'entend qu'il faut revitaliser le secteur industriel [ de VMR ], a déclaré Louis Dumont sur les ondes de ICI Radio-Canada Première. Mais le maire n'a pas analysé les éléments négatifs liés à ce projet ». Entre autres éléments négatifs possibles, M. Dumont cite les problèmes de congestion de la circulation qui pourraient survenir à la suite de la construction de ce mégacentre du commerce et du divertissement. Le promoteur réclame un changement de zonage pour des terrains qu'il a achetés en vue d'instaurer ce vaste projet. Pas de garantie du promoteur Mais, aux yeux du conseiller Dumont, VMR n'a obtenu jusqu'ici aucune garantie du promoteur : « La Ville n'a pas de garantie de ce qu'ils vont faire une fois le changement de zonage accordé », déplore M. Dumont. Le maire de Montréal s'est montré circonspect vis-à-vis de ce projet. Denis Coderre affirme qu'il attendra le rapport de la Commission de développement économique avant de se prononcer davantage. Pour Denis Coderre, toutefois, le projet Royalmount soulève des questions en matière de circulation et d'infrastructures. La commission doit remettre cet automne le résultat de ses travaux au conseil municipal de Montréal. Elle s'est vue confier le mandat d'étudier le projet Royalmount lors du conseil municipal du 24 mars dernier. S'Il voit le jour, le projet Royalmount ne serait pas unique en son genre puisqu'il existe, en Turquie et en Grande-Bretagne, notamment, de semblables centres hybrides jumelant une vocation de commerce et de loisir.
  22. Il y a une copie à Saint-Bruno! un don du Cirque du Soleil http://www.stbruno.ca/art-dans-la-ville_homme-soleil_jordi-bonet_capsule-vp
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