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ça coute cher

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  1. en fait tout s'explique par ceci: pour les Québécois de vieille souche l'immigation passe en priori par l'intégration et l'assimilation. Le point de vue Canadien historique c'est celui d'accomoder les différent groupes culturels pour créé une société "mosaique" qui a pris forme a ces tous débuts lorsque Les britanniques devaient composer avec les Canadiens français et les Amérindiens. Je ne peux conclure qu'une ou l'autre des position soit la meilleure mais elle crée une division entre Montréalais (position plutôt canadienne) et la reste du Québec.
  2. L'industrie hôtelière québécoise en crise (Québec) Des fermetures d'hôtels comme celles annoncées du Loews Le Concorde à Québec et du Holiday Inn Midtown à Montréal sont à prévoir au cours des prochains mois, soutient l'Association des hôteliers du Québec (AHQ). Agrandir «Ce n'est pas terminé. On s'attend à d'autres annonces de fermeture en 2014», prévient la présidente et directrice générale de l'AHQ, Danielle Chayer. Selon cette dernière, l'industrie québécoise de l'hôtellerie est véritablement en «crise» alors que plusieurs hôteliers peinent à rentabiliser leurs établissements sur une base annuelle. Le taux d'occupation des hôtels serait maintenant de 55 % au Québec. «Les marges bénéficiaires des hôteliers ont fondu de 40 % en cinq ans. Pendant que les revenus stagnent, les coûts d'opération augmentent à une vitesse folle», signale Mme Chayer, en citant notamment les nombreuses hausses successives de taxes foncières observées ces dernières années (3000 $ en moyenne par chambre) et les augmentations de salaires de 7 % entre 2007 et 2011. Résultat: les marges moyennes de profits des hôteliers québécois ont fondu comme neige au soleil entre 2007 et 2012, passant de 8,7 % à 5,5 %. Pas étonnant que dans ce contexte, les fermetures d'hôtels se succèdent à un rythme accéléré au Québec, croit l'AHQ. À Québec, la chaîne Loews va fermer l'hôtel Le Concorde de 405 chambres le 12 février prochain pour cause de non-rentabilité. Cette fermeture du Concorde s'ajoute à d'autres observées ces dernières années dans la région de Québec, dont celles de l'hôtel Gouverneur, du Manoir Saint-Castin et de l'Hôtel Val des Neiges. Dans la métropole, plusieurs hôtels ont fermé leurs portes l'an dernier, dont le Maritime Plaza, le Delta Centre-Ville, l'Hôtel des Seigneurs Saint-Hyacinthe et La Sapinière dans les Laurentides. Mardi dernier, le gestionnaire Rosdev a annoncé la vente de l'hôtel Holiday Inn Midtown du centre-ville de Montréal. Le bâtiment de 488 chambres sera transformé en résidence pour étudiants au cours des prochains mois. Clientèle à la baisse En plus de cette explosion des coûts pour exploiter un établissement hôtelier, Mme Chayer rappelle que les clients ne sont plus au rendez-vous comme par le passé en sol québécois. «Les Américains se relèvent d'une crise et les Européens ne viennent plus. Et par-dessus tout, les Québécois préfèrent plutôt aller dans le Sud en achetant un forfait tout-inclus à des prix plus bas qu'opter pour un séjour au Québec», explique-t-elle. La présence très agressive de sites de réservation en ligne a également orchestré tout un changement au sein de l'industrie, fait remarquer la présidente de l'AHQ. «Les prix des chambres sont moins élevés alors que les frais de commissions demandés par ces sites sont considérables (entre 10 % et 25 % par transaction)», fait-elle remarquer. L'AHQ avance que près de 200 établissements hôteliers ont ainsi fermé leurs portes au cours des trois dernières années au Québec, entraînant la disparition de plus de 3000 chambres. L'Association est d'avis que le Québec encaisse plus durement le coup de cette mutation de l'industrie hôtelière en raison de la présence d'un important nombre d'hôteliers indépendants. Ces derniers détiennent 80 % des parts de marché, comparativement à seulement 20 % pour les grands groupes hôteliers, pour la plupart bien capitalisés. Pour tous ces facteurs qui affectent le rendement de l'industrie, incluant celui de l'hébergement illégal, Mme Chayer a bon espoir de voir des pistes de solution émerger rapidement. «Il y a beaucoup de travail à faire», reconnaît-elle. À Québec, le ministre du Tourisme, Pascal Bérubé, semble prendre le dossier au sérieux. Un comité de travail formé de gens de l'industrie sera bientôt créé pour étudier les difficultés du secteur hôtelier dans son ensemble. Le travail de ce comité viendra s'ajouter à celui d'un autre groupe de travail qui se penche en ce moment sur la problématique de l'hébergement illégal. *** Les meilleures années seraient à venir C'est une simple question d'offre et de demande. Pendant que des hôtels disparaissent du paysage québécois, d'autres pourraient tirer profit de cette «consolidation» au sein de l'industrie. C'est du moins l'avis de la firme de consultants Horwath HTL. Dans son plus récent rapport sur l'industrie hôtelière au Québec, les analystes de Horwath HTL croient que les hôtels seront occupés comme ils ne l'ont jamais été depuis très longtemps, notamment dans les régions de Montréal et de Québec. La raison? Les fermetures d'hôtels et les conversions réduisent le stock de chambres disponibles, créant davantage d'achalandage dans les hôtels existants. «La disparation de 405 chambres au centre-ville de Québec avec la fermeture du Concorde aura du bon pour les autres hôteliers du secteur qui verront leurs taux d'occupation augmenter», souligne l'analyste chez Horwath HTL, Peter Gaudet. Ce dernier croit que le taux d'occupation des hôtels du centre-ville de Québec pourrait passer de 62 % à 65 %, alors que le prix quotidien moyen progresserait de 135 $ à 138 $. Avec un dollar canadien faible (autour de 90 ¢US hier), Horwath HTL s'attend d'ailleurs à voir débarquer plus de touristes américains et européens au Québec cette année. «L'industrie hôtelière pourrait connaître ses meilleures années depuis l'an 2000», soutient M. Gaudet. Les données compilées par Horwath HTL font état d'un taux d'occupation moyen de 58 % (avec prix quotidien moyen de 132 $) en 2013 pour les hôtels de la région de Québec, comparativement à un taux de 68 % pour les hôtels de la métropole (prix quotidien moyen de 130 $). http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201401/24/01-4732246-lindustrie-hoteliere-quebecoise-en-crise.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS2
  3. voici les derniers chiffres publiés: Q3 2013 CENTRE-VILLE / DOWNTOWN Montreal 4.66% vacancy rate all inventory (sept 2013) Montreal 4.70% vacancy rate Class A office space(sept 2013) BANLIEUE / SUBURBAN Montreal 10.65% vacancy rate all inventory (sept 2013) Montreal 9.31% vacancy rate Class A office space (sept 2013) Source: http://www.colliers.com/-/media/file...13q3_final.pdf
  4. c'est quand même impressionant le nombre de grues sur St-Patrick...walter sur atwater, Myst et Nordelec....L'impact de ce projet(walter) au niveau de la rue est majeur.
  5. Je me demandait la même question....je crois que oui! Le Mojo de la ville de Mtl semble être dans le secteur formé par le square victoria, le centre Bell et Griffintown.
  6. voici un extrait du national post sur la situation de l'emploi au Canada: Nowhere was the meltdown worse than in Quebec. Quebec shed a stunning 43,800 full-time jobs in 2013 from December to December, a situation that contributed to the highest number of departures out of the province in more than a decade. Some 45,800 part-time jobs were generated. Nous remplaçons progressivement des bons emplois par des Mcjobs!
  7. La population de la belle province a quand même augmenter de 67 385 entre 2012 et 2013...If we take in account that we are under a PQ government, these numbers are not so bad. besides, would you prefer living in the toxic oil sands? Alberta will be experiencing slower growth in the next few years even decades maybe as the U.S. will be importing less of our oil. I know a bunch of people (family, friends) who moved to Alberta (yes they were anglophones) and came crawling back....one name that comes to mind is radio host Terry Dimonte. http://blogs.montrealgazette.com/2012/01/13/radio-legends-terry-dimonte-and-tasso-both-back-on-montreal-radio/
  8. surtout après la fermeture de humpty dumpty (old dutch) il y a quelques mois, ce sont des bons emplois pour un arrondissment qui en a bien de besoins.....
  9. "Le problème c'est que même si il y a des 3 chambres, les familles ne s'y installeront pas et ce sera un couple ou des célibataires fortunés qui veulent un grand unité qui vont les acheter. Les projets de condos urbains à plusieurs étages ne collent pas avec la mentalité familiale. Quand bien même qu'on ajoute des 3 chambres ou des carrés de sable." Je ne suis pas tout a fait d'accord avec cette affirmation, L'Île des Soeurs qui est peuplé de famille, en est un bel exemple....il suffit de crée un environnement idéal pour elles....Ce coin de St-Henri a peu ou pas de traffic automobile (st-Ambroise) depuis la fermeture du petit pont vert donc je peut tres bien imaginer des kids en train de jouer au hockey dans la rue...ce qui est mon indice d'un quartier propice aux familles...peut-être devraient-ils aussi incorporer des maisons de Ville dans ce projet....
  10. Selon un article de Daniele Bonneau qui date de 2011 ou 2012 paru dans presse et le messager de Lasalle intitulé: Lasalle s'urbanise a son tour; 7000 logements inclu l'arrondissement de Lasalle au complet, donc le site de la domfer, le projet quartier A de melatti, Opus, Apero Condo, Bois des Caryers, Les Residences Tours Angrignon ainsi que le potentiel de développement au tour du Carrefour Angrignon et du Boulevard Newman sur les terrains de stationnement sous-utilisées. Le site de l'ancienne Domfer bordé dar les rues allard, irwin et Boul Newman a un potentiel d'environ 1600 unités.
  11. c'est très simple, ce qu'il faut sur ce site comme a plusieurs autres endroits a Montréal, c'est de grands logements a 3 chambres a coucher pour les familles. Les crédits de taxes et subventions des 3 paliers de gouvernements sera la meilleur façon d'attirer les familles a St-Henri. Ils y a des écoles et garderies tout près en plus du centre garbois, des parcs et le CUSM. Les logements sociaux ne font que retenir les plus pauvres....
  12. 1400 logement sociaux mon oeil!!! peut-être éparpillé sur le territoire de Montréal au complet....Il se construit en ce moment un projet de logement sociaux sur de courcelles près de la voie ferré rajouter a cela plusieurs projets sur de L'église a Cote-St-Paul (une station service qui c'est fait exproprié)a 2 minutes de marche du site de la Canada Malting....Il y a aussi un gros HLM a coté du complexe sportif Gadbois et d'autres sur Notre Dame....Il Y EN TROP....¨Ça Suffit...nous aussi les gens qui travaillent et qui payent des taxes avons le droit au Logement!!! La ville devraient plutôt renippé les HLM et autres logements sociaux car ils sont tous a quelques exception près en état de décripitude dans le sud ouest. Richard Bergeron la bien dit avant hier sur le 98.5 fm "Il faut attirer les gens pour qu'ils habitent a Montréal...la ville doit être attrayante" Il faut lire entre les lignes: si tu bâtit plus de HLM c'est ce type de clientèle qui va être attirer...une clientèle qui ne paye pas de taxes foncières et qui sont un coût additionels pour la ville....j'ai une question: esce que les banlieues en construisent elles des logement sociaux? font elles leur juste part?
  13. comme je le disait auparavant, ce site est en décrepitude...il est dangereux pour les gens qui vivent autour....ils y a des squatter qui y vive...c'est une piquerie....c'est une vraie plaie pour le quartier....J'aimerai bien qu'ils conservent les silos lors de la réhabilitation du site mais pas a tout prix... pas question d'attendre encore 10 ans.....si le futur promoteur du site dois tout rasé, je ne serai pas contre....ceci est mon opinion, résident du sud-ouest.
  14. Une chose est sûre: ça fait trop longtemps que ce site est en décripitude, il doit être redeveloppé au plus sacrant.
  15. effectivement, ce serait probablement un état au statut billingue mais je crois qu'on pourrait même ajouter d'autres langues que le français et l'anglais, que cette ville soit de statut aux multiples langues (ex: New York offre ces services au citoyens en créole, italien, espagnol, mandarin...)
  16. ce que je crois différencie les Montréalais du reste du Québec c'est que nous croyons au vertues du Multiculturalisme, tandis que notre gouvernement provincial essaie plutôt l'intégration des différents groupes a la masse, l'uniformité....
  17. Je crois que cette discussion est approprié avec L'application possible de cette "charte des maleurs" et Barbara Kay dit tout haut ce que plusieurs Montrealais pense tout bas: Je suis a priori Montrealais dans une province qui n'est pas la mienne....pourquoi pas crée notre propre "cité-province"? http://fullcomment.nationalpost.com/2013/09/18/barbara-kay-the-case-for-the-city-state-of-montreal/ Barbara Kay: The case for the City-State of Montreal A few months ago, I appeared on a French language talk show as part of a diverse panel of politicians, aesthetes and chattering-class types to give our two-cents’ worth on Quebec political issues (Bill 14 was the hot topic then). Even though everyone else was a sovereigntist, I was warmly received; francophone media people truly appreciate anglo participation in such discussions. Dialogue proceeded in amiable fashion until I was asked if I considered myself a québécoise. “Non“, I unequivocally responded, “I consider myself a “montréalaise,” adding that Montreal was a distinct society within Quebec just as Quebec is a distinct society within Canada. Silence. The temperature of the room seemed instantly to go down 30 degrees. Every face around the table turned to stone. Stating the truth about Montreal to Quebec nationalists — that its character, needs and interests have little in common with those of the rest of Quebec (ROQ) and that, by implication, Montreal deserves special status — is simply a taboo. Related Kelly McParland: Quebec charter reflects values of small-minded separatists Barbara Kay: Accommodation of a different order Full Pundit: The Charter of Quebec Values — ‘Kafka, meet Monty Python’ Taboo no longer. Today there will be a press conference at a downtown Montreal hotel. There strategic consultant Michel David will make his long-researched case for Montreal as a city-state, a place in which counter-productive “values” charters and language laws would not apply, and where conditions favouring entrepreneurship, economic investment and skills recruitment would. David has been brooding over Montreal’s decline for decades. According to David’s just-released report, Montreal: City-State, Re-Inventing Our Governance, Montreal is the poorest city in North America with two million or more population (22nd of 22). It ranks 59th out of 60 jurisdictions for liberty, with the highest taxes and lowest level of entrepreneurship in Canada (50% of the Canadian average). Governance is authoritarian and disrespects individual rights. If Montreal is to regain its former glory, it will not happen under any of Quebec’s parties, all of them in numeric thrall to regional, ethnically homogeneous voters with no direct stake in Montreal’s fortunes. David concludes that only the political and economic autonomy conferred by special administrative status (SAS) — for which there is a precedent: the Cree of northern Quebec have self-governed their territories in collaboration with Quebec City for decades — can restore and surpass this once great city’s former entrepreneurial glory. A recently completed IPSOS survey surveyed 1,250 respondents on the island of Montreal (50%), the greater Montreal area (25%) and ROQ (25%) on Montreal’s current position and prospects and what should be done to improve the future of the city. It found that the idea of Montreal as a city state has wide appeal in the Montreal area. And even somewhat wide appeal in ROQ. Language laws were recognized as an impediment to Montreal’s prosperity, and 75% of Montrealers think ‘guaranteeing full bilingual status’ would help Across the board, close to 80% of respondents agreed that “Montreal has lost its prestige over the last few decades.” Only 54% across the board “would recommend Montreal as a place to start a business.” Only 46% of the ROQ felt that Montreal “should have more autonomy to make its own decisions for its future,” but 81% of Montrealers agreed they should. Yet 88% of ROQ and 92% of Montrealers agreed that “Montreal needs to be bold if it wants to move forward and prosper.” What to do? Language laws were recognized as an impediment to Montreal’s prosperity, and 75% of Montrealers think “guaranteeing full bilingual status” would help. “Streamlining and improving Montreal’s city governance” found favour with 97% of all the respondents, and almost as many think “recognizing entrepreneurs who are creating jobs in the city” is important. Premier Marois, take note: A full 94% of Montrealers and encouraging 80% of ROQ believe in “promoting Montreal’s multicultural aspects.” It’s not remarkable that “making a clear and long term commitment to the Canadian Federation” drew agreement from 80% of Montrealers, but that 66% of ROQ felt the same way will probably come as an unpleasant surprise to the PQ government. The key points of overwhelming agreement to take away from Montreal residents’ numbers are: Montreal is a distinct society within Quebec (90%); to stop its decline, Montreal needs to take drastic steps to improve the way it does things (91%); and Montreal deserves special status within Quebec because it is a world-class, cosmopolitan city (74%). The PQ government’s attempt to pass anglophobic Bill 14 offered proof yet again, if it were needed, that language supremacy is more important to sovereigntists than Montreal’s health and prosperity. The proposed Quebec Values Charter makes it crystal clear that Montreal’s strengths of multiculturalism and openness to the world are actually hateful to them. They would rather see Montreal on its knees, reduced to a plodding, unilingual provincial backwater, than take pride in what could be one of the world’s greatest cities. Montreal as a city-state is an idea whose time has come. All Canadians should support it. What is good for Montreal’s prosperity and growth is good for Quebec, for Canada and the world. National Post bkay@videotron.ca
  18. Je me rappelle il y a 3 ou 4 ans lorsque ils ont monté le bureau de vente, le feu avait pris le jour suivant dans le bureau....avant même la construction de la première unité....Le projet sembait louche dès le départ....parcontre ils ont engagé des représentants qui parlais cantonnais ou mandarin et ils ont reussi a vendre plusieures unités a la communauté chinoise car l'emplacement est idéal, c'est la façon dont les chinois achètent, l'emplacement a priori.
  19. moi ce qui me fait ch.... c'est lorsque tu rénove ta maison (ex: changer les fenêtres) il te demande de payer un permis et en plus il augmente la valeur foncière de la propriété....les mêmes fenêtres justes neuves....ça encourage les gens a restaurer leur maison...donc 100$ pour le permis et 125$ de plus par année en taxes foncières....
  20. Wow....!!! Ce genre de projet pose des défis un peu différents que de nouvelles tours mais la satisfaction une fois terminé est multiplié par 4.
  21. Malgré ce que les représentant de la ville peuvent dire il n'y a qu'une et seule raison d'augmenter la valeur foncière des propriétés....c'est d'augmenter les taxes...inquiète toi pas....a l'hôtel de ville c'est déja fait et budgeté...nous receveront tous un avis comme quoi nos taxes vont être augmenter. La dernière convention collective négocié avec les employés de la ville par l'administration Tremblay nous a fait très mal....Le regime de retraite des employés de la ville nous fait aussi très mal.... maintenant la facture nous est refilé....
  22. Mes TAXES vont encore augmenter de 600$:biting: depuis 5 ans, mes TAXES ont augmenter de près de 50% !!!! Le pire, c'est qu'il y a une diminution de services (collectes des ordures, déneigement, loisirs) Pour Nous LES PAYEURS DE TAXES, c'est le bout de la marde!!! (Cyberpresse) (Montréal) Le prochain rôle d'évaluation foncière de l'agglomération de Montréal, qui sera déposé dans les prochaines semaines, n'occasionnera pas de transfert du fardeau fiscal entre les propriétaires de maisons, de condos et de plex. Des augmentations d'environ 20%, en moyenne, sont attendues. Toutefois, des variations significatives existent entre les quartiers centraux et les secteurs situés aux extrémités est et ouest de l'île de Montréal. La firme JLR Recherche immobilière obtient ces résultats après avoir analysé quelque 15 000 transactions conclues entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2012, période de référence pour établir les valeurs du prochain rôle foncier. Il s'agit de la quatrième fois que les experts de la firme JLR donnent à l'avance un aperçu de l'évolution des valeurs du rôle à venir. Le travail avait été accompli en prévision du rôle de 2004-2006, de celui de 2007-2010 et de 2011-2012, avec des résultats probants chaque fois. Se gardant bien de présumer quoi que ce soit à l'égard du nouveau rôle, Paul Cardinal, directeur, Analyse du marché, à la Fédération des chambres immobilières du Québec observe lui aussi des hausses de valeurs de 20% pour les différentes catégories de propriétés sur l'ensemble de l'île de Montréal, au cours de la même période. Outils d'atténuation Le service d'évaluation rendra public prochainement le prochain rôle d'évaluation 2014-2016 qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain. Il est censé refléter les valeurs au 1er juillet 2012. Les variations de valeurs représentent l'évolution du marché du 1er juillet 2009 au 1er juillet 2012, une période de 3 ans. Le rôle sert à établir le montant des taxes foncières que doivent payer les contribuables. Il correspond au taux de taxation multiplié par la valeur apparaissant au rôle foncier. Une hausse des valeurs ne se traduit pas nécessairement par une hausse des taxes du même ordre. Pour atténuer l'impact des hausses de valeurs, les villes disposent en effet d'outils, comme l'étalement de la hausse des valeurs dans le temps et la modulation des taux de taxe en fonction de la catégorie d'immeubles. Qu'est-ce que signifie une hausse des valeurs de 20% pour le commun des propriétaires? Une hausse de la valeur marchande des biens signifie un accroissement de la richesse des ménages propriétaires, du moins sur papier. Ensuite, comme toutes les catégories augmentent de 20% en moyenne, le fardeau fiscal assumé par chacune des catégories de propriétaires reste inchangé. Autrement dit, les propriétaires de condos ne commenceront pas à payer à la place des propriétaires de plex et vice versa. Toutefois, les hausses de valeurs varient en fonction des quartiers. Les écarts les plus importants se produisent dans le Sud-Ouest, Saint-Laurent et le Plateau Mont-Royal, a noté Paul Cardinal, alors que les hausses les moins prononcées surviennent à la pointe est de l'île et dans la partie sud de l'Ouest-de-l'Île, soit les villes de Dorval, Pointe-Claire, Beaconsfield, Baie-d'Urfé et Sainte-Anne-de-Bellevue. Les propriétaires des quartiers connaissant les plus faibles hausses profiteront probablement d'un allégement relatif de leur fardeau fiscal, tandis que les propriétaires habitant les quartiers en vogue n'échapperont pas à un alourdissement de leurs charges foncières. En d'autres mots, le propriétaire d'une maison de Pointe-Saint-Charles verra sans doute ses taxes grimper, alors que le propriétaire d'une maison plain-pied de Pointe-aux-Trembles a bon espoir d'être épargné. De façon plus précise, pour la maison et le condo, les hausses varient de 5% à 45% et plus, selon l'analyse de JLR. Pour les duplex et triplex, l'amplitude est moindre. Les hausses vont de 10 à 30%. Finalement, à 20% en moyenne sur l'île de Montréal, la hausse estimée des valeurs ne devrait pas provoquer de branle-bas de combat. La hausse équivaut à celle du rôle précédent relativement aux maisons et aux copropriétés. Les propriétaires de plex avaient vu à l'époque leur bien s'apprécier de 26%. Cette fois-ci, la hausse devrait être de quelques points inférieurs. Ce fut déjà beaucoup plus important dans le passé. Par exemple, au rôle de 2007-2010, les valeurs avaient bondi de 40%. En réaction à ce changement soudain, les autorités municipales avaient étalé l'entrée en vigueur du rôle sur quatre ans dans le but d'en atténuer la portée. De plus, le gouvernement provincial avait instauré en catastrophe un système de subvention pour limiter les hausses des taxes scolaires, système qui s'est avéré dysfonctionnel à l'usage et dont le gouvernement de Pauline Marois a choisi de se débarrasser cette année. Le West Island a des allures d'aubaine On dit que l'île de Montréal est divisée en deux: la richesse à l'ouest et la pauvreté à l'est. La situation a évolué dans les années 2000, au point où l'Ouest-de-l'Île regorge de secteurs dont les propriétés se vendent meilleur marché qu'ailleurs. II existe 11 secteurs dans l'île où le prix médian des maisons a été inférieur à 300 000$ en 2012. Du lot, quatre se trouvent dans la partie ouest de l'île, à savoir Pierrefonds, Pierrefonds/Roxboro, Dorval et le Vieux-Lachine. Avant 2005, peu ou pas de secteurs du West Island se trouvaient dans les quartiers bon marché. En 2012, vous pouviez raisonnablement trouver un condo à moins de 250 000$ à Beaconsfield, Kirkland, Dollard-des-Ormeaux, Pierrefonds et Lachine. Vous paieriez le même prix pour vous loger dans le quartier Longue-Pointe à Mercier (prix médian de 240 000$), Anjou (225 000$) et dans le secteur de LaSalle/Saint-Pierre (239 500$). Il faudrait en débourser beaucoup plus si vous préfériez Saint-Henri (270 000$), La Petite-Patrie (288 000$), Petite Italie (290 000$), les alentours du parc Jarry dans Villeray (300 000$) et le Vieux-Rosemont/Angus (325 000$). Comment expliquer la perte d'appétit pour le West Island? On peut raisonnablement avancer les nuisances associées à l'aéroport, les limites de la desserte en transports en commun, les bouchons incessants sur l'autoroute 20 et la fermeture de plusieurs centres de recherche en pharma. Le centre de l'île a la cote Si vous envisagez de faire un investissement immobilier dans l'île de Montréal, vous ferez mieux de jeter votre dévolu sur les quartiers centraux, notamment ceux desservis par le métro. «De 2006 à 2012, les secteurs qui se distinguent par des augmentations de valeur plus importantes que la moyenne sont le Sud-Ouest, le Plateau-Mont-Royal et Villeray, dans la plupart des produits», constate Paul Cardinal, directeur, Analyse du marché, à la Fédération des chambres immobilières du Québec. Ahuntsic, Saint-Laurent et Outremont ont aussi mieux fait que la moyenne de l'île. Dans les deux premiers secteurs, c'est le cas pour la maison unifamiliale et, à Outremont, pour les plex. Quel point ont en commun tous ces secteurs? Ce sont tous des quartiers centraux qui ont une ou plusieurs stations de métro sur leur territoire. Pour le Plateau-Mont-Royal, autour du parc Laurier, une maison se vendait à 312 000$ en 2005. Le prix est passé à 655 000$ en 2012, une appréciation de 109% en 7 ans. Un triplex à Rosemont/La Petite-Patrie? Le prix est parti de 256 000$ à 490 000$ au cours de la période de 7 ans, un gain de 91%. Qui dit mieux? Les quartiers abordables ont changé À une certaine époque, les maisons les moins chères dans l'île de Montréal se concentraient à Pointe-Saint-Charles, Verdun, Ville-Émard et, dans l'est de l'île, à Pointe-aux-Trembles et Montréal-Est. En 2012, les maisons à Ville-Émard/Côte-Saint-Paul se sont vendues à un prix médian de 336 000$, soit sensiblement le même prix que dans la partie ouest de L'île-Bizard. En 2005, les maisons à Ville-Émard se vendaient en moyenne 170 000$ moins cher qu'à L'île-Bizard! Toujours en 2005, on devait débourser 200 000$ pour acquérir une maison dans le secteur de Wellington-De L'Église à Verdun, mais il fallait payer 296 000$ pour devenir propriétaire à Saint-Léonard. Aujourd'hui, les deux secteurs sont au même prix: 395 000$! Un condo à Maisonneuve coûtait en moyenne 70 000$ de moins qu'à Pointe-Claire/Dorval en 2005. L'écart a fondu à 18 000$ en 2012. Où se trouvent les quartiers à rabais en 2012? Pour le condo, c'est Dollard-des-Ormeaux, Pierrefonds et Cartierville. Pour la maison, Montréal-Nord, Dorval, Vieux-Lachine. Encore meilleur marché? Il y a toujours Pointe-aux-Trembles et Montréal-Est tout comme en 2005. Comme quoi il y a des réalités qui ne changent pas. Appréciation estimée en moyenne Maisons: +22% Copropriétés: +24% Duplex: +23% Triplex: +19% Secteurs en vogue Lasalle/cégep André-Laurendeau Condos Appréciation: +26% 151 reventes prix médian: 282 500$ Verdun (secteur Wellington-De L'Église) Condos Appréciation: +30% 165 reventes prix médian: 250 000$ Bois-Franc/Nouveau Saint-Laurent Condos Appréciation: +25% 244 reventes Prix médian: 325 000$ Maisons Appréciation: +24% 96 reventes prix médian: 601 250$ Pointe-Saint-Charles Maisons Appréciation: +50% 28 reventes prix médian: 419 500$ Condos Appréciation: +24% 101 reventes prix médian: 285 000$ Griffintown Condos Appréciation: +26% 285 reventes prix médian: 324 000$ Hochelaga Condos Appréciation: +26% 113 reventes prix médian: 237 500$ Duplex Appréciation: +23% 25 reventes prix médian: 362 000$ Secteurs à la traîne Baie-d'Urfé/Sainte-Anne-de-Bellevue Maisons Appréciation: +15% 91 reventes prix médian: 427 500$ Dorval/Pointe-Claire Maisons Appréciation: +18% 156 reventes prix médian: 370 500$ Saint-Léonard Maisons Appréciation: +8% 83 reventes prix médian: 390 000$ Montréal-Nord Maisons Appréciation: +17% 139 reventes prix médian: 256 000$ Cartierville Condos Appréciation: +9% 34 reventes prix médian: 200 500$ http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201307/19/01-4672244-role-foncier-hausse-de-20-en-vue-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS11
  23. si les magasins sont different ça va fonctionner, sinon il y aura une saturation du marché....il y en a juste trop.
  24. Je vais donner raison a Mark AC, il a raison d'être pessimiste....on nous fait passer pour une belle gang de sans dessin...une tutelle pour la ville au pc....
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