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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. autre nouvelle sur le site du journal Métro : 30/06/2015 Mise à jour : 30 juin 2015 | 18:00 Le train de l’Est s’arrêtera à Sauvé le 6 juillet Par Amine Esseghir TC Media Même si la gare Sauvé n’est pas terminée, les résidents d’Ahuntsic pourront s’y rendre à partir du 6 juillet pour prendre le train de l’Est. Seul le quai sera fonctionnel. L’arrêt prévu à Sauvé permettra d’effectuer une correspondance avec la ligne orange du métro de Montréal, par la station Sauvé, située à une minute de marche. Mais pour le moment les voyageurs devront se contenter d’un quai. «Il faudra construire un édicule et nous ne pouvons pas le faire pour le moment à cause d’un enjeu lié à un collecteur d’égout», explique Fanie Clément Saint-Pierre, conseillère en relations médias, à l’Agence métropolitaine de transport (AMT). Le 6 juillet, n’est donc pas la date d’inauguration de la gare. Il faut rappeler que les travaux de construction de l’édicule de la gare sont suspendus depuis 2012, après la découverte d’un collecteur d’égout municipal dont on avait mal identifié l’importance. Le bâtiment doit être bâti en hauteur et nécessite la construction d’un mur de soutènement. Travaux à venir Les travaux reprendront une fois les autorisations obtenues de la Ville-centre. «La construction de la gare proprement dite ne devrait pas empêcher les gens de prendre le train à Sauvé, souligne Mme Clément Saint-Pierre. On prendra des dispositions pour que les voyageurs continuent à prendre le train.» On ignore le nombre de voyageurs qui monteront et descendront à Sauvé. Selon les chiffres publiés au début de la mise en service du train de l’Est, en décembre 2014, 3% du nombre total de voyageurs qui prennent le train de l’Est, descendent au quai Ahuntsic, situé 2km plus à l’ouest, chaque matin. Une vingtaine de personnes montent dans les wagons à ce même arrêt. «Nous n’avons pas effectué encore d’évaluation concernant Sauvé, mais nous allons observer cela une fois la mise en service opérée», assure Mme Clément Saint-Pierre. Huit départs vers le centre-ville Huit départs sont prévus à partir de Sauvé vers la gare centrale quatre le matin et quatre le soir. Les horaires direction Sauvé vers la gare centrale : 6h26, 7h04, 7h46, 8h16, 9h35, 14h16, 18h29 et 21h16. Pour un trio Train, métro, bus sur la carte opus, il faudra ajouter 10$ pour un abonnement mensuel. Le billet unitaire au tarif régulier est à 4$.
  2. via site du journal Métro : 30/06/2015 Mise à jour : 30 juin 2015 | 18:20 Réfection de quais d’urgence de l’AMT: les travaux imminents Par Jean-Marc Gilbert TC Media Les travaux visant à modifier ces quais d'urgence doivent commencer au début de mois de juillet. Photo TC Media - Jean-Marc Gilbert Les travaux visant à modifier les quais d’urgence des gares d’Anjou et de Saint-Léonard – Montréal-Nord, qui coûteront près de 750 000 $, doivent débuter dès le début du mois de juillet, a appris TC Media. Fanie Clément St-Pierre, responsable des relations avec les médias pour l’Agence métropolitaine de transport (AMT), assure que les travaux se mettront en branle dans les prochains jours, puisque le contrat d’une valeur de 737 812 $, qui concerne l’ensemble des deux gares, a récemment été octroyé à la firme Unigertec. Ces travaux visent à rendre permanents les quais d’urgence de cette gare, qui sont actuellement en bois. On prévoit installer du béton pour les rendre plus sécuritaires et adoucir la dénivellation pour faciliter l’embarquement et le débarquement des usagers à ces gares. En avril, le président-directeur général l’AMT, Nicolas Girard, a affirmé que ces travaux devaient commencer «sous peu». Une visite de TC Media à la gare de Saint-Léonard – Montréal-Nord, à la fin du mois de juin, a permis de constater que ceux-ci n’avaient toujours pas débuté. Arrêts réintégrés à l’automne Rappelons que l’état de ces quais était l’une des raisons obligeant l’AMT à supprimer les arrêts à ces deux gares, pour les trains 1201 et 1212, qui circulaient à «contre-pointe». Cette décision avait suscité de la grogne chez les élus de l’est de Montréal, forçant l’AMT à faire marche arrière quelques jours plus tard et à promettre que le service serait de retour à l’automne. Ces travaux, qui constituent une «première phase», se poursuivront jusqu’au mois de septembre, après quoi du peaufinage devra possiblement être fait avant que les trains 1201 et 1212 ne s’arrêtent de nouveau à ces deux gares. «Nous visons l’automne, mais nous n’avons pas encore une date précise», indique Mme Clément St-Pierre, ajoutant que les nouveaux quais seront fonctionnels tant l’hiver que l’été.
  3. La nouvelle mouture de Muz va-t-elle être vraiment différente? Est-ce que Samcon a fait une bonne étude de marché pour comprendre ce que recherchent les gens qui veulent habiter au centre-ville?
  4. La brique jaune a fait son apparition dans la cour intérieure
  5. via le journal Métro 28/06/2015 Mise à jour : 28 juin 2015 | 17:22 800 000$ pour le développement du Quartier de l’innovation Par Roxane Léouzon Métro Le Quartier de l’innovation est délimité par les rues McGill et Atwater, le boulevard René-Lévesque et le canal Lachine. Yves Provencher/Métro Le maire de Montréal Denis Coderre et le ministre responsable de la région de Montréal Robert Poëti ont annoncé dimanche matin un soutien financier respectivement de 600 000$ sur trois ans et de 200 000$ sur un an à la Société du Quartier de l’innovation (QI). Le Quartier de l’innovation est délimité par les rues McGill, Atwater, René-Lévesque et le canal Lachine, englobant ainsi une partie des arrondissements Sud-Ouest et Ville-Marie. L’École de technologie supérieure (ÉTS), plus de 300 entreprises en démarrage (start-ups) et de plus en plus de tours à logements y sont notamment situées. Selon le maire de l’arrondissement Sud-Ouest, Benoit Dorais, le quartier est en effervescence depuis quelques années. Plusieurs projets ont déjà été mis de l’avant par la Société, fondée et financée par l’ÉTS et l’Université McGill, pour stimuler la créativité et le développement économique dans ce secteur de la ville. Il y a notamment eu le QI Challenge, un festival de gaming ayant eu lieu pendant deux jours en mai. «Les citoyens pouvaient venir tester des jeux d’Ubisoft et de jeunes entreprises projetés sur les façades de l’ÉTS», s’est enthousiasmé M. Dorais. «Le QI, c’est aussi un laboratoire vivant. Par exemple, on fait des tests d’asphalte et de béton avec l’ÉTS et on développe des applications mobiles», a poursuivi M. Dorais. Damien Silès, directeur général de la Société, estime que les fonds octroyés par le gouvernement serviront à développer de nouveaux projets. «Au planétarium Dow, nous voulons mettre en place une vitrine où on va montrer tout ce qui se fait en innovation à Montréal. Les gens pourront toucher, commenter, acheter», a-t-il expliqué. Le QI veut aussi organiser des «mash-up», des cocktails de maillage entre des grandes entreprises et des start-ups. «On prend toutes les forces du milieu, on va propulser Montréal dans les nouvelles technologies et, ça, c’est de la création d’emplois pour notre population», s’est réjoui M. Dorais.
  6. via The Gazette : Montreal's plan for Mafia-linked Pierrefonds land raises questions Linda Gyulai, Montreal Gazette Published on: June 29, 2015 | Last Updated: June 29, 2015 8:45 AM EDT Chemin de l' Anse-à-l'Orme cuts through undeveloped land located in Western Pierrefonds Friday, June 26, 2015. Peter McCabe / Montreal Gazette The city is preparing a plan that has been in the works for a decade to conserve a lush landscape in one of the last large undeveloped natural spaces on Montreal Island. But the coming 180-hectare “eco-territory” in western Pierrefonds, to be made up of tracts of land the city has stitched together through purchases from private owners since the mid-2000s, will be missing a piece of the original territory the city has outlined on maps of its project for a decade. A new map indicating the L’Anse-à-l’Orme eco-territory in a citywide land-use plan that Montreal city council approved in January shows a long strip that will remain private. It cuts vertically across the projected municipal conservation zone and cleaves the future eco-territory in two. Even if the city isn’t buying the 28.5-hectare parcel, it will claim it has acquired and conserved a total of 180 hectares from other landowners in the area — the same as its original target. But how and why the city decided to abandon the idea of a contiguous eco-territory raises questions. Among them is why the city isn’t using its legal power to expropriate the holdout owner, since other large landowners in the zone have agreed to cede their land for public use to create the eco-territory. Another is how much residential development might occur on the strip of land now that it won’t belong to the eco-territory. And could the city’s decision to give up on acquiring the parcel have anything to do with who owns it? The property in question is owned by a group of people and companies that are linked to a who’s who of the Montreal Mafia. City officials have refused to answer questions and declined interview requests for the past two weeks. Meanwhile, the people who negotiated on behalf of the city to acquire the land for the eco-territory say they knew nothing about the owners of the strip of land, even though names that have been linked to organized crime — such as Arcuri, Gosselin and Manno — are apparent in public land registry records. The land in question is parallel to the Pierrefonds-Senneville border and stretches from just below Gouin Blvd. W. down to the border of Ste-Anne-de-Bellevue. L’Anse-à-l’Orme River and an adjacent road with the same name traverse the property at about its midway point. The riverbanks are protected natural space, and provincial agricultural zoning prevents the land below the river from being developed. Some of the land above the river is designated as floodplain, although that doesn’t necessarily prohibit construction on it. By the owners’ reckoning, about 10 hectares of land toward Gouin Blvd. can “absolutely” be built on, says Vicky Roy, the administrator of one of the companies that owns the land. Roy is the current president of Placements Manchester Brighton Ltée, which she said she administers as executor of the estate of Gaétan Gosselin, the company’s sole director, who was shot dead in 2013. He was the brother-in-law and associate of Raynald Desjardins, now awaiting trial in the 2011 murder of Salvatore Montagna, the leader of a rival Mafia faction. The land’s owners will put it up for sale in a week or two, Roy said. The section above the river might appeal to developers, she explained, while the agricultural land below it could be sold for farming. She also said the city hasn’t approached her about acquiring the property since she became the company’s administrator two years ago. Placements Manchester Brighton purchased the land with another company, Gestion de Placements Uni-Dev Inc., in 1988. Uni-Dev acquired a 70-per-cent stake, and Placements Manchester Brighton acquired 30 per cent. In 1992, Gestion de Placements Uni-Dev transferred its 70-per-cent stake in trust to several shareholders and was designated to act as their representative. The shareholders initially included a numbered company with directors that included Domenico Manno, uncle of now-deceased Mafia don Vito Rizzuto. Manno is one of three men who pleaded guilty to conspiracy in the 1978 murder of Paolo Violi, the Calabrian Mafia leader whose demise brought the Sicilian Rizzuto clan to power. Manno’s wife was listed as a shareholder in the land in 2012. The current president and first shareholder of Gestion de Placements Uni-Dev is Joseph Sciascia, and the vice-president and third shareholder is his wife, Laura Bruno. Sciascia is the son of Gerlando (George from Canada) Sciascia, the Montreal Mafia’s representative in New York when he was shot dead by fellow mobsters in 1999. A numbered company is second shareholder. Its president is Rosa LoPresti, widow of Giuseppe (Joe) LoPresti, who was gunned down in 1992. Starting in 2006, the city identified Gestion de Placements Uni-Dev among 12 owners with land it wanted to acquire in the planned conservation zone. The city contracted consultants to negotiate on its behalf with owners in the zone to buy their land. And the consultants say the representative they met for Gestion de Placements Uni-Dev was Domenico Arcuri Jr. Arcuri was identified in the 2006 police operation Projet Colisée as having visited Café Consenza, the Mafia’s headquarters, 45 times between 2004 and 2006, and was filmed handing money there to Nicolo Rizzuto Sr., father of Vito Rizzuto. Arcuri and his family’s Mafia links were described in La Presse articles in 2005 and 2008 about Mafia investors who lost money with a Montreal firm after a crackdown by Quebec’s financial securities regulator. By the consultants’ accounts, they had four meetings with Arcuri between them from 2006 to 2009, including once at a group meeting for landowners organized by the city parks department to explain the eco-territory project. Gestion de Placements Uni-Dev’s headquarters are listed in Quebec business records as the same address as Arcuri’s Crème Glacée Ital Gelati Inc. ice cream factory in St-Léonard. Arcuri’s father, also named Domenico Arcuri, purchased the ice cream business from the Violi estate after the mobster’s 1978 assassination. Ital Gelati was firebombed in 2012. And that’s where David Cliche, the consultant whom the city of Montreal hired to act as its “facilitator” in the negotiations with the landowners, says he had two meetings with Arcuri between 2006 and 2007. “I didn’t know Mr. Arcuri,” said Cliche, a former Quebec environment minister in the 1990s who was working for Groupe S.M. International when he was contracted by the city parks department. “He wanted to develop it or sell it at a price that seemed at the time higher than its fair market value.” The Rivière à l’Orme runs through undeveloped land located in the middle of the L’Anse-à-l’Orme Nature Park in western Pierrefonds Friday, June 26, 2015. Peter McCabe / Montreal Gazette Cliche said he filed a report with the parks department explaining that he had settled with all of the owners except Arcuri. (A parcel of land less than four hectares, tucked between a corner of the Manchester Brighton/Uni-Dev property and Gouin also appears will remain private. The owner, whose address is in Jordan, could not be reached for comment.) “And then my mandate ended,” Cliche said, adding that the discussions with Arcuri were cordial. “I learned subsequently in reading the newspapers that he had maybe a reputation other than for being a property owner.” Between 2009 and 2011, the city contracted the Quebec branch of Ducks Unlimited, a non-profit organization dedicated to conserving wetlands for waterfowl, to contact the Pierrefonds landowners to complete the acquisition of their lands. Some of the owners made an ecological donation of land, which earned them a tax credit. A representative of Ducks Unlimited met with Arcuri in July 2009, said its Quebec director Bernard Filion. And he said he personally met Arcuri once, at the group meeting organized by the city. Arcuri “had very high expectations,” Filion said. Ducks Unlimited had an expert’s opinion assessing the land’s value at $800,000, he said. Arcuri wanted triple or quadruple that, Filion said. “There wasn’t even a negotiation. He said his price, and we said no, it’s too expensive. “It happens. There are sites we can’t acquire because the owners are too greedy.” Manchester Brighton/Uni-Dev paid $1.89 million for the property in 1988, which would have taken into account that half of it can’t be developed because the province had declared the portion below the river as protected agricultural land in 1978. The more land an owner can develop unfettered, the more it’s worth, Filion said. A big factor that would influence the value of the Manchester Brighton/Uni-Dev land is how far the lines of Quebec’s floodplain map, which can either restrict or prohibit construction, are drawn on the non-agricultural portion between L’Anse-à-l’Orme River and Gouin, he said. Filion said Arcuri told Ducks Unlimited in 2009 that he disagreed with where provincial and municipal authorities drew the floodplain, and that’s why he maintained the property was worth more than $800,000. The other factor affecting the land’s value is how much can be developed under municipal zoning rules. But the city’s position on that is contradictory. Montreal’s 2004 urban plan, unveiled by then-mayor Gérald Tremblay’s administration, marked the Manchester Brighton/Uni-Dev land above the river, along with most of western Pierrefonds, for a new zoning category to be created to allow residential construction up to 10 storeys. In fact, the urban plan showed the tip near Gouin, between Lauzon and Rose-Marie Sts., was already zoned for one- to two-storey construction. The residential vocation was reiterated in an updated map in the urban plan in 2007. But the Tremblay administration also publicly pledged to conserve 180 hectares of western Pierrefonds. It produced a map in August 2006 showing all of the Manchester Brighton/Uni-Dev land inside the future eco-territory. A February 2011 map for the project also shows the full Manchester Brighton/Uni-Dev land inside the eco-territory. Most of western Pierrefonds is natural space, including forests and wetlands. The eco-territory is the companion project — or, some argue, the consolation prize — of another plan that has percolated behind closed doors for years, which calls for residential development on another 180 hectares of nature, adjacent to the eco-territory. Mayor Denis Coderre announced Friday that the city is moving ahead with the development zone and eco-territory as presented in its 2015 land-use plan, and will allow a group of developers to construct 5,000 to 6,000 housing units inside the development zone. The developers are among the owners who ceded land to the city inside the eco-territory. Meanwhile, Pierrefonds-Roxboro borough has blocked Manchester Brighton/Uni-Dev from developing its land. A 2009 letter to the Commission de protection du territoire agricole du Québec from a lawyer for Manchester Brighton said the company requested a zoning change for residential development in 2005. The borough didn’t refuse or approve the request, it said — it simply didn’t answer. The letter also said the city was being secretive about its plans for the land, and expressed concern the property would be expropriated at a derisory price while the city gives a privileged group of developers the right to build adjacent housing. Having private land in the eco-territory could undermine the conservation project, said David Fletcher, a spokesperson for the Green Coalition, which also opposes the city’s 50-50 development-conservation model that seems to be in vogue in Quebec. Related Rival factions in recent Mafia war linked to Pierrefonds property It’s hard to fathom how the city will manage a public nature reserve with private property in it — especially if it’s developed, Fletcher said. “I think that would be a real problem. We’re aware of that strip. Somehow it has to be brought into the fold. It has to be acquired.” However, Cliche said he believes the Manchester Brighton/Uni-Dev land can never be developed, even if the city doesn’t acquire it. “Well, good luck,” he said, noting that most of the land is floodplain or zoned for agriculture. Moreover, “they’re hemmed in, surrounded by land to be conserved,” he said. Since 2013, Cliche has been working for some of the developers whose land he negotiated to acquire while working for the city. He’s been registered to lobby Montreal and Transport Quebec for the developers’ side for zoning and road access in the development zone. “The city could use its power to expropriate,” Ducks Unlimited’s Filion said of the Manchester Brighton/Uni-Dev land. “They (the city) saw there were holes. I’d imagine they’re capable of saying ‘If it’s not for sale do we want (to expropriate)’? They know their power, more than us.” In fact, Terrebonne, north of Montreal, said in June it would expropriate land from holdout owners for a similar 50-50 residential-conservation project. In a final wrinkle, the Coderre administration’s new land-use plan not only leaves the Manchester Brighton/Uni-Dev property unprotected, it marks a chunk of it near Gouin for residential development. But in what appears to be another contradiction from the city, a map with the eco-territory zone that Coderre and other city officials presented on Friday shows all of the Manchester Brighton/Uni-Dev strip shaded green for conservation. So is the city going to wreck the value of an owner’s land by hemming it in and blocking its development? Or is it going to make its owner richer by allowing the land to have the only new residences that can be built inside a 180-hectare nature reserve? Time will tell. lgyulai@montrealgazette.com twitter.com/CityHallReport
  7. donc la COOP aux Bassins s'appelle la « COOP des Bassins » via imtl.org COOP Griffin - un autre projet social dans le quartier Alexis Hamel @macropole - 2015-06-27 - Centre-Ville C'est à l'ombre des condos Murray au coin de la rue Murray et Wellington que se met en branle le chantier de la COOP Griffin, un projet prometteur de 12 étages dessiné par Ædifica et Atelier Raouf Boutros. C'est le deuxième chantier d'habitation social en cours dans le Quartier après la COOP des Bassins. [TABLE=class: news] [TR] [TD=class: content]Coop Griffin 160, rue Murray / Wellington Quartier Saint-Henri / Petite-Bourgogne [/TD] [TD=class: date, width: 25%]12 étages 2016[/TD] [/TR] [/TABLE]
  8. Quel est le projet? Celui annonće en 2009?
  9. Photo de Paul Eifert sur flickr (cliquez sur le lien pour d'autres formats) Summer Solstice Sunrise in Montreal - 2015 Looking over the city of Montreal, the moment of sunrise (5:05 am) is obscured by clouds. Summer begins today, June 21st, 2015, the day of the summer solstice.
  10. Il y a une pétition avec 548 signatures demandant un Adonis à la place du Métro qui a été remis à Devimco qui va le remettre à Métro/Adonis... Je ne sais pas si ça va changer leur décision
  11. via The Gazette : City sets aside 'conservation area' for Pierrefonds development, but critics unimpressed Kate Sheridan, Montreal Gazette Published on: June 26, 2015 Last Updated: June 26, 2015 7:49 PM EDT Pierrefonds-Roxboro mayor Dimitrios Jim Beis talks at a press conference at Cap St-Jacques in the Pierrefonds area of Montreal Friday, June 26, 2015 where some details of a development project for Pierrefonds west were unveiled. John Kenney / Montreal Gazette A new housing development project planned in Pierrefonds will set aside a “significant” area for conservation, Mayor Denis Coderre announced Friday. Coderre likened the size of the protected area to the park on Mount Royal. However, the plan was met with strong opposition from environmental groups and a few municipal councillors attending the press conference, who said the announcement was no more than an attempt to re-brand a harmful development. The development will bring between 5,000 and 6,000 new houses into the western part of the borough, near the Cap-St-Jacques nature park and the l’Anse-à-l’Orme River, as was previously announced in January as part of the city’s 10-year land use plan. It will have shops, offices, and municipal parks as well as social housing, Coderre said, and two or three schools may be built. Most of the area included in the conservation area could not be developed anyways, said Justine McIntyre, a city counsellor for Pierrefonds-Roxboro-Bois-de-Liesse who opposes the project. Regulations established by the Minister of the Environment would preclude developments near the river, and the other areas are swamps. The announcement was déjà vu for many who had seen January’s presentation. “It’s the same,” said McIntyre. “They produced a map and named it ‘conservation project’ instead of ‘development project.’” Russell Copeman, the member of the city’s executive committee responsible for housing, agreed that the conservation plan was not new, but noted that some new areas had been added. “The urban development and planning document that was the object of consultations last fall […] already identified the area around the river for conservation,” he said. The project will be based on the principles of sustainable development, Coderre said. As part of the sustainability efforts, the project would integrate urban farming initiatives — including community gardens, green roofs, and a public market. Don Hobus, a co-founder of environmental group Sauvons-l’Anse-à-l’Orme, said he wasn’t convinced that the development will be truly sustainable. “That’s a buzzword that’s come out — green, sustainable, eco-friendly,” he said. Hobus cited an unreleased study, conducted by an ornithologist who is the former president of Bird Protection Quebec, which reported that 160 bird species — 10 of which are endangered — could be impacted by the development. They haven’t yet shown the study to the city because it is still a draft. Sauvons-l’Anse-à-l’Orme is currently circulating a petition opposing the development. David Fletcher, the spokesperson for another environmental group, Green Coalition, is concerned that deer, coyotes, and vole populations in the area would also be harmed and the development would throw the local ecosystem off-balance. “It’s an exceptional area. It’s an asset that is unique on Montreal Island that is going to be forced into collapse. It’s a disaster, as far as I’m concerned.” Residents are also worried that the development — and the thousands of potential commuters who would call it home — would exacerbate local traffic issues. However, Coderre promised that the project would not go forward without the construction of a new “urban boulevard” — a road with bike lanes as well as carpool and public transit lanes — to alleviate some of the issues. “No boulevard, no development project.” Public transit in the area would also be improved, the mayor said. Dimitrios Jim Beis, mayor of the Pierrefonds-Roxboro borough, emphasized that the project could take a decade. “The public will be consulted and informed throughout this long process,” he said. Coderre also underlined that consultations would be held. “I know some people are trying to get some political points by saying, ‘We demand consultations.’ Well, there are going to be consultations,” Coderre said. McIntyre rejected the idea that the controversy was politically-driven. “It’s not for political reasons. It’s because it’s not in the best interest of the public. It might be a great development. It’s not the right place to do it.” ksheridan@montrealgazette.com
  12. entrevue avec le maire de l'arrondissement Pierrefonds-Roxboro sur le site de Radio-Canada Pierrefonds-Ouest, un nouveau quartier pour Montréal Le vendredi 26 juin 2015 La Ville de Montréal veut développer le secteur Pierrefonds-Ouest. Maxime Coutié s'entretient avec Dimitrios Jim Beis, le maire d'arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. AUDIO FIL : Projet de développement du secteur Pierrefonds-Ouest avec Dimitrios Jim Beis
  13. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  14. je me demande combien de couches d'isolant vont encore être installées pour protéger l'emplacement de la prochaine tour la partie jaune c'est de l'urétane (isolant liquide qui durcit).. pas la brique il y a une pile de briques jaunes sur Shannon... elle a l'air très jaune vue d'en haut
  15. travaux en cours le 25 juin je croyais qu'ils iraient plus creux que ça, mais il y une bonne portion qui est coupée
  16. Newsletter reçu disant que la phase 3 est en construction PHASE 3 EN CONSTRUCTION AVEC UNE LIVRAISON PRÉVUE EN DÉCEMBRE 2016. C’EST LE TEMPS DE PROFITER DES PRIX DE PRÉ-VENTE !
  17. Dans un newsletter de Prével NOUVELLES DU QUAI 2 Les livraisons des unités vendues du Quai 2a sont presque complétées, il ne reste que quelques unités à livrer. La terrasse est officiellement ouverte depuis le 6 juin! Les résidents peuvent ainsi profiter de l’été pour se rafraîchir dans la piscine, prendre un bain de soleil ou simplement admirer la vue. De plus, le bassin entre les Quais 1 et 2 est maintenant en fonction au plus grand plaisir des résidents du rez-de-chaussée qui peuvent prendre l’apéro sur leur quai! Pour ceux qui sont intéressés par la 2e phase du projet, le Quai 2b propose 73 unités, réparties sur 8 étages, d’une superficie entre 556 et 1395 pieds carrés. En plus de penthouses sur 2 niveaux avec terrasses privées, on retrouve une grande variété d’unités : 1 chambre à partir de 213 000$; 2 chambres à partir de 301 000$; 3 chambres à partir 399 000$. Les résidents du Quai 2b auront un accès direct au centre sportif, situé au rez-de-chaussée de l’immeuble, ainsi qu’au toit-terrasse, avec piscine donnant sur le centre-ville. Venez nous rendre visite au bureau des ventes, situé au 180 rue du Séminaire, pour découvrir les unités disponibles! DÉBUT DES TRAVAUX DU PARC À DEUX PAS DU PROJET Les travaux du parc dédié aux familles, situé entre les rues Basin et Ottawa à l’est de la rue Guy, ont débuté en mai dernier et se poursuivront jusqu’à l’automne. Ce parc, qui comprendra des espaces de jeux, des jets d’eau et des aires de repos, sera le premier parc LEED du Sud-Ouest. Six nouveaux lieux publics sont également prévus dans le cadre du Programme particulier d’urbanisme de Griffintown. Pour plus d’informations, nous vous invitons à cliquez ici.
  18. Dans un newsletter de Prével : QUOI DE NEUF? AJOUT DE 5 NOUVELLES MAISONS DE VILLE SUR LE CANAL DE LACHINE! Face à la grande demande envers ce type d’unité, nous sommes heureux de vous annoncer que nous avons revu certains plans afin d’ajouter des maisons de ville aux étages 3 et 4 du Quai 3 Signature des Bassins du Havre. Ces unités, dont les superficies varient entre 1115 et 1265 pieds carrés à partir de 475 000$, sont situées du côté du canal de Lachine, profitant ainsi d’une vue exceptionnelle. Pour voir les nouveaux plans cliquez ici, et la liste de prix, cliquez ici. Voici d’ailleurs une nouvelle perspective du hall d'entrée de cette phase.
  19. Ouverture vendredi le 26 : https://www.facebook.com/events/1427106010944460/ Au terme d'un long processus, nous sommes très heureux de finalement pouvoir annoncer que le Village reviendra au Pied-du-Courant cet été ! Nous avons donc le grand plaisir de vous convier à la soirée d'ouverture le vendredi 26 juin prochain ! 17h - 20h : Touski - DJ set 20h - 21h30 : Null'Part Nord - Live 21h30 - 23h30 : MightyKat (Officiel) - DJ set Le Village au Pied-du-Courant sera ouvert du jeudi au dimanche du 26 juin au 12 septembre. Entrée libre et gratuite tout l'été ! __ Nota bene : Ce projet souhaite pérenniser la vision apportée par le Village Éphémère 2014 au Pied-du-Courant, et portera donc désormais le nom du Pied-du-Courant. Le Village Éphémère, projet piloté par l'ADUQ visant à révéler le potentiel de sites sous-exploités, reviendra en 2016 sous une autre forme et un autre site. __ Le Village au Pied-du-Courant est rendu possible grâce au soutien de l'arrondissement Arrondissement de Ville-Marie, centre-ville, du Port de Montréal et du Ministère des Transports du Québec, est piloté par Pépinière & Co. avec l'aide précieuse des AmiEs du courant Sainte-Marie, l'appui de l'ADUQ Association du design urbain du Québec, de l'agence Rayside Labossière et de la Société Éco-citoyenne de Montréal.
  20. Ça va tellement bien aller avec les garde-corps jaunes et verts fluo des balcons
  21. Dans LaPresse et LaPresse+ ce matin Publié le 25 juin 2015 à 07h20 | Mis à jour à 07h25 Cadillac Fairview veut construire plus haut Cadillac Fairview prévoit des investissements totaux de 2 milliards de dollars sur 15 ans dans le Quartier des gares. Les immeubles prévus rue Peel (à droite dans l'illustration) profiteraient d'une augmentation de la limite de construction à 210 mètres, selon le promoteur. IMAGE FOURNIE PAR CADILLAC FAIRVIEW =author%3AMaxime+Bergeron&sort=recent"]Maxime Bergeron La Presse Les alentours du Centre Bell bourdonnent de chantiers depuis un an. Or, la Ville doit absolument faire passer de 120 à 210 mètres les hauteurs permises au sud de l'amphithéâtre, selon le promoteur Cadillac Fairview. À défaut de quoi ses capacités d'investir pourraient être « sérieusement affectées ». UN PROMOTEUR MET DE LA PRESSION SUR LA VILLE Le promoteur immobilier Cadillac Fairview (CF), qui prévoit un immense projet de 2 milliards autour du Centre Bell, demande à la Ville d'augmenter de 120 à 210 mètres les limites de hauteur permises, à défaut de quoi ses capacités d'investissement à court terme seront « sérieusement affectées ».L'arrondissement de Ville-Marie prévoit déjà rehausser la limite à 210 mètres sur une petite parcelle au sud de l'amphithéâtre, rue Saint-Antoine. Or, CF milite pour que la zone de 210 mètres soit étendue encore plus au sud, jusqu'à la rue Notre-Dame, et vers l'est, où le groupe souhaite ériger une série d'autres gratte-ciel. « Nous sommes à planifier des investissements majeurs et il est important qu'on retrouve une flexibilité dans la planification de ces aménagements-là, sans les regarder sur une base très ponctuelle », a fait valoir Brian Fahey, président d'une firme d'urbanisme mandatée par CF, pendant une audience de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) la semaine dernière. L'OCPM étudie jusqu'à la fin du mois le nouveau programme particulier d'urbanisme (PPU) du Quartier des gares, qui prévoit une série de modifications aux alentours du Centre Bell. Ce plan prévoit notamment la construction de parcs, l'élargissement des trottoirs, ainsi que le rehaussement de la limite de hauteur à 210 mètres sur un petit terrain situé en bordure de la rue Saint-Antoine. Il faut aller plus loin, a toutefois insisté Brian Fahey pendant sa présentation. Selon lui, le rehaussement de la limite de 210 mètres sur une si petite surface pourrait entraver les projets de CF au cours des prochaines années, d'où l'importance de l'élargir. « C'est sûr qu'on va venir affecter de façon sérieuse la capacité de Cadillac Fairview à réagir à des opportunités d'investissement à court terme », dit Brian Fahey. « Si la zone de 210 mètres est déjà là, Cadillac Fairview va avoir la capacité d'accueillir un locataire majeur qui pourrait se présenter à sa porte demain matin et avoir les outils pour répondre aux besoins de ces futurs locataires-là. » Le maintien de la limite actuelle de 120 mètres amènera-t-il CF à « différer ses investissements » ? a demandé le président de l'OCPM. « À votre question, la réponse est oui, ça va affecter sérieusement les capacités de Cadillac Fairview », a affirmé M. Fahey. Le plan d'ensemble de CF prévoit au moins six gratte-ciel autour du Centre Bell, des investissements totaux de 2 milliards étalés sur 15 ans. La Tour des Canadiens et la Tour Deloitte sont déjà en construction, tandis que la phase 2 de la Tour des Canadiens est en préparation. Le groupe prévoit en outre deux immeubles rue Peel - des bureaux et des logements -, dont le plus haut pourrait atteindre 180 mètres. À titre de comparaison, Place Ville Marie mesure 188 mètres, tandis que le 1000 De La Gauchetière, le gratte-ciel le plus haut de la métropole, s'élève à 205 mètres. PHASE 2 RETARDÉE La présentation du PPU par la Ville, il y a deux mois, a amené Cadillac Fairview à revoir de façon importante la phase 2 de la Tour des Canadiens. Comme cette phase se retrouve sur la petite parcelle de surhauteur déjà prévue au PPU, le projet est passé de trois à deux tours, mais leur hauteur a été augmentée de 120 à 170 mètres, soit 47 étages. Ces changements réglementaires - et les points d'interrogation qui subsistent - ont cependant entraîné des retards dans la mise en vente des condos de la phase 2, a expliqué l'architecte Olivier Legault, mandaté par CF, pendant les consultations de l'OCPM. « Ça fait partie de la difficulté et des maux de tête qu'on doit se taper, c'est clair. Parce que, oui, on a un échéancier de réalisation qui est déjà, disons, dépassé ou en retard. » Le bureau des ventes pourrait ouvrir à l'automne, a indiqué l'architecte de la firme Béïque Legault Thuot. La construction de la nouvelle tour pourrait ensuite commencer au printemps ou à l'été 2016, selon la rapidité avec laquelle seront obtenues les approbations. Dans son mémoire déposé à l'Office, CF plaide pour un autre élargissement de la zone de 210 mètres, vers l'ouest cette fois, jusqu'à la rue de la Montagne. Cette requête vise à « mieux intégrer » la phase 2 de la Tour des Canadiens à son contexte, « en conservant un modèle économiquement viable ». Quoi qu'il en soit, le rehaussement de la limite de hauteur déjà proposé sur le site de la phase 2 de la Tour des Canadiens semble bien accepté par tous les intervenants. « C'est un tout, tout petit secteur : ça ne pose pas problème, ça n'a posé problème à personne jusqu'ici », a fait valoir Richard Bergeron, responsable de la stratégie du centre-ville au comité exécutif. Ni Cadillac Fairview ni Canderel (aussi promoteur de la Tour des Canadiens) n'ont accepté les demandes d'entrevue de La Presse Affaires. LE QUARTIER DES GARES Après le Quartier des spectacles, Griffintown, le Quartier international et plusieurs autres secteurs du centre-ville, les environs du Centre Bell sont visés par un programme particulier d'urbanisme (PPU). Si tout se déroule comme prévu, le Quartier des gares sera doté d'une série de nouvelles infrastructures d'ici cinq ans, comme des parcs, des trottoirs élargis et des pistes cyclables. Voici les grandes lignes de ce chantier de 150 millions. AU COEUR DE MONTRÉAL Le Quartier des gares constitue encore aujourd'hui la véritable porte d'entrée du centre-ville de Montréal. Les trois gares qui s'y trouvent - Lucien-L'Allier, la gare Centrale et le terminus Centre-ville - accueillent chaque jour plus de 100 000 passagers. Ce qui retient surtout l'attention ces jours-ci, toutefois, c'est la frénésie immobilière qui s'est emparée du secteur. La valeur des projets immobiliers en construction dépasse les 750 millions de dollars, ce qui représente 2000 nouveaux logements et 50 000 m2 de bureaux. Entre 2006 et 2017, la densité de logements aura augmenté de 22 à 100 par hectare. Le potentiel d'investissement s'élève à plus de 3 milliards d'ici la prochaine décennie, selon la Ville. DES CONTRAINTES MULTIPLES « Pour l'instant, c'est la partie mal-aimée du centre-ville », reconnaît d'entrée de jeu Richard Bergeron, responsable de la stratégie du centre-ville au comité exécutif. Principal problème : le quartier est enclavé par de nombreuses infrastructures routières, comme l'autoroute Ville-Marie, des chemins de fer et une série de vieux sauts-de-mouton. La circulation de 1800 autobus par jour « excède la capacité physique du territoire », souligne aussi le document du PPU. On déplore par ailleurs une carence de commerces et de services de proximité, comme des écoles, ainsi qu'un nombre réduit de stationnements sur rue. PARCS ET PISTES CYCLABLES Le projet de requalification urbaine vise à créer plusieurs espaces verts dans ce secteur très bétonné. Le PPU prévoit ainsi la construction du parc Ville-Marie sur l'emprise déjà recouverte de l'autoroute Ville-Marie, au sud du Centre Bell. La superficie de ce nouveau parc (2,3 hectares) sera presque équivalente à celle du square Dorchester et de la place du Canada. Le square Chaboillez, situé près de l'ancien Planétarium Dow, sera en outre réaménagé, et des arbres seront plantés dans les rues. L'arrondissement de Ville-Marie souhaite également raccorder le quartier au réseau cyclable montréalais. On n'y trouve aujourd'hui aucune piste cyclable. INVERSION DE LA CIRCULATION Le PPU prévoit un retour de la circulation à deux voies dans la rue Saint-Antoine, entre Peel et de la Montagne. Cette mesure est essentielle à une meilleure fluidité dans le secteur, estime Richard Bergeron. Divers groupes, comme Ivanhoé Cambridge, propriétaire du 1000 De La Gauchetière, craignent à l'opposé que ce changement vienne amplifier les problèmes de congestion déjà criants. Par ailleurs, 14 intersections du quartier seront dotées de passages piétonniers améliorés. MÉTRO... ET TRAIN LÉGER ? L'accès à la station de métro Lucien-L'Allier - l'une des moins utilisées du réseau - sera amélioré, grâce à la construction d'un nouvel édicule, rue Saint-Antoine. Par ailleurs, la Ville mise gros sur la venue possible d'un système de train léger, qui serait construit et financé par la Caisse de dépôt entre le centre-ville et Brossard. Selon des scénarios évoqués, ce train pourrait remonter par les rues Peel ou Robert-Bourassa (University), et ainsi désengorger le quartier. Maxime Chagnon, porte-parole de la Caisse, a toutefois précisé cette semaine qu'il était beaucoup trop tôt pour dire si le train passera par le Quartier des gares... si jamais il se réalise. « On n'a pas encore la confirmation qu'on va le faire. Il n'y a aucun tracé, aucune solution technologique. » 150 MILLIONS Le PPU proposé par la Ville sera doté d'un budget de 150 millions et devrait se réaliser d'ici cinq ans, a assuré Richard Bergeron. Pour parvenir à aller de l'avant avec toutes les mesures proposées, la municipalité devra toutefois s'entendre avec une très longue liste de partenaires, incluant la Société de transport de Montréal, la Caisse de dépôt, le CN, le CP, la CSDM, l'ETS et toute une série de propriétaires fonciers. L'Office de consultation publique de Montréal recueille jusqu'à la fin du mois l'opinion des Montréalais sur ce PPU, et il rendra son rapport à la fin de l'été. Le PPU devrait ultimement être adopté en décembre 2015.
  22. Je crois que le LSV1 bloque déjà pas mal la vue vers l'Est, sauf p-ê pour les unités de coin Nord-Est. Il faudra monter sur la terrasse pour voir les feux d'artifice! Mais, je crois que vous devriez voir le levé du soleil. Les rayons orangés du soleil le matin frappent les unités donnant sur la cour intérieure Ce sera une autre histoire avec le LSV4 qui est décalé par rapport au LSV1, plus au Sud. ce ne sera pas avant une couple d'années.
  23. mon unité au 18e du LSV revient à 379$/pi² (pi² brut, j'ai perdu environ 100 pi² au net) avant taxes, pas d'extra je l'avais achetée en pré-vente il y a 3 ans de ça. les prix ont monté après la pré-vente
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