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  1. Pont Jacques-cartier - Les cyclistes devront s'armer de patience Le Devoir Marco Bélair-Cirino Édition du mercredi 29 juillet 2009 Mots clés : Cyclisme, Jacques-Cartier, Réparation, Construction, Transport, Montréal, Québec (province) La voie sera réaménagée, mais la Société des ponts refuse de dévoiler ses plans D'ici à ce que la piste soit réaménagée, les cyclistes devront parcourir près d'un demi-kilomètre à pied, à défaut de quoi, ils s'exposeront à des constats d'infraction de 37 $. Photo: Jacques Nadeau Les centaines de cyclistes qui empruntent chaque jour le pont Jacques-Cartier devront s'armer de patience: l'étroite piste cyclable qui relie Longueuil au tablier du pont sera refaite en 2010. C'est du moins ce que promet la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain inc. Mais, d'ici à ce que la piste soit élargie et aplanie, les cyclistes seront sommés de descendre de leur bicyclette et de parcourir près d'un demi-kilomètre à pied. Sept années après avoir achevé la piste cyclable du tablier du pont Jacques-Cartier, un des deux seuls liens cyclables entre Montréal et la Rive-Sud, la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain inc. (SPJCCI) élargira et changera le tracé de l'accès des cyclistes au pont, à partir de Longueuil, d'ici à 15 mois, a appris Le Devoir. La Société prendra connaissance, dans quelques semaines, d'une étude qu'elle avait commandée au Groupe Séguin experts-conseils et privilégiera une option. Elle réalisera les plans et devis de la nouvelle piste cyclable cet automne. D'ici là, c'est «bouche cousue» à la Société, font savoir Vélo Québec et de nombreux cyclistes qui souhaitent obtenir les détails du projet de réfection de la piste cyclable, et ce, avant que les travaux soient lancés. Ils réclament plus de transparence de la part de la SPJCCI. «Il n'y a aucune façon de connaître les deux options étudiées par la Société des ponts. Il n'y a pas moyen d'en discuter. Il n'y a pas de consultation publique ou de présentation des projets. Les usagers, qui connaissent très bien le parcours, pourraient faire valoir leurs points de vue», fait savoir le Longueillois Michel Robichaud. «Une fois que nous aurons retenu une option et qu'on aura des plans et devis plus avancés, on va pouvoir annoncer plus précisément ce qui en est», répond le porte-parole de la SPJCCI, Jean-Vincent Lacroix. La Ville de Longueuil, elle, souhaite avant tout que la piste cyclable soit raccordée au boulevard La Fayette et à la rue Saint-Charles, donnant un accès plus rapide aux cyclistes à la place Charles-Lemoyne, où se trouve notamment la station de métro Longueuil-Université de Sherbrooke. L'appel a été entendu, confirme la Société. «On a reçu beaucoup de commentaires de la part des usagers par rapport à l'étroitesse de ce segment-là. C'est certain que l'objectif premier est de régler ça, explique Jean-Vincent Lacroix. Le processus est en cours.» La largeur de la piste cyclable du pont Jacques-Cartier rétrécit des deux tiers à quelque 400 mètres de l'intersection des boulevards La Fayette et Taschereau, à Longueuil. L'espace entre les deux clôtures où sont coincés les cyclistes passe de trois mètres à à peine un peu plus d'un mètre. La SPJCCI a réalisé, lors de l'installation du nouveau tablier du pont Jacques-Cartier en 2001 et 2002, «une très belle piste cyclable sur le pont, mais elle ne l'a pas complétée», fait remarquer le porte-parole de Vélo Québec, Patrick Howe. «On demande aux gens de descendre de leur vélo [lorsque la piste cyclable se rétrécit et que la pente devient abrupte] parce que, quand les cyclistes se rencontraient, les poignées de leur guidon prenaient dans les clôtures, situées de part et d'autre de la piste, et les cyclistes chutaient», explique l'agent Ronald McInnis, de la Sûreté du Québec. À défaut de quoi, les cyclistes s'exposent à des constats d'infraction de 37 $. Les cyclistes les plus téméraires qui font fi du règlement et filent à toute allure vers Longueuil doivent prendre garde à ne pas terminer leur course dans d'immenses blocs de béton placés sur la piste tout près de l'intersection des boulevards La Fayette et Taschereau. «Le dénivelé est important. Quand on monte la pente en danseuse, on peut croiser un cycliste qui la dévale à 40 km/h. Là, les accrochages peuvent être assez douloureux», affirme Patrick Howe. Près de 30 accidents mettant en cause des cyclistes ou des piétons sont survenus sur le pont Jacques-Cartier depuis 2006, a relevé la Sûreté du Québec. Aux patrouilleurs en auto et à moto se sont ajoutés des policiers à vélo l'année dernière. «Il y a eu un festival de contraventions. Ça rajoute à l'absurde de la situation, le fait de donner des contraventions à des cyclistes qui ne veulent pas marcher à côté de leur vélo pendant un demi-kilomètre, dit M. Howe. Le problème n'était pas que les cyclistes ne descendent pas de leur vélo, mais qu'on n'ait pas continué la piste cyclable.» Une «avalanche de plaintes» a déferlé jusqu'à la SPJCCI et à la Sûreté du Québec, fait remarquer Patrick Howe, de Vélo Québec. Les coûts des travaux seront assumés à la fois par la SPJCCI et par la Ville de Longueuil, qui se partagent, avec le ministère des Transports du Québec, le tronçon de 400 mètres jugé «dangereux» par la plupart de ses usagers. Quelque 1200 piétons et cyclistes ont emprunté quotidiennement, du lundi au vendredi, le pont Jacques-Cartier en 2007. http://www.ledevoir.com/2009/07/29/260781.html
  2. OK, je ne suis pas le gars le plus au courant des projets en ville puisque je ne suis pas dans le domaine du tout mais je voulais lancer un appel à tous pour connaitres vos idées de constructions possible alentour du pont Jacques-Cartier.
  3. Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
  4. Publié le 14 mars 2009 à 07h38 | Mis à jour à 09h12 Un viaduc démoli sans appel d'offres Bruno Bisson La Presse Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a fait démolir un viaduc, le mois dernier, sans passer par le processus normal d'appel d'offres. Il a invoqué l'urgence de faire disparaître cette structure usée qui surplombait l'autoroute 10, à Brossard, sur la Rive-Sud. Dans la nuit du 7 au 8 février, la firme Excavation René Saint-Pierre, de Sherbrooke, a procédé à la démolition du pont d'étagement de la montée Gobeil - boulevard des Prairies, au-dessus de l'autoroute 10. L'ouvrage était déjà fermé à la circulation depuis plus d'un mois. La firme a touché un total de 258 354$, selon le Ministère. Ces honoraires incluaient le travail de démolition comme tel, qui a pris moins de 10 heures, ainsi que la préparation du chantier, la construction d'un chemin temporaire et la gestion de la circulation. En raison de l'emplacement du viaduc, l'A-10 a été fermée toute la nuit, à partir de l'intersection de l'autoroute 30. Le viaduc surplombait l'A-10 à quelques centaines de mètres seulement du carrefour des autoroutes 10 et 30. Il était assez peu fréquenté. À peine 200 véhicules l'utilisaient chaque jour, en moyenne. Le pont se raccordait, à l'est, à la montée Gobeil qui mène vers la Grande-Allée, à la limite de l'arrondissement de Saint-Hubert. À l'ouest, le boulevard des Prairies traversait un rare secteur non loti de Brossard jusqu'à la municipalité voisine de La Prairie. Construit en 1963, ce pont de béton a fait l'objet de plusieurs inspections au cours des dernières années. Dès 2006, le MTQ a constaté la détérioration de son tablier, qui s'est confirmée un an plus tard à l'occasion d'une nouvelle inspection. En 2008, le MTQ a demandé à une firme externe d'évaluer la capacité portante du viaduc. Le 19 décembre 2008, un rapport préliminaire a recommandé sa fermeture. Le temps de préparer un chemin de déviation et d'informer la municipalité de l'état de la structure, la circulation y a été interdite dès le 23 décembre. Le pont n'a jamais été rouvert. Un mois plus tard, le 22 janvier, le rapport d'inspection des consultants du MTQ a recommandé que l'ouvrage soit démoli dans les plus brefs délais. À cette étape, le MTQ aurait normalement dû faire un appel d'offres pour accorder le contrat de démolition à la compagnie qui aurait proposé le meilleur coût, parmi les soumissions conformes reçues. Pour éviter des délais de plusieurs semaines, le MTQ peut aussi, à l'occasion, inviter trois entreprises à soumissionner dans le cadre d'un appel d'offres sur invitation, ce qui raccourcit le délai d'intervention mais exige quand même un certain temps. Selon un porte-parole du MTQ, Paul-Jean Charest, le Ministère a plutôt décidé de confier directement le contrat à Excavation René Saint-Pierre sans solliciter d'autres offres, en invoquant une exception à la Loi sur l'attribution des contrats gouvernementaux qui met en cause «la sécurité des personnes et des biens». M. Charest demeure toutefois assez vague sur la nature de cette urgence. Il souligne seulement que les appareils sur lesquels s'appuyait le tablier du viaduc étaient en très mauvais état. Quant au choix de la firme, Excavation René Saint-Pierre a été choisie tout simplement parce qu'elle était libre et que l'équipement nécessaire à la démolition du viaduc était tout près, a expliqué M. Charest. La compagnie procédait, durant cette période, à la démolition d'un autre pont d'étagement du MTQ dans la municipalité de Mont-Saint-Hilaire, à 30 km du viaduc de la montée Gobeil. «Ils ont terminé le contrat de Mont-Saint-Hilaire le 1er février, a expliqué Paul-Jean Charest. Le lendemain, leur personnel était sur la montée Gobeil pour préparer la démolition du viaduc de Brossard. La machinerie nécessaire était déjà rendue, ou presque. Une intervention aussi rapide était impossible en suivant la procédure normale. Même avec un appel d'offres sur invitation, il aurait fallu une ou deux semaines de plus pour attribuer le contrat, sans parler de la préparation du chantier.» Le porte-parole a tenu à préciser que la pratique courante dans ce type de dossier consiste à fermer la structure affaiblie, à préparer le projet de remplacement et à confier le mandat d'une nouvelle construction. La compagnie qui obtient le mandat de reconstruction doit alors démolir le vieil ouvrage ou confie cette tâche à un sous-traitant. C'est ce qui s'est produit avec plusieurs des ponts d'étagement au-dessus de l'A-10 au cours des trois dernières années. À Saint-Alphonse-de-Granby et à Magog, en Estrie, des ouvrages désaffectés, interdits à toute circulation, sont restés en place durant des mois avant leur démolition.
  5. Quoi de mieux que de commencer avec cette photo, les hippies ont perdus en cour contre ce pont et en prime ils se font barrer leur piste cyclable:silly: De loin... Pêcheur en premier plan Montréal Nord Très imposant Beaucoup de grues! J'aurais du emmener un zoom Le pont actuel de la 25, avec Montréal arrière Un peu plus à l'ouest, le pont de la 19 Au dessus de l'autoroute 19 sur un pont piétonnier: C'était les dernières photos avec ma Canon 5D maintenant vendue.
  6. La firme de Saint-Lambert, a pour la première fois mis en application une nouvelle technologie qui permet de détecter la présence de corrosion dans le béton. Pour en lire plus...
  7. Un nouveau quartier vert de 1600 habitations à prix «abordable», nécessitant des investissements de 800 millions de dollars, sera bientôt lancé à L'Île-des-Soeurs, près du pont Champlain. Pour en lire plus...
  8. Un accès de moins au pont Jacques-Cartier Jeanne Corriveau Édition du vendredi 27 juin 2008 Mots clés : Rue Ontario, accès, Jacques-Cartier, Pont, Transport, Montréal Rue Ontario, Benoit Labonté songe à interdire les virages à droite et à gauche sur Papineau Les résidants de la rue Ontario se plaignent depuis des années de la congestion chronique sur leur artère à l'heure de pointe. Les résidants et commerçants de la rue Ontario veulent moins de voitures sur leur artère, mais les banlieusards risquent d'en faire les frais. En réduisant l'accès au pont Jacques-Cartier jusqu'à la mi-octobre, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, a trouvé un nouveau motif de conflit avec l'administration de Gérald Tremblay. Hier après-midi, rue Ontario à l'angle de la rue Papineau, un petit groupe de citoyens et de commerçants tentaient d'expliquer pourquoi ils tiennent tant à la nouvelle mesure mise récemment en avant par l'arrondissement de Ville-Marie. Dans le cadre d'un projet-pilote, l'équipe du maire Benoit Labonté a décidé d'interdire le virage à gauche à cette intersection pour les automobilistes roulant dans la rue Ontario, en provenance de l'est. La mesure est entrée en vigueur il y a une semaine, au moment même où la rue Sainte-Catherine devenait piétonne. Toutefois, le bruit de la circulation est tel dans ce secteur que leurs propos sont parfois enterrés. «La rue Ontario est étroite et on se retrouve à chaque heure de pointe, surtout vers 15h, avec une circulation extrêmement dense, pare-chocs à pare-chocs, quasiment à partir de la rue Saint-Hubert jusqu'à Papineau», explique Jean Filippi, propriétaire du restaurant Le Petit Extra. La qualité de vie des résidants et l'accès commercial du secteur en pâtissent. La congestion est telle que même les taxis ne veulent plus venir chercher des clients à son établissement pendant l'heure de pointe, dit-il. Le projet-pilote, entériné en mars dernier par l'arrondissement de Ville-Marie, vise à inciter les automobilistes à opter pour un autre trajet afin d'accéder au pont Jacques-Cartier lorsqu'ils viennent de l'Est. L'arrondissement a également évoqué l'idée d'interdire, dans un avenir plus lointain, le virage à droite dans la rue Papineau pour les automobilistes provenant du centre-ville, comme le révélait Le Journal de Montréal, plus tôt cette semaine. L'idée sourit aux résidants et commerçants du secteur. Benoit Labonté souligne que la congestion routière dans ce quartier résidentiel est problématique et que les citoyens s'en plaignent depuis des années. Au terme du projet-pilote, l'arrondissement mesurera les effets de cette mesure sur la circulation et évaluera la possibilité de la rendre permanente. Une interdiction dans l'autre sens pourrait être adoptée, a-t-il confirmé mercredi. «On n'est pas rendus là, mais ce qui va motiver toute décision à cet égard sera la qualité de vie des résidants du secteur. C'est ce qui prime», a-t-il dit. Quant au sort des banlieusards, M. Labonté estime que ceux-ci disposent de bien d'autres accès pour se rendre sur le pont Jacques-Cartier, qu'il s'agisse du boulevard René-Lévesque, de la rue Saint-Antoine ou de la rue Sherbrooke. «Ce n'est pas une question de "pas dans ma cour", c'est une question de respect à l'égard des citoyens du quartier», a-t-il lancé. Plus tôt cette semaine, Gérald Tremblay s'en est pris à l'attitude de Benoit Labonté à l'égard des banlieusards. «La Ville de Montréal ne ciblera jamais les banlieusards. Ils viennent à Montréal, y travaillent et y investissent. Il faut donc les respecter», a-t-il déclaré. Membre de son équipe et conseiller dans Sainte-Marie-Saint-Jacques, Sammy Forcillo s'était opposé à la décision d'interdire le virage à gauche dans la rue Papineau et s'est plaint d'avoir été tenu dans l'ignorance au sujet de l'autre mesure envisagée par le maire Labonté et à laquelle il se dit également opposé. «On a un maire qui travaille tout seul à l'arrondissement, a-t-il commenté en accusant M. Labonté de vouloir se «faire un nom» en «fermant le Centre-Sud». Gérald Tremblay entend examiner le dossier de plus près, mais comme il s'agit d'une rue locale et que la circulation relève des compétences des arrondissements, il s'avérera fort difficile pour la ville centre d'intervenir. Benoit Labonté croit pour sa part que le maire Tremblay serait mal placé pour mettre des bâtons dans les roues de l'arrondissement et qu'il aurait avantage à écouter les résidants du secteur. «On ne peut pas tenir, d'un côté, un discours sur le plan de transport, le ralentissement de la circulation et l'amélioration de la qualité de l'air et, de l'autre, défaire des mesures qui vont en ce sens-là», a-t-il indiqué. À l'hôtel de ville de Longueuil, on demeure prudent. «Ça semble davantage au stade de discussions, mais c'est sûr que le maire de Longueuil ne sera pas content de voir la population pénalisée à son retour à la maison. On réagira en temps et lieu», a précisé Jean Rossignol, relationniste au cabinet du maire Claude Gladu. http://www.ledevoir.com/2008/06/27/195527.html (27/06/2008 7H02)
  9. Nouveau pont transfrontalier :: Ottawa confirme Brighton Beach Mise à jour le mercredi 18 juin 2008, 15 h 12 . Les ministres fédéraux Lawrence Cannon (Transports) et Stockwell Day (Sécurité publique) ont confirmé que le nouveau pont entre Windsor et Détroit sera construit à Brighton Beach, comme l'avait dévoilé Radio-Canada en mai. Ce deuxième pont transfrontalier est un projet de 800 millions de dollars américains qui devrait être inauguré d'ici 2013. Il s'agit d'un projet crucial pour l'économie canadienne, car environ 28 % du commerce entre le Canada et les États-Unis passe par Windsor, a rappelé le ministre Cannon. « Un nouveau pont améliorera la circulation routière à long terme, accroîtra la sécurité et la sûreté du réseau canadien de transports et contribuera sans doute à la prospérité du pays. - Lawrence Cannon, ministre des Transports du Canada » Les réactions à l'annonce d'Ottawa sont très positives. Brighton Beach était l'emplacement préféré de la population et des élus régionaux. Seuls les propriétaires du pont Ambassador réagissent négativement: ils jugent que la construction d'un nouveau pont n'est pas nécessaire et menacent le Canada et l'Ontario de poursuites si le nouveau pont les prive de revenus. La nouvelle structure sera un pont suspendu ou un pont à haubans, haut de 47 mètres, long de 840 mètres, large de 36 mètres. L'esplanade d'inspection douanière du côté canadien aura une superficie de 53 hectares, avec un record de 29 guérites de douane. Source :: http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2008/06/18/003-pont-emplacement-brighton.shtml?ref=rss
  10. TVA pas rapport mais je la trouvais belle Cour arrière très laides près du pont Pont Radio Canada 2 Églises Rue Ste-Catherine Boul. René Lévesque Molson :cheers: Traffic sur le pont Porc Autoroute Ville-Marie 1000 Port Train Fleuve St-Laurent Plus belle vue possible sur le skyline :banana: La ville avec son fleuve Bateau de plaisance Passerelle ... ça shake en sale ça avec le traffic pis les van :sly: Twins !
  11. Le gout de faire des photos m'a repris de plus belle ! Petite promenade autour de chez-nous cet après midi, enjoy Intersection Hochelaga / Hogan Église sur Hochelaga Vieux divans Suzuki Esteem serré pour l'hiver ... Tour Olympique sur Sherbrooke Cabanes a oiseaux ... Nice skyline Longueuil Encore ! Railroad and church Tchou tchou tchou !! Skyline Samething Pont Jacques Cartier Merci
  12. le 14 octobre 2007 L’Ordre des architectes du Québec décerne un Prix d’excellence en architecture à Brière Gilbert + Associés Architectes ainsi qu’à la Coopérative d’habitation Au-Pied-du-Courant pour la réalisation de logements sous le tablier du pont Jacques-Cartier. L’Ordre des architectes du Québec procédait jeudi à la remise du trophée d’un Prix d’excellence en architecture dans la catégorie des projets résidentiels de type «ensemble d’habitations» aux architectes Brière, Gilbert + Associés ainsi qu’à la Coopérative d’habitation «Au-pied-du-courant» pour la réalisation des logements situés au 2000 rue Tansley à Montréal, sous le tablier du pont Jacques-Cartier. Membre du jury, l’architecte Isabelle La Fontaine, a justifié le choix de ce projet dans ces termes: «Malgré l’âpreté de sa situation géographique et le caractère ingrat du terrain, ce projet a su démontrer, par son architecture simple mais vivante, l’adéquation de l’expression à l’idée.» Le jury a tenu à souligner l’originalité et l’ingéniosité de ce projet tant dans sa réponse au milieu bâti environnant que par l’exploitation optimale des ressources offertes. «La cour, toute de verdure, devient le milieu de vie de ces familles réunies en coopérative. On assiste à la transition parfaite d’un lieu urbain triste et gris à un lieu collectif lumineux dans cette cour semi-ouverte créée par la morphologie du bâtiment en L. L’effort de revitalisation urbaine de cet ensemble d’habitations dans un contexte de ressources très limitées représente un intérêt indéniable. Un projet valeureux!», a déclaré le jury. Ce projet a été sélectionné parmi une centaine d’autres, toutes catégories confondues, par des experts réunis dans le cadre de la 24e édition des Prix d’excellence en architecture.
  13. mardi 21 aou MONTRÉAL (RC) - Le chef du parti Projet Montréal, Richard Bergeron, croit qu'on peut faire du secteur situé tout juste à l'est du pont Jacques-Cartier une entrée maritime prestigieuse pour la métropole .Le conseiller municipal a présenté mardi un projet ambitieux, qui engloberait à la fois la rive montréalaise du Saint-Laurent près du pont, la pointe est de l'île Sainte-Hélène et l'entrée de la Voie maritime à Longueuil. Citant les villes de Sydney, Barcelone et Lyon, le conseiller municipal estime qu'au lieu de transformer la rue Notre-Dame en autoroute, on pourrait en faire un boulevard qui ferait face à un projet phare qui serait développé sur la pointe est de l'île Sainte-Hélène. Actuellement, ce terrain sert de stationnement au parc d'amusement La Ronde. Pour s'y rendre, Richard Bergeron songe à un téléphérique. Afin de financer ce projet ambitieux, M. Bergeron suggère à la ville de dépenser moins pour les projets de reconstruction de l'échangeur Turcot et de rénovation de l'autoroute Bonaventure et de la rue Notre-Dame.
  14. La Presse Le mercredi 23 mai 2007 Sur leurs skates, ils ont investi l'espace urbain. Les bancs sont devenus des obstacles et ils se servent des escaliers comme de rampes. Au grand mécontentement de certains riverains et des policiers. L'inauguration, hier, d'un nouveau skatepark sous le pont Jacques-Cartier, à l'angle de l'avenue De Lorimier et du boulevard De Maisonneuve, pourrait changer la donne. Situé sur un terrain de 900 m², ce skatepark a bénéficié pour sa construction de l'aide financière du Programme de renouveau urbain. Au total, 461 068$ alloués à parts égales par le ministère des Affaires municipales et des Régions et la Ville de Montréal. Ce programme vise à «améliorer la qualité de vie des jeunes», explique Marie-Andrée Beaudoin, responsable du développement social et communautaire au comité exécutif de la Ville de Montréal. Les concepteurs de ce parc pour planches à roulettes ont tenté de reconstituer des éléments urbains: marches, murets, faux bancs, coulés directement dans le béton. Nul besoin de l'entretenir. Conseillés par des skaters professionnels, architectes et ingénieurs civils se sont efforcés de respecter les distances nécessaires pour bien skater. L'arrondissement a décidé de faire de ce skatepark un lieu d'expression artistique. Plusieurs artistes muralistes, tels que Monk.e, reconnu dans le milieu hip-hop, ont donc signé des fresques. En plus de colorer le béton, ils entendent démontrer que le graffiti est une forme d'art à reconnaître à part entière. Si ce nouveau skatepark représente une avancée pour les skaters montréalais, certains sont déçus. Martin Gagnon a travaillé comme consultant pour le cabinet d'architecture Atelier Big City. «J'ai essayé d'orienter les architectes dans une vision skateboard pour les aider à faire du mieux possible, explique-t-il. C'est bien qu'il y ait eu un investissement de la Ville, mais ce n'est pas à la hauteur de nos attentes.» Pour lui, ce n'est pas l'argent qui a manqué, mais les connaissances: il n'y a pas de designer qualifié au Québec. Pour Daniel Mathieu, éditeur d'Exposé, un magazine de skate, le skatepark du pont Jacques-Cartier est dangereux. Selon lui, les modules sont mal intégrés dans l'espace et il existe un risque de collision incroyable. Cependant, les jeunes planchistes viendront au moins l'essayer. Maxime Boivin, 18 ans, trouve ça «le fun de pratiquer dans de nouveaux endroits» et reconnaît qu'il y a «des modules pour tous les goûts». Mais rien ne l'empêchera de retourner skater dans la rue. «Si on skatait dans les skateparks sans jamais atteindre nos limites, on resterait dans les skatepark», conclut-il.
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