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  1. Un premier autobus entièrement électrique sillonnera les rues de Laval dès le printemps prochain, a annoncé la Société de transport de Laval (STL) lundi. La STL a reçu le premier véhicule à la fin de l'année dernière, mais elle doit procéder à une série de tests avant de le mettre en service. Il s'agira d'une première québécoise et canadienne, selon la STL. Le véhicule mesure 40 pieds, soit la taille d'un autobus régulier, a été construit par la firme américaine Design Line. L'autobus est alimenté par une batterie à recharge lente dont l'autonomie est estimée à plus de 200 kilomètres. Le président du conseil d'administration de la STL, Jean-Jacques Beldié, estime que l'expérience de son organisme sera bénéfique à toutes les sociétés de transport qui souhaitent électrifier leur réseau de transport en commun. Le projet-pilote de la STL a été développé en partenariat avec le ministère des Transports du Québec, Hydro-Québec et la Société de gestion et d'acquisition de véhicules de transport. Le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, a indiqué que le gouvernement vise une électrification graduelle du transport collectif au Québec au cours des prochaines années. Son collègue député de Laval-des-Rapides, Léo Bureau-Blouin, a déclaré qu'il s'agissait d'un pas de plus vers l'indépendance énergétique de la province. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/01/14/004-laval-autobus-electrique.shtml?isAutoPlay=1
  2. http://www.lapresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201205/04/01-4522129-la-restauration-mobile-demenage.php
  3. Qu'est-ce que le PRT? Il s'agit d'une catégorie de transport en commun ou les véhicule sont de petites tailles. Pour contrer la perte d'efficacité du au nombre de place limité, les PRT sont doté de la capacité d'aller directement au point voulu sans faire toutes les arrêts intermédiaire. Les véhicules sont surnommé pour le moment des "Pod". L'idée n'est pas nouvelle. Des gens on déjà réfléchit à ce type de transport durant les années 60 et 70. Cependant, la technologies n'y était pas encore et ils nécessitait l'emploi de rail qui rendait le système très coûteux. De nos jours, plusieurs technologies rendre possible ce type de transport. (Pod du PRT ULTra de l'Aéroport Heathrow de Londres) Principe: Il s'agit de petit véhicules électrique guidé par des chemin. Dans la solution retenu à Londres, les chemin ne sont que des simples muret de béton ou des senseurs analyse la distance entre le véhicule et les senseurs pour se dirigé. Ce procédé à l'avantage d'avoir un coût par Km très bas. Plus bas que bien d'autre système similaire. (tramway, trolleybus, etc). Les véhicule ayant des roues et se dirigeant par lui même, il a la possibilité de facilement choisir son itinéraire. On implémente alors des voies de contournement des stations ou des chemins plus direct et ainsi le pod peut se rendre dans un temps record à sa destination. Les véhicule étant plus petit, l'emprise au sol est moins importante. Mais ça, c'est si on a l'intention de les faire circuler dans la rue. Il est possible de leur faire des voies sur-élevées et/ou les faire passer dans un tunnel de métro. Il serait même possible d'envisager une parfaite interopérabilité entre les tunnels et la surface. Dans ce mode les station de métros pourrais être transformer en point d'accès au tunnel, les pods fessant leur trajet sur terre en périphérie et irais dans les tunnels au endroit ou la ville est plus denses. L'avancé technologiques qui rend le système plus efficace aujourd'hui est le transfert du contrôle du véhicule de l'ordinateur centrale vers les pods. En effet, ces dernier son autonome et ont le trajet disponible en mémoire. Il sont donc autonome et capable de s'orienté par eux même. Ils analyse leur environnement et peuvent ainsi opéré avec d'autre véhicule autonome de manière transparente. Si la voie est bloqué, le véhicule le détectera et s'arrêtera. Il est même possible d'en faire des mini-train pour profité de l'effet d'aspiration du véhicule de tête et ainsi sauver de l'énergie. L'autre avancé et l'utilisation de batterie au lieu de chemin électrifié. Cela simplifie les coûts de mise en place et la complexité des voies. En ce moment, les véhicule se recharge au station et via bande à quelques endroit sur la piste via contact mais il n'est pas exclus d'y apporter la recharge sans fils. Le faible poids de chaque véhicule aussi simplifie la mise en place de viaduc et autres structures, ces dernières devant supporter moins de poids. Avantages sur l'auto: - Non polluant - Utilisation commune - N'est pas nécessaire de les stationner - Peut rouler très près des autres véhicules et les mouvement sont coordonnés par ordinateurs, augmentant le débit - Véhicule sur demande Avantage sur les mode de ToC Traditionnel - Personnel - Se rend à destination via le chemin le plus rapide - ne s'arrête pas au station intermédiaire - Totalement automatisé Concernant la capacité de transport, la grande flexibilité du système offre plusieurs avantages pour augmenter le nombre de passagers transporter par heure. Dans un cas typique d'une ligne dans chaque direction sur une seul ligne, le PRT fait moins bonne figure que les autres types de transport. Cependant, la faible emprise au sol permet de facilement doubler le nombre de ligne, augmentant d'autant plus la capacité du système. Dans un système multi-lignes, les lignes alternatives pourront être utilisé en cas de congestion de la ligne directe. Ces dernières aussi pourront être utilisé pour déplacer les pods vides aux heures de pointes. Solution la plus éco-énergétique ? Les pods de la compagnie ULTra sont en ce moment un des véhicules les moins énergivore. Ils nécessitent 819 BTU/passagers/miles tandis qu'un autos nécessites en moyenne 3496 BTU/passagers/miles. Ils sont donc vraiment plus efficace que l'autos et en plus, ils s'alimente à l'électricité. Cependant, si on le compare avec les autres types de transport en commun, ce qui est plus difficile étant données que cela varie selon la source d'énergie, le type de véhicule et la fréquence de passages, on obtiens environs: 4318 BTU/Passagers/miles pour l'autobus 2750 BTU/Passagers/miles pour le tramway et autre train électrique 2570 BTU/Passagers/miles pour les trains de banlieues Evidemment, ces chiffres sont des moyennes basés sur certains équipement et en situation réel, cela peux varier de beaucoup. cependant, dites vous que plus il y a de véhicules avec peu ou pas de passagers qui circules, plus la moyenne de consommations par passagers/miles augmente, ce qui n'est pas le cas du PRT puisque les déplacement à vide son minimisé. La consommation est si faible que plusieurs pensent pouvoir l'alimenté via l'énergie solaire (chose qui bien sur, sera impossible si on les fait circuler dans des tunnels.) Voici une vidéo qui montre comment fonctionne le système.
  4. Les partisans de la voiture tout électrique font fausse route Le Devoir Louis-Gilles Francoeur Édition du vendredi 09 janvier 2009 Mots clés : environnement, voiture électrique, Transport, Automobile, Québec (province) Il vaut mieux miser sur l'hybride rechargeable, selon un rapport produit pour l'Élysée Photo: Jacques Nadeau D'un point de vue environnemental et social, le recours massif à l'automobile tout électrique n'est pas la solution pour les prochaines décennies: c'est plutôt du côté de la voiture «hybride rechargeable» que se trouve la solution de base pour réduire la contribution du parc automobile au réchauffement de la planète et à la pollution urbaine. Cette conclusion est celle du rapport produit à la demande du gouvernement français par un de ses plus éminents spécialistes en énergie, Jean Syrota, qui conclut en outre que le recours à l'hydrogène n'est pas non plus une solution viable et adaptée au transport. Le rapport Syrota, signé par l'ancien président de la Commission de régulation de l'électricité de France, bouleverse les constructeurs internationaux et plusieurs gouvernements depuis sa publication imprévue par la revue française Le Point, il y a quelques semaines. L'Élysée avait ce rapport en main depuis la fin de septembre, mais refusait de le divulguer. Le Financial Times, qui a consacré un article récemment à ce rapport désormais en ligne sur le site Internet du Point, se demande si le président Sarkozy ne s'est pas assis dessus pour ne pas indisposer ses amis des grands groupes Boloré et Dassault, lesquels ont plein de projets du côté des tout électriques. Les projets de Dassault sont d'ailleurs inspirés des brevets d'Hydro-Québec, notamment dans le projet de construction de la Cleanova. Pour être supportable à l'échelle internationale, explique le rapport Syrota, l'inéluctable croissance du parc automobile devra être compensée par la réduction de la consommation unitaire de chaque véhicule, des émissions polluantes et des émissions de gaz à effet de serre (GES). Cela exigera un changement radical à la fois des habitudes des consommateurs et des stratégies des constructeurs. Le carburant, y lit-on, demeure la source d'énergie la mieux adaptée à la propulsion des véhicules parce qu'elle leur confère une étonnante mobilité. Mais ce qu'il faut, c'est réduire de façon radicale leur consommation. On peut déjà obtenir une réduction de la moitié de cette consommation avec les solutions techniques connues. Mais, précise le rapport Syrota, «le véhicule hybride rechargeable sur le réseau électrique, qui peut s'assimiler à un véhicule électrique à complément thermique, combine les avantages des véhicules électriques en ville (faibles nuisances locales) et des véhicules thermiques à combustibles liquides sur route (autonomie et performance sur route)». Ce véhicule, qu'on peut recharger la nuit à la maison quand les réseaux ne sont pas surchargés, n'exige pas la coûteuse infrastructure de recharge urbaine de certains projets de tout électriques, comme celui du Project Better Place, qu'examine avec intérêt la Ville de Montréal. Cette conclusion est aussi celle du physicien Pierre Langlois, dans son livre récent, Rouler sans pétrole. Ce dernier avançait que si on dotait d'ici 2030 les véhicules thermiques de la planète avec des tout-électrique ayant une autonomie de 400 km, la planète épuiserait ses réserves de lithium à cette seule fin, ce qui est impensable. Or, dit-il, il n'est pas nécessaire de doter une hybride rechargeable de grosses batteries puisque 80 % du kilométrage quotidien de la plupart des automobilistes ne dépasse pas 100 km et qu'un conducteur sur deux parcourt moins de 50 km chaque jour. Une hybride rechargeable peut donc fonctionner en mode tout électrique la plupart du temps et globalement réduire de 80 à 90 % la facture de combustible de la plupart des gens, ce que corrobore le rapport Syrota. Et cela, sans imposer à la société un réseau de recharge pour les automobilistes équipés de tout électriques. Le tout-électrique, dit-il, demeure donc une «voiture de niche» pour des usages commerciaux urbains ou comme seconde voiture. Pierre Langlois se dit tout à fait en accord avec le rapport Syrota, qui conclut aussi que l'air comprimé et l'hydrogène «n'ont vraisemblablement pas d'avenir comme sources d'énergie des automobiles» à cause des problèmes de stockage et parce que l'électricité servant à les produire, comme le précise le rapport Syrota, «serait mieux utilisée directement» que transformée en liquide problématique. http://www.ledevoir.com/2009/01/09/226445.html ( 9/1/2009 7H52)
  5. Ford Canada estime que le gouvernement Harper pourrait contribuer à la relance des ventes d'automobiles en offrant 3500$ à quiconque veut changer un véhicule de plus de 11 ans pour un neuf. Pour en lire plus...
  6. Publié le 26 novembre 2008 à 09h28 | Mis à jour à 12h00 Un stationnement souterrain s'effondre Hugo Meunier La Presse Une partie du stationnement souterrain d'un immeuble à logements de 17 étages s'est effondrée ce matin sur le boulevard Deguire à Montréal. Un homme serait coincé sous les décombres du stationnement souterrain. Le livreur ne répondait pas aux appels des secours. Un témoin aurait aperçu la présumée victime dans son véhicule quelques secondes avant l'effondrement. Les phares du véhicule étaient allumés à l'arrivée des secours.Pour les pompiers, il s'agit d'une opération extrêmement difficile en raison des risques d'effondrement. «La dalle de béton du premier étage s'est effondrée en V», a indiqué Aimé Charette, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de la Ville de Montréal. Le premier étage du sous-sol serait apparemment tombé sur l'étage en dessous. Des voitures seraient coincées sous les décombres. Quelque 25 camions de pompier sont sur place. Des ingénieurs en structure de bâtiment ont été demandés en renfort pour analyser la situation. Les résidents ont été évacués sur le trottoir en face de l'immeuble. Certains avaient l'air paniqués, le cellulaire vissé à l'oreille pour réconforter leurs proches. «On ne sait pas ce qui s'est passé, mais c'est un vieux building qui manque d'entretien», a souligné un des locataires qui habite l'endroit avec son épouse depuis sept ans. Rita Chidiac l'a échappé belle. Comme tous les matins, elle devait grimper dans sa voiture vers 8h30 pour aller travailler. Son véhicule est garé dans le stationnement souterrain. Ce matin, elle a traîné quelques minutes de plus chez elle. Son léger retard lui a sans doute sauvé la vie, le stationnement s'est effondré sur sa voiture. «J'ai vu toutes les voitures écrasées, une dizaine», a confié la jeune femme, secouée. Un autre locataire croit que l'eau de la piscine extérieure installée au-dessus du garage de trois étages pourrait avoir eu pour effet de désagréger la structure en béton. Selon lui, le plancher du stationnement impliqué était en mauvaise état. «Ça faisait un bon bout de temps qu'il était mou, craquelé. Ils ont colmaté avec un peu de ciment mais n'ont pas réparé», a souligné le résident, qui avait même décidé de garer sa voiture ailleurs par précaution. Perché au 15e étage, Rolland Gagné se demandait ce qui se passait quand l'alarme incendie a résonné. «Des pompiers ont buché dans ma porte en criant: faut sortir!» Employés sous le choc Ginette Desrosiers venait d'arriver dans les bureaux de Courrier express dentaire lorsque ses collègues ont fait irruption, catastrophés. «Le plancher est tombé! Les gars sont en dessous!», a lancé l'un d'eux. La présumée victime coincée sous la dalle de béton serait un des livreurs de cette compagnie, dont le quartier général est niché à l'intérieur de l'immeuble impliqué, au 135, boulevard Deguire. Avec une poignée de collègues, Mme Desrosiers s'est précipitée sur les lieux de l'effondrement. «Il y avait de la poussière partout, mes collègues étaient en choc. Un des livreurs a tenté de sortir notre collègue coincé sous le ciment, mais il s'est blessé à la main», a raconté l'employée. Le livreur piégé serait un homme d'une quarantaine d'années, à l'emploi de la compagnie depuis environ deux ans. «Un gaillard de 6 pieds 4, un bon gars très travaillant», a souligné Mme Desrosiers. Il y a une ou deux semaines, les livreurs avaient aperçu un tuyau d'eau chaude couler toute la journée à gros débit sur l'étage qui s'est affaissé.
  7. L'auto électrique arrive François Cardinal - La Presse 18 novembre 2008 | 08 h 35 Le développement de l'auto hybride rechargeable inciterait la société d'État à investir le secteur du transport, selon les personnes consultées, mais aussi l'électrification à venir de certaines portions du réseau des transports en commun de Montréal (train de banlieue, tramway, etc.) et l'expérience réussie d'Électricité de France (EDF). L'auto électrique rechargeable est pour demain, et Hydro-Québec se prépare en conséquence en misant sur la création prochaine d'une unité consacrée au transport. On promet une réduction des émissions polluantes ainsi que d'intéressantes économies pour les automobilistes. Hydro-Québec se prépare à prendre le virage du transport électrique en s'attaquant autant à l'auto qu'aux transports en commun. Selon les informations obtenues par La Presse, la société d'État envisage de créer une unité consacrée exclusivement à cette question, ce que certains voient comme un premier pas vers une implication financière accrue dans ce secteur. Hydro-Québec refuse de confirmer la création de l'unité, se contentant de dire qu'il s'agit d'une «possibilité». Mais l'enthousiasme affiché hier par le président de la société laisse croire à un virage prochain. Thierry Vandal a indiqué, lors du 4e sommet Québec-New York qui se tenait à Montréal, que l'auto électrique rechargeable allait bientôt révolutionner le transport, grâce aux importantes percées technologiques des dernières années. Le développement de l'auto hybride rechargeable inciterait la société d'État à investir le secteur du transport, selon les personnes consultées, mais aussi l'électrification à venir de certaines portions du réseau des transports en commun de Montréal (train de banlieue, tramway, etc.) et l'expérience réussie d'Électricité de France (EDF). «Il y avait dans le passé une légende urbaine qui courait chez Hydro-Québec, selon laquelle l'électrification des transports augmenterait considérablement la demande en électricité. Or les analyses récentes prouvent le contraire, ce qui pousse Hydro à vouloir s'impliquer davantage», confie un expert de la question. Une analyse d'une filiale d'Hydro-Québec (IndusTech), dont nous avons obtenu copie, confirme cette affirmation. On y évalue que l'électrification du quart du parc automobile du Québec (1 million de véhicules) ferait augmenter la consommation d'environ 2,3 TWh (2,3 milliards de kWh). Cela représenterait une infime portion des ventes annuelles d'électricité au Québec, soit 1,3% des 173 TWh livrés l'an dernier. Notons que la centrale Péribonka pourrait répondre à elle seule à cette nouvelle demande. Dans le même sens, le consultant Pierre Langlois évalue pour sa part, dans Rouler sans pétrole, un essai publié la semaine dernière aux éditions MultiMondes, que l'électrification des trois quarts du parc automobile québécois ferait augmenter d'au plus 7% la demande d'Hydro-Québec, parce que les autos consommeraient de l'électricité en dehors des pics de demande. Transports collectifs Cela dit, la priorité d'Hydro-Québec ira d'abord à l'électrification des transports en commun, selon nos sources, car ce chantier verra fort probablement le jour plus tôt. L'Agence métropolitaine de transport de Montréal (AMT) compte, par exemple, électrifier le réseau de train de banlieue, ce que confirme l'achat récent de locomotives de type bimode. Aux trains pourrait s'ajouter, éventuellement, l'implantation d'un réseau de tramways à Montréal. Ainsi que la mise en service d'un réseau d'autobus électriques en site propre, appelés «service rapide par bus», sur les boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa. «Hydro-Québec veut visiblement devenir une force de proposition active des transports électriques, comme l'est devenue Électricité de France ces dernières années, estime Pierre Lavallée, directeur du développement international au tout nouveau Centre national du transport avancé. EDF est en effet devenue très active derrière chacune des propositions des villes de France, que ce soit l'implantation de tramways ou de trolleybus.» Bénéfices Selon l'évaluation d'IndusTech, l'électrification d'un million de véhicules au Québec se traduirait par une réduction de 3,4 millions de tonnes de gaz à effet de serre par année. Cela est énorme, quand on sait que le secteur du transport émet bon an mal an quelque 34 millions de tonnes. Autre avantage: les futurs propriétaires d'automobile électrique feront des épargnes substantielles. S'appuyant sur le coût de l'essence et de l'électricité en date du 24 avril, IndusTech conclut qu'un automobiliste parcourant annuellement 18 000 km paierait 1677$ s'il était alimenté en essence, et 186$ s'il était alimenté en électricité. Soit neuf fois moins. ET SI LE QUART DU PARC AUTO ÉTAIT ÉLECTRIQUE > Nombre d'autos : 1 million > Distance annuelle moyenne 18 000 km Consommation annuelle d'énergie > Véhicule électrique: 2,3 milliards de kWh > Véhicule à essence: 1,4milliard de litres COÛT ANNUEL D'ÉNERGIE PAR VÉHICULE (en date du 24 avril 2008) > Véhicule électrique: 186 $ > Véhicule à essence: 1 677 $ > Rapport électricité/ essence: plus de 9 fois moins cher Réduction des gaz à effet de serre: 3,4 millions de tonnes par année Source : IndusTech, filiale d'Hydro-Québec
  8. L'émission Enquête a découvert que l'institution financière refuse de faire crédit à toute personne qui vit sur une réserve amérindienne pour l'achat d'un véhicule récréatif. Pour en lire plus...
  9. La Chevrolet Volt, un véhicule hybride rechargeable dans une prise de courant, sera mise en marché en 2010. Pour en lire plus...
  10. Des Californiens rouleront à l'hydrogène Mise à jour le lundi 16 juin 2008 à 6 h 30 PartagerTexteImprimer Photo: AFP/GABRIEL BOUYS La Honda FCX Clarity, un véhicule à pile hydrogène. Les prix records du pétrole et la prise de conscience par plusieurs des effets néfastes des gaz à effet de serre ouvrent grand la porte aux véhicules hybrides qui permettent de réduire la consommation d'essence et les émissions polluantes. Et c'est exactement à ces deux contraintes propres aux moteurs traditionnels que s'attaque le géant japonais de l'automobile Honda. En effet, Honda annonce la production commerciale de son premier véhicule à pile hydrogène, la FCX Clarity. Cette voiture, qui n'émet que de la vapeur d'eau, produit l'électricité nécessaire à son fonctionnement en mélangeant de l'hydrogène et de l'oxygène. Il semblerait que Honda soit en mesure de produire environ 200 Clarity d'ici 2011. À partir de juillet, un nombre limité de clients californiens pourra louer, pour 600 $ par mois pendant trois ans, une Clarity qui devra toutefois demeurer à proximité d'une des trois seules pompes à hydrogène de l'État. La Clarity a une autonomie maximale de 435 kilomètres et peut rouler à un maximum de 160 kilomètres à l'heure. ============================================== bon ça commence, la fin de l'automobile au pétrole, pas la fin de l'automobile
  11. Malgré le début d'un projet pilote au Québec annoncé le mois dernier par le gouvernement Charest, aucun véhicule électrique à basse vitesse n'a encore été livré. Pour en lire plus...
  12. Afin de sauver l'usine de camions d'Oshawa, Ottawa pourrait aider financièrement General Motors à développer un nouveau véhicule. Toronto, pour sa part, envisage de réclamer à GM le remboursement d'une importante subvention. Pour en lire plus...
  13. Le constructeur automobile japonais Nissan va développer et construire dans ses installations britanniques un nouveau modèle de véhicule compact qui devrait être introduit sur le marché dès 2010. Pour en lire plus...
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