Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'fraser'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

13 résultats trouvés

  1. Quebec climbs to 6th spot in Fraser Institute's mining survey Peter Hadekel PETER HADEKEL, SPECIAL TO MONTREAL GAZETTE More from Peter Hadekel, Special to Montreal Gazette Published on: February 24, 2015Last Updated: February 24, 2015 6:31 AM EST A newly constructed bridge spans the Eastmain river in northern Quebec on Thursday October 03, 2013. The bridge leads to Stornaway Diamond's Renard mine and Camp Lagopede. They are located about 800 kms north of Montreal, on the shore of lake Kaakus Kaanipaahaapisk. Pierre Obendrauf / The Gazette SHARE ADJUST COMMENT PRINT After tumbling in the rankings in recent years, Quebec has re-established itself as one of the world’s most attractive mining jurisdictions, according to the Fraser Institute’s annual survey of the mining industry made public Tuesday. The province jumped to sixth spot in the 2014 rankings for investment attractiveness after finishing 18th the year before. The survey rated 122 jurisdictions around the world “based on their geological attractiveness and the extent to which government policies encourage exploration and investment.” Quebec sat on top of the international rankings from 2007 to 2010 but then dropped as industry perceptions of the province turned negative. Increased red tape, royalty hikes and uncertainty surrounding new environmental regulations all took their toll. But a change of government in Quebec seems to have helped turn those perceptions around. “The confidence mining executives now have in Quebec is due in part to the province’s proactive approach to mining policy and its Plan Nord strategy to encourage investment and mineral exploration in northern Quebec,” said Kenneth Green, the Fraser Institute’s senior director of energy and natural resources. The Liberal government under Philippe Couillard breathed new life into the Plan Nord after taking over from the previous Parti Québécois administration, which had been noticeably cool to the plan first proposed by former Liberal premier Jean Charest. While uncertainty surrounding mineral prices has held back new investment in Quebec, the Liberals have pledged to push the Plan Nord strategy by improving transportation infrastructure and making direct investments where needed. Reflecting the improved mood, an index measuring policy perception places Quebec 12th in the world, up from 21st in 2013. However, Quebec got a black eye in the mining community over its handling of the Strateco Resources Inc. uranium mine, which has been repeatedly delayed. A moratorium was imposed on all uranium exploration permits, which the industry saw as an arbitrary and unnecessary action that devastated junior explorers. As well, the Fraser Institute’s Green noted that in Ontario and British Columbia uncertainty surrounding First Nations consultations and disputed land claims should serve as “a stark lesson for Quebec. Above all, mining investment is attracted when a jurisdiction can provide a clear and transparent regulatory environment.” Finland finished first overall in this year’s survey of 485 mining executives from around the world. Exploration budgets reported by companies participating in the survey totalled US$2.7 billion, down from US$3.2 billion in 2013. Despite its strong performance, Quebec was edged out by two other Canadian provinces: Saskatchewan finished second and Manitoba fourth. A strong Canadian showing included eighth spot for Newfoundland and Labrador and ninth for Yukon. The mining industry has been hampered by a lack of financing for exploration as well as continued uncertainty over future demand and prices. The report found an overall deterioration in the investment climate around the world. There is “a stark difference between geographical regions; notably the divide between Canada, the United States and Australia and the rest of the world.” phadekel@videotron.ca sent via Tapatalk
  2. Montréal, toujours une capitale financière prometteuse 22 juin 2011 | 16h58 http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/06/20110622-165855.html Michel Munger Argent Montréal a encore sa place en matière de placement, même si la décision d'Industrielle Alliance Clarington de rapatrier une partie de ses activités à Toronto soulève des questions. Photo : ReutersEn modifiant la structure de gestion de 1 G$ de portefeuilles IA Clarington a déplacé 650 M$ d'actifs vers la Ville-Reine. Cependant, le secteur n'est pas dépourvu de cabinets réputés. Jarislowsky Fraser gère plus de 43 G$, contre 24 G$ pour Letko Brosseau et 30,8 G$ pour Fiera Sceptre. Certains acteurs de l'industrie font pour leur part du développement. Fidelity Investments a permis à un gestionnaire étoile, Maxime Lemieux, de s'installer à Montréal il y a deux ans. la croissance est au rendez-vous depuis. «La venue de trois gestionnaires a contribué à des gains de parts de marché, indique M. Lemieux. Nous gérons un peu plus de 10 G$, ce qui constitue environ 14% des actifs de Fidelity au Canada. Nous avons le vent dans les voiles.» «Montréal a souffert parce que l'industrie a été consolidée en partie par les banques canadiennes, reconnaît M. Lemieux. Les institutions financières ont tendance à faire de la centralisation parce qu'elles ont besoin d'une bonne taille d'actifs.» «Ça ne fait pas de Montréal une mauvaise place pour être un financier, poursuit-il. La ville est dotée d'une masse critique d'actifs, d'investisseurs, de fonds de pension comme la Caisse de dépôt et de firmes comme Jarislowsky Fraser. Depuis que je suis ici, je n'ai pas vu tant de mauvaises nouvelles. Rien ne laisse croire que nous ne verrons pas de jours meilleurs.» Un bassin de talents Maxime Lemieux estime que les deux principaux avantages de Montréal sont l'abondance de talents et son accès aux dirigeants des entreprises situées ailleurs au Canada ou à l'étranger. «Le point le plus important est le talent, insite-t-il. Ça prend aussi des entrepreneurs qui s'inspirent de Letko Brosseau et Jarislowsky Fraser pour se lancer à leur compte.» Martin Gagnon, co-chef de la direction d'Innocap, une coentreprise de la Banque Nationale du Canada et de BNP Paribas, est d'accord sur l'importance du bassin de main d'oeuvre. «Lorsque je travaillais chez Goldman Sachs, raconte-t-il, nous recrutions à HEC Montréal à chaque année et les candidats faisaient partie des meilleurs.» Innocap travaille sur 3 G$ de mandats mais elle doit se démener afin de dénicher des capitaux. «Environ 70% de nos clients sont en Europe, explique M. Gagnon. Notre industrie se différencie, même si elle demeure plus petite.» D'autres acteurs de cette taille n'en démordent pas: Montréal est leur ville. C'est le cas de Daniel Thompson, PDG de MacDougall, MacDougall & MacTier. Ce cabinet établi en 1849 a 5 G$ sous gestion et plus de la moitié de ses 200 employés sont à Montréal. «Il y a des universités, une Bourse, des entrepreneurs et de l'argent ici, soutient M. Thompson. Tous les gestionnaires de portefeuille au Canada veulent gérer de l'argent pour la Caisse de dépôt. Ils feront le voyage à Montréal pour cela. Toronto a plus d'argent, mais Montréal en a assez pour nous tenir occupés pendant des siècles !» L'éventuel rachat du Groupe TMX assombrit le portrait, admet M. Thompson. «C'est difficile pour un joueur indépendant comme nous d'avoir un droit de parole concernant notre Bourse. Je ne veux surtout pas que Londres la contrôle. Même Maple aurait la mainmise sur 90% des transactions au Canada. Ce n'est pas de la concurrence.»
  3. Saignée des sièges sociaux: le Québec perd le contrôle 15 septembre 2011 | 06h54 Plusieurs prises de contrôle d’entreprises québécoises ont été désastreuses pour le Québec au cours des dernières décennies. (Photo: Agence QMI) Les ventes et les fusions de fleurons comme Provigo, Canstar, le fabricant des patins Bauer, ou Microcell, l’ancien propriétaire de Fido, ont entraîné la délocalisation d’importants centres de décisions et de milliers d’emplois hors de la province. Le nombre de sièges sociaux établis à Montréal a fondu de 16 % en deux décennies, selon le dernier classement de l’Institut Fraser, obtenu en exclusivité par Argent. La métropole abritait le cœur administratif de seulement 81 grandes entreprises en 2010 alors qu’elle en comptait 96 en 1990. Les entreprises recensées par l’Institut se retrouvent dans le palmarès des 500 plus grandes compagnies canadiennes du «Financial Post». Des données compilées par Argent montrent par ailleurs que les effectifs montréalais ou québécois des sociétés qui ont changé de mains ont dans plusieurs cas fondu de plus de 50 % en quelques années seulement. L’achat de Canstar par Nike en 1994 a par exemple provoqué la disparition de près de 1200 emplois dans les bureaux montréalais de l’entreprise et à son usine de Saint-Jérôme. RioTinto s’est départi de 1000 employés d’Alcan à la suite de l’acquisition de la multinationale en 2007 (NDLR : certaines filiales ont été vendues). L’ontarien Rogers a aussi sabré près de 1000 emplois au siège social de Microcell après avoir acheté le créateur de Fido. Chez Provigo ce sont au moins 600 postes qui ont été abolis, uniquement au siège social. La moitié de l’équipe de gestion en place lors de la prise de contrôle de Loblaw. Mais la purge serait encore plus importante selon des sources. «C’est un désastre ce que Loblaw a fait», a commenté Gaétan Frigon, l’ancien président de la SAQ et Loto-Québec qui a aussi occupé des postes de direction chez Metro. Il y a quelques semaines, l’homme d’affaires a dénoncé sur son blogue le transfert de la gestion de Provigo de Montréal à Toronto. Il estime que l’élimination de nombreux postes de direction a provoqué le déclin de la bannière au Québec. «Les décideurs de Toronto ne peuvent pas voir et comprendre comment ça se passe dans le marché québécois», a ajouté M. Frigon. Plusieurs experts estiment que les Québécois doivent s’empresser de reprendre le contrôle de leur économie et de leurs entreprises pour éviter qu’elles se transforment en succursales. «Si nous continuons d’agir comme nous le faisons actuellement, il est évident que notre économie va subir un déclin», a expliqué Oona Stock, associée chez Secor. Dans le contexte actuel, certains observateurs surveillent de près la situation de Bell Canada. Ils craignent une perte d’influence de Montréal au profit de Toronto, car la majorité des dirigeants travaillent dans le Ville Reine même si le siège de la compagnie demeure dans la métropole. L’érosion des sièges sociaux n’atteint pas seulement Montréal. La vente du fabricant de sandales Crocs à des investisseurs américains s’est soldée par la disparition de près de 1000 emplois à Québec. Exit le pouvoir et le talent L’impact de la disparition d’un siège social ne se mesure pas uniquement en termes de pertes d’emplois. «Ça entraîne aussi des répercussions directes sur l’activité économique», a indiqué Niels Veldhuis de l’Institut Fraser. Chaque fois qu’une entreprise délocalise des postes de direction, ce sont des emplois prestigieux et bien rémunérés qui s’envolent. La disparition de ces fonctions de haut niveau entraîne l’exode de talents et la perte de retombées économiques. «Certains choisissent de déménager pour poursuivre leur carrière. Mais ceux qui ne veulent pas s’établir à Toronto ou ailleurs deviennent consultants et ont beaucoup moins d’argent à dépenser», a indiqué un ancien vice-président qui préfère conserver son anonymat. «La perte d’un siège social provoque toujours de graves conséquences dans une économie parce que ces entreprises-là génèrent de la plus value. Elles donnent des contrats à des firmes d’avocats ou de comptables», a ajouté Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. M. Leblanc croit par contre que la situation s’améliore puisque le nombre de sièges sociaux montréalais a progressé l’an dernier. Il est passé de 76 à 81 de 2009 et 2010, selon le classement de l’Institut Fraser. L’Institut Fraser recommande d’éviter les conclusions hâtives, car des compagnies québécoises peuvent s’être retrouvées au palmarès parce que d’autres en ont été éliminées. «On doit mettre les pertes de côté et s’intéresser aux compagnies qui vont prendre de l’expansion», a prôné Michel Leblanc, précisant que Couche-Tard et MegaBrands sont en croissance. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110915-065432.html
  4. Y a-t-il trop d'immigrants? Publié le 12 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour le 12 décembre 2009 à 05h00 Claude Picher La Presse Le marché du travail n'est plus capable d'offrir des emplois de qualité à tous les immigrants qui arrivent au Canada. Il faut donc se demander si le temps est venu de revoir les plafonds d'immigration à la baisse. La question n'est pas posée par un quelconque groupe de pression xénophobe, mais par Peter Grady, un économiste de grande réputation. M. Grady, ancien haut fonctionnaire au ministère des Finances, a notamment été consultant à la Commission Macdonald et président du Groupe de travail sur l'emploi saisonnier et l'assurance-emploi. Dans un article publié dans la dernière livraison de Fraser Forum, la revue mensuelle de l'Institut Fraser (1), M. Grady rappelle qu'en 2006, plus de 250 000 immigrants se sont installés au Canada. Il propose d'introduire une nouvelle cible beaucoup plus basse, à 100 000 par année. D'emblée, il reconnaît que sa proposition risque de faire des vagues. «Avec le système de sélection actuel, il est impossible d'intégrer harmonieusement 250 000 nouveaux arrivants par année sur le marché du travail, écrit-il, mais bien peu de gens sont prêts à l'admettre, et encore moins à faire quelque chose pour corriger la situation.» Pourtant, la situation des immigrants sur le marché du travail se détériore constamment depuis un quart de siècle, y compris chez ceux qui détiennent un diplôme universitaire. Jusqu'en 1980, la position des immigrants sur le marché du travail épousait un modèle bien connu : un immigrant récent (arrivé depuis moins de cinq ans) pouvait s'attendre à gagner plus ou moins 80 % du salaire d'un travailleur né au Canada. Au bout d'une période variant de 10 à 20 ans, la plupart des immigrants réussissaient à combler cet écart, et souvent à faire mieux. Le scénario ne tient plus. Ainsi, en 1980, un homme immigrant récent, diplômé universitaire, gagnait en moyenne 79 % du salaire d'un travailleur né au Canada. Ce pourcentage est passé à 61 % en 1990, 59 % dix ans plus tard, et seulement 48 % en 2005. Concrètement, cela signifie qu'en dollars ajustés pour tenir compte de l'inflation, le salaire de l'immigrant est passé de 48 500 $ en 1980 à 30 300 $ en 2005. Pendant la même période, le Canadien d'origine a vu son salaire passer de 61 400 $ à 63 200 $. Autrement dit, le travailleur né au Canada a réussi à maintenir son pouvoir d'achat, et même un peu plus, tandis que la condition de l'immigrant, même titulaire d'un diplôme universitaire, s'est fortement détériorée. Le même raisonnement s'applique aux hommes et aux femmes, aux diplômés et aux non diplômés, aux travailleurs qualifiés comme aux autres. Sur tous les fronts, la situation des immigrants empire. Non seulement les revenus des immigrants reculent, mais ils ont plus de difficulté à trouver un emploi. En 2006, le taux de chômage était de 5,2 % chez les hommes nés au Canada et de 9,3 % chez les immigrants récents. Les chiffres équivalents pour les femmes sont 5 % et 14,3 %. Mais pourquoi donc les immigrants n'arrivent-ils pas à de meilleurs résultats? M. Grady rappelle qu'en 1993, Immigration Canada a apporté des changements à son système de pointage. Traditionnellement, un candidat à l'immigration se méritait un certain nombre de points, distribués selon une série de critères (âge, éducation, connaissance d'une des deux langues officielles, expérience de travail, emploi déjà garanti au Canada, etc). Ce système a été modifié pour mettre davantage l'accent sur les qualifications professionnelles et l'éducation. Avec des résultats probants, du moins sur papier. Depuis 1995, la majorité des immigrants adultes qui s'installent au Canada sont des travailleurs qualifiés. Et depuis 2000, les diplômés universitaires sont également majoritaires. Or, il y a une énorme différence entre les chiffres officiels et la vrai vie. Sur le terrain, il est clair que les employeurs n'accordent pas beaucoup d'importance à l'expérience de travail acquise à l'étranger, et encore moins aux diplômes étrangers. Dans ces conditions, la situation des immigrants continuera à se détériorer. Pour M. Grady, la seule façon de corriger le problème est de rehausser les critères de sélection. Selon ce raisonnement, plus on est rigoureux dans le choix des immigrants, plus on restreint forcément le nombre de nouveaux arrivants; en revanche, ceux qui sont admis auront de plus fortes chances de se tailler une belle place sur le marché du travail. Mais ce n'est pas demain la veille que cela arrivera. Réaliste, l'auteur conclut : «Ce ne sera pas facile d'introduire cette réforme. Tous les partis politiques sont soumis à d'énormes pressions pour maintenir l'immigration à des niveaux élevés, sans égard pour les conséquences économiques.» ----- (1) On peut télécharger gratuitement la revue (disponible en anglais seulement) à partir de la page d'accueil de l'Institut : http://www.fraserinstitute.org
  5. Langues officielles: Fraser exige un plus grand leadership du fédéral REUTERS Louis Lafortune La Presse Canadienne Quarante ans après l'adoption de la Loi sur les langues officielles, les Canadiens ont toujours beaucoup de difficulté à se faire servir dans les deux langues, surtout les francophones hors-Québec. «L'arbre a été planté, mais seulement quelques fruits sont mûrs», a déclaré mardi matin le commissaire aux langues officielles du Canada, Graham Fraser, lors du dépôt de son rapport annuel. M. Fraser demande au gouvernement conservateur d'«exercer un plus grand leadership» afin d'assurer des services bilingues lors des Jeux olympiques d'hiver de Vancouver en 2010. M. Fraser dénonce l'appui timide du gouvernement de Stephen Harper à la dualité linguistique au Canada. Il cite la Feuille de route 2008-2013 dévoilée l'an dernier par l'ex-ministre de Patrimoine canadien, Josée Verner, qui «ne soutient pas le développement des communautés de langue officielle autant qu'il serait souhaitable». Cette feuille de route est venue remplacer le Plan d'action sur les langues officielles qui venait à échéance l'été dernier. Or, les organismes qui défendent les droits linguistiques au pays n'ont pas encore reçu les sommes promises pour leur financement. «Les sommes annoncées en juin 2008 ne suffiront pas à répondre à l'ensemble des besions des communautés pour leur permettre de faire face aux défis d'ici 2013.» Ce plan d'action du gouvernement Harper ne définit pas non plus de «cibles précises pour guider les institutions fédérales dans leurs interventions», ajoute M. Fraser. Améliorations dans la fonction publique Comme il l'a déjà fait dans ses rapports précédents, Graham Fraser note certaines améliorations au niveau de la fonction publique. Il félicite notamment les services billingues offerts à la Société du Musée canadien des civilisations, à la Commission de la capitale nationale, à la Commission canadienne du tourisme et au Centre national des Arts. Toutefois, l'appareil fédéral a encore du chemin à faire. «En plein contexte de renouvellement de la fonction publique, il faut répéter haut et fort le message que le français et l'anglais ont tous deux leur place comme langues de travail dans les insitutions fédérales et que le bilinguisme est une composante essentielle du leadership», écrit le commissaire aux langues officielles. Graham Fraser annonce qu'il entreprendra cette année une étude sur le leadership dans la fonction publique bilingue. D'autre part, il note encore une fois des lacunes dans les services offerts par le transporteur aérien Air Canada. Il demande au ministre des Transports de déposer un projet de loi qui aurait pour but «la protection et le maintien des droits linguistiques du public voyageur et du personnel d'Air Canada.»
  6. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 21H38)
  7. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 7H08)
  8. Selon l'Institut Fraser, nombre de provinces canadiennes dépenseront dans moins de 30 ans plus de 50% de leurs recettes fiscales pour la santé. Pour en lire plus...
  9. Une étude de l'Institut Fraser conclut que le Québec se classe à l'avant-dernière place en matière de performance de son marché du travail au Canada, l'une des pires en Amérique du Nord. Pour en lire plus...
  10. Selon un analyste de l'Institut Fraser, le financement public des événements bien établis, tels le Festival Juste pour rire et le Festival international de jazz de Montréal, devrait être aboli. Pour en lire plus...
  11. L'Institut Fraser a fixé au 19 juin la journée d'affranchissement de l'impôt pour les Québécois, une amélioration de quatre jours depuis l'an dernier. Pour en lire plus...
  12. Exploration minière: le Québec, chouchou des investisseurs 19 avril 2007 - 06h00 La Presse Philippe Mercure Le Québec est le deuxième endroit le plus intéressant de la planète pour faire de l'exploitation et de l'exploration minière. C'est en tout cas la conclusion d'une vaste enquête menée par l'Institut Fraser auprès de 333 entreprises de partout dans le monde. Cette enquête annuelle, publiée en mars dernier, montre que seul le Nevada devance le Québec dans ce concours de popularité qui prend en compte autant fois la richesse du sous-sol que le contexte qui permet de l'exploiter - lois, régime fiscal, normes environnementales, infrastructures, main-d'oeuvre, conflits avec les autochtones et bien d'autres. Comment expliquer une telle performance? «C'est très simple, répond Fred McMahon, coordinateur de l'étude à l'Institut Fraser. D'abord, vous êtes chanceux - votre potentiel minier est extrêmement riche. Et il y a une chose que vous faites comme il faut: mettre en place un cadre réglementaire prévisible, clair et transparent.» Selon M. McMahon, le fait que les entreprises soient satisfaites des lois en vigueur ici ne signifie pas qu'elles ont le champ libre pour polluer l'environnement ou brimer les droits des autochtones. «Certains croient qu'il y a une contraction entre avoir un cadre légal qui encourage l'industrie et des facteurs comme la protection de l'environnement. Ils ont tort, tranche-t-il. L'industrie n'est pas opposée à la réglementation. Elle veut avoir des règles du jeu claires et transparentes, et avoir l'assurance que si elle les suit, il n'y aura pas de surprise.»
×
×
  • Créer...