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BiloMtl

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Tout ce qui a été posté par BiloMtl

  1. L'extension du métro vers Laval a coûté au bas mot 745 M$ alors c'est ben normal que le monde de Laval paie plus cher. Mais je ne comprends pas pour Longueuil...
  2. La question qui tue: avec l'extension de la ligne bleue, est-ce que la STM va faire payer les gens d'Anjou plus cher que ceux du Plateau pour la CAM?
  3. Euuhhh moi je trouve ça assez extrême pour dire que c'est normal!
  4. Pas nécéssairement, mais disons que ça montre bien que le marché des édifices à bureaux est déprimé à Mtl.
  5. On apprend aujourd'hui qu'Hines se retire du projet du 900 de Maisonneuve Ouest. D'après moi on va devoir vivre avec le St-Martin pour un bon bout!
  6. Qui est le promoteur de ce projet?
  7. Idem pour moi! Je me croise les doigts et espère que certains condominiums seront construits avec en partenariat avec la SHDM/Accès Condo!
  8. Bonne nouvelles! Il va y avoir pas mal de grues dans ce coin de la Ville.
  9. Source: Site Web Quebec Solidaire, 2Fevrier 2010; Finances publiques - Lancement de la campagne couragepolitique.org "(...) - Des redevances sur l'eau pour les industries minières et manufacturières, parmi les plus grandes utilisatrices de cette ressource naturelle ; En accord avec eux. - Maintien de la taxe sur le capital pour les banques et les compagnies d'assurance ; En accord avec eux. - Une baisse des subventions et des mesures fiscales profitables surtout aux grandes entreprises ; En accord avec eux. - Un plafonnement des contributions aux REERS à 10 000 $ par année ; Contre.- Suspension des paiements au Fonds des générations ; Contre. - Une contribution de 4% supplémentaire pour les 3% de contribuables les plus riches ; Indécis - Faire passer de 50% à 100% l'imposition des gains en capital pour les particuliers et les entreprises. Contre.
  10. Non non pas insider, mais j'ai croisé quelqu'un bien au fait du projet récemment.
  11. "Mining companies would be required to cough up more royalties while big water consumers would have to pay more for Quebec's abundant "blue gold." Franchement je vois pas vraiment pas de problèmes avec ce genre de propositions... Et je vous trouve très "rude" envers eux pour les traiter de moron après la lecture d'un article de 6 lignes... Et au fait parmis les critiques, payez-vous des impôts? Je vous croyais pour la plupart étudiants (Mtlskyline, Jesseps)... À moins que j'aille tort?
  12. C'est toujours vivant soyez patient!
  13. Les derniers locataires présents "libéraient" la place jeudi dernier...
  14. Moi aussi, surtout que c'est tellement bien situé...
  15. Tout à fait, et ce l'est encore plus lorsque l'on marche sur Mansfield direction nord... les murs aveugles sont une horreur.
  16. Saviez-vous cela que les prestations que les employés retirent de leur syndicats ne sont imposables !!?? Moi ça me met en tabarnak entendre des choses de même! Et aussi je me demande pourquoi La Presse titre que Pierre-Karl Péladeau s'attire des critiques, plutôt qu'elle aurait tout simplement affirmé que PKP a publié une lettre anti-syndicale... en tk! (Lévis) Pierre Karl Péladeau s'est attiré bien des critiques ce matin à la Rencontre économique de Lévis après avoir publié un texte dénonçant les «privilèges» des syndicats qui nuisent selon lui au développement économique. Les entrepreneurs québécois doivent dédier «trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs relations de travail», dit le patron de Quebecor, propriétaire du Journal de Montréal dont les employés sont en lock-out depuis près d'un an. Pierre Karl Péladeau n'a pas été invité à la Rencontre économique du gouvernement Charest, mais il a tout de même fait jaser à Lévis avec sa lettre publiée dans le Journal de Québec. Le banquier Jacques Ménard se demande quelle mouche a piqué M. Péladeau. «Il a un confit de travail. Il est aux prises avec un problème d'affaires spécifique qui est le sien. C'est possible qu'à cause de ça il extrapole... Je ne sais pas si dans son cas ses dires ont excédé sa pensée. Ça fait peut-être partie d'une stratégie qui m'échappe. Je ne suis pas psychologue, je ne peux en dire plus que ça», a affirmé le patron de BMO. Selon lui, les syndicats contribuent au développement du Québec, et «on ne peut parler de projet de société économique et social si les dirigeants syndicaux ne sont pas à la table». En 1989, alors qu'il était à la tête de la chambre de commerce, M. Ménard avait même demandé à un représentant syndical de siéger au conseil d'administration. «Parfois, on a des divergences d'opinion, mais ça ne nous empêche pas de travailler ensemble», a-t-il noté. Aucun décideur économique et financier présent à Lévis ne s'est manifesté cet avant-midi pour appuyer publiquement la sortie du patron de Quebecor. À son entrée à la Rencontre économique, le premier ministre Jean Charest a fait valoir que «les relations de travail au Québec somme toute sont bonnes». «Il y a des consensus sur plusieurs lois» syndicales, a-t-il ajouté. Le ministre des Finances, Raymond Bachand, estime que «les syndicats sont des grands partenaires du développement économique» et mettent l'épaule à la roue en vue, par exemple, d'augmenter la productivité. «M. Péladeau exprime son opinion. Il a le droit», a-t-il ajouté. Claudette Carbonneau, présidente de la CSN, qui représente les employés en lock-out du Journal de Montréal, trouve que M. Péladeau «est bien mal placé pour donner des leçons sur les relations de travail». «Je pense que M. Péladeau est préoccupé par le cash, et non les relations humaines, a affirmé de son côté Michel Arseneault, président de la FTQ. Vous savez, diriger une entreprise, c'est des relations humaines à tous les jours. Mais lui, ça le fatigue.» «L'attitude antisyndicale» de M. Péladeau n'est pas nouvelle, a-t-il fait valoir. «Un des beaux exemples, c'est qu'il a même refusé la publicité du Fonds de solidarité qu'on voulait à TVA et dans l'ensemble de Quebecor. Nous, on voulait annoncer partout, sauf dans le Journal de Montréal en lock-out. Et à ce moment-là, il a refusé la publicité.» Le président de la CSQ, Réjean Parent, a qualifié M. Péladeau d'«antisyndicaliste notoire». Dans une lettre publiée ce matin dans le Journal de Québec, Pierre Karl Péladeau dénonce les «privilèges aussi nombreux et de moins en moins justifiables» dont bénéficient selon lui les syndicats. Des lois adoptées au fil des ans ont provoqué un «déséquilibre des forces» entre employeurs et syndicats qui a eu pour conséquence «de défavoriser les entreprises québécoises dans le contexte économique mondialisé dorénavant largement répandu, de rendre plus difficile l'émergence de jeunes entrepreneurs, ainsi que de pénaliser notre désir collectif, voire notre obligation, d'accroître notre productivité». M. Péladeau s'en prend par exemple à la formule Rand. «N'est-il pas légitime de nous permettre, comme citoyens bénéficiant d'une maturité politique et démocratique, de décider si nous voulons ou non faire partie d'une organisation syndicale et d'en payer les cotisations ?» Il dénonce «la création d'une unité d'accréditation par la simple signature de cartes d'adhésion». Il condamne aussi le «privilège qui permet aux employés en conflit de travail de ne pas payer d'impôt sur les prestations monétaires qu'ils reçoivent de leurs syndicats, mesure exceptionnelle parce qu'elle fait financer les positions des organisations syndicales par l'ensemble des contribuables déjà assujettis à un fardeau fiscal que tous reconnaissent parmi les plus lourds du continent». «Il se trouvera certainement plusieurs membres de l'intelligentsia pour justifier l'action positive des syndicats au Québec», a-t-il ajouté, soulignant qu'il reconnaît le «rôle nécessaire» de ces organisations. Mais «tous ces beaux penseurs ont-ils déjà été confrontés à la réalité de dirigeants d'entreprises et d'entrepreneurs comme celle à laquelle mes collègues et moi faisons face de façon quotidienne, tant au Canada qu'à l'étranger, dans un contexte de concurrence mondiale?», se demande-t-il. «Au Québec, les dirigeants d'entreprise doivent dédier trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs « relations de travail » alors qu'ailleurs, les divers intervenants au sein des entreprises participent ensemble à assurer la poursuite du développement de leurs activités et l'accroissement de leur productivité afin de gagner sur les marchés mondiaux, tant dans les secteurs manufacturiers que dans les secteurs de l'économie du savoir et des technologies», ajoute M. Péladeau. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201001/21/01-941535-pierre-karl-peladeau-sattire-des-critiques.php
  17. Un bar de danseuses dans un édifice de classe A tu peux oublier cela...
  18. BiloMtl

    Le Logge - 3 étages

    Yup but it's getting a lot better. There are many condominiums projects in the immediate area and a lot of potential too, as many buildings are in poor condition/old and subject to be bought/demolished for new projects like this one.
  19. En effet! Probablement des étudiants étrangers qui vont à McGill et dont les parents paient les études et le loyer. J'ai eu l'occasion de visiter le 1200 Maisonneuve Ouest et on se serait cru dans une résidence étudiante haut de gamme. Beaucoup d'étrangers dans la vingtaine qui étudient et dont les parents louent ou achètent un condo.
  20. Euhhh, peu importe le propriétaire je doute fortement qu'un quotidien du ROC se laisse imposer une ligne éditoriale pro-souverainiste. Mais comme le dit Malek, ça reste du business et je suis pas mal convaincu que si le tirage du Toronto Sun pouvait augmenter il laisserait Diane Francis écrire dedans.
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